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Vers une conceptualisation multidimensionnelle de la peur de la récidive du cancer : évaluation, nature des pensées intrusives et comorbidité psychiatrique

Simard, Sébastien January 2008 (has links)
La peur de la récidive du cancer (PRC) est un problème fréquent chez les patients atteints de cancer qui a des répercussions négatives sur leur fonctionnement et leur qualité de vie. Malgré ce constat, peu d'études ont porté spécifiquement sur ce sujet ce qui limite notre compréhension du phénomène. Cette situation pourrait s'expliquer en partie par la complexité et l'hétérogénéité de la PRC, mais aussi par l'absence d'instruments de mesure reflétant la nature multidimensionnelle de la PRC. La présente thèse compte trois articles empiriques qui visaient à répondre aux objectifs suivants : (a) développer et évaluer les propriétés psychométriques d'un nouveau questionnaire multidimensionnel évaluant la PRC, soit / 'Inventaire de la peur de la récidive du cancer (IPRC), et évaluer sa capacité à dépister la présence d'un niveau clinique de PRC; (b) explorer la présence de profils spécifiques de PRC en utilisant une conceptualisation multidimensionnelle de la PRC; (c) décrire la nature des pensées intrusives associées à la PRC et investiguer les stratégies d'adaptation utilisées pour composer avec la PRC; et (d) documenter la comorbidité psychiatrique (actuelle et passée) et les traits de personnalité des patients présentant un niveau clinique de PRC. Pour ce faire, une banque de données médicales provinciale a été utilisée pour sélectionner aléatoirement un échantillon de patients ayant été traités pour un cancer du sein, de la prostate, de poumon et colorectal au cours des dix dernières années. Les patients sélectionnés (Étude 1 : N = 600; Étude 2 : N = 1984) ont par la suite reçu, par la poste, une batterie de questionnaires d'auto-évaluation et certains d'entre eux ont été invités pour une entrevue clinique (Étude 3 : N = 60). Globalement, la présente thèse confirme l'importance d'une conceptualisation multidimensionnelle de la PRC. Elle propose un nouveau questionnaire, l'IPRC, capable d'évaluer les différents aspects de la PRC et de dépister la présence d'un niveau clinique (i.e., pathologique) de PRC. Elle révèle la présence de quatre profils distincts de PRC variant en fonction de la sévérité de la PRC et la fréquence d'utilisation des stratégies d'adaptation. Elle montre que la nature des pensées intrusives associées à la PRC varie sur un continuum entre les inquiétudes et les obsessions en fonction de la sévérité de la PRC. De plus, elle révèle la présence de comorbidité psychiatrique associée à la PRC clinique, particulièrement avec les troubles anxieux. Enfin, elle contribue à une meilleure compréhension de la PRC et suggère des pistes d'intervention psychologique.
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L'exercice physique pour améliorer le sommeil chez les patients atteints de cancer : état de la littérature et comparaison avec la thérapie cognitive-comportementale

Mercier, Joanie January 2018 (has links)
Cette thèse doctorale porte sur l’amélioration du sommeil de patients ayant reçu un diagnostic de cancer non métastatique. La visée principale de la thèse était d’étudier l’effet des interventions d’exercice physique pour traiter l’insomnie comorbide au cancer, et ce, dans une optique d’accroître les options de traitements non-pharmacologiques efficaces pour cette problématique. Un premier objectif spécifique de celle-ci était de documenter et d’analyser, de façon systématique, les essais cliniques sur les effets des interventions d’exercice physique pour améliorer le sommeil des patients en oncologie et d’effectuer une méta-analyse quantitative de leurs effets. Bien que les résultats de la recension systématique suggèrent un effet bénéfique possible des interventions d’exercice physique sur le sommeil d’un point de vue qualitatif, la méta-analyse n’a révélé aucun effet significatif. Néanmoins, les nombreuses limites méthodologiques notées amenuisent les conclusions et appuient la nécessité de mener des études plus rigoureuses sur le sujet. La présente thèse avait aussi pour but de comparer l’efficacité d’un programme d’exercices physiques aérobiques effectué à la maison (EX) à celle d’un traitement plus standard, soit une thérapie cognitive-comportementale de l’insomnie (TCC-I) offerte en format autoadministré. Pour ce faire, 41 participants présentant des symptômes d’insomnie ont été recrutés et assignés aléatoirement à l’un des deux groupes à l’étude. Les deux interventions se déroulaient sur une période de 6 semaines. Un objectif secondaire de cette étude était de documenter l’efficacité de ces deux interventions sur l’amélioration de symptômes fréquemment associés à l’insomnie (anxiété, dépression, fatigue, qualité de vie). Les résultats montrent une supériorité de la TCC-I à améliorer les symptômes d’insomnie en post-traitement alors que l’EX s’avère non-inférieur à la TCC-I aux temps de mesure subséquents. En somme, la TCC-I demeure le traitement de choix pour l’insomnie associée au cancer bien que l’EX apparaît être une option de rechange intéressante en l’absence de disponibilité de cette intervention.
