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Biais d'auto-évaluation de compétence en français et en mathématiques chez les élèves de primaire : évolution et implications pour l'adaptation et la réussite scolaire des élèves? / Language art and mathematics self-evaluation biases : evolution and impact on school performance and adaptation

Jamain, Ludivine 08 February 2019 (has links)
La vision illusoire de soi positive (surestimation de soi) semble inhérente à la cognition humaine et fluctue dans son intensité en fonction de l’âge et du degré d’abstraction du concept évalué. Dans cette thèse, nous nous intéressons aux illusions positives, mais aussi négatives, des perceptions que les enfants âgés de 8 à 11 ans ont vis-à-vis de leur compétence scolaire. Ces illusions sont mesurées à partir de l’écart entre les performances scolaires effectives des élèves d’une part et la perception qu’ils ont de leur compétence scolaire d’autre part. Le biais d’auto-évaluation de compétence scolaire, locution utilisée pour faire référence à cet écart positif ou négatif, a été étudié jusqu’alors en considérant les habiletés générales des élèves à l’école (voir Bouffard, Pansu & Boissicat, 2013). Dans cette thèse, le biais est abordé au niveau de matières spécifiques : le français et les mathématiques. L’objectif général est d’appréhender les liens entre les auto-évaluations biaisées de compétence, l’adaptation et la réussite scolaire des élèves dans ces deux disciplines. A un niveau individuel, un suivi longitudinal d’élèves de primaire (N = 677) sur trois années a permis dans une première étude de définir quatre trajectoires développementales du biais d’auto-évaluation : trois trajectoires assez stables, une positive, une modérée, une négative, ainsi qu’une quatrième évoluant d’un biais très négatif à un biais relativement modéré. Après avoir examiné les liens entre ces trajectoires et un ensemble de mesures liées à l’adaptation scolaire de l’élève, nous avons appréhendé dans une seconde étude l’autorégulation et la performance scolaire des élèves en fonction de leur auto-évaluation biaisée. La mise en lumière des liens entre le biais d’auto-évaluation, l’adaptation et le fonctionnement des élèves a permis de rendre compte du caractère plus ou moins délétère du biais selon qu’il soit positif ou négatif. A un niveau interindividuel, une troisième étude a porté sur le lien entre le biais d’auto-évaluation de compétence des élèves et le jugement de leur enseignant. Enfin, une dernière étude a examiné la capacité des enseignants à repérer les auto-évaluations biaisées chez leurs élèves. Si les enseignants jugent mieux les élèves surestimant leur compétence, les résultats de la dernière étude laissent à penser que ce processus est inconscient. / The illusive positive view of the self (overestimation of the self) seems inherent to human cognition. This illusion fluctuates in its intensity according to the age and degree of abstraction of the concept evaluated. In this thesis, we are interested in the positive or negative illusions of self-perceptions among elementary school student aged from 8 to 11. We put the focus in this thesis on the difference between a student's academic skills, measured by standardized tests, and the student’s self-evaluation of his competence. The self-evaluation bias of school competency refer to this gap studied so far by considering the general abilities of the students (see Bouffard, Pansu & Boissicat, 2013). In this thesis, the bias is approached in specific domains: in French and in mathematics. The overall goal is to understand the links between biased self-assessments of competency, student adjustments and academic achievements in these two disciplines. At an individual level, a three-year longitudinal follow-up study of third elementary grade to fifth grade students (N = 677) allowed to define four developmental trajectories of the self-evaluation bias: three fairly stable trajectories, one positive, one neutral, one negative, and the last trajectory evolving from a very negative bias to a positive one. We examined then the links between these trajectories and scholastic adjustment measures. Considering these results, in a second study we examined the self-regulation and academic performance of students according to their biased self-evaluation. The highlight of links between self-evaluation bias and students’ adjustment were relevant to account for detrimental or beneficial nature of the bias, according to its valence. At an inter-individual level, we were interested in a third study on the link between student self-assessment bias and the judgment of their teacher. At last, in a final study, we assessed the ability of teachers to identify self-biased evaluation in their students. In the case of teachers appraising students who overestimate their competence, the results of the last study conducted on this students two years later suggest that this process is unconscious.
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Le Visible et l'Expression. Étude sur la Relation Intersubjective entre Perception Visuelle, Sentiment Esthétique et Forme Picturale

