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Un isomorphisme motivique entre deux variétés homogènes projectives sous l'action d'un groupe de type $G_2$

Bonnet, Jean-Paul 28 November 2003 (has links) (PDF)
Dans toute cette thèse, k désigne un corps de caractéristique différente de 2 et par variété nous désignons un k-schéma, séparé et de type fini. Nous allons étudier $X(\alpha_1)$ et $X(\alpha_2)$, les variétés homogènes projectives associées à chacune des deux racines d'un groupes de type $G_(2)$. La pemière d'entre elles, $X(\alpha_1)$, est une quadrique projective de dimension 5 associée à une voisine de Pfister et l'autre, $X(\alpha_2)$, est une variété de Fano (de genre 10). Ces deux variétés ne sont pas isomorphes, pourtant elles le deviennent en tant qu'objets d'une catégorie plus large, à savoir la catégorie des correspondances (et par conséquent également dans la catégorie des motifs de Chow). Nous établissons que ce résultat est vrai que les variétés soient déployées ou non. Dans un premier chapitre, nous rappelons quelques résultats classiques sur les algèbres d'octonions et construisons un modèle d'algèbres d'octonions déployée. Dans le second, nous présentons les variétés mises en jeu et rappelons pour cela des notions essentielles de la théorie des groupes algébriques ainsi que de celle des foncteurs de points. Dans le troisième chapitre, nous construisons une structure cellulaire de $X(\alpha_2)$ lorsqu'elle est déployée, étape essentielle de notre travail. C'est également dans ce chapitre que nous calculons les relations définissant la structure d'anneau de $X(\alpha_2)$. Enfin, dans le quatrième et dernier chapitre, nous introduisons la catégorie des correspondances avant de prouver notre théorème de nilpotence dans le cas particulier de la variété $X(\alpha_2)$, puis nous établissons l'isomorphisme motivique en toute généralité.
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Towards a homotopical algebra of dependent types / Vers une algèbre homotopique des types dépendants

Cagne, Pierre 07 December 2018 (has links)
Cette thèse est consacrée à l'étude des interactions entre les structures homotopiques en théorie des catégories et les modèles catégoriques de la théorie des types de Martin-Löf. Le mémoire s'articule selon trois axes: les bifibrationos de Quillen, les catégories homotopiques des bifibrations de Quillen, et les tribus généralisées. Le premier axe définit une nouvelle notion de bifibration classifiant les pseudo foncteurs avec de bonnes propriétés depuis un catégorie de modèles et à valeurs dans la 2-catégorie des catégories de modèles et adjonctions de Quillen entre elles. En particulier on montre comment équipper d'une structure de modèle la construction de Grothendieck d'un tel pseudo foncteur. Le théorème principal de cette partie est une caractérisation des bonnes propriétés qu'un pseudo foncteur doit posséder pour supporter cette structure de catégorie de modèles sur sa construction de Grothendieck. En ce sens, on améliore les deux théorèmes précédemment existants dans la littérature qui ne donnent que des conditions suffisantes alors que nous donnons des conditions nécessaires et suffisantes. Le second axe se concentre sur le foncteur induit entre les catégories homotopiques des catégories de modèles mises en oeuvre dans une bifibration de Quillen. On y prouve que cette localization peut se faire en deux étapes au moyen d'un quotient homotopique à la Quillen itéré. De manière à rendre cette opération rigoureuse, on a besoin de travailler dans un cadre légèrement plus large que celui imaginé par Quillen : en se basant sur le travail d'Egger, on utilise des catégories de modèles sans nécessairement tous les (co)égalisateurs. Le chapitre de prérequis sert précisément à reconstruire la théorie basique des l'algèbre homotopique à la Quillen dans ce cadre élargi. Les structures mis à nu dans cette partie imposent de considérer des versions "homotopique" des poussés en avant et des tirés en arrière qu'on trouve habituellement dans les (op)fibrations de Grothendieck. C'est le point de départ pour le troisième axe, dans lequel on définit une nouvelle structure, appelée tribu relative, qui permet d'axiomatiser des versions homotopiques de la notion de flèche cartésienne et cocartésienne. Cela est obtenu en réinterprétant les (op)fibrations de Grothendieck en termes de problèmes de relèvement. L'outil principal dans cette partie est une version relative des systèmes de factorisation stricts ou faibles usuels. Cela nous permet en particulier d'expérimenter un nouveau demodèle de la théorie des types dépendants intentionnelle dans lequelles types identités sont donnés par l'exact analogue homotopique du prédicat d'égalité dans les hyperdoctrines de Lawvere. / This thesis is concerned with the study of the interplay between homotopical structures and categorical model of Martin-Löf's dependent type theory. The memoir revolves around three big topics: Quillen bifibrations, homotopy categories of Quillen bifibrations, and generalized tribes. The first axis defines a new notion of bifibrations, that classifies correctly behaved pseudo functors from a model category to the 2-category of model categories and Quillen adjunctions between them. In particular it endows the Grothendieck construction of such a pseudo functor with a model structure. The main theorem of this section acts as a charaterization of the well-behaved pseudo functors that tolerates this "model Gothendieck construction". In that respect, we improve the two previously known theorems on the subject in the litterature that only give sufficient conditions by designing necessary and sufficient conditions. The second axis deals with the functors induced between the homotopy categories of the model categories involved in a Quillen bifibration. We prove that this localization can be performed in two steps, by means of Quillen's construction of the homotopy category in an iterated fashion. To that extent we need a slightly larger framework for model categories than the one originally given by Quillen: following Egger's intuitions we chose not to require the existence of equalizers and coequalizers in our model categories. The background chapter makes sure that every usual fact of basichomotopical algebra holds also in that more general framework. The structures that are highlighted in that chapter call for the design of notions of "homotopical pushforward" and "homotopical pullback". This is achieved by the last axis: we design a structure, called relative tribe, that allows for a homotopical version of cocartesian morphisms by reinterpreting Grothendieck (op)fibrations in terms of lifting problems. The crucial tool in this last chapter is given by a relative version of orthogonal and weak factorization systems. This allows for a tentative design of a new model of intentional type theory where the identity types are given by the exact homotopical counterpart of the usual definition of the equality predicate in Lawvere's hyperdoctrines
