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Taux de comorbidité du traumatisme cranio-cérébral et du trouble de stress post-traumatique chez les civils et les militaires : une méta-analyse

Loignon, Alexandra 03 December 2019 (has links)
La fréquence et les facteurs de risque entourant le développement d’un trouble de stress post-traumatique (TSPT) après un traumatisme cranio-cérébral (TCC) sont méconnus. Étant davantage disposés à subir des blessures physiques et à vivre des expériences potentiellement traumatiques, les militaires pourraient être plus à risque de présenter la comorbidité TCC-TSPT. Le présent mémoire vise à documenter la fréquence du TSPT après un TCC, les mécanismes expliquant le développement de cette double condition, ses particularités symptomatologiques ainsi que les conditions la favorisant. Une recension systématique et une méta-analyse ont été réalisées pour déterminer si les adultes ayant subi un TCC présentent plus de risque de développer un TSPT que ceux sans TCC ayant vécu une expérience similaire, et si ce risque est plus élevé chez les militaires comparativement aux civils. Un objectif secondaire vise à déterminer les facteurs augmentant les risques de présenter ce double diagnostic. Les résultats de la méta-analyse de 33 études suggèrent que le risque de TSPT est 2,68 fois plus élevé (27%) après un TCC qu’en l’absence d’une telle blessure (11%). De plus, les militaires avec un TCC présentent 4,18 fois plus de TSPT (37%) que ceux sans TCC, comparativement à 1,26 pour les civils (16%). Le risque de présenter le double diagnostic varie selon la méthodologie des études (objectifs liés au TSPT, groupe de comparaison) et les caractéristiques spécifiques des participants (pays d’origine, sexe, type d’événement traumatique). La présence d’un TCC représente un facteur de risque pour le développement d’un TSPT, et ce, spécialement chez les militaires et les vétérans. La cooccurrence de ces deux troubles complique le portrait des patients, la charge des proches et le travail des cliniciens. Ce double diagnostic requière une collaboration interdisciplinaire étant donné la complexité du portrait des personnes ayant été soumises à un trauma autant physique que psychologique. / The risk of developing a posttraumatic stress disorder (PTSD) after a traumatic brain injury (TBI) and the factors that may affect the manifestation of both disorders in a same individual remain to be clarified. Military personnel (including veterans who have been active members) are at higher risk of physical injuries and exposure to potentially traumatic events and could be particularly susceptible to display the TBI-PTSD comorbidity. This dissertation aims to depict the frequency of PTSD after TBI, the mechanisms behind the development of this dual diagnosis, its symptomatic particularities and risk factors. A systematic review and meta-analysis were conducted to determine if adults with TBI are at greater risk of developing PTSD than other trauma-exposed populations, and if this risk is even greater in military than in civilian populations. A secondary aim was to determine the factors that increase the probability to experience PTSD after TBI. Results from the 33 studies that were included in this meta-analysis suggest that the risk of developing PTSD is 2.68 times greater (27%) after TBI than when there is no such head injury (11%). Moreover, individuals with TBI are 4.18 times more likely to have a diagnosis of PTSD than those without TBI when they are in the military (37%), compared with 1.26 for civilians (16%). The risk of PTSD after TBI is concurrently attributable to the methods of the included studies (objectives focused on PTSD diagnosis, type of comparison group) and to participants’ characteristics (country, sex, type of traumatic event). TBI diagnosis represents greater risk for PTSD, especially in military and veteran settings. The dual diagnosis of TBI and PTSD complicates the patients’ portrait, the burden of the caregivers and the clinicians’ work. The combination of these disorders requires an interdisciplinary collaboration, as physical and psychological traumas are closely intertwined.
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La comorbidité schizophrénie - toxicomanie : modèles cliniques et neurobiologiques et traitement pharmacologique

Potvin, Stéphane January 2006 (has links)
Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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La comorbidité chez les joueurs pathologiques en traitement

