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Le patrimoine de proximité en contexte urbain comme nouvel espace d'identification collective : le cas de la rue Saint-Malo à Brest

Breton, Marie-Ève 02 1900 (has links) (PDF)
Cette recherche est une étude de cas qui a pour objectif de faire ressortir les logiques d'appropriation à l'origine de la mise en patrimoine de la rue Saint-Malo à Brest dont la singularité témoigne d'une modification en cours de l'espace de référence identitaire. Ces logiques d'appropriation constituent autant de stratégies d'identification grâce auxquelles une collectivité se fait jour dans le patrimoine. Pour ce faire, nous avons reconstitué, par l'intermédiaire d'une méthode historico-interprétative, cette patrimonialisation de la proximité que nous voulions comme objet d'étude afin d'interroger, sur le temps plus ou moins long de l'histoire de la rue Saint-Malo, les logiques d'appropriation à l'œuvre et ce faisant, de mettre en lumière la spécificité de la reconfiguration des rapports identitaires en lien avec leur contexte d'énonciation, confirmant par là même la particularité des identités qui s'inscrivent dans un temps et un espace spécifiques. L'étude de la rue Saint-Malo s'avère d'autant plus intéressante que le contexte dans lequel elle s'insère en fait un lieu unique en tant que plus vieille rue conservée de Brest; les identités qui y prennent forme sous-tendent des logiques d'appropriation singulières à l'échelle du territoire urbain parce qu'elles se réfèrent à un cadre bâti tout aussi singulier qui en facilite la lecture. C'est ainsi que nous soutenons l'hypothèse selon laquelle le patrimoine de proximité permet de lire la recomposition des identités collectives locales par l'intermédiaire des logiques d'appropriation qui contribuent à sa production. Cette étude, qui s'intéresse plus largement à la production des identités collectives locales en contexte urbain à travers l'analyse et l'interprétation de la patrimonialisation qui en permet le dévoilement, souhaite mettre l'accent sur les relations quotidiennes qu'entretiennent les collectivités locales avec leur cadre de vie et, plus spécifiquement, avec ce que nous qualifions de patrimoine de proximité, patrimoine qui a ceci de particulier qu'il met en scène des individus qui déterminent à l'échelle locale les représentations dont il est nécessaire d'assurer la protection. Face à la complexification croissante des interventions publiques rendues nécessaires par la multiplication des patrimoines et la diversité des représentations identitaires, cette perspective heuristique sur la production du patrimoine de proximité vise le développement de nouveaux outils de compréhension mieux adaptés à l'appréhension de ce qui fait la spécificité de ce patrimoine et ce, de manière à orienter de nouvelles interventions en matière de sauvegarde du patrimoine plus sensibles aux collectivités locales. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : patrimoine de proximité, identités collectives locales, logiques d'appropriation, patrimonialisation, local, cadre bâti, cadre de vie, rue Saint-Malo, Brest.
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Régénération et réhabilitation urbaine des centres historiques arabo-musulmans : le cas de Tripoli (Libye)

Duval, Damien 01 1900 (has links) (PDF)
Aujourd'hui, la tendance est à la réappropriation durable des centres historiques dans une optique culturelle, touristique et socio-économique. À travers l'exemple de la médina de Tripoli (Libye), ce mémoire propose une étude géographique de la médina, principalement axé sur sa réhabilitation et sa régénération économique. Depuis la fin de l'embargo en 1999 et son retour sur la scène internationale au cours de l'année 2007, la Libye s'est dotée d'un programme de développement économique sans précédent dont le fondement même repose sur une réorganisation structurale de son réseau urbain. En se dotant d'un nouveau plan régional troisième génération (2000-2025), Tripoli entendait revitaliser son centre au moyen d'une politique urbaine volontariste axée sur la recherche d'une nouvelle urbanité et ainsi (ré)affirmer son rayonnement à l'échelle régionale. Dans un contexte qui lui était jusqu'à aujourd'hui favorable, la réhabilitation de la médina de Tripoli constitue l'un des projets les plus emblématiques du moment, et ce, à court et moyen terme. Carte maitresse de la nouvelle armature urbaine du littoral tripolitain et de sa mise en valeur, ce projet d'envergure se veut être la pierre angulaire d'une mise en cohérence du tissu et des fonctions de la capitale libyenne. Aussi, nous aurons à cœur de démontrer que, dans le cadre de la planification urbaine de la capitale libyenne, la réhabilitation de la médina constitue un enjeu urbain durable tant au niveau de la perception que de l'utilisation de l'espace tripolitain. En ce sens, le quartier historique, jadis muséifié sans aucune logique d'intégration urbaine, est en passe de devenir la clé d'une cohérence à l'échelle de la métropole en se « reconnectant » aux autres centralités présentes au sein de Tripoli. Cette recherche entend ici comprendre les enjeux de ce processus et ses conséquences sur la centralité urbaine. En rupture avec les travaux post-indépendance des années 1960, ce fait nouveau a pour conséquence de mettre à l'épreuve la place du patrimoine dans la ville arabe de demain. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Tripoli, réhabilitation, régénération, centre historique, médina, centralité, patrimoine, développement.
