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The problem of double jurisdiction : paths to renewalDowd, Thomas January 2001 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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L'intériorité en éducationCôté, Alexandre 13 April 2018 (has links)
Tableau d'honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2008-2009 / Ce texte propose un questionnement sur l'éducation. En avançant et en affirmant l'importance de l'intériorité, le texte tente de faire ressortir certains éléments fondamentaux de l'éducation mis de l'avant par cette notion. Pour ce faire, l'auteur précise d'abord la notion d' intériorité en s'appuyant principalement sur la conception de cette notion chez Augustin (354-430). Ensuite, afin de ménager une place pour cette notion en éducation, l'auteur fait une critique des sciences modernes et des sciences de l'éducation. Celui-ci juge ces dernières restrictives et incapables de prendre en charge à elles seules l'éducation complète d'une personne humaine. L'auteur termine la première section en précisant ce qu' il entend par "éducation" : une notion que l'on ne peut couper notamment des questions concernant la morale et la finalité. Dans la seconde section, où il est plus particulièrement question de l'intériorité dans le domaine de l'éducation, l'auteur commence par soulever certains problèmes que pose la dimension de l'intériorité en éducation et tente d'en éclairer quelques-uns. Par la suite, c'est en appliquant à la relation éducative un modèle de la relation sous l'intériorité que l'auteur fait ressortir des traits importants de l'éducation. En affirmant l'importance de l'activité propre du sujet et de la relation unique qu'il a avec lui-même, l'intériorité permet de jeter un regard particulier sur son éducation. Elle affirme notamment la nécessité de relier l'éducation à un ensemble de connaissances et de valeurs qui déterminent le rapport du sujet avec lui-même, avec le monde et avec les autres.
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Au-deçà de la Cité de DieuGariépy, Charles 24 April 2018 (has links)
La Cité de Dieu a été rédigée dans une perspective polémique vis-à-vis les païens. La prise de Rome, en 410, a entraîné en Afrique du Nord la venue d’une élite cultivée, revivaliste et admirative du vieux polythéisme. Contre cette mouvance nostalgique, tributaire des anciens majoritairement sur le plan intellectuel et livresque, Augustin s’en prend à la bibliothèque des nouveaux arrivants. La Cité de Dieu peut, le cas échéant, être lue par la négative, c’est-à-dire par le biais de la critique qu’élabore Augustin de trois auteurs choisis, Varron, Cicéron et Salluste, qui résument et représentent conjointement l’essence de la culture classique. Tant chez les païens que chez l’évêque d’Hippone – leur détracteur –, Varron incarne la fine pointe de la théologie romano-hellénistique, Salluste est celui qui a mené à sa perfection la discipline de l’histoire, Cicéron a écrit le parachèvement des oeuvres sur la République, et chacun préconise sa structure idéologique propre, les trois domaines formant pourtant un ensemble systémique. Tout en louant ses illustres prédécesseurs, Augustin leur porte une critique générale et c’est à cette critique que seront consacrées nos analyses. / The City of God was written from a polemical perspective in opposition to the pagans. In 410 DC, the Fall of Rome led to the rise of a cultured elite in North Africa who were revivalist and admired the ancient polytheism. Against this nostalgic movement, which was mainly dependent on the Ancients, intellectually and in terms of the literature, Augustine attacked the newcomers’ literary basis. The City of God can be read in the negative, that is, in terms of the criticism Augustine develops of three chosen authors, Varro, Cicero and Sallust, who summarize and jointly represent the essence of classical culture. To both the pagans and the bishop of Hippo – their detractor –, Varro embodies the cutting edge of Roman-Hellenistic theology, while Sallust led the discipline of history to its perfection, and Cicero wrote the definitive works on the Republic – each promoting his own ideological structure, yet with the three areas forming a systemic whole. While praising his illustrious predecessors, Augustine levels a general criticism against them and it is on this criticism that our analyses will focus.
