• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 7
  • 1
  • Tagged with
  • 15
  • 3
  • 3
  • 3
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
11

Les coopérations industrielles et commerciales franco-chinoises des années 1950 aux [sic] 1970 / The French-Sino industrial and commercial cooperations from the 1950s to the 1970s

Zhou, Lei 22 September 2018 (has links)
Dans le cadre des relations francochinoises durant la période maoïste (1949-1978), la coopération industrielle entre les deux pays peut être considérée comme une réussite remarquable. Pondérées à l'origine dans les années 1950, leurs relations économiques vont se développer principalement dans le domaine de l’industrie pendant la décennie suivante, pour arriver à leur apogée dans les années 1970, grâce à trois facteurs favorables : l'établissement des relations diplomatiques en 1964 qui offre l’opportunité non seulement de créer des liens stables indispensables aux futurs contacts économiques bilatéraux, les deux gouvernements jouant alors un rôle de coordinateur de cette coopération industrielle ; l’amélioration des relations sino-américaines et la politique de libéralisation du commerce estouest par Nixon, fournissent un terrain international propice au développement du commerce sino-occidental ; le plan économique du gouvernement chinois fondé sur l'importation de technologies et de matériels occidentaux -- notamment le « plan 43 » --, donne une base financière à la coopération industrielle avec la France. Les résultats de cette coopération sont considérables : développement manifeste du commerce sino-français de grande envergure ; des sociétés françaises tirent profit de l’ouverture du marché chinois pendant la période de la Révolution culturelle ; grâce aux projets de coopération mis en place, notamment ceux d'usines clé en main, la Chine accélère la modernisation de diverses industries, -- électriques, d’engrais, de fibres chimiques, de communication, etc. --, tout en maintenant ainsi l'équilibre de son développement économique. / In the framework of French-Sino relations during the Maoist period (1949-1978), the industrial cooperation between the two countries can be considered as a remarkable success. From a steady beginning in the 1950s, their economic relations principally developed in the industrial domain in the following decade, so as to reach their peak in the 1970s because of three favorable factors. Above all, the establishment of their diplomatic relations in 1964 offered the opportunity to create stable indispensable connections of bilateral economic contacts in the future, then the two governments also played a role as coordinators of this industrial cooperation. Besides, the improvement of Sino-American relations and the political liberalization of East-West commerce promoted by Nixon, provided a propitious international environment for the Sino-Occidental commercial development. Last but not the least, economic the plan of the Chinese government, based on the importation of Western technologies and materials, particularly the “43 plan”, provided a financial basis for the industrial cooperation with France.The results of this cooperation are considerable: Sino-French commerce obtained a large scale of obvious development; French companies benefiting from the economic openness of the Chinese market during the period of the Cultural Revolution; thanks to the implementation of these cooperation projects, particularly the “key-in-hand factories”, China accelerated the modernization of diverse industries in electricity, fertilizers, chemical fibers, communication, etc., -- while maintaining the balance of its economic development.
12

Une renaissance contrariée : la politique publique du cinéma au tournant de la Ve République (1956-1965) / An annoyed rebirth : the cinema public policy at the turn of the fifth French Republic (1956-1965)

