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An Essay on the blurring of art and life : les inaugurations des expositions internationales du Surréalisme à Paris (1938, 1947, 1959) en tant qu'événements précurseurs de l'art de la performance / An Essay on the blurring of art and life : the openings of the international surrealist exhibitions in Paris (1938, 1947, 1959) - pioneer events of performance art

Lehmann, Maria-Rosa 19 May 2018 (has links)
Si c’est le futurisme et le Dadaïsme qui sont mis de l’avant dans la plupart des publications sur l’histoire de ce que l’on nomme la performance, l’impact du surréalisme est encore et toujours laissé de côté. En nous appuyant sur les recherches de Roselee Goldberg et Adrian Henri, il s’agit de mettre en lumière la contribution des surréalistes à l’art dit de performance. Précisément, nous reconstruisons et analysons les évènements éphémères que les surréalistes organisent dans la foulée de l’inauguration de leurs grandes expositions internationales : l’Acte manqué mis en scène pour l’Exposition internationale du surréalisme (1938), Prière de toucher, l’objet performatif réalisé pour Le Surréalisme en 1947, puis Festin inaugural et l’Exécution du testament du Marquis de Sade, tous deux planifiés pour l’Exposition inteRnatiOnale du Surréalisme (E.R.O.S.) en 1959. Après l’étude détaillée de ces évènements, il s’agit de les mettre en parallèle avec les expérimentations des artistes se vouant à l’art de la performance des années 1960/1970. Sans affirmer que ce genre d’œuvres est surréaliste, l’objectif est de montrer que certains enjeux et questions auxquelles le groupe s’intéresse se trouvent reflétés dans l’époque de l’âge d’or de la performance. / Although Futurism and Dadaism are credited for their experiences with different forms of performance, only few art historians acknowledge Surrealism’s influence. Building on the work of RoseLee Goldberg and Adrian Henri, the purpose of this thesis is to shed light on Surrealism’s contribution to what is globally known as Performance Art. We reconstruct, study and analyze the ephemeral events organized by the surrealists for their international exhibitions that took place in Paris: the Acte manqué presented at the opening of the Exposition internationale du surréalisme (1938), Prière de toucher, a performative object created for Le Surréalisme en 1947, and Festin inaugural as well as the Exécution du testament du Marquis de Sade, both organized for the Exposition inteRnatiOnale du Surréalisme (E.R.O.S.) in 1959. After a detailed analysis of these events, we then discuss their possible links to Performance Art of the 1960s/1970s. Our aim is not to state that the experimentations of that time period are inherently surrealist, but – in order to show the importance of the surrealist ephemeral events – , we point out that some issues and questions that posed the French avant-garde group, images even, were mirrored in Performance Art of the 1960s/ 1970s.
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Le peintre Francisco Rizi (1614-1685) :relations sociales et production artistique à la Cour d’Espagne. Suivi d’un catalogue raisonné des œuvres

Lamas Delgado, Eduardo 26 March 2019 (has links) (PDF)
Le peintre Francisco Rizi (Madrid, 1614-Madrid, 1685), issu de la communauté d’artistes italiens qui gravitait autour de la Cour d’Espagne depuis la construction de l’Escorial, est l’une des figures majeures de la peinture baroque espagnole de la seconde moitié du XVIIe siècle. Cette thèse présente uné étude monographique qui étudie sa carrière et ses liens sociaux et professionnelles, étude accompagnée d'un premier catalogue raisonné de son œuvre. Malgré le fait que Francisco Rizi ait été le peintre attitré d’une Cour dont le souverain était à la tête d’une constellation d’états européens, où on était au courant des principaux courants artistiques du continent, sa vie et son œuvre ont été souvent analysés dans une approche très localiste. Par conséquent, l’image traditionnellement véhiculée a été celle d’un artiste de second rang qui n’eut guère de portée. Mais contrairement à cette idée reçue, la carrière de Francisco Rizi fut loin de se cantonner à un cadre local. Avec cette étude, on redécouvre un