González-Sicilia Fernández, Daniela 07 1900 (has links)
Plusieurs études telles que le NESARC ont démontré la comorbidité chez les joueurs pathologiques dans la population générale et dans des échantillons cliniques. Le jeu pathologique se présente souvent avec des troubles comorbides tels que les toxicomanies, les troubles de l’humeur, les troubles anxieux et les troubles de la personnalité. Cette étude a été réalisée auprès de 40 joueurs pathologiques admis en traitement au Centre Dollard-Cormier, Institut universitaire sur les dépendances à Montréal. Les objectifs étaient d’évaluer : la consommation d’alcool et de drogues, la présence d’une détresse psychologique caractérisée par des symptômes et des syndromes cliniques ainsi que par des troubles de la personnalité et la prévalence du trouble de l’ÉSPT dans l’échantillon. L’ICJE a été utilisé pour évaluer la gravité du jeu. Les autres troubles ont été mesurés à travers l’IGT, l’AUDIT, le MCMI-III, le QÉT et l’ÉMST. Les résultats montrent que 65 % des participants présentent une consommation problématique d’alcool (25 % actuellement, 40 % dans le passé), 27,5 % une consommation problématique de drogues; 52,5 %, un diagnostic probable d’au moins un syndrome clinique (surtout anxiété et dépression), 55 %, un diagnostic probable d’au moins un trouble de la personnalité; 30 %, des symptômes du trouble d’ÉSPT et 17,5 %, un diagnostic probable du trouble. Alors, la comorbidité est présente chez les joueurs pathologiques de l’échantillon. Il est essentiel de l’identifier pour mieux répondre aux besoins particuliers de l’individu et l’aider avec les symptômes qui aggravent le problème de jeu et augmentent le risque de récidive. / Several studies such as the NESARC have demonstrated the comorbidity in pathological gamblers in the general population and in clinical samples. Pathological gambling often occurs with other comorbid disorders, such as addictions, mood disorders, anxiety disorders, and personality disorders. This study was conducted among 40 pathological gamblers admitted in treatment at Centre Dollard-Cormier, Institut universitaire sur les dépendances, in Montreal. The objectives were to assess the use of alcohol and drugs, the presence of psychological distress characterized by clinical symptoms and syndromes as well as by personality disorders, and the prevalence of PTSD in the gamblers of the sample. The CPGI was used to assess the severity of gambling. The other disorders were measured through the ASI, the AUDIT, the MCMI-III, the QÉT and the ÉMST. The results show that 65% of participants had a problem with alcohol (25% currently, 40% in the past), 27.5% presented a problematic drug use, 52.5% had a potential diagnosis of at least one clinical syndrome (mainly anxiety and depression), 55% had a potential diagnosis of at least one personality disorder, 30% presented symptoms of PTSD and 17.5% had a potential diagnosis of PTSD. In conclusion, comorbidity exists in the pathological gamblers of the sample. It is essential to identify it in order to better address the needs of the individual and to help him with the symptoms that worsen the gambling problem and increase the risk of recurrence.
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Étude du fonctionnement des familles d'enfants présentant un TDA/H

Lemelin, Geneviève January 2007 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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La comorbidité chez les joueurs pathologiques en traitement

González-Sicilia Fernández, Daniela 07 1900 (has links)
Plusieurs études telles que le NESARC ont démontré la comorbidité chez les joueurs pathologiques dans la population générale et dans des échantillons cliniques. Le jeu pathologique se présente souvent avec des troubles comorbides tels que les toxicomanies, les troubles de l’humeur, les troubles anxieux et les troubles de la personnalité. Cette étude a été réalisée auprès de 40 joueurs pathologiques admis en traitement au Centre Dollard-Cormier, Institut universitaire sur les dépendances à Montréal. Les objectifs étaient d’évaluer : la consommation d’alcool et de drogues, la présence d’une détresse psychologique caractérisée par des symptômes et des syndromes cliniques ainsi que par des troubles de la personnalité et la prévalence du trouble de l’ÉSPT dans l’échantillon. L’ICJE a été utilisé pour évaluer la gravité du jeu. Les autres troubles ont été mesurés à travers l’IGT, l’AUDIT, le MCMI-III, le QÉT et l’ÉMST. Les résultats montrent que 65 % des participants présentent une consommation problématique d’alcool (25 % actuellement, 40 % dans le passé), 27,5 % une consommation problématique de drogues; 52,5 %, un diagnostic probable d’au moins un syndrome clinique (surtout anxiété et dépression), 55 %, un diagnostic probable d’au moins un trouble de la personnalité; 30 %, des symptômes du trouble d’ÉSPT et 17,5 %, un diagnostic probable du trouble. Alors, la comorbidité est présente chez les joueurs pathologiques de l’échantillon. Il est essentiel de l’identifier pour mieux répondre aux besoins particuliers de l’individu et l’aider avec les symptômes qui aggravent le problème de jeu et augmentent le risque de récidive. / Several studies such as the NESARC have demonstrated the comorbidity in pathological gamblers in the general population and in clinical samples. Pathological gambling often occurs with other comorbid disorders, such as addictions, mood disorders, anxiety disorders, and personality disorders. This study was conducted among 40 pathological gamblers admitted in treatment at Centre Dollard-Cormier, Institut universitaire sur les dépendances, in Montreal. The objectives were to assess the use of alcohol and drugs, the presence of psychological distress characterized by clinical symptoms and syndromes as well as by personality disorders, and the prevalence of PTSD in the gamblers of the sample. The CPGI was used to assess the severity of gambling. The other disorders were measured through the ASI, the AUDIT, the MCMI-III, the QÉT and the ÉMST. The results show that 65% of participants had a problem with alcohol (25% currently, 40% in the past), 27.5% presented a problematic drug use, 52.5% had a potential diagnosis of at least one clinical syndrome (mainly anxiety and depression), 55% had a potential diagnosis of at least one personality disorder, 30% presented symptoms of PTSD and 17.5% had a potential diagnosis of PTSD. In conclusion, comorbidity exists in the pathological gamblers of the sample. It is essential to identify it in order to better address the needs of the individual and to help him with the symptoms that worsen the gambling problem and increase the risk of recurrence.
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Synthèse systématique des écrits : les instruments d’évaluation de la comorbidité psychiatrique présentée par les adolescent(e)s

