• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 62
  • 33
  • 20
  • 18
  • 10
  • 7
  • 7
  • 7
  • 7
  • 7
  • 5
  • 4
  • 3
  • 2
  • 1
  • Tagged with
  • 167
  • 112
  • 43
  • 43
  • 26
  • 17
  • 16
  • 15
  • 15
  • 15
  • 14
  • 14
  • 13
  • 13
  • 13
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
131

Duplicite chamanique et verite d’une folie dans <i>Le neveu de Rameau</i> de Diderot et <i>Caligula</i> d’Albert Camus

Mingallon, Dionisio 24 May 2017 (has links)
No description available.
132

Nicolas Le Camus de Mézières : at play in the hôtel

Macek, Daniel G. January 1997 (has links)
No description available.
133

L’HUMANISME INTERMINABLE DE DIDEROT : LA PROLEPSE DANS L’ARTICLE ENCYCLOPEDIE DE L’ENCYCLOPEDIE

Bonin, Philippe Claude 24 July 2003 (has links)
No description available.
134

La pensée pédagogique de Denis Diderot

Hénaire, Jean 25 April 2018 (has links)
Montrer que la compréhension des idées pédagogiques de Diderot est importante pour celui qui veut saisir la complexité des relations humaines du 18ième siècle n'est pas chose facile au départ. Mais les chercheurs, érudits et professeurs qui se sont donnés la peine de lire les ouvrages de l'encyclopédiste n'ont pas manqué de constater qu'il a laissé dans ses écrits des traces évidentes reliées de près à des préoccupations pédagogiques. Mais ces indices ne rendent pas la recherche plus facile pour autant; les écrits qui touchent de près à l'éducation sont plus nombreux qu'on ne serait porté à le croire à priori. Abstraction faite des "classiques de Diderot sur l'éducation" à travers lesquels le souci d'une action pédagogique est évidente, les ouvrages du philosophe contiennent, éparpillés ça et là, tantôt de simples digressions, tantôt de véritables fragments réservés tout entiers aux idées pédagogiques. Ce travail d'émondage, l'on s'en doute, conditionne le chercheur à ne rien laisser au hasard. La somme pédagogique de Diderot, c'est à proprement parler l'ensemble de ses écrits parmi lesquels certains servent dans bien des cas d'armature philosophique à d'autres. Sa contribution au monde de l'éducation NE PEUT ETRE CONSIDEREE comme un APPORT PROSPECTIF pour notre société contemporaine car sa pédagogie n'invite pas à la curiosité comme celle de Rousseau. Parmi les raisons qui expliquent cette indifférence nous pouvons souligner que d'un côté, l'ombre de Jean-Jacques Rousseau, dont la contribution à la pensée pédagogique est mise en évidence à tous les jours par les psychologues et pédagogues d'aujourd'hui, continue d'assombrir et de reléguer au second plan le reste des penseurs du dix-huitième siècle qui se sont attardés aux problèmes de l'éducation. Deuxièmement, les oeuvres complètes de Diderot n'ont été réunies qu'à la fin du dix-neuvième siècle par Jules Assézat et Maurice Tourneux. Mais là encore, plusieurs problèmes continuent à se poser; à cet effet, le nombre croissant de recherches effectuées sur Diderot ont révélé que cette première étude sur ses oeuvres complètes, loin d'être exhaustive, ne peut être considérée comme une édition définitive. Monsieur Jacques Proust, dans son excellent ouvrage sur Diderot et l'Encyclopédie nous invite à la prudence lorsqu'il s'agit d'attribuer à Diderot des textes anonymes et des articles non signés. C'est la raison pour laquelle nous avons cru bon de n'accepter dans ce travail que les écrits parfaitement authentifiés. Nous avons voulu, dans ce travail, réunir les textes importants de Diderot dont la lecture révèle l'intention de justifier un plan d'instruction appuyé sur une théorie pédagogique dans le sens où cette expression se définit comme étant la réflexion de la pensée humaine sur l'éducation. Dans le premier chapitre, une analyse condensée permettra au lecteur de juger de la valeur des idées pédagogiques émises au dix-huitième siècle. Le deuxième chapitre est consacré à l'étude des sources de la pensée pédagogique de Diderot tandis que la dernière partie analyse plus profondément sa contribution au monde de l'éducation. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2014
135

