• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 34
  • 15
  • 1
  • 1
  • Tagged with
  • 63
  • 63
  • 61
  • 59
  • 53
  • 53
  • 19
  • 19
  • 15
  • 14
  • 13
  • 11
  • 9
  • 8
  • 8
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
51

Le Corrector sive Medicus de Burchard de Worms (1000-1025) : présentation, traduction et commentaire ethno-historique

Gagnon, François 08 1900 (has links)
Le Corrector sive Medicus est un pénitentiel rédigé par Burchard, évêque de Worms (1000-1025). Il s’agit d’un manuel destiné à guider les confesseurs lors de l’administration du sacrement de pénitence. Intégré dans le Decretum, l’œuvre majeure de Burchard, il compte parmis les pénitentiels les plus illustres. Il contient notamment un questionnaire très élaboré sur les péchés commis par les fidèles. Les 194 questions du Corrector sive Medicus constituent l’objet d’étude de ce mémoire. Entre le VIIe et le XIIe siècle, les pénitentiels forment une longue tradition littéraire où les textes se répètent constamment. Le questionnaire du Corrector sive Medicus se distingue du fait qu’il est rédigé en grande partie par Burchard lui-même. Les détails précis sur les survivances païennes et la religion populaire que l’évêque introduit dans son pénitentiel permettent, comme aucune autre source de la période, une analyse ethno-historique de la culture germanique. La première partie du mémoire est consacrée à la présentation du Corrector sive Medicus : j’y décris d’abord le contexte historique et biographique de l’œuvre, puis discute d’une herméneutique littéraire, pour enfin proposer une synthèse diachronique des traditions germaniques. La deuxième partie offre, pour la première fois en français, la traduction intégrale du questionnaire de Burchard, accompagnée de commentaires sur différents sujets ou problèmes soulevés par le texte, notamment ceux qui concernent la culture germanique. Finalement sont placés en annexe quelques documents qui témoignent, tout comme le Corrector sive Medicus, d’un syncrétisme religieux profondément enraciné dans les mœurs des Germains. / The Corrector sive Medicus is a penitential written by Burchard, the bishop of Worms (1000-1025). It is a book used by confessors to guide them when they must administer the Sacrament of Penance. It has been fully integrated into Burchard's greatest work, the Decretum, and is amongst the most complete of the known penitentials. It is mainly composed of an elaborate set of questions about the sins committed by the Church's followers. This thesis' subject matter regards the Corrector sive Medicus' 194 questions. Between the seventh and the twelfth century, penitentials were a literary tradition where texts were continuously reused. The Corrector sive Medicus' series of questions distinguishes itself from this because it mainly originates from Burchard himself. He introduces in his penitential precise details about pagan survivals and the popular religion that allow, more than any literary source of the time, an ethnohistorical analysis of Germanic culture. The first section of this thesis is dedicated to presenting the Corrector sive Medicus. I first describe the historical and biographical context surrounding its creation, then explain my method of analysis for the penitential, and finally propose a diachronic summary of Germanic traditions. The second section offers, for the first time in French, a complete translation of Burchard's series of questions, as well as comments pertaining to different themes or problems raised by it, most notably those concerning Germanic culture. Finally, some documents are appended to this thesis that show, similarly to the Corrector sive Medicus, a deeply rooted religious syncretism.
52

L'étude des dons de dîmes des chambellans de Tancarville à l'abbaye Saint-Georges de Boscherville, 1055-1316

Desrochers, Simon 07 1900 (has links)
No description available.
53

Dialogue, collaboration et transmission du savoir entre intellectuels juifs et chrétiens : la France des XIIIe-XIVe siècles