Marchiori, Nathalie 04 1900 (has links)
No description available.
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Exploration de la reconnaissance des émotions en schizophrénie comorbide

Paquin, Karine 11 1900 (has links)
No description available.
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Conséquences imprévues : comprendre les maladies cardiovasculaires chez les adultes âgés atteints d’épilepsie

Husein, Nafisa 08 1900 (has links)
INTRODUCTION. La charge mondiale des maladies cardiovasculaires (MCV) ne cesse d’augmenter. Une population particulièrement vulnérable à ces maladies est celle des adultes âgés ayant une maladie neurologique : l’épilepsie. Plusieurs études démontrent que les adultes âgés atteints d’épilepsie ont un risque plus élevé de développer une MCV par rapport à la population générale. Cette association est étonnamment peu étudiée chez cette population. Afin de développer des programmes de soins de santé pour prévenir l’apparition de comorbidité de MCV chez les personnes atteintes d’épilepsie, dresser un portrait précis des adultes âgés atteints d’épilepsie est nécessaire. OBJECTIFS. Afin de combler les lacunes de la littérature scientifique sur les causes du fardeau élevé des MCV chez les adultes âgés atteints d’épilepsie, l’objectif de ce mémoire est d’étudier la répartition des facteurs sociaux, mode de vie et comportements, ainsi que des maladies chroniques connues comme étant des facteurs de risque de MCV chez les adultes âgés atteints d’épilepsie comparée à la population générale. En outre, nous visons à mesurer l’association transversale entre l’épilepsie et les MCV chez les adultes âgés, avec et sans ajustement pour des antécédents d’accidents vasculaires cérébraux (AVC), ainsi qu’à trouver des preuves d’interactions entre l’épilepsie et les facteurs de risque de MCV. MÉTHODES. Nous avons analysé les données de 44 817 participants de l’Étude longitudinale canadienne sur le vieillissement (ÉLCV), une cohorte d’étude longitudinale composée d’individus âgés d’au moins 45 ans et plus dont plus de 700 personnes ont des antécédents d’épilepsie autodéclarés au cours de leur vie. En ajustant pour l’âge, le sexe et le statut d’AVC, nous avons utilisé la régression log-binomiale pour modéliser les associations transversales entre les facteurs de risque de MCV, l’épilepsie et les MCV telles que les maladies cardiaques, les maladies vasculaires périphériques et les infarctus du myocarde. Nous avons comparé le fardeau des MCV attribuable par les AVC dans la population avec et sans épilepsie. Des modèles de régression multivariés ont également été stratifiés en fonction du statut d’épilepsie afin d’observer des différences dans ces associations entre les personnes atteintes d’épilepsie et les personnes non atteintes d’épilepsie. Finalement, nous avons testé l’existence d’interactions entre les facteurs de risque de MCV et l’épilepsie, et leur association avec le statut de MCV. Nous avons utilisé l’imputation multiple pour remplacer les données manquantes. RÉSULTATS. La majorité des caractéristiques sociodémographiques, mode de vie et comportements et maladies chroniques, sélectionnées comme facteurs de risque de MCV dans notre étude, étaient significativement plus prévalentes chez les personnes atteintes d’épilepsie comparée à la population générale non atteinte d’épilepsie. Le fardeau des MCV attribuable par les AVC chez les personnes atteintes d’épilepsie n’était que de 36 %, soit un taux similaire à celui de la population générale qui lui s’élevait à 32 %. Même après l’ajustement du statut d’AVC, ainsi que de l’âge et du sexe, les personnes atteintes d’épilepsie présentaient une prévalence significativement plus élevée de maladies cardiaques [ratio de prévalence (PR) = 1,27 (IC à 95 % : 1,02-1,57)] et de maladies vasculaires périphériques [PR = 1,88 (IC à 95 % : 1,50-2,36)]. Bien qu’elle ne soit plus significative, la tendance vers une augmentation de la prévalence des infarctus du myocarde chez les personnes atteintes d’épilepsie était maintenue [PR = 1,19 (IC à 95 % : 0,89-1,60)]. Finalement, parmi tous les facteurs de risque de MCV, seuls l’âge, l’hypertension et la maladie pulmonaire chronique obstructive ont été associés à une augmentation significative de la prévalence d’une ou plusieurs MCV. CONCLUSION. La grande taille de l’échantillon et l’étendue des informations sur la santé saisies par l’ÉLCV (c’est-à-dire démographiques, sociales, physiques, psychologiques, économiques, physiologiques) nous ont permis de modéliser une analyse approfondie et de présenter un reflet juste d’une population d’adultes âgés. Le mémoire présenté démontre que les facteurs de risque de MCV sont plus fréquemment observés chez les personnes atteintes d’épilepsie et l’association entre l’épilepsie et les MCV est indépendante de l’association entre l’épilepsie et les AVC. Ces résultats constituent une première étape importante pour mieux comprendre les origines des MCV chez les personnes atteintes d’épilepsie. L’analyse de médiation aurait pu être un moyen d’approfondir mes