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Facteurs psychologiques et risque cardio-métabolique : rôle modérateur des inégalités socioprofessionnelles / Psychological factors and cardiometabolic risk : moderating effect of occupational inequalities

Wiernik, Emmanuel 28 September 2016 (has links)
Un nombre croissant d’études suggèrent que le rôle des facteurs psychologiques dans le risque cardio-métabolique pourrait différer selon la position socio-économique des individus.Les travaux de cette thèse ont utilisé les données du Centre d'Investigations Préventives et Cliniques, de l'Etude Prospective Parisienne 3 et de la cohorte CONSTANCES pour examiner le rôle modérateur de la profession et catégorie socioprofessionnelle (PCS) sur les relations entre stress ou dépression et différents marqueurs du risque cardio-métabolique.Les résultats montrent que la PCS était un facteur modérateur de l'association du stress perçu avec la PA élevée chez les femmes (étude no 1), le diabète (étude no 2) et l'athérosclérose préclinique (étude no 3), de telle sorte que les individus des PCS les moins favorisées étaient les plus à risque. Cela semblait également être le cas pour l'association entre la dépression et le risque de maladie coronarienne à 10 ans chez les hommes (étude no 4).Ces résultats montrent l'importance de prendre systématiquement en compte le rôle modérateur des inégalités socioprofessionnelles dans la relation entre facteurs psychologiques et risque cardio-métabolique, aussi bien dans les études épidémiologiques pour mieux caractériser ce risque, qu’en santé publique et pratique clinique pour mieux le prévenir. / A growing body of studies suggests that the association between psychological factors and cardiometabolic risk might depend upon individual's socio-economic status.Data of Centre d'Investigations Préventives et Cliniques, Paris Prospective Study 3 and CONSTANCES cohort were used to examine the moderating role of occupational status (OS) on the associations between stress or depression and cardiometabolic risk markers.OS was a moderating factor of the association between perceived stress and high blood pressure among women (study No. 1), diabetes(study No. 2) and subclinical atherosclerosis (study No. 3), with increased risk for the individuals of lower OS. Similar pattern of results were observed for the association between depression and 10-year coronary heart disease risk among men (study No. 4).These results highlight the importance to systematically take into account the moderating effect of occupational inequalities when examining the association between psychological factors and cardiometabolic risk in epidemiological studies to better characterize this risk but also in public health policies and clinical practice for a better prevention.
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La monnaie en droit : nature d'une abstraction outre fondée : essai dialectique et logique sur la dualité dans la catégoricité juridique et sur l'abstraction d'hérédité monétaire

Leclerc, Normand 11 1900 (has links)
"Thèse présentée à la Faculté des études supérieures en vue de l'obtention du grade de Docteur en droit (LL.D.)" / Cette suite d'essais analyse la conception de la monnaie en droit, cherchant à isoler l'originalité de sa nature abstraite. La tradition juridique caractérise la monnaie à la fois comme un fait et comme un droit parce qu'elle présuppose un sens substantif au nom commun 'monnaie', étant ainsi incapable d'admettre que la monnaie, par sa place unique dans les catégories du droit, est le mécanisme qui suppose l'avenir indéterminé en y enchâssant le présent. La difficulté de la monnaie est que, comme catégorie, elle n'est pas incluse aux catégories usuelles de droit privé. Son caractère abstrait l'empêche d'ailleurs d'être incluse parmi les objets qui ont une extension. La monnaie se définit plutôt par négation relativement aux catégories usuelles. Elle est donc reconnaissable entre toutes. Dans la relation sujet-objet, la monnaie versée n'est évidemment pas un sujet. Dans son sens strict, la monnaie réfère aujourd'hui au papier-monnaie. Il est vrai que ce dernier existe matériellement puisqu'il est tangible. Mais paradoxalement, en tant qu'objet, la monnaie est ni une somme, ni une obligation en nature, ni un bien, ni une représentation de dette, ni une mesure, ni consomptible, ni fongible au sens pertinent de ces mots. Comment saisir la substance d'une notion qui se soustrait aux catégories usuelles de la doctrine? Voilà la difficulté fondamentale de la thèse. Répétons son mode original de définition: la monnaie n'est pas identique à une somme due, mais - en étant payée - elle en éteint une; conversement, la somme due n'est pas identique à la monnaie perçue, mais -lorsque payée en trop - cette dernière est déclarée indue et sujette à répétition (l'indu devient dû). La définition de la monnaie procède par 'corécurrence' : elle définit quelque chose d'indéterminé puisqu'un membre de la définition réfère à l'autre et viceversa. Sa nature s'exprime par sa fonction dans la structure des prestations. Mais la doctrine la traite d'abord comme une somme due, sans distinguer outre mesure ce type de dette des autres prestations. Or, à titre d'exécution d'une obligation, une somme d'argent non seulement éteint d'autant les montants, dus à une époque ou l'autre, mais, puisque ces derniers sont appariés aux obligations en nature en tant que prix dû en contrepartie des prestations caractérisées à être effectuées, la perception des sommes d'argent conduit encore à la mobilité des biens parmi les personnes. D'où le paradoxe: une somme d'argent est destinée à circuler précisément pour être la fin des sommes dues. La doctrine enseigne la thèse unitaire du paiement des obligations (en son acception large du droit civil) : sont mis dans un même sac les faits exécutés