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Sotériologie d'Irénée de Lyon et mystère de l'eucharistiePerron, Dominic 13 April 2018 (has links)
La prière eucharistique du Missel romain a cette particularité de déployer très largement dans la première partie l'économie du Salut. Cette particularité m'a toujours intrigué et intéressé. Voulant y voir clair, j'ai trouvé en Irénée de Lyon quelqu'un qui pouvait me faire comprendre ce qui m'interpellait. Ce· mémoire va s'attarder sur la pensé d'Irénée: d'une part, sa théologie du salut toute dominée par le concept de l'économie et fortement marquée par son contexte historique, celui du gnosticisme; d'autre part sa théologie de l'eucharistie empreinte de cette vision économique du Salut, tributaire également des premiers pas de l'eucharistie chrétienne. Le mémoire se termine par un retour sur la prière eucharistique IV du Missel romain. On y discernera sa parenté profonde avec la vision irénéene (économique) du Salut et avec la vision irénéenne ( économique) de l'eucharistie. En somme, il s'agira de découvrir en profondeur toute la richesse d'un énoncé cher à Irénée: ± Notre manière de penser s'accorde avec l'eucharistie et en retour l'eucharistie confirme notre manière de penser¿ (Irénée de Lyon, Contre les hérésies, IV, 18,5). Il
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Roma autem locuta : les évêques de France face à l’Unigenitus : ecclésiologie, pastorale et politique dans la première moitié du XVIIIe siècle / Roma autem locuta : the bishops of France faced with Unigenitus : ecclesiology, pastoral matters and politics in the first half of the 18th centuryAndurand, Olivier 28 October 2013 (has links)
Le début du XVIIIe siècle est marqué par l’arrivée de la bulle Unigenitus dans le royaume de France. Les évêques sont chargés de recevoir ce décret romain tout en protégeant au maximum les libertés de l’Église gallicane. Comment l’épiscopat a-t-il réagi aux bouleversements introduits par cette Constitution? Formés à l’école de la modération, les prélats sont gallicans et obéissent aux désirs du roi sans réserve, car leur carrière dépend de la bonne volonté du monarque. Sièges épiscopaux, promotions, cardinalat tout est soumis à ses décisions. La Bulle pose de nombreux problèmes ecclésiologiques en voulant imposer l’infaillibilité pontificale. Les évêques de France se révèlent alors profondément gallicans et partisans de la modération. Protecteurs de leurs prérogatives, ils souhaitent se tenir éloignés autant des nouveautés romaines que des excès richéristes. Dans la gestion des diocèses, ils sont les tenants d’un rigorisme pénitentiel qui se marque par une défense de la contrition et l’éloignement du laxisme sacramentel en matière de communion. Ils sont aussi partisans d’une clarification de la liturgie pour rendre le culte compréhensible aux fidèles. Cependant, toutes les décisions pastorales doivent être prises avec mesure et sans jamais contredire les choix du roi et de son gouvernement. Même si Rome a parlé, la cause n’est pas finie. La controverse s’étire durant près de cinquante ans. L’épiscopat de France est rigoriste, gallican et composé d’hommes alliant des qualités intellectuelles et administratives remarquables. La bulle Unigenitus a donc permis l’émergence d’une réflexion sur le rôle de l’évêque dans l’Église. Les révolutionnaires de 1789 s’en souviendront. / The advent of the Unigenitus bull into the kingdom of France marked the outset of the 18th century. Bishops were in charge of enforcing this Roman decree while protecting a maximum of liberties for the Gallican Church at the same time. How did the episcopate react in front of the upheaval brought by this new Constitution? Schooled in moderation, the prelates were Gallican so they unreservedly complied with the king’s wishes, since their careers depended on the Monarch’s good will. Sees, promotions, cardinalships, everything was hung on his decisions. The Bull raised numerous ecclesiological difficulties as it laid down the rule of papal infallibility. On this occasion, the bishops of France revealed their deeply Gallican and moderate characters. In order to protect their prerogatives they wished to keep as much away from Roman novelties as from Richerist excesses. To direct their dioceses they favoured a penitential rigour that was characterised by the defense of contrition and a distance from sacramental laxity in the Holy Communion. They also stood for liturgical clarification to make worship more understandable to their congregations. Yet every pastoral decision had to be carefully measured so that it would never conflict with the choice of the King and his government. Even though Rome had spoken, the case was not closed. The controversy was carried on for about fifty years. The French episcopate was Gallican and composed of men who united remarkable intellectual and administrative abilities. Thus the Unigenitus bull provided an opportunity to question the part played by bishops in the Church. The 1789 revolutionists would remember that.
