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L'inscription des Tic dans les territoires : le cas des sites internet des structures intercommunales / The ITC in the territorie : the case intercommunal websites

Akrab, Hakim 18 June 2012 (has links)
Ce mémoire de thèse propose une analyse des pratiques de communication intercommunales. Notre objectif est de cerner quels enjeux renferment le recours aux Tic pour les établissements intercommunaux. En effet, l'émergence de politiques de communication intercommunales renvoie au renforcement du pouvoir intercommunal favorisé par le processus de décentralisation engagé par l'État. Conformément à ce pouvoir d'action, les communautés tentent de construire des échanges sociaux avec les individus. Elles visent la reconnaissance de leur autorité publique et l'adhésion à leur « projet territorial ». Les Tic sont associées à cet objectif de construction territoriale s'inscrivant dans un contexte de concurrence à l'échelle locale. Par le recours aux Tic, les structures intercommunales investissent la sphère publique en proposant une symbolisation de leur action. L'analyse des pratiques de communication nous permet d'aborder les Tic dans leur double dimension : d'un point de vue technique en pointant leurs caractéristiques et d'un point de communicationnel en s'intéressant aux discours produits. Nous avons pu noter que les responsables intercommunaux ont très tôt associés ces techniques à une vision déterministe par l'usage des termes «territoires numériques» ou «cyberterritoires». En lien avec cette vision déterministe, nous avons relevé une structuration de l'activité communicationnelle autour du site internet. En l'espace de quelques années, l'éventail des supports de communication intercommunaux s'est progressivement réduit au profit des sites internet. La gestion du site web dévoile une rationalisation et spécialisation dans la production des contenus communicationnels. De ce fait, notre recherche s'intéressera à l'éditorialisation des contenus dans la mesure où elle contribue à introduire une nouvelle gestion de l'information au niveau intercommunal. / This PhD thesis analizes communication practices of intercommunal structures. Our aim is to identify the stakes of the use of ITC for intercommunal structures. The emergence of intercommunal communication shows the consolidation of intercommunal authority at local scale. The intercommunal consortia intend to build social interactions with individuals. They aim for the recognition of their public authority and win support in the accomplishment of their « territorial project». At local scale, the ICT are associated to the purpose of territorial building in a competitive context. By the use of ITC, intercommunal structures invest the public sphere offering a symbolisation of their action. The analyse of communication pratices allows us to study ITC in a double dimension : as technicals objects pointing out their specifications and as communication support focusing on their messages. We pointed out that intercommunal officials elected associated these techniques to a determinist vision, using the expressions « digital territories » or « cyberterritories ». In link with this vision, we can note the structuring communication on the website. In a few years, the amount of communication tools has reduced in favour of websites. The management of website reveals a rationalization and specialization in the production of communicative contents. Therefore our research will focus on editorialisation of contents in so far as it contributes to introduce a new management of information in these structures.
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L’intercommunalité à l’épreuve. Jeux d’acteurs et effets de système dans la production de l’action sportive communautaire. Le cas de la Communauté d’Agglomération du Bassin d’Arcachon Sud / Intermunicipality” to the test. Dynamics of organized action and system effects in production of sports intercommunal policy. The case of “Communauté d’Agglomération du Bassin d’Arcachon Sud”

Bonneau, Lise 09 December 2014 (has links)
L’intercommunalité sportive est aujourd’hui une réalité. D’une logique d’opportunité à une logique de projets, la coopération intercommunale en la matière se développe de façon hétérogène, selon les stratégies déployées par les élus locaux, défendeurs des intérêts communaux et soucieux de conserver leurs prérogatives dans les affaires locales. L’apprentissage de l’intercommunalité nécessite un long processus d’appropriation, heurté par des résistances au changement de référentiel. La gouvernance du sport se retrouve pourtant affectée des effets du développement de l’intercommunalité sportive, entre rationalisation de l’action publique et effets pervers, des effets d’aubaine suscités par les réformes de l’Etat aux interactions entre acteurs, qui influencent la définition et la mise en oeuvre de l’action sportive communautaire. / Links between local authorities in the realm of Sports is now a reality. From a logic of opportunity to a logic of project, Intermunicipal coopération on the subject is developing in a heterogeneous way, depending on strategies of the local elected representatives, who are defending their own interests and are mainly worried of keeping their own prerogatives in local affairs. The learning curve of « intermunicipality work » requires a long process of appropriation, confronted with a resistance to a change of existing references. The governance of the world of sports is thus affected by the rationalization of public action and pernicious effects stemming form improbable opportunities, which are coming from new governmental laws and regulations. Beyond the consequences of this system, interactions between the main players will impact the definition and the establishment of the Sports intercommunal Policy, thus making more complex the regulation of local sports politics.
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Le « consensus » communautaire contre l'intégration intercommunale Séquences et dynamiques d'institutionnalisation de la communauté urbaine de Lille (1964-2003)