analyses. Cela n’a pas été possible avec l’analyse actuelle étant donné que nous n’avions aucun moyen d’établir la séquence temporelle de nos données. Les adultes âgés constituent une population vulnérable à laquelle les prestataires de soins de santé doivent accorder une attention particulière. Mener des études longitudinales sur les personnes dont les crises d'épilepsie viennent d'être diagnostiquées et qui présentent une maladie chronique, des caractéristiques sociodémographiques et un mode de vie entièrement caractérisé (avant et après le diagnostic d'épilepsie) sont nécessaires. / INTRODUCTION. The global burden of cardiovascular disease (CVD) is steadily increasing. A population particularly vulnerable to these diseases are the older adults with a neurological condition: epilepsy. Several studies show that older adults with epilepsy have a higher risk of developing CVD when compared to the general population. This association is surprisingly poorly studied among people with epilepsy. In order to develop health care programs to prevent the onset of CVD comorbidity in people with epilepsy, creating an accurate portrait of older adults with epilepsy is required. OBJECTIVES. In order to fill the gaps in the scientific literature on the causes of the high burden of CVD in older adults with epilepsy, the purpose of this thesis is to investigate the distribution of social factors, lifestyle and behaviors, as well as chronic disease CVD risk factors, in people with epilepsy as compared to the general population. In addition, we aim to measure the cross-sectional association between epilepsy and CVD in older adults, with and without adjustments for a history of stroke as well as looking for evidence of interactions between epilepsy and CVD risk factors. METHODS. We analysed data for 44,817 participants in the Canadian Longitudinal Study on Aging (CLSA), a longitudinal study cohort of individuals aged at least 45 years and where more than 700 individuals have a lifetime self-reported history of epilepsy. Adjusting for age, sex and stroke, we used log-binomial regression to model the cross-sectional associations between CVD risk factors, epilepsy, and CVD such as heart disease, peripheral vascular disease, and myocardial infarction. We compared the CVD burden attributable to stroke in the population with and without epilepsy. Multivariable regression models were also stratified across levels of epilepsy status to observe for differences in these associations between epilepsy and people without epilepsy. Finally, we tested the existence of interactions between CVD risk factors and epilepsy and their association with CVD status. We used multiple imputation to replace missing data. RESULTS. The majority of the sociodemographic characteristics, lifestyle and behavior and chronic diseases, selected as CVD risk factors in our study, were significantly more prevalent in people with epilepsy as compared to the general population without epilepsy. The CVD burden attributable to stroke in people with epilepsy was only 36%, similar to the general population which reached 32%. Even after adjusting for a history of stroke, as well as age and sex, people with epilepsy had a significantly higher prevalence of heart disease [prevalence ratio (PR) = 1.27 (95% CI: 1.02, 1.57)] and peripheral vascular disease [PR = 1.88 (95% CI: 1.50, 2.36)]. Although no longer significant, the trend towards an increase in the prevalence of myocardial infarction in people with epilepsy was maintained [PR = 1.19 (95% CI: 0.89, 1.60)]. Finally, among all the CVD risks factors, only age, hypertension, and chronic obstructive pulmonary disease were associated with significant increases in the prevalence of one or more of the CVD. CONCLUSION. The large sample size and breadth of health information captured by the CLSA (i.e. demographic, social, physical, psychological, economic, physiological) allowed us to model in-depth analysis and present a fair reflection of an older adult population. The presented thesis demonstrates that CVD risk factors are more frequently seen in people with epilepsy and that the association between epilepsy and CVD is independent of the association between epilepsy and stroke. These findings are important first steps in more comprehensively understanding the origins of CVD in people with epilepsy. Mediation analysis could have been a way of further examining my analysis. This was not possible with the current analysis given that we had no way to establish the temporal sequence of our data. Older adults are a vulnerable population in which health care providers should pay particular attention. Conducting longitudinal studies of individuals with newly diagnosed epilepsy seizures and fully characterized chronic disease, sociodemographic characteristics and lifestyle (prior to and post a epilepsy diagnosis) are needed.
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Contribution des facteurs de risque vasculaires dans le développement de troubles cognitifs et de démence dans la maladie de Parkinson idiopathique

