• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 24
  • 23
  • 11
  • 10
  • 5
  • 4
  • 4
  • 4
  • 4
  • 4
  • 4
  • 3
  • 2
  • 1
  • 1
  • Tagged with
  • 96
  • 79
  • 29
  • 26
  • 13
  • 12
  • 11
  • 11
  • 11
  • 9
  • 9
  • 8
  • 8
  • 7
  • 7
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
61

»All material whose essence is not purely musical has no longer any place in a new work.« Zur Verwendung der Glossolalien in den Vokalwerken von Edgard Varèse im Spiegel der Theatertheorie von Antonin Artaud

Jostkleigrewe, Anne 03 September 2020 (has links)
No description available.
62

Théâtre de la cruauté et langages de la folie chez Artaud et Gauvreau : de la psychopathologie à la création

Le Roux, Delphine January 1999 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
63

Glossolalie, traduction et dissonance : l'écriture hors-la-loi d'Antonin Artaud

Bradette, Marie-Eve 08 1900 (has links)
Dans nombre de ses œuvres, Antonin Artaud n’a eu de cesse de formuler les termes de ce que serait une poésie anarchique, une forme langagière qui permettrait d’abolir la distance entre les mots et les choses, et à laquelle sa poésie aspire sans toutefois parvenir à une telle réalisation. Devant le constat que l’anarchie décrite par Artaud ne peut rendre compte de ce qui se réalise véritablement dans son écriture, ce mémoire pose les questions suivantes : que fait donc la poésie d’Artaud? Existe-t-il une figure qui est à même de rendre compte des modalités d’écriture qui sont à l’œuvre dans les différents textes du poète français? À ces interrogations, la figure du hors-la-loi m’est apparue des plus pertinentes dans la mesure où elle offrait tout un espace à la réflexion et à la conceptualisation. À partir de cette figure, ce mémoire formule donc l’hypothèse que ce qui se joue dans la textualité d’Antonin Artaud est une poétique hors-la-Loi, c’est-à-dire une manière de subvertir, par l’usage de différents procédés littéraires, la Loi. En d’autres termes, la poétique hors-la-Loi produit des effets de dissonance au sein du Symbolique. Pour consolider cette hypothèse, je propose deux axes de réflexion étayés à partir de l’analyse des procédés d’écriture traductologique et glossolalique d’Artaud. Dans un premier temps, la subversion est entrevue à partir des notions d’espace et de territoire. Par la suite, j’étudie la subversion dans son rapport à la temporalité. / In a number of his writings, Antonin Artaud formulated, repeatedly, the terms of what might be considered an anarchic poetry, a form of language that would allow the abolition of distance between words and things, which is what he ultimately hopes to achieve through his writings. However, Artaud was never able to achieve this sense of literary anarchy. Therefore, since the concept of anarchy put forth by Artaud cannot fully explain what is really at work in his writings, this thesis raises the following questions: What does Artaud’s poetry ultimately achieve? Is there a figure which can illustrate the writing modalities at work in the French poet’s various texts? The figure of the outlaw is relevant in this case because it opens up the realm of reflection and conceptualisation. With the figure of the outlaw as the main starting point, this thesis formulates the hypothesis that what is played out in Antonin Artaud’s textuality is an outlaw poetic – a subversion of the Law through the use of different literary devices. In other terms, the outlaw poetic produces dissonant effects within the Symbolic. In order to reinforce this hypothesis, I shall work on two different axes of reflection which were brought forth through the analysis of Artaud’s traductologic and glossolalic literary devices. Subversion will first be seen through the notions of space and territory, and it will then be studied in its relation to temporality.
64

Gilles Deleuze et Antonin Artaud : L'impossibilité de penser / Gilles Deleuze and Antonin Artaud : Impossibility of thinking

