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La socialisation masculine et la problématique de violence une question d'identité? : recherche exploratoire de récits biographiques d'hommes présentant une problématique de violenceGuay, Etienne January 2008 (has links)
La présente étude explore I'articulation entre la notion de socialisation et le concept identitaire. La première intention à travers I'exploration de ces deux notions est d'aborder la problématique de la violence telle que vécue par les hommes. De fait, I'approche compréhensive de la présente étude mise sur le sens que ces derniers font de leur histoire et de leurs actions. Ainsi, à travers leurs témoignages, recueilli par le biais d'entrevues semi-dirigées réalisées en intégrant une approche biographique, se dégage une compréhension du phénomène de la violence. Cette demeure est le reflet d'un contexte, d'une identité ainsi qu'un mode relationnel privilégié. À travers les récits apparaît une vision du changement et des réflexions en ce qui concerne I'accompagnement social réalisé auprès d'hommes présentant une problématique de la violence.
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L'esthétique de la nudité chez Guillaume DustanMainville, Bruno January 2006 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Thersites : a study in comic shame /Lowry, Eddie R. January 1991 (has links)
Texte remanié de: Diss. Ph. D.--Classical philology--Cambridge (Mass.)--Harvard university, 1980.
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La constance des stigmates de la faillite : De l'Antiquité à nos jours / Stigmas of bankruptcy : from Antiquity to the present dayMagras, Célia 04 December 2018 (has links)
L’étude de l’histoire de la faillite de ses origines romaines à sa disparition en 1985 témoigne de l'instrumentalisation de l'humiliation par le droit. Le commerçant incapable d’honorer ses engagements même sans avoir commis de fraude représente un danger pour l’ordre social et une nuisance pour ses créanciers. Un danger qu’il faut neutraliser par tous les moyens. L’humiliation parait alors la meilleure voie pour assurer la visibilité et l’exclusion du commerçant défaillant. Cette stigmatisation protéiforme s’adapte à l’évolution de la société pour imprimer à la faillite la honte qui s’y attache. D’abord imposée et organisée par le droit elle s’émancipe peu à peu du circuit légal. Lorsque le droit consacre explicitement l’innocence du failli la société continue de faire de lui un paria. Un coup de maître juridique puisque l'institutionnalisation d'une répression de la défaillance aux origines de notre civilisation n'est plus dépendante du droit mais de la société. / Studying the history of bankrupcy, from its origins in ancient Rome to its disappearance in 1985, reveals how the law instrumentalized humiliation. A trader who proves unable to honor his commitments, even if he did not engage in fraud, is a threat to the social order and a liability to his creditors. This danger must be neutralized by any means. Humiliation thus appears as the best way to flag and exclude the failing trader. This protean stigmatisation adapts to the evolution of society to establish the link between bankrupcy and shame. It was, at first, imposed and organised by justice, but it progressively emancipates from the legal apparatus. Even after the law explicitly acknowledged the innocence of bankrupt individuals, society kept casting them out. This judicial master stroke majes the institutionalisation of the repression of bankrupcy that exists since the origins of our civilization no longer relies on justice, but on society. Bankrupcy has disappeared from the Codes, but the concept still exists in citizens' minds, and the stigma it occasionates remains just as powerful. Reforms cannot single-handedly erase the secular stigmatisation of bankrupcy, which deeply impregnates mentalities. At this point, it seems as though we have to acknowledge failure: would it be that it is impossible to erase the stigmatisation of an innocent CEO but incapable of paying back his creditors. Asopting a historical perspective shows that the constant and progressive move towards more leniency from a judicial point of view is a worn-out solution. In order to obtain new results, the methods need to be reexamined.