Le conte à visée morale et philosophique de Fénélon à Voltaire / The tale with moral and philosophical aim from Fénelon to Voltaire

Fourgnaud, Magali 22 November 2013 (has links)
À la fin du XVIIe siècle, la dissolution du pacte allégorique semblait avoir à tout jamais disjoint la fable et le conte, la première prenant en charge seule un but didactique et le second se définissant comme un récit pur, sans intention de transmettre un quelconque message. Paradoxalement, de la fin du XVIIe siècle jusqu’aux années 1775, un nombre important de contes affichent, dès leurs seuils (titres, épigraphes, frontispices, préfaces), une fonction cognitive : on assiste à l’émergence d’une nouvelle catégorie du conte, qui se réconcilie avec les savoirs. Cette thèse vise à montrer que la portée philosophique et morale de ce sous-genre réside moins dans le message transmis que dans le mode de déchiffrement qu’il induit et dans la singularité de l’expérience qu’il fait vivre au lecteur. Les contes à visée morale et philosophique ne sont pas des illustrations d’une thèse préalable, ils déclenchent la réflexion du lecteur grâce à un dispositif narratif particulier, qui repose sur un pacte de lecture non plus allégorique, mais analogique : le lecteur est amené à faire des liens entre ce qui a priori est sans rapport, à prendre une posture critique à l’égard de tous les discours (notamment religieux, politiques, pseudo-scientifiques et même fictionnels), et à s’interroger sur lui-même, en somme à être philosophe, au sens où l’entendait le XVIIIe siècle. Après avoir repéré les constantes structurelles et thématiques de ces textes, aussi divers soient-ils, nous étudions l’entremêlement des discours philosophiques et moraux et de la fiction, dans les contes de Fénelon, Montesquieu, Saint-Hyacinthe, Crébillon, Diderot, Rousseau, Voltaire et Marmontel. / At the end of the seventeenth century, the dissolution of the allegorical pact had seemed to separate the fable from the tale for ever, the first supporting only a didactic purpose while the second is defined as pure storytelling, without intending to convey any message. Paradoxically, from the end of the seventeenth century to the 1775s, a large number of tales claim straight away - in their titles, epigraphs, frontispieces, prefaces- to have a cognitive function: we are witnessing the emergence of a new category of tales, which is reconciled with knowledge. This thesis aims to show that the philosophical and moral implications of this sub-gender are not so much the message conveyed as the type of deciphering that it induces and the uniqueness of the experience it brings to life. Tales which have a moral and philosophical aim are not illustrations of a prior thesis, they trigger the reflection of the reader with a particular narrative device, based on a reading pact that is not allegorical, but analogical: the reader is led to make connections between what is a priori unrelated, to take a critical stance towards every kind of speech (including religious, political, pseudo-science and even fiction itself), and to question himself, in short to be a philosopher, in the sense understood in the eighteenth century. After identifying common thematic structures of these texts, while taking into account their differences, we study the entanglement of philosophical and moral discourse and fiction in the tales by Fenelon, Montesquieu, Saint-Hyacinthe, Crebillon, Diderot, Rousseau, Voltaire and Marmontel.
136