Lecousy, Amélia 08 1900 (has links)
Cette thèse s’intéresse aux collaborations et au partage du savoir entre intellectuels juifs et chrétiens, en France, durant les XIIIe et XIVe siècles et propose une analyse comparative des différents échanges, dans trois domaines distincts : théologie, philosophie et astronomie. En prenant en compte les sources latines et hébraïques qui témoignent de cette transmission du savoir, nous proposons une étude approfondie divisée en deux parties. La première s’intéresse à l’évolution de l’enseignement dans les communautés juives et dans la société chrétienne. La seconde analyse le contexte de rédaction des Extractiones de Talmut, la transmission du savoir entre Maïmonide et Thomas d’Aquin, la collaboration étroite entre Jacob ben Makhir et Armengaud Blaise, ainsi que l’échange intellectuel significatif entre Gersonide et ses confrères chrétiens. Notre objectif est de répondre aux questions suivantes : les savants chrétiens et juifs recevaient-ils l’information selon leur propre valeur intellectuelle, ne tenant pas compte de leur provenance ? Et existait-il une influence directe de l’un et de l’autre ? Cette étude tente ainsi de montrer les différents motifs de ces échanges à travers un champ contextuel constitué par un événement intellectuel précis. Nous verrons ainsi que ces relations vacillent entre méfiance et admiration. / This thesis sheds lights on collaborations and transfer of knowledge between Jewish and Christian scholars in France during the 13th and 14th centuries. We propose a comparative analysis of different exchanges, in three distinct areas: theological, philosophical and astronomical. Taking into account the Latin and Hebrew sources that testify this transmission of knowledge, we propose an in-depth study, dividing in two sections. The first part narrates the evolution of education in the Jewish communities and in Christian society. The second part analyses the context of the Extractiones de Talmut, the transmission of knowledge between Maimonides and Thomas Aquinas, the close collaboration between Jacob ben Makhir and Armengaud Blaise, as well as the significant intellectual exchange between Gersonides and his fellow Christians. Our objective is to answer the following questions: did Christian and Jewish scholars receive information according to their own intellectual value, ignoring their source? And was there a direct influence from one scholar towards the other? Thus, this study demonstrates the different motives of these exchanges through a contextual field constituted by a specific intellectual event. We will perceive that these relations vacillate between mistrust and admiration.
54

Réception et usages des principes du droit romain par les officiers royaux français : réflexions autour de la justice pénale sous Charles VI (1380-1422)

Perreault-Corbeil, Élisabeth 08 1900 (has links)
Le règne du roi de France Charles VI (1380-1422) est caractérisé par plusieurs bouleversements, le premier étant la folie du roi, déclarée en 1392. En dépit des crises militaire, économique et sociale qui secouent le royaume, il s’agit néanmoins d’un temps fort pour la mise en place de l’État monarchique. L’instabilité permet en réalité à l'autorité royale de durcir ses positions et d’imposer plus efficacement son pouvoir, notamment en matière de justice. Ce renforcement s’appuie en grande partie sur le modèle du droit romain qui est étudié depuis le XIIe siècle par les officiers royaux, à savoir des membres importants de l’administration. Le présent travail analyse la façon dont les principes juridiques hérités de l’Antiquité sont reçus et engagés dans la littérature médiévale pour soutenir des réflexions en matière de justice. Il s’appuie pour cela sur l’étude des écrits de quatre officiers royaux influents : Nicolas de Clamanges, Jean de Montreuil, Laurent de Premierfait et Guillaume de Tignonville. Les concepts qui sont empruntés aux œuvres classiques s’expriment à travers une double affirmation : l’application plus sévère de la justice royale et le recours plus systématique à la peine de mort. Si les attentes des auteurs sont parfois incompatibles avec l’exercice d’une justice guidée par la clémence, les autorités royales tendent toutefois à sanctionner de façon plus rigoureuse. Les relations entre les théories juridiques et leur application sont complexes, mais tendent à converger vers une même voie, dans le cadre de l’affirmation de la souveraineté et de la lutte contre les crimes qui menacent la paix publique. / The reign of Charles VI (1380-1422) of France is characterized by several upheavals, the first one being the king's madness, declared in 1392. Despite the military, economic and social crises that shake the kingdom, it is nevertheless a strong time for the establishment of the monarchical State. The instability actually allowed the royal authority to strengthen its positions and to impose its power more effectively, especially in matters of justice. This strengthening is grounded on the Roman law, which had been studied since the 12th century by royal officers, important members of the administration. The present work analyzes the way legal principles inherited from Antiquity are received and engaged in medieval literature to support thoughts on justice. It is based on the study of the writings of four influential royal officers: Nicolas de Clamanges, Jean de Montreuil, Laurent de Premierfait and Guillaume de Tignonville. The concepts borrowed from the classical works are expressed through a double affirmation: a more severe application of royal justice and a more systematic use of the death penalty. If the authors expectations are sometimes incompatible with an exercise of justice guided by clemency, the royal authorities nevertheless tend to sanction more rigorously. The relationship between legal theories and their application is complex, but tends to converge towards the same path, in the context of the affirmation of sovereignty and the fight against crimes that threaten public peace.
55