pour satisfaire à des obligations en nature et les paiements de sommes d'argent dues. Or, elles sont en premier dues, puis payées. Ils sont dits former un ensemble. Ce sac est le temps lui-même. Il s'agit d'une interprétation de l'univers des prestations, précisément une interprétation de la notion d'univers où l'actualité homogène d'un ensemble exclut de faire une place à l'éventualité de valeurs futures par contraste aux valeurs passées. Pour réduire la notion d'univers à celle d'ensemble actuel, l'astuce est de fermer la dualité 'ensemble/membre' en substituant au membre l'ensemble: l'un des objets inclus à l'ensemble doit être à la fois un élément existant de l'ensemble et la collection de tous ses éléments, constituant ainsi la jonction substantive sous-jacente à cette dualité. IV Cet objet fondateur est d'habitude nommé le zéro de l'ensemble. Traitant ainsi l'ensemble des exécutions des obligations, il doit y avoir un élément qui ait à la fois la nature d'une promesse et celle d'un fait. Cet élément est la monnaie. Ainsi, la monnaie a une nature double, à la fois concept et référent du concept. La somme due est exécutée en monnaie et, conversement, la monnaie est la somme transférée à titre de paiement: substituant une définition dans l'autre, l'exécution de la somme due est la somme transférée, une formule conduisant à la régression infinie. Qui donc est le débiteur de cette somme transférée depuis aussi longtemps que la monnaie a circulé et circulera? La difficulté conceptuelle de la monnaie est de comprendre cette métamorphose, où l'exécution d'un fait en satisfaction d'une obligation se révèle elle même être une promesse. Pourquoi alors distinguer une obligation et son exécution? La monnaie cumule la nature catégorique d'une chose matérielle délivrée - autrefois l'or, aujourd'hui le papier-monnaie - et la nature d'une somme due; cette façon de penser mène à réifier les dettes, à leur conférer une existence matérielle. Mais devoir l'argent est fondamentalement la durée du terme d'une relation entre deux personnes. Et payer la monnaie est l'extinction de ce terme. Alors paradoxalement, l'exprimant dans une dualité catégorique, la monnaie a une durée et en même temps n'en a pas. Cette postulation d'une union des termes opposés d'une dualité n'est pas sans précédent. Pour aider le lecteur à s'en rendre compte, je documente que le thème de la migration de la valeur pécuniaire des choses par la médiation de la monnaie dans le paiement des sommes dues rappelle celui de la métempsycose (migration de l'âme) utilisée pour conceptualiser le fondement de la Couronne médiévale, le don de Dieu qui sacrait la continuité des règnes successifs d'une lignée héréditaire de régents. À cette époque, on conceptualisait la continuité historique d'un peuple par les deux corps du roi; sa nature cumulait à la fois celle d'un individu et celle de l'ensemble des individus soumis à son règne. Unique entre tous, on considérait que l'un des individus était un ensemble d'un. Cette attitude platonique était crue nécessaire en droit public pour résoudre la difficulté conceptuelle de la continuité historique d'une communauté en dépit de la nature temporelle de ses membres; elle recevait son écho en droit privé. La thèse unitaire du paiement d'obligations - où, tout comme en économique, la capacité de permutation de biens est elle-même considérée être un bien ordinaire - semble reposer sur cette même conception d'une nécessaire nature double. Dans l'univers des prestations, selon la doctrine, un ensemble infini de valeurs successives formées sur une période de temps indéfinie est considéré être fondé sur un objet transcendant qui cumule les faces opposées d'une dualité: à la fois somme (d'argent) et chose, à la fois droit et fait accompli en exécution d'une obligation, à la fois fait et valeur future. Ce paradigme traditionnel est indifférent à la dualité des prestations: non pécuniaire et pécuniaire. TI y arrive en substantivant la non-existence d'une somme. L'explication proposée ici en est une de structure. L'univers des prestations serait plutôt une dichotomie de deux dualités distinctes: 10 une dualité catégorique, celle de l'exécution de prestations particulières - où avoir fait quelque chose et ne pas l'avoir fait sont des action et abstention caractérisées, et 20 une dualité modale (circulaire), devoir un montant libellé en iv-a devise ou (exclusivement) ne pas le devoir, l'avoir payé ou non. L'obligation de livrer une prestation caractérisée à quelqu'un est appariée à la somme d'argent due par ce dernier en contrepartie de cela; on alterne d'une obligation non pécuniaire à la promesse de payer un montant d'argent sans que quiconque puisse cumuler le beurre et l'argent du beurre à un instant donné. Mais encore, une somme due en suit une autre au travers de la monnaie, cette dernière étant toujours le revers de la somme due. Il n'est pas nécessaire de dire que la monnaie existe, ni de dire qu'elle n'existe pas; il suffit de dire qu'elle éteint la somme due. Non seulement la somme due - versée (renversée) en monnaie - est éteinte, mais encore par le nominalisme elle peut toujours acquitter de nouveau une somme d'autant; il suffit qu'un créancier accepte qu'on la lui doive plutôt que de s'en remettre au troc de choses existantes. Cette nouvelle perspective du paiement des obligations distingue deux types de raisonnements. La vérification catégorique rétrospective d'une exécution en nature survenue se démarque de la modalité où la conséquence juridique de l'extinction d'une somme due se retourne en la possibilité a priori de réitérer cette conséquence encore contre une somme pouvant pourtant n'être pas encore déterminée. La possibilité d'une continuité historique n'a pas la nature finie d'un fait. L'objet qu'est la monnaie déborde de la notion ordinaire d'objet puisqu'il est circulaire: la 'monnaie' est "éteindre une somme (due) puis (est encore) monnaie". Dans la lignée héréditaire des sommes, constituées pour être éteintes, éteintes pour être constituées, la monnaie est ni le prédécesseur, ni un successeur particulier; elle est la fonction qui ouvre continuellement l'éventualité d'autres successeurs. La monnaie est une abstraction et sa nature unique est confirmée au Canada depuis 1967. Une fois la convertibilité du papier-monnaie abandonnée, la monnaie n'est plus une promesse de payer: la banque centrale n'est plus tenue de délivrer l'or à la demande du porteur, ni