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Étude de cas contextualisée des trajectoires et perspectives de femmes autochtones ayant vécu l’itinérance à Montréal et à Val-d’Or

Cunningham, Julie 04 1900 (has links)
No description available.
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Chiennes de vies : la relation anthropozoologique, un angle mort de l'intervention en itinérance?

Couvy, Chloé 04 1900 (has links)
No description available.
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Les expériences urbaines de l’itinérance autochtone au Québec et la représentation des interactions avec la police : une étude exploratoire

Gervais, Isabel 12 1900 (has links)
Notre étude s’intéresse aux représentations des interactions entre les Autochtones en situation d’itinérance et les services policiers en milieux urbains au Québec. À l’aide d’une méthodologie qualitative ancrée dans le mouvement de décolonisation de la recherche, nous présentons l’expérience urbaine de l’itinérance telle que vécue par les Autochtones ainsi que leurs représentations des interactions avec la police. En centrant nos analyses sur les expériences telles que vécues et rapportées par nos participants et participantes, nous faisons ressortir les représentations qu’ils et elles se font de la police. L’analyse de nos données fait ressortir le rôle de gestion pénale de la pauvreté visible de la police en milieu urbain ainsi que les pratiques et attitudes envers les Autochtones influencées par un cadre de référence racialisé. Celles-ci viennent influencer les représentations sociales de la police par nos participants et participantes, il en ressort deux types de figures : la figure du persécuteur et la figure du protecteur. Nos analyses soulèvent aussi les enjeux de profilage social et racial ainsi que l’expérience genrée des interactions avec la police. De plus, il ressort de cela que les Autochtones en situation d’itinérance se retrouvent à l’intersection de plusieurs facteurs de disqualification sociale. Cette étude se conclue par une série de recommandations visant l’amélioration des interactions des Autochtones avec les services publics ainsi qu’une démystification des enjeux autochtones. / Our study is interested in the interactions between homeless Indigenous people and police services in urban areas in Quebec. Using a qualitative methodology rooted in the research decolonization movement, we present the experience of urban homelessness as well as interactions with the police. By focusing our analyzes on the experiences as lived and reported by our participants, we highlight the representations they make of the police. The analysis of our data highlights the role of penal management of visible poverty by police services in urban areas as well as the practices and attitudes towards Indigenous people influenced by a racialized frame of reference. These influence the social representations of the police by our participants, two types stand out: the persecutor and the protector. Our analysis also raises the issues of social and racial profiling as well as the gendered experience of interactions with the police. In addition, it appears that Indigenous people experiencing homelessness find themselves at the intersection of several factors of social disqualification. This study concludes on a series of recommendations aimed at improving the interactions of Indigenous people with public services as well as a demystification of Indigenous issues.
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L'ordre sur le trottoir : une sociologie de la mendicité ordinaire