De la narration à l'interprétation : la fonction des exempla virginaux dans l'œuvre d'Aldhelm

Binette, Virginie 08 1900 (has links)
Vers la fin du VIIe siècle, dans le monde anglo-saxon, Aldhelm de Malmesbury publia son opus geminatum, la Prosa et le Carmen de uirginitate. Il dédia son oeuvre à des moniales du monastère double de Barking, dont l’abbesse Hildelith. Le De uirginitate est un traité sur la virginité qui comporte une partie théorique, mais aussi des catalogues de figures virginales tirées de la Bible, mais surtout de textes hagiographiques. L’historiographie eut tendance à sous-estimer le rôle de ces catalogues au sein du traité, n’en faisant qu’un simple florilegium assemblé sans logique. Notre travail consistera à répondre à cette idée afin d’affirmer le rôle essentiel de ces figures virginales à titre d’exempla. Ainsi, nous pensons que ces personnages sont des figures exemplaires dont la fonction est de refléter la partie théorique du De uirginitate. Le traité d’Aldhelm nous paraitra dès lors posséder une double fonction, soit celle de défendre les monastères doubles et l’autorité des moniales dans un contexte de plus en plus hostile à ces aspects, mais aussi afin de servir de guide à la renonciation sexuelle. / Near the end of the 7th century, in the anglo-saxon world, Aldhelm of Malmesbury published his opus geminatum, the Prosa and Carmen de uirginitate. He dedicated his work to the nuns of the double monastery of Barking, particularly the abbess Hildelith. The De uirginitate is a treaty on virginity, which includes a theoretical part and catalogs of virginal figures found in hagiographical as well as in Biblical sources. Historiography has tended to underestimate the role of these catalogs within the treaty, portraying them as a mere florilegium without logic. This dissertation will propose that the virginal figures mentioned in the catalogs served as exempla. More specifically, we propose that these characters are exemplary figures whose function is to mirror the theoretical part of the De uirginitate. Ald-helm’s treaty will then appear to possess a double function, which is to defend the double monas-teries and the nuns’ authority in an increasingly hostile environment as well as to serve as a guide to sexual renunciation.
56

Langues, culture et représentation du pouvoir : Jean duc de Bedford, régent du royaume de France (1422-1435)

