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201

Facteurs de risque de ventilation mécanique prolongée aux soins intensifs pédiatriques : étude épidémiologique descriptive

Payen, valérie 04 1900 (has links)
Rationnelle. La ventilation mécanique invasive (VI) s’accompagne lorsqu’elle se prolonge, d’une augmentation de la morbimortalité. Jusqu’à 64% des enfants hospitalisés aux soins intensifs sont ventilés et peu de données épidémiologiques existent afin d’estimer précocement la durée du support ventilatoire. Objectifs. Déterminer l’incidence et les facteurs de risque précoces de ventilation mécanique invasive prolongée aux soins intensifs pédiatriques. Méthode. Nous avons conduit une étude descriptive rétroélective sur un an. Tous les épisodes de VI aux soins intensifs du Centre hospitalier universitaire Sainte Justine de Montréal ont été inclus. Les facteurs de risque de VI prolongée (≥ 96 heures) ont été déterminés par régression logistique. Résultats. Parmi les 360 épisodes de VI, 36% ont duré ≥ 96 heures. Les facteurs de risques de ventilation prolongée en analyse multivariée sont : âge <12 mois, score de PRISM ≥ 15 à l’admission, pression moyenne dans les voies aériennes ≥13 cm H2O au jour 1 de ventilation, utilisation de la sédation intraveineuse continue au jour 1 de ventilation et ventilation non invasive avant intubation. Conclusion. La VI prolongée survient chez environ un tiers des patients ventilés. Les patients de moins de 12 mois semblent être plus à risque que les enfants plus âgés et devraient bénéficier de stratégies différentes pour diminuer leur durée de ventilation mécanique. La sévérité de la maladie, l’agressivité du support ventilatoire, l’utilisation d’une sédation continue au premier jour de ventilation sont également des facteurs à considérer dans les études visant à diminuer la durée de support ventilatoire. / Rationale. Invasive mechanical ventilation is associated, if prolonged, with higher morbidity and mortality. Up to 64% of children hospitalized in pediatric intensive care units (PICU) require invasive ventilation but little epidemiological data are available on children requiring prolonged acute invasive mechanical ventilation. Objectives. To determine the incidence rate and early risk factors for prolonged acute invasive mechanical ventilation in children. Methods. We conducted a retrolective longitudinal cohort study over a one-year period. All consecutive episodes of invasive mechanical ventilation in the PICU of Sainte-Justine Hospital were included. Risk factors for prolonged (≥ 96 hours) versus short (< 96 hours) ventilation were determined by logistic regression. Results. Among the 360 episodes of invasive ventilation, 36% had a length ≥ 96 hours. Following multivariate analysis, significant risk factors for prolonged acute invasive mechanical ventilation were: age <12 months, PRISM score ≥ 15 at admission, mean airway pressure ≥13 cm H2O on day one, use of continuous intravenous sedation on day one and use of non-invasive ventilation prior to intubation. Conclusion. Prolonged acute mechanical ventilation occurs in approximately one third of ventilated children. Younger children (aged <12 months) may be different from older patients and may require different strategies to decrease the duration of mechanical ventilation. Severity of illness, the aggressiveness of ventilatory support required and the use of continuous intravenous sedation on the first day of ventilation are also risk factors to consider in trials aimed at reducing mechanical ventilation duration.
202

Risque de cancer du poumon associé aux expositions environnementales de fumées de soudage : 2 études cas-témoins basées sur la population montréalaise.