Péton, Gaël 09 November 2018 (has links)
Cette recherche questionne les incidences du rattachement du secteur du cinéma au ministère des Affaires culturelles au moment de l'avènement de la Ve République. Elle s'efforce de décrire l'oscillation permanente de l'administration d'André Malraux en la matière, partagée entre le souci de répondre avec exigence aux enjeux liés à la qualité de la production cinématographique, le besoin d'accorder le cinéma à la mission de prestige national et la nécessité d'élaborer une politique consensuelle en mesure de satisfaire les diverses parties prenantes de l'action publique. Sans nul doute ce dernier aspect s'avère essentiel pour asseoir son autorité au regard de l'instabilité gouvernementale qui a perduré longuement avant 1959 mais également en raison des bouleversements économiques, techniques et professionnels provoqués par l'apparition de la Nouvelle Vague. Bien que le modèle d'intervention français soit pleinement reconnu à l'échelle européenne sur ces années, certaines de ses orientations sont pourtant critiquées au plan national par une partie de la critique et des jeunes réalisateurs appartenant aux Cahiers du cinéma. La diversité des longs métrages soutenus par le système des avances sur recettes ne concorde pas avec l'exclusivité de la novation esthétique telle qu'elle a pu exister au temps du jury de la prime à la qualité de 1956 à 1960. La sélection nationale envoyée au Festival de Cannes est également peu goûtée en ce sens. La crise de fréquentation des salles de cinéma, laquelle perdure sur toute la période, accentue davantage ces crispations. Forcé de soumettre aux autorités gouvernementales un projet de rationalisation de l'ensemble de la filière, le Centre national de la cinématographie est en passe de limiter les possibilités d'existence des producteurs les plus modestes. Alors qu'une profonde stabilisation est parvenue à inscrire durablement l'intervention de l'État dans le domaine du cinéma, André Malraux s'apprête pourtant, à l'aube de la deuxième moitié des années 1960, à faire face à une contestation sans précédent de son action. / This study examines the implications of the attachment of film industry to the Ministry of Culture at the beginning of the fifth French Republic. This thesis strives to describe permanents fluctuations of André Malraux's administration between the concern to answer with requirement to the challenges relating to the high quality of the cinematographic production, the need to match the cinema with reasons of national prestige and the necessity to develop a consensual policy able to satisfy miscellaneous stakeholders of the public action. There is no doubt that this last aspect turns out to be crucial for establishing his authority in relation to governmental instability which has continued before 1959 but also because of upheavals provoked by Nouvelle Vague appearance. Although the French intervention model is completely recognized on European scale on this years, some of its options are yet criticized on the national level by a part of critics and young directors close to the magazine Les Cahiers du cinéma. The diversity of full-length movies subsidized by De Gaulle's government doesn't tally with the exclusivity of aesthetic innovation as it existed between 1956 and 1960. The French selection sent at Festival of Cannes is also not much appreciated on this way. The crisis of attendance in the cinemas, which existed all over this period, emphasized more these tenseness. André Malraux is consequently confronted with unprecedented protest movement of his action at the dawn of the second half of the sixties.
13

Boquen, 1965-1976 : entre utopie et révolution dans le catholicisme français / Boquen, 1965-1976 : between utopia and revolution in French Catholicism

Lebel, Béatrice 17 December 2014 (has links)
Située dans les Côtes d’Armor, Boquen est en 1965 une abbaye cistercienne de la commune observance. En 1976, les Petites Sœurs de Bethléem s’y installent avec un objectif précis : y rétablir une vie monastique après la décennie mouvementée que vient de vivre Boquen. L’abbaye s’était en effet métamorphosée en un haut lieu de la contestation catholique en France, voire en symbole de cette contestation.Cette étude se propose d’analyser, sur un mode chronologique, les éléments qui ont concouru à transformer cette petite abbaye en caisse de résonance des attentes de milliers de chrétiens. Elle met ainsi en lumière l’importance du contexte socioreligieux des sixties et des seventies dans l’évolution de Boquen mais aussi le rôle majeur joué par Bernard Besret, le très charismatique prieur de Boquen puis leader de la Communion. Celui-ci a initié un projet communautaire original, la Communion de Boquen, qui allie monachisme, œcuménisme et esprit des sixties. Le 20 août 1969, Bernard Besret prononce une conférence retentissante qui entraine sa destitution. Dès lors, la sanction draine vers l’abbaye toute l’aile contestataire chrétienne qui va de la gauche à l’extrême gauche. A l’automne 1970, Boquen a pris le leadership des chrétiens en recherche. Les deux années qui suivent confirment son succès. Mais qu’est-ce que Boquen ? En 1973, le déclin s’amorce. Il est aggravé par le départ de Bernard Besret en octobre 1974. A l’automne 1976, cette expérience utopique dans les murs de Boquen s’achève avec l’expulsion de la Communion et de la communauté des résidents qui s’y était établie. / Boquen, located in “ Côtes d’Armor”, is in 1965 a Cistercian abbey of the common observance. In 1976, the Little Sisters of Bethleem settle there with the precise purpose of re-establishing monastic life after the agitated decade that has just come to an end at Boquen. For the abbey had indeed been turned into a prominent place of the catholic protest in France, if not its very symbol. This study proposes an analysis, in a chronological mode, of the elements that have contributed to the transforming of this small abbey into a sounding board for the expectations of thousands of Christians. It thus brings to light the importance played by the socio-religious context of the sixties and seventies upon the evolution of Boquen, and also the major role played by Bernard Besret, the very charismatic Prior of Boquen and later leader of the “Communion”. He initiated an original community project, the Communion of Boquen, which combined monasticism, ecumenism and spirit of the sixties. On August 20th 1969 Bernard Besret gives a resounding conference which brings about his dismissal. From that day, that sanction attracts to the abbey all the christian anti-establishment wing, ranging from left to far left. By the autumn of 1970 Boquen has taken the leadership of the Christians in spiritual quest. The next two years confirm its success. But what is Boquen? In 1973, it starts declining. Things get worse with Bernard Besret’s departure in October 1974. By the autumn of 1976, that utopic experiment within the walls of Boquen comes to an end with the expulsion of the Communion and of the community of residents who had settled there.
14