artiste inventeur de modèles de sculptures, d’architectures, de scènes de théâtre et même de pièces d’orfèvrerie. On révèle là un plaisir de la forme qui apparente Rizi à des artistes baroques tels que Rubens, Bernin ou Le Brun. Pourtant, dans son cas, aucun mythe ne s’était forgé. Bien au contraire, ses contributions en architecture et en sculpture lui valurent une véritable diabolisation. Dans ces domaines, l’artiste fut condamné par la critique néo-classique comme responsable de la décadence des arts en Espagne sous le règne de Charles II, mépris qui finit par déteindre sur son œuvre peinte. D’un autre côté, ses contributions pour le théâtre ne laissèrent aucune trace et tombèrent dans l’oubli. Notre contribution permet de confirmer que Rizi joua un rôle majeur dans les domaines de l’architecture décorative, dévoile tout à fait son rôle dans la conception de modèles pour la sculpture et permet de détailler pour la première fois les modalités de la confection des décors de théâtre. De toutes ces interventions, restées pour la plupart inédites, s’offre ici un premier corpus.Par ailleurs, cette thèse a mis l’accent sur les relations professionnelles du peintre et sur ses modes de production, sans pour autant négliger l’étude stylistique de sa production picturale et de ses dessins, ainsi que des rares gravures d’après ses compositions. Le catalogue de ses œuvres, expurgés de celles indûment attribuées au maître et augmenté de nombreux inédits, permet désormais une perception plus juste de l’art de Rizi. Toutefois, il faut reconnaître qu’à ce stade de la connaissance de l’artiste, ce catalogue ne peut inclure que les œuvres dûment attestées par la documentation connue à ce jour, ainsi que celles présentant sans équivoque le style typique du peintre. Des futures recherches devront élargir ce catalogue aux éventuels dessins présentant des ébauches et des études partielles encore non identifiés, ainsi qu’aux œuvres réalisées en collaboration avec d’autres artistes. Par ailleurs, les résultats de cette recherche permettront de faire surgir très certainement, on l’espère, des œuvres nouvelles à présent dispersées et inédites. Certains pans de l’œuvre de Rizi ont été redécouverts. C’est le cas notamment de son œuvre comme architecte et comme décorateur de fêtes théâtrales de la cour. Mais il est ainsi également de sa production de peintre murale, dont on connaît mieux à présent ses contributions et son organisation. Ces aspects permettent de nuancer la vision qu’on avait jusqu’à présent de l’artiste, dévoilant un rôle de premier ordre sur la scène artistique à Madrid pendant la seconde moitié du XVIIe siècle, presque incontournable dans les chantiers les plus prestigieux de la Cour. Rizi ne fut pas un peintre exclusivement religieux, comme les œuvres aujourd’hui conservées ont pu le suggérer. Longtemps resté méconnu et incompris, Rizi ne réussit pas seulement à devenir l’un des artistes les plus importants de son temps à travers une carrière brillante comme peintre de cour, mais également dans l’influence qu’il a eu sur son atelier, sur ses collègues et sur les artistes plus jeunes.Notre étude sur Rizi, cependant, ne s’est pas cantonnée à la confection du catalogue raisonné. Elle a également mis l’accent sur la relecture et l’analyse des sources positives et une étude prosopographique de l’entourage de l’artiste (dans la mesure où l’état de la question nous l’a permis). L’étude du milieu d’origine a permis de mettre en lumière que Rizi fut un héritier. Certes, il était le dernier représentant de toute une tradition artistique et le dernier bénéficiaire d’une stratégie du groupe socio-professionnel de l’ancienne colonie d’artistes de l’Escorial. Son père, le peintre Antonio Ricci, bien que peintre de second, voir troisième rang, abritait des grandes ambitions pour sa propre carrière et pour celle de ses fils. Ses relations dans les milieux des courtisans, notamment parmi les Italiens, ses affaires et ses projets variés à Madrid invitent à le confirmer. Dans le cadre d’une stratégie certainement bien réfléchie, Antonio plaça ses enfants chez deux maîtres peintres très en vue à la Cour, tous les deux d’origine et éducation italiennes. Juan Andrés a été placé chez le Père Mayno, maître de dessin du