Vallières, Eric 08 1900 (has links)
Objectif : Examiner la relation entre une exposition professionnelle aux fumées de soudage au gaz et à l’arc et le risque de développer un cancer du poumon, chez des travailleurs provenant de différents milieux de travail et exposés à de nombreuses substances de différentes concentrations. Méthodes : Nous avons mené deux études cas-témoins basés sur la population montréalaise (1979-86 et 1996-2001), incluant respectivement 857 et 736 cas, ainsi que des témoins appariés selon la fréquence des cas, le sexe et le lieu de résidence. Un historique détaillé des emplois occupés fut obtenu par entrevue et évalué par une équipe d’experts afin d’estimer l’intensité, la durée ainsi que l’exposition cumulative à un grand nombre de substances. Les fumées de soudage au gaz et à l’arc sont parmi les substances évaluées et nous avons pu calculer un rapport de cote (RC) et son intervalle de confiance de 95% (IC 95%) pour le risque de cancer du poumon en utilisant la régression logistique et en ajustant pour l’historique de tabagisme et plusieurs autres covariables pertinentes. Des analyses subséquentes ont permis d’explorer d’autres voies, comme la modification des effets observés par le tabagisme. Résultats : Les résultats obtenus à partir des deux études étant assez similaires, nous avons donc pu les combiner pour former une seule étude. Aucune association statistiquement significative n’a été trouvée entre le cancer du poumon et les fumées de soudage au gaz (RC=1,13; IC 95%=0,90-1,42) et les fumées de soudage à l’arc (RC=1,01; IC 95%=0,80-1,26). Par contre, dans le sous-groupe des non-fumeurs et fumeurs très légers, nous avons trouvé un risque accru de cancer du poumon en relation avec les fumées de soudage au gaz (RC=2,78; IC 95%=1,66-4,65) et à l’arc (RC=2,20; IC 95%=1,32-3,70). En se concentrant sur ce sous-groupe, nous avons trouvé un risque encore plus élevé de développer un cancer du poumon pour ceux exposé à des doses plus substantielles, pour le soudage au gaz (RC=4,63; IC 95%=2,14-10,03) et à l’arc (RC=3,45; IC 95%=1,59-7,48). Discussion : Globalement, aucun excès de risque causé par une exposition aux fumées de soudage n’a été détecté, mais un excès a été trouvé chez les non-fumeurs et fumeurs légers uniquement et ce, pour les deux types de fumées de soudage. L’effet des fumées de soudage peut être voilé chez les fumeurs, ou bien les non-fumeurs pourraient être plus vulnérables. / Objective: To investigate the relationship between occupational exposure to gas and arc welding fumes and the risk of lung cancer among workers exposed to various agents at various concentrations and over a wide range of occupations. Methods: We conducted two population-based case-control studies in Montreal (1979-1986 and 1996-2001), including 857 and 736 cases respectively and frequency-matched controls. Detailed job histories were obtained by interview and evaluated by an expert team of chemist-hygienists to estimate intensity, duration and cumulative exposure to multiple substances for each job. Gas and arc welding fumes were among the agents evaluated, and we estimated odds ratios (ORs) and 95% confidence intervals (CIs) for lung cancer using logistic regression, adjusting for smoking history and other relevant covariates. Subsequent analyses allowed us to explore other avenues, such as effect-measure modification by smoking. Results: The results from both studies were similar, so a pooled analysis was conducted. No significant association was found between lung cancer and gas welding fumes (OR=1,13; 95% CI=0,90-1,42) or arc welding fumes (OR=1,01; 95% CI=0,80-1,26). However, when restricting attention to light and non-smokers, we found an increased risk of lung cancer in relation to gas welding fumes (OR=2,78; 95% CI=1,66-4,65) and arc welding fumes (OR=2,20; 95% CI=1,32-3,70). When we further narrowed attention to workers with the highest cumulative exposures, we found even higher risk of lung cancer for gas (OR=4,63; 95% CI=2,14-10,03) and arc welding fumes (OR=3,45; 95% CI=1,59-7,48). Discussion: There was no detectable excess risk due to welding fumes among smokers; but among light and non-smokers there were excess risks related to both types of welding fumes. The effect of welding fumes may be masked in smokers or light and non-smokers may be more vulnerable.