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Les facteurs permettant la piétonnisation

Pawlas, Manon 12 1900 (has links) (PDF)
Mon mémoire de maîtrise porte sur les facteurs favorisants le processus de piétonnisation dans le contexte nord-américain. Plus précisément la question posée est : « Quels sont les facteurs qui ont permis au processus de piétonnisation de la rue Sainte-Catherine [à Montréal] de se concrétiser et qui n'étaient pas présents, ou étaient différents, dans le débat sur la piétonnisation de l'avenue Mont-Royal n'aboutissant à aucun consensus et réalisation? ». Je me suis penchée en particulier sur deux études de cas : d'une part la piétonnisation estivale de la rue Sainte-Catherine dans le secteur du Village, qui existe depuis 2008, et d'autre part, le projet de piétonnisation de l'avenue Mont-Royal, proposée par le regroupement citoyen « Mont-Royal Avenue Verte », en 2002. Ce second projet n'a pas vu le jour, mais a donné lieu à un vif débat très polarisé entre les porteurs du projet d'un côté et l'administration de l'époque et les commerçants de l'avenue Mont-Royal, opposés au projet, de l'autre côté. Afin de répondre à ma problématique, j'ai développé l'hypothèse qu'un leadership fort et structuré a été déterminant dans la mise sur pied effective ou non de la piétonnisation. J'ai ainsi soulevé trois questions: Qs1 - Existe-t-il un leadership fort pour mener (ou désamorcer) le projet? En d'autres mots, où se situe le pouvoir? Qs2 - Quelles sont les valeurs défendues par les principaux leaders menant à la mise en place ou au rejet du projet? Qs3 - Quelles sont les ressources à la disposition des acteurs expliquant la présence ou l'absence d’un leadership? Suite à la revue de littérature, à la revue de presse, ainsi qu'à mes rencontres avec différents membres des associations citoyennes, des associations de commerçants, des chercheurs ainsi que des représentants de l'administration et des figures politiques, j'ai été amenée à mettre en relief l'influence du rôle des acteurs et principalement de leur leadership, combinée à des moyens et des ressources différents, dans l'évolution des projets de piétonnisation. Ceci jouerait un rôle déterminant dans l'évolution d'un tel projet vers sa mise en place ou au contraire vers son désamorçage. Ainsi, le leadership que possède la Société des Commerçants (SDC) du Village a permis au projet de s'imposer suite à l'impulsion donnée par l'ancien maire de l'arrondissement Ville-Marie, Benoit Labonté, tandis que ce même leadership de la SDC de l'avenue Mont-Royal s'est exprimé par un refus catégorique de dialogue avec les tenants du projet, aboutissant à un résultat nul de ce point de vue pour les citoyens. Le regroupement de citoyens n'a pas réussi, malgré ses efforts, à convaincre même les commerçants du bien-fondé de leur action, ces derniers s'étant rangés derrière l'avis de la SDC. Finalement, dans les deux études de cas, la coalition SDC et arrondissement a créé un rapport de force dominant leur permettant d'imposer leur vision, à savoir dans un cas, la piétonnisation estivale de la rue et dans l'autre, le rejet du débat sur la question du réaménagement de l'avenue en faveur du piéton. Mon mémoire montre ainsi, suite à l'analyse de deux études de cas, l'importance du pouvoir des acteurs dans les prises de décision finale. Celle-ci semble peu liée au projet en tant que tel, à ses impacts, mais davantage à la localisation du leadership, dans notre cas celui des SDC, et aux valeurs et ressources dont elles disposent. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Piétonnisation, Mont-Royal, Sainte-Catherine, leadership, valeurs, ressources
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Le projet urbain vu comme un catalyseur identitaire : analyse de contributions récentes à la montréalité (1992-2003)

Prochazka, Alena January 2009 (has links) (PDF)
