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Réflexion sur Le paradoxe sur le comédien de Diderot

Lévesque, Gérard-A. 30 November 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2018
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Figures romanesques du médecin de Diderot à Balzac / Characterization of Physicians in the French Novel from Diderot to Balzac

Macaigne, Samuel 16 March 2019 (has links)
Des Lumières au réalisme, le médecin prend une place toujours plus importante dans la littérature. Si sa discipline évolue et connaît ainsi de considérables progrès, sa représentation dans la fiction devient elle aussi conséquente. De ce fait, le roman s'empare de ce personnage pour lui conférer un rôle de témoin actif des changements historiques et esthétiques, à travers trois domaines : la politique, la spiritualité et les passions. En effet, s'il diagnostique les maladies du corps social, les pathologies que manifeste l'Histoire, il est aussi appelé à sonder les âmes pour déterminer les causes du désarroi intérieur de l'être humain. Derrière la physiologie et l'anatomie, il explore également les arrière-mondes de la foi et des sentiments. Le praticien se doit donc d'éclairer les mystères de la condition humaine. / From the Enlightenment to realism, the doctor acquires an increasingly important place in French literature. With the development and considerable progress of medical science, the fictional doctor also becomes consequential. Hence, the novel calls upon this character to play an active role as witness of the historical and aesthetic changes in three fields: politics, spirituality and passions. In fact, not only does he diagnose the diseases of the social body, the pathologies that History reveals, he is also called upon to sound souls in order to establish the causes of the inner disarray of the human being. Behind the physiology and anatomy, he also explores the afterworldly for faith and feelings. The practitioner must therefore throw light on the mysteries of the human condition.
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"Faites par la pensée ce que nature fait quelquefois" : les usages de l'expérience de pensée au XVIIIe siècle / “Do in your mind what nature sometimes does” : the uses of thought experiment in the eighteenth century

Techer, Julien 23 November 2018 (has links)
Ce travail interroge la valeur du syntagme « expérience de pensée » rapporté aux textes de philosophie et d’histoire naturelle du dix-huitième siècle. La prégnance de ce syntagme, tant dans la littérature critique que dans son usage oral spontané ne doit pas occulter sa quasi-absence littérale au XVIIIe siècle, qui lui préfère d’autres noms : l’« investigation » rousseauiste, le « problème » de Molyneux ou les « expériences philosophiques » de Mérian. C’est donc le besoin de trouver le lien manquant entre cette quasi-absence littérale et cette volonté commune de caractériser conceptuellement certains procédés dix-huitiémistes en « expériences de pensées » qui motive notre recherche. À travers un corpus étendu mais représentatif (Lamy, Locke, Fontenelle, Condillac, Buffon, Rousseau, Diderot, Mérian, Fortis) nous analysons les procédés qui légitiment ou non le recours à l’expérience de pensée, en spécifiant les textes par une typologie nouvelle, fondée sur le rapport aux concepts de nature et de possibilité. À partir d’une étude générale du concept d’expérience de pensée, nous analysons son emploi à la charnière des XVIIe et XVIIIe siècles, par le renouveau des arts de bien penser et parler, puis à travers son importance dans les discussions scientifiques et philosophiques. Nous procédons à l’application typologique de ce qu’il nous semble nécessaire de nommer des espèces de l’expérience de pensée (imaginaire, hypothétique ou conjecturale, projective et extravagante) afin de mettre en évidence les ressorts connus du procédé, à savoir son scénario, sa vocation cognitive et son usage de l’imagination, tout en proposant d’autres données conceptuelles du travail d’écriture et de lecture de l’expérience de pensée : la place conférée à la fiction, l’usage des personnages et la fonction d’un lecteur capable d’expérimenter en pensée de manière rigoureuse et ludique. / This work questions the value of the phrase “thought experiment” related to the texts of philosophy and natural history of the eighteenth century. The importance of this phrase, both in critical literature and in its spontaneous oral use, should not overshadow its literal quasi-absence in the eighteenth century, which prefers other names: Rousseau’s “investigation”, the “problem” of Molyneux or the “philosophical experiments” of Merian. It is thus the need to find the missing link between this quasi-literal absence and this common desire to characterize conceptually certain eighteenth-century processes in “thought experiments” that motivates our research. Through an extensive but representative corpus (Lamy, Locke, Fontenelle, Condillac, Buffon, Rousseau, Diderot, Mérian, Fortis) we analyze the processes that legitimize or not the use of thought experiment, by specifying the texts by a new typology, based on the relationship to the concepts of nature and possibility. Based on a general study of the concept of thought experience, we analyze its use at the turn of the 17th and 18th centuries, through the renewal of the arts of thinking and speaking well, and then through its importance in scientific and philosophical discussions. We proceed to the typological application of what it seems necessary to name species of the thought experiment (imaginary, hypothetical or conjectural, projective and extravagant) in order to highlight the known springs of the process, namely its scenario, its cognitive vocation and its use of the imagination, while proposing other conceptual data of the work of writing and reading the thought experiment: the place conferred on fiction, the use of characters and the function of a reader able to experiment in thought in a rigorous and playful way.
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Erzählte Enge : Raum und Weiblichkeit in französischen Erzähltexten des 18. und frühen 19. Jahrhunderts /