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Hospitalisation pour problèmes respiratoires et exposition aux émissions d’une aluminerie chez l’enfant

Lewin, Antoine 12 1900 (has links)
L’exposition quotidienne aux polluants atmosphériques tels que le dioxyde de soufre, les particules fines (PM2.5) et l’ozone en milieu urbain sont associés à des effets néfastes sur la santé respiratoire des enfants. Des études épidémiologiques transversales rapportent des associations entre la pollution atmosphérique et des problèmes de santé respiratoires chez les enfants en milieu industriel telles que la prévalence de l’asthme et de l'hyperréactivité bronchique. Ces études épidémiologiques transversales ne permettent pas d’évaluer les effets sur la santé d’une exposition de courte durée. Peu d’études ont évalué les effets respiratoires des expositions aiguës chez les enfants à la pollution atmosphérique d’émissions industrielles. Dans ce mémoire, nous avons analysé l’association entre l’exposition journalière aux émissions d’une aluminerie et l’hospitalisation pour problèmes respiratoires (asthme, bronchiolite) chez les enfants de Shawinigan. Pour étudier ces effets des expositions aiguës, nous avons utilisé le devis épidémiologique de type « case-crossover » qui compare l’exposition lors des jours « cas » (jour d’hospitalisation) avec l’exposition lors des jours « contrôle » (exposition du même individu, les mêmes jours de la semaine, durant le même mois). Les variables d’exposition suivantes ont été calculées pour les enfants vivants dans un rayon de 7.5 km de l’industrie et pour ceux habitant à moins de 2.5 km de la station de mesure de polluants près de l’industrie : i) le nombre d’heures par jour durant lesquelles la résidence de chaque enfant recevait le panache de fumée de l’industrie. ii) les concentrations journalières de PM2.5 et de SO2 (moyenne et maximales) de la station de mesure des polluants localisée près de l’industrie. Des régressions logistiques conditionnelles ont été utilisées pour estimer les rapports de cotes (OR) et leurs intervalles de confiance à 95% (IC95%). Au total, 429 hospitalisations d’enfants pour asthme et bronchiolite ont été recensées pendant la période d’étude allant de 1999 à 2008. Le risque d’hospitalisations pour asthme et bronchiolite a augmenté avec l’augmentation du nombre d’heures d’exposition aux fumées de l’industrie, chez les enfants de moins de 5 ans. Pour les enfants de 2-4 ans, cette association était : OR : 1.27, pour un interquartile de 4.8 heures/jour; intervalle de confiance à 95%: 1.03-1.56. Des tendances moins prononcées sont notées avec les niveaux de SO2 et de PM2.5. Cette étude suggère que l’exposition journalière aux émissions industrielles identifiées par l’exposition horaire des vents venant de l’usine pourrait être associée à une exacerbation des problèmes respiratoires chez les jeunes enfants. De plus, l’effet plus prononcé avec la variable d’exposition basée sur les vents suggère un effet découlant des polluants autres que ceux mesurés (SO2 et PM2.5), possiblement comme les hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP). / The daily exposure to air pollutants such as sulfur dioxide (SO2), fines particules (PM2.5) and ozone in urban areas is associated with adverse effects on children respiratory health. In industrial environments, cross-sectional epidemiological studies report associations between air pollution and respiratory problems among children such as prevalence of asthma or bronchial hyper-responsiveness. These cross-sectional epidemiological studies cannot assess the health effects of short term exposures. Few studies have assessed the respiratory effects of acute exposures in children, to air pollution associated with industrial emissions. In the present thesis, the association between exposure to daily emissions from a smelter and hospitalizations for respiratory problems (asthma, bronchiolitis) in children of Shawinigan was studied. In order to assess the effects of short term exposures we used the epidemiological design “case-crossover”. With this design, we compared the exposure on “case” days (days of hospitalizations) with the exposure on “control” days (exposure of the same individual, on the same days of the week, in the same month). The following exposure variables were calculated for children living within a 7.5 km buffer around the industry and for those living at less than 2.5 km from the pollutant monitoring station located close to the industry: i) the number of hours per day that the residence of each child received the smoke plume from the industry, ii) daily concentrations of PM2.5 and SO2 (mean and maximum) at a monitoring station located near the industry. Conditional logistic regressions were used to estimate odds ratios (OR) and their confidence interval at 95% (IC95%). In total, 429 hospitalizations for asthma and bronchiolitis were identified during the study period from 1999 to 2008. The risk of hospitalizations for asthma and bronchiolitis increased with increasing number of hours of exposure per day under the smoke of the industry for children less than 5 years of age. For children 2-4 years old, this association was: OR = 1.27, for an interquartile range of 4.8 hours per day; confidence interval 95% 1.03-1.56. Trends, less pronounced, were also observed with the levels of SO2 and PM2.5. This study suggests that daily exposure to industrial emissions, estimated with the daily hours of wind exposure to the smoke from the industry, may be associated with exacerbation of respiratory problems in young children. In addition, the use of the exposure variable based on the wind, suggests an effect beyond the one of the pollutants measured (SO2, PM2.5), likely associated with Polycyclic Aromatic Hydrocarbons (PAHs).