Desage, Fabien 10 October 2005 (has links) (PDF)
Le début des années 2000 a été marqué par la généralisation de la coopération intercommunale en France. Les nouvelles institutions créées, comme les plus anciennes qui ont vu leurs compétences renforcées à cette occasion, sont presque toujours gouvernées par des exécutifs collégiaux, associant des représentants municipaux de l'ensemble des formations partisanes. Ce mode de gestion est alors justifié par les élus locaux au nom de la technicité présumée des enjeux intercommunaux et de l'affirmation des politiques agglomération qu'il rendrait possible. Notre travail envisage le processus d'institutionnalisation de la communauté urbaine de Lille sur le temps long et à la loupe, de sa genèse par les groupes réformateurs dans les années 1960, jusqu'à la consolidation d'un régime de « consensus », terme utilisé par les conseillers communautaires eux-mêmes pour qualifier leurs arrangements interpartisans dans cette enceinte. Le choix méthodologique d'une focale resserrée et centrée sur l'organisation donne à voir les conditions pratiques de domestication par les maires des réformes intercommunales successives. Le « consensus » politique communautaire, loin d'aboutir au renforcement de l'autonomie de la CUDL en matière d'action publique locale, apparaît dès lors comme le vecteur principal de son maintien sous dépendance municipale et de son déficit démocratique persistant.
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RESEAUX DE TRANSPORTS ET SOLIDARITES TERRITORIALES EN MILIEU URBAIN

Menerault, Philippe 06 March 1991 (has links) (PDF)
Cette thèse s'appuie sur une constation initiale : en milieu urbain, les réseaux de voirie ne semblent pas être d'importants vecteurs de coopération intercommunale. Le double objectif de ce travail est donc de vérifier qu'il y ait effectivement dichotomie des réseaux urbains de voirie et de transpors publics au regard de la coopération intercommunale. L'intérêt de cette comparaison peut se justifier par la fonction commune de ces réseaux qui assurent tous deux le déplacement des personnes à l'intérieur des agglomérations. Il s'agit ensuite d'examiner les relations entre ces réseaux techniques et les territoires institutionnels qui en ont la charge de manière à expliciter les différences constatées.
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Le management de la performance publique locale. Etude de l'utilisation des outils de gestion dans deux organisations intercommunales.

Guenoun, M. 25 March 2009 (has links) (PDF)
La performance s'impose aujourd'hui dans le secteur public. Néanmoins le contenu que recouvre la notion reste sujet à débat. L'objectif de cette recherche est de comprendre comment les responsables publics prennent en charge concrètement le devoir de performance. Il s'agit de décrire à la fois les conceptions qu'ils s'en font et d'identifier les outils de gestion censés y conduire. Pour atteindre cet objectif, la recherche se concentre sur les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre institués depuis 1999. Ces organisations ont récupéré les principales compétences traditionnellement dévolues aux communes, dans le but d'en optimiser la gestion et de réaliser des économies d'échelle. Elles constituent de ce fait le lieu privilégié pour l'éwtude du management de la performance dans le secteur public local. Deux études de cas ont été menées, s'appuyant sur 47 entretiens semi-directifs. Elles décrivent de manière transversale les outils de gestion utilisés dans les services opérationnels et fonctionnels. Ce faisant, l'architecture globale du système de management de la performance de l'organisation est reconstituée et permet d'identifier les valeurs centrales. Les résultats révèlent que, contrairement à une idée répandue, les responsables intercommunaux ont de longue date été confrontés à l'exigence de performance. Ils mobilisent cette expérience en développant des stratégies de bricolage et d'appropriation des outils de gestion. Elles visent tant à ancrer les outils dans les pratiques qu'à soumettre au débat la normativité qu'ils véhiculent. En résultent des systèmes de management de la performance fragmentaires, dont la principale mission est d'exercer les responsables à l'art du compromis entre des exigences contradictoires.
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Collectivités urbaines et gouvernance de l'eau

