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Wittgenstein y Heidegger: la crítica del sentido como inicio de la posmodernidad

Corrales Sepúlveda, Gonzalo Andrés 20 November 2012 (has links)
El objetivo central de esta tesis doctoral es intentar establecer una aproximación entre los programas filosóficos de Wittgenstein y Heidegger, de forma particular, en lo que se refiere al grado de influencia de ambos con respecto al abandono de la moderna razón fundamentadora y el arribo a la posmoderna fundamentación lingüística y pragmática. El eje Wittgenstein – Heidegger es utilizado como punto de referencia para analizar la transformación que tiene lugar en la filosofía del siglo veinte con el llamado giro linguïstico. En el primer capítulo se realiza la contextualización histórica tanto de la tradición hermenéutica como de la analítica. Se hace referencia a sus respectivos orígenes y a su evolución hasta arribar al siglo veinte. Teniendo en cuenta lo anterior, en el segundo capítulo se realiza la confontación entre las dos figuras emblemáticas de cada tradición: Wittgenstein y Heidegger, considerando como referente fundamental el ataque de ambos hacia la moderna razón fundamentadora. Si ambos atacan la razón moderna como fundamento, entonces ¿en donde se encuentra ahora la justificación para nuestras prácticas éticas y epistémicas?. Puestas de este modo las cosas es facil distinguir el asomo del nihilismo que es el tema del tercer capítulo. Mientras que en el cuarto capítulo se intenta mostrar la nueva base de fundamentación de nuestras prácticas a partir de la lectura del Wittgenstein de las Untersuchungen y del Heidegger de la década del treinta en adelante. / The main objective of this doctoral thesis is trying to establish an approximation between the philosophical programmes of Wittgenstein and Heidegger, particularly concerning the degree of influence of both of them as regards the abandonment of modern foundational reason and the arrival to the postmodern linguistic and pragmatic foundation. The axis Wittgenstein – Heidegger is used as a benchmark to analyze the transformation that takes place in twentieth-century philosophy with the so-called linguistic turn. The first chapter provides the historical contextualization of both hermeneutical and analytical traditions. Reference is made to their respective origins and evolution up to the twentieth century. Keeping in mind the above mentioned the second chapter presents the confrontation of the two emblematic figures of each tradition: Wittgenstein and Heidegger, having as main referent their attack to the modern foundational reason. If both of them attack modern reason as a foundation, where is the justification of our ethical and epistemical practices? Within this context, it is easy to recognize the appearance of nihilism, which is the topic of the third chapter. Whereas the fourth chapter attempts to show the new base foundation of our practices from the reading of Wittgenstein's Untersuchungen and the Heidegger 1930's onwards.
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Recherches logiques et philosophiques sur le concept de métalangage

Kennedy, Neil January 2006 (has links) (PDF)
Ce mémoire a pour objectif principal l'analyse du concept de métalangage tel qu'il s'est développé en logique mathématique. L'introduction et la conclusion mises à part, chaque chapitre porte sur un auteur -logicien, mathématicien ou philosophe ayant contribué de manière significative à l'évolution de ce concept. Ces auteurs sont, en ordre de présentation, Gottlob Frege, Bertrand Russell, Ludwig Wittgenstein, David Hilbert, Kurt Godel et Alfed Tarski. Puisque la notion de métalangage s'est développée avec la formalisation progressive de la logique, une attention particulière est accordée à l'émergence des systèmes formels et à leur présentation. Trois périodes se dessinent dans la genèse de cette notion. Une première, que j'appelle « pré-météthéorique », où l'intervention d'une théorie externe au langage formel est rejetée catégoriquement, mais où certaines notions métathéoriques sont implicitement tracées. Une seconde, dite « hilbertienne », qui marque l'entrée en jeu de la métamathématique et qui consacre le métalangage dans l'étude des mathématiques, quoiqu'avec des moyens limités. Et une troisième, dite « tarskienne », où la notion moderne de métalangage est exposée. Par ailleurs, j'effectue une analyse détaillée de la preuve que Godel donne de son second théorème d'incomplétude où je prétends qu'il commet une erreur conceptuelle entre langage et métalangage. Enfin, en conclusion, j'explore une conception fondationnelle de la logique compatible avec l'étude métathéorique. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Métalangage, Logique, Philosophie, Métamathématique, Godel, Tarski.
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Hypothèses d'amarrages, une intervention artistique à Montréal : contribution à l'esthétique et à la politique du paysage urbain

