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Processus phonologiques et conditions de bonne formation en français québécoisFortin, Pascal January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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A survey of graph and subgraph isomorphism problemsLei, Yaohui January 2003 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Conceptions et pratiques déclarées relatives à l'enseignement des groupes constituants de la phrase de base au troisième cycle du primaireTremblay, Jean-François January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Dynamique sur les espaces de représentations de surfaces non-orientablesPalesi, Frédéric 07 December 2009 (has links) (PDF)
Nous considérons l'espace de représentations Hom(Pi,G) d'un groupe de surface Pi dans un groupe de Lie G, et l'espace de modules X(Pi,G) des classes de conjugaison de ces représentations. Le groupe modulaire de la surface sous-jacente agit naturellement sur ces espaces, et cette action possède une dynamique très riche qui dépend du choix du groupe de Lie G, et de la composante connexe de l'espace sur laquelle on se place. Dans cette thèse, nous étudions le cas où S est une surface non-orientable. Dans la première partie, nous étudions les propriétés dynamiques de l'action du groupe modulaire sur l'espace de modules X(Pi, SU(2)) et prouvons que cette action est ergodique lorsque la caractéristique d'Euler de la surface est inférieure à -2. Dans la deuxième partie, nous montrons que l'espace des représentations Hom(Pi, PSL(2,R)) possède deux composantes connexes indexées par une classe de Stiefel-Whitney.
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Représentation géométriques des groupes de tressesCastel, Fabrice 15 October 2009 (has links) (PDF)
Nous montrons que les morphismes du groupe de tresses à n brins dans le mapping class group d'une surface de bord éventuellement non vide et de genre inférieur ou égal à n/2 sont soit cycliques (i.e. dont l'image est un groupe cyclique), soit des transvections de monodromie géométriques (i.e. à multiplication près par un élément du centralisateur de l'image, un générateur standard du groupe de tresses est envoyé sur un twist de Dehn, et deux générateurs standards consécutifs sont envoyés sur deux twists de Dehn le long de deux courbes s'intersectant en un point). En corollaire, nous déterminons les endomorphismes, les endomorphismes injectifs, les automorphismes et le groupe d'automorphisme des groupes suivants : le groupe de tresses à n brins lorsque n est supérieur ou égal à 6, le mapping class group de toute surface de genre supérieur ou égal à 2. Pour chacun des énoncés impliquant le mapping class group, nous étudions deux cas : lorsque le bord est fixé point par point ou seulement composante par composante. Nous décrivons également l'ensemble des morphismes entre différents groupes de tresses dont le nombre de brins diffèrent d'au plus un, et l'ensemble des morphismes entre mapping class groups de surfaces (de bord éventuellement non vide) dont les genres (supérieurs ou égal à 2) différent d'au plus un.
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Marche aléatoire sur un groupe : propriétés dimensionnelles de la mesure harmoniqueLe Prince, Vincent 20 December 2004 (has links) (PDF)
Cette thèse a pour objet l'étude de la mesure harmonique associée à une marche aléatoire sur un groupe hyperbolique ou sur un sous-groupe discret d'un groupe semi-simple. Dans ces deux cadres, les groupes sont munis d'un bord géométrique naturel, qui porte la mesure harmonique. On s'intéresse aux relations entre celle-ci et la structure métrique du bord, à travers l'étude de sa dimension. Dans chacun des cadres, on majore la dimension de la mesure harmonique par le quotient de l'entropie asymptotique et de la vitesse de fuite de la marche aléatoire. Cette majoration nous permet de construire des mesures harmoniques de petite dimension. Un de nos résultats principaux découle de cette construction : la mesure harmonique associée à une marche aléatoire sur un réseau d'un groupe semi-simple peut être singulière par rapport à la mesure de Haar sur l'espace des drapeaux complets.