Doiron, Maxime 24 April 2018 (has links)
Chez les aînés autrement en santé, les facteurs de risque vasculaires (FRV), tels que l’hypertension artérielle, le diabète sucré, l’hypercholestérolémie et le tabagisme, sont d’importants facteurs de risque pour les troubles cognitifs, les symptômes psychologiques et comportementaux ainsi que la démence. Néanmoins, il y a actuellement peu de connaissances quant aux conséquences des maladies cérébro-vasculaires et des FRV dans la maladie de Parkinson idiopathique (MP). Les troubles d’ordre neuropsychologique ont un impact considérable sur la qualité de vie des patients et de leurs proches et constituent un aspect important du tableau clinique de la MP. Par conséquent, il est crucial d’identifier les facteurs y prédisposant. Les FRV offrent plusieurs pistes d’interventions intéressantes, puisqu’ils peuvent être modifiés et traités. Ainsi, cette thèse avait pour objectifs principaux d’étudier si les FRV contribuaient aux troubles cognitifs et la démence associés à la MP, et dans l’affirmative, de préciser le profil neuropsychologique des patients MP présentant des FRV. La thèse se divise en six chapitres, chacun adressant un objectif particulier. Le Chapitre 1 introduit les principaux concepts de la problématique et présente les particularités de l’étude des conséquences neurocognitives des FRV dans le contexte spécifique de la MP. Le Chapitre 2 est une recension systématique des écrits qui a permis de faire état des connaissances actuelles sur la question, en plus de soulever les limites des études antérieures afin de guider les travaux subséquents de cette thèse doctorale. Le Chapitre 3 présente une analyse transversale incluant 139 patients MP et montre que la sévérité de l’histoire de tabagisme est associée à un fonctionnement cognitif global inférieur, même chez les patients ayant cessé de fumer, et ce, indépendamment de l’âge et du niveau d’éducation. Le Chapitre 4 présente une étude empirique basée sur la banque de données longitudinale du Parkinson’s Progression Markers Initiative (PPMI), et conclut que le nombre d’années avec un diagnostic d’hypertension artérielle ainsi qu’une pression différentielle élevée ont des effets délétères sur les mesures de mémoire épisodique et de fluidité verbale sémantique. Le Chapitre 5 détaille la dernière étude empirique de la thèse et expose les effets dommageables du fardeau vasculaire total sur les fonctions exécutives et la mémoire épisodique, à la fois dans un groupe de patients MP et un groupe de participants contrôles. Enfin, le Chapitre 6 se veut une synthèse, une mise à jour et une réflexion critique des résultats obtenus dans le cadre des travaux de cette thèse. / Vascular risk factors (VRFs) such as hypertension, diabetes mellitus, hypercholesterolemia and smoking are important risk factors for cognitive impairment, psychiatric disorders and dementia in otherwise healthy older adults. However, there is little knowledge about the influence of cerebrovascular diseases and VRFs on cognition in idiopathic Parkinson's disease (PD). Cognitive impairment and dementia are an important part of the clinical presentation of PD and have a considerable impact on the quality of life of the patients and their caregivers. Therefore, it is crucial to identify potential risk factors for neuropsychological disorders in PD. VRFs offer many possibilities for intervention in clinical settings, since they can be modified and treated. Thus, the main objectives of this dissertation were to study whether VRFs contribute to cognitive impairment and dementia associated with PD, and if so, to specify the neuropsychological profile of MP patients with VRFs. The dissertation is divided into six chapters, each addressing a particular objective. Chapter 1 introduces the main concepts of the problem and presents the specific challenges of the study of the neurocognitive consequences of VRFs in the specific context of PD pathology and treatment. Chapter 2 is a systematic and critical review of the literature that presents the current knowledge on this issue, in addition to identifying and discussing the limits of the previous studies to guide the subsequent work of this dissertation. Chapter 3 presents a cross-sectional analysis including 139 PD patients that shows that the severity of smoking history is associated with lower global cognitive functioning, even in patients who quit smoking, and regardless of age and level of education. Chapter 4 presents an empirical study based on the longitudinal database of the Parkinson's Progression Markers Initiative (PPMI), and concludes that the number of years with a diagnosis of hypertension and high pulse pressure have deleterious effects on measures of episodic memory and semantic fluency. Chapter 5 presents the last empirical study of this dissertation and shows that a higher vascular burden is independently associated with worse performance on executive functions and episodic memory, both in a group of PD patients and a group of otherwise healthy controls. Finally, Chapter 6 presents a summary, an update and a critical discussion of the results obtained over the last five years.
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La dépression suite à un traumatisme cranio-cérébral : la contribution de la douleur, des comorbidités et des blessures aux autres parties du corps