Hsu, Li-Hsiang 08 June 2009 (has links) (PDF)
La problématique de ce travail est liée à celle des théories de l'expression en art. Nous voulons savoir comment est possible la communication intersubjective à partir d'une expression originaire, primaire, reposant essentiellement sur les éléments formels, visuels et plastiques, sans l'intermédiaire de concepts, ni celui des éléments sémantiques, propositionnels. Nous voulons savoir quel rôle joue l'œuvre d'art dans la communication non verbale entre l'artiste-créateur et le spectateur-récepteur. Nous traitons cette problématique à partir de la relation triangulaire entre l'expression artistique, la forme signifiante et le sentiment esthétique. Nous essayons de résoudre le problème de l'expression originaire en art visuel en le déplaçant dans le contexte du jugement esthétique. La tâche essentielle pour nous est alors de traduire cette relation triangulaire en termes de formation du jugement de goût, d'expression du sentiment esthétique et de perception de la propriété esthétique que nous situions dans un contexte de l'interaction affect-cognition. Nous défendons alors une forme de réalisme esthétique appuyé sur le réalisme scientifique de l'affectivité, en particulier, la théorie James-Lange et les théories d'appraisal, à partir duquel nous déclarons que les propriétés affectives sont les propriétés qui ont affaire avec l'état du sujet percevant. Au sens fort du terme, elle sont réelles parce que leurs conditions de vérité sont les états neurophysiologiques du corps, observables et vérifiables par des moyens empiriques ; ou du moins, au sens faible, elles sont considérées comme les propriétés susceptibles de faire l'objet d'une programmation fonctionnelle, de la modélisation de l'esprit plus précisément, telle que suggèrent les théories d'appraisal de l'émotion. La version forte du réalisme de l'affectivité implique que, au lieu de nous donner une image fidèle du monde physique, l'émotion est la perception de l'état du corps dont la réalité n'est guère moins évidente que le monde perçu. La version faible de celui-ci implique que l'affectivité constitue du moins une modalité fonctionnelle de l'esprit. À partir de cette dernière, notamment à partir des théories d'appraisal de l'émotion, nous développons un modèle d'appraisal esthétique afin d'expliquer le traitement esthétique (à la fois perceptif et évaluatif) d'une œuvre d'art et les processus de « fabrique » de jugement esthétique dans notre esprit. Nous voulons montrer que, ensemble, le stimulus affectif/esthétique (l'œuvre d'art) et le sujet percevant (l'artiste et le spectateur) constituent les systèmes interactifs ultra complexes et qu'il existe certainement une corrélation relativement stable entre les propriétés physiques du stimulus et les réactions physiologiques et émotionnelles du sujet percevant. Nous cherchons les variables perceptives déterminant la réaction affective de l'individu à l'œuvre d'art. Ce sont avant tout les caractéristiques visuellement saillantes et esthétiquement pertinentes du stimulus, telles que la luminosité, le degré du contraste (lumineux ou chromatique), la séparation figure-fond, l'orientation de la composition picturale, que ce soit verticale, horizontale ou diagonale, l'organisation du centre et du pourtour du champ pictural, et ainsi de suite. Ce modèle a pour but d'illustrer le rapport des propriétés physiques (perceptives) de l'œuvre d'art et des propriétés affectives/esthétiques/évaluatives de celle-ci. De même que les scientifiques de l'émotion s'appliquent à développer des modèles théoriques pour expliquer comment une variété de contenus émotionnels se produit, comment les expériences émotionnelles se différencient selon les modèles distincts du traitement évaluatif, et comment elles sont déterminées en fonction de la façon dont les composantes cognitives, évaluatives et motivationnelles sont combinées, l'objectif de notre approche est de proposer les variables du jugement esthétique, ainsi que d'expliquer pourquoi dans telle ou telle condition l'objet esthétique est jugé beau ou sublime, gracieux ou élégant, et pourquoi dans telle ou telle condition il ne l'est pas.
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Essais sur les jugements et la prise de décision des consommateurs en situation d'incertitude

