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Musique, antifascisme et autoritarisme : l’œuvre de Silvestre Revueltas dans le contexte de la Guerre civile espagnole / Music, antifascism and authoritarianism : the work of Silvestre Revueltas in the context on the Spanish Civil War

Velasco Pufleau, Luis 28 November 2011 (has links)
Le violoniste et compositeur mexicain Silvestre Revueltas (1899-1940) est un des principaux acteurs du développement musical du Mexique postrévolutionnaire durant les années 1930. Proche des avant-gardes artistiques mexicaines, la réception de sa musique est marquée par une double appartenance moderniste et nationaliste, au point que certaines de ses œuvres incarnent le modèle de la musique nationale et se trouvent au cœur de la politique symbolique du régime autoritaire postrévolutionnaire. Revueltas s’engage fin 1935 dans l’antifascisme communiste au sein de la Liga de Escritores y Artistas Revolucionarios (LEAR), luttant contre l’avancée du fascisme dans le monde – notamment après le début de la Guerre civile espagnole – et soutenant les avancées sociales obtenues par le Front Populaire Mexicain (FPM). Les conséquences de l’engagement antifasciste de Revueltas sont considérables, particulièrement dans la thématique de ses œuvres, dans sa vie professionnelle et dans l’utilisation symbolique de sa musique à des fins de légitimation par le régime postrévolutionnaire mexicain. Cette recherche analyse, d’une part, l’impact du militantisme antifasciste de Revueltas dans son œuvre et, d’autre part, la fonction de celle-ci dans la politique symbolique du régime autoritaire mexicain autour de la Guerre civile espagnole. Les résultats montrent que l’engagement antifasciste de Revueltas modifie la thématique de la plupart de ses œuvres après 1936 ainsi que sa conception du rôle du compositeur dans les luttes sociales. De ce fait, il devient indispensable de relativiser la réception exclusivement nationaliste de sa musique en la reconsidérant d’un point de vue politique et militant. / Violinist and composer Silvestre Revueltas (1899-1940) was one of the major players in post revolutionary Mexico musical development during the thirties. Close to avant-gardes Mexican artists, the reception of his music is defined by, both modernist and nationalist. Some of his works embody the national music model, and are at the heart of the symbolic politics of the post revolutionary authoritarian regime. Towards the end of 1935 Revueltas engaged himself in communist antifascism by being a member of the Liga de Escritores y Artistas Revolucionarios (LEAR), fighting against the rise of fascism in the world – especially during the Spanish Civil War – and supporting social progress championed by the Mexican Popular Front (FPM). The consequences of Revueltas’ antifascist engagement are considerable especially on the themes explored in his works, on his professional life and on the symbolic use of his music to legitimize the Mexican post revolutionary system. This research analyses, on the one hand, the impact of Revueltas’ antifascist militancy on his work, and on the other, the role of his work on the symbolic politics of the Mexican authoritarian regime during the Spanish Civil War. Results show that Revueltas’ political engagement alters the theme of most of his works after 1936, as well as the composer’s role in a social contest. It therefore appears to be essential to put into perspective the exclusively nationalist reception of his music reconsidering it from a political and militant point of view.
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Le Guernica : un tableau-monument en expositions. Support de réactivation et d’actualisation des mémoires de la Guerre Civile espagnole (1936-1939) / The Guernica : a painting-monument in exhibitions. Support for reactivation and updating of memories of the Spanish Civil War (1936-1939).