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Le trouble d'anxiété généralisée : impact d'un traitement cognitif-comportemental individualisé et de la comorbidité sur l'efficacité du traitement

Provencher, Martin D. 27 February 2021 (has links)
Le but de la présente thèse est de tester l'efficacité d'un traitement individualisé selon le type d'inquiétude pour le Trouble d'Anxiété Généralisée (TAG) et d'évaluer l'impact et l'évolution des troubles comorbides suite au traitement. Dix-huit patients ayant un TAG ont participé à la première étude et ont reçu un traitement individualisé selon leur type d'inquiétude prédominant. Les résultats démontrent que le traitement produit une diminution significative des symptômes du TAG. Cent vingt et un patients, présentant un TAG ont participé à la deuxième étude. Les résultats démontrent que la comorbidité est élevée (79%) et qu'un traitement pour le TAG produit une diminution significative du nombre de diagnostics comorbides. De plus, la présence d'un trouble panique comorbide au pré-test a un impact négatif sur l'efficacité du traitement. Les résultats de ces deux études sont discutés en fonction des implications pour la conceptualisation du TAG et de son traitement.
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Effet d'une thérapie cognitive comportementale chez des enfants qui présentent la comorbidité troubles anxieux et symptômes médicalement inexpliqués : une étude pilote

Théberge, Emilie 28 July 2021 (has links)
La présente étude pilote visait à documenter de façon préliminaire l'effet d'une thérapie cognitive-comportementale (TCC) avec participation parentale des troubles anxieux adaptée aux symptômes médicalement inexpliqués (SMI) chez des enfants âgés de 8-12 ans. Cette étude a documenté qualitativement le déroulement de la TCC en décrivant l'adhésion au traitement, les principaux défis rencontrés par les participants et les intervenants ainsi que la participation parentale au traitement. L'étude visait également à documenter quantitativement l 'effet du traitement sur : 1) l'anxiété (taux de rémission des troubles anxieux et symptômes anxieux) ; 2) les SMI (interférence et intensité des SMI, somatisation) ; et 3) les pratiques parentales. Pour ce faire, 9 enfants et leurs parents ont été recrutés par le centre mère-enfant Soleil du CHUL de Québec et par la liste courriel de l'Université Laval. L'étude repose sur un devis de séries de réplications d'études de cas à niveaux de bases multiples non concurrents de type A-B. À la suite d'une première évaluation des troubles anxieux et sur la nature des SMI, les participants ont été répartis aléatoirement à un niveau de base de 2 à 4 semaines avant de commencer le traitement nommé « Traque Ta Trouille pour les SMI » d'une durée de 11 à 14 semaines. Les enfants et les parents ont ensuite été évalués à la suite du traitement et lors d'un suivi 6 mois. Pendant le traitement, les principaux défis rencontrés étaient de compléter les exercices thérapeutiques par les familles ainsi que l'implication parentale dans les exercices à faire à la maison. Selon les résultats obtenus aux entrevues diagnostiques, au moins un trouble anxieux primaire (62,5%) ou secondaire (75%) était en rémission au post-traitement chez les huit participants (100%). Au suivi 6 mois, les résultats ont révélé un taux de rémission complet de 42,78%. Au questionnaire sur les SMI, une diminution statistiquement significative a été retrouvée pour l'interférence des SMI dans le temps. Les analyses par régressions segmentées calculées à partir des données quotidiennes ont révélé une augmentation de l'anxiété et des SMI lors de l'introduction du traitement, autant selon les enfants que les parents. Cette augmentation des symptômes était suivie d'un retour au niveau initial d'anxiété à la fin du traitement et à une amélioration des SMI selon les enfants. Selon les parents, seuls les SMI se sont améliorés à la fin du traitement. Une diminution significative des pratiques parentales de surprotection a été retrouvée. Les résultats de ce mémoire doctoral soulignent la pertinence d'une TCC adaptée pour la comorbidité SMI et l'anxiété et l'importance de poursuivre les recherches sur l'adaptation d'un tel traitement pour améliorer l'efficacité ainsi que l'importance d'une participation parentale dans le traitement des enfants souffrant de cette comorbidité.