d'échanger le billet de banque en billets du Dominion. Le papiermonnaie est, depuis, trivialement remplacé seulement par du papier-monnaie. Enfin, l'abstraction monétaire donne à la banque centrale une personnalité morale inédite. Si la Couronne est créancière des uns et débitrice aux autres, alors en contraste la banque centrale qui n'est pas une banque - est ni créancière, ni débitrice du papier-monnaie. La problématique de l'inclusion de la monnaie dans les catégories traditionnelles du droit a une solution inédite. La monnaie s'offre en complément des concepts du discours juridique. L'encaissement d'une somme due emporte comme conséquence la fin de son terme, mais encore il en appelle à nouveau une autre, éventuellement. Ainsi, la monnaie est le bain de renouvellement des sommes. Sa qualification ni ... ni... louvoie entre les deux termes en les niant alternativement. / This series of essays analyses the concept of money in the law, seeking to isolate its unique and highly abstract nature. Traditionallaw teaching characterizes money both as a fact and as a right premised as it is on the idea that common nouns like 'money' must have substantive meaning; it is thereby unable to accept that money, by virtue of its unique place amongst the categories of private law, is the mechanism supposing the indeterminate future by embedding the present into it. The difficulty with money is that, as a category, it is not included amongst the usual categories ofprivate law. Its abstract character prevents it from being included amongst objects that have extension. Rather money is defined by negation with respect to the usuallegal categories. It is thereby uniquely recognizable. In the subject-object relationship, paid money is obviously not a subject. In its strict meaning, money refers today to paper-money. It is true that the latter does exist physically because it is tangible. But paradoxicalIy, as an object, money is neither a sum owed, nor an obligation in kind, nor a good, nor representing a debt, nor a measurement, nor consumable, nor fungible in the relevant sense ofthose terms. How does one capture the substance of a notion that defies the usual categories of legal discourse? That is the fundamental difficulty of the thesis. The entirely unique way of defining money bears repeating: Cash money is not identical to a sum owed but extinguishes one as it is being paid; conversely, a sum owed is not identical with money received, since when money is paid without obligation, the sum can be recovered as undue (the undue becomes due). The definition ofmoney proceeds by 'corecurrence': it defines something indeterminate, in that one definition refers to the other and vice versa. Its nature stems from its function in the structure of prestations. But the legal scholarship treats it principally as a sum owed, without further distinguishing this type of debt from other prestations. Now, as the performance of an obligation, a sum ofmoney not only as much pays off any amount, due at one time or another, but, because those are paired to obligations in kind as the price owed in consideration ofparticular performances to be accomplished; the cashing of sums of money still conducts the movement of goods among persons. Whence a paradox: A sum of money is destined to circulate precise1y to extinguish sums (due). Legal scholarship generally teaches the thesis of unity of performance of obligations (payment in its broad civillaw meaning): AlI acts accomplished in the performance of obligations in kind and all payments of sums of money are put in the same bag. Now, they are first owed, then received. These operations are said to form a single set. This bag is time itself. 1t is an interpretation of the universe of prestations, more precise1y an interpretation of the notion of universe where the homogeneous actuality of a set excludes to give place to the possibility of future values by contrast to past values. To close the notion of a universe to that of an actual vi set, the trick is to close the duality 'set/member' by replacing the member by the set: one of the objects included in the set must be at once an existing element of the set and be the collection of aIl its elements, constituting thereby the substantive junction underlying this duality. This foundational object is usually called the zero of the set. In the set of performances of obligations (prestations) with which we are dealing here, there must similarly be an element in the nature of both a promise and a fact. That element is money. So money has a dual nature, both concept and referent of the concept. The sum owed is performed in money and, conversely, money is the sum transferred as payment: substituting one definition in the other, the performance of the sum owed is the sum transferred, a formula leading to infinite regression. Who then is the debtor of this sum transferred for as long as money did and will circulate? The conceptual difficulty with money is to understand this metamorphosis, where the performance of a fact in satisfaction of an obligation reveals itselfto be a promise. Why then bother to distinguish a promise from the performance of it? Money cumulates the categorical nature of a physical thing being delivered - in olden days gold, today paper-money - and the nature of a sum owed; this way of thinking would tend to reify debts, to confer them physical existence. Yet to owe money is fundamentally the duration of the term of a relationship between two persons. And to pay money is to put an end to this term. So paradoxically, to express it in a categorical duality, money has duration and at the same time it has none. Such a union of the polar opposites of a duality is not unprecedented. To help the reader realise this, l document how the theme of migration ofpecuniary value ofthings by means ofmoney being given in payment of amounts owed is reminiscent of metempsychosis (migration of the soul) used to conceptualise the foundation of the medieval Crown, the gift ofGod that consecrated the continuity of successive reigns of an hereditary line of regents. At that time, the historical continuity of the people was conceptualised by the King's two bodies: both that of an individual and that of the set of individuals subject to his reign. Unique amongst aIl, one foundational individual was considered to constitute a set of one. This platonic attitude was believed necessary in public law to resolve the conceptual