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« C’est une partie de mon travail avec laquelle j’ai beaucoup de difficultés » : une contre-histoire sur la collaboration entre intervenant.e.s de première ligne en itinérance et policier.ère.s lors de la COVID-19

Beaulieu, Karl 08 1900 (has links)
Les personnes en situation d’itinérance (PSI) font face à plusieurs défis pour (sur)vivre dans l’espace public dont la judiciarisation, la criminalisation (Bellot et Sylvestre, 2017), les demandes de déplacements et la saisie de matériels (Herring, 2019) qui se manifestent aussi dans les espaces de soins (Dej, 2020). D’ailleurs, les intervenant.e.s de première ligne en itinérance opèrent avec des tensions complexes dans le cadre de leur travail, iels doivent assurer le bien-être de leurs usager.ère.s et répondre à des tâches de contrôle, en négociant leur mandat avec d’autres organisations telles que la police (Stuart, 2016). Les crises ont pour effet d’exacerber la discrétion individuelle des travailleur.euse.s en première ligne, soutenant les collaborations, mais aussi les résistances dans la rue (Brodkin, 2021). Au Québec, la gestion de la COVID-19 a été qualifiée de « punitive » (Fortin et al., 2022), visant démesurément les quartiers pauvres et racisés (Luscombe et McClelland, 2020a). Bien que le profilage social est largement documenté à Montréal, jusqu’à maintenant peu de connaissances ont été produites quant aux conséquences des crises sur les organisations participant à la gouvernance de l’itinérance. Les travailleur.euse.s de première ligne ont largement été mobilisé.e.s, toutefois, peu de recherches se sont penchées sur leurs rôles (Alcadipani et al., 2020). Suite à 42 entretiens réalisés avec des intervenant.e.s de première ligne en itinérance, j’ai utilisé la méthodologie de contre-histoire pour confronter une narrative-maître de collaboration. Les entretiens suggèrent que les intervenant.e.s ont plutôt chercher à limiter les interactions avec la police alors que différentes crises convergent et vulnérabilisent leurs usager.ères. Iels ont mis en place différentes stratégies pour limiter ces interactions et assurer le bien-être des PSI. Autant lorsqu’iels limitent les interactions que lorsqu’iels en viennent à collaborer avec la police, les intervenant.e.s font face à des dilemmes plus complexes qui engendrent des conséquences amplifiées sur leurs usager.ère.s. Ces résultats permettent de discuter des conséquences de la crise sur leurs pratiques d’intervention et du contexte dans lequel opère cette gouvernance de l’itinérance. / People experiencing homelessness (PEH) face many challenges including judicialization, criminalization (Bellot & Sylvestre, 2017), banishment and seizures (Herring, 2019) while they survive in the streets. Studies show they also experience this punitive governance in spaces of care (Dej, 2020). Frontline workers (FW) have to work with complex tensions in the context of their work, they have to insure wellbeing of PEH, while also negotiating tasks of control alongside police public forces (Stuart, 2016). Scholars that study disasters and crisis help us appreciate how such exceptional times can exacerbate discretion bringing both collaboration but also resistance in the streets (Brodkin, 2021). In Quebec, the resolution of the pandemic has been qualified as ’’punitive’’ (Fortin et al., 2022) while some scholars found disproportionate patterns of control in poor and racialized neighbourhoods (Luscombe & McClelland, 2020a). The social profiling and punitive control of PEH has been widely documented and studied in Montreal, yet little is known about the impacts of the COVID-19 pandemic on key issues that matter to practitioners who have been widely mobilized (Alcadipani et al., 2020). Following 42 interviews realized with frontline workers in the homelessness sector, I used a counter-story methodology to challenge the master narrative of collaboration. Results suggest that FW rather limited their interactions with police officers in many amplified situations of overlapping crisis that marginalized their clients, bringing strategies to insure PEH wellbeing without relying on police interactions. Both, when they rely on or avoid police support, they faced more complex dilemmas that have amplified consequences for their clients. Finally, I discuss the impacts of the COVID-19 crisis on their practices considering the context in which takes place homelessness governance.
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Les refuges pour hommes itinérants à Montréal, lieux de passage ou d'ancrage? : enquête sociologique sur une institution paradoxale