Tessier, Danielle 24 April 2018 (has links)
La dépression est le trouble psychiatrique le plus fréquent dans la population ayant subi un traumatisme cranio-cérébral (TCC). Les blessures aux autres parties du corps, les problèmes de santé, la douleur et les migraines semblent liés à la dépression post-TCC. L’objectif de ce mémoire est de mieux comprendre ces liens. Les taux de dépression chez les individus ayant des blessures aux autres parties du corps au moment du TCC ou de la douleur significative, des migraines, la prise d’analgésiques ou des problèmes de santé comorbides à 4, 8 et 12 mois post-blessure ont été comparés à ceux des gens qui ne présentent pas ces facteurs. Ensuite, l’influence de ces variables à 4 mois post-TCC sur le risque de développer la dépression au cours de la première année post-TCC a été analysé. Le risque de présenter une dépression au cours de la première année post-TCC est plus élevé pour les individus qui rapportent des blessures aux membres inférieurs au moment du TCC et de la douleur significative, des migraines, la prise d’analgésiques et des problèmes de santé comorbides à 4 mois post-blessure. Une histoire de dépression pré-morbide demeure la variable avec la plus grande force prédictive d’une dépression post-TCC. Ces résultats démontrent l’importance de suivis ciblés pour la population TCC présentant ces facteurs. / Depression is the most common psychiatric disorder after traumatic brain injury (TBI). Injuries to other parts of the body, physical illnesses, pain and migraine headaches seem to be related to post-TBI depression. The goal of this memoire is to better understand these relationships. Rates of depression in individuals having injuries to other parts of the body at the time of the accident and significant pain, migraines, use of analgesics and physical health concerns at 4, 8 and 12 months post-TBI were compared to those who did not. The influence of these variables at 4 months post-injury on the development of depression over the first year post-TBI was then analysed. The risk of presenting with depression over the first year post-TBI is increased for individuals reporting injuries to lower limbs at the time of the accident and significant pain, migraines, use of analgesics and health problems at 4 months post-injury. A history of pre-injury depression remains the strongest predictor of post-TBI depression. These results demonstrate the importance of targeted follow-up for TBI populations presenting with these factors.

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