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Intérêt et limites du programme de médicalisation des systèmes d'information (PMSI) dans la surveillance des infections de prothèses orthopédiques

Guillon, Leslie 11 April 2014 (has links) (PDF)
La surveillance des infections sur prothèses ostéo-articulaires (IPOA) est une cible de la surveillance des infections nosocomiales, calcul d'incidence difficile et peu robuste (données manquantes, pas de suivi à long terme), sur cette chirurgie à faible incidence d'infection du site opératoire (ISO). Le PMSI est une base exhaustive de données médico-administratives, permettant de suivre la trajectoire des patients (chainage). L'objectif de la thèse était d'évaluer la validité du PMSI pour la surveillance des IPOA et d'estimer son utilisation en routine sur une cohorte régionale. Une cohorte rétrospective régionale de patients avec première arthroplastie de hanche ou de genou a été constituée en utilisant la base PMSI. La définition d'IPOA était basée sur un algorithme PMSI utilisant les codes CIM-10 et les actes CCAM. Une étude de sensibilité sur 1 000 dossiers médicaux était réalisée par une enquête cas-témoin nichée dans la cohorte. L'application de la définition validée (Se 97%, Spe 95%, VPP 87%, VPN 98%) dans la cohorte a permis le calcul du taux d'IPOA, 2,2/100 pers-année [IC 95% 2,0- 2,6] et d'estimer les facteurs de risque : sexe masculin, dénutrition, obésité, maladies chroniques. La médiane de survenue de l'IPOA était 71 jours (1 à 1 650 j) mais un tiers des IPOA survenait plus d'un an après la pose. Ce travail a démontré le potentiel de l'outil PMSI (fiabilité, facilité d'utilisation, moindre coût) pour la surveillance des ISO, sous conditions d'un algorithme approprié de sélection des cas.
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Infections du site opératoire : approches originales du diagnostic et de la prévention

Birgand, Gabriel 25 August 2014 (has links) (PDF)
Les infections du site opératoire (ISO) sont classées au 3ème rang des infections associées aux soins les plus fréquentes en France. Des approches épidémiologiques " classiques " de prévention ont permis une réduction des taux d'ISO d'environ 50% en 20 ans. Malgré ces progrès, les taux d'incidence et le nombre brut d'ISO restent notables en France. De nouveaux outils permettraient d'améliorer la compréhension et la prévention des ISO. Lors d'une approche clinique de la prévention des ISO, nous avons évalué l'efficacité d'éponges de collagène imprégnées de gentamicine pour la prévention des ISO chez des patients à haut risque bénéficiant d'un pontage aorto-coronarien avec double artères mammaires internes. Des Dans un second temps, une approche, épidémiologique, avait pour objectif d'étudier l'accord des hygiénistes et des chirurgiens impliqués dans la surveillance des ISO de 10 pays Européens dans le diagnostic des ISO. La finalité était d'évaluer l'intérêt de la publication des taux d'ISO dans un objectif de benchmarking. La dernière approche était comportementale. Nous avons tout d'abord réalisé une revue systématique de la littérature afin d'évaluer l'état actuel des connaissances concernant l'impact des comportements des équipes opératoires sur la survenue d'ISO ou sur des marqueurs du risque infectieux. Enfin, nous avons présenté le protocole d'une étude en cours de réalisation sur l'évaluation des déplacements des personnels durant 63 interventions de chirurgie cardiaque et orthopédique, enregistrés de manière objective et continue par l'intermédiaire d'un système automatique de capture de mouvement. Ces données seront corrélées à des marqueurs du risque infectieux.