Cormier, David 08 1900 (has links)
À partir de 1422 l’Anglais Jean de Lancastre (1389-1435), duc de Bedford, fut le régent du royaume français de son jeune neveu Henri VI. Le traité de Troyes (1420) prévoyant une présence anglaise pérenne en France, le régent dut mettre en place une structure de domination sociale consentie plutôt qu’entretenue par la coercition. C’est dans cette optique que le duc de Bedford instaura une politique culturelle et linguistique, fortement inspirée de celle des grands Valois, lui permettant de cultiver l’assentiment à son régime et de légitimer sa propre autorité. Cette politique est l’objet principal de notre recherche. Nous proposons en un premier temps d’analyser dans le détail les éléments constitutifs de la politique culturelle du régent Bedford, dont les somptueuses résidences, les riches manuscrits et le généreux patronage étaient autant de manifestations de la puissance anglaise en France. Ces dernières lui permettaient de s’insérer dans une société courtoise continentale, notamment auprès de son beau-frère et plus important allié, Philippe de Bourgogne. Parallèlement sa politique lui permettait aussi, notamment à travers l’imitation des rois de France, le déploiement de ce qu’on pourrait appeler des éléments de propagande. L’analyse de ces divers éléments révèle cependant qu’ils étaient peut-être moins destinés à convaincre les gouvernés qu’à consolider les convictions des gouvernants. Nous consacrons ensuite un chapitre dédié à l’exercice du pouvoir par l’écriture. Nous y analysons la production d’actes du duc de Bedford, autant en France qu’en Angleterre, sous le prisme de sa conformité ou de sa divergence d’avec les normes françaises. Le respect des traditions diplomatiques locales et de la langue des actes constituait, en soi, une affirmation des principes du traité de Troyes et un symbole de la continuité du pouvoir entre Valois et Lancastre. Parallèlement, la présence de certains éléments typiquement anglais dans l’administration militaire de la France de Bedford trahit une intégration imparfaite des pratiques locales. Nous y soulignons également l’importance du rôle des secrétaires français dans la coordination avec le royaume anglais d’Henri VI, certains se trouvant même à en intégrer l’appareil étatique. Si au final l’administration anglaise s’avère avoir été peu encline à l’adoption de pratiques étrangères, elle fut le théâtre d’importants changements linguistiques qui n’étaient pas étrangers à l’expérience de la France lancastrienne. En troisième lieu, nous soulignons la contribution d’autres figures importantes de la vie culturelle en France anglo-bourguignonne. La participation de personnages comme Richard Beauchamp et John Talbot à la vie de cour instaurée par le régent témoigne de l’intégration, par les Anglais en séjour sur le continent, de nombreux éléments de culture française. Une telle activité culturelle persista d’ailleurs longtemps après la mort de Jean de Lancastre. Le patronage, la circulation des idées, des artistes et, surtout, l’intériorisation du récit lancastrien en France y résulta en une certaine acculturation des élites, entraînant subséquemment une transformation de la culture anglaise outre-Manche. Cette appropriation culturelle participa à la pérennité de la langue et de la littérature française dans l’Angleterre du XVe siècle, tout en contribuant paradoxalement à la promotion d’une identité proprement anglaise. / From 1422 the Englishman John of Lancaster (1389-1435), duke of Bedford, was regent of his young nephew’s French kingdom. Because the treaty of Troyes (1420) provided for a long-lasting English presence in France, the regent had to put in place a social domination structure based on consent rather than coercion. In this context, the duke of Bedford devised a cultural and language policy inspired by the attitudes of the most prominent members of the Valois family. It allowed him to bolster support for his regime and legitimize his power. This policy is the main object of our research. We first propose to examine each element of Bedford’s cultural policy. His magnificent households, precious manuscripts and generous patronage were outward symbols of the might and stability of English rule in France. These possessions also allowed their owner to present himself as a legitimate member of continental courtly society. As such, they were a mean to strengthen the bond with his most important ally, his brother-in-law Philip, duke of Burgundy. At the same time the regent depicted himself, and by extension Henry VI, as the legitimate ruler of France by actively imitating past French kings. Some of his cultural enterprises can be conceived as propaganda. However under careful scrutiny these representations of power appear to have been intended not only for the conquered, but also for the conquerors themselves. We devote a second chapter to the exercise of power through writing. We analyze the duke’s production of written documents, both sides of the Channel, in light of its compliance to or defiance of French diplomatic tradition. In itself, the adoption of local practices and language was both respectful of the spirit of the treaty of Troyes and a convenient way to conceal the dynastic rift between Valois and Lancaster. On the other hand, the continued use of typical English documents in Bedford’s organization of the military reveals the limited extent of his acculturation. We also consider the important role of the French secretaries in the coordination between the two kingdoms, which in theory were supposed to be kept separate. Some of them were so involved in English affairs that they moved to England to serve Henry VI. In the end however the English bureaucracy remained mostly unaffected by extraneous innovations. Nonetheless, the very significant linguistic shift it underwent was contemporary, and linked, to the demise of Lancastrian France. The last chapter examines the contribution of other important figures of the anglo-burgundian cultural environment. The continental activity of magnates like Richard Beauchamp and soldiers like John Talbot exemplifies the relative vitality of courtly life in Lancastrian France and highlights the adoption of some elements of French culture by the English there. The subsequent patronage, circulation of texts and artists and, ultimately, the internalization of the Lancastrian French narrative, led to the transformation of English culture. This cultural appropriation contributed to the perpetuation of French language and literature in fifteenth-century England. Paradoxically, it also reinforced a properly English identity.
57