Cendoya, Jessica 22 January 2018 (has links)
La recherche se donne pour objectif de définir comment la construction des régimes de valeurs artistiques, mémorielles et historiques du Guernica - œuvre d’art réalisée par Pablo Picasso en 1937 - participe à l’écriture patrimoniale du tableau-monument, d'une part, et devient opératoire dans la réactivation ou l’actualisation de la mémoire des événements auxquels il réfère, dans le cadre de la visite muséale, d'autre part. Trois niveaux de recherche ont été pensés. Le premier a été de circonscrire l’objet Guernica en tant qu’objet d’art en posant un socle d’analyse de l’objet détaché de tout contexte, et ce, afin de mieux appréhender ceux par lesquels il existe en tant qu’objet culturel signifié dans des contextes temporels et géographiques. Dans un deuxième temps, l’analyse des différentes mises en exposition du Guernica ont permis de saisir les différentes valeurs d’usage qui lui ont été attribuées et comprendre ainsi comment il s'est construit en tant qu’objet patrimonial. Enfin, dans un troisième temps, au regard d’une analyse détaillée de la mise en exposition du Guernica au MNCARS en 2009 et 2013, 60 entretiens menées selon une méthodologie qualitative après la visite ont été analysé afin de comprendre les valeurs d’usage que mobilisent les espagnols lors de la réception et pour quelles raisons. L’intérêt de l’enquête est d’avoir révélé qu’il existait un éventail de mémoires et d’appréhensions afférentes à l’objet Guernica. Les enquêtes ont été analysées sous le prisme de la sensibilité politique (Républicains et Nationalistes), mais surtout sous celui du prisme générationnel, et pour lequel quatre générations sont identifiées. Les résultats d’analyse par générations, permettent de distinguer deux types de rapport au Guernica : réactivation et actualisation. Les notions de réactivation et d’actualisation (Georgescu-Paquin, 2013) s’insèrent dans une logique de rupture-continuité, nécessaire à tout processus de patrimonialisation (Davallon, 2006). Dans ce cas d’étude, le MNCARS propose un cadre portant sur un versant de l’histoire qui, à défaut d’apaiser les tensions, les ravivent pour certains (Nationalistes) ; tandis que d’autres, se retrouvent dans un processus entamé depuis peu (Républicains), suite à la Loi dite de « mémoire historique » (2007). En revanche, les nouvelles générations présentent un regard apaisé et distancié qui leur permet de rendre opératoire l’écriture patrimoniale du Guernica. / The research aims to define how the construction of regimes of artistic, memorial and historical values ​​of Guernica - a work of art made by Pablo Picasso in 1937 - participates in the patrimonial writing of the painting-monument, on the one hand, and becomes operative in the reactivation or updating of the memory of the events to which it refers, as part of the museum visit, on the other hand. Three levels of research have been thought out. The first was to circumscribe the Guernica object as an art object by placing a base of analysis of the object detached from any context, and this, in order to better understand those by which it exists as a cultural object signified in temporal and geographical contexts. In a second step, the analysis of the different exposures of Guernica made it possible to grasp the different values ​​of use which were attributed to him and this to understand how it was constructed as a patrimonial object. Finally, in a third step, in the light of a detailed analysis of the exhibition of Guernica at MNCARS in 2009 and 2013, 60 interviews conducted according to a qualitative methodology after the visit were analyzed in order to understand the use values ​​that mobilize the spaniards at the reception and for what reasons. The interest of the investigation is to have revealed that there was a range of memories and apprehensions related to the Guernica object. The surveys were analyzed under the prism of political sensitivity (Republicans and Nationalists), but especially under that of the generational prism, and for which four generations are identified. The results of analysis by generations, allow to distinguish two types of report to Guernica: reactivation and actualization. The notions of reactivation and actualization (Georgescu-Paquin, 2013) are part of a logic of rupture-continuity, which is necessary for any heritage-making process (Davallon, 2006). In this case of study, the MNCARS proposes a framework on a side of the history which, if not soothing the tensions, revives them for some (Nationalists); while others, find themselves in a process started recently (Republicans), following the so-called law of "historical memory" (2007). On the other hand, the new generations present a calm and distanced glance which allows them to make operative the patrimonial writing of Guernica.
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Recuperación de la memoria histórica en la obra teatral de José Sanchis Sinisterra ¡Ay, Carmela!

