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L'abbatiale de Baume-les-Messieurs à l'époque romane : histoire d'un chantier. / The abbey of Baume-les-Messieurs during the romanesque period : the history of a construction site

Bassi, Marie-Laure 02 April 2013 (has links)
Le monastère bénédictin de Baume-les-Messieurs, attesté dans les textes à la fin du IXe siècle, est avec celui de Gigny à l’origine de la fondation de l’abbaye de Cluny. Deux siècles plus tard, Balma figure parmi les plus importants établissements monastiques de l’actuelle Franche-Comté, et son église est considérée dans l’historiographie régionale comme un des édifices phares de la période romane. Pour autant, l’église abbatiale attendait toujours une étude monographique que nous avons souhaité développer par les méthodes, notamment, de l’archéologie du bâti. Les investigations archéologiques réalisées entre 2006 et 2012 ont renouvelé pleinement nos connaissances sur le parti architectural primitif de l'église romane et ont permis d’identifier différentes phases de construction. L’étude du bâti, conjuguée aux résultats de la fouille archéologique du chœur, a révélé une première phase constructive datée du début du XIe siècle qui se caractérise par un parti architectural ambitieux et insoupçonné jusqu’alors, où la monumentalité du chevet s’exprimait par cinq chapelles échelonnées, encadrées de deux puissantes tours de clocher érigées à l’extrémité des bras du transept. Une seconde phase romane est identifiée au moment du voûtement de l’ensemble de la nef. Cette solution est révélatrice des expériences précoces sur le voûtement qui se manifesta dans le Jura et, plus largement, dans la vallée de la Saône, dès les années 1020-1030. Cette seconde campagne de travaux se caractérise également par une recherche de nouveaux effets plastiques des parois extérieures, avec la présence d’un registre de lésènes et d’arcatures aveugles. Les choix constructifs et décoratifs adoptés au cours du XIe siècle pour l’abbatiale Saint-Pierre de Baume, placent l’édifice au cœur de cette nouvelle expression architecturale du « premier art roman » qui se diffusa, de manière plus ou moins concomitante, dans plusieurs foyers à travers l’Europe. La reconstruction d’une vaste église abbatiale à partir du début du XIe siècle traduit également les besoins d’une communauté monastique en pleine expansion et reflète la puissance, au moins temporelle, de l’établissement / The Benedictine monastery of Baume-les-Messiers, attested in the textual sources at the end of the ninth century, is, along with Gingy, at the origin of the foundation of the abbey of Cluny. Two centuries later Balma figures among the preeminent monastic establishments in modern day Franche-Comté, and its church appears in the regional historiography as one of the stand out buildings of the Romanesque period. In spite of this, however, until recently the abbatial church still lacked a monographic study of the type that it was our intention to carry out, through the use of methods such as building archaeology. The archaeological investigations carried out between 2006 and 2012 have completely reshaped our understanding of the architectural layout of the earliest phase of the Romanesque church and have allowed us to identify a number construction phases. The study of the upstanding building, allied with the results of the archaeological excavations of the chancel, have revealed an initial phase of construction dateable to the beginning of the 11th century, which is characterised by an ambitious and hitherto unexpected architectural layout, in which the monumentality of the chevet is expressed through a series of five staggered chapels, framed by two imposing bell towers positioned at either extreme of the transept. A second Romanesque phase is discernable at a point in which the nave ensemble undergoes alteration, becoming vaulted. This modification is indicative of the early experimentation with vaulting that came about in the Jura, and more generally in the Saône valley, during the years 1020-1030. This second building campaign is also characterised by a considerable amount of experimentation in new forms of decorative features on the external walls, expressed through the inclusion of a series of lesenes and blind arcades. The architectural and decorative choices adopted throughout the course of the 11th century for the abbatial church of Saint-Pierre of Baume place the building firmly at the forefront of the new architectural expression of early Romanesque art, which was expanding more or less concomitantly, appearing in numerous centres throughout Europe. Moreover, this reconstruction of a large abbatial church from the 11th century onwards, conveys the wishes of a flourishing monastic community and reflects the power, albeit temporary, of the establishment
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Un atelier jurassien au temps des Lumières, les Rosset : sculpteurs, ivoiriers et peintres comtois à Saint-Claude dans le Jura au XVIII siècle

Pierre, Marie-liesse 28 October 2013 (has links) (PDF)