Le banquet en Norvège et en Islande aux XIIe et XIIIe siècles

Ouellet-Ayotte, Jérôme 09 1900 (has links)
Cette thèse vise à explorer les banquets en Norvège et en Islande aux XIIe et XIIIe siècles. Le sujet de cette étude, évoqué de manière éparse par l’historiographie, a pour objectif cardinal de de contrer cette lacune en fournissant un portrait global des festins à l’époque concernée. L’approche empruntée accorde une importance particulière aux rares descriptions de banquets ainsi qu’aux détails exceptionnels contenus dans les sources historiques. Cette enquête ambitionne également d’identifier et de comprendre les divers rôles joués par les réunions festives en Norvège et en Islande selon deux axes principaux. Le premier est celui de la convivialité, de la sociabilité, faisant un usage positif de ces rassemblements. Inversement, le second voyait l’instrumentalisation du festin comme appareil de distinction sociale et d’une affirmation agressive du rang de chaque convive. Cette approche permet de formuler une ébauche de catégorisation des banquets, de leur usage et de leur richesse. De plus, l’analyse offre l’occasion de constater les dimensions uniques de ce phénomène culturel prévalent de la Scandinavie de l’Ouest, mais également d’observer les similitudes entretenues avec le reste de l’Europe. Enfin, le dernier aspect abordé dans cette thèse vise à examiner en surface la translation de coutumes festives et courtoises d’un espace à un autre en fonction des relations politiques entre la Norvège et l’Islande. Pour y arriver, nous recourrons à des textes législatifs issus des deux régions à l’étude, de sagas royales, de sagas de contemporains et de documents produits dans l’environnement de la cour norvégienne. / This thesis explores feasting in Norway and Iceland during the 12th and 13th centuries. The subject of this work, often only merely mentioned by historiography, aims to fill this need by painting a general picture of banquets during the chosen time period. We aim to specifically address the topic by garnering exceptional details present in historical documents. This study also wishes to establish the various roles played by banquets by following two main axes. The first one sees the feast serving as a conveyer of social cohesion and friendships and also as a building tool for relationships. Inversely, the second exposes how feasts could serve more hostile purposes, notably distinguishing every attendee and underlining social inequalities among a given group. We also aim to categorize feasts, to identify their uses and their breadth. Through these efforts, we also identify unique traits that define this practice around western Scandinavia, but also the differences it entertains against other European regions. Finally, this study aims to touch on the transmission of customs surrounding feasting from Norway to Iceland incidental to increasing political relationships. To achieve the aforementioned goals, we solicited the use legal texts from both regions, king sagas, contemporary sagas, as well as documents coming from the Norwegian court.
58

L’histoire au service de la politique : la chronique de Pierre de Langtoft et les tensions socio-culturelles en Angleterre fin XIIIe, début XIVe siècle

Gendron, Philippe 06 1900 (has links)
À la fin du XIIIe et au début du XIVe siècle, Édouard Ier (1239-1307), conquérant du Pays de Galles et de l'Écosse, semblait être en conflit perpétuel, que ce soit avec l’Écosse, la France ou le Pays de Galles. Il avait donc grandement besoin de financement. Or dès son règne, on sent que le Parlement avait acquis une importance particulière en Angleterre, de sorte qu’Édouard Ier devait le convaincre de lui accorder les taxes qu’il demandait. Des tensions socio-culturelles héritées de la conquête de 1066 compliquaient de beaucoup la tâche au roi qui se devait de trouver une solution pour unir toute la société anglaise contre ses ennemis. Le roi était également en conflit avec certains de ces sujets. C’était notamment le cas d’Antoine Bek, évêque palatin de Durham qui était menacé de perdre tous ses privilèges et libertés. Dans le but de se racheter auprès du roi, Bek demanda donc à Pierre de Langtoft, un moine du Nord de l’Angleterre, d’écrire une chronique dans laquelle il prêcherait l’union de toute la société anglaise contre les ennemis d’Édouard Ier. C’est celle-ci dont il est question dans ce mémoire, qui étudie la façon dont Pierre de Langtoft calomnie les ennemis du roi, surtout les Écossais et comment il utilise l’histoire pour plaider l’union de toutes les composantes de la société anglaise. / At the end of the thirteenth and the begining of the fourtheenth century, Edward I (1239-1307), conqueror of Wales and Scotland, seems to have been in perpetual conflict with Scotland, France and Wales. Those conflicts put him in great need of funding. At that time, the Parliament was already an important institution in England that Edward I had to convince to grant him the taxation he was asking for. This was complication by the fact that socio-culturals tensions inherited from the conquest of 1066 were complicating a lot the task of the king whos was in need of a solution for uniting the whole English society against his enemies. The king whas also in conflict with some of his subjects. This was the case of Anthony Bek the bishop palatine of Durham who was in danger of loosing his privileges and liberties. Searching a reconciliation with the king, Bek asked Peter of Langtoft a monk from northern England to write a chronicle in which he would preach the union of the whole English society against the enemy of Edward I. This memoir will study how Peter of Langtoft in his chronicle calumny the king’s enemies, specialy the Scots and how he used history to preach the union of all the english society against the king’s enemies.
59