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Influence de la comorbidité dans le traitement des troubles anxieux et dépressifs

Philippe, Jessica 06 February 2021 (has links)
Cette étude s’intéresse à l’influence de la comorbidité dans le traitement des troubles anxieux, dépressifs et apparentés à l’aide de la thérapie cognitive-comportementale (TCC). L’échantillon est constitué de 293 personnes qui ont suivi une TCC adaptée en fonction de leurs besoins au Service de Consultation de l’École de Psychologie (SCEP) de l’Université Laval on doientre 2007 et 2018. Les participants devaient présenter un trouble anxieux, dépressif ou un trouble apparenté et étaient exclus s’ils présentaient des symptômes psychotiques ou maniaques non contrôlés ou un trouble lié à l’utilisation d’une substance au premier plan. Les principaux objectifs de ce mémoire sont de comparer les participants qui ont des troubles anxieux et dépressifs comorbides aux participants qui n’en ont pas sur l’efficacité d’une TCC pour traiter le trouble prédominant et de vérifier si cette dernière permet de traiter les troubles comorbides par le fait même. L’efficacité repose sur une comparaison de plusieurs mesures avant et après le suivi thérapeutique, dont la sévérité des diagnostics, mesurée par une entrevue clinique (MINI International Neuropsychiatric Interview 5.0), les symptômes dépressifs et anxieux, mesurés par le Beck Depression Inventory II (BDI-II) et le Beck Anxiety Inventory (BAI), et la qualité de vie, mesurée par le World Health Organization Quality of Life (WHOQOL). Des tests t et des ANOVAS à mesures répétées ont été utilisés. Avant la thérapie, les résultats révèlent des symptômes significativement plus sévères chez les participants ayant au moins un diagnostic comorbide comparés aux participants qui n’en ont pas. Toutefois, après la thérapie, les deux groupes ont obtenu une diminution significative de la sévérité du diagnostic principal et ont atteint un changement cliniquement significatif dans une proportion équivalente. De plus, chez les participants ayant au moins un diagnostic comorbide, le nombre et la sévérité des diagnostics comorbides ont diminué significativement au post-test. En conclusion, il semble que la comorbidité n’affecte pas l’efficacité de la TCC et que celle-ci soit efficace pour diminuer la sévérité des diagnostics comorbides.