Rizea, Odeta Elena 05 1900 (has links)
Ce mémoire de maîtrise comprend une recherche basée sur l’œuvre dramatique ¡Ay, Carmela !, du dramaturge et directeur du théâtre espagnol contemporain, José Sanchis Sinisterra. Mise en scène pour la première fois en 1987, ¡Ay, Carmela ! est considérée une des plus importantes créations théâtrales représentées depuis l’après-guerre espagnole. Reconnue à l’échelle internationale, ¡Ay, Carmela ! illustre les conséquences de la guerre civile espagnole (1936-1939). À travers l’étude de la structure temporelle et spatiale, ainsi que de l’analyse des caractéristiques des personnages de cette pièce dramatique, le présent travail de recherche essaie de démontrer que les manifestations de la récupération de la mémoire historique se reflètent dans ¡Ay, Carmela !, de telle sorte que la pièce peut être considérée comme précurseur artistique de la « Loi de la mémoire historique » (Ley 52/2007, également appelée la Declaración de reparación y reconocimiento personal). On y retrouve ainsi une forte critique du pacte de silence de la transition démocratique espagnole (1975-1978). Ce travail a comme base méthodologique les outils théoriques de la sémiologie théâtrale (Bobes, García Barrientos, Rubiera) et aussi les écrits de P. Ricœur y de J. Derrida, sur le fonctionnement des mécanismes de la mémoire, de l’oubli et du pardon. Cette recherche se conclut avec une brève étude comparative entre l’œuvre de Sinisterra et l’adaptation cinématographique ¡Ay, Carmela! du réalisateur Carlos Saura. / This MA thesis embodies a research undertaken relative to the play ¡Ay, Carmela !, written by José Sanchis Sinisterra, a Spanish playwright and theatrical director. Staged for the first time in 1987, ¡Ay, Carmela ! is considered one of the most important dramas created since the post-war era. This work, which gained international recognition, perfectly illustrates the consequences of the Spanish Civil War (1936-1939). By examining both time and space, as well as analyzing the characters of this play, the present research intends to prove that the manifestations through which historical memory is recuperated throughout the play ultimately transform it into the forerunner to the “Historical Memory Law” (Ley 52/2007, also known as the “Declaración de reparación y reconocimiento personal”). Moreover, this thorough examination of the play will demonstrate within it a strong critique of the Pact of Silence signed during the Democratic Transition (1975-1978). Two main methodological approaches will be used to do so: that of theatre semiotics (specifically the theories of Bobes, García Barrientos, Rubiera) as well as comparisons to the writings of P. Ricœur y de J. Derrida, which will help support the ideas related to the memory, the forgetting and the forgiveness. Finally, this Master’s thesis will end with a short comparative study between the aforementioned play and the movie ¡Ay, Carmela!, directed by Carlos Saura.
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Les volontaires afro-américains et la guerre civile espagnole : une vision internationaliste du conflit

Paquet, Anne-Valérie January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Mémoire de la Guerre civile espagnole : l'engagement politique de Roberto Gerhard dans ses ballets Don Quixote et Pandora

Desrosiers, Judy-Ann 12 1900 (has links)
No description available.
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Pour la paix ou le chaos? : la justification des violences dans le camp républicain pendant la guerre civile espagnole : 1936-1937

Bourdon, Nicholas 05 1900 (has links)
No description available.
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Chronopathie. La crise mémorielle et ses lois dans l'Espagne contemporaine de 1931 à nos jours / The Memory Crisis and its Laws in Spain from 1931 to Nowadays