Lafontaine, Simon 02 1900 (has links) (PDF)
Dans son assertion courante, le paysage urbain est habituellement compris à la manière d'une représentation fixe et continue. San Francisco a le Golden Bridge, New York la Statue de la Liberté, Paris la tour Eiffel, Toronto la tour du CN, Montréal le stade olympique et Tokyo aura bientôt le Sky Tree : à la manière d'une carte postale, le cityscape, cette image condensant l'expérience d'une ville, mise souvent sur certaines structures bâties spectaculaires évoquant une attraction jugée incontournable pour s'accoler une identité touristique et culturelle dans un monde globalisé. Le paysage urbain n'est-il destiné qu'à être une image de marque, certes fascinante dans les films d'action, les guides touristiques et sur les cartes postales, mais, avouons-le, qui n'est pas nécessairement ce qui nous a fait vibrer lorsqu'on le parcourt au quotidien? N'est-il pas également déterminé par nos déplacements, nos parcours, notre expérience de ses infrastructures et nos interactions avec d'autres citadins? À partir d'un cas d'intervention artistique en milieu urbain, les Hypothèses d'amarrages du collectif SYN-, l'auteur montre que le paysage est sans cesse retravaillé par les manières de faire des gens, leurs parcours quotidiens, ce qu'ils aperçoivent et ce dont ils rêvent. Bref, que le paysage urbain est quelque chose qui se déploie à la manière d'une vie en images, sans cesse recolorée par les usages quotidiens. L'auteur présente une description de la nature du projet artistique puis de son positionnement dans le champ de l'art actuel. La réflexion est alors menée selon deux axes reliés : la question de l'expérience vécue des citadins et des méthodes de travail par lesquelles le collectif s'y rapporte. Pour y arriver, l'auteur a choisi de se concentrer sur les propositions du philosophe Ludwig Wittgenstein, qui s'est intéressé au langage ordinaire et aux activités humaines les plus banales tout en leur conférant une dimension « praxique ». Plutôt que de fonder son cadre d'analyse sur les trop fameux « l'usage est la signification » et « tout est un jeu de langage » brandis par la doxa, l'auteur montre que ce qu'il sera convenu d'appeler une « analytique de la quotidienneté » va bien plus loin que ces assertions pragmatistes. En ce qu'elle fait l'assomption des activités quotidiennes et leur confère une puissance d'ouverture au sein du procès de signification, une analytique de la quotidienneté suggère de comprendre l'expérience vécue selon une imprévisibilité et une créativité dont les ressorts excèdent la donation de sens pour se constituer dans l'apprentissage et la pratique concrète. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : paysage urbain, Montréal, art actuel, quotidien, Wittgenstein, esthétique, sociologie urbaine, épistémologie.
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De l'école du milieu : transcendance, langage et raison dans la pensée de Wittgenstein, Tsongkhapa et Schopenhauer

