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Merowingerzeitliche Filigranscheibenfibeln westlich des Rheins /

Graenert, Gabriele, January 2007 (has links)
Texte remanié de: Dissertation--München--Ludwig-Maximilians-Universität, 1998. / Bibliogr. p. 145-155.
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Fibules et plaques-boucles à l'époque mérovingienne en Normandie : contribution à l'étude du peuplement, des échanges et des influences, de la fin du Ve au début du VIIIe siècle /

Lorren, Claude. January 2001 (has links)
Texte remanié de: Thèse de 3e cycle--Histoire--Caen, 1976. / Bibliogr. p. 435-461. Index.
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Les fibules romaines des Musées de Metz /

Pietruk, Fabienne, January 1900 (has links)
Texte remanié de: Mémoire de DEA--Archéologie--Strasbourg 2, 2002. / Bibliogr. p. 165-172.
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Filigran- und Granulationskunst im wikingischen Norden : Untersuchungen zum Transfer frühmittelalterlicher Gold- und Silberschmiedetechniken zwischen dem Kontinent und Nordeuropa /

Eilbracht, Heidemarie. January 1999 (has links)
Dissertation--Universität Münster, 1993/1994. / Bibliogr. p. 168-175.
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Les fibules émaillées en Gaule Belgique et Germanie Inférieure :chronologie, production et consommation