Laporte, Sandra 08 July 2010 (has links) (PDF)
La thèse étudie, dans des situations concrètes caractérisées par l'incertitude, plusieurs facteurs qui influencent les jugements de probabilités et les décisions. Les deux premiers essais portent sur la décision de participer à une loterie dont le nombre de participants est inconnu. La décision n'est pas influencée par le nombre de prix, c'est-à-dire le nombre de gagnants qui seront récompensés (Essai 1), alors qu'elle l'est par la similarité avec les gagnants précédents, un facteur logiquement non pertinent (Essai 2). L'insensibilité des consommateurs au nombre de prix découle de l'effet combiné de la faible évaluabilité de cet attribut et de la prise de décision sans estimation de probabilité. La similarité avec les gagnants précédents augmente l'intention de participer en raison du biais de " Hot Hand " interpersonnelle : les consommateurs pensent que leurs chances de gagner le prochain tirage sont plus élevées quand ils sont semblables aux gagnants précédents que quand ils sont dissemblables. L'essai final montre comment le fait de regretter une décision avant que ses conséquences soient connues peut conduire à être optimiste sur ces conséquences, pourvu que l'importance de cette décision pour la personne reste limitée
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Les actes de jugement de l'arbitre. Une anthropologie cognitive de l'activité de l'arbitre de rugby expérimenté.

Rix-Lièvre, Géraldine 15 December 2003 (has links) (PDF)
Cette recherche, partant des difficultés à définir ce que fait l'arbitre au moment même où il arbitre, s'intéresse à son activité de jugement. Empruntant une orientation anthropologique, cette dernière a été abordée, à la lumière de différents travaux concernant le jugement, comme une conduite humaine active, contextualisée et singulière qui, indéterminée a priori malgré la présence d'une règle, impose, à l'ensemble des acteurs de l'opposition, ce qui est équitable, possible, accepté et lève ainsi toute incertitude concernant la situation qui se déroule. Relevant d'un accomplissement pratique particulier, c'est en terme d'acte de jugement que cet objet a été appréhendé. Dans une perspective phénoménologique, l'acte de jugement de l'arbitre a été posé comme la concrétisation d'une signification non prévisible dans, par et au cours de laquelle l'arbitre lève l'incertitude de l'opposition en imposant sa situation. Pour rendre intelligible cette signification incarnée, spontanée, située et pré-réfléchie, une méthode a été élaborée. Partant de l'autoconfrontation et du constat que l'enregistrement vidéo confrontant l'acteur à sa propre image, laisse des portes ouvertes à des tendances contraires à l'explicitation de cette signification, nous avons remplacé cette perspective d'enregistrement par une perspective subjective située plus proche du point de vue de l'arbitre en match. Des entretiens en re situ subjectif, utilisant ce nouveau support, ont donc été menés afin de favoriser un effort d'explicitation de l'arbitre au plus près de ce qu'il a vécu en tant qu'acteur en match. Sept arbitres expérimentés officiant dans le championnat Fédérale 1 de la FFR ont participé à cette recherche au cours de matchs officiels pendant les saisons 2000/01 et 2001/02. Chacun a été sollicité lors d'un match. Les matériaux construits à chaque occasion ont été de trois types : (1) un journal de bord du chercheur, (2) deux enregistrements audio et vidéo du match : un à partir des tribunes, l'autre à partir d'une caméra embarquée sur l'arbitre, (3) les verbalisations de l'arbitre au cours d'un entretien en re situ subjectif mené après le match à partir de l'enregistrement de la caméra embarquée. Ces matériaux ont ensuite été traités en écho, afin de construire des descriptions phénoménales rendant compte d'un acte de jugement, tant dans ses accomplissements corporels effectifs que dans l'expérience construite par l'arbitre a posteriori dans son effort d'explicitation. Les résultats montrent qu'il est possible de rendre compte des actes de jugement de l'arbitre en phase active de jeu à travers trois manières d'être de l'arbitre à sa situation : (1) un jugement-en-acte, moment judicatoire, qui se construit progressivement dans la dynamique du rapport de l'arbitre aux actes des joueurs qui se déroulent, (2) un jugement de fait qui repose sur un fait constaté dans une évidence perceptive où une réalité s'impose dans une certaine valence à la règle, (3) un jugement délibéré qui résulte d'une reconstruction consciente, réfléchie et documentée d'un événement fini, dans un scénario plausible. L'acte de jugement quel il soit, ne peut être confondu ni avec une réaction à une réalité à l'écart de la règle, ni avec une manière standard d'appréhender une phase de jeu donnée. Au regard, des caractères descriptif et performatif de tout acte de jugement de l'arbitre, il est possible de poser que l'arbitre co-construit le déroulement du jeu en amenant les joueurs dans son monde du rugby. Les règles du jeu, loin d'être à l'écart de cette co-construction, en sont la possibilité : dans leur formalisation, elles fondent le pouvoir de l'arbitre sur le jeu, et comme les limites du jeu de rugby, elles sont le fond commun nécessaire à la coordination de l'arbitre avec les joueurs.
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Les émotions et la théorie de Kohlberg : une autre façon d'étudier le jugement moral