Le sujet traite de l'originalité de l'atelier de sculpture des Rosset de Saint-Claude dans le Jura (France) actif du XVIe au XIXe siècle. Original par sa production familiale d'objets d'art en ivoire et en marbre qui connut une diffusion européenne grâce aux portraits de Voltaire. Sculpteurs d'intérieur et "en petit", engagés dans le débat des Lumières, les Rosset sont aussi des statuaires comtois renommés et des peintres locaux. Le sujet est centré sur le XVIIIe siècle autour de l'œuvre de Joseph Rosset (1706-1786) âme de l'atelier, créateur de modèles réputés et que ses cinq fils, tous artistes, produiront en série avec lui et, après sa mort de manière indépendante, adaptant leur œuvre à l'évolution des goûts : Jean François alias Joseph Rosset (1734-1783) orfèvre, Jean-Joseph-Nicolas Rosset (1737-1809) prêtre et peintre, Jacques-Joseph Rosset (1741-1826), François-Marie Rosset (1743-1824) peintre voyageur en Turquie d'Asie et sculpteur et Claude-Antoine Rosset (1749-1818) peintre et sculpteur. Le volume I (265 pages). Le premier chapitre retrace l'histoire de l'atelier présent à Saint-Claude depuis le XVIe siècle, analyse le contexte du travail et la position sociale bourgeoise de la famille de Joseph Rosset au XVIIIe siècle. Le chapitre deux présente de manière critique la biographie de Joseph Rosset, dégage les caractères de son œuvre à tête de Janus, le sacré et le profane, à l'image de ses convictions, de sa foi religieuse catholique et de ses idées politiques libérales, qui met son art au service des Lumières. Enfin, un troisième chapitre, analyse l'œuvre de ses fils dans la continuité politique de l'idéal de leur père ; ils participent en citoyens à la mise en œuvre des réformes libérales de la Révolution. Le volume II (587 pages) présente le catalogue raisonné de l'œuvre de Joseph Rosset (1706-1786), tome 1, les œuvres religieuses, tome 2, l'œuvre en ivoire de l'atelier Rosset et, tome 3 l'œuvre profane en marbre. Le volume III (491 pages) est le catalogue raisonné de l'œuvre sculpté et peint de ses fils : tome 1, l'œuvre graphique et sculpté de Jacques Rosset (1741-1826) ; tome 2, l'œuvre peint et sculpté de François Rosset (1743-1824) ; tome 3 l'œuvre sculptée d'Antoine Rosset (1749 - 1818).
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Les agglomérations antiques du Val de Saône : émergence et mutations d’un réseau urbain de la fin de l’âge du Fer au début du Moyen Âge / The ancient towns in the Saône Valley : emergence and mutations of an urban network from the end of the Iron Age to the beginning of the Middle Ages

Gaëtan, Loïc 12 June 2019 (has links)
Cette thèse vise l’étude des processus d’émergence, de structuration et de mutation d’un réseau urbain antique depuis la fin de la Protohistoire jusqu’au Moyen Âge dans une micro-région située aux confins des territoires antiques éduens, lingons et séquanes, le Val de Saône. Celle-ci se caractérise par une armature dense d’agglomérations gallo-romaines possédant une somme et une qualité de données inégalée en Gaule, fruit de recherches anciennes et récentes. Alors que ces agglomérations ont été parmi les premières étudiées au cours des années 1980, leur exploitation s’est limitée à l’étude des hiérarchies et des fonctions urbaines durant le Haut-Empire, délaissant la chronologie et l’évolution du système urbain.Le corpus de sites a fait l’objet d’une démarche d’homogénéisation et de cartographie des données grâce à des outils spécialement développés. Pour répondre aux questions d’organisation spatiale et de chronologie, de nouvelles acquisitions d’informations ont été réalisées. Ces données, rassemblées dans des notices et synthétisées à travers une série de descripteurs, permettent de réfléchir sur une meilleure définition de la caractérisation des agglomérations et sur l’étude de leur parcours chronologique.C’est à partir de la typo-chronologie des agglomérations que les dynamiques spatiales, morphologiques et temporelles sont mises en évidence à l’échelle du Val de Saône, puis comparées avec les données du Centre-Est de la Gaule. L’analyse in-terne des agglomérations permet d’appréhender la place et le rôle des composantes principales des occupations comme les parures monumentales, les types d’habitat ou l’artisanat. L’enquête montre l’importance et la variété des agglomérations dans le système de peuplement du Val de Saône depuis la fin de la période laténienne. L’organisation des ré-seaux antiques, issue d’un héritage protohistorique très marqué, et les dynamiques urbaines indiquent des récurrences et des spécificités à chacune des cités.Cette thèse constitue ainsi une synthèse inédite sur l’émergence, le développement et le devenir de ce réseau urbain remarquable, dont la structure est encore nettement discernable aujourd’hui. / The aim of this thesis is to study the processes of emergence, structuring and mutation of an ancient urban network from the end of the Protohistory to the beginning of the Middle Ages in a micro-region located on the edge of the ancient éduens, lingons and séquanes territories, the Saône Valley. This area is characterized by a density of Gallo-Roman small towns with an amount and a high quality of data unequalled in Gaul, as a result of ancient and recent research. While these small towns were among the first studied in the 1980’s, their exploitation was limited to the study of hierarchies and urban functions during the High Empire, neglecting the chronology and the evolution of the urban system.The site corpus has been homogenized and mapped using new tools that were specially developed for that. To meet the expectations of spatial organization and chronology, new information has been gathered. These data, collected in notes and synthesised through a set of archaeological descriptors, allow us to reflect on a better definition of the small towns characterization and on the study of their evolution paths.It is from the typo-chronology of the towns that spatial, morphological and temporal dynamics are highlighted on the scale of the Saône Valley, then are compared to the Central-East of Gaul’s data. The internal analysis of towns makes it possible to understand the place and role of the main components of occupancies such as monumental adornments, habitat types or handicraft. The research shows the importance and the variety of the urban area towns in the settlement system of Saône Valley from the end of the Latenian period. The organization of ancient networks, resulting from a very marked protohistorical heritage, and the urban dynamics indicate recurrences and specificities to each of the cities.This thesis makes an unprecedented synthesis on the emergence, development and future of this remarkable urban network, whose structure is still distinctly discernible nowadays.