Hellier, Emmanuelle 05 December 2011 (has links) (PDF)
Fondée sur les concepts de territoire et de collectivité, cette recherche se veut une contribution nouvelle et singulière aux investigations actuelles sur la production de l'action publique territorialisée d'aménagement, la grille d'analyse retenue étant celle de la gouvernance, et le prisme choisi étant celui des services urbains d'alimentation en eau potable. A l'heure de la recomposition des modes d'intervention publique, notre hypothèse pose le rôle central des territoires d'action comme outils de maîtrise et de mise en valeur de ressources spatialisées. La problématique de ce mémoire interroge la capacité d'un type d'acteur local, les collectivités urbaines organisées en intercommunalité intégrée et généraliste, à intervenir dans la gouvernance de l'eau comme ressource. Pour ce faire, la recherche emprunte les sentiers de l'analyse aménagiste, dans le sens où elle focalise l'intérêt sur les modalités de gestion des services d'eau en réseaux, et sur la planification spatiale de ces systèmes techniques. Elle s'appuie sur un matériau empirique comparatif de cinq Communautés d'agglomération françaises (Clermont-Ferrand, Dijon, Montpellier, Rennes, Rouen). Emblématiques du mode délégué d'exploitation des services urbains, et pris en charge par une autorité urbaine en quête de légitimité politique, les services d'eau deviennent le siège de coalitions de croissance métropolitaines. Néanmoins, à l'échelle locale, le développement de ces actions volontaristes n'entraîne pas pour autant une coopération territoriale aboutie. En outre, le consensus partagé sur les normes de sécurisation quantitative et sanitaire limite la capacité de " friction écologique " des outils de gestion intégrée de la ressource. Ainsi, d'après cette recherche, la constitution d'entités nouvelles de gestion des services d'eau ne modifie pas fondamentalement le rapport entre la collectivité urbaine et la protection de la ressource. Au-delà de la mise en relation de l'intercommunalité urbaine avec la gouvernance de l'eau, cette investigation offre l'occasion de voyager dans les rouages complexes de la décentralisation et de l'action publique locale, et d'observer la " fabrique " des territoires autour d'un enjeu économique, social et environnemental localisé. En ce sens, déplacer la focale vers la société civile s'avère une perspective prometteuse, pour déceler la contribution des pratiques d'usagers et des relations de solidarités au renouvellement de l'action publique territorialisée.
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GESTION ET (RE)STRUCTURATION DE DEUX GRANDES AIRES MÉTROPOLITAINES : LES TRANSPORTS URBAINS À LILLE ET A MONTRÉAL

Ingelaere, Raynald 27 November 2002 (has links) (PDF)
Depuis les années 1950, le décalage observé entre aire urbaine et pouvoir politique est à la source d'un dysfonctionnement majeur des agglomérations (effets de débordement...). En réaction, de nombreux Etats engagent une reconfiguration politico-administrative des territoires reposant sur des héritages historiques et des techniques juridiques spécifiques. Cette (re)structuration impose l'échelle des territoires fonctionnels comme cadre de résolution des problèmes urbains (aménagement, urbanisme, réseaux...). L'organisation et l'exploitation des réseaux de transport collectif urbain sont symptomatiques des difficultés rencontrées par les agglomérations. Du fait de son importance (mobilité, dimensions économique et sociale), et de ses difficultés, le transport urbain est confié aux nouvelles structures métropolitaines : toutefois, les formes institutionnelles et les instruments de régulation et de contrôle mis en place vont dépendre de facteurs endogènes aux agglomérations ou de contextes nationaux spécifiques. Le transport devient l'une des principales préoccupations des pouvoirs publics. Puis, avec l'intérêt croissant porté à la durabilité urbaine, avec la métropolisation économique, il apparaît comme le pivot central des politiques métropolitaines. Sur la base d'une comparaison entre les aires métropolitaines de Lille et de Montréal, notre étude se propose de déterminer : - dans quelle mesure la (re)structuration progressive d'une agglomération favorise la mise en place de politiques métropolitaines, notamment en matière de transports collectifs ; - quels organismes (intercommunalités) ou organisations (gouvernance) concourent à une meilleure gestion de la métropole (services et politiques) ; - quelles politiques de transport collectif ont été développées par les pouvoirs publics, dans quels cadres elles se sont inscrites et quels en ont été les résultats, ou l'influence sur la ville elle-même.
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De la politique du logement aux politiques locales de l'habitat : l'apprentissage de l'action collective négociée