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Vers une compréhension du phénomène « prostitutionnel » féminin, en tant que « Pratiques Sexuelles Récompensées » au Maroc, à travers une clinique du sujet et du lien social : « De celles qui sortent à Marrakech... »Lemale Ettonia, Céline 11 September 2010 (has links) (PDF)
La pratique sexuelle hors-mariage et récompensée à Marrakech est un phénomène socialement reconnu depuis la médiatisation du tourisme sexuel. L'étude menée interroge les risques encourus pour l'équilibre psychique, dans une société où la sexualité est agie et vécue de manière profondément différente de l'occident. L'analyse psychodynamique offre un accès aux enjeux qui se trouvent mis à l'épreuve dans ce recours. Ce travail se centre sur l'analyse d'un sujet « contextualisé » (Société-Islam-Sexualité) et les résultats cliniques obtenus grâce aux propos recueillis auprès de trente six femmes marocaines ayant ou ayant eu recours à la pratique sexuelle récompensée. L'interrogation des parcours existentiels met en évidence des croyances et des mythes qui viennent garantir un équilibre de vie, et cela dans le contexte islamique. Les aménagements défensifs viennent soutenir les liens et une représentation de soi, mais à quel coût
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Le partage et le non-partage social des émotions chez les personnes atteintes de VIH/SIDA en République Dominicaine / Social sharing and non-sharing of emotions in HIV/AIDS patients living in the Dominican RepublicCantisano, Nicole 10 December 2012 (has links)
Les individus ont une forte propension à communiquer leurs émotions, mais les malades chroniques éprouvent des difficultés quant au partage social des émotions (PSE), et ceci, en lien avec la perception de réponses sociales négatives. Par le biais de 3 études l’examen du (non) PSE chez les patients atteints du VIH/SIDA en République Dominicaine a été visé. L’étude 1 a voulu vérifier si dans cette culture les pratiques à cet égard étaient semblables à celles démontrées auparavant. 306 participants ont répondu à un questionnaire. Comme attendu, les taux, délais et récurrence du PSE se sont avérés superposables à ceux retrouvés ailleurs. L’étude 2 a comparé le PSE chez les patients atteints du VIH/SIDA avec celui des patients atteints d’une autre maladie chronique. 104 patients (35 VIH/SIDA, 35 diabète, 34 cancer) ont répondu à un questionnaire. Notre hypothèse a été validée : les patients atteints du VIH/SIDA s’abstiennent du PSE significativement. Ils ont ainsi rapporté éprouver plus de honte et de culpabilité et une forte appréhension des réponses sociales négatives. L’étude 3 a ciblée la question: pourquoi retrouve-on le non-PSE chez les personnes atteintes du VIH/SIDA et quelles sont ses conséquences? 101 patients sous ARV ont répondu à un questionnaire. Le non-PSE est en partie prédit par la perception de la stigmatisation et aucune conséquence du non-PSE n’a été trouvée. Il s’est avéré que la perception de la qualité du PSE est à l’origine des conséquences positives associées à la verbalisation émotionnelle. Ces résultats soulèvent le rôle joué par la qualité du PSE et pourraient justifier des interventions ciblées sur la honte et la culpabilité chez ces patients. / Laypersons are quite inclined to communicate their emotional experiences. Yet, previous studies have shown that patients living with a chronic illness have difficulties in the social sharing of emotions (SSE) linked to the perception of negative social responses. The present dissertation has intended to examine the (non) SSE in HIV/AIDS patients living in the Dominican Republic. Three field studies were conducted. Study 1 aimed to verify if the SSE takes place in the dominican cultural context as it has been showed in other studies. 306 participants answered a questionnaire, and as hypothesized, rates, initiation and extent of SSE were consistent with previous results. Study 2 aimed to compare HIV/AIDS to other chronic illness patients regarding SSE. 104 patients (35 HIV/AIDS, 35 diabetes and 34 cancer) responded to a questionnaire. Our main hypothesis was confirmed: HIV/AIDS patients’ SSE scores were significantly lower. Furthermore, these patients reported higher feelings of shame and guilt, and greater fears concerning others’ negative responses. Study 3 intended to answer one main question: why this non-SSE in HIV/AIDS patients and what would be its consequences? 101 patients under ARV answered a questionnaire. Non-SSE was partially predicted by perceived stigma and no consequences of non-SSE were found. However, results showed that the perception of the quality of SSE was a significant predictor of the positive consequences linked to emotional expression. Our results highlight the importance of the qualitative aspect of SSE and could lead to future research on interventions aiming the expression of shame and guilt in these patients.