Roi, et Francisco chez Carducho, peintre du Roi à la tête de l’atelier le plus important de Madrid. Fortuné et influent, peintre érudit par excellence, Carducho était haut placé au sein de l’élite artistique et littéraire. Il transmit à Francisco l’héritage de la tradition académique du peintre inventeur cristallisé dans la Péninsule autour du chantier de l’Escorial, qui y joua un rôle comparable de celui de Fontainebleau dans le contexte français, et de l’éphémère Academia de San Lucas à Madrid. Mais l’héritage légué à Francisco par Antonio Ricci et par Vicente Carducho ne fut pas seulement d’ordre théorique et artistique. Il consista également en des relations socio-professionnelles dans le milieu des peintres, sculpteurs et architectes qui se révélèrent capitales dans la carrière de Rizi, mais aussi des relations dans les échelons de l’administration du Palais et dans les cercles ecclésiastiques et aristocratiques.La mort de son père et de Carducho en 1635 et 1638, alors que Rizi (à ce que l’on croit) n’avait pas encore démarré sa carrière en tant que maître indépendant, ne lui fit pas de tort ;bien au contraire. Ceci l’obligea, probablement, à offrir ses services dans d’autres ateliers, favorisant aussi, vraisemblablement, cette inventivité et cette capacité d’adaptation que nous avons signalées comme caractéristiques de l’œuvre de Rizi, caractéristiques qu’une formation dans un seul atelier dirigé par un seul et même maître aurait pu étouffer, éventuellement. Ses expériences dans des ateliers en compagnie de Pedro de la Torre, Francisco Fernández, Núñez del Valle et Antonio de Pereda (et peut-être aussi Cosimo Lotti) ont dû donner à Rizi l’opportunité d’enrichir et contraster son enseignement auprès de son père et de Carducho, et de ne retenir que ce qui pouvait lui être utile dans la suite de sa carrière. Mais surtout, Rizi put compléter son savoir-faire en matière d’organisation et de production à plusieurs mains, un aspect dans lequel il passera maître. Les dessins et la confection de modèles pour des tiers constituent un pan essentiel de sa production, négligé auparavant, et que notre étude a permis de mettre en lumière.Les relations tissées grâce à ses origines ouvrirent à Rizi les portes pour recevoir des commandes au Palais, et l’introduire dans les cercles du cardinal Moscoso et l’inquisiteur général Arce y Reinoso et du premier ministre Don Luis de Haro. Ainsi, les deux prélats devinrent ses protecteurs au début de sa carrière palatine. Il devint leur « créature », selon le langage de la cour. En effet, Rizi sut tirer profit des bouleversements produits à la Cour d’Espagne pendant les années qui suivirent la chute du ministre Olivares, à la différence d’un Alonso Cano ou d’un Antonio de Pereda. Dès la fin de 1648, à partir du mariage de Philippe IV avec Marianne d’Autriche, les commandes du Palais se succéderont, avec le seul malentendu produit pendant la Régence, en raison de la crise politique vécue alors. Sur la fin de sa carrière, les soutiens du cardinal Aragón, du prince Juan José d’Autriche et du jeune Charles II viendront confirmer sa place de choix à la Cour, et des commandes de prestige se suivirent.Les sources auxquelles Rizi s’est abreuvé dans son art sont multiples et variées. Il a hérité de son maître Carducho la maîtrise de la grande composition dans les tableaux d’histoire, à la laquelle il a su ensuite ajouter le dynamisme et la théâtralité du rubénisme. Ensuite et en parallèle, il s’est essayé dans l’introduction de la mode néo-vénitienne en Espagne, prenant principalement les modèles du Tintoret comme référence, pour devenir ensuite l’initiateur de l’intégration des nouveautés de Pietro de Cortona et de Carlo Maratti provenant de Rome, celles de Agostino Mitelli et de Michelangelo Colonna de Bologne et celles de Luca Giordano de Naples. Ces influences le situèrent à l’avant-garde de la production de grandes décorations et de tableaux d’autel monumentaux et lui permirent d’exercer une influence durable sur les peintres plus jeunes, même après sa mort. On en jugera à travers l’imposant Martyre de saint Gênes d’Arles et du décor de San Antonio de los Alemanes, qui s’inscrivent au rang de ses chefs-d’œuvre. L’œuvre de Rizi représente à lui seul l’évolution de la