Cet ouvrage s'intéresse à l'importante question des tensions entre l'innovation et la continuité dans la conception du cadre bâti. La présente recherche porte sur la mise à jour de la singularité du paysage urbain montréalais (la « montréalité », Charney, 1980) par l'actualisation de référents dans les projets d'architectes et d'aménagistes. Une telle « régénération symbolique » (Létourneau, 2000) rejoint deux défis des villes contemporaines: éviter l'uniformisation d'un universalisme mimétique et promouvoir la place d'une ville et de sa spécificité parmi les réseaux de la globalisation. Un des leitmotivs de la production actuelle de l'architecture et de l'aménagement urbains est ainsi interpellé: comment concilier la volonté d'ancrage au contexte local et la réactualisation de la vision moderne? Nous proposons d'examiner le processus par lequel des projets urbains (d'architecture et d'aménagement) participent à la constitution de l'image identitaire de la ville, dans le cas de Montréal. Les études sur les paysages de représentation et l'imagerie identitaire urbaine se sont multipliées récemment (abordées sous divers angles par les Roncayolo, Corboz, Chassay, Morisset, Grignon, Mercier et autres). Mais le rôle des projets d'architecture et d'aménagement y reste inexploré, bien que le cadre bâti qui en est « issu » soit désigné producteur d'identité (Noppen, 1995). Constituée au terme de la reconnaissance par les critiques, la montréalité, attribuée à des caractères architecturaux et urbains, affleurerait en amont, dans les figures et les stratégies de la genèse des projets. L'idée de la montréalité serait alors le fait d'un cycle, depuis les projets jusqu'à leur reconnaissance. Selon cette hypothèse, notre recherche vise à analyser un corpus de cas d'espèce pour comprendre comment le projet d'architecture et d'aménagement urbains est investi de l'idée de montréalité et comment ce processus d'investissement est conçu, par son auteur puis par son « public », comme contribuant à l'affirmation et, éventuellement, aux mutations de cette idée de la montréalité. À l'instar de Ruskin, Sitte, Giovannoni ou Rossi, nous considérons le paysage urbain en tant que tissu continu de constructions et d'espaces où le bâtiment n'est pas un objet isolé, mais partie d'un tout signifiant. L'analyse du projet vise ainsi à contribuer à en démêler l'écheveau identitaire, puisque l'inscription du projet dans le cadre bâti est vue comme une constituante de l'identité urbaine. Notre cadre théorique, au coeur de l'histoire critique des idées en architecture et en aménagement, positionne les documents qui témoignent de la démarche du projet en corpus primaire: nous y retraçons les caractères idéels (idées-images, ElIul, 1984) de la montréalité en vertu d'un modèle systémique qui intègre les interrelations, dans le projet, entre l'origine des caractères de la montréalité (les référents) et leur usage (le recyclage et les mutations). Notre méthodologie s'appuie alors sur la critique génétique (de Biasi, 2000) : nous étudions ainsi dessins, maquettes et autres documents « génétiques » du projet, avant d'en confronter la montréalité à celle de la fortune critique, cette fois par une analyse foucaldienne du discours et des formes. Le portrait global qui en résulte trace l'herméneutique de projets primés ou reconnus pour leur montréalité, depuis 1992, c'est-à-dire depuis que le 350e anniversaire de fondation de Montréal a propulsé l'idée de la montréalité à l'avant-plan de la scène culturelle. En comprenant la participation de la genèse du projet d'architecture et d'aménagement à l'idée de la montréalité (reconnue a posteriori d'un projet ou conçue comme image globale de la ville), notre recherche contribue à l'avancement des approches en histoire de la forme urbaine en intégrant un nouveau corpus aux représentations analysées. Motivée par l'effervescence récente de la recherche propre aux champs architectural et de design urbain, notre thèse participe au développement de nouveaux créneaux de recherche résolument disciplinaires en évaluant les modalités de la critique génétique pour l'analyse de la sérniogenèse du projet. Elle participe aussi aux connaissances sur le « patrimoine urbain récent » de Montréal en enrichissant sa compréhension et en diversifiant les approches et les outils de son analyse. En effet, savoir dépister, dans un esprit ouvert au changement, la teneur de la contribution de projets actuels à la spécificité et à l'identité du bâti amène à considérer le respect du patrimoine non plus comme une contrainte formelle, mais comme un intrant de l'avenir. Notre recherche fait ressortir quatre déclinaisons d'un nouveau paradigme de l'identité urbaine de Montréal, qui permettent d'établir une nomenclature des tendances, dans le paysage bâti montréalais, de l'appropriation locale des précédents issus de la culture architecturale globalisée. À l'enseigne de l'hybridation entre néomodernité (universaliste) et urbanité (culturaliste) -l'une sensible aux nouvelles technologies et à la conscience du durable, l'autre sensible au contexte local -, nous dévoilons l'émergence d'un paradigme hybride que nous nommons la contextualité critique. Créant une identité territoriale revisitée, les architectes et les aménagistes soucieux de s'inscrire dans la continuité des imageries identitaires qui matérialisent dans le cadre bâti la personnalité de Montréal exercent ainsi leur capacité d'innover. Attentives aux « idées-images » en chantier, nos futures recherches viseront à approfondir, dans une visée prospective, les tenants et aboutissants des quatre thèmes qui annoncent la régénération symbolique du cadre bâti montréalais. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Identité urbaine, Montréal, Histoire critique, Forme urbaine, Architecture et aménagement contemporains, Analyse génétique du projet, Méthodes du projet urbain architectural et d'aménagement, Paradigmes émergents.
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Les politiques de conservation du patrimoine urbain comme outils de gestion du risque sismique. Trois exemples en Italie : Noto, Assise, Gémone.

Le Blanc, Antoine 17 November 2006 (has links) (PDF)
Le patrimoine architectural urbain exceptionnel des petites villes italiennes de Noto (Sicile), d'Assise (Ombrie), et de Gémone (Frioul), est soumis à un risque sismique majeur : la probabilité d'occurrence d'un tremblement de terre est forte, et la vulnérabilité des territoires est très grande. Toutefois, les politiques de conservation du patrimoine peuvent constituer des instruments efficaces de gestion du risque. Pour cela, il est essentiel que les communes définissent des priorités de gestion, en prenant en compte différentes échelles spatiales et temporelles, dans le cadre de politiques urbaines sélectives. La comparaison de trois communes permet de mettre en relief les similitudes et les contrastes entre les choix et les résultats de politiques urbaines différentes menées dans des contextes comparables.
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L'intégration de l'agriculture urbaine à l'architecture pour la réalisation d'une ville viable

Rafiei, Fatemeh 12 1900 (has links) (PDF)
La présente étude est une « recherche exploratoire » qui a utilisé des approches qualitatives et quantitatives dont le but était d'indiquer comment le développement de l'agriculture urbaine peut améliorer la qualité de vie en milieu urbain. Pour atteindre ce but, l'accent a été mis sur les trois grands avantages de l'agriculture urbaine : la réduction de la pauvreté urbaine, l'amélioration de la santé publique, et celle de la relation de l'homme à la nature. Cependant, l'agriculture urbaine en tant qu'approche multidimensionnelle, possède plusieurs autres avantages, non étudiés dans cette étude, pour être en mesure de traiter correctement les trois objectifs précités. Dans ce projet, la question de recherche est la suivante : « Comment l'intégration de l'agriculture urbaine et de l'architecture peuvent créer une ville plus viable? ». La recherche est structurée par « l'étude de cas et l'étude échantillonnage », qui nous aide à découvrir la problématique et nous permet de répondre à notre question de recherche. Dans ce cadre, le quartier de Parc-Extension a été choisi comme site du projet pour découvrir les méthodes pratiques et les approches de « l'intégration de l'agriculture dans les zones résidentielles montréalaises ». Différentes méthodes pour recueillir et analyser les données, comme « l'observation directe » et le « sondage » du quartier ont été mises en place, pour mieux traiter la problématique. Plus loin, l'état actuel des zones résidentielles a été présenté à travers l'analyse démographique et l'analyse du cadre bâti. Une étude d'ensoleillement, réalisée dans le cadre de l'étude d'échantillonnage, a été également présentée, ce qui a permis de distinguer les opportunités de développement de l'agriculture urbaine. Il est à noter que le concept de la ville viable, fondamental dans ce projet, a été précisé progressivement. Le rôle clé de l'agriculture urbaine dans la concrétisation de cette notion a été également décrit. Par ailleurs, le concept d'architecture verte, comme outil principal d'intervention a été introduit en montrant des exemples de projets qui améliorent les activités agricoles dans l'environnement bâti. Le dernier chapitre de ce mémoire est