Callewaert, Maxime 05 March 2016 (has links)
Les fibules émaillées semblent être singulièrement caractéristiques d’un territoire relativement restreint de l’Empire romain, à savoir les provinces de Gaule Belgique, de Germanie et de Bretagne romaines. Il s’agit d’une production qui aurait vraisemblablement débuter à la fin du Ier s. PCN, et qui a connu un tel succès qu’elle semble supplanter totalement les fibules non émaillées au IIème s. PCN. Malgré le développement important des études typologiques des fibules romaines durant les années 1970 et 1980, les formes émaillées s’avèrent être le parent pauvre de la discipline, notamment pour l’établissement de chronologies. Le but de la recherche vise à identifier les facteurs technologiques et socio-économiques qui ont influencé la production et la consommation des fibules émaillées tout au long de leur existence. Il est donc question de comprendre les choix des producteurs de fibules pour répondre aux attentes diverses des utilisateurs. Cette démarche implique d’abord de comprendre les évolutions majeures des formes de ces objets dans le monde romain. Un corpus d’étude rassemblant les fibules émaillées découvertes dans les civitates Menapiorum, Nerviorum, Treverorum et Tungrorum a donc été constitué en intégrant non seulement du matériel de musées et de centres de recherches archéologiques mais également celui de plusieurs collections privées. Afin de compléter cet ensemble, les fibules mentionnées dans la littérature archéologique ont également été ajoutées aux objets récolés. Malgré l’existence de plusieurs typologies, un nouveau système de classement a été développé afin de répondre aux objectifs de la recherche. Cette typologie, dont le but principal est de définir les périodes d’utilisation et de production ainsi que de préciser la diffusion de chacune des formes, constitue l’outil de base pour mettre en évidence les principales mutations formelles des fibules émaillées tout au long de leur existence. Il est ensuite question d’étudier les modes de production de ces objets et l’organisation de celle-ci pour identifier les choix stratégiques qu’ont fait les producteurs de fibules en fonction de l’environnement social, économique et politique. Cette approche nécessite que les matériaux et les techniques de fabrication soient identifiés. Par conséquent, une sélection d’objets a été réalisée à partir du matériel d’étude afin de constituer un corpus analytique. Des observations techniques ainsi que plusieurs types d’analyses physico-chimiques ont été pratiquées sur les fibules de ce corpus grâce à une collaboration avec l’Institut Royal du Patrimoine Artistique (KIK-IRPA). Il s’agissait de caractériser non seulement les alliages des objets par XRF mais aussi leurs émaux par SEM-EDX. Parallèlement à cette approche archéométrique, les modalités d’organisation de la production sont abordées d’une part, grâce à l’étude des traces archéologiques (infrastructures, objets inachevés, etc.) témoignant de la fabrication des fibules émaillées, et d’autre part, par l’étude des phénomènes d’ateliers observés à partir des objets eux-mêmes. Enfin, le dernier aspect vise à identifier les différents lieux dans lesquels les fibules émaillées étaient consommées ainsi que leurs utilisateurs afin de définir les principales caractéristiques de ces objets en tant que biens de consommation. Alors que les fibules sont omniprésentes dans la société gallo-romaine, rares sont les études approfondies qui étudient les modalités de leur consommation en fonction des contextes et des utilisateurs. Il est dès lors question de déterminer si les fibules émaillées étaient des produits urbains et/ou ruraux et si elles étaient consommées de la même manière par les populations des différents territoires (provinces, cités romaines, etc.). L’individu, en tant que consommateur, ne pouvant être abordé qu’à travers les sépultures, une étude systématique du mobilier funéraire des tombes de plusieurs nécropoles a été conduite pour préciser le statut des fibules émaillées dans la société gallo-romaine. Ainsi, la présence des fibules émaillées dans les sépultures a été statistiquement étudiée en fonction des territoires, du sexe et de l’âge des individus et des chronologies des tombes. Les résultats de la recherche indiquent que ces accessoires vestimentaires étaient avant tout fabriqués pour remplir une fonction utilitaire, celle de maintenir des pans de vêtements ensemble. Leur forme arquée est d’ailleurs l’élément caractéristique de cette utilité car c’est dans le creux de l’arc que l’amas de tissu était maintenu. Néanmoins, à partir de la fin du Ier s. PCN, les fibules romaines, et principalement les exemplaires émaillés, ont commencé à s’aplatir, amorçant de facto un glissement de leur fonction principale, en devenant des bijoux dotés d’une utilité davantage esthétique. Les morphologies et les décors émaillés, de plus en plus riches et complexes, témoignent de cette profonde mutation, probablement induite par un changement de la mode vestimentaire. Alors qu’au début de la production, les alliages cuivreux utilisés pour ces objets témoignent d’un certain niveau de qualité (bronze et laiton « purs »), les fibules du IIème s. PCN sont principalement fabriquées à partir de métaux recyclés. Ce phénomène, témoignant d’une stratégie opportuniste, est probablement lié à la nécessité de produire plus, résultant de l’explosion de la demande. Les analyses physico-chimiques des émaux indiquent qu’il s’agissait majoritairement de verres translucides d’origine orientale qui avaient probablement été opacifiés et/ou colorés dans des ateliers secondaires. Les artisans émailleurs ne semblent avoir joué un rôle que très limité dans la production des émaux bien qu’il soit possible qu’ils aient modifié les propriétés physico-chimiques du verre en fonction des motifs émaillés.Des analogies morphologiques, stylistiques et technologiques ont montré que des liens devaient être faits entre les fibules et d’autres objets (boîtes à sceau, appliques, etc.), dont certains montrent l’existence d’infrastructures produisant plusieurs types d’objets. Bien que non exhaustives, les données semblent indiquer que la fabrication de fibules émaillées constituait une activité développée par des producteurs affranchis de toute autorité et qui évoluaient librement sur les marchés. On peut distinguer deux types d’organisation de la production avec, d’une part, des producteurs dispersés qui répondent à une demande exclusivement locale, et, d’autre part, des producteurs nucléés en quelques endroits qui inondent un marché provincial. La présente recherche a, par ailleurs, révélé que les fibules émaillées étaient consommées dans la plupart des sphères de la société gallo-romaine. Elles sont attestées dans les habitats ruraux et urbains, dans les lieux publics (fora, thermes, théâtres, etc.) et de culte (sanctuaires, temples, etc.), dans les nécropoles (ustrina, sépultures, etc.) ainsi que dans les zones artisanales et commerciales. L’étude de la consommation a révélé que plusieurs territoires n’utilisaient pas ces objets. Ainsi, la Civitas Menapiorum et le nord de la Civitas Tungrorum témoignent de cette absence qu’il est tentant d’assimiler à un rejet des fibules émaillées, et ce malgré la très grande proximité avec d’autres territoires qui en sont richement pourvus. Il est d’autant plus frappant que la diffusion des fibules émaillées dans cet espace coïncide avec le faciès géographique de la culture matérielle du « villa landscape ». Il semblerait donc que ces objets doivent être vus comme des productions caractéristiques de cette culture matérielle. / Doctorat en Histoire, histoire de l'art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Fibules en contexte cultuel : étude d'une catégorie d'offrandes en Gaule du milieu du IIe s. av. J.-C. au IVe siècle de notre ère / Fibulas in cult context : study of a category of offerings in Gaul 2nd century BC - 4th century AD