peinture d’histoire baroque à la cour d’Espagne, passant du style sage et monumental héritier de l’école toscane, au rubénisme plus mouvementé, au néo-vénétianisme plus chatoyant et décoratif, aux effets de la quadratura pour finir sur les grandes compositions peuplées de personnages et sagement agencées qui triompheront à la fin du siècle et prépareront l’arrivée à Madrid de Giordano. L’ardeur avec lequel ses collègues, ses élèves et ses suiveurs ont assimilé et perpétué l’une ou l’autre de ces tendances, voire plusieurs, ont contribué à conférer à la peinture du Baroque plein réalisée à Madrid l’homogénéité et la haute qualité qui la caractérisent. / Doctorat en Histoire, art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Transferts culturels et historiographie de l'art : le cas de Nikolaus Pevsner (1902-1983) / Nikolaus Pevsner, ‘Bringer of Riches’ : cultural Transfers in Art Historiography

Oléron-Evans, Émilie 05 December 2014 (has links)
Cette thèse vise à démontrer que les travaux de l’historien d’art et d’architecture britannique d’origine allemande Nikolaus Pevsner (1902-1983) ont joué un rôle majeur dans l’accession de l’histoire de l’art et de l’architecture au statut de discipline universitaire au Royaume-Uni à partir des années 1930-1940. L’étude de ce cas particulier et des constellations et réseaux qui entrent en jeu durant son émigration vers l’Angleterre en 1933 apportent un éclairage différent sur le champ de l’histoire des migrants intellectuels en rappelant le conflit latent entre l’idéal d’universalisme de la science et les vecteurs socio- culturels nationaux qui président aux déplacements transnationaux.Notre recherche se concentre sur les transferts méthodologiques, institutionnels et historiographiques qui ont fait de la carrière de Pevsner un moment-clé de l’historiographie de l’art, de l’architecture et du design et aborde les domaines suivants : la question du Mouvement moderne, l’utilisation du concept d’espace dans le discours architectural d’après le principe de l’empathie (Einfühlung) ou encore dans l’exploration, à travers la méthodologie de la géographie de l’art, de la production artistique et du patrimoine architectural du pays d’accueil de Pevsner.Il s’agit de montrer que l’oeuvre de médiateur d’un historien d’art entre sa matière et la société se déploie aussi hors du seul cadre universitaire. Cette thèse expose comment Pevsner se fait une place dans la culture britannique en tant qu’éditeur, homme de radio, critique d’art, autant d’activités qui se basent sur des modèles allemands, mais qui font progressivement de l’historien déplacé, interprète de sa culture d’accueil, une véritable institution culturelle. / This thesis demonstrates how the works of art and architectural historian Nikolaus Pevsner (1902-1983), a British scholar of German origin, played a major part in the accession of the history of art and architecture to the status of an academic discipline in the United Kingdom in the 1930s and 40s. This case study, along with the various networks that played a part in his displacement from Germany to Britain in 1933, sheds a different light on current research on the history of émigré intellectuals, as it seeks to show that there is a latent conflict between the ideal of universalism in science and the national socio-cultural vectors at play in transnational displacements.Our research focuses on methodological, institutional and historiographical transfers that made Pevsner’s career into a milestone in the historiography of art, architecture and design. It tackles the main aspects of his contribution, from the issue of the Modern movement, through the use of the concept of space in the architectural discourse based on the principle of empathy (Einfühlung), to the exploration of the artistic production and the architectural heritage of Pevsner’s country of adoption.Our contention is that the role of an art historian as a mediator between his subject and society goes beyond the realm of academia. This thesis shows how Pevsner found a place in British culture as editor, broadcaster and art critic, while basing these activities on German models, and how these activities gradually transformed an interpreter of culture into a cultural institution.