difficulty of the historical continuity of a community despite the temporal nature of its individuals; it was put to similar use in private law with respect to money. The thesis of unity of performance of obligations - where, like in economics, the capacity to exchange goods is considered an ordinary good itself - appears to rely on the same conception of a necessary dual nature. In the universe of prestations, according to traditionallegal scholarship, an infinite set of successive values taking shape over an indefinite period of time is viewed as founded on a transcendental object which cumulates the opposite faces ofa duality: both sum (of money) and thing, both right and act accomplished in the performance of an obligation, both fact and future value. This traditional paradigm disregard the duality of prestations: pecuniary and non-pecuniary. It does so by giving a substantive value to the non vi-a existence of a sumo The explanation proposed here is one of structure. The universe of prestations is rather a dichotomy of two distinct dualities: 10 a categorieal duality, that of the performance of specifie prestations - where to have done something and not to have done it are characterised action and abstention, and 20 a modal (circular) duality: to owe an amount in currency or (exclusively) not to owe it, to have paid it or not. The obligation to deliver a particular performance to someone is paired to the sum of money owed by him in consideration of it; we altemate from nonpecuniary obligation to promises to pay an amount of money without one being able to have his cake and eat it too at any time. But still, one amount owed follow another thru money, money always being the tuming over of the sum owed. We are not obliged to state that money exists, or that it does not; it suffiees to say that it extinguishes the sum owed. Not only is the sum owed extinguished upon money being tumed (paid) in, but by virtue of nominalism it still can extinguish anew a further sum of same amount; it is sufficient that a creditor accept to be owed a sum ofmoney rather than to revert to the barter ofphysical things. This new reading of the payment of obligations draw apart two types of reasoning. The categorieal proof of a past specifie performance is different from the modality where the legal consequence of the extinction of a sum due is tumed over into the a priori possibility to still reiterate that same consequence against a sum that now may not yet be determined. The possibility of an historieal continuity does not have the finite nature of a fact. Money as an object transcends the concept of an ordinary object because it is circular: 'money' is "the end of a sum (owed) and (is still) money". In the hereditary line of sums, created to be extinguished or extinguished to be created, money is neither the predecessor nor a particular successor; it is the function of continuously opening up the possibility of further successors. Money is an abstraction and its unique character is confirmed in Canada since 1967. Once the convertibility of paper-money is dropped, money is no longer a promissory note: no longer does the central bank undertakes to exchange a bank note for gold or Dominion bonds. Paper-money is now trivially replaced only by paper-money. Finally, the abstract character ofmoney gives the central bank an most unusual status as a legal person. If the Crown is creditor of sorne persons and debtor to others, then by contrast the central bank - who is not a bank - is neither creditor, nor debtor ofpaper-money. The problem of fitting money within the traditional categories of the law does have an unexpected ending. Money presents itself as the complement of the concepts oflegal discourse. The cashing in of a sum triggers the end of its term, but still it calls one anew, eventually. So money is the bath of renewal of sums. In being characterised as neither... nor... it hops between the two terms by altematively negating them.
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Sur la théorie des représentations et les algèbres d'opérateurs des produits en couronnes libres / on the representation theory and the operator algebra of the free wreath products

Lemeux, Francois 28 May 2014 (has links)
Dans cette thèse, on étudie les propriétés combinatoires, algébriques et analytiques de certains groupes quantiques compacts libres. on prouve au chapitre 2 que les duaux des groupes quantiques de réflexions complexes possèdent, dans la plus part des cas, la propriété d'approximation de Haagerup. au chapitre 3, on décrit les règles de fusion du produit en, couronne libre d'un groupe discret par le groupe quantique des permutations. Pour cela on détermine les espaces d'entrelaceurs entre certaines coreprésentation "basiques" de ces produits en couronnes libres en termes de partitions non croisées décorées par les éléments du groupe. On peut alors identifier les coreprésentations irréductibles et décrire les règles de fusion. On propose ensuite plusieurs applications de ce résultat. On démontre premièrement que les C*-algèbres réduites de ces produits en couronnes libres sont sans la plupart des cas simples et à trace unique. Puis on prouve que les algèbres se von Neumann associées sont des facteurs de type II et que ces facteurs sont pleins. On étend finalement le résultat du chapitre 2, aux produits en couronnes libres des groupes finis par le groupe quantique de permutations. / In this thesis, we study the combinatorial and operator algebraic properties of certain free compact quantum groups. We prove in chapter 2 that the duals of the quantum reflexion groups have, in most cases, the Haagerup property. In chapter 3, we describe the fusion rules of the free wreath product of a discrete group by the quantum permutation group. To do this, we describe the interrwinner spaces berween certain “basic” corepresentations of these free wreath products in terms of non-crossing partitions decorated by the elements of the group . This provides a whole new class of compact quantum groups whose fusions rules are explicitly computed. We give several applications of this result.We prove that, in most cases, the reduced C*-algebras associates with these free wreath products are simple with unique trace. We also prove that the associated II 1 factors are full. To conclude, we extend the result of chapter 2 to the free wreath products of finite groups by the quantum permutation group.
