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Rhetorical use of the Great Law of Peace at Kahnawake : a measure of political legitimacy in a Mohawk communityHarrison, Regina January 1994 (has links)
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S'allier pour survivre : les épidémies chez les Hurons et les Iroquois entre 1634 et 1700Levasseur, Gisèle 16 April 2018 (has links)
Les épidémies qui sévirent en Huronie et en Iroquoisie au XVIIe siècle, furent un fléau sans précédent qui eut de fâcheuses conséquences sur la vie des Hurons et des Iroquois. Elles terrassèrent plus de . 50% de leur population et bouleversèrent leur vie religieuse ainsi que leur organisation sociale, politique et guerrière. Analysant, de manière comparative, à l'aide de la méthode ethnohistorique, les épidémies qui 'ont ' frappé les Hurons et les Iroquois entre 1634 et 1700, cette thèse cherche à reconstituer les différentes facettes de ce phénomène, à dégager les stratégies que chacun mit en place pour survivre et à évaluer l'impact des maladies contagieuses dans fa vie de ces deux peuples.
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Les Iroquois et les terres du Sault-Saint-Louis : étude d'une revendication territoriale (1760-1850)Pepin, Karol January 2007 (has links) (PDF)
Après la Conquête de la Nouvelle-France, la couronne britannique devient la seule puissance européenne et, par le fait même, le seul interlocuteur des nations amérindiennes de l'Amérique du Nord. Avec les transformations que connaissent les colonies de l'Est du Canada au XIXe siècle, dont l'augmentation de la population d'origine européenne, les autorités britanniques se voient confronter à diverses revendications des Autochtones concernant leurs territoires de chasse, mais aussi à pour des portions de terres plus restreintes, concédées sous le Régime français. Les communautés amérindiennes installées dans la vallée du Saint-Laurent subissent aussi les pressions des colons sur les terres qui leur avaient été réservées avant la Conquête et protestent auprès des autorités coloniales, demandant soit une meilleure protection de leurs terres soit la rétrocession de certaines portions, dont elles avaient été dépossédées injustement. Les Iroquois de Kahnawake sont des acteurs actifs dans ce processus accusant les Jésuites de les avoir dépossédés d'une portion de la concession qui leur avait été accordée, en 1680, sous le Régime français: les terres du Sault-Saint-Louis. Les premières plaintes des Iroquois contre les Jésuites remontent à la fin du Régime français. Elles vont se poursuivre sous le Régime anglais et donner lieu à de nombreuses pétitions et requêtes. Après le jugement Gage, en 1762, qui reconnaît à eux seuls les droits de jouir de la terre du Sault-Saint-Louis, les Iroquois de Kahnawake présentent à chaque gouverneur au cours de la période étudiée une plainte concernant cette même terre. Ils considèrent qu'ils sont privés d'une partie de leur concession par l'empiètement de la seigneurie de Laprairie-de-Ia-Magdeleine, appartenant aux pères de la Compagnie de Jésus. C'est l'objet de la revendication des Iroquois du Sault-Saint-Louis que nous avons choisi d'étudier sous l'aspect tant des motivations, des stratégies et des arguments des Iroquois de Kahnawake que des autorités coloniales britanniques, entre la Conquête de la Nouvelle-France et le milieu du XIXe siècle. Cette recherche permet notamment de comprendre le processus des revendications territoriales que les Amérindiens domiciliés de la vallée du Saint-Laurent
entreprennent auprès des autorités coloniales britanniques. La revendication des Iroquois de Kahnawake concernant les terres du Sault-Saint-Louis a permis à ces derniers de manifester avec vigueur leur volonté de protéger leurs particularités et leurs droits afin de demeurer des acteurs importants dans un contexte politique qui leur était défavorable. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Kahnawake, Jugement Gage (1762), Amérindiens domiciliés (relations avec), Politique indienne (Canada, XIXe siècle), Biens des Jésuites.