Djerroud, Nadéra 10 1900 (has links) (PDF)
Le fonctionnement du jugement moral demeure controversé dans la littérature. Certaines théories affirment que, par définition, le jugement moral dépend des émotions (théorie des marqueurs somatiques de Damasio), tandis que d'autres mettent l'accent sur l'importance de la cognition, comme le fait la théorie de Kohlberg. Cette théorie du jugement moral est née dans les années 1970, alors que plusieurs fonctions humaines étaient encore définies par le postulat du constructivisme psychologique. Ce postulat met l'accent sur les fonctions cognitives et les stades pour expliquer le développement des facultés humaines. Aujourd'hui, la théorie de Kohlberg est sévèrement critiquée par ceux qui adoptent une position sentimentaliste, mettant l'accent sur les émotions pour expliquer le jugement moral. Pourtant, la théorie de Kohlberg a subi plusieurs modifications dont les critiques ne tiennent pas compte. Le but de cette thèse était de montrer comment la théorie de Kohlberg est à jour et permet d'étudier le jugement moral avec les émotions. Afin d'atteindre cet objectif, deux études ont été menées. La première de ces études fut une recherche théorique de type argumentatif. Elle a permis de remettre à jour la théorie de Kohlberg en s'appuyant sur les travaux de deux chercheurs, Krebs et Rest, qui se sont attaqués 1) à la conception constructiviste du cadre de la théorie (stades, cognition) et 2) à l'absence de plusieurs variables importantes dans la définition du jugement moral (personnalité, émotions). Krebs a utilisé le concept de stratégies plutôt que de stades. Selon l'auteur, ces stratégies sont des structures intuitives qui peuvent se retrouver chez les animaux, les enfants et les adultes et dont l'expression dépend du contexte écologique ou social. Rest a parlé de schèmes, structures intuitives aussi présentes à la naissance, dont l'importance pourrait varier en fonction de plusieurs composantes (notamment psychologiques). Finalement, cette étude conclut en présentant une théorie néo-kohlbergienne du jugement moral. Il est aujourd'hui possible d'utiliser cette théorie en parlant d'émotions et de fonctions cognitives. La deuxième étude visait à mesurer l'impact des émotions sur les schèmes moraux de la théorie néo-kohlbergienne et à mesurer les fonctions cognitives impliquées traditionnellement dans le jugement moral (intelligence, fonctions exécutives et théorie de l'esprit). Quatre-vingt-quatre jeunes adultes normaux (40 hommes et 44 femmes) ont écouté deux versions de dilemmes (neutre et avec ton dramatique). Les résultats ont montré que les pourcentages des schèmes préconventionnels ont diminué dans la condition avec ton dramatique. Par ailleurs, les pourcentages des schèmes postconventionnels ont diminué chez les hommes, mais ont augmenté chez les femmes dans la condition dramatique. Comme fonction cognitive, la théorie de l'esprit était corrélée positivement avec les schèmes postconventionnels. En outre, plus les sujets étaient flexibles, plus ils obtenaient des pourcentages des schèmes conventionnels dans la condition dramatique. Ces résultats confirment le rôle des émotions et des fonctions cognitives pour expliquer le jugement moral et montrent des différences de ce jugement entre les sexes. En conclusion, cette thèse a montré qu'il y a la place pour les émotions dans la théorie néo-kohlbergienne, pour mieux comprendre le jugement moral. Cette thèse confirme que les émotions permettent de diminuer le pourcentage des schèmes d'intérêts personnels (préconventionnels), mais n'augmentent pas nécessairement les pourcentages des schèmes prosociaux (postconventionnels) chez tout le monde. Ce pourcentage diminue chez les hommes tandis qu'il augmente chez les femmes et les fonctions cognitives classiques contribuent partiellement à expliquer le jugement moral. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : jugement moral, théorie de Kohlberg, émotions, Haidt, fonctions cognitives, Rest, Krebs.
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CONTRIBUTION À L'ANALYSE DE LA FORMATION DU JUGEMENT DES ANALYSTES FINANCIERS SELL-SIDE

