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Enseignement du passé composé et de l'imparfait à l'aide des différences aspectuelles : compréhension et application par des adultes apprenant le français langue secondeFahmy, Carine 08 1900 (has links) (PDF)
L'enseignement-apprentissage du passé composé et de l'imparfait chez les apprenants du français langue seconde ne se fait pas sans difficultés, nombreux sont les articles qui en font mention. Les auteurs s'intéressant à ce sujet évoquent plusieurs raisons à la base de ces difficultés. Par exemple, une terminologie inadéquate est utilisée quand il s'agit de différencier les emplois du passé composé et de l'imparfait (Dansereau, 1987; Gezundhajt, 2000; Blyth, 2005). Les règles et les exercices présentés aux apprenants, souvent retrouvés dans les manuels qu'ils utilisent, peuvent les confondre. Ce sont souvent les distinctions sémantiques du verbe (basées sur des règles de durée, d'état, de répétition, etc.), plutôt que les distinctions aspectuelles, qui sont prises en compte et qui mêlent les apprenants. Le présent mémoire expose une étude exploratoire qualitative ainsi que quantitative menée auprès de 32 adultes non francophones (la majorité allophone) apprenant le français langue seconde dans deux écoles de langues de Montréal. Afin de vérifier les impacts d'un enseignement basé sur les explications aspectuelles grammaticales pour distinguer les emplois du passé composé et de l'imparfait, nous avons créé une séquence didactique dans laquelle différentes tâches de réflexion métalinguistique, soit la co-construction d'explications, un exercice à trous et un dictogloss, ont été réalisées par les apprenants. Nous avons évalué le degré de reprise des explications aspectuelles ainsi que la relation entre l'obtention de bons résultats et la formulation d'explications aspectuelles grammaticales grâce à l'enregistrement des dialogues métalinguistiques des apprenants en petits groupes lors de l'exercice à trous et du dictogloss. À partir de l'écoute des enregistrements, nous avons procédé à la codification des commentaires métalinguistiques des apprenants. Ceux-ci ont aussi effectué un test avant et un après le traitement expérimental. Nous avons trouvé que, effectivement, les participants ont repris et se sont approprié les explications aspectuelles lors des exercices. De plus, nous avons remarqué que les explications aspectuelles ont favorisé l'obtention de bons résultats, de façon générale. Toutefois, les tests statistiques n'ont pas montré de différence significative entre les résultats des pré et postests ni de corrélation entre les types d'explications fournies par les participants lors des tâches de réflexion métalinguistique et les choix faits entre le PC et l'IMP lors de ces tâches.
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MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : passé composé, imparfait, aspect, enseignement, adultes, français langue seconde, métalinguistique.
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Les stratégies d'enseignement pour l'alphabétisation en français langue seconde des immigrants allophones adultesChrétien-Guillemette, Karine 04 1900 (has links) (PDF)
Dans la présente recherche, nous avons voulu découvrir quelles étaient les stratégies d'enseignement pour l'alphabétisation en français langue seconde d'immigrants adultes allophones. Notre but était de construire une classification de ces stratégies. Au cours de nos recherches, nous nous sommes rendu compte que personne n'avait fait ce travail avant nous. Nous avons choisi de mener une recherche exploratoire qualitative au cours de laquelle nous avons réalisé des études de cas. Pour ce faire, nous avons trouvé quatre participants et nous avons observé chacun d'eux en classe à deux reprises. Par la suite, nous les avons rencontrés individuellement pour une analyse de construits. Nous avons ensuite analysé les données des observations en classe et des analyses de construit à l'aide de deux logiciels, RepGrid et Atlas.ti. Notre analyse nous a permis de constater que nos participants ont utilisé un très grand nombre de stratégies, soit environ 70. Nous avons regroupé ces stratégies en catégories pour parvenir à construire notre classification. Celle-ci se divise en deux grandes catégories : les stratégies d'enseignement pour l'apprentissage et les stratégies d'enseignement de gestion de classe. La première catégorie contient les stratégies suivantes : stratégies d'enseignement méthodologiques, stratégies d'enseignement interactives, stratégies d'enseignement correctives, stratégies d'enseignement orales, stratégies d'enseignement écrites, stratégies d'enseignement évaluatives. La deuxième catégorie, pour sa part, est formée des stratégies d'enseignement motivationnelles, des stratégies d'enseignement organisationnelles et des stratégies d'enseignement médiatiques. En comparant notre classification des stratégies d'enseignement à d'autres classifications qui existent dans le domaine de l'enseignement des langues secondes, nous avons pu conclure que plusieurs stratégies sont semblables. Cela nous laisse penser que les stratégies utilisées par les enseignants en langue seconde et celles des enseignants en alphabétisation des immigrants adultes allophones sont bien souvent les mêmes.