Rousseau et l'héritage de Montaigne / Rousseau and Montaigne’s legacy

Gittler, Bernard 25 September 2015 (has links)
Cette recherche porte sur le rôle joué par la lecture de Montaigne dans la philosophie de Rousseau.Il convenait d’abord de repérer les traces de cette lecture et les différents témoignages qu’en donnent son œuvre publiée ainsi que ses manuscrits, d’établir les éditions dans lesquelles Rousseau lit les Essais et les perspectives dans lesquelles il le fait. Il fallait établir également les médiations qui ont joué un rôle dans la réception de Montaigne par Rousseau. Les Essais sont édités et lus au XVIIIe siècle selon des perspectives auxquelles il ne cesse de se confronter. Nombre d’auteurs du XVIIe siècle sur lesquels il s’appuie dialoguent avec Montaigne. L’étude de la relation que Rousseau entretient avec lui demande donc l’examen de toute une tradition philosophique qui s’appuie elle-même sur Montaigne.Cette dimension de l’héritage conduit à trianguler les références, implicites ou explicites, que Rousseau fait à Montaigne dans son œuvre philosophique. Il lui sert de point d’appui pour dialoguer avec Diderot traducteur de Shaftesbury et pour prendre parti, dès le premier Discours, en faveur de la religion naturelle. La lecture politique des Essais qu’il produit nourrit son opposition à toute forme de domination et lui permet de critiquer la position de Montesquieu sur le luxe. Cette lecture politique se développe dans le second Discours, pour dénoncer les effets de l’intérêt particulier, qui détruit le lien politique. Rousseau s’appuie encore sur les principes de La Boétie qu’il trouve dans les Essais pour penser la dépravation de l’homme en société. Le lien social ne demande pas de suivre une morale opposée à l’intérêt, mais de poursuivre l’intérêt universel qui nous lie aux autres hommes. Montaigne occupe aussi une place déterminante dans le dialogue que Rousseau entretient avec des auteurs comme Barbeyrac, Mandeville ou Locke.Cette thèse montre ainsi que la référence à Montaigne met en jeu les principes fondamentaux de la philosophie politique et morale de Rousseau. / The aim of this study is to analyze the role of Montaigne’s legacy in Rousseau’s philosophy.First, evidences and views of Rousseau’s reading of Montaigne have been examined in his published works and in his manuscripts. Editions in which Rousseau was reading Montaigne have also been identified.Then, mediations between Rousseau and Montaigne’s reception have been reviewed. Rousseau reads the Essais with the 18th century points of view. He relies on 17th century authors who judge Montaigne. Therefore, thanks to this philosophical tradition who deals with Montaigne, links between Montaigne and Rousseau are analysed.The implicit and explicit references to Montaigne in Rousseau’s work are triangulated. Rousseau quotes Montaigne to deal with Diderot, – translator of Shaftesbury, to defend natural religion as early as in his First Discourse on the Sciences and Arts.Rousseau has a political reading of the Essais. He denounces all kind of domination, and criticizes Montesquieu’s apology of luxury. The political reading of Montaigne increases in the second Discourse : the possessive individualism destroys the social link.Rousseau underlines the La Boétie’s principles in the Essais, which show the political depravation of society. The social link does not demand to follow moral rules against citizen’s interests. Humanity has to pursue a universal interest, which establishes a relationship between each human being and the whole humanity.Montaigne has a central position to understand the dialogues between Rousseau and Barbeyrac, Mandeville, and Locke. Rousseau refers to Montaigne when he defends his moral and politic fundamental principles.
137

Piedade, sadismo, sedução : a libertação do corpo mistificado : (um estudo sobre A Religiosa, de Diderot) / Pity, sadism, seduction : the mystified body's liberation : ( a study on Diderot's The Nun)