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Consumption of black tea and coffee and the risk of lung cancer

Pasquet, Romain 12 1900 (has links)
Objectif: Étudier l’association entre la consommation de café, la consommation de thé noir et le risque de cancer du poumon. Méthodologie: Cette recherche utilise les données obtenues lors d’une étude cas-témoin effectuée à Montréal avec des résidents canadiens âgés entre 35 et 75 ans recrutés entre 1996 et 2001. Les cas étaient des individus atteints du cancer et diagnostiqués entre 1996 et 1997 dans l’un des 18 hôpitaux de la région du Grand-Montréal. Les contrôles on été sélectionnés à partir de la liste électorale et appariés selon la fréquence de distribution des cas par groupe d’âge de 5 ans, par sexe et par district électoral. Au total, 1130 cas et 1484 contrôles ont été inclus dans cette étude. Les rapports de cote (RC) et les intervalles de confiance de 95% (CI) des associations entre la consommation de thé noir, de café et le cancer du poumon ont été estimés à l’aide de la régression logistique non conditionnelle. Quatre aspects de la consommation ont été analysés dans des modèles multivariés distincts: la fréquence de consommation, la consommation journalière moyenne, la durée de consommation et la consommation cumulative. Les covariables potentielles considérées incluaient : l’âge, le sexe, l’historique de tabagisme, le statut du répondant, l’ethnicité, la consommation d’alcool, la consommation de fruit et de légume, l’apport énergétique journalier, l’exposition a des agents professionnelle et les variables socio-économiques . Des analyses secondaires par le sexe, le tabagisme et le type histologique de cancer on été effectuées. Résultats : Aucune association statistiquement significative n’a été observée entre la consommation de thé noir et le cancer du poumon. Nos résultats suggèrent qu’une consommation de ≥ 50 ans était associée avec une augmentation du risque d’adénocarcinome comparée à aucune consommation. Nous avons observé une association inverse statistiquement significative entre la consommation occasionnelle de café et le cancer du poumon (RC : 0.32, 95%CI : 0.17-0.59). La durée de consommation de café n’était pas associée avec le cancer du poumon. Conclusion : Nos résultats suggèrent que la consommation à long terme de thé noir pourrait augmenter le risque d’adénocarcinome. D’un autre côté, la consommation occasionnelle de café pourrait réduire le risque de cancer du poumon. / Objective: To investigate the associations between the consumption of black tea and coffee and lung cancer. Methods: This research was conducted using data from a Montreal lung cancer case-control study that included Canadian residents aged 35 to 75 years old recruited between 1996 and 2001. Cases were individuals diagnosed with lung cancer between 1996 and 1997 from one of 18 Montreal-area hospitals. Controls were randomly selected from the electoral list and frequency matched to the distribution of the cases by 5 year age groups, sex and electoral district. In total, 1130 cases and 1484 controls were included in this analysis. The odds ratios (OR) and 95% confidence intervals (CI) for the association between black tea and coffee consumption and lung cancer were estimated using unconditional logistic regression. Four aspects of the consumption were analyzed in separate multivariate models: the frequency of consumption, average daily amount of consumption, duration of consumption and cumulative consumption. Potential covariates included: age, sex, smoking, respondent status, ethnicity, alcohol intake, fruit and vegetable intake, energy intake, exposure to occupational agents and socioeconomic variables. Analyses by sex, smoking level and tumor histological type were also conducted. Results: No statistically significant association was observed between the consumption of black tea and lung cancer. There were indications that consuming black tea for 50 years or more was associated with an increase in the risk of adenocarcinoma relative to no consumption. A significant inverse association between the consumption of coffee and lung cancer was observed for occasional coffee drinkers when compared to never drinkers with an estimated OR (95%CI) of 0.32 (0.17 - 0.59). The duration of coffee consumption was not statistically significantly associated with lung cancer. Conclusion: Our results suggest that long-term consumption of black tea may increase the risk of adenocarcinoma. On the other hand, the occasional consumption of coffee may reduce the risk of lung cancer.