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Accompagnement de la vie relationnelle, affective et sexuelle des personnes en situation de handicap : regards croisés Franche-Comté - Suisse Romande / Accompaniment for the disabled, in their relational, emotional and sexual life : comparative view between Franche-Comté and french speaking Switzerland

Maurice, Sarah 16 November 2017 (has links)
L’évolution des droits des personnes en situation de handicap leur garantit une prise en compte singulière de leurs besoins et de leurs attentes. Les associations se mobilisent pour que leur vie relationnelle, affective et sexuelle (VRAS) puisse être reconnue dans l’accompagnement au sein des établissements et des services médico-sociaux. Cette dimension, qui se situe au cœur de l’intime, comporte de multiples enjeux. La protection de l’individu doit être assurée au même titre que son autonomie, et la proximité quotidienne entre les acteurs doit être suivie d’une remise en question permanente. Les bénéficiaires, les professionnels et les familles se retrouvent dans des situations parfois complexes et paradoxales, qui sont résolues par différents mécanismes de régulation. Les modalités s’inscrivent aujourd’hui dans une logique inclusive et se construisent en cohérence avec le droit, l’éthique et les moyens dont disposent les acteurs. Il existe des leviers d’action qui renforcent la capacité d’agir et les compétences de l’ensemble des parties prenantes. L’approche comparative utilisée ici débouche sur une analyse des pratiques existantes et innovantes, tant en Franche-Comté qu’en Suisse romande. Cette recherche, qui s’inscrit dans le cadre d’un contrat doctoral Région, repose sur un paradigme interactionniste et s’appuie sur diverses disciplines. Ce travail mobilise plusieurs techniques de recueil de données (entretiens, questionnaires et observations), et propose un certain nombre de recommandations. / Today, the development of rights for the disabled, guarantees that their needs and expectations are met in a singular manner. Associations are mobilised so that their relational, emotional and sexual life may be recognised during their accompaniment within medico-social establishments and departments. This dimension, present in the heart of the intimate, includes numerous challenges. The individual’s protection must be ensured, just in the same way as their autonomy. Moreover, daily proximity between the various actors involved must be followed through by permanent questioning. Beneficiaries, professionals and families sometimes find themselves in complex, paradoxical situations, solved thanks to various regulating mechanisms. Today, the modalities involved figure within inclusive logic and are being developed in coherence with the law, ethics and the different actors’ means. There are action levers, reinforcing the empowerment and skills of all the parties implied. The comparative approach used here results in an analysis of existing and innovative practice in Franche-Comté (France), as well as in French-speaking Switzerland. This research, carried out within the scope of a regional Doctorate contract, rests on an interactional paradigm and is based on various different disciplines. This work mobilises several techniques, with a view to collecting data (interviews, questionnaires and observation) and proposes a number of recommendations.
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Les derniers grands feux (?) d'une maison comtoise et bourguignonne : Guillaume de Vienne, seigneur de Saint-Georges et de Sainte-Croix, 1362-1437 / The last big lights (?) of one house of burgundy (duchy and county) : Guillaume de Vienne, sire of Saint-Georges and Sainte-Croix, 1362-1437

Pelot, Gérard 14 December 2012 (has links)
Le personnage s'inscrit dans l'histoire de la seconde Maison de Vienne (depuis le milieu du XIIIe siècle), issue des comteséponymes, peu étudiée. Les diverses branches furent animées par quelques personnagesprestigieux, comme Jean de Vienne, amiral de France. Trois faits : la mort de l'amiral(Nicopolis, 1396), le fabuleux héritage de son frère Huguenin, et une robuste santé, permirentà Guillaume de s'affirmer comme "chef " de la Maison de Vienne. Il se distingua par unservice multiforme (militaire, diplomatique, de conseil) auprès des ducs de BourgognePhilippe le Hardi, Jean sans Peur et Philippe le Bon, de 1379 à sa mort, et par une gestionavisée de son immense patrimoine terrien, dans le Duché (presque toute la Bresselouhannaise ; Arc-en-Barrois ; sans doute le premier revenu domanial duchois), et dans leComté, auquel il faut