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Catégories fonctionnelles et déficience : étude typologique de quelques constructions verbales et nominales

Knittel, Marie-Laurence 07 December 2007 (has links) (PDF)
Ce travail présente quelques aspects de la syntaxe du SV et du SN. Du côté du SV, l'accent est mis sur l'étude morphosyntaxique de la flexion verbale. Dans le cadre du SN, ce sont les thèmes du nombre, des constructions possessives et des types d'adjectifs qui sont explorés, dans l'optique d'une étude sur la déficience fonctionnelle. Bien que portant majoritairement sur le français, certains chapitres proposent une comparaison avec les données du turc et du hongrois.
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Dualité de Koszul des PROPs

Vallette, Bruno 09 December 2003 (has links) (PDF)
Nous généralisons la dualité de Koszul des algèbres et des opérades aux PROPs. Alors que les opérades sont des objets algébriques qui représentent les opérations à plusieurs entrées et une seule sortie sur les différents types d'algèbres, les PROPs modélisent les opérations à plusieurs entrées et plusieurs sorties agissant sur des structures algébriques telles que les bigèbres et les bigèbres de Lie. Nous introduisons un nouveau produit monoidal qui décrit les compositions entre ces opérations et nous restreignons notre étude à la partie connexe de chaque PROP, que nous appelons "propérade", par analogie avec les opérades. Nous généralisons aux propéades les différents objets homologiques associés aux algèbres et aux opérades comme les bar et cobar constructions, les modules et les propérades quasi-libres. Pour une propérade (resp. un PROP) donnée, nous construisons une copropérade (resp. un coPROP) dual ainsi qu'un complexe de Koszul dont l'acyclicité est un critère qui permet de déterminer si la cobar construction fournit une résolution quasi-libre, appelée modèle minimal, de la propérade (resp. du PROP) de départ. Pour démontrer ce théorème, nous introduisons une graduation supplémentaire qui provient ici des différents foncteurs analytiques engendrés par le produit monoidal. Cette théorie nous permet de définir des notions de "bigèbres" à homotopie près, sur un PROP de Koszul. Cette notion est l'équivalente au niveau des "bigèbres" de celle d'algèbre à homotpie près, qui est très importante en topologie algèbrique.
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Vrais chômeurs et vrais sportifs : le sport face au chômage comme instrument disciplinaire ou support de tactiques identitaires : des catégories sociales en jeu

Le Yondre, François 02 December 2009 (has links) (PDF)
Qu‟est-ce qu‟un vrai sportif ? Qu‟est-ce qu‟un vrai chômeur ? Voilà deux questions dont les réponses peuvent difficilement faire consensus. Les définitions des catégories du sport et du chômage sont plurielles, instables voire conflictuelles. En étudiant les pratiques sportives des chômeurs, ce travail vise à éclairer les rapports entre deux catégories sociales qui semblent être sans rapport. Autrement dit, quels sont les liens qui sont établis entre le sport et le chômage ? Une observation participante, au sein de deux stages de sport pour allocataires du RMI, a mis en exergue un registre de catégorisation institutionnel. En dépit de leur caractère d‟exception, ces stages de sport semblent être conçus dans une perspective d‟activation des individus. Le sport y est envisagé comme une activité contractuelle sollicitant la responsabilité de l‟individu. Il s‟agit là d‟un savoir sur le sport consubstantiel d‟un pouvoir qui s‟exerce d‟autant plus efficacement sur les stagiaires que ceux-ci sont davantage stimulés par la dynamique de groupe et la reconnaissance que contraints. Par ailleurs, ces stagiaires ont pour point commun d‟être situés dans une problématique de santé. Face à quoi le sport est une activité contractuelle visant à responsabiliser le rapport au corps et finalement à recouvrir une employabilité perdue. 59 entretiens semi-directifs (dont 21 avec des stagiaires, 22 avec des chômeurs pratiquant hors institution et 16 avec des chômeurs non-sportifs) ont été analysés selon une méthode structurale visant à faire émerger les catégories indigènes. De nombreuses équations catégorielles entre sport et chômage ont ainsi émergé, donnant lieu à une typologie de tactiques identitaires. Cette typologie met en lumière plusieurs formes de rapport entre l‟individu et l‟institution et, par extension, des mécanismes de construction sociale de la réalité
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The measure of pain by self-report : use of Rasch analysis

Decruynaere, Céline 14 May 2007 (has links)
The overall aim of this thesis is to demonstrate the usefulness and the efficacy of the Rasch model to provide solutions to a variety of measurement problems in the specific context of pain assessment. As Rasch models rest on the requirement of unidimensionality and as verbal self-report has been described as the most valid measure of the experience of pain (Melzack and Katz, 2006), all chapters of the present work focus on the measurement of a single dimension of the pain experience, its intensity and on self-reported rating scales assessing this dimension. Chapter 1 presents the basics of the Rasch methodology and describes how one model of the Rasch family of models, the many-facet model, can be applied to the analysis of pain intensity responses following CO2 laser heat stimulation. Several intensities of stimulation were delivered on the hand of one hundred subjects who had to rate their pain perception on a three-level verbal rating scale. This methodological chapter stressed the ability of the Rasch models to transform the original ordinal scores into linear measures on an interval scale. Advantages and disadvantages of the Rasch methodology are discussed. Chapter 