Bouillon, Anne 19 January 2013 (has links)
Au sein de la pensée de Deleuze, la poésie d'Antonin Artaud apparaît comme la ligne de fuite par excellence à partir de laquelle tout le foisonnement conceptuel deleuzien s'articule. Artaud est en effet celui qui brise l'image de la pensée – ou ce que nous voulons dire habituellement par " penser " en philosophie – en refusant son innéité et son universalité, c'est-à-dire la cogitatio natura universalis. Car pour Artaud comme pour Deleuze, le plus souvent, la pensée s'affronte à son problème véritable, qui est son impouvoir ou son impossibilité. Ainsi, la première partie de la thèse s'attaque à la compréhension de la destitution de l'image de la pensée dans Différence et répétition de Deleuze, à partir de l'idée de " génital inné " d'Artaud dans la Correspondance avec Jacques Rivière. Si l'image de la pensée ne dit rien du processus de penser, de quelle logique sommes-nous capables ? Au travers de la découverte de la logique paradoxale déployée dans les paradoxes de Logique du sens de Deleuze, il s'agira de penser le rapprochement entre Artaud et Nietzsche. L'axe principal de cette partie est la critique du jugement menée par Artaud. Enfin, jeté dans les paradoxes de la vie, la troisième partie envisage le grand impensé de la philosophie qu'est le corps : en effet, de quel corps sommes-nous capables ? L'enjeu, de l'impossibilité de penser à la question du corps - rapprochant L'Ethique de Spinoza du corps sans organes d'Artaud - est bien de renouer la pensée avec la vie, selon le projet du Gai savoir de Nietzsche et qu'Artaud ne cesse de reformuler dès ses premiers écrits. L'impossibilité de penser dit non seulement la séparation d'avec la vie, mais aussi l'impensable qu'est le corps : en effet, que dire de notre propre corps, tel que nous le vivons ? Dans quelle mesure la création de concepts en rhizome dans Mille Plateaux de Deleuze et Guattari explore-t-elle le corps sans organes d'Artaud, ce corps vécu qui reste encore mystérieux pour la pensée ? Artaud souhaitait qu'on l'aime non pas pour son œuvre mais pour sa vie, témoignant d'une grande santé contre un monde malade : l'horizon de l'impossibilité de penser est alors la pensée blessée et profonde assumant la vie elle-même dans toute son opacité. / In the thought of Deleuze, the poetry of Antonin Artaud seems like the line of convergence par excellence from which all the Deleuzian proliferation of concepts are developed. Indeed, Artaud is the person who shatters the image of thought – or what we usually mean by " thinking " in philosophy – rejecting its innateness and universality, in other words, the cogitatio natura universalis. Because, for both Artaud and Deleuze, thought is most often confronted by its real problem – its powerlessness or its impossibility. So the first part of the thesis deals with understanding the dismissal of the image of thought in Deleuze's Difference and Repetition, from Artaud's notion of " génital inné " [innate sexuality] in the Correspondence with Jacques Rivière. If the image of thought says nothing about the process of thinking, of what logic are we capable ? Through the discovery of the paradoxical logic deployed in the paradoxes in Deleuze's Logic of Sense, it is a matter of thinking about the connection between Artaud and Nietzsche. The main thrust of this section is a critique of the judgement made by Artaud. Lastly, thrown into the paradoxes of life, the third part considers the great non thought of philosophy, that is the body : indeed, of what body are we capable ? The challenge, the impossibility of thinking about the question of the body - comparing Spinoza's Ethics and Artaud's body without organs - is to reconnect thought with life, in accordance with the intention of Neitzsche's Gai saber [The Gay Science] and that Artaud did not cease to revise from his earliest writings. The impossibility of thought implies not only a separation from life, but also the unthinkable that is the body: indeed, does this mean talk of our own body as we experience it ? To what extent does the creation of a rhizome of concepts in A Thousand Plateaux by Deleuze and Guattari explore Artaud's body without organs, the body experienced that still remains mysterious for thought ? Artaud hoped that he would be loved not for his work, but for his life, testifying to a great health against a sick world: the prospect of the impossibility of thinking is then thought wounded and profound, taking on a life of its own in all its opacity.
65

Antonin Proust (1832-1905), député, ministre et défenseur des arts / Antonin Proust, member of parliament, minister of fine arts, protector and defender of arts