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Comportements paritaires et discriminatoires de groupes riches-pauvres, dominants-dominésHarvey, Simon-Pierre 06 1900 (has links) (PDF)
Le but de cette thèse était d'étudier, dans le cadre du Paradigme des Groupes Minimaux (PGM), les comportements de discrimination et de parité entre groupes riches et pauvres. Cette thèse aborde quatre grandes questions sur les inégalités sociales : 1) Est-ce que les riches discriminent plus que les pauvres? 2) Est-ce qu'une richesse justifiée par l'effort conduit à plus de discrimination qu'une richesse qui est le fruit du hasard? 3) Dans une relation intergroupe stratifiée à la fois sur la richesse et le pouvoir, de quelle façon ces dimensions influencent-elles la discrimination? Est-ce que des riches-dominants discriminent plus que des pauvres-subordonnés? 4) Qu'est-ce qui motive les riches et les pauvres à discriminer? Est-ce l'intérêt personnel, l'intérêt collectif ou le besoin d'une identité sociale positive? Le premier article de la thèse était composé de deux études et avait pour but d'étudier la discrimination et la parité dans une stratification riche/pauvre basée sur trois types de critère : le hasard, le mérite collectif et le mérite individuel. Dans la première étude, les participants (N = 142) étaient divisés aléatoirement en deux groupes. Dans la première condition, un pile ou face déterminait quel groupe était riche et quel groupe était pauvre, reflétant le destin d'être né dans une famille fortunée plutôt que démunie (condition de hasard). Dans la seconde condition, les membres des deux groupes devaient réaliser un test de mathématiques (mérite collectif). Le groupe dont les membres réalisaient la meilleure performance était assigné au groupe riche tandis que l'autre groupe moins méritant formait le groupe pauvre. À l'aide de matrices de Tajfel, les répondants distribuaient leur propre argent aux membres anonymes de l'endogroupe et de l'exogroupe. Les résultats ont démontré que les pauvres ont plus discriminé dans la condition de hasard que dans la condition de mérite collectif. Les membres du groupe riche ont fait du biais proexogroupe en faveur des pauvres dans la situation de hasard, mais ils ont été uniquement paritaires dans la condition de mérite collectif. Nous proposons que le mérite collectif justifie l'avantage des riches et incite les pauvres à accepter leur position désavantageuse. Dans la seconde étude du premier article, les participants (N = 250) devaient compléter un questionnaire visant à distinguer les individus qui font beaucoup d'effort de ceux qui en font moins. Les individus ayant fait beaucoup d'effort étaient assignés au groupe riche tandis que les individus ayant fait peu d'effort étaient assignés au groupe pauvre. Les résultats ont révélé que les riches ont discriminé envers les pauvres tandis que ces derniers ont été uniquement paritaires en donnant autant d'argent à leur endogroupe pauvre qu'à l'exogroupe riche. Ainsi, le mérite individuel légitime l'avantage des riches et justifie le désavantage des pauvres. Le second article avait comme objectif d'étudier la discrimination entre deux groupes stratifiés à la fois sur le pouvoir et la richesse. Les participants (N = 243) étaient aléatoirement divisés en deux groupes. Un pile ou face déterminait pour chacun des groupes s'il était riche ou pauvre. Un autre pile ou face déterminait quels groupes étaient dominant et subordonné. Les résultats ont démontré que la richesse avait un impact plus soutenu sur les comportements discriminatoires que le pouvoir. Les pauvres ont discriminé plus que les riches. De plus, l'ensemble des participants ont plus discriminé lorsque l'exogroupe était riche que lorsqu'il était pauvre. Par contre, le pouvoir des groupes dominants/subordonnés n'a pas eu d'impact distinct sur leurs comportements paritaires et discriminatoires : les subordonnés ont autant discriminé contre les membres de l' exogroupe que les dominants. Enfin, plus les participants ont discriminé, plus la qualité de leur identité sociale était positive et plus ils avaient le sentiment que leur groupe s'enrichissait. Afin de mieux comprendre le rôle de l'intérêt personnel comme facteur explicatif de la discrimination, les participants de chacune des trois études ont réalisé une seconde allocation dans laquelle ils divisaient un montant d'argent entre eux-mêmes, les membres de l'endogroupe et ceux de l'exogroupe. Les résultats ont démontré que les participants ont surtout satisfait leur intérêt personnel en s'attribuant la plus grande part de l'argent à eux-mêmes. Par ailleurs, en distribuant le reste de l'argent, les répondants ont discriminé en donnant plus d'argent aux membres de leur endogroupe qu'aux membres de l'exogroupe. Ce résultat supporte la prémisse que la discrimination contribue à la différentiation sociale positive et va à l'encontre de l'hypothèse affirmant que les participants discriminent parce que c'est la seule façon de satisfaire leur intérêt personnel. Les résultats de cette thèse nous permettent de mieux comprendre la discrimination entre groupes riches et pauvres, apportant du même fait des éléments de réponses aux questions qui ont orienté cette recherche. 1) Dans le PGM, les pauvres discriminent plus que les riches. 2) Par contre, lorsque la richesse est justifiée sur la base du mérite individuel, les riches discriminent plus que les pauvres. 3) La richesse a plus d'influence que le pouvoir sur le comportement de discrimination des riches et des pauvres. 4) Enfin, bien que les participants se soient attribués la plus grande part de l'argent pour eux-mêmes, leur intérêt personnel n'a pas directement affecté leur comportement discriminatoire. Cependant, l'intérêt collectif de l'endogroupe et le besoin d'une identité positive a motivé les comportements discriminatoires des riches et des pauvres.
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Automorphismes et admissibilité dans les groupes de Coxeter et les monoïdes d'Artin-TitsCastella, Anatole 13 December 2006 (has links) (PDF)
Cette thèse est une contribution à l'étude combinatoire des groupes de Coxeter et des groupes d'Artin-Tits. Dans la première partie, nous complétons la description du groupe des automorphismes d'un groupe de Coxeter à angles droits en étudiant le second des deux sous-groupes qui apparaissent dans la décomposition en produit semi-direct établie par Tits (le premier est décrit par Mühlherr). Nous retrouvons ainsi le résultat de Radcliffe sur la rigidité des groupes de Coxeter à angles droits. Dans la deuxième partie, nous introduisons et étudions la notion de sous-monoïde d'un monoïde d'Artin-Tits induit par une partition admissible du graphe de Coxeter, au sens de Mühlherr. Nous montrons qu'un tel sous-monoïde est un monoïde d'Artin-Tits, et que cette notion généralise et unifie les situations des sous-monoïdes des points fixes d'un monoïde d'Artin-Tits sous l'action d'automorphismes du graphe, et des LCM-homomorphismes de Crisp et Godelle. Nous achevons la classification des partitions admissibles des graphes de Coxeter sphériques, commencée par Mühlherr ; elle nous fournit la classification des LCM-homomorphismes de Crisp. Dans la troisième partie, nous étudions la représentation de Krammer-Paris d'un monoïde d'Artin-Tits de type simplement lacé et sans triangle. Le sous-monoïde des points fixes d'un tel monoïde sous l'action d'un groupe d'automorphismes du graphe stabilise le sous-espace des points fixes de l'espace de la représentation sous l'action de ce groupe. Nous utilisons des notions développées par Hée pour prouver que la représentation ainsi obtenue est fidèle. Cela généralise, en évitant tout cas par cas, des résultats établis par Digne dans les cas sphériques.