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Le personnage vu de dos au cinéma et dans les autres arts ˸ esthétique, migrations et imaginaires d’une histoire à revers / The figure seen from behind in cinema and other arts ˸ aesthetic, migrations, and imaginings of a reverse narrative

Croteau, Stéphanie 03 May 2019 (has links)
Ce doctorat porte sur un motif visuel qui circule entre les arts : le personnage vu de dos. Par l’entremise de notions que j’ai approfondies ou développées – l’apparaître, l’inévidence, la dorsalité –, j’interroge comment cette posture fait naître une manière d’habiter l’image et le monde, et j’analyse ses implications dans les pratiques artistiques comme dans le champ philosophique et social. Pour mener cette enquête, je me suis inspirée d’un geste d’Aby Warburg, celui de la fabrication d’atlas d’images. La fabrication d’atlas m’a permis de faire apparaître trois modalités expressives du dos qui traversent l’histoire de l’art et du cinéma, et qui se retrouvent au sein de mes planches. J’aborde ces questions dans le premier chapitre de la thèse. Le deuxième chapitre, intitulé « Repli(s) », porte sur ma première planche d’images, consacrée aux personnages de dos qui se dérobent et s’esquivent, exprimant un retrait de la signifiance expressive. Le troisième chapitre aborde ma deuxième planche d’images, dans laquelle je cherche à faire voir une forme d’absorbement mené par le personnage de dos depuis l’âge romantique. Le quatrième et dernier chapitre, intitulé « Exclusion(s) », traite d’une violence faite au sujet. En me penchant sur la représentation des Afro-Américains dans les films de plantation états-uniens, j’explore comment une forme d’exclusion esthétique, sociale et politique s’est fabriquée par la posture de dos. Que nous disent les personnages repliés, absorbés ou exclus en regard de la frontalité qui prévaut encore aujourd’hui ? Les personnages vus de dos présentés dans ma thèse introduisent une dorsalité des représentations et de l’existence. / The research topic addressed in this paper is a visual motif circulating widely among the arts: the figure seen from behind. Through notions that I have been led to further or develop – appearance, inevidence, dorsality, I examine how this posture depicts a way of inhabiting the image and its world, and analyze its implications in artistic practices as well as in the philosophical and social field. In order to carry out this survey, I was inspired by a gesture of Aby Warburg, the creation of atlases of images. Atlas making allowed me to reveal three expressive modalities of the back running through the history of art and cinema, and which are also found within my boards. I address these questions in the first chapter of the thesis. The second chapter, titled "Repli (s)", focuses on my first picture board, devoted to figures from behind who avoid and sneak away, conveying a withdrawal of expressive meaning. The third chapter addresses my second picture board, in which I sought to depict a form of absorption led by the figure from behind since the Romantic Age.The fourth and last chapter, entitled "Exclusion (s)", examine a violence committed upon the subject. By focusing on the portrayal of African-Americans in American plantation films, I try to show how a form of aesthetic, social, and political exclusion has been created by the representation from behind. What are withdrawn, absorbed or excluded characters telling us in view of the frontality that still prevail today? The figures seen from behind, as presented in my thesis, introduce a dorsality of representations and of existence.