Cesarino, Michel 15 August 2018 (has links)
Orientador: Alexandre Soares Carneiro / Dissertação (mestrado) - Universidade Estadual de Campinas, Instituto de Estudos da Linguagem / Made available in DSpace on 2018-08-15T00:48:31Z (GMT). No. of bitstreams: 1 Cesarino_Michel_M.pdf: 982667 bytes, checksum: 68875905efd598fa317ae80bdac20754 (MD5) Previous issue date: 2009 / Resumo: Este trabalho é um estudo sobre algumas das temáticas de La Religieuse (A Religiosa), de Diderot, baseado numa abordagem pictórica. Conceitos como o de anamorfose e o de naïveté na pintura, presentes na arte do século XVIII são usados nessa abordagem. A trajetória de Suzanne Simonin, protagonista do romance, expõe histeria, homossexualidade, melacolia e loucura através de três conventos, como conseqüências do corpo submetido a bloqueios em suas tendências naturais; parte disto é aqui desenvolvido. Além disso, abordo a questão do pathétique e da ilusão naquele romance, utilizados para cativar e comover o leitor como se ele estivesse num espetáculo teatral. / Abstract: This work is about La Religieuse (The Nun) of Diderot, based on a pictoral approach. Concepts like anamorphose and that of naïveté, both of them presents in the art the 18th century were used in such approach. The course of Suzanne Simonin, protagonist of the novel, exposes hysteria, homosexuality, melancholy and madness through tree convents as consequences of the submited body to obstructions in its natural tendencies; part of this is developed here. Besides that, I make an approach to the subject of pathétique and illusion in that novel, both used to captivate and move the reader as if he was at a theatrical spectacle. / Mestrado / Teoria e Critica Literaria / Mestre em Teoria e História Literária
138

La fiction déjouée. La part du jeu dans l’écriture fictionnelle (1687-1781) / The game of fiction. The role of play in eighteenth-century literature (1687-1781)

Hakim, Zeina 12 December 2009 (has links)
Cette étude porte sur les procédés narratifs et les dispositifs rhétoriques auxquels certains romanciers du XVIIIe siècle ont recours pour jouer avec les attentes de leurs lecteurs. En effet, ces auteurs ne cessent de revendiquer la véridicité de leurs textes et pourtant, simultanément, utilisent deux stratégies visant à forcer le lecteur à se distancer de ce qui lui est raconté: d’une part ils mettent en scène un arsenal de lieux communs si connus que le lecteur reconnaît ceux-ci comme des signaux de fictionnalité; d’autre part ils multiplient les indices empêchant de croire à la réalité des récits qu’ils relatent. Cette étude en tire un certain nombre de conséquences et propose quelques hypothèses théoriques pour rendre compte de cette poétique paradoxale du jeu. Elle en examine également les effets et les implications – principalement rapportés à la figure du lecteur – et interroge la notion, à première vue contradictoire, de ‘vérité de la fiction’. / This dissertation analyzes the narrative devices and rhetorical techniques used by eighteenth-century novelists in order to play with the expectations of their readers. These authors present their fictional narratives as true accounts. At the same time, however, they use strategies that force the readers to distance themselves from what they read: on the one hand, these authors present a series of literary topoï, which are so familiar to the readers that they can only be taken as a sign of fictionality; and on the other hand, the authors give a series of clues that prevent the readers from believing what is said. This study examines the consequences of these procedures and offers several theoretical hypotheses in order to understand the paradoxical poetics of play. It questions the effects and the implications of this poetics on the reader and proposes the apparently contradictory concept of “fictional truth” as a way to think through the various notions of play in eighteenth-century fiction.
139

Opera after poetry : Enlightenment 'dramma per musica' amid the arts

Clausius, Katharina Anne Crawford January 2017 (has links)
With its bold combination of epic style and vernacular prose, François Fénelon’s Les Aventures de Télémaque (1699) created a stir that preoccupied the literary, theatrical, musical, and art world throughout the eighteenth century. My dissertation places the novel at the centre of a crucial exchange between the French revisionist movement – with its mandate to redefine neoclassical theatre – and Italian dramma per musica in the second half of the eighteenth century. While littérateurs like Antoine Houdar de la Motte and Voltaire argued publicly over the theoretical viability of prose tragedy on the back of Télémaque, the operatic stage was actively absorbing and experimenting with principles of de la Motte’s new brand of theatre: a less compounded application of the Aristotelian unities, a bolder approach to character portrayal, a painterly approach to scenography, and an integration of tropes from the epic. I rely on two case studies to argue that dramma per musica began to adopt specific principles of de la Motte’s contentious “prose tragedy” genre: Vittorio Amedeo Cigna-Santi’s Mitridate libretto (set by Quirino Gasparini in 1767 and Mozart in 1770), which was based on the same Racine play that incited de la Motte and Voltaire’s animosity; and Giambattista Varesco’s Idomeneo, based on Danchet’s adaptation of Fénelon. Literary scholarship, familiar with the heated paper war incited by Fénelon’s novel thanks to Fabienne Moore and Romira Worville’s research, has so far paid little heed to the eighteenth-century operatic stage as the most prominent and sustained reworking of the neoclassical tragic tradition. In answer to Reinhard Strohm’s appeal to synthesize literary and musicological approaches towards a cross-disciplinary poetics of Enlightenment opera, I show that dramma per musica actively reconfigures a neoclassical tradition in flux alongside the century’s noisiest literary revisionist movement, reimagining theatrical praxis as part of a broader poetics of arts and letters.
140