Cordier, Mathilde, Cordier, Mathilde 29 September 2011 (has links) (PDF)
Depuis l'Acte I de la décentralisation, au début des années 1980, l'Etat a progressivement territorialisé les politiques du logement. Ce lent processus de territorialisation a abouti à un système d'action publique complexe dans le champ de l'habitat, où s'enchevêtrent les compétences de chacun des échelons publics. Au sein de cet éclatement de la responsabilité publique dans le domaine du logement, l'échelon intercommunal (soit les Etablissements de coopération intercommunale-EPCI) s'est vu confier par le législateur le rôle de "chef de file" des politiques de l'habitat sur les scènes locales du logement. La thèse se propose d'analyser le processus d'apprentissage à l'oeuvre dans l'élaboration et la mise en oeuvre de ces politiques locales de l'habitat, au sein d'un contexte d'incertitude généralisée qui caractérise aujourd'hui l'action publique en général, et l'action urbaine en particulier. Elle s'appuie sur un travail empirique mené au sein de deux configurations locales bénéficiant d'une ancienneté dans leur pratique de la coopération intercommunale, et d'une certaine maturité dans la prise en charge des questions d'habitat par l'action locale : les agglomérations de Lyon et de Dunkerque. La thèse interroge d'abord le rôle de l'Etat dans son apprentissage des nouvelles responsabilités des EPCI. Elle montre notamment que cet apprentissage est source d'incertitudes pour les acteurs intercommunaux, l'Etat étant plus souvent perçu comme un perturbateur qu'un facilitateur. Elle décrit également la fragilisation des services déconcentrés de l'Etat qui semble s'opérer dans le champ de l'habitat. La thèse s'intéresse ensuite à l'apprentissage des EPCI et notamment aux ressources dont les intercommunalités disposent pour élaborer et mettre en oeuvre leurs politiques locales de l'habitat, ainsi qu'aux moyens qu'elles mobilisent pour contourner le déficit coercitif de ces ressources (pédagogie, technicisation, contractualisation). Enfin, elle revient sur les avancées et les limites de ce double processus d'apprentissage. Elle montre que les notions de temps et de confiance sont au coeur des processus observés et propose des pistes de réflexions
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De la politique du logement aux politiques locales de l'habitat : l'apprentissage de l'action collective négociée / The local politics of the housing environment : the learning of the negotiated collective action

Cordier, Mathilde 29 September 2011 (has links)
Depuis l'Acte I de la décentralisation, au début des années 1980, l'Etat a progressivement territorialisé les politiques du logement. Ce lent processus de territorialisation a abouti à un système d'action publique complexe dans le champ de l'habitat, où s'enchevêtrent les compétences de chacun des échelons publics. Au sein de cet éclatement de la responsabilité publique dans le domaine du logement, l'échelon intercommunal (soit les Etablissements de coopération intercommunale-EPCI) s'est vu confier par le législateur le rôle de "chef de file" des politiques de l'habitat sur les scènes locales du logement. La thèse se propose d'analyser le processus d'apprentissage à l'oeuvre dans l'élaboration et la mise en oeuvre de ces politiques locales de l'habitat, au sein d'un contexte d'incertitude généralisée qui caractérise aujourd'hui l'action publique en général, et l'action urbaine en particulier. Elle s'appuie sur un travail empirique mené au sein de deux configurations locales bénéficiant d'une ancienneté dans leur pratique de la coopération intercommunale, et d'une certaine maturité dans la prise en charge des questions d'habitat par l'action locale : les agglomérations de Lyon et de Dunkerque. La thèse interroge d'abord le rôle de l'Etat dans son apprentissage des nouvelles responsabilités des EPCI. Elle montre notamment que cet apprentissage est source d'incertitudes pour les acteurs intercommunaux, l'Etat étant plus souvent perçu comme un perturbateur qu'un facilitateur. Elle décrit également la fragilisation des services déconcentrés de l'Etat qui semble s'opérer dans le champ de l'habitat. La thèse s'intéresse ensuite à l'apprentissage des EPCI et notamment aux ressources dont les intercommunalités disposent pour élaborer et mettre en oeuvre leurs politiques locales de l'habitat, ainsi qu'aux moyens qu'elles mobilisent pour contourner le déficit coercitif de ces ressources (pédagogie, technicisation, contractualisation). Enfin, elle revient sur les avancées et les limites de ce double processus d'apprentissage. Elle montre que les notions de temps et de confiance sont au coeur des processus observés et propose des pistes de réflexions / In France, since Act 1 of the transfer of power from the government to local authorities ("Décentralization") in the early 1980s, the State has gradually territorialized its housing policies. This slow process ultimately resulted in a complex network of public actions within the housing field, where the competencies of the different ruling bodies often overlap. Within this patchwork of responsabilities, metropolitan authorities ("Etablissement de coopération intercommunale- EPCI") have been appointed by lawmakers as the leading entity to implement the housing policy on a local scale. This research attempts to analyze the learning mechanisms at work in the design and the implementation oh housing policies on a local basis, in the context of uncertainty that characterizes public action in general, especially in the urban field. It draws on an empirical study of two local areas, accustomed to metropolitan cooperation, and experienced in dealing with housing issues on a local basis : greater Lyon and greater Dunkerque. This study first takles the role of the State in its understanding of the new responsabilities granted to the EPCI. It especially shows that this process can be a source of confusion for the local authorities, as the State can often be more destabilizing than hepful. It also shows the on-going weakening state of local government services. Then, the study deals with the learning mechanism of the EPCI, and notably the ressources available to design and implement their local housing policies, as well as their capabilities to by-pass the lack of coercition of these resources (education, technicization, contractualization). Lastly, it deals with the advantages and the limits of this dual learning process. Is shows that the issues of time and trust are essential, and makes suggestions for future research
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Fabrication de la ville et participation publique : l'émergence d'une culture métropolitaine : le cas de la Communauté urbaine de Bordeaux / City making and public participation : the emergence of a metropolitan culture : the case of the Urban Community of Bordeaux