Heitzmann, Samantha 15 December 2018 (has links)
Il n'existe à ce jour aucune monographie d'ensemble sur la répartition des offrandes dans les lieux de culte de la Gaule romaine, notamment des objets de parure. Cette thèse vise à combler cette lacune en prenant en considération les fibules en contexte cultuel, alors que celles-ci ne sont bien souvent envisagées que comme des objets de la vie quotidienne et étudiées en tant que telles. L'offrande de fibules est examinée à partir de leur distribution spatiale intrasite par phase de fréquentation, et ce sur l'ensemble des lieux de culte de la Gaule du 11e siècle av. J.-C. jusqu'au IV" siècle de notre ère. Ce travail est réalisé grâce à des cartes de répartition et aux outils statistiques de sériation. Cette analyse est complétée par l'étude typo-chronologique de l'ensemble des fibules répertoriées et par l'étude des associations de mobilier dans l'espace cultuel, en mettant plus particulièrement l'accent sur l'ensemble des objets de parure, afin d'identifier des pratiques religieuses spécifiques et de travailler sur l'offrande possible d'éléments aujourd'hui disparus comme les vêtements. Sont examinés entre autres les modes de dépôt des fibules, leur symbolique, leur lien éventuel avec certaines divinités, ou bien encore s'il s'agit d'offrandes individuelles ou collectives. Enfin, ce travail permet d'étudier les continuités et les ruptures entre les pratiques cultuelles de la fin de la période celte (LTD) et celles d'après la conquête césarienne, afin d'approfondir notre connaissance du processus de romanisation dans les provinces gauloises. / To date, there is no full monograph on the distribution of offerings in sanctuaries in roman Gaul, including ornaments. This thesis aims to fill this gap by taking into consideration the fibulas in cult context, white these are very often considered as objects of everyday life and studied as such. The fibulas's offering is examined from their intrasite spatial distribution by phase of attendance, and this on ail the sanctuaries of Gaul of the 2nd century BC to the 4th century AD. This work is done through distribution maps and statistical serialization tools. This analysis is complemented by the typo-chronological study of ail fibulas listed and by the study of furniture associations in the sanctuaries, with particular accentuation on ail objects of ornament, so that to identify specific religious practices and to work on the possible offering of elements that have now disappeared, such as clothing. Among other things, the modes of fibulas's deposit, their symbolism, their possible link with certain deities, or even individual or collective offerings are examined. This work finally allows to study the continuities and ruptures between the cult practices of the end of the Celtic period (LTD) and those after the Cesarean conquest, in order to deepen our knowledge of the process of romanization on the Gallic provinces.
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Diffusion du mobilier de Golasecca au nord des Alpes au premier âge du Fer : des éléments vestimentaires aux réseaux de circulations à moyenne et à longue distance / Diffusion of Golasecca culture to the North of the Alps in the early iron age : from personal ornaments to medium and long-distanxe trade networks

Cicolani, Veronica 14 June 2010 (has links)
À partir du récolement critique de plus de cinq cents accessoires vestimentaires sud-alpins découverts au nord des Alpes, le présent travail vise à caractériser la participation de la culture de Golasecca dans l’accroissement des réseaux de circulation reliant la Méditerranée occidentale aux sociétés celtiques. Les objets personnels découverts dans de nombreux habitats et sépultures alpins et transalpins indiquent une implication directe du domaine de Golasecca dans les échanges à moyenne et longue distance. Elle se traduit par des phénomènes de métissage culturel, de transfert technologique et de mixité de population, lisibles dans certains sites du massif alpin, mais aussi à travers des déplacements et des fréquentations relativement longues des nombreux sites hallstattiens, de nature et statut différents. Phénomène en partie lié avec l’émergence des sociétés aristocratiques, la circulation de ces objets et de biens plus luxueux illustre le rôle d’intermédiaire privilégié joué par Golasecca dans les circuits à très longue distance. / Based on the critical inventory of more than five hundred clothing accessories from the southern-Alps discovered in the northern-Alps, the present work aims at characterising the role of the Golasecca civilisation in the growth of circulation networks linking up the western Mediterranean to Celtic civilisations. Personal belongings discovered in many alpine and transalpine settlements and burial places bear witness of a direct implication of the Golasecca culture in medium and long-distance trades. This implication results in phenomena of cultural mix, technological transfer and mixed nature population, that are perceptible in certain areas of the alpine massif as well as through some displacements and relatively long-time frequenting of the main Hallstattian local settlements of varied kind and status. As a phenomenon which is partly linked to the emergence of aristocratic societies, the circulating of luxurious objects and ornaments illustrates the fact that Gollasecca has been a major go-between in the trade and communication networks between Mediterranean cultures and Hallstatt chiefs.
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Ceci n'est pas une chronologie : Die Konstruktion einer alternativen Fibelchronologie am Beispel der Fibeln des Oppidum Bibracte (Burgund, Frankreich) / Ceci n’est pas une chronologie : la construction d’une chronologie alternative de fibules à l’exemple de l’oppidum de Bibracte (Bourgogne, France) / Ceci n’est pas une chronologie : the construction of an alternative brooch chronology using the example of the brooches of the oppidum Bibracte (Burgundy, France)

