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Un juriste républicain, Emile Acollas : une "refondation" du droit et de la famille / A republicain jurist, Emile Accolas : a "rethinking" of law and family

Granjard, Benoit 17 December 2011 (has links)
Emile Acollas (1826-1891), brillant juriste républicain spécialiste des questions de droit civil, est une figure mal connue du monde juridique. Son combat s’inscrit dans la lutte radicale contre le Second Empire et la codification napoléonienne. Homme de convictions juridiques, ce professeur libre enseigne dans ses ouvrages critiques sa conception de la République qu’il veut gouvernée par le Droit et la Liberté. Son ambition d’instituer et de pérenniser la République le conduit à initier la refondation de l’ordre juridique. Une formule nouvelle permettra de mener à bien ce projet, « l’idéal démocratique ». Elle renferme l’héritage des principes de 1789 résumés dans la théorie de l’autonomie de l’individu. Régissant toute la « science politique », cette valeur suprême guidera donc la refonte du Droit. Dans ce processus de changement, la priorité doit être donnée à la famille car elle est l’assise même de la société, la pierre angulaire de l’ordre nouveau. C’est animé par son « Idée du Droit », qu’Acollas conceptualise l’avènement d’un droit familial républicain garant de l’individu et de la morale. Sa philosophie naturaliste de la liberté contredit le droit civil paternaliste de l’époque dicté par le Code Napoléon. Ses analyses juridiques sont pédagogiques et décèlent les lacunes existantes dans le droit du mariage et de la filiation. L’évolution du droit de la famille consacrera, indirectement, les solutions refondatrices du civiliste. Les tous récents aboutissements législatifs semblent même consacrer ce que fut son plaidoyer pour l’égalité / Emile Acollas (1826-1891), brilliant scholar of law, is a figure whose work demands to be discovered in the judicial world. As a civil rights specialist, he took part in the radical movement and fight against the Second Empire and the Napoleonic Code. He was a man of judicial convictions: throughout his work, he exposes his concept of a Republic that he believes should be governed by Law and Liberty.Acollas’ ambition to institutionalize and perpetuate the Republic leads him to initiate a rethinking of the judicial order. His « democratic ideal » becomes the new order that will serve to carry out this reform. It encompasses the heritage of the principles of 1789 summarized in the theory of the autonomy of the individual. It is this supreme value that will thus guide the revision of Law. In this process of change, priority is to be given to the family as the foundation of society and the cornerstone of the new order. Motivated by his « Idea of Law », Acollas creates this concept of Republican Family Law as a guardian of the individual and of ethics. His naturalistic philosophy of liberty contradicts the paternalistic civil law of the times dictated by the Napoleonic Code. His judicial analyses are pedagogical and bring out the existing gaps in the laws governing marriage and filiation. The evolution of Family Law will consecrate, indirectly, the reforms proposed by this civil rights advocate. The very latest legislative breakthroughs seem to consecrate his plea for equality
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L’homoparentalité au masculin : entre différence et distinction

O'Keefe, Karolanne 09 1900 (has links)
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L’adoption internationale chez les célébrités : images et société

Deschênes, Mérédith 03 1900 (has links)
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Les causes sociales de la difficulté d’être dans "Une vie", "Pierre et Jean", "Mont-Oriol", "Fort comme la mort" de Guy de Maupassant et dans "Crime et châtiment", "L’idiot" de Fédor Dostoïevski