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Douleurs thoraciques non-cardiaques chez les patients présentant un trouble anxieux comorbide

Hamel, Stéphanie 18 August 2021 (has links)
Cette thèse doctorale comprend deux études qui portent sur les patients présentant des douleurs thoraciques non-cardiaques (DTNC) et un trouble anxieux en comorbidité, soit un trouble panique (TP) ou un trouble d'anxiété généralisée (TAG). La première est une étude de cohorte longitudinale qui a pour objectif de décrire et comparer la sévérité des DTNC ainsi que les composantes physique et mentale de la qualité de vie liée à la santé chez les patients présentant des DTNC avec ou sans TP ou TAG comorbide. Pour ce faire, 915 patients ayant consulté en département d'urgence pour des DTNC ont été sélectionnés à partir d'une étude plus large et observés sur une période de six mois. Les patients ont réalisé une entrevue téléphonique afin d'évaluer la sévérité moyenne de leurs DTNC suivant leur consultation en département d'urgence et six mois plus tard, en plus de remplir un questionnaire sur la qualité de vie liée à la santé aux deux temps de mesure. Les résultats révèlent que la présence du TP ou du TAG comorbide est associée à des DTNC plus sévères et une moins bonne qualité de vie liée à la santé. L'impact du TP sur la sévérité moyenne des DTNC n'apparait pas différent de celui du TAG. En ce qui concerne la qualité de vie liée à la santé, le TP semble davantage associé à une moins bonne qualité de vie physique alors que le TAG semble davantage associé à une moins bonne qualité de vie mentale. Ainsi, les résultats confirment la pertinence d'évaluer spécifiquement les composantes de la qualité de vie puisqu'elles varient en fonction du trouble anxieux comorbide, en plus de suggérer que les interventions à privilégier avec ces patients doivent considérer les aspects propres à chaque trouble anxieux. La seconde est une étude de cohorte longitudinale qui a pour objectif de décrire et comparer l'interférence des DTNC sur le fonctionnement quotidien des patients présentant des DTNC et un TP ou un TAG comorbide, et ce, suivant leur consultation en département d'urgence et six mois plus tard. Cette étude est également la première à tester empiriquement un modèle explicatif de l'interférence des DTNC incluant différents facteurs psychologiques(anxiété, sensibilité à l'anxiété, anxiété cardiaque et alexithymie) chez cette population spécifique de patients. Pour ce faire, 124 patients ayant consulté en département d'urgence pour des DTNC et présentant un TP ou un TAG comorbide ont été sélectionnés à partir d'une étude plus large et observés sur une période de six mois. Tous les patients ont réalisé une entrevue téléphonique afin d'évaluer l'interférence de leurs DTNC suivant leur consultation en département d'urgence et six mois plus tard. Ils ont également rempli une batterie de questionnaires autorapportés et validés au temps initial afin d'évaluer les différents facteurs proposés dans le modèle explicatif. Les résultats mettent en évidence une prévalence élevée d'interférence des DTNC chez les patients présentant un TP ou un TAG comorbide lors des deux temps de mesure. La présence du TP, avec ou sans TAG comorbide, est significativement associée à la présence d'une interférence des DTNC au suivi six mois. Parmi les facteurs proposés dans le modèle, l'anxiété cardiaque est le seul facteur psychologique directement associé à l'interférence des DTNC chez les patients présentant un TP ou un TAG comorbide. L'anxiété cardiaque pourrait donc être considérée comme une cible de traitement additionnelle pour réduire l'interférence des DTNC chez cette population de patients. / This thesis includes two different studies on patients with noncardiac chest pain (NCCP) and a comorbid anxiety disorder (panic disorder (PD) or generalized anxiety disorder (GAD)). The first study concerns a prospective cohort study that describes and compares NCCP severity and the physical and mental components of health-related quality of life in patients with NCCP, with or without comorbid PD or GAD. A total of 915 patients who visited an emergency department for NCCP were selected from a larger study and observed over a six-month period. A telephone interview was conducted to assess NCCP mean severity following the initial emergency department visit and six months later. The patients also completed a questionnaire on health-related quality of life at both time points. The findings show that the presence of comorbid PD or GAD is associated with increased NCCP severity and lowered health-related quality of life. The impact of PD on NCCP mean severity does not appear to be different from that of GAD. However, PD seems to be mainly associated with a poorer physical quality of life, while GAD seems more associated with a poorer mental quality of life. The results confirm the relevance of specifically assessing components of quality of life since they vary according to the comorbid anxiety disorder and suggest that the interventions for these patients must consider specific aspects of each anxiety disorder. The second study concerns a prospective cohort study that describes and compares NCCP-related disability in patients with NCCP and comorbid PD or GAD following the initial emergency department visit and six months later. This study is also the first to empirically test an explanatory model of NCCP-related disability including different psychological factors (anxiety, anxiety sensitivity, heart-focused anxiety, and alexithymia) with this specific population of patients. A total of 124 patients who visited an emergency department for NCCP and presented with comorbid PD or GAD were selected from a larger study and observed over a six-month period. A telephone interview was conducted with all patients to assess their NCCP-related disability following the initial emergency department visit and six months later. The patients also completed validated self-report questionnaires at baseline to assess the different factors proposed in the explanatory model. The results show a high prevalence of NCCP-related disability in patients with comorbid PD or GAD at both time points. The presence of PD, with or without comorbid GAD, was significantly associated with the presence of NCCP-related disability at the six-month follow-up. Among the factors proposed in the model, heart-focused anxiety is the only psychological factor directly associated with NCCP-related disability in patients with comorbid PD or GAD. Heart-focused anxiety could therefore be considered as an additional treatment target to reduce NCCP-related disability in these patients.