Chambost, Isabelle 04 December 2007 (has links) (PDF)
Fortement critiqués à la suite des avatars de la « nouvelle économie », les analystes financiers sell-side, salariés des sociétés de courtage, représentent néanmoins des acteurs indispensables et incontournables, tant pour les directions d'entreprise que pour les investisseurs. Cette recherche a pour vocation d'essayer de comprendre comment les analystes financiers sell-side forment leur jugement. La première partie de cette thèse montre comment les recherches antérieurement réalisées en finance ainsi qu'en comptabilité, selon l'appréhension du futur qu'elles retiennent, ont étudié ce phénomène en intégrant progressivement l'inscription sociale de l'analyste. Cette dimension sert de point de départ pour une démarche compréhensive et qualitative, fondée sur la méthode de la Grounded Theory. La seconde partie propose un modèle d'analyse de la formation du jugement en tant que pratique institutionnellement encadrée et localement ajustée. Cette recherche montre comment l'inscription de l'analyste au sein de son « champ organisationnel » le conduit à devoir prendre en compte les modes de raisonnement et à interagir cognitivement avec les autres acteurs.
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Sun-symbolism and cosmology in Michelangelo's Last Judgment

Shrimplin, Valérie. January 1900 (has links)
Ouvrage issu de : Thèse (Ph.D) : histoire de l'art : University of the Witwatersrand : Johannesburg, 1991. / Bibliogr. p. 331-360. Index.
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Une production engagée : sociologie des labels, chartes et systèmes participatifs de l'économie solidaire.

Rodet, Diane 12 November 2013 (has links) (PDF)
Cette thèse s'intéresse aux certifications avec " label ", chartes et systèmes participatifs de l'économie solidaire, ou " dispositifs de qualité ". Elle contribue à l'analyse sociologique de ces dispositifs, dans un secteur qui connaît leur multiplication et leur diversification depuis les années 1990. L'enquête repose sur des entretiens au sein de douze réseaux (commerce équitable, AMAP, SEL...), des observations, l'analyse de documents et la passation d'un questionnaire. La genèse des dispositifs met en évidence leur rôle dans la construction d'une identité collective. Leur fonctionnement soulève des enjeux démocratiques. Les représentations de la confiance et de la qualité qui les sous-tendent révèlent le positionnement des collectifs vis-à-vis de la production standard et les uns par rapport aux autres. Leurs usages économiques et identitaires s'inscrivent dans la démarche contestataire des membres les plus actifs. L'hétérogénéité entre les attentes de ces derniers et celles des autres adhérents concourt aux difficultés liées à l'instauration des dispositifs de qualité. Ceux-ci ne sont pas uniquement destinés à l'orientation des acheteurs mais également à la promotion, par des producteurs engagés, de valeurs se voulant alternatives à celles de l'économie classique.
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Substances psychoactives : politiques et responsabilité de l'État : le point de vue des Français