ajouter deux hôtels, à Dijon et à Paris. Olivier de La Marche propagea larenommée de Guillaume de Vienne "le Grand" et "le Sage". Ses deux épouses successives lefirent entrer dans des familles prestigieuses : Thoire-Villars (alliée aux comtes de Genève) etles Dauphins d'Auvergne. Sur les champs de bataille et comme diplomate, le "sire de SaintGeorge" connut la gloire et la célébrité : de l'Ecosse à Mahdia (en l'actuelle Tunisie), de laNormandie à Milan, il s'affirma comme un haut cadre de l'Etat bourguignon en gestation.Comblé d'honneurs par les Ducs ( ordre de l'Arbre d'or en 1403, premier nommé chevalier del'ordre de la Toison d'or en 1430), recevant la plus forte pension ( 3000 francs/an), intime deces souverains, il fut aussi un membre actif du Grand conseil royal et gouverneur des deuxBourgognes ; il s'illustra à la croisade (Mahdia, 1390), au service de l'Eglise (familier deClément VII ; chef de l'ambassade bourguignonne au concile de Constance (1415) ;bienfaiteur de Colette de Corbie pour la fondation de plusieurs couvents) et fut le dernierBourguignon auquel s'adressa Jean sans Peur sur le pont de Montereau (1419). Sa secondeépouse lui donna un fils, lui aussi prénommé Guillaume, et seigneur de Saint-Georges et deSainte-Croix à la mort de son père – ce qui a posé problème à plus d'un historien. Cepersonnage, pourvu d'une solide formation, militaire mais aussi intellectuelle (envoyé en"Allemagne" pour y apprendre la langue), connut une foudroyante ascension, du vivant de sonpère, au service de Jean sans Peur puis de Philippe le Bon. Non moins foudroyante fut, dès1440, la dilapidation du patrimoine mobilier et immobilier du "sire de Saint-George" par lenouveau Guillaume de Vienne et son fils Jean, lesquels menèrent, semble-t-il, une viedissolue, et tombèrent dans les rets de multiples profiteurs, au premier chef les "légistes etgens de finances". Marguerite de Vienne, une soeur de Jean, fut bien près d'épouser le comted'Eu, beau-frère de Philippe le Bon. Elle s'unit à Rodolphe de Hochberg, issu d'une puissantefamille de Forêt Noire, et devenu comte de Neuchâtel en succession de son cousin Jean,comte de Fribourg et maréchal de Bourgogne. Marguerite et Rodolphe unirent leurs efforts etparvinrent à reconstituer une bonne partie du patrimoine seigneurial de "Guillaume de Viennele Grand", qu'ils transmirent à leur fils Philippe, célèbre par ses états de service auprès deCharles le Téméraire puis de Louis XI. La fille de Philippe, Jeanne de Hochberg, par sonmariage apporta l'héritage à la famille d'Orléans-Longueville. D'autres branches "Vienne"s'éteignirent, mais une semblable étude permettrait de sortir de l'ombre des personnages decette Maison, comme Guillaume de Vienne, seigneur de Montby et de Montbis (décédé en1471), les Vienne seigneurs de Listenois (Bourbonnais), sans oublier Girard (mort en 1545),seigneur de Commarin, fondateur de la chapelle de Vienne en la Sainte-Chapelle de Dijon. / The character fits into the history of the Second House Vienna (since the mid-thirteenth century), from the countseponymous little studied. The various branches were animated by some famous characterslike Jean de Vienne, admiral of France. Three facts: the death of Admiral (Nicopolis, 1396),the fabulous legacy of his brother Huguenin, and robust health, allowed William to assertitself as "leader" of the House of Vienna. He distinguished himself by service multiforme(military, diplomatic, counseling) from the Dukes of Burgundy, Philip the Bold, John theFearless and Philip the Good, from 1379 to his death, and by careful management of hisimmense estates with the Duchy (almost all Bresse louhannaise; Arc-en-Barrois, probably thefirst Income duchois lands), and the county, which must be added two hotels in Dijon andParis. Olivier de la Marche spread the fame of Guillaume de Vienne "Grand" and "wisdom."His two successive wives brought him into prestigious families: Thoire-Villars (allied to theCounts of Geneva) and Dolphins Auvergne. On the battlefield and as a diplomat, the "lord ofSaint George" achieved fame and stardom: from Scotland to Mahdia (in present-day Tunisia),from Normandy to Milan, he established himself as a high part of the Burgundian State ingestation. Loaded with honors by the Dukes (order of the Golden Tree in 1403, the firstknight of the Order of the Golden Fleece in 1430), receiving the highest pension (3000 francs/ year), intimate the sovereign, he was also an active member of the Grand Council of Royaland Governor of the two Burgundies, he distinguished himself in the Crusades (Mahdia,1390), in the service of the Church (familiar