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Pratiques parentales associées à la comorbidité trouble déficitaire de l’attention avec hyperactivité et trouble anxieux chez des enfants de 8 à 12 ans : une revue systématique

Vohl, Geneviève 17 February 2021 (has links)
Les pratiques parentales désignent un ensemble de comportements posés par le parent afin d’avoir un impact sur l’éducation et le développement de leur enfant. Toutefois, les chercheurs ont de la difficulté à s’entendre sur une conceptualisation universelle. Pourtant,les pratiques parentales semblent être un facteur impliqué dans l’apparition et le maintien de différents troubles à l’enfance dont le TDAH et le trouble anxieux. Bien que des études aient examiné les pratiques parentales associées à ces deux troubles de manière distinctive, les études s’intéressant aux pratiques parentales associées à la comorbidité TDAH et trouble anxieux chez les enfants de 8 à 12 ans n’ont pas encore fait l’objet d’une recension. Cette recension propose de redéfinir le concept de pratiques parentales afin de regrouper les résultats de ces études. Suivant un processus systématique, cette recension comprend une recherche et une sélection systématisées d’études primaires. Neuf études (n = 9) ont été retenues pour des fins d’analyses. Il en résulte que les pratiques parentales associées à la comorbidité TDAH et trouble anxieux chez les enfants âgés de 8 à 12 ans sont empreintes de négativité et sont liées à des pratiques disciplinaires inconstantes et incohérentes. Toutefois,ces pratiques parentales ne sont pas des facteurs uniques dans l’explication de la relation entre un TDAH et un trouble anxieux subséquent. La présence d’un TDAH chez l’enfant serait le facteur qui contribuerait le plus à l’exacerbation des pratiques parentales négatives augmentant, par conséquent, la probabilité d’un trouble anxieux chez l’enfant. Ces résultats font malgré tout appui à la composante d’entraînement aux pratiques parentales incluse dans le traitement de la comorbidité TDAH et trouble anxieux chez les enfants âgés de 8 à 12 ans. D’autres recherches s’avèrent nécessaires afin de mieux comprendre l’impact unique des pratiques parentales dans cette comorbidité.
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Identification des prédicteurs d'issues de santé défavorable chez le patient dysphagique hospitalisé en soins aigus

Faucher, Nadia 07 February 2024 (has links)
Titre de l'écran-titre (visionné le 5 février 2024) / La dysphagie, une condition fréquemment rencontrée en milieu hospitalier, est associée à plusieurs complications, dont la pneumonie d'aspiration et la malnutrition. La prise en charge rapide des patients à risque élevé est essentielle. L'objectif général de ce mémoire est d'identifier les prédicteurs d'issues de santé défavorable chez les adultes dysphagiques hospitalisés. Pour atteindre cet objectif, nous avons identifié les prédicteurs à partir d'une revue de littérature et de l'avis d'experts cliniques spécialisés en dysphagie. Ensuite, nous avons mené une étude rétrospective chez des adultes hospitalisés au *Centre hospitalier universitaire (CHU) de Québec - Université Laval* qui ont bénéficié d'une évaluation interdisciplinaire en dysphagie par des équipes de nutritionnistes, d'ergothérapeutes et d'orthophonistes entre avril et octobre 2022 (n=420, 55% d'hommes). Nous avons réalisé des analyses multivariées de régression logistique et linéaire pour examiner l'effet de chaque prédicteur sur la mortalité et l'incidence de pneumonie pendant l'hospitalisation, en prenant en compte l'âge et le sexe comme covariables. D'abord, nous avons constaté que les experts consultés étaient majoritairement en accord avec les prédicteurs identifiés dans la littérature et ceux ajoutés durant la rencontre. Dans l'étude rétrospective, nous avons observé un taux de mortalité durant l'hospitalisation de 15,7% et une incidence de pneumonie de 40,5%. Nos résultats ont révélé qu'un accident vasculaire cérébral (AVC), un cancer de la tête ou du cou, et une malnutrition étaient les prédicteurs les plus significativement associés à une augmentation de la mortalité. Une déficience intellectuelle, une maladie pulmonaire obstructive chronique, un reflux gastro-œsophagien et une malnutrition sévère étaient les prédicteurs les plus significativement associés à une incidence accrue de pneumonie. En conclusion, la malnutrition est un important facteur de risque de mortalité et de pneumonie pendant l'hospitalisation chez les patients dysphagiques hospitalisés. Ces résultats contribueront au développement d'un algorithme de dépistage pour cibler efficacement les