constitué surtout par les approches finales et les propositions, pour le quartier urbain étudié. Toutes ces approches ont été analysées pour aider à comprendre les faiblesses et les avantages de chaque méthode. Un système d'évaluation a été ensuite défini pour aider à estimer si la durabilité a augmenté dans Parc-Extension. Pour ce faire, quelques indicateurs pour mesurer le développement durable ont été définis. Grâce à ce système, les trois objectifs mentionnés ci-dessus ont été réalisés, approximativement, par les différentes approches. Cependant la mesure de certaines de ces indicateurs se révèle difficile car ils ne sont pas quantitatifs. Pour finir, cette recherche a démontré que les trois dimensions du développement durable pourraient être améliorées par la réalisation de ces objectifs. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : agriculture urbaine, ville vivable, développement durable, sécurité alimentaire, pauvreté urbaine, architecture verte, toits verts, aménagement urbain durable.
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L'habitat informel en Syrie : le cas de Damas / Informal settlements in Syria : the case of Damascus

Kafa, Main 16 December 2013 (has links)
L'étude du cas de la capitale Syrienne permet de mesurer l'étendue du problème que pose la prévalence de l'habitat non réglementé dans les villes du Moyen-Orient et tout particulièrement en Syrie. L'analyse historique de l'évolution de la structure urbaine de Damas depuis le début du XXème siècle illustre le rôle des politiques de développement urbain, de planification et de résorption de l'habitat informel dans son cheminement jusqu'à une structure actuelle où l'informalité joue encore un rôle prépondérant et nullement décroissant. Elle constitue un obstacle essentiel à l'accès aux services urbains de base non seulement des plus pauvres, mais aussi d'autres fractions de la population. Une observation attentive du phénomène dans les périphériques damascènes permet de dresser un état des lieux de l'habitat non réglementé qui forme une couronne presque ininterrompue de quartiers autour de la zone centrale de l'agglomération damascène. Des enquêtes menées auprès des échantillons significatifs ont permis d'interroger et d'analyser la manière dont les acteurs intègrent dans leur logique d'action et dans la mise en oeuvre des projets, la notion de développement urbain durable.Toutefois, l'évolution de la crise depuis 2011 et la destruction massive de quartiers entiers, réguliers et informels, transforment complètement les enjeux urbains à venir. La reconstruction des villes syriennes, et de Damas en premier lieu, sera un énorme chantier qui reposera assurément en des termes différents la question du sort des quartiers informels, détruits ou non détruits. / The case study of Damascus, the Syrian Capital, to evaluate the extent of the problem caused by the prevalence of informal settlements in the cities in the Middle-East and particularly in Syria. The historical analysis of the urban structure evolution of Damascus earlier in the twentieth century illustrates the methods of urban development and its policies. New urban planning policies and roles that set up in Damascus have failed to decrease the informal settlement, yet it helps to increase it.Careful observation of Damascene marginal areas shows clearly this phenomenon. Many informal settlements formed unbroken belt of neighborhoods around the central area of the Damascus and connected to its suburbs. Investigations of representative samples were used to examine and analyze how actors fit and act in the implementation of the urban projects toward the durable urban development conception. .However, the evolution of the crisis since 2011 and the massive destruction of entire regular and informal settlements, completely transform the urban challenges ahead. Reconstruction of Syrian cities, Damascus in the first place will be a huge project that undoubtedly will pose in different terms the question of the fate of informal settlements, destroyed or not destroyed.
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Politiques de réhabilitation des quartiers non réglementaires au Maroc et mobilisation(s) des habitants : études de cas dans l'agglomération de Rabat (Rabat, Témara, Skhirat). / Policies to rehabilate non-regulatory areas in Marocco and mobilizing people : case studies in the area of Rabat (Rabat-Témara-Skhirat).