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Histoire des instruments et représentations de la musique en France : une perspective disciplinaire dans le contexte international

Gétreau, Florence 13 May 2006 (has links) (PDF)
L'ORGANOLOGIE est l'étude des instruments de musique. Constituant une branche de la musicologie, elle entretient un lien consubstantiel avec les sources musicales et fait appel à différents champs disciplinaires parmi lesquels on peut mentionner la connaissance technique des instruments, la facture instrumentale, l'acoustique, l'histoire des techniques, l'étude des traités théoriques mais aussi l'histoire des collections et de la restauration. Elle s'intéresse aussi à la classification des instruments, à leur origine, leur évolution, leurs variantes mais aussi à leur usage musical et leur symbolique.<br /> Ce mémoire pour l'habilitation est introduit par une présentation historiographique de cette branche de la musicologie. En effet, si les grands traités théoriques français de Marin Mersenne, de Pierre Trichet, de Diderot et d'Alembert notamment, constituent le socle de connaissances de tout organologue, l'étude des instruments de musique en tant que discipline apparaît en France au XIXe siècle avec les travaux de F.J. Fétis. Des figures comme celles de Pontécoulant, de Constant Pierre, d'André Schaeffner l'ont ensuite fortement structurée. C'est donc dans la perspective de ces pionniers et de leurs plus lointains successeurs appartenant souvent au cercle des disciples de Norbert Dufourcq, qu'est placée la réflexion. L'établissement d'une bibliographie des travaux portant sur la France montre la difficulté des chercheurs français, à quelques exceptions près, à s'affirmer dans le contexte international au moment où se mettent en place les tribunes spécialisées, tel le Galpin Society Journal.<br /> Etudier les caractéristiques organologiques des instruments dans une perspective analytique et descriptive (catalogues), mais aussi interprétative (histoire du goût, évolution des sensibilités), reconstituer l'œuvre de facteurs ayant travaillé en France, notamment aux XVIIe et XVIIIe siècles (monographies), éclairer le contexte social et statutaire du métier de facteur d'instruments, contribuer à l'histoire des collections d'instruments en France, et aussi à l'histoire de la conservation et de la restauration, voilà autant d'axes développés dans ce bilan de travaux personnels et collectifs : ils ont été approfondis lors de colloques internationaux et en créant une revue spécialisée française, Musique-Images-Instruments, soutenue par le Ministère de la Culture et le CNRS.<br /> <br />L'ICONOGRAPHIE musicale constitue le deuxième champ disciplinaire présenté dans ce travail. Centrée sur l'étude des représentations de la musique dans les arts visuels en Occident moderne, elle ne concerne pas que l'évolution de l'instrumentarium à travers les images qui en ont été données mais aussi la pratique de la danse et des arts du spectacle.<br />Si les pionniers de cette discipline au XIXe siècle en France ont consacré leurs travaux au Moyen Age, l'intérêt pour les œuvres du musée du Louvre, pour les portraits de musiciens, pour l'inspiration musicale de certains peintres, se développe progressivement au début du XXe siècle. La figure d'Albert Pomme de Mirimonde (dont les publications s'étendent de 1960 à 1984) est centrale tant il a exploré de thématiques et de collections françaises. Le bilan des travaux français, préparé dans le cadre de ce mémoire, permet de souligner l'intérêt des chercheurs pour certains sujets de prédilection parmi lesquels par exemple les œuvres de Watteau ou de Fantin-Latour.<br />Que ce soit dans des travaux personnels ou collectifs, nous avons développé au cours des vingt dernières années des thématiques mettant en évidence l'évolution de pratiques et de goûts musicaux particuliers : la mode des instruments champêtres (musettes, vielles à roue, tambourins-bourdons), la signification sociale de la pratique du luth, de la viole et du clavecin. Des portraits de musiciens de premier plan ou moins célèbres ont été analysés, voire identifiés. L'évolution de certains instruments, sur la base des sources visuelles conjuguées aux sources d'archives et musicales, a pu être mise en lumière (notamment l'émergence du cor d'orchestre en France au XVIIIe siècle ou l'évolution des archets). L'encadrement de travaux collectifs (inventaires systématiques des tableaux musicaux du Louvre ; publications d'études régionales) a pu se développer dans des catalogues d'exposition et dans la revue Musique-Images-Instruments dont les 8 volumes déjà parus ont été ouverts à des chercheurs chevronnés et des étudiants avancés. Celle-ci a contribué à une collaboration disciplinaire mêlant travaux d'organologie et d'iconographie musicale et replaçant la contribution des chercheurs français dans un contexte international.