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Lung cancer risk associated with occupational exposure to nickel, chromium VI, and cadmium in two population-based case-control studies in Montreal

Beveridge, Rachelle 09 1900 (has links)
No description available.
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Risque de cancer du poumon associé aux expositions environnementales de fumées de soudage : 2 études cas-témoins basées sur la population montréalaise

Vallières, Eric 08 1900 (has links)
No description available.
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Neuroleptiques chez l’enfant, l’adolescent et l’adulte jeune : évaluation pharmaco-épidémiologique de l’utilisation et des risques associés / Antipsychotic in children, adolescent and young adults : a pharmaco-epidemiological evaluation of use and associated risks

Montastruc, François 16 June 2017 (has links)
Notre travail porte sur l’évaluation de l’utilisation et des risques associés aux neuroleptiques en population générale. Nous avons organisé notre travail selon deux approches. D’abord, de façon classique en pharmaco-épidémiologie, une « approche « pragmatique » a permis d’étudier en « vie réelle », (i) l’utilisation des neuroleptiques dans la population générale en France à partir des données de l’Echantillon Généraliste des Bénéficiaires (EGB) et de la base Midi-Pyrénées de Pharmacovigilance (BMPPV), ainsi que dans une population de femmes enceintes à partir de la base de données EFEMERIS (Evaluation chez la Femme Enceinte des MEdicaments et de leurs RISques); (ii) les risques associés à cette utilisation à partir de la BMPPV, de la base mondiale de pharmacovigilance, VigiBase® et de la base de données EFEMERIS. Deuxièmement, nous avons testé une approche originale « explicative » à partir de VigiBase®, la méthode PE-PD (PharmacoEpidémiologie-PharmacoDynamie) pouvant potentiellement mettre en évidence le mécanisme d’action de certains effets indésirables. Nous avons étudié pour cela l’exemple largement connu des mouvements anormaux induits par les neuroleptiques. Pour l’approche « pragmatique », l’analyse montre une modification de l’utilisation des neuroleptiques en population générale et chez la femme enceinte, avec un report des prescriptions des neuroleptiques de première génération (NL1G) vers ceux de deuxième génération (NL2G). Si l’utilisation reste globalement stable, on note un accroissement de l’utilisation des NL2G dans deux populations vulnérables vis-à-vis des effets indésirables : les enfants/adolescents et les femmes enceintes. Malgré le report NL1G vers les NL2G, la prescription des médicaments à fort poids atropinique est élevée et stable au cours des dernières années. Concernant les risques associés, nous n’avons pas pu confirmer dans la base EFEMERIS, le signal retrouvé dans VigiBase de malformations congénitales gastro-intestinales avec les neuroleptiques. Pour les mouvements anormaux, le risque apparait moins important avec la clozapine qu’avec les autres neuroleptiques. Des différences existent entre les classes d’âge, avec, par exemple, moins d’akathisie, mais plus de dystonie aiguë chez les moins de 18 ans. Pour l’approche « explicative », la méthode PE-PD a permis de mettre en évidence l’un des mécanismes potentiels responsables de la réduction des mouvements anormaux sous neuroleptique, à savoir l’action antagoniste sur les récepteurs sérotoninergique 5-HT2A et muscariniques M1. Notre travail de thèse nous a permis à travers l’étude des neuroleptiques de discuter, (1) d’abord au niveau méthodologique, de la complémentarité entre les bases médicamenteuses (type EGB et EFEMERIS) et les bases de pharmacovigilance pour les études d’utilisation des médicaments et