L’histoire au service de la politique : la chronique de Pierre de Langtoft et les tensions socio-culturelles en Angleterre fin XIIIe, début XIVe siècle

Gendron, Philippe 06 1900 (has links)
À la fin du XIIIe et au début du XIVe siècle, Édouard Ier (1239-1307), conquérant du Pays de Galles et de l'Écosse, semblait être en conflit perpétuel, que ce soit avec l’Écosse, la France ou le Pays de Galles. Il avait donc grandement besoin de financement. Or dès son règne, on sent que le Parlement avait acquis une importance particulière en Angleterre, de sorte qu’Édouard Ier devait le convaincre de lui accorder les taxes qu’il demandait. Des tensions socio-culturelles héritées de la conquête de 1066 compliquaient de beaucoup la tâche au roi qui se devait de trouver une solution pour unir toute la société anglaise contre ses ennemis. Le roi était également en conflit avec certains de ces sujets. C’était notamment le cas d’Antoine Bek, évêque palatin de Durham qui était menacé de perdre tous ses privilèges et libertés. Dans le but de se racheter auprès du roi, Bek demanda donc à Pierre de Langtoft, un moine du Nord de l’Angleterre, d’écrire une chronique dans laquelle il prêcherait l’union de toute la société anglaise contre les ennemis d’Édouard Ier. C’est celle-ci dont il est question dans ce mémoire, qui étudie la façon dont Pierre de Langtoft calomnie les ennemis du roi, surtout les Écossais et comment il utilise l’histoire pour plaider l’union de toutes les composantes de la société anglaise. / At the end of the thirteenth and the begining of the fourtheenth century, Edward I (1239-1307), conqueror of Wales and Scotland, seems to have been in perpetual conflict with Scotland, France and Wales. Those conflicts put him in great need of funding. At that time, the Parliament was already an important institution in England that Edward I had to convince to grant him the taxation he was asking for. This was complication by the fact that socio-culturals tensions inherited from the conquest of 1066 were complicating a lot the task of the king whos was in need of a solution for uniting the whole English society against his enemies. The king whas also in conflict with some of his subjects. This was the case of Anthony Bek the bishop palatine of Durham who was in danger of loosing his privileges and liberties. Searching a reconciliation with the king, Bek asked Peter of Langtoft a monk from northern England to write a chronicle in which he would preach the union of the whole English society against the enemy of Edward I. This memoir will study how Peter of Langtoft in his chronicle calumny the king’s enemies, specialy the Scots and how he used history to preach the union of all the english society against the king’s enemies.
60

Le modèle de la vierge consacrée au VIe siècle : l’exemple du De consolatoria castitatis laude d’Avit de Vienne

Domingos Pimentel, Caroline 05 1900 (has links)
Au VIe siècle, dans le royaume des Burgondes, Avit de Vienne compose une lettre pour sa sœur, la moniale Fuscine. Cette œuvre consolatoire et élogieuse se nomme De consolatoria castitatis laude. Ce texte permet de comprendre la situation particulière dont bénéficie la virgo dans la société chrétienne tardo-antique. Au niveau de son contenu, l’objectif de ce livre sert à montrer à la monacha que le choix virginal représente une forme d’échappatoire et de liberté. Il s’agit d’une réalité que ne connaît pas l’épouse. Les devoirs du mariage, les dangers de la maternité, les tracas du siècle, le veuvage, le deuil, tout cela est inconnu à la vierge parce qu’elle s’écarte des obligations terrestres. L’utilisation de la Bible et de plusieurs références patristiques constituent l’héritage des mentalités religieuses dont s’inspire Avit dans la construction d’un discours orienté sur la distinction socioreligieuse de la virgo. / In the 6th century, in the kingdom of the Burgundians, Avitus of Vienne composes a letter for his sister, the nun Fuscina. This consoling and eulogistic artwork is called De consolatoria castitatis laude. This text generates in us an understanding of the particular context of the virgo in the Christian society of Late Antiquity. Regarding the text, the purpose of the book is to show to the monacha that the virginal choice represents a way of escape and freedom, a reality that the spouse is unaware of. The duties of marriage, the dangers of motherhood, the troubles of the century, the widowhood and the mourning are all unknown to the virgin because she excludes herself to worldly obligations. The use of the Bible and several patristic references shape the legacy of religious mentalities which inspires Avitus in making an oriented speech on the virgo’s socio-religious distinctness.

Page generated in 0.0779 seconds