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Archaeological systematics and the analysis of Iroquoian ceramics : a case study from the Crawford lake area, OntarioSmith, David Gray January 1987 (has links)
This study is an analytical examination of a stylistic anomaly observed among Middleport Iroquoian village sites (dating c. A.D. 1300-1450) located near Crawford Lake in southcentral Ontario, Canada. The anomaly is characterized by differing percentages of two forms of ceramic smoking pipes from closely spaced, contemporaneous village sites. This distinction occurs throughout southern Ontario, but is particularly pronounced in the Crawford Lake area. In order to develop and test a model to explain this anomaly, an approach employing a hierarchy of inference, including formal, spatial, temporal, economic, social, and cultural levels, is proposed. This is applied to an analysis of pottery and smoking pipes from eight Middleport sites. The key elements of the explanation are: (1) the two styles represent two distinct prehistoric communities; (2) these communities competed with each other for limited resources; and (3) they symbolized this competition through differences in pipe styles. This conclusion indicates that both the material culture and social relations among Middleport communities may be more complex than has previously been inferred.
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Les fortifications chez les Iroquoiens nordiques de 1400 à 1650 de notre èreDeschamps-Léger, Simon 08 1900 (has links)
Ce mémoire porte sur les fortifications des Iroquoiens nordiques de 1400 à 1650 de notre ère. Les Hurons, les Iroquois et les Iroquoiens du Saint-Laurent constituent les principaux groupes à l’étude. L’objectif initial consistait à comprendre l’absence de fortification sur certains sites de la région de Saint-Anicet et vérifier certaines informations ethnohistoriques suggérant que seulement les villages les plus imposants bénéficiaient d’une fortification. Notre étude, qui s’appuie sur 207 sites, confirme que les villages les plus imposants étaient plus souvent fortifiés, particulièrement chez les Hurons. Par contre, au niveau de l’Iroquoianie, on dénote la présence de fortifications sur des sites de taille modeste et leur absence sur certains sites de grande taille. On constate aussi chez les Hurons, les Iroquoiens du Saint-Laurent et les Iroquois que les sites frontaliers, à proximité des autres groupes, ont plus souvent fait l’objet de fortifications et ce peu importe leur taille. De plus, l’augmentation du nombre de sites fortifiés concorde, pour les trois groupes à l’étude, avec une augmentation des conflits intragroupes et intergroupes. Notre étude confirme aussi la relation étroite entre une sédentarité prolongée et la présence d’une palissade.
À partir des données compilées, nous avons également tenté d’observer dans quelle mesure évoluent les différentes caractéristiques physiques des fortifications (nombre de rangées, taille des pieux), les structures connexes (remblais/fossés, entrées, galeries, séparations internes) de même que l’influence européenne et les essences de bois employées. Encore une fois, l’augmentation de la taille des pieux et du nombre de rangées s’accordent avec une augmentation des conflits tandis que la présence de structures défensives connexes préhistoriques et l’utilisation de remblais et fossés chez les Iroquoiens du Saint-Laurent confirment une vocation défensive dès le XVe siècle.
Nous abordons en dernier lieu la valeur symbolique et d’intégration sociale des fortifications iroquoiennes. L’adéquation des données concernant l’évolution physique des palissades iroquoiennes ainsi que leur valeur symbolique et d’intégration sociale, somme toute limitée, confirme à notre avis la fonction défensive prévalante des fortifications iroquoiennes de 1400 à 1650 de notre ère. Nous reconnaissons toutefois les implications sociales et symboliques découlant des fortifications, dont la construction opportuniste était essentiellement communautaire et non-coercitive. / This thesis focuses on the study of the northern Iroquoians fortifications from 1400 to 1650 A.D. The Huron, Iroquois and Iroquoians of the St. Lawrence are the main groups under study. The initial objective was to understand the lack of fortification on Saint-Anicet site and to verify some ethnohistorical information suggesting that only the most imposing villages were fortified. Our study, based on 207 sites, confirms that the larger villages were more often fortified, particularly among the Hurons. However, at the Iroquoian level, we denote fortifications on small sites and their absence on some large sites. We also found that Huron, St. Lawrence Iroquoians and Iroquois border sites, near other groups, were more often fortified regardless of their size. In addition, the increase in the number of fortified sites for the three groups coincide with an increase in intra-group and inter-group conflicts. Our study also confirms the close relationship between a prolonged sedentary lifestyle and the presence of a palisade.