Storck, Barbara. January 1900 (has links)
Thesis (doctoral)--Ruhr-Universität, Bochum, 2008. / Includes bibliographical references (p. 179-188).
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Erzählte Enge Raum und Weiblichkeit in französischen Erzähltexten des 18. und frühen 19. Jahrhunderts /

Storck, Barbara. January 1900 (has links)
Thesis (doctoral)--Ruhr-Universität, Bochum, 2008. / Includes bibliographical references (p. 179-188).
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« Si j'étais prince ou législateur, je ne perdrais pas mon temps à dire ce qu'il faut faire...» Écriture philosophique et transformation politique en France, 1750-1780 / Discursive practices and representations of politics : writing, transformation of man and modification of the public sphere in political philosophy in France between 1750 and 1790.

Revel, Ariane 07 December 2017 (has links)
Quelle est l’utilité du philosophe en politique ? L’objet du présent travail est d’interroger la manière dont cette question a pu être posée et la façon dont on a pu y répondre, en France, dans les années qui vont du milieu du XVIIIe siècle jusqu’à 1780 environ. Dans un contexte qui se caractérise à la fois par l’omniprésence du discours philosophique et par son absence d’autonomie, on se propose de cerner la façon dont sont identifiés les effets possibles des écrits politiques des philosophes. Deux problèmes se posent alors. D’une part, il s’agit de déterminer à quelles conditions le discours philosophique sur la politique est jugé utile, et quel type de prise il doit assurer sur son objet pour être évalué comme tel. D’autre part, la question des effets produits par le texte doit nous inviter à considérer la manière dont le rapport entre le philosophe et ses lecteurs s’établit à travers le texte : comment se fait la communication des idées, et quelles sont ses conséquences pratiques ? Quels liens faut-il établir entre connaissance et action ?Notre enquête a procédé en deux approches successives. Dans un premier temps, nous avons cherché à repérer les termes dans lesquels dont on pose, dans cette seconde moitié du XVIIIe siècle, la question des effets des ouvrages politiques écrits par des philosophes. Ce travail nous a permis notamment de mettre en évidence le fait que l’utilité d’un écrit est envisagé dans une double dimension : dans la mesure où il est susceptible d’affecter le monde mais aussi dans la mesure où il est susceptible de contribuer au progrès de la connaissance et d’alimenter un débat intellectuel. Dans un cas comme dans l’autre, la forme et le style de l’ouvrage sont considérés comme centraux pour assurer son effet auprès du lecteur et le faire, à son tour, penser. Dans un second temps, nous nous sommes intéressé à quelques exemples d’un genre particulier : les textes de conseil de Rousseau et de Diderot à propos de la Corse, de la Pologne et de la Russie nous ont permis d’analyser la manière dont le philosophe définit son rôle par rapport au législateur, mais aussi dont il s’essaie à élaborer un langage qui tout à la fois lui permette de saisir son objet dans sa singularité et de se faire entendre auprès de son lecteur. Nous avons vu à travers ces deux approches se dessiner une sphère propre de la parole du philosophe en politique. À distance de l’action, le philosophe est l’homme de la vérité ; la contestation progressive de la référence au philosophe-législateur laisse la place à un usage critique de la connaissance. La fécondité politique de la parole philosophique apparaît alors non dans sa capacité à instituer mais à faire imaginer d’autres institutions possibles. / What is the purpose of the philosopher in politics? We examine the way in which this question has been posed and the way in which it was answered in France in the years from the mid-18th century to about 1780. For a context characterized both by the omnipresence of philosophical discourse and its lack of autonomy, we put forward our understanding of the way the possible effects of the political writings of philosophers are identified. Two problems then arise. On the one hand, there is the question of determining under what condition philosophical discourse on politics is deemed useful, and what type of hold it must have on its object to be evaluated as such. On the other hand, the question of the effects produced by the text should invite us to consider how the relationship between the philosopher and his readers is established through the text: how are the ideas communicated, and what are the direct consequences? What is the relationship between knowledge and action?Our investigation has taken two subsequent approaches. First, we sought to identify the terms in which the question of the effects of political works written by philosophers was raised in the second half of the eighteenth century. This has enabled us to highlight the fact that the usefulness of writing is envisaged in two dimensions: insofar as it is likely to affect the world but also insofar as it is likely to contribute to the progress of knowledge and to fuel an intellectual debate. In either case, the form and style of the work are considered central to ensure its effect on the reader and encourage him to think. In a second phase, we sought out examples of a particular genre: Rousseau and Diderot's writing on Corsica, Poland and Russia allowed us to analyze how the counseling philosopher defines his role in relation to the legislator but also attempts to elaborate a language which at the same time allows him to grasp his object in its singularity and to make himself heard by his reader. These two approaches have shown us a distinct sphere of the philosopher's word in politics. While keeping his distance from action, the philosopher is the man of truth; the gradual contestation of the reference to the philosopher as legislator leaves room for a critical use of knowledge. The political fecundity of the philosophical word then appears not in its capacity to institute but rather to facilitate imagining other possible institutions.
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Le travail du négatif chez Denis Diderot. Une étude de fictions choisies / The work of the negative in writing of Denis Diderot. A study of selected fictions