2 presents a second application of the Rasch methodology: the development and validation of a new measurement tool. In that chapter, an item questionnaire, the Situational Pain Scale (SPS), measuring the mental representation of pain in imaginary painful situations was developed and validated with healthy and chronic pain adults. Chronic pain patients also completed questionnaires assessing clinical and emotional attributes. Responses to the SPS were analyzed according to the rating scale Rasch model to select unidimensional and unbiased items. The final SPS consisted of 18 items with a widespread measurement range, a distribution well-targeted for the sample of healthy subjects and chronic pain patients and a high index of measurement precision. The measure of pain representation was significantly related to present pain intensity and anxiety about pain. Fibromyalgia patients showed significantly higher pain representation measures than all other groups. The psychometric properties of the SPS allows to further test its value to predict behaviors such as chronification of an acute pain condition or coping strategies developed by the chronic pain patient Chapter 3 detailed a third application of the Rasch models: the investigation and optimization of rating scale functioning. It more specifically examines the question of the optimal number of response levels required to assess the intensity of pain. A first section details the problematic, reviews studies previously conducted and presents the statistical indexes provided by the Rasch methodology for investigating the functioning of rating scales. Two empirical studies follow. They investigate the optimal number of response levels required to assess the intensity of pain by means of the Rasch analysis. The first study is devoted to the examination of three verbal rating scales (four, five and ten response categories) in healthy adults rating the 18 items of the SPS (developed in chapter 2). Results showed that the 10- and the 5-level verbal rating scales (VRSs) were not effective to assess pain intensity but that the 4-level one was. Recategorization procedures applied on the 10- and the 5-level VRSs revealed that the optimal number of response levels was also around four. In conclusion, this study shows that the human being can only distinguish four response levels when assessing the pain intensity of hypothetical events on a VRS. The second empirical study is devoted to the examination of faces scales (FSs) in healthy children aged from four to seven years. Results of this second study showed an improvement in the ability to distinguish the response categories with age. The 4-5 year-old children could only distinguish two response categories and the 6-7 year-old children were able to discern the three levels of a three-level faces scale. In conclusion, young children do not distinguish as many faces as proposed by the majority of available faces scales. / L'objectif de cette thèse est de montrer l'utilité et l'efficacité du modèle de Rasch dans l'apport de solutions à divers problèmes rencontrés lors de la mesure de la douleur. Etant donné que le modèle de Rasch repose sur l'exigence d'unidimensionnalité et que l'auto-évaluation par le sujet a été décrite comme étant la mesure la plus valide de l'expérience de la douleur (Melzack and Katz, 2006), tous les chapitres de la thèse se sont focalisés sur la mesure d'une seule dimension de la douleur, son intensité, et sur les échelles d'auto-évaluation mesurant cette dimension. Le chapitre 1 présente les fondements de la méthodologie Rasch et décrit comment un des modèles de Rasch, le modèle multi-facettes, peut être appliqué à l'analyse de scores d'intensité de douleur fournis en réponse à des stimulations de chaleur délivrées à l'aide d'un laser CO2. Plusieurs intensités de stimulation ont été délivrées sur la main de cent sujets sains qui devaient évaluer leur perception de douleur sur une échelle verbale simple à trois niveaux de réponse. Ce chapitre méthodologique met l'accent sur la capacité du modèle de Rasch à transformer les scores originaux ordinaux en mesures linéaires sur une échelle d'intervalles. Les avantages et inconvénients de la méthodologie Rasch y sont discutés. Le chapitre 2 présente une seconde application de la méthodologie Rasch: le développement et la validation d'un nouvel instrument de mesure. Dans ce chapitre, un questionnaire, le Situational Pain Scale (SPS), mesurant la représentation mentale de la douleur lors de situations de douleur imaginaires est développé et validé dans une population d'adultes sains et de patients douloureux chroniques. Les patients douloureux chroniques ont également rempli une batterie de questionnaires évaluant diverses variables cliniques et émotionnelles. Les réponses au SPS ont été analysées à l'aide du modèle rating scale afin de sélectionner les items satisfaisant au critère d'unidimensionnalité et d'invariance de l'échelle. L'échelle finale comprend 18 items présentant une large étendue de mesure, une distribution bien ciblée par rapport à l'échantillon de sujets sains et de patients douloureux chroniques et une précision de mesure élevée. La mesure de la représentation de la douleur est significativement corrélée avec l'intensité de la douleur au moment de l'évaluation ainsi qu'avec l'anxiété spécifiquement liée à la douleur. Les patients fibromyalgiques ont une représentation de la douleur plus élevée que tous les autres groupes. Les qualités psychométriques de l'échelle permettent, dans le futur, de tester sa capacité à prédire certains comportements comme par exemple le risque de chronification d'un état de douleur aiguë ou encore les stratégies développées par le patient pour faire face à son état de douleur chronique. Le chapitre 3 détaille une troisième application des modèles