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Humiliation et honte causées par des pratiques de gestion inhumaines : Étude de cas (Cali-Colombie) / Humiliation and shame caused by inhumane management practices : case study (Cali-Colombia)Rojas Rojas, William 08 July 2015 (has links)
L'application des pratiques de gestion inhumaines (PGI) conforme un phénomène qui ne tient pas en considération l'horizon philosophique du projet culturel moderne fondé sur un corpus idéologique, juridique et politique reconnaissant l'humanité de toutes les personnes. La perspective théorique sur les PGI que nous présentons ici permet d'examiner et de définir les mauvais traitements provenant des décisions de gestion qui sont adoptées et mises en œuvre à partir d'une rationalité instrumentale et sans tenir compte de la souffrance qu'elles peuvent causer aux travailleurs. Les PGI sont caractérisées par l'utilisation de moyens intimidants et dégradants qui visent à éliminer ceux qui sont considérés comme gênants ou superflus par une direction dont l'unique but est de triompher sur le marché globalisé, régi par la loi de la rentabilité maximum de l'investissement. Les PGI dans les organisations contemporaines ne rendent pas compte d'une condition essentielle de la conduite humaine, pour autant nous ne les abordons pas dans une perspective généraliste, mais depuis la spécificité d'un lieu et d'un temps déterminés. De là, surgit l'intérêt pour déterminer pourquoi et comment l'on porte atteinte, dans le contexte local, à l'humanité du travailleur à travers les PGI. S'il est vrai que dans le milieu du travail, il existe une relation de subordination incontournable, nous soulignons, pour l'analyse des PGI, le rôle des sciences humaines, car à partir de celles-ci il est possible de repérer des contextes, des situations, des tensions, ainsi que les causes et les divers facteurs qui interviennent pour que dans le monde de l'entreprise contemporain certaines directions transgressent les principes qui régissent un traitement humain. Les organisations doivent donc reconnaître et faire valoir les postulats qui sous-tendent « l'idéal » selon lequel tous les travailleurs sont des êtres dignes, libres, égaux, autonomes, respectables qui ont le droit per se au bien vivre. La souffrance psychique provoquée par le mauvais traitement dans le milieu de l'entreprise est le résultat de la violation des droits de l'homme, l'humiliation et la honte sont des sentiments qui surgissent chez la personne que l'on méprise et que l'on déshumanise. Nous avons pu démontrer à partir de ce travail de terrain ethnographique (il est structuré en deux récits : perspective des cadres et perspective des ouvriers) dans l'organisation C-Colombia (1993-2005), que le pouvoir et l'autorité dans cette entreprise ont toujours été utilisés pour favoriser une gestion inhumaine, incapable de reconnaître une série de conflits et de tensions pouvant se déchiffrer et se résoudre techniquement et moralement d'une façon plus respectueuse de la dignité des travailleurs dans la ligne d'une administration moderne humanisée.Mots clés : Inhumanité, Travail, Entreprise, Pratiques de gácticas administrativaestion inhumaines, Violence au travail, Humilliation, Mauvais traitement, Honte / Inhumane Administrative Practices (IAP) refer to certain systematic, calculated and planned violent exercises on the part of management, by which the termination of contracts with workers who are considered to be replaceable or are disruptive to the instrumental ends of an organization are possible. The theoretical perspective of IAP presented here examines and details strategies, actions, omissions and other administrative acts through which workers are mistreated, humiliated and shamed, so that they passively submit to productive dynamics, reject the possibility to join unions, accept “voluntary work arrangements”, or quit their labor affiliation. IAP is characterized, therefore, by the use of intimidation and degrading methods that injure the humanity of workers in the context of a production logic centered on the laws of the market and maximization of profits. IAP in organizations does not go against the essential condition of human behavior; therefore, it is not carried out from a generalist perspective, but rather from the specificity of place and prescribed timeframes. For this reason the practices through which IAP violates workers' humanity are characterized at the local level. In this study, conceptual reference in humanities are applied and are fundamental to examine the relationship of labor subordination, which, while it is possible to eliminate, is a continually weakening factor because of an abuse of power that fails to recognize working people as individuals who are dignified, free, equal, autonomous, respectable and therefore, individuals who have the right to a good life.The creation of a theoretical framework, then, seeks to contribute to the epistemological foundation that provides new analytical elements to the science of management in order to focus concrete practices of workplace violence far from the philosophical perspective of a modern culture with ideological, legal and political foundations that recognize the human condition of every person. Ethnographic fieldwork was carried out in the organization C-Colombia between 1993-2005 and is presented in two accounts: one from the perspective of management and another from the perspective of workers. The result demonstrates that power and authority in this enterprise was always applied with disregard to psychological human suffering. This behavior is a product of mistreatment and humiliation of workers, and is incapable of applying alternative approaches to those of narcissistic and productionist ends, in order to resolve problems that could be dealt with technically and morally in a more dignified manner.Key words: Inhumanity, work, enterprise, inhumane administrative practices, workplace violence, humiliation, mistreatment, shame.