Bohn, Marie-Anne 24 March 2018 (has links)
Le travail du négatif, théorisé au départ par la philosophie, nous a aidés à approcher ce qui apparaît, à nos yeux, comme le cœur de notre étude, cette action qui semble profondément agiter le corpus de fictions choisies. Si le travail du négatif est un mouvement qui prend forme dans un contexte de polarisation où l’autre est toujours sous-entendu, s’il est agitation équivoque et instabilité, comment s’actualise-t-il chez Diderot ? En ce sens, l’étude des circonstances de production s’avère primordiale. Les censures et les réseaux ont une incidence sur les productions artistiques. De plus, les textes denses déploient des techniques de louvoiement qu’il convient de défaire. Des genres au rapport au réel, de la mise en fiction de la pensée aux catégories référentielles, les brouillages de pistes sont réitérés et accordent en fin de compte à la parole une place centrale. Face à ces informations, le travail du lecteur est complexe. Le déploiement de la pensée diderotienne, à travers la multiplicité, est-il lié à cette agitation « négative » ? Enfin, nous interrogeons encore cette impression de mouvement qui se dégage des textes étudiés. Tout se passe comme s’ils tendaient vers la préservation de la force et de la puissance du geste de penser, comme si en même temps entre philosophie et littérature, le style diderotien se construisait. La forme dialogique structure le texte. L’ironie et ses figures façonnent les phrases et les situations de sorte à placer le lecteur dans un inconfort actif, de sorte à répercuter sur lui les questionnements internes au texte et à le déborder. Ce travail du négatif, plus ou moins abondant selon les œuvres, remet en perspective la notion de littérarité. / The work of the negative, a concept that initiated in philosophy, allowed the researcher to tackle the core of this study, as this action appears to shake profoundly the corpus of fictional texts chosen. If the work of the negative is a movement, which is shaped within a context of polarisation where the other is always implied, if there is an ambiguous turmoil and inconstancy, how does it actualize in Diderot’s work? To this extent, the study of the context of writing is essential as censorship and networks impact the arts. Additionally, the density of the texts requires unpacking the rhetorical effect of the convoluted prose. From genres to the connection to reality, from fictionalization of thoughts to narrative mode, tracks are covered repeatedly, thicken the plot, and eventually grant the central places to speech. In light of this information, the reader’s task is intricate. Is this “negative” stir connected to Diderot’s unfolding his thoughts through multiplicity? Lastly, we will probe further the feeling of movement which emanates from the texts at hand. It is as if it converged towards preserving the strength and power of thinking, as if in the meantime at a cross section between philosophy and literature, the style of Diderot was shaping up. A dialogic form structures the writing. Irony and its features mold sentences and situations in order to place the reader in an active discomfort, it reverberates the questioning inherent to the writing, and overflows. The work of the negative, which can be found more or less profusely in Diderot’s work, puts the notion of literarity into perspective.
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La résurgence et la liquidation des modèles politiques antiques aux XVIIIè siècle, de Diderot à Chateaubriand / The revival and the liquidation of political antique models in the 18th century, from Diderot to chateaubriand