patients à plus haut risque de complications, permettant ainsi des interventions précoces et efficaces. / Dysphagia is a common condition among adult acute care hospitalized patients and is associated with several adverse health outcomes such as aspiration pneumonia and malnutrition. It is essential to enhance the targeting and management of dysphagic patients at higher risk of complications. The overall objective of this master's thesis is to identify potential predictors of adverse health outcomes in hospitalized dysphagic patients. To achieve our objective, we first identified predictors based on a literature review and opinions of clinical experts in dysphagia. Subsequently, we conducted a retrospective study among adult patients in *Centre hospitalier universitaire (CHU) de Québec - Université Laval* who underwent an interdisciplinary dysphagia assessment by teams of registered dieticians, speech therapists and occupational therapists between April and October 2022 (n=420, 55% male). Multivariate logistic and linear regression analyses were performed to examine the relationship between potential predictors and outcomes (in-hospital mortality and in-hospital pneumonia), including age and sex as covariates. First, we found that consulted experts agreed with most of the predictors identified in the literature and during the meeting. The retrospective study showed an in-hospital mortality rate of 15.7% and an incidence of in-hospital pneumonia of 40.5%. Our results revealed that stroke, head and neck cancer and severe malnutrition were the most significantly predictors associated with a higher in-hospital mortality rate. The presence of intellectual disability, chronic obstructive pulmonary disease (COPD), gastroesophageal reflux, and malnutrition were the most significantly predictors associated with a higher incidence of in-hospital pneumonia. In conclusion, malnutrition is an important risk factor for mortality and pneumonia among hospitalized dysphagic patients. These results will inform the development of a screening algorithm to identify dysphagic patients at higher risk of adverse health outcomes, allowing them to receive timely, high-quality care.
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Facteurs prédictifs de la dépression chez les gens souffrant d'anxiété sociale

Plante-Jean, Marie-Andrée 18 April 2018 (has links)
La phobie sociale et la dépression sont deux troubles souvent retrouvés en comorbidité. Plusieurs études ont démontré que la phobie sociale se manifestait en premier et constituerait ainsi un facteur de risque pour le développement de la dépression. Toutefois, aucune étude à ce jour n'a identifié les facteurs plus précis associés à l'anxiété sociale qui pouvaient mener à la dépression. La présente thèse se propose de répondre à cette question par le biais de deux études. La première vise à identifier un ensemble de facteurs permettant de prédire la présence d'un épisode dépressif majeur au cours des douze derniers mois dans un large échantillon représentatif de gens souffrant de phobie sociale, en vérifiant plus spécifiquement le rôle de la qualité de vie et du soutien social. L'étude est réalisée auprès de 1189 personnes ayant reçu un diagnostic de phobie sociale, à l'aide des données de / 'Enquête sur la Santé dans les collectivités canadiennes (ESCC): Santé mentale et bien-être (cycle 1.2), menée par Statistique Canada en 2002. Une deuxième étude vise à identifier les médiateurs de la relation entre l'anxiété sociale et les symptômes dépressifs et à confirmer la séquence temporelle des relations proposées. Un modèle est élaboré et testé auprès de 321 personnes de la population générale, en majorité des étudiants, qui ont rempli des questionnaires sur différentes variables psychologiques. Une étude longitudinale est par la suite réalisée afin d'identifier des facteurs associés au développement, à la rémission et à la chronicité des symptômes dépressifs chez les personnes socialement anxieuses. De façon générale, les études confirment le rôle des cognitions, de l'évitement des expériences internes, des habiletés sociales, de l'évitement des situations sociales, de la qualité de vie et du soutien social dans l'augmentation du risque de présenter des symptômes dépressifs. Dans l'ensemble, les résultats pourraient permettre de cibler les personnes les plus à risque de développer une dépression parmi les personnes souffrant de phobie sociale, en plus de proposer des cibles d'intervention pouvant prévenir le développement de la dépression ou en favoriser la rémission, ou encore pouvant être priorisées chez les gens souffrant des deux troubles en comorbidité.