Clement VII head of the embassy Burgundy theCouncil of Constance (1415), benefactor of Colette of Corbie to the founding of severalmonasteries) and was the last Bourguignon which John the Fearless spoke on the bridge ofMontereau (1419). His second wife bore him a son, also named William, and lord of Saint-Georges and St. Croix in the death of his father - which was a problem in more than onehistorian. This character provided a solid background, but also military intellectual (sent in"Germany" to learn the language), had a startling rise in the lifetime of his father, in theservice of John the Fearless and Philip the Good. No less startling was from 1440, thesquandering of movable and immovable property of the "Comte de Saint-George" the newGuillaume de Vienne and his son John, who led, it seems, a dissolute life, and fell into thesnares of multiple riders, primarily the "forensic people and finances." Vienna Marguerite,sister of John, was very close to marrying the Count of Eu, brother of Philip the Good. Shejoins Rudolph Hochberg, from a powerful family in the Black Forest, and became Count ofNeuchâtel in succession to his cousin John, Count of Burgundy and Marshal of Fribourg.Marguerite and Rudolf joined forces and managed to rebuild much of the stately heritage"Guillaume Grand Vienna", they transmitted to their son Philippe, famous for his service toCharles the Bold and Louis XI. Philippe's daughter, Jeanne de Hochberg, by his marriagebrought the family legacy of Orleans-Longueville. Other branches "Vienna" went out, butsuch a study would emerge from the shadows of the characters in this House, as Guillaume deVienne, lord of Montby and Montbis (d. 1471), the Vienna lords Listenois (Bourbonnais),without forgetting Girard (d. 1545), lord of Commarin, founder of the Vienna Chapel of theSainte-Chapelle in Dijon
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Environnement et subsistance au Pléistocène supérieur dans l'est de la France et au Luxembourg : étude ostéologique des gisements de la Baume de Gigny (Jura), Vergisson II (Saône-et-Loire) et Oetrange (Luxembourg)

Fabre, Magali 13 December 2010 (has links) (PDF)
Les économies de subsistances des Hommes préhistoriques sont en étroite relation avec les paléoenvironnements. Ainsi les facteurs climatiques sont prépondérants dans les activités et les modes d'occupation des territoires par les groupes humains paléolithiques. Ce travail mené est donc largement pluri-disciplinaire associant des méthodes qualitatives et quantitatives de reconstitutions paléoclimatiques et paléoenvironnementales combinées aux études taphonomique et archéozoologique des assemblages osseux. Le site de la Baume de Gigny (Jura) dont l'archéoséquence sert de référence pour l'Est de la France pour le Paléolithique moyen, se prête tout à fait à de telles approches. L'étude du climat est réalisée principalement à partir des isotopes de l'oxygène issus du phosphate de l'émail dentaire de Cheval, de Cerf et de Renne. Les environnements sont appréhendés par associations fauniques analysées selon les méthodes des cénogrammes ou encore dles histogrammes écologiques. Cette étude a également permis de caler biochronologiquement le complexe moyen de la Baume de Gigny qui s'étendrait de l'OIS 5a (couche XX) à l'OIS 3 (couche VIII). Le pléniglaciaire de l'OIS 4 ne serait pas enregistré et pourrait signaler l'abandon de ces régions péri- montagneuses par les Hommes préhistoriques. . L'étude intégrée du climat et des modes de subsistances démontre une variabilité dans la gestion des ressources, dans la fonction du site et dans l'occupation du territoire franc-comtois au Moustérien. La séquence montre un refroidissement progressif entre les couches archéologiques XX à XVI en relation avec une diversification des espèces exploitées. Le Cerf et le Cheval constituent toutefois les espèces principales. Plus les conditions sont rigoureuses, plus la durée de l'occupation se réduit. Un deuxième site, Vergisson II (Saône et Loire) souligne également la grande variabilité des comportements humains au Paléolithique Moyen, la période d'occupation de la cavité correspondant à celle non documentée à La Baume de Gigny. A l'instar de nombreux sites français de cette période (pléniglaciaire OIS4) l'industrie lithique de la couche 2 de Vergisson II se rattache à un Moustérien charentien de type Quina avec une exploitation de gibier principalement orientée vers le Renne. Enfin l'étude du site d'Oetrange (Luxembourg) a permis de dégager les principaux critères distinctifs entre accumulations d'origine naturelle et celles d'origine anthropiques.