Gaullisme et gaullistes en Haute Normandie (1969-1992) / Gaullism and gaullists in Haute-Normandie (1969-1992)

Colmar, Matthieu 18 December 2018 (has links)
Nombreux ont été les travaux réalisés sur le gaullisme et les gaullistes ces dernières années. Outre les nombreuses études sur le général de Gaulle, ces travaux ont notamment concerné le parti se réclamant de celui qui a lancé l’appel du 18 juin 1940, ainsi que les idées qui composent ce courant de pensée. Il s’agit pour nous de nous intéresser à la période allant du départ du général du pouvoir le 27 avril 1969 jusqu’à l’année 1992, qui voit au niveau national le référendum de Maastricht diviser les gaullistes sur la question européenne et au niveau local l’élection à la tête de la région de Antoine Rufenacht, qui succède à un autre gaulliste, Roger Fossé. Ici, nous prenons un point de vue original puisqu’il s’agit de faire une étude territoriale d’un parti politique, en prenant comme objet d’étude une région, la Haute-Normandie. C’est pourquoi notre analyse se situe sur plusieurs échelles, du national au municipal, en passant par l’échelle régionale, départementale ainsi que celle de la circonscription et du canton. Ainsi, un des objectifs est de s’interroger sur la question de savoir s’il y a une certaine singularité du territoire normand par rapport à l’échelon national. Une étude des structures partisanes territoriales nous permet également de voir comment s’organise un parti politique au niveau local, et de constater ou non qu’il y a une indépendance possible par rapport à la structure nationale. Enfin, nous nous posons la question de savoir ce qu’il reste du gaullisme une génération après le départ de son inspirateur, à travers l’étude des références au général de Gaulle, au gaullisme lui-même, mais également en nous attachant à voir l’évolution des références aux idées qui fondent le gaullisme. De même, l’apparition d’un nouvel acteur dans la vie politique au milieu des années 1980, le Front national, oblige ceux qui se réclament du gaullisme à s’adapter à ce nouvel état de fait. Pour mener cette étude, au-delà des sources classiques que sont les articles de presse, nous utilisons des sources jamais utilisées jusqu’ici. Il s’agit premièrement des rapports des Renseignements Généraux qui permettent d’avoir des éléments pour définir ce qu’est la vie politique dans un parti politique au niveau local, mais également des archives privées et orales qui permettent de donner un regard neuf sur le parti gaulliste et sur ceux qui le compose. / Over the past few years, many works have been done on “French Gaullism” as well as on “partisan gaullists”. Besides the numerous studies on French Général de Gaulle, these works focused mostly on the political party which claimed the political ideas of the man who called to resistance with the “Appeal of 18 June”. What will be primarly explored in this work is the era which followed the Général’s resignation from power on the 27 april 1969, up to the year 1992, which saw, at a national level, the French Maastricht Treaty referendum divide gaullists on the European issue, as well as, at a local level, the election of Antoine Rufenacht as head of region, following another gaullist, Roger Fossé. Our approach here is therefore quite original as it is a territorial study of a political party, and it explores the regional example of Haute-Normandie. As a result, our analysis will combine different scales of observation, from national to municipal, as well as regional, local and district scales. Thus, one of our main goal is to question ourselves on the singularity of the Normandy region, compared to the national standard. A close examination of the regional adherent structures will allow us to illuminate the organisation of a local political party, and to evaluate the possible independence from the national structure. Finally, we will discuss the state of “French Gaullism”, one generation after the retirement of its leader, through the exploration of references to the Général de Gaulle, of the “gaullist” movement itself, as well as of the evolution of its fondamental principles. Furthermore, the emerging of a new french political actor in the mid-1980s, the far-right party “Front National”, forces those who refer as “gaullists” to adapt to this new political polarisation. In order to conduct this study beyond the usual sources, that is to say press articles, rare sources, that have never been used before, will be put under scrutiny. As a result, we will benefit from reports by the « Renseignements Généraux », which are decisive to clearly define what political life means inside a political party, at a local scale. Moreover, privates archives and oral files will allow us to provide a fresh look on the “gaullist” party and its members.
15