Grimard, Carolyne 09 1900 (has links) (PDF)
Cette thèse a pour objectif de décrire les différentes formes de prise en charge par les refuges d'une population itinérante masculine. Dans un contexte où les normes en vigueur incitent l'individu contemporain à entretenir un rapport moins étroit avec les institutions, comment les refuges maintiennent-ils les hommes itinérants dans un mode de vie à la rue, tout en leur offrant des outils pour « s'en sortir » et en les poussant hors de l'institution? Puisqu'ils sont centraux dans la vie de ces hommes, puisqu'ils ont connu d'importantes transformations dans leurs pratiques d'intervention au cours des décennies, nous avons voulu qualifier, comprendre et expliquer les multiples réponses proposées aux hommes itinérants à travers les diverses modalités de leur prise en charge. Le travail qui est fait dans les refuges est nécessaire puisqu'il assure la survie d'une population, mais tous les moyens ne sont pas accordés aux refuges pour faire ce travail (Roy et al., 2006; Simard, 2005). Ils prennent ainsi en charge une population laissée pour compte à qui ils doivent apprendre de grandes normes sociales communes, d'autonomie, de prise de responsabilités, entre autres, sans toutefois disposer des ressources pour le faire. Nous avons donc vu dans cette thèse une institution pas tout à fait « totale » (Foucault, 1975; Goffman, 1968), qui n'est pas non plus une institution sociale classique et qui a tendance à fidéliser une population au réseau de services pour personnes itinérantes. Ainsi, au moyen d'un ensemble de théories portant sur les institutions sociales (Boudon et Bourricaud, 2004; Fecteau, 2004; Valade, 2005) et l'existence d'un nouveau programme institutionnel (Castel, 2009; Dubet, 2002; Soulet, 2008) nous avons cherché à comprendre ce que l'on attend aujourd'hui des individus dans leur rapport aux institutions. Nous avons vu comment ce rapport contemporain tend à exiger l'autonomie, l'accomplissement de soi et une responsabilisation accrue dans la création de liens sociaux et d'une appartenance-au-monde (Châtel, 2008 ; Clément et Bolduc, 2004; Soulet, 2008). Nous avons aussi vu que des individus n'arrivent pas à remplir ces nouvelles exigences sociales et que leur situation de vulnérabilité les pousse à devoir être partiellement ou totalement pris en charge par des institutions afin d'assurer leurs besoins primaires et parfois même leur survie. Ce recours n'est toutefois pas fait sans conséquence puisque divers mécanismes institutionnels déployés ont tendance à les maintenir en place et à les sortir en même temps. Cela engendre d'énormes tensions chez les employés et les usagers de cette institution. À l'aide de nos données, nous avons construit trois idéaux-types du recours aux refuges, qui correspondent à trois formes d'agir. Nous avons ainsi constaté que l'idéal-type ancrage incite à la forme d'agir paralysie, la circulation encourage l'oscillation et la projection provoque l'engagement. Cette recherche s'est déroulée entre juillet 2008 et février 2009 dans les trois refuges montréalais pour hommes itinérants : la Old Brewery Mission, Welcome Hall et la Maison du Père. À ce jour, ils reçoivent quotidiennement près de 500 hommes. Tous les hommes itinérants n'utilisent pas les refuges, mais ceux-ci ont constitué la base de notre observation. Nous avons débuté l'enquête par une période d'observation directe afin de nous familiariser avec l'environnement particulier que sont les refuges. À raison d'une quinzaine d'heures par semaine, pendant huit mois, nous avons réparti notre temps de présence dans les trois refuges, alternant les soirs afin d'avoir un portrait complet des activités, des rythmes, etc. Aux observations faites et retranscrites, se sont ajoutés 39 entretiens qualitatifs semi-dirigés faits auprès d'employés (n=15) et d'usagers (n=24) volontaires. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : institution, itinérance, vulnérabilité, agir-faible, pratiques d'intervention, hommes.
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Vivre, survivre et mourir accompagné : aux frontières de la "vie moindre"