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Perturbations du sommeil, du fonctionnement diurne et de la qualité de vie associées à l'insomnie comorbide à un trouble psychiatrique ou médical

Perozzo, Cristina 24 April 2018 (has links)
Cette thèse visait à comparer les perturbations du sommeil, du fonctionnement diurne et de la qualité de vie associées à l’insomnie comorbide à un trouble psychiatrique ou médical à celles de l’insomnie seule. En premier lieu, une revue de littérature sur les perturbations du sommeil et du fonctionnement diurne caractérisant l’insomnie comorbide, comparativement à l’insomnie seule, a été effectuée. Celle-ci incluait 38 études et a révélé que l’insomnie comorbide à un trouble psychiatrique n’était pas associée à des perturbations du sommeil subjectives plus sévères que l’insomnie seule, mais qu’elle était liée à une variabilité internuits du sommeil plus importante. L’insomnie comorbide à un trouble dépressif comportait une proportion plus élevée de sommeil paradoxal et moins d’activité électroencéphalographique à hautes fréquences au cours de la nuit que l’insomnie seule. L’insomnie comorbide à un trouble psychiatrique (principalement dépressif) était liée à une utilisation accrue des soins de santé et à des perturbations plus sévères de l’humeur, de la cognition et des tâches quotidiennes. Peu de différences sur le plan du sommeil ont été observées entre l’insomnie avec et l’insomnie sans douleur chronique comorbide. La fréquence et la sévérité des perturbations de l’humeur ainsi que les risques d’absentéisme et d’invalidité au travail étaient plus élevés lorsque l’insomnie était accompagnée de douleur. Parmi les recherches recensées, la plupart portaient sur l’insomnie comorbide à un trouble dépressif ou à une condition douloureuse. Un nombre limité d’études a exploré la comorbidité médicale et celles qui ont évalué les perturbations objectives du sommeil dans l’insomnie avec et sans comorbidité psychiatrique ont obtenu des résultats mitigés. Plusieurs études comportaient des limites méthodologiques majeures, telles que l’utilisation de critères distincts afin de définir l’insomnie dans différents groupes au sein d’une même étude et le manque de contrôle des effets confondants d’autres troubles comorbides et de médicaments prescrits. Tenant compte de ces limites, une étude empirique visant à comparer les perturbations du sommeil, du fonctionnement diurne et de la qualité de vie qui caractérisent l’insomnie comorbide à un trouble psychiatrique et l’insomnie comorbide à un trouble médical à celles de l’insomnie seule a été réalisée. L’échantillon était composé de 84 adultes, répartis en cinq groupes : insomnie seule (INS; n = 22), insomnie comorbide à un trouble psychiatrique (INS+PSY; n = 16), insomnie comorbide à un trouble médical (INS+MED; n = 14), bons dormeurs avec un trouble médical (BD+MED; n = 17) et bons dormeurs en santé (n = 15). Des analyses multivariées suivies de corrélations canoniques pour des contrastes planifiés ont révélé que le groupe INS+PSY rapportait un sommeil non réparateur un plus grand nombre de nuits par semaine et des atteintes diurnes plus sévères (motivation, fatigue physique, fonctionnement physique et occupationnel, impacts de l’insomnie) que le groupe INS. Selon des agendas du sommeil, les participants du groupe INS+MED dormaient moins longtemps et se réveillaient plus souvent la nuit que ceux du groupe INS. Ces premiers étaient aussi moins productifs au travail. Comparativement aux BD+MED, le groupe INS+MED était plus déprimé et fatigué et avait un fonctionnement occupationnel plus perturbé, alors que le groupe INS avait un meilleur fonctionnement physique, mais plus de symptômes dépressifs, un niveau de fatigue plus élevé et moins de vitalité. Les résultats de la thèse suggèrent que la nature des difficultés de sommeil dans l’insomnie comorbide à un trouble dépressif et l’insomnie seule pourrait différer et que l’insomnie comorbide à un trouble psychiatrique est caractérisée par des perturbations du fonctionnement diurne plus sévères, comparativement à l’insomnie seule. L’insomnie comorbide à un trouble médical est liée à un sommeil plus fragmenté et de courte durée et à plus de difficultés sur les plans de l’humeur et du fonctionnement occupationnel que l’insomnie seule. Ces observations soulèvent les possibilités que l’insomnie comorbide à un trouble psychiatrique soit un sous-type d’insomnie distinct de l’insomnie seule et que la comorbidité d’un trouble psychiatrique