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L’attitude de l’évêque de Münster, Mgr Clemens August von Galen (1878 – 1946), face au nazisme / The attitude of the Bishop of Münster, Clemens August von Galen Bishop (1878 - 1946), faced with NazismMaregiano, Marc-Laurent 22 January 2011 (has links)
Cette thèse se base sur trois fonds principaux : les Archives Secrètes de Vatican, les Archives épiscopales de Münster et les Archives municipales de Münster. Mgr von Galen s’est heurté de front au nazisme dès son élection comme évêque de Münster en 1933 et jusqu’en 1945. Il s’est opposé au néo-paganisme raciste du régime hitlérien et n’a cessé de dénoncer la propagande antichrétienne nazie, tentant d’immuniser ses fidèles contre l’idéologie officielle du Sang et du Sol. Il a combattu également contre les projets scolaires nazis, le programme d’euthanasie, l’eugénisme, les persécutions contre la presse et les opposants, etc. Toutefois, il a soutenu en partie la politique étrangère du Troisième Reich. En tant qu’évêque, il a eu le soutien de Rome et de Pacelli/Pie XII. Au sein de l’épiscopat allemand, il s’est opposé avec Mgr Preysing, évêque de Berlin, à la politique de prudence du Cardinal Bertram, Président de la Conférence épiscopale allemande de Fulda. Galen n’a cessé d’appeler ses confrères à dénoncer publiquement le régime nazi. Contrairement à l’historiographie récente au sujet de Galen, il a été mis en évidence que Galen ne fut nullement un apôtre de la démocratie et un défenseur des droits de l’homme. Antilibéral, traditionnaliste, patriote, réactionnaire, anticommuniste, Galen fut un antidémocrate de droite voire d’extrême-droite, qui s’est opposé autant au nazisme qu’au retour de la démocratie en Allemagne en 1945 et à la politique des Anglo-Américains. On ne saurait donc le présenter comme un antinazi de tendance libérale. Toute sa vie, Galen fut un antimoderne au sens philosophique et théologique. / This thesis is based on three main funds: the Vatican Secret Archives, the Episcopal Archives of Münster and the Municipal Archives of Münster.Bishop von Galen was struck head-on Nazism upon his election as bishop of Münster in 1933 and until 1945. He opposed the racist neo-paganism of Hitler's regime and has repeatedly denounced anti-Christian Nazi propaganda, trying to immunize his followers against the official ideology of blood and soil. He also fought against the Nazis school projects, the program of euthanasia, eugenics, the persecutions against the press and opponents, etc. However, he argued in part the foreign policy of the Third Reich.As bishop, he had the support of Rome and Pacelli / Pius XII. Within the German episcopate, he clashed with Bishop Preysing, bishop of Berlin, the prudent policy of Cardinal Bertram, President of the German Bishops' Conference of Fulda. Galen has repeatedly called on his colleagues to publicly denounce the Nazi regime.Contrary to recent historiography about Galen, it was revealed that Galen was not an apostle of democracy and defender of human rights. Anti-liberal, traditionalist, patriotic, reactionary, anti-democrat, Galen was a right or extreme right, who opposed the return of democracy in Germany in 1945 and the policy of the Anglo-Americans . We therefore can not present it as an anti-Nazi liberal bent. All his life, Galen was an anti-modern philosophical and theological meaning.
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Titus de Bostra, lecteur des Écritures : fragments du Commentaire sur l'Évangile de LucLavoie, Jean-Michel 11 April 2018 (has links)
L'œuvre exégétique de l'évêque syrien hellénophone Titus de Bostra (mort après 363), transmise sous forme de citations en marge des manuscrits bibliques, a très peu retenu l'attention des chercheurs. Célèbre pour son ouvrage polémique Contre les Manichéens, le Titus lecteur et interprète des Écritures nous est presque inconnu, ce qui empêche de dresser un portrait intellectuel crédible de ce théologien qui vécut à une époque cruciale du développement du dogme chrétien. Afin de remédier à cette lacune, notre ouvrage vise à présenter une partie représentative de ce vaste corpus en fournissant la toute première traduction en langue moderne d'un choix de fragments, accompagnée d'un commentaire détaillé. Notre travail s'appuie sur la seule édition des fragments disponible, heureusement excellente, de Joseph Sickenberger (1901).