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MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : stratégie, enseignement, alphabétisation, langue seconde
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La relation entre l'utilisation du journal de bord de réflexion métalinguistique et le développement de la précision en français langue seconde des apprenants adultesOsadceaia, Rimma 07 1900 (has links) (PDF)
L'attention portée à la langue est nécessaire afin de rendre l'input langagier disponible pour un traitement ultérieur (Schmidt, 2001). Donc, elle devrait être stimulée dans une classe de langue. Pour attirer l'attention des apprenants sur les éléments grammaticaux, les chercheurs proposent d'utiliser différents moyens parmi lesquels se trouve la réflexion métalinguistique (Trévise, 1994; Swain, 1995, 1998). Celle-ci peut être suscitée au moyen d'un journal de bord, procédure peu étudiée en acquisition des langues secondes (Allison, 1998; Simard, 2004a, 2004b). Dans la présente étude, nous avons utilisé le journal de bord incitant les apprenants adultes de français langue seconde à verbaliser leurs réflexions métalinguistiques. Les questions de recherche auxquelles nous avons tenté de répondre sont : 1) Y a-t-il une relation entre l'utilisation du journal de bord de réflexion métalinguistique et le développement de la précision en français langue seconde des apprenants adultes? 2) Quelle est la perception des apprenants allophones adultes de l'utilisation du journal de bord de réflexion métalinguistique? 3) Y a-t-il une relation entre leur perception de l'effet qu'a l'utilisation du journal de bord de réflexion métalinguistique sur leur développement de la précision en français langue seconde et les résultats obtenus au post-test? Nos participants (n=11), immigrants adultes fréquentant les cours de francisation offerts par le MICC dans un établissement d'enseignement, ont rédigé à huit reprises des réflexions portant sur les éléments grammaticaux qui avaient attiré leur attention sur une période de dix semaines. Les résultats indiquent qu'il n'existe aucune relation entre l'utilisation du journal de bord et le développement de la précision linguistique des apprenants. Toutefois, une tendance de relation entre les résultats obtenus à la tâche de production écrite et la perception de l'influence de l'utilisation du journal de bord sur l'amélioration du niveau de français a été remarquée. Une comparaison entre ces résultats et ceux de Simard (2004b) indique que le caractère spécifique de relation visée par notre étude ainsi qu'un petit échantillon de participants peuvent expliquer les résultats obtenus. De même, nos résultats comme ceux obtenus par Simard (2004b) indiquent que les participants ont beaucoup apprécié l'utilisation du journal de bord.
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MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : acquisition du français langue seconde, précision linguistique, réflexion métalinguistique, journal de bord.
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Les erreurs d'orthographe grammaticale dans les rédactions de futurs enseignantsDuchesne, Julie 06 1900 (has links) (PDF)
Le milieu scolaire, la population et les médias s'inquiètent de la piètre qualité du français écrit des futurs enseignants. Bien qu'il existe des recherches qui s'intéressent à la qualité du français écrit d'étudiants du postsecondaire, très peu d'entre elles ont spécifiquement porté sur le sous-groupe des futurs enseignants : c'est pourquoi nous nous intéressons aux erreurs trouvées dans leurs rédactions, et plus spécifiquement, à celles qui relèvent de l'orthographe grammaticale, puisque cette catégorie pose problème aux étudiants du postsecondaire. À notre connaissance, aucune recherche ne s'est penchée uniquement sur les erreurs trouvées dans cette catégorie. Nous proposons de nous référer à une théorie relevant de la morphologie (Hypothèse lexicaliste forte) pour la définition des termes orthographe lexicale et orthographe grammaticale. Selon nous, l'orthographe grammaticale se définit uniquement comme l'application des règles d'accord sur des mots de classe variable. L'accord est le transfert des marques morphologiques de genre, de nombre et de personne d'un donneur (nom, pronom) à un receveur (déterminant, adjectif, verbe, participe passé, pronom représentant et, dans certains cas, le nom). C'est à partir de ces définitions que nous avons proposé une typologie des erreurs d'orthographe grammaticale en nous appuyant sur un classement des règles d'accord et sur les erreurs relevées dans les rédactions de notre corpus. Cette typologie des erreurs se divise en trois sous-catégories : les accords intragroupes, intergroupes et au-delà de la phrase. Les 84 participants à la recherche, des étudiants en formation des maîtres, inscrits majoritairement au baccalauréat en éducation préscolaire et enseignement primaire ou à celui en adaptation scolaire, ont rédigé un texte d'environ 350 mots, sur un thème imposé et sans utiliser d'ouvrages de référence. Nous avons classé toutes leurs erreurs et nous avons effectué une analyse plus fine des erreurs d'orthographe grammaticale. Nous montrons que, parmi les sous-catégories de l'orthographe grammaticale, l'une d'entre elles se démarque des autres (différence statistiquement significative) : il s'agit des accords intergroupes.