favorise le maintien de l’insomnie par le biais de processus cognitifs et comportementaux transdiagnostiques (p. ex., mode de pensée répétitif). Les résultats appuient la pertinence d’adapter les interventions pour l’insomnie chez les personnes qui ont un autre trouble, notamment psychiatrique, afin de les aider à surmonter le fardeau d’un double diagnostic et de leur assurer un meilleur sommeil et bien-être. / This thesis aimed to compare the disturbances in sleep, daytime functioning, and quality of life associated with insomnia with a comorbid psychiatric or medical disorder to those of insomnia alone. First, a review of the literature on the sleep disturbances and daytime impairments characterizing comorbid insomnia as compared to insomnia alone was conducted. The review included 38 studies and revealed that insomnia with a comorbid psychiatric disorder was not associated with more severe subjective sleep disturbances than insomnia alone, but that it was related to increased night-to-night sleep variability. Insomnia comorbid with a depressive disorder involved a higher proportion of rapid eye movement (REM) sleep and less high frequency electroencephalographic activity during the night than insomnia alone. Insomnia with a comorbid psychiatric (mainly depressive) disorder was linked to higher health care use and more severe daytime impairments in mood, cognition, and ability to complete daily activities. Few differences in sleep were observed between insomnia with and insomnia without comorbid chronic pain. The rate and severity of mood disturbances and risks of sick leave and disability were higher when insomnia was accompanied by pain. Among reviewed studies, most investigated insomnia with a comorbid depressive disorder or painful condition. A limited number explored medical comorbidity and those that compared objective sleep disturbances in insomnia with and without a comorbid psychiatric disorder yielded inconclusive results. Many studies had major methodological limitations, including the use of different criteria to define insomnia for subgroups within a same study and the lack of control for the confounding effects of other comorbid disorders and prescribed medications. Considering these limitations, an empirical study comparing the sleep disturbances and daytime impairments characterizing insomnia with a comorbid psychiatric disorder and insomnia with a comorbid medical disorder to those of insomnia alone was conducted. The sample included 84 adults, divided into five groups: insomnia alone (INS; n = 22), insomnia comorbid with a psychiatric disorder (INS+PSY; n = 16), insomnia comorbid with a medical disorder (INS+MED; n = 14), good sleepers with a medical disorder (GS+MED; n = 17), and healthy good sleepers (n = 15). Multivariate analyses followed by canonical correlations for a priori contrasts revealed the INS+PSY group reported more nights of nonrestorative sleep and more severe daytime impairments (motivation, physical fatigue, physical and occupational functioning, insomnia-related consequences) than the INS group. According to sleep diaries, participants in the INS+MED group had shorter nights of sleep and more nighttime awakenings than those in the INS group. The former were also less productive at work. Compared to GS+MED, the INS+MED group was more depressed and fatigued, and had poorer occupational functioning, while the INS group had better physical functioning, but more severe depressive symptoms, higher levels of fatigue, and less vitality. Results of the thesis suggest that the nature of sleep complaints differs in insomnia with and without a comorbid depressive disorder and that insomnia with a comorbid psychiatric disorder is characterized by more severe daytime deficits compared to insomnia alone. Insomnia with a comorbid medical disorder was associated with a shorter and more fragmented sleep, and with more impairments in mood and role functioning than insomnia alone. Findings raise the possibilities that insomnia with a comorbid psychiatric disorder is distinct from insomnia alone and that psychiatric comorbidity contributes to the maintenance of insomnia via transdiagnostic cognitive and behavioral processes (e.g., repetitive thinking). Results support the relevance of adapting interventions for insomnia among persons with another disorder, notably a psychiatric disorder, to help them overcome the burden of a dual diagnosis and insure improved sleep and well-being.

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