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L'entrée des évêques à Mâcon et à Chalon-sur-Saône au XVIe siècle : entre rituel politique et cérémonie religieuseRenaud-Joly, Normand January 2006 (has links) (PDF)
L'étude des rituels éclaire les rapports entre les acteurs qui y prennent part et révèle leur représentation du monde. Abordé dans cette perspective, le rituel de l'entrée des évêques offre à l'historien un accès privilégié à la culture de ceux qui participaient à l'événement et aux liens qu'ils entretenaient entre eux. Cette cérémonie était organisée en l'honneur de l'évêque pour son avènement. Elle avait lieu quand le prélat arrivait pour la première fois dans la capitale du diocèse, entrait solennellement dans la ville et prenait possession de sa charge et de l'évêché. Or, à Mâcon et à Chalon-sur-Saône, en Bourgogne du sud, les évêques, en plus d'être les chefs spirituels du diocèse, étaient les seigneurs d'une partie de la ville. L'entrée était par conséquent l'occasion pour les autorités et la population d'accueillir leur pasteur, mais aussi leur seigneur. Dans ces conditions, ce mémoire s'interroge sur la nature du rituel, qui oscille entre cérémonie politique et rituel religieux. Le croisement des sources d'origine communale et ecclésiastique permet d'appréhender l'histoire de l'entrée des évêques à Mâcon et à Chalon-sur-Saône au XVIe siècle dans toute sa richesse. Les archives urbaines et religieuses démontrent en effet que l'organisation du rituel était non seulement l'occasion, tant pour le conseil de ville que pour le chapitre cathédral, de rendre honneur à l'évêque, mais aussi de manifester leurs intérêts politiques et de présenter leurs valeurs et leurs visions du monde. L'analyse du déroulement de la cérémonie confirme par ailleurs que le rituel donnait lieu à une double manifestation, dont les dimensions politiques s'adressaient à l'évêque en tant que seigneur de la ville et les dimensions religieuses au chef spirituel. En bref, le rituel de l'entrée de l'évêque et de la prise de possession du diocèse nous renseigne sur la complexité du pouvoir épiscopal dans la France d'Ancien Régime et sur les rapports entre les élites urbaines et ecclésiastiques dans les villes du royaume. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : France, Bourgogne, Époque moderne, Rituels, Entrées épiscopales, Prise de possession.
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Histoire et rhétorique : Grégoire de Tours et les guerres civiles mérovingiennesFilion, Sébastien 08 1900 (has links)
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L'organisation de l'Église au IVe siècle et ses fondements canoniques / The organization of the Church in the IVth century and its canonical foundationsCobzaru, Daniel 26 September 2013 (has links)
Le présent travail propose une approche canonique et historique de l’organisation de l’Eglise au IVe siècle, ayant comme objectif principal de reconstituer la physionomie de l’Eglise selon quelques aspects essentiels et de saisir dans quelle mesure les canons de cette période ont façonné son visage. Ce retour aux sources d’une organisation stabilisée de l’Eglise fait apparaître en de nombreuses circonstances l’inventivité dont l’Eglise a fait preuve pour répondre aux défis de cette époque. Les conciles du IVe siècle ainsi que la législation canonique relative à l’élection et à l’ordination de l’évêque sont examinés dans le sens du détail significatif. L’étude accorde une attention toute particulière au canon apostolique 34 qui constitue de nos jours le canon le plus commenté et le plus invoqué dans les milieux orthodoxes, non seulement pour légitimer l’organisation des Eglises autonomes et autocéphales orthodoxes, mais encore pour justifier les droits juridictionnels des Eglises autocéphales sur leur diaspora. / This work provides a canonical and historical approach to the organization of the Church in the 4th century, having as main purpose the reconstruction of the face of the Church according to some key aspects, as well as the understanding of how the canons of this period have shaped its face. This return to a stable organization of the Church reveals inventiveness, which the Church has shown, in many circumstances, to meet the challenges of this era. The councils of the 4th century, as well as the canon law concerning the election and the ordination of the bishop, are considered in the direction of significant detail. The study pays particular attention to the Apostolic Canon 34, which is today the most commented and cited canon in the Orthodox community, not only to legitimize the organization of autonomous and autocephalous Orthodox Churches, but also to justify the jurisdictional rights of autocephalous churches in their diaspora.
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