Namian, Dahlia 11 1900 (has links) (PDF)
Cette thèse poursuit un double objectif. Le premier consiste à interroger les dynamiques sociétales, qui, dans l'univers polymorphe de l'intervention sociale, tendent à ériger aujourd'hui « l'accompagnement » comme style de réponse privilégié aux difficultés et épreuves de la personne. Nous cherchons à montrer, tant théoriquement qu'empiriquement, que ces dynamiques puissantes et contradictoires, qui révèlent un processus d'individualisation relativement nouveau, sont à la fois porteuses de contraintes et de possibilités. Le deuxième objectif poursuivi est l'observation directe des pratiques d'accompagnement qui reconduisent et mettent au point ces dynamiques sociétales complexes dans le cadre de deux figures sociales limites : l'itinérance et la fin de vie. Réduit au plus essentiel, l'analyse transversale du registre de « l'action possible » déployé envers ces deux figures limites, que nous avons désignées comme des « vies moindres », permet de mettre au jour certains rapports constitutifs élémentaires qui permettent en dernière instance aux individus de « se tenir » dans la socialité courante actuelle. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Intervention sociale, accompagnement, singularisation, itinérance, fin de vie.
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Regard exploratoire sur les composantes relationnelles entre une personne qui vit dans la rue et un animal de compagnie pouvant influencer le processus de désaffiliation sociale

Leblanc, Caroline January 2018 (has links)
Cette recherche exploratoire et qualitative porte un regard sur la réalité des personnes qui vivent dans la rue avec un chien comme animal de compagnie. Sachant que le milieu de la rue est un environnement stressant et rempli d’épreuves à surmonter, il est possible de croire que d’y vivre avec un animal de compagnie peut influencer le quotidien d’une personne. Bien que seulement 10 % des personnes en situation d’itinérance vivent avec un animal de compagnie (Irvine & al. 2012 ; Irvine.2013), il est important de cerner le sens qu’elles attribuent à leur relation et comprendre leur contexte situationnel afin de saisir leur réalité. Pour ce faire, cette recherche met en lumière les bénéfices et les contraintes qu’engendrent cette présence et l’influence de ces aspects relationnels sur le processus de désaffiliation sociale dans lequel la personne se situe lorsqu’elle vit dans la rue. / Abstract : This qualitative research explores the reality of street people who share their lives with a dog as a companion. Knowing that the street is a stressful environment filled with hardships, it is possible it is contemplated that living on the street with a pet can considerably influence someone’s life. Considering that it is about 10% of people that live on the street who are having a pet (Irvine 2013), it is important to identify the meaning they attribute to their relationship. To understand their situational context, this research highlights the benefits and constraints of this presence and the influence of these relational aspects on the social disaffiliation process of a person who live on the street with animal.
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The journey from homelessness to housing : exploring harm reduction in a housing first setting