Vices et vertus de l’interprétation, Diderot en quête d’éthique (1773-1784) / In Quest of ethics, Interpretation in Diderot’s late work (1773-1784)

Vincent, Charles 19 November 2012 (has links)
Notre thèse vise à interpréter le décousu du discours moral de Diderot depuis son voyage à Saint-Pétersbourg jusqu’à sa mort (1773-1784), à l’aide de quatre disciplines : analyse de controverses, logique, épistémologie et herméneutique. Le philosophe vieillissant a fait l’objet d’une triple critique : incohérence philosophique, hypocrisie morale et décousu stylistique. Cette image d’une girouette un peu sénile et un peu lâche est pour partie le résultat d’une lecture simplificatrice, initiée par les Antiphilosophes dès l’époque des Lumières, et pour partie le résultat d’une écriture et d’une pensée plurielle, dont la complexité échappe. Le philosophe vieillissant étudie la morale de différents points de vue complémentaires ou antagonistes, oscillant entre la recherche d’une norme universelle du bien et l’étude des circonstances qui font varier les comportements. Nous proposons de lire son œuvre ultime à l’aune de l’encyclopédisme comme une anamorphose jouant de plusieurs thèmes, savoirs et écritures. La cohérence de sa morale dépend alors du point de vue que le lecteur ou le critique adopte. Diderot, conscient que la multiplicité des regards et des styles qu’il propose sur la morale risque d’en troubler la cohérence, réfléchit, dans l’Essai sur les règnes de Claude et de Néron, à une éthique de l’interprétation. Il propose un mode lecture de l’œuvre et la vie de Sénèque qui vaut aussi pour son époque et pour lui-même. Loin de dissoudre l’exigence d’une morale universelle dans l’infinie variation des cultures, des circonstances et des langues, l’interprétation bienveillante rapproche les cultures autant que les différentes conceptions du bien. / This thesis attempts to interpret Diderot’s disjointed style in ethics, from his trip to Saint-Petersburg until his death (1773-1784), with the help of four disciplines: analysis of the controversies, logic, epistemology and hermeneutic. In the late period, Diderot was criticised for incoherence, moral hypocrisy and ragged writing. On one hand, this image was the result of simplistic reading, initiated by the Counter-Enlightenment. On the other, it comes from a plural way of writing and thinking. The aging philosopher studied ethics from different points of view, oscillating between the search for universal rules and the study of varying circumstances. Considering Diderot’s encyclopedism, this thesis proposes reading the late work as an anamorphosis playing on several themes, knowledge and writings. The consistency of his ethics will therefore rely on the reader’s perspective. Diderot was well aware of the plural reading of his complex work. To counter misinterpretations, he reflected on a moral way to interpret Seneca in his Essai sur les règnes de Claude et de Néron. This practice of interpretation applied as much for Diderot himself as it did for his period. Far from dissolving the need for a universal moral truth in an infinite variation of cultures, circumstances and languages, the philosopher instead tried to bring together these cultures as well as different conceptions of good and evil.

Page generated in 0.0319 seconds