Backhaus, Carla 24 October 2016 (has links)
Les fibules de l’oppidum de Bibracte sont l’objet de ce travail. D’ordinaire, les fibules sont classifiées et analysées par types, mais cela pose des problèmes méthodologiques. Pour les éviter, je développe une nouvelle méthode pour construire une chronologie en général et pour dater les fibules de Bibracte en particulier. Je me fonde sur l’approche théorique de John Collis (2009) et j’adopte ainsi le concept d’horizon chronologique, qui n’a donc pas de fin et se concentre sur des caractéristiques spécifiques à la place des types. La chronologie de fibules pour le site de Bibracte se fonde sur 122 fibules stratifiées de cinq fouilles du site, datées par les autres catégories de trouvailles comme la céramique. Cette chronologie se divise en huit horizons de fibules définis par une première occurrence de 130 caractéristiques de fibules et huit combinaisons des caractéristiques. Sur cette base il est possible de dater une fibule de manière transparente et vérifiable objectivement. La datation d’une fibule peut être estimée automatiquement sur la base de données numériques ci-jointe. Cette méthode est transférable à d’autres sites et catégories de trouvailles. La chronologie des fibules de Bibracte développée dans ce mémoire de thèse permet d’observer le développement de l’occupation de Bibracte, la durée de l’utilisation de la nécropole associée et le développement de la fabrication des fibules. / This work is about the brooches from the oppidum Bibracte. Commonly brooches are classified and chronologically interpreted as types. However, inherent methodological issues are evident, in particular for today’s chronological system of the late iron age. To overcome these issues, I consider a theoretical approach by John Collis (2009), and develop a new method to construct chronologies in general and to date the brooches of Bibracte in particular. Thereby I primarily use the concept of a chronological horizon, that has only a beginning but never ends, and rather focus on brooch attributes than on types. Based on the aforementioned, I construct an alternative brooch chronology using 122 stratified brooches from five excavations in Bibracte, whose stratigraphies are dated absolute in time by ceramic finds. The herein constructed chronology consists of eight brooch horizons, that are defined by the first appearance of 130 individual brooch attributes and of eight attribute combinations. The brooch chronology obtained in this manner allows to date any brooch or fragment of a brooch replicable and inter-subjectively verifiable for future work; the brooches can be dated automatically by means of the enclosed database. Moreover, the method presented is transferable to other archaeological sites and materials. On the basis of the alternative brooch chronology of Bibracte, various results about the settlement activity of the oppidum, the utilization period of the associated cemetery and the development of the brooch production in Bibracte are obtained. / Gegenstand dieser Arbeit sind die Fibeln aus dem Oppidum Bibracte. Für gewöhnlich werden Fibeln nach Typen klassifiziert und chronologisch ausgewertet. Dies birgt jedoch methodische Probleme, die u. a. im derzeitigen Chronologiesystem der späten Eisenzeit begründet sind. Um diese Probleme zu vermeiden, entwickle ich auf der Basis eines theoretischen Ansatzes von John Collis (2009) eine neue Methode zur Konstruktion von Chronologien im Allgemeinen und zur Datierung der Fibeln von Bibracte im Besonderen. Grundlegend sind hierfür das Konzept eines chronologischen Horizontes, der nur einen Beginn hat, jedoch kein Ende, sowie die Konzentration auf Merkmale anstatt auf Typen. In diesem Sinne konstruiere ich anhand von 122 stratifizierten Fibeln aus fünf Grabungen in Bibracte, deren Stratigrafien mithilfe der Keramik absolut datiert sind, eine alternative Fibelchronologie. Diese besteht aus acht Fibelhorizonten, die durch das jeweils erste Auftreten von 130 einzelnen Fibelmerkmalen und von acht Merkmalskombinationen definiert werden. Die auf diese Weise konstruierte Fibelchronologie ermöglicht es zukünftig, Fibeln und Fibelfragmente transparent und intersubjektiv überprüfbar zu datieren sowie die Datierung mithilfe der beiliegenden Datenbank automatisch zu berechnen. Diese Methode ist auch auf andere Fundorte und Fundkategorien übertragbar. Auf der Basis der alternativen Fibelchronologie von Bibracte werden darüber hinaus u. a. Ergebnisse zur Besiedlungsgeschichte des Oppidum erzielt, zur Belegungszeit des zugehörigen Gräberfeldes und zur Entwicklung der Fibelherstellung in Bibracte.
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Le mobilier métallique dans la cité arverne et ses confins septentrionaux à l'époque romaine : études quantitatives et qualitatives / Metal furniture in the arverni city and its northern borders during roman times : quantitative and qualitative studies