des risques associés, avec, en particulier, l’opportunité d’étudier le risque malformatif des médicaments avec les bases de pharmacovigilance. Ensuite, (2), au niveau pharmacologique, de mettre en évidence la problématique du poids atropinique des prescriptions associées aux neuroleptiques sur les bénéfices et/ou les dommages. Enfin, (3), dans une approche de pharmacologie sociale, en partant des résultats de la méthode PE-PD, de discuter de la place du mécanisme d’action des médicaments dans leur évaluation, de la pharmacologie fondamentale, en passant par la pharmacologie clinique, et de son éventuelle intégration en pharmaco-épidémiologie. / Our works deals with the use of antipsychotic drugs and risks associated with their use in general population. First, a “pragmatic” approach of pharmacoepidemiology was performed to evaluate in real life, (i) the use of antipsychotics in the French general population by using data from EGB (Echantillon Généraliste des Bénéficiaires) and from the Midi-Pyrénées Pharmacovigilance database (BMPPV), as well as in pregnant women with data from EFEMERIS (Evaluation chez la Femme Enceinte des MEdicaments et de leurs RISques); (ii) the risks associated with antipsychotics by using the BMPPV, VigiBase® the World Health Organization (WHO) Global Individual Case Safety Report (ICSR) and data from EFEMERIS. Secondly, we examined an original “explanatory” approach with VigiBase®, the PE-PD method (Pharmacoepidemiologic-Pharmacodynamic method) to investigate potential mechanisms of adverse drug reactions (ADRs). We deliberately selected an ADR with a well-established mechanism – i.e. movement disorders – in order to test the validity of the PE-PD method. For the “pragmatic approach”, our analysis found marked changes in antipsychotics use both in the general population and in pregnant women, with a switch from first generation antipsychotics (FGAPs) to second generation antipsychotics (SGAPs). The use of antipsychotics in general population remained relatively constant but a raise was observed for SGAPs in two vulnerable populations concerning ADRs: children/adolescents and pregnant women. Despite the switch (from FGAPs to SGAPs), associated use of drugs with high atropinic properties was highly prevalent and constant during the recent years. Concerning risks, no association was found in EFEMERIS data, not allowing to confirm the signal of gastrointestinal congenital malformations associated with antipsychotic use described in VigiBase®. For movement disorders, the risk found was lower with clozapine than with other antipsychotics. Risks of movement disorders differed according to age classes, with less akathisia, but more acute dystonia in children and adolescents (< 18 years). For the “explanatory approach”, the PE-PD method found an inverse correlation between serotonergic 5-HT2A or muscarinic M1 receptor occupancies and reports of movement disorders involving APs. Our thesis work allowed, through the study of neuroleptics (1) first, discussing, from a methodological point of view, the complementarity between French drugs databases (EGB and EFEMERIS) and pharmacovigilance databases for studying drug utilization and risks associated, in particular the opportunity to study the risk of malformations associated with drug use; then, (2) at the pharmacological level, highlighting the issues on the benefits and / or harms of the atropinic burden of prescriptions associated with antipsychotics; finally, (3) in a social pharmacology approach, starting from the results of the PE-PD method, discussing the place of the mechanism of drug action in drug evaluation, from basic to clinical pharmacology, and its possible integration into pharmacoepidemiology.