Arici, Esra 30 June 2010 (has links)
Le discours politique, à partir de 1770, période qui coïncide avec la crise parlementaire, est marqué par la récurrence des références à l’Antiquité : références positives aux modèles démocratiques, figures négatives des tyrans. Avec la Révolution, se produit une véritable saturation des références aux modèles politiques de l’Antiquité. Pourtant, les divisions des rangs révolutionnaires (modérés/girondins, jacobins/thermidoriens) entament peu à peu la crédibilité de ces modèles, dont l’oeuvre de Chateaubriand, l"’Essai sur les Révolutions" (1796, rééd. 1826), achèvera de manière systématique le démantèlement. Dans cette étude, nous nous proposons d’analyser les modalités de résurgence et de liquidation des modèles politiques antiques dans les oeuvres de Diderot ("Essai sur les règnes de Claude et de Néron") (1778 rééd. 1782), la poésie d’André Chénier postérieure au départ du poète à Londres en 1787, sa prose et ses ïambes, l’oeuvre dramaturgique du frère de celui-ci, Marie-Joseph Chénier, dans l’iconographie de David et enfin dans l’"Essai sur les révolutions" de Chateaubriand. / The political discourse in the 1770s, which coincides with the parliamentary crisis, is marked by arecurrence of references to the Antiquity with positive references to democratic models and negative figures of tyranny. These references reach a true peak with the French Revolution before the divisions between the revolutionary parties (moderate Girondists/radical Jacobins) gradually degrade their credibility. Texts of certain eliminated revolutionaries, such as that of André Chénier,demonstrate that decline. Chateaubriand’s "Essai sur les revolutions" (1796, reed. 1826) disintegrates, in a systematic manner, the political antique models, which henceforth, become perceived as triggers of revolutionary acts in the post-thermidorian period.This thesis investigates the modalities of the revival and the liquidation of the political antique models through diverse esthetical genres during the late XVIIIth and early XIXth centuries in Diderot’s "Essai sur les règnes de Claude et de Néron" (1782), the poetry and the prose of André Chénier, the theater of Marie-Joseph Chénier, David’s paintings and Chateaubriand’s "Essai sur les revolutions".
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Educação e literatura: a "moral em exercício" em Diderot

Santana, Christine Arndt de 28 February 2013 (has links)
Ce qui a été exposée dans cette thèse est d étudier la relation entre l éducation et la littérature à la pensée de Denis Diderot, basée sur une analyse du Plan d une Université de La Louange a Richardson et de La Religieuse. En conséquence, le but de cette littérature avis a été rédigé diderotienne dans une perspective morale et de l éducation en ce qui concerne l expression littéraire à travers l idée de «l exercice moral». Pour être en mesure d atteindre cet objectif, il était nécessaire d étudier le point de vue moral sous-jacent au Plan et, à travers lui, d aller dans les deux autres oeuvres de Diderot, ici analysés afin d identifier la façon dont ce point de vue moral dans ces écrits que nourrit ce Plan; présenter quelles sont les procédures de <exercice moral>; comprendre la relation entre l idée de «l exercice moral» et la fonction éducative de la littérature et de reconnaître une telle idée dans les textes analysés. La méthodologie utilisée pour obtenir les résultats de la recherche documentaire a été laquele du point de vue interprétatif-herméneutique, entendue comme la recherche des structures argumentatives et nexus logique du texte. En développant cette thèse, il a été conclu que La Louange est une poétique qui existe dans le nom d une idée, la moralisation des hommes, et qui est dans les Religieuses ses procédures de mise en oeuvre en ce qui concerne «l exercice moral». Pour qu il soit possible de parvenir à cette conclusion, cette écriture a dû être divisé en trois chapitres: le premier, qui traite de l éducation dans «Pédagogie du siècle» et a provoqué un changement de paradigme dans ce délai, le concept de l éducation et en tant que sa mise en oeuvre dans les écoles. La seconde, qui conceptualise ce que Diderot éducation de l explication de la façon dont la relation entre les termes de l Instruction phrase, la Vertu et le Bonheur. Et la dernière a proposé d expliquer pourquoi Diderot sacrifier belle page avec belle action, quand vous mettez le exercice moral. / O que se tem em tela nesta Tese é investigar a relação entre a Educação e a Literatura no pensamento de Denis Diderot, partindo da análise do Plano de uma Universidade, do Elogio a Richardson e de A Religiosa. Nesse sentido, o objetivo geral deste escrito foi analisar a literatura diderotiana a partir de uma perspectiva de moral e educação que estejam relacionadas à expressão literária através da ideia de moral em exercício . Para ser possível alcançar tal fim, foi necessário investigar a perspectiva de moral subjacente ao Plano e, por meio dele, ir até as duas outras obras de Diderot, aqui analisadas, para identificar como a perspectiva de moral presente nestes escritos alimenta aquele Plano; apresentar quais são os procedimentos da moral em exercício ; compreender a relação que existe entre a ideia de moral em exercício e a função educativa da Literatura e reconhecer tal ideia nos textos analisados. A metodologia usada para alcançar os resultados obtidos foi a da pesquisa bibliográfica a partir da perspectiva interpretativa-hermenêutica, entendida como a busca dos nexos argumentativos e das estruturas lógicas do texto. No desenvolver desta Tese, foi possível concluir que o Elogio é uma poética que existe em nome de uma ideia, a moralização dos homens, e que tem em A Religiosa a sua concretização no que respeita aos procedimentos da moral em exercício . Para que fosse possível chegar a esta conclusão, o presente escrito precisou ser dividido em três capítulos: o primeiro, que trata da Educação no Século da Pedagogia e apresenta a mudança de paradigma ocasionada naquele período, quanto ao conceito de Educação e quanto a sua efetivação nos estabelecimentos de ensino. O segundo, que conceitua o que é Educação para Diderot a partir da explicação de como se dá a relação entre os termos da sentença Instrução, Virtude e Felicidade. E o último que se propôs a explicar o porquê de Diderot sacrificar a bela página à bela ação, quando coloca a moral em exercício
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A natureza artificial do teatro: Diderot e os paradoxos