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MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : accord, formation des maîtres, grammaire, grille de correction, maîtrise du français écrit, orthographe lexicale, orthographe grammaticale, rédaction, typologie des erreurs.
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La sémantique des mots de verticalité en français et leurs emplois métaphoriques : une approche monosémique et cognitiveYune, Ki-Chan 08 1900 (has links) (PDF)
La présente recherche a pour objectif de déterminer la sémantique des mots de verticalité en français et la motivation conceptuelle de leurs emplois métaphoriques. Afin d'atteindre à ces objectifs, nous étudions les primitives conceptuelles de la sémantique grammaticale des mots suivants : haut, bas; monter, s'élever, grimper, s'envoler, bondir; descendre, baisser, tomber, chuter et dégringoler. Nous tentons de vérifier les quatre hypothèses suivantes : a) la sémantique grammaticale de ces mots est essentiellement basée sur la verticalité; b) la validité des emplois figurés de ces mots repose sur les correspondances conceptuelles avec leur sémantique grammaticale; c) des moyens de représentation non linguistique sont la source des créations métaphoriques; d) nos objets d'étude ne sont pas des mots polysémiques mais monosémiques, et leurs acceptions ne sont que des interprétations de leurs sémantiques grammaticales selon leurs divers emplois ou contextes. D'après nos analyses sémantiques de leurs emplois propres et figurés les plus exhaustifs possibles, basées sur l'approche monosémique de Ruhl (1989), Bouchard (1993; 1995), Victorri et Fuchs (1996), Cadiot et Lebas (2003), Desclés (1998; 2005) et d'Emirkanian (2008), les primitives conceptuelles de la sémantique grammaticale de ces mots impliquent essentiellement la verticalité. La validité de leurs emplois propres repose sur la satisfaction réelle de ces conditions, alors que celle de leurs emplois figurés est basée sur les correspondances conceptuelles avec ces conditions. Contrairement au point de vue traditionnel, ces mots ne sont pas polysémiques, mais monosémiques. De plus, de nombreux des emplois figurés des mots de verticalité sont des métaphores dont la source de motivation conceptuelle vient d'un moyen de représentation non linguistique, comme un graphe, une notation musicale, un thermomètre, etc. D'après la théorie de la métareprésentation de Sperber (1994; 1996; 2000), ces métaphores sont des métareprésentations, soit des expressions linguistiques de ce qui est représenté par ces moyens de représentation.
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MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : sémantique, métaphore, métareprésentation, verbe de déplacement, verticalité, polysémie, monosémie, français.