Essahel, Habiba 03 December 2011 (has links)
Sur la base d'enquêtes de terrain menées entre 2003 et 2007, cette thèse interroge les rapports entre le pouvoir local et les habitants « ordinaires » de quartiers non réglementaires – dont la plupart sont des bidonvilles – situés à Rabat et dans sa périphérie méridionale (Témara et Skhirat). Au-delà de leur diversité (de localisation, de genèse, morphologique, de taille, économique et sociale, etc.), les quartiers que nous avons choisis ont tous été l'objet, anciennement ou plus récemment, de politiques publiques visant à leur restructuration ou à leur réhabilitation ; et toutes envisagent, d'une manière ou d'une autre, un déménagement et un relogement de leurs habitants. C'est donc à l'analyse des réactions de ces populations envers ces politiques que notre thèse est consacrée, étant entendu que, au-delà des réactions individuelles, on observe rapidement l'émergence de réactions collectives. Celles-ci sont susceptibles de favoriser soit l'activation de formes ou structures d'organisations préexistantes (j'maâ), soit l'émergence de formes organisationnelles nouvelles, telles que les associations de quartiers. / Based on filed surveys conducted between 2003 and 2007, this thesis examines the relationship between local government and “ordinary” residents in non-regulatory areas – most of which are slums – located in Rabat and its southern periphery (Témara and Skhirat). Beyond their diversity (location, genes, morphology, size, economic, social, etc.) the areas we chose have all been the previous or recent object of public policy in terms of their restructuring or rehabilitation and are all considering, in one way or another, moving and relocating their inhabitants. The purpose of this thesis is therefore devoted to analyzing the reactions of these populations to these policies, understanding that beyond the individual relations, we observe the rapid emergence of a collective response. There are likely to favor either the activation of shapes or structures of existing organizations (j’maâ) or the emergence of new organizational forms, such as neighborhood associations. The posture of our research is to consider that the residents of these neighborhoods, usually stigmatized or considered minor by both government officials and administrative officials acting locally or by the “ethnic” citizens, are not passive agents of the decisions being made concerning their habitat and their lif0estyle, but they are quite able to express their varied “skills” including their ability to mobilize, to take industrial action and to negotiate with authorities.
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Construction et déconstruction du patrimoine foncier et immobilier de l'Etat dans la ville de Kananga en République démocratique du Congo, de 1885 à 2011

Mulamba Ngandu, Roger 13 June 2017 (has links)
La fondation de la Ville de Kananga tire ses origines de “Pogge station”, petit poste d’attache des Allemands au Kasaï installé par l’explorateur Paul Pogge en 1881, au bord du village de Kalamba Mukenge-A-Tunsele. Entre 1885 et 1965, l’Etat Congolais s’était constitué un patrimoine foncier et immobilier dans la ville de Kananga. Mais depuis l’avènement de la deuxième République, ce patrimoine a été rapidement déconstruit au point qu’il n’en reste plus grand-chose aujourd’hui. C’est ce processus qui nous a paru interessant de retracer en vue de mieux comprendre la situation actuelle. Ce patrimoine s’était construit progressivement à partir des années 1928 jusqu’à 1958, car après cette date la ville de Kananga entra dans une période la plus sombre de son histoire avec le conflit sanglant qui éclate entre 1959-1960 et oppose les Beena-Luluwa aux Baluba (Luba-Lubilanji). Ce patrimoine est l’héritage de la colonisation belge. Après l’indépendance du Congo proclammée le 30 juin en 1960, ce patrimoine s’était agrandit par les biens obtenus de la dissolution de certaines societés paraétatiques laissées par le colonisateur et par les biens construits et d’autres achetés par l’Etat Congolais. Ce patrimoine s’était agrandit aussi par les biens obtenus par l’effet de la loi sur les biens abandonnés et sans maître. Dans ce dernier cadre, ce sont les biens des étrangers qui furent viser à l’entrer en vigueur de la politique de la zaïrianisation de 1973. En conséquence, ce patrimoine de l’Etat congolais connait une déconstruction rapide quelques années après l’indépendance, due en partie au manque d’entretiens, aux ventes et cessions diverses de la part des autorités politico-administratives congolaises, nonobstant les mécanismes