Histoire des syndicats de fonctionnaires et du mouvement social en Seine Maritime de 1944 à 1981 / History of Trade Unions of Civil Servants and the social movement in Seine-Maritime from 1944 to 1981

Miléo, Pierre 16 May 2019 (has links)
En 1944, le Conseil national de la Résistance décide de reconstruire un Etat social dans la continuité du Front populaire, avant que le second conflit ne l’interrompe. Les syndicats ouvriers réunifiés dans la CGT (sauf la CFTC) décident de soutenir ce programme. Les syndicats de fonctionnaires de Seine-Maritime s’organisent pour participer à cette reconstruction qu’ils attendaient. Quels sont leurs revendications ? Sur quoi s’appuient-ils pour les mettre en avant ? Quels sont les valeurs qu’ils défendent ? Attendent-ils tout de l’Etat social ? Quelle est leur conception de cet Etat social ? Enfin, quels moyens utilisent-ils pour le défendre et le faire progresser ? Obtenant la reconnaissance de leur liberté syndicale qui comprend le droit de grève, ils acceptent un statut qui se révèle fort protecteur vis-à-vis de l’administration et de sa hiérarchie. Ils obtiennent aussi la gestion de la Sécurité sociale par leurs mutuelles qui les entraînent, en Seine-Maritime, à construire une mutualité départementale unifiée et puissante. Toutefois, la division du monde en deux blocs, un libéral et un communiste, traverse ces syndicats et aboutit à la scission de 1947. Cela n’empêche pas la participation aux grèves de 1953 qui leur permet de sauver leur retraite. S’ils soutiennent le général de Gaulle (1890-1970) dans sa politique de décolonisation et contre les généraux factieux, ils l’affrontent sur sa politique institutionnelle, économique et sociale. La grève de 1968 en est l’aboutissement, par-delà les remises en cause. Mais pour rétablir l’Etat social qu’ils souhaitent, il leur faut soutenir les campagnes électorales de 1974 et 1981 du candidat de la gauche, François Mitterrand (1916-1996), qui l’emporte en 1981, en dépit de leurs divergences et grâce à la volonté unitaire de leurs militants. / In 1944, the National Council of Resistance decides to rebuild a welfare state, in continuation of the Popular Front, that the second World War stops it. The trade unions reunified, in CGT (except CFTC) decide to sustain this program. The trade unions of civil servants from Seine-Maritime organize themselves to take part in this rebuild that they waited for it. What are their demands ? On What do they lean themselves to put them before ? What are their values for which they fight? Do they wait all from the state ? What is their idea of this welfare state ? At least, what means do they use to fight for it and bring it to progress ? Getting the recognition of their freedom union laws, which includes right striking, they agree civil servant status which turn out very protective against their adminstration and its hierarchy. They get too the management of Health Security by their mutual insurances which lead them, in Seine-Maritme, to build a powerful departemental mutual insurance. However, the division of world in two blocks, one liberal and one communist, goes through these trade unions and leads to the break away of 1947 That does not prevent the participation to strikes of 1953 wich they are be able to save their retirement. If they sustain general De Gaulle in his decolonization policy and ag ainst seditious generals, they clash him on his institutional, économic and social policy. The strike of 1968 is the culmination of it, throuhgout adjournements. But in order to restore the welfare state that they hope, they must sustain lefts’ candidate, François Mitterrand, in their electoral compaigns of 1974 and 1981, who wins in this last year, in spite of their differences and thanks to the Will of unity of their activists.

Page generated in 0.0208 seconds