Cossette-Trudel, Alexis 04 1900 (has links) (PDF)
L'objectif de ce travail consiste à identifier les apories inhérentes à ce que d'aucuns appellent la postmodernité. L'impasse actuelle résulte, selon nous, d'une fracture du logos dont le corollaire est la montée des monismes dans la pensée occidentale. Cette fracture pose d'énormes problèmes sociaux, éthiques et sotériologiques. Une solution à l'impasse passe par un retour aux sources de la pensée occidentale. Un retour au logos ne peut cependant advenir qu'à travers une philosophie qui, contrairement à certains monismes, ne serait basée ni sur l'objet ni sur le sujet. Il s'agit dans le cadre de ce travail de faire émerger cette « philosophie du milieu », de définir quels sont ses modes d'applications et quels sont ses concepts opératoires, comme le synéchisme. Il appert que, dans ce que Jean-François Lyotard appelle « les sociétés industrielles avancées », deux visions de l'homme s'affrontent, réduisant toutes deux l'expérience de la réalité à un unique élément, qu'il soit corps ou langage. Il résulte de cette dichotomie soit une dévalorisation de la subjectivité soit un scepticisme antirationaliste. Ces monismes tirent une bonne part de leurs fondements théoriques de la pensée de Ludwig Wittgenstein. Or Wittgenstein n'est ni entièrement positiviste ni entièrement relativiste, comme ses successeurs l'ont interprété; sa pensée n'est fondée ni sur l'objet, comme celle des matérialistes, ni sur le sujet, comme celle des relativistes. Sa conception « transcendantale » de l'éthique, concomitante de sa définition de la limite du langage, fait plutôt de ce penseur un dualiste. Malgré son dualisme, de par son association à la pensée d'Arthur Schopenhauer, Wittgenstein participe de plein doit à cette philosophie « du milieu » que nous tentons de définir. Ayant été confronté, essentiellement, aux mêmes apories et aux mêmes impasses sociales quelque cinq siècles avant l'Occident, la société tibétaine sut trouver, au 15e siècle, un juste milieu entre des conceptions monistes réductrices grâce à la philosophie de Tsongkhapa. Dans le cadre d'une réforme tant éthique que philosophique, ce dernier a habilement marié la réflexion sur la nature ultime des phénomènes à des principes de raison et d'empirisme. Son approche, identique à celle préconisée par Platon deux mille ans plus tôt, s'est réclamée du juste milieu entre l'ultime et le conventionnel. En outre, elle offre à terme une sortie de l'impasse engendrée par le matérialisme et le relativisme en formulant une conception unifiée, disons synéchiste, de la réalité. Philosophe très influent il y a un siècle, mais aujourd'hui presque oublié, Arthur Schopenhauer est au cœur de la pensée postmoderne. Ayant exercé une influence déterminante sur Nietzsche, Freud et Wittgenstein, Schopenhauer a introduit dans la pensée occidentale la notion de maya, ou d'illusion du réel, reléguant au second plan le cogito cartésien. Contrairement à ce l'on croit au sujet de sa philosophie de la Volonté, Schopenhauer assigne à la raison un rôle sotériologique essentiel. Sa philosophie, inspirée de celle de Platon et de Kant, se situe « au milieu » entre le sujet et l'objet. Elle maintient que tout dépassement de l'illusion du réel passe par l'attitude éthique qui aspire à mettre un terme à la soif d'existence. Les parallèles avérés entre sa philosophie et le bouddhisme sont d'ailleurs à même de démontrer que l'approche préconisée par Schopenhauer et fondée sur le synéchisme entre le sujet et l'objet est rigoureusement superposable à celle appliquée au Tibet par Tsongkhapa quatre siècles plus tôt. Enfin, afin d'obvier aux apories soulevées par les monismes et les dualismes, le « synéchisme » est proposé comme concept opératoire permettant de sortir de l'impasse postmoderne. Ce concept initialement développé par C. S. Pierce se révèle approprié autant comme méthodologie que comme conception du langage en donnant un sens précis à l'approche du « milieu » fondée sur l'absence d'en-soi des phénomènes subjectifs et objectifs. ______________________________________________________________________________
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Limited ink : interpreting and misinterpreting GÜdel's incompleteness theorem in legal theory

Crawley, Karen. January 2006 (has links)
This thesis explores the significance of Godel's Theorem for an understanding of law as rules, and of legal adjudication as rule-following. It argues that Godel's Theorem, read through Wittgenstein's understanding of rules and language as a contextual activity, and through Derrida's account of 'undecidability,' offers an alternative account of the relationship of judging to justice. Instead of providing support for the 'indeterminacy' claim, Godel's Theorem illuminates the predicament of undecidability that structures any interpretation and every legal decision, and which constitutes the opening to justice. The first argument in this thesis examines Godel's proof, Wittgenstein's views on rules, and Derrida's undecidability, as manifestations of a common concern with the limits of what can be formalized. The meta-argument examines their misinterpretation and misappropriation within legal theory as a case study of just what they mean about meaning, context, and justice as necessarily co-implicated.
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Schoenberg, Wittgenstein, and the Vienna circle : epistemological meta-themes in harmonic theory, aesthetics, and logical positivism

Wright, James K. January 2001 (has links)
This study examines the relativistic aspects of Arnold Schoenberg's harmonic and aesthetic theories in the light of a framework of ideas presented in the early writings of Ludwig Wittgenstein, the logician, philosopher of language, and Schoenberg's contemporary and Austrian compatriot. The author has identified correspondences between the writings of Schoenberg, the early Wittgenstein (the Tractatus Logico-Philosophicus, in particular), and the Vienna Circle of philosophers, on a wide range of topics and themes. Issues discussed include the nature and limits of language, musical universals, theoretical conventionalism, word-to-world correspondence in language, the need for a fact- and comparison-based approach to art criticism, and the nature of music-theoretical formalism and mathematical modeling. Schoenberg and Wittgenstein are shown to have shared a vision that is remarkable for its uniformity and balance, one that points toward the reconciliation of the positivist-relativist dualism that has dominated recent discourse in music theory. Contrary to earlier accounts of Schoenberg's harmonic and aesthetic relativism, this study identifies a solid epistemological core underlying his thought, a view that was very much in step with Wittgenstein and the Vienna Circle, and thereby with the most vigorous and forward-looking stream in early twentieth century intellectual history.
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Wittgenstein y Gadamer: lenguaje, praxis, razón. El problema del pluralismo a través de la filosofía del lenguaje