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Saberes y aprendizajes en la construcción de la identidad y la subjetividad de una educadora de museos: El caso del proyecto “Cartografiem-nos” en el museo Es Baluard

Amengual Quevedo, Irene 03 May 2012 (has links)
Esta tesis es una investigación narrativa sobre la construcción de mis saberes y aprendizajes como educadora en Es Baluard Museu d’Art Modern i Contemporani de Palma. Después de una necesaria introducción al marco general dentro del cual se desarrolla este estudio, en la que analizo tanto el museo como la función del departamento educativo dentro del mismo, paso a abordar el escenario concreto donde se centra este trabajo: “Cartografiem-nos”. Éste es un proyecto educativo para trabajar a largo plazo con escuelas, que iniciamos el curso 2006-07, y que ha tenido continuidad hasta el presente, con diversas variaciones. Las experiencias a las que este programa ha dado lugar me han permitido estudiar mi posición como educadora desde lo conflictivo y lo paradójico, dando lugar a una narrativa de la educación en museos que trasciende los discursos fundacionales y hegemónicos al uso, y que se centra en las dificultades de llevar a cabo pedagogías radicales en contextos situados. El objetivo de la presente investigación no es ofrecer recetas pedagógicas, sino reflexionar y compartir la labor que desarrollo junto con mis compañeros en el departamento educativo, con la esperanza de activar resonancias en el lector, que le ayuden a pensar sobre su propia práctica educativa. / This thesis is a narrative research that deals with the building of my knowledge(s) and learning(s) as a gallery educator at Es Baluard Museu d’Art Modern i Contemporani de Palma. After an introduction to the general context that frames this study, in which I analyse both the museum as a whole and the education department’s function within it, I describe the setting in which this work focuses: “Cartografiem-nos”. This is a long term educational project designed to work with schools. The program was initiated in 2006-07 and continues to the present with some variations. The experiences that “Cartografiem-nos” has generated have allowed me to study my own position as a gallery educator from its complexities and paradoxes, creating a narrative about gallery education that transcends foundational and hegemonic discourses, and that focuses on the difficulties of undertaking radical pedagogies on situated contexts. The aim of this research is not to offer educational prescriptions, but to share and reflect on the work I undertake with my colleagues within the education department. I hope that this thesis will activate resonances in the reader, which might help him or her to think about their own educational practice.
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La escultura urbana como nexo de convivencia: Identidad y reflejo del lugar en el área del Vallès

Andrino Muñoz, Miguel 15 October 2012 (has links)
Este presente estudio se basa fundamentalmente en el análisis, revisión y catalogación de la obra escultórica situada en los espacios públicos de la comarca del Vallès (Barcelona), desde sus orígenes hasta la más reciente actualidad; y con gran interés en lo que se refiere a la escultura contemporánea en el espacio público. Es por tanto, una apuesta interesante por ser un tema candente, poco estudiado en el contexto de la escultura pública en el espacio urbano. / As a whole, this cotent´s research refers to that wide and diversified artistic and cultural patrimony of the Vallès regions, Barcelona-Spain; a great unknown. This present study is based on the analysis, review and cataloguing of the sculptural work located on Vallès public spaces, from its origins to the present time; and it has been developed with a growing interest in the field of contemporary sculpture in public spaces. It is because of this that the present project is considered a intriguing bet for being a burning issue, there has been very little study done on the subject of public sculpture in urban spaces.
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Études des enjeux de la représentation de l'artiste moderne au cinéma à l'occasion d'une analyse du film de Peter Watkins sur le peintre Edvard Munch

Doré Lemonde, Virginie January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal / Pour respecter les droits d'auteur, la version électronique de cette thèse ou ce mémoire a été dépouillée, le cas échéant, de ses documents visuels et audio-visuels. La version intégrale de la thèse ou du mémoire a été déposée au Service de la gestion des documents et des archives de l'Université de Montréal.
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Poétique de la recherche : parcours, rencontres et décloisonnements dans le processus créateur

Germain, Myriam January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal / Pour respecter les droits d'auteur, la version électronique de cette thèse ou ce mémoire a été dépouillée, le cas échéant, de ses documents visuels et audio-visuels. La version intégrale de la thèse ou du mémoire a été déposée au Service de la gestion des documents et des archives de l'Université de Montréal.