Couture, Aurélie 11 December 2013 (has links)
A partir des années 2000, la participation publique fait en France l’objet d’une attention grandissante, tant dans les sphères sociale et politique que dans le monde de la recherche. La fabrication de la ville en est le terreau privilégié, support de revendications et d'initiatives citoyennes d’un côté, de procédures et d'expériences institutionnelles de l’autre. Vectrice de régulation sociale, de développement durable et de vitalité de la démocratie, l'implication du public aux projets et décisions gagne en ampleur dans un contexte marqué par la complexification du fait urbain et de ses modalités de gouvernance. Promue par les intercommunalités, elle répondrait à un double enjeu de légitimation politique et de modernisation des modes de faire dans une visée métropolitaine. Le cas de la Communauté urbaine de Bordeaux illustre particulièrement bien cela.Par le déploiement d'exercices participatifs novateurs touchant à des politiques et à des stratégies d'agglomération, elle chercherait à s'affirmer comme chef de file de la gouvernance métropolitaine autant qu'à impliquer directement les habitants et usagers du territoire dans le cadre d'une « citadinité » renouvelée. Cette ambition se traduit dans les orientations politiques récentes, qui transforment le positionnement stratégique, l'organisation et les pratiques de la Communauté urbaine de Bordeaux. S'ensuit une montée en compétence des acteurs – techniciens, membres du Conseil de développement durable, élus – témoin de la professionnalisation des activités de participation. Ce double mouvement, institutionnel et professionnel, laisse présager d'une évolution profonde et durable de l'action communautaire dans une logique plus transversale et collaborative. Cette analyse est le fruit d'une recherche menée au sein de l'institution par le biais d'un dispositif CIFRE. Elle repose sur une méthode d'observation participante, couplée à des entretiens thématiques et à l'examen d'un corpus de processus participatifs récents. / From the 2000s , public participation in France is the subject of increasing attention in both the social and political spheres in the world of research. The privileged context is the production process of cities as it supports citizens claims and initiatives on the one hand , procedures and institutional experiences on the other hand. Vector of social regulation, sustainable development and vitality of democracy, public involvement in projects and urban decisions gains momentum in a context marked by the complexity of the urban reality and its governance. Promoted by intermunicipalities it meets a dual challenge of political legitimacy and modernization of metropolitan operating methods. The case of the Urban Community of Bordeaux illustrates this particularly well. Through the deployment of innovative participatory exercises related to agglomeration policies and strategies, it seeks to assert itself as a leading method in metropolitan governance as well as to directly involve residents and users of the territory in a context of renewed "citizenship". This ambition is reflected in recent policy orientations, which transform the strategic positioning of the organization and practices of the Urban Community of Bordeaux. What followed is an increase in the technical skills of the stakeholders - technicians, members of the Sustainable Development Council, elected bodies- witness of the professionalization of participation. This double movement, institutional and professional, suggests a profound and lasting change in community action as a part of a more collaborative and cross logic. This analysis is the result of a research conducted within the institution within the framework of a CIFRE contract. It is based on the method of participant observation together with thematic interviews and the analysis of a body of recent participatory processes.

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