Miras Boronat, Núria Sara 19 June 2009 (has links)
El trabajo de investigación se propone medir la influencia y recepción de Wittgenstein y Gadamer en el debate del pluralismo teórico contemporáneo. El pluralismo se comprende como una pluralidad de marcos conceptuales lingüísticamente articulados y contextualmente definidos que constituyen unidades de sentido para comunidades de vida vertebradas a partir de prácticas sociales comunes. La variante del pluralismo en la que se centra la investigación es asimismo el resultado de la crisis del paradigma de conocimiento moderno, cuya última instancia de conocimiento y acción es el sujeto, y que es sustituido por la formas de vida tras el giro lingüístico-pragmático del siglo XX. El debate a propósito del pluralismo es una de las múltiples posibilidades del debate sobre la razón, su alcance, capacidades y competencia, en el que Wittgenstein y Gadamer han sido importantes referentes. En el primer nivel de análisis, se trata de acotar la especificidad de pluralismo teórico en la que Wittgenstein y Gadamer pueden tener cabida. Se procede por vía de una reconstrucción histórico-filosófica del pluralismo que parte de su primera mención en Kant y Wolff, pasando por William James, el liberalismo clásico y el debate actual sobre el multiculturalismo. El objeto de la reconstrucción es establecer las tesis y argumentos principales del pluralismo en el momento presente. En un segundo nivel de análisis, se examina el tránsito del problema del lenguaje a la primacía de la praxis en un tratamiento diferenciado para cada uno de los autores, para pasar luego a la discusión crítica de sus posibles aportaciones individuales al problema filosófico del pluralismo, dando cuenta de una vasta panorámica en la recepción de ambos autores, pero acotando la discusión a los tópicos relacionados con la problemática del pluralismo teórico. Este segundo paso consta de cuatro capítulos, dos por autor, que examina el giro lingüístico-pragmático que cada uno de ellos desarrolla por separado desde múltiples perspectivas. En capítulo quinto y final, ambos autores son comparados en referencia a sus claves conjuntas para la concepción del lenguaje: los juegos de lenguaje (Sprachspiele) y la forma de vida (Lebensform) en Wittgenstein; el juego del lenguaje (sprachliches Spiel, das Spiel der Sprache) y la tradición histórico-lingüística (Überliferung) en Gadamer. El lenguaje como juego, el modelo dialógico y el sistema compartido de creencias que actúa como trasfondo en la argumentación y en la contrastación con el mundo de la experiencia son los ejes de comparación entre los máximos representantes de dos corrientes contemporáneas de la filosofía, la filosofía analítica del lenguaje (Wittgenstein) y la hermenéutica filosófica (Gadamer), que, a pesar de haber desarrollado sus proyectos filosóficos sin contacto la una con la otra, presentan profundas afinidades en sus intereses y objetivos. Por último, la reflexión se cierra en torno a la discusión crítica de la posibilidad de incorporar su común contribución filosófica sobre el lenguaje y la praxis a una concepción pluralista de la razón humana.PALABRAS CLAVE: Filosofía de la intersubjetividad, Hermenéutica, Filosofía de la acción, Pluralismo / The goal of the Doctoral Thesis is to examine the common influence of Wittgenstein and Gadamer on the contemporary debate concerning the theoretical pluralism, i.e. the controversial question of the competence and limits of human reason in the context of a plurality of forms of life and historical traditions. Wittgenstein and Gadamer are held to be the most important referents of two opposite philosophical movements without any points of contact: the analytical philosophy and the philosophical hermeneutics. Nevertheless, a careful treatment of both philosophers reveals profound affinities in the concepts of language and praxis. The most important coincidence is thus the assumption that all relevant philosophical problems have to do with our language in its ordinary uses. This results in the requirement to abandon the modern paradigm of knowledge, for which a transcendental subject is postulated as the condition of possibility of science and action.The Thesis consist in big three sections. The first introductory section presents an historical and philosophical reconstruction of the main arguments of philosophical pluralism. The second section contains four chapters that follow the transition of each of the authors from language to praxis and discusses their separate impact on the present practical philosophy. The final section consists in a comparison between their philosophies of language. The comparison is based on the image of the language as a game or a play, the practical constitution of belief and the dialogic model of communal life-world, aiming a pluralistic approach of reason.
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Paradoxos ficcionais : literatura, solipsismo e esquizofrenia em Wittegenstein's mistress