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Polysemy and cross-linguistic variation : a study of English and French deictic motion verbsZuercher, Beau 07 1900 (has links) (PDF)
La présente thèse en sémantique lexicale examine le phénomène de la polysémie (c.-à-d. l'existence de multiples emplois inter-reliés pour un même mot), et ce de deux points de vue : d'une part, celui du statut de la polysémie dans le lexique, et d'autre part, celui des causes de la variation de la polysémie entre les langues. Les tenants d'approches par sens multiples – en particulier ceux qui travaillent dans le cadre de la sémantique cognitive – attribuent la polysémie d'un mot donné à un réseau complexe de sens organisés autour d'un sens prototypique et concret, ces sens étant reliés par des relations telles que la similarité et la métaphore. Mais ces approches par sens multiples souffrent d'un manque de parcimonie (prolifération des sens, redondances entre connaissances sémantiques et connaissances du monde, redondances entre les sens individuels), et elles n'offrent pas de moyen adéquat pour rendre compte des différences de polysémie que l'on observe d'une langue à l'autre. La présente étude se penche sur les verbes déictiques anglais et français qui permettent d'exprimer des situations de 'mouvement' (COME, GO, VENIR et ALLER) par le biais de trois questions : 1) ces verbes ont-ils de multiples sens lexicaux ou un sens lexical unique; 2) pourquoi montrent-ils les ressemblances d'emploi que l'on observe en comparant les deux langues, et 3) pourquoi montrent-ils les différences d'emploi que l'on observe? En utilisant des données provenant de plusieurs dictionnaires, d'un petit corpus et des intuitions de locuteurs, nous avons identifié pour chaque verbe un grand ensemble de significations possibles qui appartiennent à une grande variété de domaines, et nous avons identifié le contenu sémantique lexical invariant de chacun de ces verbes en les analysant dans le cadre de l'approche monosémiste de Bouchard (1995) ainsi que celui de l'approche néo-saussuréenne de Bouchard (2002, à paraître). Nous montrons que chacun de ces verbes est monosémique au niveau lexical, ne possédant qu'une seule représentation sémantique abstraite dont les composantes sont ancrées dans des propriétés de la cognition générale. Plus spécifiquement, COME et VENIR expriment l'orientation abstraite vers le centre déictique (défini comme un point qui est accessible à un Sujet de Conscience), tandis que GO et ALLER expriment l'orientation abstraite vers une relation avec l'anti-centre déictique, le complément du centre déictique. Nous démontrons en détail comment tous les emplois sémantiques discutés dans cette étude découlent de la manière dont ces représentations sémantiques indépendantes de tout domaine particulier interagissent avec des inférences basées sur des connaissances extralinguistiques. Le degré élevé de polysémie contextuelle de ces éléments découle du caractère très abstrait de leurs composantes sémantiques ('orientation', 'Sujet de Conscience', 'accessibilité', localisation' et R, une relation combinatoire maximalement générale). Comme il existe de nombreuses façons pour un élément d'interagir avec ces composantes (selon la nature des entités impliquées dans la situation), ces verbes peuvent donner lieu à un nombre pratiquement sans limites de manifestations différentes en fonction du contexte. Nous montrons par ailleurs que les ressemblances observées dans ces paires d'équivalents français-anglais découlent de leur contenu sémantique commun, tandis que les nombreuses asymétries que l'on observe dans les emplois de ces paires s'expliquent par une seule différence au niveau du sens invariant : les verbes anglais contiennent une relation de localisation, alors que les verbes français correspondants contiennent la relation combinatoire générale R. Étant donné que les représentations sémantiques de ces verbes sont très abstraites, l'interaction entre cette petite différence au niveau du contenu sémantique, d'une part, et les connaissances contextuelles et les connaissances du monde, d'autre part, donne lieu à d'abondantes différences de surface. D'autres différences émergent de l'interaction entre ces sens uniques et les différences grammaticales et lexicales entre l'anglais et le français. Ainsi, nous démontrons qu'une approche monosémique permet d'offrir une analyse de la polysémie et de la variation qui est à la fois compréhensive et parcimonieuse. Les résultats obtenus appuient l'idée selon laquelle les mots tendent à être monosémiques au niveau du lexique ainsi que l'idée selon laquelle les composantes sémantiques lexicales (à la fois celles qui sont récurrentes d'une langue et l'autre et celles qui varient) sont ancrées dans des propriétés de la cognition générale.
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MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : sémantique lexicale, polysémie, monosémie, variation, verbes de déplacement déictiques, anglais, français
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Profils de représentations des élèves du secondaire de la littérature et de la lecture littéraire en classe de français : une analyse de classes latentesMiquelon, Alexie 11 1900 (has links) (PDF)
Ce mémoire s'inscrit dans la foulée des recherches sur la lecture littéraire en contexte scolaire. La question qui le sous-tend est celle-ci : Quelles sont les représentations des élèves de la littérature et de la lecture littéraire telles qu'envisagées dans la classe de français? La démarche employée pour y répondre est celle de la classification des participants selon leur profil de représentations, qui est réalisée statistiquement par analyse de classes latentes. Les participants (n=484) ont été appelés à se positionner face à des indicateurs de représentations créés aux fins de la recherche, qui concernent la sélection et la prescription des corpus littéraires scolaires, les finalités de l'enseignement de la littérature et les postures de lecture privilégiées dans le cadre de la lecture littéraire en classe de français. L'analyse des réponses des participants a permis de faire émerger quatre profils de représentations au sein de l'échantillon: La lecture littéraire en classe de français : une lecture scolaire assujettie, La lecture littéraire en classe de français : une lecture d'épanouissement culturel et personnel, La lecture littéraire en classe de français : une lecture de plaisir personnelle et subjective et La lecture littéraire en classe de français : un mal nécessaire. Les représentations de chacun de ces profils sont décrites, ainsi que les facteurs sociodémographiques qui prédisent l'appartenance à chacun d'entre eux pour un élève donné, notamment le degré de défavorisation de l'école qu'il fréquente, son genre et la place du livre et de la lecture dans sa famille. Les représentations auxquelles les participants de l'ensemble de l'échantillon adhèrent le plus fortement et le plus faiblement font également l'objet d'une analyse. Les résultats de cette recherche entraînent des implications didactiques et sociales, notamment la pertinence de la valorisation de l'investissement subjectif des élèves en contexte scolaire et de la diversification des corpus littéraires scolaires, ainsi que l'importance des programmes d'éveil à la lecture en milieu défavorisé.