Vautrin, Bruno 25 September 2017 (has links)
Antonin Proust (1832-1905), homme politique, ami des artistes, historien, critique et salonnier, joua un rôle politique et culturel important. La vie de ce républicain libéral est un plaidoyer pour la défense des arts au service de la République. Il lie étroitement structure économique et institutions artistiques soutenant sans cesse les arts utiles. Son but est économique : former des artistes au service de l’industrie. Il crée des écoles d’art et favorise l’introduction du dessin dans les programmes scolaires. Rapporteur du budget, il soutient la protection et le développement des arts. La réunification des arts qu’il prône aboutit à la création du ministère des Arts. Protecteur des arts, il participe à la fondation des musées de sculpture comparée et des arts décoratifs et crée l’école du Louvre pour former des conservateurs. Achetant pour l’État les œuvres de Millet, Courbet et Manet, il promeut des artistes insoumis à l’Académie et s’affirme comme le promoteur d’œuvres polémiques. Organisant des expositions à la gloire de Courbet ou Manet, il prône l’audace, l’individualité, la liberté, le naturalisme. Véritable propagande artistique, industrielle et politique, l’Exposition universelle de 1889 qu’il organise concrétise ses ambitions, il y rassemble beaux-arts et arts industriels. L’art nouveau y prend racine et rayonnera en 1900. Ses succès n’ont pas permis à Proust d’entrer dans l’histoire, mais son action a porté ses fruits dans la pérennité des structures dont il a défendu la création ou dans l’explosion des arts décoratifs et du marché de l’art. / Antonin Proust (1832-1905), political figure, friend of the artists, historian, critic and salonnier, played an important political and cultural part. The life of this liberal republican is a plea for the protection of arts in the service of the Republic. He connects economic structure with artistic institutions and constantly advocates the useful arts. His aim is economic: to train artists in the service of the industry. He creates art schools and encourages the introduction of design at school. As budget rapporteur, he supports the protection and the development of arts. The unification of the arts which he advocates results in the creation of the ministry of the Arts. Advocate of the heritage, he takes part in the foundations of the Musée de sculpture comparée, of the musée des Arts décoratifs, and founds the École du Louvre to train curators. Buying for the State the works of Millet, Courbet and Manet, he promotes rebellious artists, unruly to the Academy of fine arts, and emerges as a partisan of controversial works. Organizing exhibitions to the glory of Courbet or Manet, he advocates boldness, individuality, freedom and naturalisme. Real artistic, industrial and political propaganda, the World Fair of 1889 which he organizes concretizes his ambitions. He gathers fine arts and useful arts. The Art Nouveau takes root there to blow up in 1900. His successes did not allow Proust to enter the history, but his action bore fruits in the sustainability of the structures he defended the foundation of or in the boom of craft arts and of the art market.
66

Escuta e experiência nas rodas de conversa com professores no contexto da inclusão : da "rua de mão única" às "passagens" / Listening and Experience at the Conversation Rounds with teachers in the inclusion context: From “One-Way Street” to “Passages”

Fasolo, Liege Bertolini January 2017 (has links)
A presente pesquisa teve como ponto de partida a experiência com docentes que recebem crianças consideradas da educação especial em duas escolas públicas de uma cidade do interior do Rio Grande do Sul. O estudo investigou o modo como as Rodas de Conversa podem contribuir para a formação continuada de educadores que recebem alunos de inclusão. O objetivo principal foi ofertar condições para que as professoras narrassem suas experiências cotidianas com esses alunos e que, por meio dessas narrativas, pudessem apostar mais na construção de um saber singular acerca de seu fazer docente. As interrogações norteadoras da pesquisa foram: é possível que se produzam movimentos nas narrativas e, quiçá, nas posições discursivas das educadoras através das Rodas de Conversa? As Rodas seriam potentes como dispositivo de formação dirigida a educadores que recebem alunos de inclusão? A metodologia utilizada para a condução e a análise do material foi inspirada na escuta psicanalítica – a atenção flutuante, do lado da pesquisadora; a associação livre, na fala dos docentes; e a temporalidade do a posteriori, na análise dos materiais –, conjugada aos efeitos ético-metodológicos advindos do tema da experiência em Walter Benjamin. As Rodas, pela escuta da dimensão da experiência dos docentes, funcionaram como espaços de acolhimento aos alunos considerados da educação especial, onde muitas vozes, palavras e vivências puderam ser enunciadas, criando assim condições para que se desse o trânsito da “Mão Única” para as “Passagens”. É nesse sentido que apostamos na construção do saber da experiência como via de travessia para uma micropolítica de inclusão nas escolas. / The present research had as a starting point the experience with teachers who assist children with special needs in two public schools in a countryside city of Rio Grande do Sul. The study investigated the way the Conversation Rounds can contribute to the continuous education of teachers who have students from inclusion. The main purpose was to offer conditions for the teachers to talk about their daily experiences with these students and, through these narratives, they could invest more in the development of singular knowledge involving their teaching practice. The questions which guided this research were: Is it possible to produce movement in the narratives and, perhaps, in the discursive attitude of the teachers? Would the Rounds be powerful to a formative proposal directed to the teachers who work with special needs education? The methodology used to conduct and analyze the material at the Rounds was inspired in the psychoanalytic listening – by the researcher’s suspended attention, the free association at the teacher’s talking and the deferred temporality at the material analysis - combined with the ethics-methodological effects from Walter Benjamin’s theme of experience. Using elements like listening, experience, knowledge and truth, several voices, words and experiences could be interlaced and thus, being a way to make working and welcoming special needs students more creative. We can say that the Conversation Rounds, when they go from a “One-way” to “Passages”, they point to the development of knowledge based on experience and, thus having the possibility of becoming an inclusion micro-policy at schools.
67