Bataille Camus, Julie 25 June 2013 (has links) (PDF)
La première étude porte sur les conditions de l'acceptabilité des politiques de l'Etat face aux drogues: 225 sujets tout-venant ont jugé du degré d'acceptabilité dans 28 scénarios issus de la combinaison de trois facteurs: campagnes d'information, demande intérieure en drogue, action de l'État (du laissez-faire à l'interdiction). La seconde étude porte sur les conditions de la responsabilité de l'État dans le cas d'un décès lié à la consommation de substance: 234 sujets ont jugé du degré de responsabilité dans 80 scénarios issus de la combinaison de cinq facteurs: relation consommation/maladie, temps depuis lequel la nocivité est connue, généralité du risque, consommation, action de l'État (du monopole à l'interdiction des ventes). Nos études s'appuient sur une méthode issue de la théorie fonctionnelle de la cognition (Anderson, 1981). La première étude permet d'identifier trois clusters: les régulationnistes (42%), en faveur d'une réglementation totale par l'État, les radicaux (32%), pour qui aucune des politiques n'est acceptable, les prohibitionnistes (26%), en faveur d'une interdiction totale à condition que des campagnes soient menées. La politique du laissez-faire est jugée par tous comme étant la plus inacceptable. La seconde étude fait apparaître trois clusters: un plus au centre (44%), un plus à gauche (38%), un plus à droite (17%). Celui de droite a tendance à attribuer moins de responsabilité à l'État et est plus sensible aux preuves scientifiques. Un consensus montre que l'État se dégage de toute responsabilité seulement s'il interdit totalement les ventes. Dans les autres cas, l'État est perçu comme partiellement responsable quand la santé d'un consommateur se détériore.
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Le jugement de la conscience morale dans la philosophie pratique d’Emmanuel Kant.

Corriveau, Julien 12 1900 (has links)
Le concept de conscience morale (Gewissen) est présent tout au fil du corpus kantien, bien qu’il soit moins développé que d’autres idées jugées plus fondamentales. Pourtant, l’étude de ce concept montre que, loin de se limiter à un rôle accessoire, il lie de manière importante sensibilité et intelligibilité, loi morale et devoir, ainsi qu’objectivité et subjectivité au sein de la philosophie pratique kantienne. En plus de la décrire comme un instinct, ou suivant la métaphore du tribunal, Kant dit de la conscience morale qu’elle est une forme de jugement. Toutefois, il n’est pas clair de savoir en quoi ce jugement se distingue du jugement moral de l’entendement, ni sur quoi il porte exactement. L’examen de ces questions nous conduira à dégager trois sens du jugement de la conscience morale qui nous permettront de rendre compte de la diversité des occurrences de ce thème dans les textes de Kant et de mieux situer les interprétations des différents commentateurs. / The concept of moral conscience (Gewissen) is present throughout Kant's works, even though it is not as developed as other ideas generally considered as more fundamental. However, a close examination of this concept reveals that, far from being simply instrumental, it constitutes an important link between the ideas of sensibility and indelibility, moral law and duty, and objectivity and subjectivity in Kant's practical philosophy. Apart from defining moral conscience as an instinct, or through the use of the court of justice metaphor, Kant describes conscience as a judgment. But how this type of judgment can be distinguished from the moral judgment of reason, or what it judges exactly, is not obvious. Examining these questions will lead us to highlight three meanings of the judgment of the moral conscience, allowing a more accurate understanding of the different ways Kant conceives the concept, and a way to classify the interpretations of kantian specialists. / Ce projet a été réalisé grâce à une bourse du Conseil de recherches en sciences humaines du Canada.

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