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Éloges inédits de l'académie des sciences, belles-lettres et arts de Besançon (1752-1789) / Unpublished eulogies of the Besançon academy of sciences, belles-lettres and arts (1752-1789)

Lablanche, Julie 07 November 2017 (has links)
Au milieu du XVIIIe siècle, la Franche-Comté rejoint le réseau des sociétés savantes qui ont pour objectif de contribuer « au progrès des sciences et à la perfection des talents » : une académie des sciences, belles-lettres et arts est établie à Besançon. Les académiciens comtois entreprennent dès lors de nombreux travaux et s’emploient à favoriser l’émulation de leurs concitoyens en organisant régulièrement des concours. De cette activité qui perdure jusqu’en 1789 témoignent les archives manuscrites de la compagnie, aujourd’hui conservées à la Bibliothèque municipale de Besançon et consultables en ligne sous forme numérisée. Menée avec un regard littéraire, l’exploration de ce vaste fonds d’archives a permis de sélectionner un échantillon de discours restés inédits et d’en proposer une édition critique. Le genre de l’éloge, très lié à l’institution académique, méritait que l'on entreprenne ce travail de transcription et d’annotation : on trouvera ainsi dans cet ouvrage une série de pièces épidictiques, composées par les académiciens eux-mêmes ou provenant d’individus étroitement liés à l’académie par leur fonction de prédicateurs ou leur participation aux concours. On a en particulier cherché à démêler quelles étaient les sources et les influences de ces différentes productions comtoises, à analyser l’originalité et le style de celles-ci, tout en apportant les éclaircissements historiques utiles à leur compréhension, le genre épidictique procédant volontiers par allusions. L’étude met ainsi en avant la présence de l’éloquence littéraire en Franche-Comté à la veille de la Révolution, et les efforts d’appropriation de ses codes génériques par les lettrés de la province / In the middle of the 18th century, la Franche-Comté joined the network of learned societies whose objective was to contribute “to the progress of science and to the perfection of talents”: an academy of sciences, belles lettres and arts was established in Besançon. Comtois academicians thus undertook many works and were committed to promoting the emulation of their fellow citizens by regularly organizing competitions. The company’s handwritten archives, which today are kept in the Besançon municipal library and may be consulted on line in digitized form, bear witness to this activity, which continued until 1789. Conducted from a literary viewpoint, the exploration of these vast archival collections has made it possible to select a sample of previously unpublished speeches and to propose a critical edition of them. The encomium genre, closely linked to the academic institution, was worthy of our undertaking this transcription and annotation work : thus, we find in this work a series of epideictic plays, composed by the academicians themselves or by individuals having close ties to the academy through their role as clergymen or their participation in competitions. We sought in particular to unravel the sources and the influences of these various productions, to analyze their originality and style, while providing the historical clarification needed to understand them, the epideictic genre lending itself freely to the use of allusions. The study thus highlights the presence of literary eloquence in Franche-Comté on the eve of the French revolution, and the efforts to appropriate its general codes by the scholars of the province / Im mittleren XVIII. Jahrhundert schließt sich die Franche-Comté dem Kreis der Gelehrtengesellschaften an, die « zu dem Fortschritt der Wissenschaften und der Vervollkommnung der Talente » beitragen sollen : zu dieser Zeit wird in Besançon eine Akademie der Wissenschaften, der schönen Literatur und der Künste gegründet. Ihre Mitglieder unternehmen von diesem Moment an zahlreiche Forschungen und organisieren regelmäßig Wettbewerbe, um unter ihren Mitbürgern die wissenschaftliche Wetteifer zu fördern. Diese bis zur Revolution hindauerndeTätigkeit bezeugen heute die akademischen, von der Stadtbibliothek Besançon aufbewahrten und nunmehr on-line erhältlichen Handschriften. Die aus einem literarischen Aussichtspunkt geführte Erforschung dieses umfangreichen Archivguts ermittelte eine Auswahl unveröffentlicht gebliebener Reden und ermöglichte, davon eine kritische Auflage vorzulegen. Gewiß waren die hier vorgeführten akademischen Lobreden, insofern als sie zu einem mit der Institution eng verbundenen literarischen Genre gehören, einer gedruckten Übertragung und einer kritischen Ausgabe würdig. Dieses Werk schlägt also eine Folge von epidiktischen Stücken vor, die entweder von Akademikern selbst verfaßt wurden, oder von Einzelnen, die als Prediger oder als Wettbewerber ein enges Verhältnis zur Akademie hatten. In der vorliegenden Studie werden ins besondere die Urquellen und Einflüsse nachgeforscht, welche die Schriften der Akademiker von Besançon geprägt haben, und die Eigenart und der eigentümliche Stil dieser Schriften untersucht. Nützliche bzw. notwendige historische Erläuterungen werden dem Leser zu einer besseren Verständnis der Texte helfen, die – dem epidiktischen Genre gemäß – oft anspielungsreich sind. Hervorgebracht wird, wie die literarische Redekunst sich in der Franche-Comté am Vorabend der französischen Revolution entwickelt hat, und wie sich die Gelehrten dieser Provinz bemüht haben, sich die Merkmale des Genres anzueignen
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Les lampes en terre cuite du centre-est de la Gaule (Ier siècle av. J.-C. - IV° siècle ap. J.-C.) : production, diffusion et consommation / The roman and provincial oil lamps of east central Gaul (1st century BC to 4th century AD) : production, distribution and consumption

Malagoli, Claude 28 September 2016 (has links)