Les poètes au théâtre

Racine, Noële 02 February 2012 (has links)
Cette thèse étudie le passage de la poésie au théâtre, à partir de trois parcours créateurs majeurs appartenant aux littératures française et québécoise des trois premiers quarts du XXe siècle – soit ceux d’Antonin Artaud, de Paul Claudel et de Claude Gauvreau. Ces auteurs – d’abord reconnus pour leur écriture poétique – ont su, soit en pratiquant, soit en inspirant une écriture théâtrale radicalement novatrice, jouer un rôle déterminant dans la mutation des formes tant dramatiques que dramaturgiques, et cela, par le biais de trois stratégies. Après une introduction rappelant l’évolution des liens (dés)unissant la poésie et le théâtre à travers les siècles, le premier chapitre s’attache à mettre au jour les approches mises en œuvre par les trois écrivains pour rejeter l’illusion réaliste. Celles-là ressortissent à leur prise de position antinaturaliste, à leur volonté de fonder un art total et à leur souhait de revenir aux sources d’une mimesis archaïque. Le second chapitre explore, quant à lui, les procédés de poétisation du dramatique : les mécanismes et les caractéristiques de la langue lyrique des poètes en général, et la génération d’idiomes inédits en particulier. Les techniques de théâtralisation et de dramatisation du poétique, de leur côté, sont examinées dans le dernier chapitre. Plusieurs événements et rencontres ont donné l’occasion aux poètes-dramaturges de saisir quelles sont les modalités inhérentes à la scène. Cette prise de conscience a directement influé sur leur écriture dramaturgique, notamment en les faisant user de deux stratégies propices au surgissement de la théâtralité : l’oralisation lyrique de la partition dramatique et la plastification des corps. La conclusion, pour sa part, propose une synthèse des résultats de recherche, et montre que ces trois auteurs sont réunis par la même quête cosmique d’un théâtre vital et existentiel.
68

Les poètes au théâtre

Racine, Noële 02 February 2012 (has links)
Cette thèse étudie le passage de la poésie au théâtre, à partir de trois parcours créateurs majeurs appartenant aux littératures française et québécoise des trois premiers quarts du XXe siècle – soit ceux d’Antonin Artaud, de Paul Claudel et de Claude Gauvreau. Ces auteurs – d’abord reconnus pour leur écriture poétique – ont su, soit en pratiquant, soit en inspirant une écriture théâtrale radicalement novatrice, jouer un rôle déterminant dans la mutation des formes tant dramatiques que dramaturgiques, et cela, par le biais de trois stratégies. Après une introduction rappelant l’évolution des liens (dés)unissant la poésie et le théâtre à travers les siècles, le premier chapitre s’attache à mettre au jour les approches mises en œuvre par les trois écrivains pour rejeter l’illusion réaliste. Celles-là ressortissent à leur prise de position antinaturaliste, à leur volonté de fonder un art total et à leur souhait de revenir aux sources d’une mimesis archaïque. Le second chapitre explore, quant à lui, les procédés de poétisation du dramatique : les mécanismes et les caractéristiques de la langue lyrique des poètes en général, et la génération d’idiomes inédits en particulier. Les techniques de théâtralisation et de dramatisation du poétique, de leur côté, sont examinées dans le dernier chapitre. Plusieurs événements et rencontres ont donné l’occasion aux poètes-dramaturges de saisir quelles sont les modalités inhérentes à la scène. Cette prise de conscience a directement influé sur leur écriture dramaturgique, notamment en les faisant user de deux stratégies propices au surgissement de la théâtralité : l’oralisation lyrique de la partition dramatique et la plastification des corps. La conclusion, pour sa part, propose une synthèse des résultats de recherche, et montre que ces trois auteurs sont réunis par la même quête cosmique d’un théâtre vital et existentiel.
69