Prémonville de Maisonthou, Antoine-Louis de 27 April 2012 (has links)
Depuis plus d’une dizaine d’année, l’on assiste à une résurgence de la mémoire historique en Espagne. Qu’il s’agisse des contemporains ou de leurs héritiers, la mémoire des vaincus de la Guerre Civile, autrefois passée sous silence, est devenue incontournable aussi bien sur le plan historiographique que culturel et même politique (loi dite de « mémoire historique »). Les nombreux succès éditoriaux et cinématographiques relatifs à cette période douloureuse ont contribué à la diffusion d’épisodes méconnus et à la réappropriation d’un passé qui n’avait pas toujours été transmis aux générations successives. Toutefois, l’activisme des uns ne fait pas l’unanimité. Entre ceux qui ne souhaitent pas rouvrir les blessures du passé au nom d’une concorde nationale difficilement obtenue, et ceux qui se sentent mis en accusation par un « triomphe des vaincus » qui tend à ne présenter le conflit civil que sous l’angle de la lutte des « bons » contre les « méchants », l’on a pu observer une crispation partisane des débats au détriment de la science historique. La question mémorielle a atteint de telles proportions que certains commentateurs se sont demandés si la Guerre Civile était ou non terminée. Quoique l’évolution de l’historiographie soit indéniable depuis 1931, elle ne saurait s’expliquer entièrement par la lutte partisane des héritiers des deux camps. En effet, il nous faut nous intéresser également à des causes plus profondes qui en sont à l’origine. Si le cas espagnol s’inscrit dans un contexte européen d’irruption de la mémoire dans l’histoire, il s’explique aussi par des raisons propres qui touchent bien d’autres domaines. / Over the past decade, the question of Spanish historical memory has been debated a lot. Whereas the memory of the Spanish Civil War’s defeated had been kept silenced for years, nowadays, the story of direct witnesses – often told by themselves or their heirs – has become inevitable from a historical, cultural and political point of view (see the “historical memory” Act). Many best-selling books and box-office hit films dealing with this painful historical period have contributed to generalise some neglected events which had not always been properly transmitted to the younger generations. However, the memorial activism of various individuals is not unanimously accepted. Indeed, some people consider that such a revival of a painful past might pose a threat to a national harmony which was not easy to obtain. Others, belonging to the national fraction, feel directly accused by the late “triumph” of yesterday’s defeated. The frequent parallel drawn between the Civil War and a would-be fight of the “goods” against the “evils”, has fuelled a partisan debate at the expense of historical truth. The debate on historical memory has become so serious that some analysts do wonder if the Civil War is over or not. The evolution of historiography since 1931 is real, but it should not be explained exclusively by the biased opposition of the heirs of both camps. In fact, we have to take into account deeper reasons at the roots of the problem. The Spanish case cannot be dissociated from a European context, even if it has to be explained by its own particular reasons which affect many other knowledge domains.
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Ecrire le traumatisme: mémoire féminine dans les fictions sur la guerre civile espagnole :représentations, formes, enjeux, 1975-2011