de Rasch : l'investigation et l'optimisation du fonctionnement des échelles de réponse. Ce chapitre examine plus spécifiquement la question du nombre optimal de niveaux de réponse nécessaire pour évaluer l'intensité de la douleur. Une première section introduit la problématique, présente une revue de la littérature sur la question et détaille les indices statistiques fournis par la méthodologie Rasch pour étudier le fonctionnement des échelles de réponse. Deux études empiriques suivent. Elles étudient le nombre optimal de niveaux de réponse nécessaire pour l'évaluation de la douleur. La première étude est consacrée à l'investigation de trois échelles verbales simples (quatre, cinq et dix catégories de réponse) chez des adultes sains évaluant les 18 items du SPS dont le développement a été présenté au chapitre 2. Les résultats montrent que les échelles verbales simples (EVSs) à dix et cinq niveaux ne sont pas efficaces pour évaluer l'intensité de la douleur alors que l'échelle à quatre niveaux l'est. Les procédures de recatégorisation appliquées sur les EVSs à dix et cinq niveaux révèlent que le nombre optimal de niveaux de réponse est de quatre. En conclusion, cette étude montre que l'être humain ne peut distinguer que quatre niveaux de réponse lorsqu'il évalue des situations imaginaires sur une EVS. La seconde étude empirique est consacrée à l'investigation des échelles visages chez des enfants sains âgés de quatre à sept ans. Les résultats de cette seconde étude montrent une amélioration dans la capacité à distinguer les catégories de réponse avec l'âge. Les enfants de quatre et cinq ans ne peuvent distinguer que deux catégories de réponse alors que les enfants de six et sept ans peuvent distinguer les trois niveaux d'une échelle à trois visages. En conclusion, les jeunes enfants ne peuvent pas distinguer autant de visages que proposés par la majorité des échelles visages publiées.
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Le transfert de la catégorie de détermination/indétermination du nom français en lituanien / Prancūzų kalbos daiktavardžio apibrėžtumo/neapibrėžtumo kategorijos perteikimas į lietuvių kalbą / Rendering of definite/indefinite noun category of the French language into the Lithuanian language

Šaulytė-Bukauskaitė, Vykinta 16 August 2007 (has links)
Ce travail contient l’analyse de la traduction des noms (substantifs) de la langue source (français) en langue cible (lituanien), et surtout leur détermination, de leurs transformations possibles dans la traduction, des moyens que le traducteur choisit pour les transmettre en traduction. D’après l’analyse il a été aperçu que les déterminants sont transposés par les pronoms ou ils sont exprimés par certains cas. Parfois les déterminants, surtout des articles définis, acquièrent la forme pronominale. Il y avait des situations où le traducteur a accordé une autre forme : il a traduit en d’autre partie du discours, par exemple, en adverbe, en participe passé ou en préposition. Les noms étaient plus flexibles pour la variation. Le traducteur a pu les traduire en verbe, en participe ou en gérondif, en adjectif, en pronom, en adverbe. Il y avait des situations où les noms ont possédé dans la langue cible la forme dérivée et surtout il acquiert une forme diminutive grâce aux adjectifs qui expriment la petitesse, la jeunesse, la beauté, la douceur : petit, jeune, joli. En ce qui concerne le nom, il peut être transmis non seulement en un mot, mais aussi en groupement des mots. Le nom propre peut parfois remplir la fonction de nom commun pour indiquer le type d’homme qui lui ressemble. / Šiame darbe analizuojami prancūzų kalbos daiktavardžių ir jų determinantų vertimų ypatumai į lietuvių kalbą, galimos transformacijos vertime, kokius būdus pasirenka vertėjas, norėdamas juos perteikti vertime. Atlikus analizę, paaiškėjo, kad daiktavardis verčiamas veiksmažodžiu, dalyviu, pusdalyviu, būdvardžiu arba prieveiksmiu. Buvo pastebėta, kad daiktavardžiai, vartojami kartu su mažybiniais-maloniniais būdvardžiais, lietuviškame vertime įgyja mažybinę formą arba naują reikšmę, kurią nulemia kontekstas. Vertime vienažodį daiktavardį taip pat gali atitikti žodžių grupė. Tikrinis daiktavardis gali virsti bendriniu daiktavardžiu, norint pabrėžti asmens tipą, į kurį veikėjas panašus. Determinantų vertimas yra sudėtingas, nes lietuvių kalbai ši kategorija nėra būdinga, todėl vertėjas priverstas išieškoti priemonių, juos pakeisti arba praleisti (dažniausiai dėl lietuvių kalbos normų). Buvo pastebėta, kad determinantai lietuvių kalboje keičiami į įvardžius, prieveiksmius, dalyvius, prielinksnius arba išreiškiami linksniais. Kai kuriais atvejais žymimasis artikelis prieš būdvardį įgydavo įvardžiuotinę formą. / In this work “Rendering of definite/indefinite noun category of the French language into the Lithuanian language” is analysed the translation of the French nouns and determiners into the Lithuanian, their possible transformations in the translation and which ways the translator chooses to transfer them to the translation. After the analyze it was discovered that the noun can be translate into verb, participle, half-participle, adjective or adverb. It was observed that the noun with the adverbs which express the smallness, the endearment, gets a diminutive form or a new sense. A one-word noun can be translated into word group. The proper noun can be the common noun to accentuate the type of the person. The translation of the determiners into Lithuanian is difficult, because the Lithuanian doesn’t have this category and a translator must find the other ways or leave out. It was observed that the determiners were change by adverb, pronoun, prepositional or case in the Lithuanian. Sometimes the definite article before adjective gets the pronominal form.

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