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L'influence des médiations discursives et visuelles du bioart sur la constitution, le fonctionnement et la réception des oeuvres

Bugnicourt, Flore 14 January 2013 (has links) (PDF)
Comment expliquer la présence invasive des documents encadrant la circulation du bioart et leur influence sur la constitution, le fonctionnement et la réception des œuvres, alors que ce courant partage avec les arts vivants ou le body art une dimension live, incarnée et performative qui impliquerait une réception directe et non médiate de la part de l'audience ? Car si la documentation semble servir à compenser la rareté des expositions de bioart en assurant aux œuvres une visibilité médiatique, elle paraît aussi nécessaire sur leurs lieux d'accrochage pour garantir l'efficacité de leur réception directe, en paramétrant l'expérience sensible éprouvée par l'audience. En effet, d'abord produite par les artistes puis reprise par divers commentateurs, la documentation discursive et visuelle du bioart se compose d'une variété de déclarations, d'entrevues, de commentaires et de discours théoriques accompagnés d'illustrations des œuvres qui sont publiées dans les catalogues d'expositions, les revues spécialisées, la presse ou bien encore sur les sites Internet des artistes. Ainsi, si, à travers leurs récits, les artistes trouvent l'occasion d'en dire plus sur leurs créations, en dévoilant leurs recettes de fabrication et leurs démarches, les intentions qui les poussent à s'approprier les biotechnologies constituent l'argument principal prélevé par les discours d'experts qui visent à interpréter leurs sens au-delà de leurs qualités formelles, en valorisant leurs significations symboliques. Les images produites par les artistes sur leur travail illustrent aussi cette volonté de rattacher l'œuvre bioartistique à un sens caché. Pourtant, malgré la présence manifeste de ce réseau de significations véhiculé par la documentation autour des œuvres, c'est en fonction de leurs propriétés formelles intrinsèques que certains experts défendent l'intérêt d'en faire la perception sensible. En l'occurrence, selon le commissaire Jens Hauser (2008), le bioart devrait être expérimenté sur un mode phénoménologique de " co-corporéité " parce qu'il va " au-delà de la représentation " pour produire des " effets de présence " à travers la mise en scène performative de " bioartefacts " (Andrieu, 2008). Mais l'auteur ajoute que l'efficacité de cette expérience "co-corporelle" repose néanmoins sur une médiation verbale "liminale" placée entre le bioartefact et le spectateur pour l'informer des processus sous-jacents et imperceptibles que met en œuvre l'artiste. Du coup, bien que le bioart soit valorisé pour l'expérience esthétique inédite procurée par sa dimension biofactice, il paraîtrait que sans l'aide des documents, ses prestations resteraient sans effet sur l'audience. En partant de l'hypothèse qu'il existe un lien de dépendance entre les prestations bioartistiques et leur documentation pour structurer et garantir ainsi l'efficacité de leur réception comme œuvres d'art, cette thèse explore la dynamique qui s'instaure entre les médiations langagières et visuelles du bioart et les œuvres auxquelles elles réfèrent à travers des approches médiatiques et empiriques. Les résultats montreront que malgré sa sortie du paradigme mimétique et le processus de " rematérialisation " qu'il engage dans l'histoire de l'art (Hauser, 2008), le bioart détient un fonctionnement esthétique proche de celui de l'art dématérialisé parce que l'expérience qu'il génère ne dépend pas directement des propriétés esthétiques intrinsèques des prestations mais du réseau extrinsèque de significations qui leurs sont attribuées et par l'intermédiaire desquelles leurs compositions tangibles et symboliques en tant qu'œuvres d'art sont dévoilées au spectateur. Le fait que les prestations bioartistiques aient besoin du document pour véhiculer leur principe d'intelligibilité à l'audience remet donc en cause leur autonomie en tant qu'œuvres dotées de propriétés esthétiques intrinsèques et matérielles, et ébranle la croyance qui privilégie l'expérience phénoménologique de cette forme d'art.

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