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MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Lecture littéraire, littérature, représentations, didactique, analyse de classes latentes.
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L'éternel infinitif de narration françaisEnglebert, Annick January 1993 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Autour des relations conjonctives interphrastiques dans les productions écrites en français langue seconde d’apprenants universitaires : essai d’analyse textuelle / About interphrasal and conjunctive relationships in French as a second language written material of academic learners : a textual analysis essaySanei-Kashani, Nasrin 31 August 2012 (has links)
Analyser la conjonction dans des productions écrites d’apprenants n’a jamais véritablement connu beaucoup de succès dans les recherches linguistiques, singulièrement dans le contexte du français (langue maternelle, langue seconde ou étrangère). Ce relatif intérêt de la littérature savante en matière de conjonction dans l’écrit portant sur le processus d’apprentissage des langues est sans doute l’une des raisons qui justifient notre préférence pour cette étude d’autant plus que derrière une telle thématique on pourrait souligner le fait qu’examiner la manière dont des étudiants allophones à majorité anglophones rédigent en français langue seconde (une comparaison qui se fait entre deux niveaux de compétence linguistique que sont le niveau 2 et le niveau 4) est susceptible de nous fournir l’occasion de nous pencher d’un peu plus près sur les moyens conjonctifs (en termes de nombre, de variété et d’utilisation). Une telle approche nous a paru être d’un grand intérêt pour les multiples éclairages que ce biais apporte, d’une façon générale, à la problématique de la conjonction ainsi qu’à ses autres substituts morpho-syntaxiques et sémantiques. Quant à la grille d’analyse que nous nous sommes efforcée d’échafauder, elle comprend quatre volets permettant à chacun des 4 la gestion d’une analyse ponctuelle. Mais, d’une manière générale, elle nous a semblé susceptible d’obtenir des résultats variés satisfaisants. Ces résultats, dont certains nous semblent pouvoir corroborer ceux d’autres travaux portant sur l’analyse de la conjonction dans des textes écrits en d’autres langues que le français, devraient nous permettre aussi, croyons-nous, de pouvoir déceler des différences significatives entre les niveaux d’observation quant au nombre d’éléments conjonctifs, à la fois dans leur variété et dans leurs diverses utilisations. / The analysis of conjunction in written compositions of learners has never been very successful in linguistic research, particularly in the context of French as (mother tongue, second or foreign language). This relative lack of interest of scholarly literature regarding conjunction in written compositions, related to the learning process of languages is probably one of the reasons we chose the present study, especially because we can highlight throughout this topic the fact that analyzing the way allophone students write in French as second language, most of them are English speakers (a comparison made between two levels of linguistic competence, I.E. level 2 and level 4) may offer the opportunity to look more closely into the conjunctive means ( in terms of number, variety and use). Such an approach appeared very interesting to us, thanks to the numerous insights it generally provides into the conjunction problem and its other morpho-syntaxic and semantic substitutes. It is true that such a work, even so designed, could not be conducted without a first detour into the most well known works in French. As for the analysis grid we endeavoured to construct, it consists of four parts, each part is supposed to conduct a case-by-case analysis. But it is likely to achieve in general varied satisfactory results. These results, some of which seem to corroborate other works’ results focusing on the conjunction analysis in texts written in languages other than French, should also allow us, we believe,to be able to discern significant differences between the levels of observation regarding the number of conjunctive elements, both in their variety and in their various uses.
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Contrôle et connaissance phonétique: les voyelles nasales du françaisDelvaux, Véronique January 2002 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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