Perreault-Mandeville, Étienne 04 1900 (has links)
Ce mémoire porte sur la mendicité sur les trottoirs de la rue Sainte-Catherine à Montréal en 2019-2020. À travers cette recherche ethnographique, j’ai voulu comprendre comment les personnes mendiantes sont incitées à adopter des comportements désirés et attendus aux yeux des citoyens. Pour répondre à cette question, j’ai voulu, tout d’abord, démêler les termes « itinérance » et « mendicité » en montrant que la dernière consiste en une activité qui est pratiquée aussi par des personnes en situation de logement précaire ou à risque d’itinérance. Considérant la mendicité comme une pratique active plutôt que passive, j’ai voulu me départir de la conception unilatérale qui transforme la personne mendiante en récipient pour la charité. Je me suis penché sur les formes de régulation qui encadrent cette activité dans l’espace public en tenant compte des transformations historiques, sociales et légales du trottoir et de la mendicité depuis la fin 19e et début 20e siècle, notamment dans le contexte nord-américain. En mobilisant le cadre théorique sur la gouvernementalité et la citoyenneté, j’ai voulu comprendre comment les personnes mendiantes maintiennent une conduite des conduites véhiculée par les citoyens ordinaires. Pour ce faire, j’ai analysé six types de rapports que les personnes mendiantes entretiennent au quotidien alors qu’elles pratiquent leur activité : rapports aux passants/piétons, aux mendiants et autres personnes marginalisées, aux commerçants adjacents aux lieux de mendicité, aux patrouilleurs à pied, aux espaces, à l’environnement et aux lieux ainsi que le rapport à soi et son identité. Les données d’analyse sont basées sur l’observation participante et la prise de note en vrac (jotting notes). J’ai également utilisé la photographie pour capter certains paysages sociaux urbains et complémenter l’analyse sur les rapports à l’espace, l’environnement et les lieux. De cette analyse descriptive, je tends à démontrer qu’il existe de multiples modes de production de la gouvernementalité sur le trottoir. Premièrement, les patrouilleurs à pied, acteurs sociaux institutionnalisés, véhiculent le contrôle formel et étatique. Ils maintiennent l’ordre public et régulent l’activité de mendicité notamment par la production d’une tolérance sous contrainte ou conditionnelle à l’adoption de comportements désirés et ordonnés. Ils utilisent aussi des tactiques de positionnement et de circulation des corps afin d’éviter les éléments indésirables telles que les obstructions. Deuxièmement, le contrôle entre les piétons et les mendiants se fait par la production de la déférence à l’égard des piétons, ces derniers véhiculant un mode de conduite désiré et ordonné et utilisant le trottoir dans ses fonctions dominantes. Troisièmement, il existe une forme de délégation du pouvoir au sein des personnes mendiantes, permettant ainsi de maintenir l’ordre informel en l’absence du contrôle formel. L’analyse démontre la présence d’un contrôle de soi et d’un travail identitaire chez les personnes mendiantes, ces derniers cherchant à ne pas déranger ni ébranler l’ordre sur le trottoir. Un contrôle informel s’observe également pour l’appropriation du lieu de mendicité, allant d’un contrôle violent envers l’autre à un contrôle de soi permettant la négociation et la délimitation de l’espace. Enfin, je tends à démontrer que la gouvernementalité opère au plan de l’espace et qu’elle participe à rendre opportun certains comportements plutôt que d’autres jugés indésirables. L’analyse des espaces marginaux et primaires témoigne d’un rapport social, géographique et spatial inégalitaire entre les citoyens ordinaires et les personnes mendiantes/itinérantes. En conclusion, je veux démontrer que les personnes mendiantes tentent de légitimer leur présence aux yeux des citoyens ordinaires en pratiquant ce que je nomme la mendicité ordonnée ou ordinaire. / This master thesis focuses on panhandling on the sidewalks of Sainte-Catherine Street in Montreal in 2019-2020. Through this ethnographic research, I wanted to understand how panhandlers are encouraged to adopt desired and expected behaviors in the eyes of citizens. To answer this question, I first wanted to disentangle the terms “homelessness” and “panhandling” by showing that the latter consists of an activity which is also practiced by people in a situation of precarious housing or at risk of homelessness. Conceiving panhandling as an active rather than a passive practice, I wanted to get away from the one-sided concept that turns the panhandler into a recipient for charity. I looked at the forms of regulation that govern this activity in public space, taking into account the historical, social and legal transformations of sidewalks and panhandling since the late 19th and early 20th century, particularly in the North American context. By mobilizing the theoretical framework on governmentality and citizenship, I wanted to understand how panhandlers maintain a behavior pattern conveyed by ordinary citizens. To do this, I analyzed six types of relationships that panhandlers maintain on a daily basis while they practice their activity: relationships with passers-by / pedestrians, panhandlers and other marginalized people, with shopkeepers adjacent to panhandling places, with foot patrols officers, spaces, environment and places as well as the relationship to oneself and one's identity. Analytical data is based on participant observation and jotting notes. I have also used photography to capture urban social landscapes and complement the analysis of relationships to space, environment and places. From this descriptive analysis, I tend to demonstrate that there are multiple modes of producing governmentality on the sidewalk. First, the foot patrol officers, institutionalized social actors, convey formal and state control. They maintain public order and regulate the panhandling activity, in particular through the production of tolerance under constraint or conditional on the adoption of desired and orderly behaviors. They also use body positioning and movement tactics to avoid undesirable elements such as obstructions. Second, the control between pedestrians and panhandlers is achieved through the production of deference to pedestrians, the latter conveying a desired and orderly mode of driving and using the sidewalk in its dominant functions. Third, there is a form of delegation of power among panhandlers, thus making it possible to maintain informal order in absence of formal control. The analysis shows the presence of self-control and identity work among panhandlers, the latter aimed at not disturbing the order on the sidewalk. There is also informal control over the appropriation of the place of panhandling, ranging from violent control over others to self-control allowing negotiation and delineation of space. Finally, I tend to demonstrate that governmentality operates at the spatial level and that it helps to make certain behaviors appropriate rather than others, deemed undesirable. The analysis of marginal and prime spaces informs us about an unequal social, geographical and spatial relationship between ordinary citizens and panhandlers/homeless people. In conclusion, I want to demonstrate that panhandlers try to legitimize their presence in the eyes of ordinary citizens by practicing what I call ordered or ordinary panhandling.
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Évaluation économique du programme Housing First auprès de personnes itinérantes ayant des troubles de santé mentale : analyse après deux ans de suivi à Montréal dans le cadre du projet At Home / Chez Soi