From the compiled data, we also observed the evolution of different physical characteristics of the fortifications (number of rows, pile size), related structures (embankment / ditch, entrances, galleries, internal separations), European influence and species of wood used for construction. Again, the increase in pile size and number of rows is consistent with an increase in conflict, while the presence of prehistoric related defensive structures and the use of embankments and ditches among the St. Lawrence Iroquoians confirm a defensive vocation from the XVe century.
Finally, we discuss the symbolic and social integration value of the Iroquoian fortifications. The adequacy of the data concerning the physical evolution of the Iroquoian palisades, as well as their limited symbolic and social integration value, confirms in our opinion the prevalent defensive function of the Iroquoian fortifications from 1400 to 1650 AD. We recognize, however, the social and symbolic implications of fortifications, whose opportunist construction was essentially communal and non-coercive.
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Archaeological systematics and the analysis of Iroquoian ceramics : a case study from the Crawford lake area, OntarioSmith, David Gray January 1987 (has links)
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Proto-Huron/Petun and proto-St. Lawrence Iroquoian subsistence as culturally defining.Stewart, Frances L. January 1997 (has links)
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Dispersed, But Not Destroyed: Leadership, Women, and Power within the Wendat Diaspora, 1600-1701Magee, Kathryn Claire 22 July 2011 (has links)
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Anthropologie des pratiques politiques Mohawks de Kahnawake, Canada : pouvoir, identités, subjectivations / Anthropology of Kahnawá : ke Mohawks' political practices - Canada : power, identities, subjectificationGrienenberger, Gilles 28 September 2016 (has links)
Nous proposons dans cette thèse une étude des phénomènes politiques dans la réserve mohawk de Kahnawake au Canada. Nous fondons notre interrogation sur des données croisées du symbolique et de la praxis, du perçu/vécu et des dimensions pragmatiques étayées par différents aspects de la culture matérielle. Ce projet d'anthropologie politique, qui fait des ontologies, des phénomènes de subjectivation et des pratiques les axes principaux de recherche, nous invite à investir autant les cadres normatifs et idéels que les dynamiques structurelles qui animent la communauté et ces différentes institutions. Nous souhaitions nous détacher des études qui se fondent sur des paradigmes construits à partir d'une dyade antagoniste tradition/modernité, authenticité/rupture, etc. De même, nous avons rompu avec des travaux qui pointent essentiellement les aspects fonctionnels du politique et des institutions. En serrant au plus près ce vaste ensemble, qui embrasse une variété de champs, nous postulons l'existence d'une mécanique sociale, politique et spirituelle cohérente capable d'épouser les courbes irrégulières de la vie de cette population, marquée par des angles aigus qu'ont dessiné la colonisation et ses conséquences. / In this thesis, we propose a study of political phenomena in the mohawk reservation of Kahnawake in Canada. We base our interrogation on data crossed between symbolism and praxis, the perceived and the experienced and the pragmatic dimensions supported by different aspects of material culture. This project of political anthropology which makes ontologies, subjectification phenomena and practices the central theme of its research, invites us to invest normative and ideational frameworks as much as the structural dynamics that animate the community and its different institutions. We wish to detach ourselves from studies that base themselves on paradigms built from such antagonistic dyads as tradition/modernity, authenticity/rupture, etc. Furthermore, we have broken off from works that essentially point to the functional aspects of the political and the institutional. In closely tightening up this vast ensemble that embraces a variety of fields, we postulate the existence of a coherent social, political and spiritual mechanism, able to espouse the irregular curves of this population’s life, marked by the sharp angles drawn by colonization and its consequences.
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The Plight and the Bounty: Squatters, War Profiteers, and the Transforming Hand of Sovereignty in Indian Country, 1750-1774Pawlikowski, Melissah J. January 2014 (has links)
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