Tomm, Davi Alexandre January 2016 (has links)
Esta dissertação apresenta um estudo do livro Wittgenstein‟s mistress (1988), do escritor estadunidense David Markson (1927 – 2010), cujo texto é narrado em primeira pessoa por uma mulher que se autodenomina Kate e que se apresenta como sendo o último ser humano sobrevivente no mundo. Habitando uma casa em alguma praia, ela senta-se diante da máquina de escrever e divaga sobre suas lembranças e viagens, misturando memória e imaginação, de forma a deixar-nos, nós, os leitores, sem um lastro firme para identificar o que é realidade e o que é ilusão. A análise aqui realizada aborda a estrutura paradoxal desse texto, que não consegue estabelecer de modo concreto um mundo ficcional no qual a personagem narradora habita, ou seja, não podemos saber o que realmente acontece ou não com ela. Esse efeito se dá principalmente por um estilo esquizofrênico que será relacionado com as reflexões e observações que o filósofo Ludwig Wittgenstein denomina ―doenças do intelecto‖, as quais, segundo o professor de psicologia clínica e escritor Louis A. Sass, aproximam-se da esquizofrenia. O objetivo desta pesquisa é examinar a maneira como se imbricam as relações entre a linguagem ficcional do livro de Markson e a realidade extratextual, através de uma visão wittgensteiniana que coloca a linguagem imersa na nossa forma de vida, ancorada sempre nas práticas e costumes compartilhados pela sociedade. A análise mostrará que mesmo em um texto onde predomina esse estilo esquizofrênico que faz a linguagem se fechar no mundo interior da personagem, e também no mundo intratextual, ainda há a possibilidade de rompimento deste solipsismo textual, conectando essa linguagem à esfera intersubjetiva e comunitária. Esse rompimento só é possível através da apresentação (ou exteriorização) de vivências, que depende de uma confiança na linguagem como prática social e imersa na nossa forma de vida, assim como de uma confiança na prática de contar histórias. / This M.A. thesis analyses Wittgenstein‟s Mistress (1988), a book written by the American author David Markson (1927-2010), whose text is narrated, in the first person, by a woman who calls herself Kate. Declaring that she is the last remaining person alive in the world, Kate sits in front of her typewriter, in a house on a beach somewhere, revisiting her recollections and her travels. Memory and imagination are mixed in such a way that Kate leaves us, the readers, without a solid basis to separate reality from delusion. The focus of my research is the analysis of the paradoxal structure of this text that cannot sets up a fictional world in a concrete way. We cannot find a fictional world in which the narrator lives and so we cannot really know what happens or not happens to her. This effect exists mainly in a schizophrenic style which will be related to the reflections and observations made by the philosopher Ludwig Wittgenstein about the ―sicknesses of the understanding‖ – which according to professor of clinical psychology and writer Louis A. Sass, come close to the realm of schizophrenia. The aim of this research is to examine the imbrications respecting the fictional language of Markson‘s book and the extratextual reality. This will be done through a Wittgensteinian perspective of language as something absorbed in our form of life, and grounded in practices and mores shared by society. The analysis will show that even in a text in which that schizophrenic style prevails, which makes language close itself in the internal world of the character and the text, there is still the possibility to break with this textual solipsism and connect language to the intersubjective and communal sphere. This break can only occur through the presentation (or exteriorization) of experiences that depend on a trust in language as a social practice immersed in our form of life, and on the trust in the practice of telling stories.
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O meta-compositor na batalha da figuração : o caso do roubo do baralho e o jogo das voltas estranhas