Ly, Angela Huong Thien 04 1900 (has links)
No description available.
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La représentation juridique des personnes en situation d’itinérance par les avocats de la défense criminelle et pénale

Spallanzani-Sarrasin, Nicolas 08 1900 (has links)
La recherche démontre que les personnes en situation d’itinérance (PSI) sont contrôlées, exclues, (sur)judiciarisées et qu’elles sont confrontées à de nombreux obstacles lorsqu’elles se retrouvent devant les tribunaux (accès à un avocat, capacité à négocier, sentences mésadaptées, etc.). Toutefois, malgré leur influence sur les procédures judiciaires et l’accès à la justice, nous en savons peu sur le travail des avocats de la défense qui représentent les PSI. Comment identifient-ils une situation d’itinérance (visible ou cachée) et de quelle manière adaptent-ils leur pratique lorsqu’ils travaillent avec cette clientèle ? Quelles stratégies utilisent-ils pour négocier avec les autres acteurs impliqués (procureurs, juges, intervenants socio-judiciaires, etc.) aux différentes étapes du processus judiciaire, notamment le cautionnement et la détermination de la peine ? Enfin, dans quels contextes collaborent-ils avec les programmes de justice thérapeutique et quels sont les impacts de leurs interactions avec les parties prenantes non juridiques, comme les travailleurs sociaux ou les intervenants communautaires ? Pour répondre à ces questions, je me base sur les données provenant d’entretiens semi-dirigés réalisés auprès d’avocats de la défense criminelle et pénale (N=41) œuvrant dans la région du Grand Montréal (Montréal, Laval, Longueuil) entre juillet et décembre 2021. Suivant une analyse de type « codebook » fondée sur les entretiens et la littérature socio-légale, je soutiens que les avocats qui représentent des PSI sont limités dans leur capacité de négociation, principalement en raison du manque de ressources (sous-financement de l’aide juridique, manque de logements abordables, de services en santé mentale et de thérapies, etc.) ainsi que du fonctionnement même du système judiciaire (rythme expéditif, emphase mise sur la responsabilité individuelle, etc.). Afin de pallier les obstacles, ils sont appelés à remplir diverses tâches extrajudiciaires (accompagnement pour la demande d’aide juridique, référencement vers ressources psychosociales, collaboration avec intervenants, etc.), allant parfois jusqu’à adopter un rôle s’apparentant à celui d’un travailleur social. Ces constats soulignent l’importance de modifier les lois qui ciblent disproportionnellement les PSI, d’investir dans le soutien communautaire et d’offrir les outils nécessaires aux professionnels du droit afin qu’ils puissent dégager des alternatives à la judiciarisation non seulement des PSI, mais aussi de plusieurs accusés socio-économiquement défavorisés et/ou marginalisés. / Research shows people experiencing homelessness (PEH) are controlled, excluded, (over)criminalized and that they face many obstacles when they find themselves in court (access to a lawyer, ability to negotiate, inappropriate sentences, etc.). Despite the influence they have on legal proceedings and access to justice, we know little about the work of defense lawyers representing PEH. How do they identify who is experiencing homelessness (visible or hidden) and how do they adapt their practice when working with this clientele? What strategies do they use to negotiate with other actors involved (crown attorney, judges, socio-judicial stakeholders, etc.) at different stages of the judicial process, in particular bail and sentencing? Finally, in what contexts do they collaborate with therapeutic justice programs and what are the impacts of their interactions with non-legal actors, like social workers or community stakeholders? To answer these questions, I rely on data from semi-structured interviews conducted with criminal defense lawyers (N=41) working in the Greater Montreal area (Montreal, Laval, Longueuil) between July and December 2021. Following a “codebook” type analysis based on interviews and socio-legal literature, I argue that lawyers who represent PEH are limited in their ability to negotiate, mainly due to lack of resources (underfunding of legal aid, lack of affordable housing, mental health services and therapies, etc.) as well as the very functioning of the judicial system (fast pace, emphasis on individual responsibility, etc.). To overcome these obstacles, criminal defense lawyers are called upon to perform various extrajudicial tasks (accompaniment for the application for legal aid, referral to psychosocial resources, collaboration with community organizations, etc.), sometimes going as far as adopting a role similar to the one of a social worker. My findings underscore the importance of modifying laws that disproportionately target PEH, investing in community support and providing the necessary tools to legal professionals so that they can find alternatives to the criminalization not only of PEH, but also of several socio-economically disadvantaged and/or marginalized defendants.
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L’itinérance chez une cohorte de jeunes adultes avec premier épisode psychotique : étude comparative à 2 ans de l’impact de l’itinérance sur l’évolution fonctionnelle et symptomatique