Moreno, Marysabel 07 1900 (has links)
L'itinérance est un problème complexe qui a des conséquences désastreuses pour les individus et la société. Pour répondre à ce problème, le gouvernement de Canada a adopté le modèle Logement d’abord et l'approche de réduction de méfaits. Logement d’abord offre un accès facile au logement avec des services de soutien aux personnes en situation d'itinérance chronique qui ont souvent des problèmes concomitants de santé mentale et de toxicomanie. D’autres part, la réduction de méfaits reconnait que certaines personnes ne peuvent pas ou ne veulent pas arrêter de consommer des substances psychoactives. Par conséquent, cette approche se centre sur la réduction des effets nocifs de la consommation de drogues et d'alcool. Le but de cette étude était d'examiner comment l'approche réduction de méfaits et son déploiement dans le cadre du programme Logement d’abord à Montréal. Nous avons examiné les facteurs qui facilitent ou empêchent son utilisation, comment l’approche aide les résidents et les travailleurs à atténuer les risques et à comprendre la consommation de substances et quelle est sa contribution au processus de réinsertion sociale des participants du programme Logement d’abord. L'analyse des données a démontré que des pratiques de réduction de méfaits facilitent l’acquisition de logement pour les personnes en situation d'itinérance chronique en réduisant donc les effets néfastes de l'itinérance. De même, le soutien à long terme semble être un outil qui aide les gens à surmonter l'isolement, à maintenir un logement et à atténuer les problèmes de toxicomanie. Cette étude conclue que l’utilisation de l’approche de réduction de méfaits dans le cadre du programme Logement d’abord demande de prend en compte le niveau d’autonomie de la personne ainsi que son droit à l’autodétermination avec la possibilité de se retirer des services dont elle ne ressent pas le besoin. De plus, il est important de comprend que les résidents ont déjà des outils de base sur la réduction des méfaits en raison de leurs connaissances et leurs expériences même s'ils se montrent incapables de définir ces termes. Du point de vue des intervenants, la réduction des méfaits s’actualise en aidant les résidents à entretenir leurs appartements, en les sensibilisant aux effets négatives de la toxicomanie et en leur fournissant un soutien pendant la durée du programme. Néanmoins, la réduction de méfaits dans ce contexte est confrontée à plusieurs défis, notamment le manque d'éducation sur l'approche, et le manque d'inclusion des personnes toxicomanes dans les programmes qui les desservent. / Homelessness is a complex problem that carries disastrous consequences for individuals and societies. To help address the problem, governments have adopted the Housing First (HF) model and the Harm Reduction (HR) approach. HF provides housing and supportive services to people experiencing chronic homelessness who often have co-occurring mental health and substance use problems. HR acknowledges that some people are unable or unwilling to stop using substances, therefore, it focuses on reducing the harmful effects of drug and alcohol use. The purpose of this study is to examine how the HR approach is deployed within a HF project in Montreal, what are the factors that facilitate or hinder its use, how it helps HF residents and workers mitigate risk and understand substance use and what is its contribution to participants’ reinsertion process. The results demonstrate that HR practices facilitate housing acquisition for people experiencing chronic homelessness and therefore can reduce the adverse effects of homelessness and substance use. For some people finding ontological security means that they no longer need to cope with the dangers of living in the streets and have a better management of substance use. In a similar manner, long-term support also seems to be a tool that helps people fight isolation, maintain housing and mitigate problems related to substance use. The study concludes that the use of HR in HF requires intervention that takes into account the person’s level of autonomy as well as their right to self-determination with the possibility of opting out of services if they do not feel the need. In addition, It is important to acknowledge that residents have inherited HR tools based on their knowledge and experiences even though they manifest not being able to define HR principles. From the worker’s perspective, HR is practiced by helping residents maintain their apartments, creating awareness about substance use, and providing support throughout the duration of the program. Nevertheless, the practice of HR faces several challenges, including the lack of education about the approach as well as the lack of inclusion of drug users in programs that serve them.
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Les femmes âgées en situation d’itinérance et les trajectoires de désinsertion : y a-t-il des marges de manœuvre?

Vinet-Saint-Pierre, Marilou 08 1900 (has links)
No description available.
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Femmes et itinérance : trajectoires biographiques et expériences de l'hébergement d'urgence

Mondou-Labbé, Laurence 06 1900 (has links)
No description available.
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L’expérience subjective de la psychose : récits et trajectoires de jeunes d’Auberges du coeur