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Occupational risk factors for pancreatic cancer in Montreal

Manthorp, Emily 06 1900 (has links)
Problématique. L’étiologie du cancer pancréatique est encore peu caractérisée, notamment quant au rôle des expositions environnementales modifiables. L’objectif de cette étude est d’examiner si les expositions chimiques dans les milieux de travail sont des facteurs de risques pour ce cancer le plus souvent mortel. Méthodes. Une étude cas-témoin populationnelle à Montréal incluant 19 types de cancer a été réalisée entre 1979 et 1985. Pour chaque participant, un historique de travail détaillé a été obtenu ainsi que des données sur des variables sociodémographiques et des habitudes de vie. Les antécédents de travail ont été examinés par des chimistes et hygiénistes de travail afin de déterminer le statut d’exposition de chaque participant pour environ 300 substances d’intérêt. Pour ce rapport, les 116 cas participants de cancer pancréatique ont été comparés avec les autres cas de cancers et des témoins populationnelles. Des analyses préliminaires ont été effectuées pour repérer les substances qui démontraient des indices d’association avec le cancer du pancréas. Celles-ci, en plus des substances qui sont réputées être associées avec le cancer du pancréas dans la littérature, ont été retenues pour des analyses statistiques plus approfondies. Pour chaque substance, deux catégories d’exposition ont été établies : « exposé » et « substantiellement exposé ». Les ratios de cotes entre le cancer pancréatique et chaque substance ont été estimés par régression logistique tout en contrôlant pour des facteurs de confusion possibles. Des analyses semblables ont été réalisées pour des catégories industrielles et occupationnelles. Résultats. Parmi toutes les expositions étudiées, la majorité d’entre eux n’ont pas démontré une association avec le cancer du pancréas. Cependant, des associations positives ont été repérées pour quelques substances, notamment pour les produits de combustion du charbon (RC 2,6, IC 95 % [1,3- 5,3]), la suie (RC 3,4, IC 95 % [1,3-8,6]), les cires et agents de polissage (RC 2,7, 95 % [1,1-4,1]), les produits de nettoyage (RC 1,9, IC 95 % [1,1-3,2]) et pour la catégorie des concierges et nettoyeurs (RC 2,8, IC 95 % [1,5-5,1]). Conclusion. Malgré que plusieurs des associations observées dans cette étude ne sont pas suffisamment appuyées directement par la littérature existante, nos résultats représentent une ressource utile pour diriger les futurs projets de recherche et notamment pour les éventuelles méta- analyses. / Background. Pancreatic cancer is a fatal disease in most cases. Unfortunately, little is known about the etiology of pancreatic cancer and whether modifiable environmental chemical exposures may play an important role. The purpose of this study is to explore whether chemical exposures in the workplace may be risk factors for pancreatic cancer. Methods. A population-based case-control study including 19 types of cancer was conducted in Montreal between 1979 and 1985. Detailed occupational histories were obtained from all subjects as well as information on several socio-demographic and lifestyle variables. Occupational histories were assessed by industrial hygienists and chemists to determine whether exposure had occurred to any of nearly 300 substances from a checklist. For this report, the participating 116 pancreatic cancer cases were compared with other cancer controls and population controls. Preliminary analyses were conducted to identify agents from the checklist showing evidence of an association with pancreatic cancer. These were selected for more in-depth statistical analyses together with agents reported in the literature as being potentially associated with pancreatic cancer. For each agent, “any” and “substantial” exposure metrics were defined. Unconditional logistic regression methods were used to estimate odds ratios between pancreatic cancer and each of the selected exposures while controlling for potential confounders. Similar analyses were conducted for occupation and industry groups. Results. Of all the exposures assessed, the majority did not reveal an association with pancreatic cancer. However, suggestive positive associations were found for several agents including coal combustion products (OR 2.6, 95% CI [1.3-5.3]), soot (OR 3.4, 95% [1.3-8.6]), waxes and polishes (OR 2.7, 95% [1.1-4.1]), cleaning agents (OR 1.9, 95% [1.1-3.2]) and for the occupational category “janitors and cleaners” (OR 2.8, 95% CI [1.5-5.1]). Conclusion. For most of the agents revealing an association with pancreatic cancer in our study, there is a paucity of direct evidence published by other authors to corroborate our findings. However, parallels can be made with previously observed excesses in occupational groups making our findings useful for guiding future research efforts, notably for meta-analyses, to uncover the specific chemical exposures that may account for these excesses.

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