de gestion et de protection de ce domaine, qui déclarent que les biens de ce domaine sont inaliénables et imprescriptibles. Inaliénables, parce que ces biens ne peuvent pas faire l’objet des conventions, sauf dans le cas de l’intérêt général. Imprescriptibles, parce que ces biens ne peuvent pas être acquis par les particuliers même s’ils les utilisent pendant autant d’années. Ce patrimoine connait en outre une déconstruction suite à la privatisation des biens confisqués aux étrangers. Cette déconstruction du patrimoine foncier et immobilier de l’Etat a commencée sous le régime du Maréchal Mobutu Sese Seko (1965-1997), s’est prolongée sous Laurent Désiré Kabila (1997-2001) et s’est amplifiée sous Joseph Kabila (2001 à nos jours). Il sied de noter, que beaucoup de documents relatifs à la cession des immeubles et terrains de l’Etat sont des faux. IL s’agit notamment des actes de vente antidatés, des autorisations d’achats frauduleuses, des faux actes notariés les signatures étant soit imitées soit scannées. Il a été relevé par ailleurs, que certains jugements sont rendus avec une certaine complaisance. Pour ce faire, plusieurs stratagèmes sont de mise: les dates d’audiences ne sont pas signifiées à l’Etat propriétaire ou le sont tardivement avec comme conséquence, le déroulement des audiences sans que les avocats de la République ne comparaissent, ou dans certains cas, le retrait du mandat des avocats de la République ou encore, les avocats de la République qui acquièrent avec complaisance les prétentions des particuliers. Ainsi, les juges condamnent la République par défaut en faisant valoir le certificat d’enregistrement ou l’acte de cession faux, soit-il, que le particulier lui présente sans verifier l’authenticité, ni s’appesantir sur l’histoire du certificat, le mode et la régularité du transfert de propriété. Ces jugements prononcés contre toute rationalité et toute légalité, font souvent que l’Etat propriétaire soit débouté au motif qu’il n’a pas de certificat d’enregistrement, face au particulier qui en détient un. Or, aux termes des articles 208 à 215 du Code foncier “l’Etat Congolais est propriétaire exclusif de tous les immeubles et terrains affectés à un usage ou à un service public et ceux de son domaine privé”. De ce qui précède, il en résulte que l’Etat congolais n’a pas besoin pour faire valoir ses droits de se justifier d’un certificat d’enregistrement. Cette déconstruction n’a profité qu’aux individus au détriment de l’Etat et a engendré des conséquences multiformes sur le plan socio-économique dans la ville de Kananga. Par contre, l’Etat Congolais observe passivement la déconstruction de son domaine, car toutes les mesures prises par le passé et annoncées avec fracas par l’Etat congolais, sont restées au niveau des simples déclarations d’intentions et n’ont eu aucun effet palpable. Nous citons à titre d’exemple: les décisions prises par la Conférence nationale souveraine en 1994, celles prises par l’Office des biens mal acquis en 1997 et enfin, celles de la Commission de récupération des immeubles et terrains de l’Etat en 2007. L’Analyse et la prise en compte de tous les élements développés supra, prouvent que l’impréparation des Congolais à la gestion de la République et l’indépendance précipitée sont les principales causes de la déconstruction du patrimoine foncier et immobilier de l’Etat en République démocratique du Congo en général et dans la ville de Kananga en particulier. / Doctorat en Histoire, histoire de l'art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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La transformation moderne de Bruxelles: Processus d’agencement de l’espace urbain bruxellois entre 1949 et 1979

Leloutre, Gery 15 June 2020 (has links) (PDF)
La thèse s’emploie à retracer le système complexe de cristallisation des idées autour desquelles se sont montées les opérations urbanistiques et architecturales qui transformèrent le paysage Bruxellois dans l’après-guerre, une transformation qui s’est faite en absence de système formel de planification. Cette absence, combinée à la mise en œuvre d’importants travaux d’infrastructures ferroviaire et routière dans un contexte de boom immobilier, a forgé une perception générale de cette période comme erratique, destructrice et prédatrice.La recherche s’inscrit dans une volonté générale de reconsidération des effets de la transformation Moderne de Bruxelles dans ce qu’ils représentent dans la structure actuelle de l’agglomération (héritage « tangible ») et dans ce qu’ils révèlent des pratiques de conception et de construction de la ville (héritage