Lévesque, Isabelle Sarah 10 1900 (has links)
No description available.
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«Tout perdre» : causes sociales des problèmes de santé mentale à travers le récit de vie de personnes en situation d’itinérance.

Lupien, Pierre-Luc 04 1900 (has links)
Alors que, dans les années soixante, l’étude des conditions sociales dans leurs conséquences sur la santé mentale semblait une voie d’avenir pour la recherche psychiatrique (Sicot, 2001), il semble que, dans le contexte actuel, elle soit redevenue « hors propos ». Dans ce contexte où la plupart reconnaissent l’hégémonie de l’approche biologique en psychiatrie, quelle place peut être réservée aux conditions sociales pour expliquer l’origine des problèmes de santé mentale? Plusieurs auteurs, issus de la psychiatrie et des sciences humaines, se sont attardés à cette question. De leur avis, certaines conditions sociales, comme celles vécues par les bonnes à tout faire, les assistés sociaux, les immigrants, seraient particulièrement propices au développement de problèmes de santé mentale. Il est proposé dans ce mémoire de se concentrer sur l’impact d’une condition sociale particulière, l’itinérance, sur la santé mentale des personnes qui la vivent. Au terme d’une recension des écrits, des auteurs comme Furtos (2007) ont conclu que l’itinérance, en tant que forme extrême d’exclusion sociale, est à même d’engendrer des problèmes de santé mentale. Toujours avec l’objectif de répondre à la question de l’impact des conditions sociales sur la santé mentale, ce mémoire s’intéresse au point de vue des premières concernées, c’est-à-dire celui des personnes en situation d’itinérance ayant des problèmes de santé mentale. Sur le plan méthodologique, il se fonde sur 10 récits de vie de participants au projet Chez soi, projet de recherche et démonstration sur la santé mentale et l’itinérance de Montréal. Ce mémoire met en lumière les facteurs explicatifs soulignés par les participants au fil de leurs récits de vie et les compare à ceux identifiés dans la littérature se situant dans le courant sociogénétique. / During the 1960s, the study of the impact of social conditions on mental health seemed to be a logical path for psychiatric research (Sicot, 2001), it seems that it has once again become ''irrelevant'' in the present context. In a context wherein most are acknowledging the biological approach in psychiatry, where is the role of social conditioning to explain the roots of mental health issues? Many authors from the field of social sciences and psychiatry have adressed that issue. From their perspective, specific social conditions, immigration, welfare recipients or housekeepers are particularly favorable to mental illness. The objective of this Dissertation is to focus on the impact of homelessness on the mental health of people living with that condition. Authors such as Furtos (2007) have acknowledged that homelessness - as an extreme form of social exclusion- can readily generate mental health disorders. Keeping with the objective of adressing the issue of the consequences of social conditioning on mental health, thie aim of this Dissertation is to present the views of homeless people living with mental health problems. The methodology used is based on the life histories of 10 participants in the At home initiative, a research and demonstration project in Montreal. The objective of the Dissertation is to identify explanatory factors brought by participants during the sharing of their life stories and to compare them with the available and current sociological data in the field of socio-genesis.
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L'iconographie amérindienne aux Salons parisiens et aux Expositions universelles françaises (1781-1914) / Representations of Native Americans at the Paris Salons and French Great Exhibitions from 1781 to 1914