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Désir, honte et dégoût : émotions et relations humainesLagacé, Jovanie Christine 25 January 2012 (has links)
Le présent travail propose une réflexion sur l'aspect social des émotions par l'entremise d'un examen de la dimension conflictuelle de 3 émotions: le désir, la honte et le dégoût. L'aspect problématique de ces émotions se situe au niveau de leur hypertrophie, en ce qu'elle encourage une emphase sur le soi, sur l'autosuffisance et la toute-puissance de l'individu, ce qui se traduit par des répercussions interpersonnelles, notamment la réduction marquée de la diversité des relations humaines qu'entretient l'individu avec les autres, et intrapersonnelles, particulièrement la narcotisation de l'identité individuelle. Cette réflexion est animée par la pensée de 3 principaux auteurs: celle de René Girard et de Martha C. Nussbaum afin d'explorer, pour chaque émotion, les implications de leur hypertrophie chez l'individu, puis de l'incidence du contexte social sur l'hypertrophie de ces émotions; celle d'Hannah Arendt afin de mieux comprendre la dynamique des relations humaines et comme palliatif à ces répercussions interpersonnelles et intrapersonnelles.
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Désir, honte et dégoût : émotions et relations humainesLagacé, Jovanie Christine 25 January 2012 (has links)
Le présent travail propose une réflexion sur l'aspect social des émotions par l'entremise d'un examen de la dimension conflictuelle de 3 émotions: le désir, la honte et le dégoût. L'aspect problématique de ces émotions se situe au niveau de leur hypertrophie, en ce qu'elle encourage une emphase sur le soi, sur l'autosuffisance et la toute-puissance de l'individu, ce qui se traduit par des répercussions interpersonnelles, notamment la réduction marquée de la diversité des relations humaines qu'entretient l'individu avec les autres, et intrapersonnelles, particulièrement la narcotisation de l'identité individuelle. Cette réflexion est animée par la pensée de 3 principaux auteurs: celle de René Girard et de Martha C. Nussbaum afin d'explorer, pour chaque émotion, les implications de leur hypertrophie chez l'individu, puis de l'incidence du contexte social sur l'hypertrophie de ces émotions; celle d'Hannah Arendt afin de mieux comprendre la dynamique des relations humaines et comme palliatif à ces répercussions interpersonnelles et intrapersonnelles.
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Le partage et le non-partage social des émotions chez les personnes atteintes de VIH/SIDA en République DominicaineCantisano, Nicole 10 December 2012 (has links) (PDF)
Les individus ont une forte propension à communiquer leurs émotions, mais les malades chroniques éprouvent des difficultés quant au partage social des émotions (PSE), et ceci, en lien avec la perception de réponses sociales négatives. Par le biais de 3 études l'examen du (non) PSE chez les patients atteints du VIH/SIDA en République Dominicaine a été visé. L'étude 1 a voulu vérifier si dans cette culture les pratiques à cet égard étaient semblables à celles démontrées auparavant. 306 participants ont répondu à un questionnaire. Comme attendu, les taux, délais et récurrence du PSE se sont avérés superposables à ceux retrouvés ailleurs. L'étude 2 a comparé le PSE chez les patients atteints du VIH/SIDA avec celui des patients atteints d'une autre maladie chronique. 104 patients (35 VIH/SIDA, 35 diabète, 34 cancer) ont répondu à un questionnaire. Notre hypothèse a été validée : les patients atteints du VIH/SIDA s'abstiennent du PSE significativement. Ils ont ainsi rapporté éprouver plus de honte et de culpabilité et une forte appréhension des réponses sociales négatives. L'étude 3 a ciblée la question: pourquoi retrouve-on le non-PSE chez les personnes atteintes du VIH/SIDA et quelles sont ses conséquences? 101 patients sous ARV ont répondu à un questionnaire. Le non-PSE est en partie prédit par la perception de la stigmatisation et aucune conséquence du non-PSE n'a été trouvée. Il s'est avéré que la perception de la qualité du PSE est à l'origine des conséquences positives associées à la verbalisation émotionnelle. Ces résultats soulèvent le rôle joué par la qualité du PSE et pourraient justifier des interventions ciblées sur la honte et la culpabilité chez ces patients.
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