Araujo, Carolina Ribeiro Paraíso 22 September 2016 (has links)
Submitted by Filipe dos Santos (fsantos@pucsp.br) on 2016-11-30T11:40:08Z No. of bitstreams: 1 Carolina Ribeiro Paraíso Araujo.pdf: 800039 bytes, checksum: 20bfee2d80f717e3d15ea8646ebac1f7 (MD5) / Made available in DSpace on 2016-11-30T11:40:08Z (GMT). No. of bitstreams: 1 Carolina Ribeiro Paraíso Araujo.pdf: 800039 bytes, checksum: 20bfee2d80f717e3d15ea8646ebac1f7 (MD5) Previous issue date: 2016-09-22 / Conselho Nacional de Desenvolvimento Científico e Tecnológico / The purpose of this dissertation is to present the importance of the theatre according to Denis Diderot point of view. Thus, based on his thoughts, try to understand the purposes of which, the philosopher will demonstrate from the representative act, in France during the 18th century. Diderot suggests an improvement in the way of making theatre, as well as in its own theatrical representations. The philosopher will determine a theory for the actors to improve their performances. The performances should be based on nature observation, aiming to be studied and represented with pure rationality. In this regard, he gives emphasis to artificiality in disadvantage of nature to create perfection in a scene. In Diderot’s point of view, the theatre should be and do the job of remove society’s addictions and make people work on their virtue. In addition, theater plays should approach people’s busy lives and through that he suggests and introduces a new genre called drama and it is a genre that can be classified as intermediate, being in between tragedy and comedy / A presente dissertação tem como intuito analisar a importância do teatro no pensamento de Denis Diderot. Portanto, buscamos como isso entender os propósitos, aos quais o filósofo evidenciará a partir do ato representativo na França do século XVIII. Diderot, não só propõe uma reforma no modo de fazer teatro como também nas próprias representações teatrais. O filósofo irá formalizar uma teoria para que os atores pudessem aprimorar suas atuações. Estas devem ser pautadas na observação da natureza, com a finalidade de serem estudadas e representadas com a mais pura racionalidade. Neste sentido, o enciclopedista enfatiza a artificialidade em detrimento da natureza para existir a primazia em cena. O teatro para Diderot deveria ser e fazer o papel de expurgar os vícios da sociedade, fazendo com que os indivíduos aprimorassem a virtude. Além do mais as peças teatrais deveriam retratar a vida corriqueira das pessoas e com isso propõe e inaugura um novo gênero, este seria o gênero sério ou drama, o qual é intermediário, está entre a tragédia e a comédia

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