Sousa, Cássio Vinícius Steiner de January 2016 (has links)
A presente dissertação tem dois objetivos. Em primeiro lugar, pretendemos armar um debate entre Russell e Wittgenstein tendo como questão mestra a relação entre lógica e linguagem. Em especial, procuramos encontrar elementos em The Philosophy of Logical Atomism e no Tractatus Logico-Philosophicus para reconstruir a resposta que consta em cada uma das obras para as questões: qual o estatuto lógico da linguagem corrente? Qual a função do lógico enquanto tal? Em segundo lugar, pretendemos apresentar um jogo de cartas – o jogo da Figuração – que desenvolvemos ao longo da pesquisa e funciona como uma ilustração do Tractatus. Em função do jogo será possível compreender algumas das principais teses da obra. Em especial, o papel da teoria da figuração e a distinção entre dizer e mostrar como pilares da explicação tractariana para a questão sobre o funcionamento lógico da linguagem. Além disso, com base na semelhança entre o nosso jogo da figuração e a explicação de Wittgenstein para o funcionamento lógico da linguagem, apresentaremos uma série de razões que justificam o fracasso do projeto de Wittgenstein. Por fim, defenderemos a tese segundo a qual o nosso pensamento funciona com base em uma série de padrões lógicos distintos e não apenas um único padrão lógico (tal qual defendido no Tractatus). / The present dissertation has two goals. In the first place, we intend to construct a debate between Russell and Wittgenstein having the relation between logic and language as our master question. In particular, we seek to find elements in The Philosophy of Logical Atomism and the Tractatus Logico-Philosophicus to reconstruct the answer in each of the works for the questions: what is the logical status of the current language? What is the role of the logician as such? Secondly, we intend to present a card game – the Picture game- that we developed throughout the research and functions as an illustration of the Tractatus. Based on the game we will be able to understand some of the main theses of the work. In particular, the role of picture theory and the distinction between saying and showing as pillars of the tractarian explanation for the question about the logical functioning of language. Moreover, on the basis of the similarity between our picture game and Wittgenstein's explanation for the logical functioning of language, we will present a number of reasons for the failure of Wittgenstein's project. Finally, we will defend the thesis that our thinking operates on the basis of a series of distinct logical patterns and not just a single logical pattern (as defended in the Tractatus).
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A lógica do Tractatus e o operador N : decidibilidade e capacidade expressiva

Ferreira, Rodrigo Sabadin January 2017 (has links)
O presente trabalho tem como objeto de estudo o primeiro e único livro publicado por Wittgensein, seu Tractatus Logico-Philosophicus. Nosso tópico consiste nas dificuldades envolvidas em uma de suas teses mais centrais: a tese segundo a qual toda e qualquer proposição pode ser expressa em termos da aplicação de um operador de verdade primitivo de negação conjunta a proposições elementares. Dentre os problemas exegéticos envolvidos com o aforismo 6 e seu lugar na lógica do Tractatus, nos interessa tratar de dois grupos de questões sucitados na literatura secundária. O primeiro diz respeito à capacidade expressiva da notação do Tractatus, isto é, se podemos expressar, como afirma Wittgenstein, através da forma geral [ p, , N( )], toda função de verdade de proposições elementares apenas com “aplicações sucessivas do operador N” (5.32). O segundo grupo de questões diz respeito à possibilidade de conciliar a tese de 6 e 5.32 com o famoso resultado de que não pode haver um procediemento de decisão para todo o cálculo de predicados. No primeiro capítulo argumentaremos que a lógica do Tractatus é, em princípio, capaz de expressar qualquer proposição do cálculo de predicados de primeira ordem que contém quantificação (simples e múltipla) como resultado de um número finito de aplicações sucessivas do operador N. Defenderemos essa posição com base em uma sugestão de complemento notacional de Peter Geach que será defendida a partir de uma leitura da noção de generalidade do Tractatus, levando em conta dificuldades sucitadas contra essa posição por alguns comentadores, especialmente Robert Fogelin. No segundo capítulo argumentaremos, em um primeiro momento, que apesar de Wittgenstein estar comprometido com a decidibilidade da lógica no Tractatus, a tese de 6 e 5.32 é independente do cálculo de predicados ser decidível ou não.Em um segundo momento será argumentado (seguindo ideias sugeridas por Roger White e Michael Potter) que é uma possibilidade bastante plausível que o compromisso de Wittgenstein com a decidibilidade da lógica se fundamenta nas seguintes teses tractarianas: a)A proposição mostra seu sentido. b) O sentido de uma proposição consiste em suas condições de verdade. c) A proposição descreve a realidade completamente. Assim, mostraremos que a tese tractariana de que deve haver um procedimento de decisão para toda lógica pode estar fundamentada na concepção tractariana da compreensão do sentido proposicional.

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