Charron-St-Pierre, Christina 12 1900 (has links)
La conceptualisation du phénomène de psychose et les façons de s’en «rétablir» sont fortement influencées par le modèle biomédical. Or, d’autres perspectives existent et sont pertinentes pour développer une compréhension plus aiguisée et critique de l’expérience de la psychose. On peut notamment penser à la phénoménologie, les approches basées sur le savoir expérientiel et les approches alternatives en santé mentale. Afin d’explorer un phénomène peu étudié empiriquement et d’offrir un espace de parole à des personnes marginalisées, ce mémoire illustre qu’une pluralité de discours et d’approches relativement à la psychose existe, mais que peu d’espace est accordé à la subjectivité et à la souffrance. La question guidant la démarche est la suivante : Quel sens et quelles significations les jeunes adultes hébergés en Auberge du coeur et ayant un suivi dans une clinique Premier épisode psychotique (PEP) donnent-ils à l’expérience de la psychose? À cet égard, quelle est la place de différents discours sur la psychose dans leurs récits? Une démarche qualitative a été privilégiée pour mener cette démarche. Six jeunes adultes ayant vécu une expérience de psychose ainsi qu’une expérience d’itinérance ont été rencontrés. Les entrevues s’intéressaient au parcours des jeunes, à leurs visions du monde et à leurs perceptions de différents services reçus durant leur parcours. Adoptant un cadre conceptuel fluide et pluriel, différentes perspectives ont été utilisées pour analyser les résultats. Entre autres, des écrits s’intéressant à la subjectivité et aux expériences ont été utilisés, ainsi que ceux s’intéressant à la conceptualisation de la souffrance. Les analyses ont mis en lumière que les parcours des jeunes sont caractérisés par de l’adversité et des traumas, ainsi que de détresse psychologique. Également, leurs récits illustrent que la psychose est une expérience difficile à saisir et verbaliser. Le réductionnisme de l’approche biomédicale est fort, et cela se traduit notamment par une difficulté à offrir des espaces pour accueillir la souffrance des jeunes relativement à leurs expériences de psychose. / The conception of psychosis and its recovery are mostly influenced by biomedical models of mental illness. Other perspectives exist and are useful to understand the experience of psychosis, in a more global and critique way. The phenomenology, the experiential approach and alternative approaches are interesting and useful to increase our knowledge on psychosis experience. This project has the purpose to explore a phenomenon which is not so known in the research community, as well as giving a space to young adults to talk about their experience of psychosis. We found that even though many approaches are interested in the experience of psychosis, there are not so many spaces to talk about the suffering that comes with that experience. The question that guided the research was: What is the meaning and the significations of psychosis for young adults that were living in an Auberge du Coeur, and receiving services from a Premier Épisode Psychotique (PEP) clinic? Also, what approaches of psychosis are part of their storytelling? To answer this question, a qualitative methodology was used. Six young adults that had experienced a psychosis and had been homeless were interviewed. We were interested in their lifepath, their vision of the world and their perception of different services they were in touch with. Many perspectives were developed so that the data analysis can be critique. We were interested in the concept of subjectivity, the knowledge about experiences and the concept of suffering. The analysis shown that all the participants experienced a lot of difficulties beside the psychosis experience, such as traumas and psychological distress. We also found that the psychosis experience is hard to get and hard to reach for them. It is especially hard to explain how it feels with words. In their storytelling, we see that the biomedical models are predominant. It seems like the participants were not able to find spaces to talk about the suffering that comes with psychosis experience, even though they receive help from community centers and public services.
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L’identification et l’impact de différents types de réseaux sociaux dans les trajectoires de vie de personnes assistées sociales

Stoetzel, Nadia (Christelle) 12 1900 (has links)
No description available.
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Évaluation du programme La grande Marelle : le parcours de participantes

Vachon, Caroline 18 April 2018 (has links)
Ce mémoire a comme sujet les femmes itinérantes. Il effectue l'évaluation d'un programme de réinsertion sociale nommé La grande Marelle. Ce programme est offert par l'organisme YWCA de Québec. L'objet de ce mémoire de maîtrise est l'évaluation des services existants dans le but de documenter si le programme répond aux besoins des participantes et d'identifier des pistes d'amélioration possibles. Dans une perspective qualitative, la recherche analyse le discours de huit participantes. Le travail se base sur le modèle proposé par Alain et Dessureault (2009). L'évaluation est effectuée en considérant les besoins, le processus et les effets perçus du programme. Les résultats démontrent que le programme répond en grande partie aux besoins des femmes. Ils ciblent également plusieurs pistes d'amélioration et de consolidation des services.

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