Cabau, Agathe 13 December 2014 (has links)
Cette thèse porte sur les représentations de l’Indien présentées dans les Salons parisiens et dans les sections des Beaux-Arts des Expositions universelles françaises. Elle débute avec la première apparition du thème au Salon, en 1781, et s’achève à sa disparition progressive, au commencement de la Première Guerre Mondiale. Le corpus rassemble des œuvres hétérogènes dont l’étude s’articule autour de trois grandes campagnes de représentation marquées par l’histoire des relations entre les Blancs et les Amérindiens. L’iconographie amérindienne dévoile une figure à la fois attractive et répulsive ; à l’esthétique de la disparition du «bon sauvage» répondent des mises en scène dégradantes. Notre étude rend ainsi compte des sources des imaginaires collectifs et des stéréotypes raciaux assignés à la représentation de l’Indien. Mais l’iconographie amérindienne survient également des impressions d’artistes ayant été à la rencontre de leur sujet. Pour ce groupe de quelques Français et Américains, la question de la représentation de l’«Autre» ne se joue pas exclusivement à travers les schèmes esthétiques abordés auparavant. Les déplacements répétés sur le continent nord-américain et l’attention portée à l’art amérindien favorisent un élargissement des horizons artistiques. Cette thèse est enfin l’occasion d’étudier l’image de l’«Autre» dans le cadre compétitif des Expositions universelles, où la figure de l’Indien tergiverse entre recherche de vraisemblance et sujet d’art. Il en ressort la constitution d’un discours visant à encourager la construction d’une identité esthétique nationale américaine au contact de l’art français. / This Ph. D. dissertation investigates images of Native Americans displayed at the Paris Salons and in the Fine Art sections of the Great Exhibitions of 1855, 1868, 1878, 1889 and 1900. My analysis starts with the first outbreak of the theme at the 1781 Salon and ends following its gradual dismissal at the beginning of the First World War. The body of artworks I analyze documents three main campaigns of representation marked by the history of Native Americans and Whites relations. These representations reveal an artistic figure both attractive and repulsive at the same time. The rhetoric of the disappearance of the “Noble Indian” alternates with degrading images of the “Savage Indians”. Our study reveals the origins of collective imagination and racial stereotypes that originate representations of “Indians”. But this iconography is also based on artists’ itinerancies and their migration to the West in order to meet their models. The artistic production of this small group of French and American artists can not be reduced exclusively to the two aesthetic patterns previously discussed. Their travels on the North American territory and their attention to Native American Art encourage new artistic horizons at the Paris venues. This thesis is also an opportunity to study the image of the Native American “Others” displayed in the competitive Fine Art sections of the Great Exhibitions. It brings out a discourse promoting the figure of the “Indian” to build an American art with its own aesthetic in response to French artistic influences.
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«Tout perdre» : causes sociales des problèmes de santé mentale à travers le récit de vie de personnes en situation d’itinérance

Lupien, Pierre-Luc 04 1900 (has links)
No description available.

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