Les études dédiées aux lampes en terre cuite en Gaule et dans l’Empire romain sont relativement abondantes. Depuis le travail fondateur de S. Loeschcke (1919), nous avons aujourd’hui une idée relativement précise des différents modèles qui sont apparus entre la période tardo-républicaine et la fin du Haut-Empire. Toutefois, le luminaire est avant tout considéré, de par la multitude des formes et des décors, comme un objet muséographique ou pédagogique car il représente le mode d’éclairage par excellence de l’Antiquité. En archéologie, il sert de moyen de datation au même titre que la terre sigillée ou les monnaies. Mais on oublie trop souvent que la lampe en terre cuite est d’abord un objet manufacturé, fruit de l’industrie humaine. À cet effet, elle peut fournir de précieuses informations sur l’artisanat antique et plus particulièrement, sur la manière dont les potiers ont réussi à produire un objet qui leur était étranger, sur les problèmes qu’ils ont rencontrés et les solutions qu’ils ont appliquées. L’étude des caractéristiques techniques d’une lampe permet aujourd’hui de tracer la production d’un atelier spécifique et en même temps, grâce à des cartes, d’en définir l’aire de diffusion à différentes échelles spatiales (région, pays). Enfin, l’adoption de cet éclairage artificiel, typiquement méditerranéen, parles populations indigènes, est l’un des facteurs de romanisation que l’on perçoit, le plus souvent, à travers les pratiques funéraires et cultuelles.Ce travail de recherche, novateur, permet de revenir sur ces différentes problématiques dans un espace confiné au Centre-Est de la Gaule. Les résultats obtenus nous ont permis d’identifier différentes entités productrices et leurs réseaux de distribution au cours de diverses phases chronologiques comprises entre le Ier s. av. J.-C. et le IVe s. apr. J.-C. et qu’accompagne une réflexion sur la consommation des lampes en terre cuite durant cette période. / There are quite many articles and monographs dedicated to terracotta lamps in Gaul and Roman Empire. Since the pioneer work done by S. Loeschcke (1919), we have been developing till today, abetter understanding of the lamps that have appeared between the post-republican to the Early Roman empire period. But very often, due to the various shapes and decorated medallions, the lamps are only considered as museum or educational items, because they represent the ultimate lighting mode during Antiquity. In archeology, they are used as a dating tool as well as the terra sigillata or the antique coins.However, we usually forget that the terracotta lamp is a manufactured product issued from the human work and therefore, is able to provide invaluable information on antique craft industry. Through their study, we are able to understand how the Gallo-roman potters have been adapting themselves to the manufacturing of a product they did not know, to new technical challenges and new processes. Also, thanks to the analysis of the technical aspects of the lamp itself we can track the products belonging to the same potters’ workshop as well as we can map the distributed market areas at various scales (regional, country-wide). Finally, the adoption by the local people of this lighting mode that is typically Mediterranean is a clear sign of Romanization, especially through the funeraland religious practices. This innovating study is focusing on these issues within a defined area, the East Central Gaul. The results have enabled the identification of several workshops and their distribution network during the different chronological phases from 1st century BC to 4th century AD and have also opened adevelopment on the way of consuming the terracotta lamps during this period
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Besançon - Ein Reisebuch

Bauch, Martin, Brummert, Ulrike 23 April 2012 (has links)
Auslöser dieses Sammelbandes war eine Exkursion in die Franche-Comté mit Studierenden der Europastudien und Europäischen Geschichte der Technischen Universität Chemnitz im Juni 2009 unter dem Titel: „Franche-Comté – Die Erfindung einer Region in Transnationalität und Transkulturalität“. Der vorliegende Band will Einblicke in die Franche-Comté und Besançon geben. Er lädt Sie ein, die Region und Ihre Hauptstadt zu entdecken und gemeinsam mit den AutorInnen eine virtuelle Reise zu unternehmen.:Vorwort: Martin Bauch & Ulrike Brummert - 7 Einleitung: Martin Bauch & Ulrike Brummert - 9 Geschichte der Stadt Besançon: Martin Bauch - 13 Zwischen Öffentlichkeit und Privatvergnügen. Der Platz der Revolution: Stefan Hantzschmann & Nino Micklich - 23 Sakrale Baukunst: Sophie Schönfeld - 33 Besançon – eine Uhrenstadt: Sophie Schönfeld - 43 Architektonische Kostbarkeiten: Franziska Mehlhorn - 49 Vauban und die Zitadelle: Sindy Dießl - 57 Die Familie Granvelle: Anja Schmidt - 67 Ornans und Gustave Courbet: Ulrike Brummert - 75 Natur schmecken in der Franche-Comté: Sebastian Lindner - 85 Abbildungsverzeichnis - 97 Notizen - 101
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Les écoles d' horlogerie de Besançon : une contribution décisive au développement industriel local et régional (1793-1974) / The Besancon watchmaking schools

Briselance, Claude 28 October 2015 (has links)