Ducreux, Aurélie 16 November 2013 (has links)
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Les trafics dans les îles de Méditerranée centrale et occidentale au Premier âge du Fer : la Corse des échanges / Trafics in the western and central mediterranean islands during the first iron age : exchanges in Corsica

Lechenault, Marine 13 May 2011 (has links)
La thèse est consacrée aux relations entre le monde méditerranéen et la Corse (IXe-Ve s. av. J.-C.). Il s’agit d’affronter la vacuité notoire du dossier corse en termes d’échanges au cours de l’âge du Fer. Avec Aleria comme seul point lumineux, ce mutisme contrastait avec le cadre effervescent de la Méditerranée archaïque : réalité, ou état des recherches ? Dans la tradition franco-italienne, on opère une entrée au sein des sociétés protohistoriques corses par le biais du marqueur exogène, puis de mettre en évidence les connexions reliant l’île à son environnement méditerranéen. La recherche implique l’assimilation du background théorique autour de la notion d’ « échange », processus dynamique générateur d’identités, appréhendé dans ses implications économiques, culturelles, sociales et politiques. En Corse, il se traduit par l’évolution de la culture matérielle, l’intégration des biens exogènes dans les mécanismes de distinction sociale, et par une certaine subordination économique et politique à ces trafics. Au-delà, c’est l’insertion précoce de l’île au sein du réseau méditerranéen qui apparait. Les communautés septentrionales entretiennent un dialogue privilégié avec le monde étrusque. Un certain clivage existe toutefois entre les sociétés corses du nord et celles du sud dans la participation aux trafics. L’étude invalide la réputation d’une Corse isolée au sein du bouillonnement à l’œuvre en Méditerranée archaïque. Elle permet d’ouvrir une large palette de questionnements futurs concernant les modalités de cette participation, dans le but d’aborder plus sereinement la question de l’articulation existant entre phénomènes endogènes et dynamiques méditerranéennes. / The thesis deals with exchanges between Western Mediterranean islands and Greek, Etruscan and Phoenician cities during the first Millenium BC. Corsica's island stands for the main target of the survey. There's no doubt that "exchanges" between human communities can cause deep changes on lifestyles and identities. Therethore, they are considered in relation with four aspects : culture, social identity, economics and political power. The survey permit to conclude to an intensive dialogue between Northern Corsica and Etruria. Certainly motivated by metal's trade, those relationships begin about the IXth century BC and concern in first Populonia's district, then Southern Etruria's poleis as Vulci and Caere. Southern Corsica doesn't really seem to participate to this trade, unless we stand there in presence of a different archaeological translation of the contacts. As a consequence of those relationships, some changes are visible in Northern Corsican material culture, social expression and settlements. It became also possible to perceive the native population in Aleria. Moreover, the thesis offers the opportunity to present Cozza Torta's excavation (in Porto-Vecchio), which is the only example of indigenous foundation with imported pottery from Massalia, Etruria and Athenes (VIth c. BC). At last, imported goods permitted a chronological discussion. To go further, it would be necessary to carry out more archaeological surveys in Northern Corsica, especially on protohistoric settlements. The Corsican material culture must be revisited too. In order to know better the Islander metals (copper and iron), we should find a way to practice analysis on some artefacts.

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