Milquet, Sophie 18 April 2013 (has links)
La présente étude porte sur l'expression de la mémoire féminine dans les fictions traitant de la guerre civile espagnole (1936-1939) et du franquisme. Elle s’intéresse plus particulièrement aux œuvres publiées depuis la fin de la dictature (1975) jusqu’en 2010, en français (Agustin Gomez-Arcos et Mercedes Deambrosis) et en espagnol (Dulce Chacón, Carme Riera, Josefina Aldecoa, Jesús Ferrero, Marifé Santiago Bolaños et Ángeles Caso). <p>Nous nous attachons d’abord à l’étude globale des représentations des expériences féminines de la guerre et de la répression. Dans l’écriture des violences subies comme dans celle des luttes et résistances, la double dimension politique et de genre émerge. L’analyse se resserre ensuite sur les représentations du traumatisme, entre manifestations pathologiques et tentatives de ritualisation. Nous montrons à cet égard comment le récit peut assumer une fonction rituelle.<p>La « poétique du traumatisme » mise au jour dans le corpus d’étude qualifie des réalisations formelles diverses, rassemblées en trois ensembles, correspondant à autant de lieux possibles d’ancrage du traumatisme :le rapport générationnel, le corps et la voix. Une attention spéciale est accordée à la figure de la victime. Des phénomènes tels que la répétition et la délinéarisation, apparaissant à divers niveaux du récit, éclairent le rapport que les fictions entretiennent avec le passé ainsi que leurs positions éthiques et politiques dans le présent de la démocratie. <p><p>The current study explores the expression of women’s memory in literary works dealing with the Spanish Civil War (1936-1939) and Francoism. It focuses on the fictional narratives published between the end of the dictatorship (1975) and 2010, in French (Agustin Gomez-Arcos and Mercedes Deambrosis) and Spanish (Dulce Chacón Carme Riera, Josefina Aldecoa, Jesús Ferrero, Marifé Santiago Bolaños and Ángeles Caso).<p>The thesis first conducts a global analysis on the representations of women’s experiences of war and repression. In the writing of violence, struggle and resistance, the double political and gendered dimension emerges. The research focuses subsequently on the trauma representations, between pathological manifestations and ritual attempts, and shows how narrative can assume a ritual function.<p>The « poetics of trauma » characterises various formal realisations, divided into three groups. Each of them embodies a possible space for the inscription of trauma :the generational link, the body and the voice. Special attention is given to the figure of the victim. Phenomena such as repetition and delinearisation, that appear at various levels, clarify the relationship that fictional narratives build with the past as well as their ethical and political positions in the democracy. / Doctorat en Langues et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Le personnage apocryphe dans l'oeuvre de Max Aub / The apocryphal character in Max Aub's work

Fintzel, Julie 20 November 2015 (has links)
Notre travail s'inscrit dans une perspective d'histoire de la littérature et cherche à conduire une réflexion globale sur la nature, la signification et la portée de l’utilisation de l’apocryphe chez l'écrivain espagnol Max Aub (Paris, 1903, Mexico, 1972). Le procédé sous-tend l'ambitieux projet de "El Laberinto Mágico" _Le Labyrinthe Magique ̶, qui regroupe les œuvres consacrées à la guerre civile espagnole. Max Aub rompt avec une première pratique expérimentale de la littérature pour se focaliser désormais sur le jeu d’un personnage résolument plongé dans l’Histoire, et la création du personnage apocryphe prend chez l'auteur une valeur de témoignage existentiel, qui dépasse la dimension ludique du mélange entre fiction et réalité. Dans un siècle caractérisé par les guerres et la violence, chez un auteur profondément marqué par la guerre civile espagnole et la douloureuse expérience du déracinement, le personnage apocryphe renvoie aussi à la question identitaire, autant qu’à l’expérience de l’altérité et à l’exploration d’autres possibles itinéraires existentiels. Cette exploration des limites du genre narratif contribue à la résolution de la « crise du roman » des années vingt, s'inscrit dans une double perspective européenne et nationale, et s'ancre dans l'Histoire au point de donner de celle-ci une vision nouvelle. / This doctoral thesis has benn aproached in a perspective of history of literature, and aims to consider a global thought about the nature, the meaning and the impact of the use of the apocryphal for the Spanish writer Max Aub (Paris, 1903, Mexico City, 1972). The process underpins the ambitious project of "El Laberinto Mágico" ̶The Magic Labyrinth ̶, which groups together the works dedicated to the Spanish Civil War. Max Aub breaks with a first experimental practice of literature to focus from this point onward on the game of a character firmly immersed in History. The creation of the apocryphal character takes for the author a value of existential testimony, which goes beyond the playful dimension of the fiction and reality mix. In a century characterized by wars and violence, in an author deeply marked by the Spanish Civil War and the painful uprooting experience, the apocryphal character also goes back to the question of identity, as well as the otherness experience , and the exploration of the other possible existential paths. This exploration of the limits of the narrative genre contributes to the resolution of the "crisis of the novel" in the twenties, it is also part of a double perspective, national and European, and is anchored in History, to the point where it gives of it a new vision.

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