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Les groupes de réputation dans l'industrie canadienne des fonds communs de placementVanier, Jacques 01 1900 (has links) (PDF)
La réputation d'une firme découle de ses actions passées, et est également affectée par les actions d'autres firmes selon que celles-ci sont considérées similaires ou différentes. Ces interdépendances de réputation découlent des processus cognitifs utilisés par les individus qui, étant donné leurs limites cognitives, catégorisent les firmes et, de ce fait, leur attribuent une réputation collective. Cette recherche a pour objectif de mieux comprendre quels sont les attributs des firmes qui sont utilisés par un auditoire pour catégoriser les firmes. A l'aide de la théorie de la réputation, de la théorie de l'identité des firmes et des principes de catégorisation, j'ai tenté dans cette recherche d'identifier les attributs utilisés par les consommateurs pour catégoriser les firmes dans le contexte du scandale Norbourg qui a touché l'industrie canadienne des fonds communs de placement en 2005. Une enquête auprès des consommateurs de fonds communs de placement a permis de valider que les sept attributs identifiés a priori dans la littérature sur la réputation, soit l'âge, la taille, la visibilité, le type d'organisation, le caractère public, le lieu de résidence et le degré de spécialisation, jouent un rôle clé dans la réputation des firmes. L'analyse typologique fondée sur ces sept attributs a permis d'identifier trois groupes au sein de cette industrie, soit les grands distributeurs, les grands spécialistes et les petits distributeurs et spécialistes. Dans le contexte du scandale Norbourg, les principales hypothèses quant à l'impact du scandale sur la performance de chacun des groupes sont supportées. Ainsi, l'hypothèse à l'effet que le groupe de firmes le plus semblable à Norbourg, les petits distributeurs et spécialistes, ait été affecté négativement par le scandale est supportée. De même, les hypothèses à l'effet que les grands distributeurs aient connu une meilleure performance que les petits distributeurs et spécialistes suite au scandale, et celle voulant que les grands spécialistes aient également connu une meilleure performance que les petits distributeurs et spécialistes suite au scandale, sont toutes les deux supportées.
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MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : groupes de réputation, catégorisation, scandale Norbourg, attributs.
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La stratégie ironique comme militance féministe : le cas des Guerrilla Girls, des Fermières Obsédées et de Dana WyseSavignac-Rousseau, Sara 01 1900 (has links) (PDF)
Ce mémoire porte sur la présence de l'ironie comme stratégie esthétique et politique. Les œuvres analysées le sont dans l'objectif de connaître comment cette figure s'articule à l'intérieur de créations à contenu féministe et quels indices de l'ironie apparaissent de façon parfois récurrente. Ne prétendant pas universaliser le mode fonctionnel de l'ironie dans la militance féministe, ni dans les arts visuels, ce mémoire cherche plutôt à saisir de quelle manière l'ironie, en tant que méthode rhétorique, agit à l'intérieur de pratiques artistiques précises et distinctes les unes des autres. Le concept d'ironie est analysé principalement à partir des définitions qu'en donnent Catherine Kerbrat-Orecchioni, Linda Hutcheon et le Groupe MU, c'est-à-dire une figure avançant une affirmation et qui, à l'aide de certains éléments, en suggère à la fois la négation. Ce paradoxe qui conduit à la notion d'ambiguïté permet d'éliminer ce qui peut être perçu telle une attitude totalitaire, menant de force ou forcément le récepteur ou la réceptrice vers une Vérité. En fait, la stratégie ironique oblige à la réflexion et exerce l'esprit critique dans la mesure où le public oscille entre deux lectures contradictoires. Cette incitation à faire preuve d'une pensée critique à l'égard de thèmes fondamentaux à l'étude, notamment la notion de genre, révèle le type particulier d'engagement que propose la stratégie ironique. Ce travail se concentre sur divers courants féministes et conceptions du genre. Parmi les écoles de pensée abordées, une attention particulière est portée à l'égard de la philosophe et féministe Judith Butler. Celle-ci propose d'ouvrir les possibilités identitaires et de miser sur les différences, au-delà de la pensée binaire contraignante. Son concept de pratiques parodiques du genre a été retenu afin d'analyser subséquemment ce que la psychanalyste Joan Riviere qualifie de "mascarade de la féminité". À partir de ces concepts, les pratiques artistiques de deux collectifs d'artistes, soit les Guerrilla Girls et Les Fermières Obsédées, ainsi que de l'artiste Dana Wyse seront abordées de sorte à faire voir des variantes postmodernes qui élargiraient la définition d'un art militant.
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MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : art et féminisme, ironie, genre, pratiques parodiques, Guerrilla Girls, Les Fermières Obsédées, Dana Wyse.
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