disciplinaire), se fondant sur un travail de description des formes urbains héritées et de ses conditions d’émergence.Décrire la transformation nécessite avant tout —c’est la première partie de la thèse— de disséquer —pour s’en écarter— le discours sous-jacent à la l’historiographie bruxelloise, dominée par le concept de « bruxellisation », soit le saccage patrimonial et social d’une ville, dans une collusion entre mondes politique et immobilier, en absence de toute publicité ou concertation. A Bruxelles, le rejet de cette période s’allie à une nostalgie de l’art urbain des tracés, dans un ostracisme caractérisé de l’urbanisme Moderne. Dans ce contexte, la recherche propose d’adopter le regard porté par des chercheurs qui depuis une vingtaine d’année, aborde la forme urbaine non plus via l’histoire de la ville mais celle de l’urbanisation.L’hypothèse de recherche est que la transformation moderne de Bruxelles s’opère d’une manière opportuniste, certes, mais bien plus stratégique que ce qui a été considéré jusqu’ici, où acteurs du développement urbain et concepteurs partagent des idées communes quant au futur de la ville, se réunissent autour de questions urbaines bien définies, et construisent des alliances objectives pour réformer progressivement, mais en profondeur et dans son ensemble, le paysage de la capitale. Si la période de transformation Moderne est spécifique par l’ampleur de son impact sur la structure urbaine, dans le contexte modernisation générale du territoire belge et de la distribution spatiale de cet appareil productif, elle illustre par contre une continuité en matière de pratiques d’aménagement, via des instruments de planification éprouvés, bien ancrés dans une culture spécifique belge de fabrication de la ville, qui amène à s’intéresser tout particulièrement au travail des administrateurs territoriaux, et des concepteurs qui les conseillent.La seconde partie de la thèse s’emploie dans ce cadre à démontrer les concordances de vue entre les différentes administrations compétentes pour le dessin du territoire bruxellois, en observant l’action des deux niveaux de pouvoir alors en présence. D’une part, les communes, qui travaillent, de manière singulière mais coordonnée, pour maîtriser la forme urbaine de l’agglomération en développement. D’autre part, l’Administration Nationale de l’Urbanisme, dont l’existence correspond à la période de la transformation Moderne qui développe une réflexion approfondie sur le positionnement et la gestion de la croissance des villes principales sur le territoire belge et se lance, dès sa création en 1945, dans une tentative de coordonner les mutations de Bruxelles. Cet exercice fait l’objet d’un chapitre particulier, consacré à l’expérience singulière, menée par l’Administration de l’Urbanisme et le bureau d’études du Groupe Alpha, de l’esquisse d’un plan à l’échelle de l’agglomération, resté officieux, mais qui se révèle finalement un miroir fidèle des politiques et opérations en cours.L’analyse du travail des administrations fait apparaître une forme de scénario zéro pour l’époque, soit un futur vraisemblable et potentiel du territoire bruxellois de l’après-guerre. La description de ce scénario zéro constitue la troisième et dernière partie de la thèse.Cette description est structurée à partir de la construction et l’analyse de deux figures spatiales qui correspondent autant à une lecture contemporaine de la ville qu’aux idées sous-jacentes aux exercices de planification de l’agglomération bruxelloise dans l’après-guerre. Ces figures rassemblent une constellation d’éléments hétéroclites, des opérations architecturales, infrastructurelles, des plans urbanistiques, des publications, des discours, éléments dont l’agencement révèlent leurs relations, les débats qu’ils génèrent et les idées qui les animent par rapport à la construction d’une métropole capitale moderne. Elles démontrent le consensus autour des modes de fabrication de la ville, les idées partagées relatives à une forme urbaine aérée, verte et fluide, la volonté commune d’adapter l’espace urbain à la mobilité et à l’économie de la Modernité, et à la fois le profond dissensus opérationnel entre ces mêmes acteurs, montrant ainsi toutes les limites d’un système de gestion du territoire dépourvu de coordination générale et de leviers publics de grande échelle, qui ne pourra que générer des réalisations certainement en partie aujourd’hui signifiantes, mais toujours très parcellaires. / Doctorat en Art de bâtir et urbanisme (Architecture) / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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