Une petite longueur d'onde : la voix sans les mots, un langage corporel à la scène

Roy, Daniel 12 1900 (has links) (PDF)
Notre recherche porte sur la corporéité de la voix et sur l'étude des possibilités signifiantes de celle-ci. Son objectif premier est de démontrer que la voix en tant que matière sonore - c'est-à-dire la voix prise en dehors de sa fonction de support à la parole - peut développer sa propre forme de langage, et que ce langage corporel peut être utilisé comme épicentre d'une création scénique. L'essai scénique Une petite longueur d'onde consiste en une application pratique de cette recherche. D'une part, il explore la capacité de la voix à dégager du sens sans les mots, en communiquant à la scène des émotions, des états et des sensations. D'autre part, il utilise la voix tel un matériau, afin d'explorer comment celle-ci peut être modelée, façonnée et organisée et, ainsi, proposer d'autres significations. Complémentaire de notre essai scénique, l'essai critique La voix sans les mots, un langage corporel à la scène trace, dans un premier chapitre, un bref état des lieux du travail de la voix à la scène à travers l'étude de trois démarches : celles d'Antonin Artaud, du Roy Hart Théâtre et de Claude Régy. Le deuxième chapitre tente, quant à lui, de définir les liens entre la voix et le sensible, tant par la manifestation des émotions à travers la voix que par le rapport qu'elle entretient avec les sens de l'ouïe et de la vue. Enfin, le dernier chapitre s'intéresse à la voix et à sa signification, plus précisément aux possibilités d'intervenir sur la voix afin d'en transformer le sens. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : corps, langage, matière sonore, sensible, signification, voix
70

Artaud's "Daughters" : "Plague," "Double," and "Cruelty" as feminist performance practices of transformation / "Plague," "Double," and "Cruelty" as feminist performance practices of transformation

Barfield, Heather Leigh 19 July 2012 (has links)
The purpose of this study was to identify Artaudian criteria contained in three different performance practices including (1) a television performance, (2) a live performance, and (3) a workshop performance. These included, respectively, (1) an episode from The X-Files television series; (2) MetamorphoSex, a live ritual performance with performance artist Annie Sprinkle; and (3) Rachel Rosenthal’s DbD Experience Workshop. Core criteria of Artaudian Theater of Cruelty were established through analyses of the relevant literature. These criteria were then coupled with characteristics of French feminist theory and a “shamanistic” perspective to create a theoretical-analytic tool with Artaudian criteria as its centerpiece. Also, performance analysis, experiential and experimental reflexive-subjectivity, and performative poetics were techniques applied for analytic purposes. Analyses identified a range of Artaudian criteria and feminist and “shamanistic” characteristics in the three performances; these included radical and performative poetics, embodied states of ecstasy and transformation, and non-reliance on written texts and scripts in performance practices. Among other things, analyses of different performance practices indicates that identified Artaudian performances, as a whole, tend to hinge upon performing “in the extreme” and may inadvertently serve to reinscribe race and imperialist hegemonies through an exaggeration of performing “whiteness in the extreme.” Additionally, women performing “in the extreme” are often unfairly characterized as heightened and exaggerated examples of “womanness.” Masked behind themes of women’s empowerment are cultural and performative archetypes of woman as “goddess,” “monster,” or heartless “cyborg.” Implications of these findings are discussed as well as the creation of public spaces where groups of people gather for an “extreme” performative event that, through dramatic spectacle and purpose, unites them with a particular theme or focus. It is argued that such spaces have the potential to catalyze endeavors seeking transformation and, in particular, transform the social lives of the participants. / text

Page generated in 0.035 seconds