L’Histoire des écoles d’horlogerie de Besançon est inhérente à la naissance et à la continuité d’une industrie spécifique très localisée sur un territoire. Avec elles nous partons de l’ère « proto-industrielle » qui plonge ses racines dans les idéaux révolutionnaires de 1793 pour aboutir aux bouleversements technologiques de l’électronique et du « quartz » des années 1970… S’inscrivant sur la longue durée, trois « écoles » vont se succéder. Pour répondre aux attentes d’une industrie horlogère qui doit constamment faire face aux évolutions techniques, chacune à sa manière, va innover pour constituer un « corpus » original de formation qui n’est pas sans bousculer les rites et usages du temps. Si les deux premières « écoles » eurent une durée de vie limitée, la dernière entité, née en 1861 de la volonté municipale, va pendant plus d’un siècle, accompagner toute une ville (et sa région) dans sa réussite industrielle. Dès sa création, et au fur et à mesure des adaptations qu’elle a su mettre en place, par la qualité et la spécificité des formations dispensées, elle va irriguer de ses élèves toute une industrie toujours à l’affût de personnels qualifiés. Au plan national elle va diffuser le nom de Besançon comme « capitale française de l’horlogerie » en formant nombre d’horlogers-rhabilleurs tenant boutiques et autres ateliers de réparation par tout le territoire… Elle va servir de référence pour implanter dans la Cité des laboratoires de recherche et d’enseignement supérieur : un Observatoire chronométrique, une École d’ingénieurs, un Centre d’études horlogères et de développement industriel (Cétéhor)… Elle va contribuer à la diversification industrielle de la ville dans des domaines connexes à l’horlogerie, notamment dans le découpage, la micromécanique, l’appareillage et les microtechniques… Nationalisée en 1891, elle fait dès lors partie de la petite élite des Écoles Nationales Professionnelles (par assimilation), qui vont marquer le développement industriel du Pays. En 1933, quand elle intègre ses nouveaux locaux, par le nombre et l’originalité de ses filières (de l’ouvrier qualifié à l’ingénieur), par sa dotation en matériels modernes, elle est signalée comme étant le « premier établissement de l’enseignement technique » en France. Le cheminement de cette dernière école fait aussi ressortir une histoire « humaine », « prosopographique », qui met en exergue les nombreux anciens élèves qui se sont lancés avec grande réussite dans la création d’entreprises. Restés fidèles à leur école, ils ont contribué au renom et au développement de la richesse économique de la cité et de sa région… Avec ces écoles d’horlogerie, on aborde enfin l’histoire de l’Enseignement Technique en France. Pour répondre à la demande d’une industrie horlogère en pleine croissance qui déplorait les carences de l’apprentissage en atelier, elles ont été pionnières en ouvrant la voie de « la scolarisation » de la formation professionnelle. Par leurs innovations pédagogiques, et soutenues par les Anciens Élèves, elles ont su établir un lien « École-Entreprise » des plus fructueux qui marque encore la mémoire collective des Bisontins…En 1974 elle perd toute référence à l’horlogerie pour devenir le Lycée Jules Haag. Le temps de l’histoire est désormais advenu pour tenter de comprendre ce qui a fait la force et la réussite de ces « Écoles d’horlogerie » dans leur participation active, sur la durée, à la prospérité économique et industrielle d’une ville et de sa région… / The history of the watchmaking schools in Besançon is part of the birth and continuous development of a specific industry in a very limited sector of the French territory. When studying those schools we start at the « protoindustrial » time with its roots in the revolutionary ideals of 1793 and end up with the technological upheavals of electronics and the « quartz » technology in the 1970s. Three « schools » followed one another over the long term. Each school aimed at satisfying the demands of a watchmakng industry confronted to rapidly changing technical evolutions ; so it innovated in its own way by creating an original « corpus » in the students training and most of the time upset the practices and common ideas of the time. If the first two « schools » had a limited lifespan, the last one created in 1861 by the town council itself has been supporting the industrial growth of the city and the surrounding region. Since its foundation it has stuck to the industrial reality by placing the emphasis on high standards and opening new specific branches whenever necessary, thus answering the needs of firms always looking for highly qualified staff. For a large number of French people Besançon became the « capital town of the watchmaking industry » thanks to the shops or repair workshops kept by Besançon-trained former students all over France… It served as a background to set up research and university laboratories in the city : Observatoire Chronométrique, Ecole d’Ingénieurs, Centre d’Etudes Horlogères et de Développement Industriel (Cétéhor)… It contributed to the industrial diversification of the town in fields related to watchmaking such as mechanical cutting, micromechanics, equipment and microtechniques. It was nationalized in 1891 and then belonged to the very small elite goup of the Professional National Schools that influenced the future industrial development of the country. In 1933 it moved into sparkling-new premises and was acknowledged as the flagship of technical education in France : it offered a large number of innovating courses ranging from the skilled worker to the engineer and was granted the latest equipments in every field. The path of this new school also enhanced a « humane » and « prosopographical » history ; it highlighted the part played by the numerous former students who created their own successful businesses. Being faithful to their old school they contributed to the renown and economic growth and prosperity of the city and its region… Beyond the local impact we must regard the history of the watchmaking schools as an important part of the history of Technical Education in France. To meet the needs of a soaring watchmaking industry they opened the way to the transfer of professional training from apprenticeship in workshops with its observed shortcomings to education in technical high schools. Their pedagogical innovations, the strong support of their former students created a vital school-business link that still lives on in the collective memory of the town inhabitants.In 1974 its name changed to Lycée Jules Haag thus losing any reference to watchmaking. Let us now try and understand the strong influence and success of those watchmaking schools, the active part they played in the economic industrial prosperity of a town and its surrounding region…

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