Figuiere, Natalia 30 March 2009 (has links)
Pour un lecteur français, familiarisé avec l’écriture de Maupassant, qui étudie des oeuvres de Dostoïevski, une constatation s’impose : des similitudes chez les deux écrivains sont difficiles à percevoir et à préciser à la première lecture, mais en comparant en profondeur les deux auteurs, leurs correspondances prennent de plus en plus de relief. Il faut remarquer que peu d’écrivains ont présenté des héros aussi complexes et aussi étranges que ceux de Dostoïevski. Ceux de Maupassant n’ont pas le relief de ces figures dostoïevskiennes ; il ne peut être question de les mesurer les uns aux autres. Nous porterons seulement notre attention sur les affinités qu’ils peuvent avoir. Une étude comparative entre Fédor Dostoïevski et Guy de Maupassant devient possible à un tout autre niveau : une atmosphère « fiévreuse », une vie d’une intensité qui sort de l’ordinaire, règnent dans le monde qu’ils ont créé. C’est ce monde qui a attiré toute notre attention pour la présente analyse. On pourrait trouver les correspondances provoquées par des « tendances » générales de leur siècle mais aussi par l’atmosphère dans laquelle ils vivaient. L’auteur slave et l’écrivain français se rapprochent par leur existence pétrie de souffrances, par les convictions qu’ils défendaient au milieu de leurs contemporains, et par les difficultés tragiques, dans lesquelles ils se débattaient sans relâche. Un autre point de « rencontre » unit nos deux auteurs : tous les deux se distinguent des écrivains qui leur sont contemporains, réalistes et naturalistes. Dostoïevski et Maupassant ne s’attachent pas à la laideur de la vie mais ils préfèrent pénétrer dans ses profondeurs et éclairer ses mystères. Ils sont psychologues et les études qu’ils nous ont laissé n’ont pas seulement une valeur esthétique, mais aussi une valeur d’observation humaine. Le thème de « la machine sociale », présent dans Une Vie, Mont-Oriol, Pierre et Jean, Fort comme la mort et Crime et châtiment, L’Idiot, comme dans la plupart des grands thèmes de la littérature, n’est pas nouveau. Mais à l’époque de nos deux auteurs, le problème de « la machine sociale » qui écrase l’individu par sa « puissance infernale », connaît un essor fulgurant. A ce moment-là, il prend une voie inédite. Si, auparavant, la souffrance de l’homme était liée à des causes intérieures, maintenant, chez Guy de Maupassant et Fédor Dostoïevski, elle dépend de causes extérieures. Le « développement » psychologique de l’individu semble être lié d’une manière irrémédiable au milieu social. Les apparitions du sentiment de l’angoisse et de la difficulté d’être, sont envisageables comme dépendantes de causes sociales. Dans les romans, choisis pour notre corpus, « la machine sociale » s’accorde le droit de transgresser toutes les lois, les lois humaines et même les lois naturelles. Maupassant et Dostoïevski présentent de nombreux personnages, multipliants les occasions de mesurer l’évolution de leur dégradation inexorable, l’odieux ravage de leur existence par la société. Ne voulant pas rétablir l’individu dans la plénitude de ses droits, la société le condamne à l’isolement total. Chez les deux auteurs, on retrouve le réalisme « hallucinant » de la solitude des hommes, solitude qui semble être poussée à son paroxysme. La confrontation avec la réalité sociale fait naître dans l’âme des héros, des sentiments insoupçonnés jusque là ; ceux de l’angoisse, mélangée avec la terreur. La réalité du contexte social provoque un sentiment de peur incontrôlée qui empêche les héros d’agir en annihilant leur volonté. Maupassant et Dostoïevski, sauvent, de la souffrance, les âmes de leurs personnages, âmes qui ont traversé, à cause de « la machine sociale », les tourments de l’enfer et les tribulations du purgatoire. Les deux auteurs leur offrent une possibilité de fuite. / Or a French reader, familiar with? Writing Maupassant, who studied of? works of Dostoevsky, a finding? requires: similarities among two writers are difficult to perceive and specify the first reading, but by comparing in detail the two writers, their correspondence becoming increasingly important. It should be noted that little? Writers heroes presented as complex and strange than Dostoyevsky. N those of Maupassant? Have no relief from these figures dostoïevskiennes, not can be no question to measure each other. We will only our attention to the affinities that? they may have. A comparative study from Fyodor Dostoevsky and Guy de Maupassant is possible to a whole new level: an atmosphere "feverish," a life of? intensity leaving l? usually prevail in the world that? they created. C? Is this world that has attracted our attention to this analysis. We could find matches caused by "trends" General century but their also l? atmosphere in which they lived. L? Author and slave? Writer French close in their lives full of suffering, by beliefs that? they stood among their contemporaries, and by tragic difficulties in which they struggled tirelessly. A another point of "encounter" our two authors: both are distinguished writers who are their contemporaries, and realistic naturalists. Dostoyevsky and Maupassant does? Not attach to the ugliness of the life, but they prefer to enter into its depths and inform its mysteries. They are psychologists and studies that? They left us n? Have not only aesthetic, but also a value of? human observation. The theme of "The social machine," in A Life, Mont-Oriol, Pierre et Jean, Fort like death and Crime and Punishment, L? Idiot, as in most major themes of literature, do is not new. But l? Time of our two authors, the problem of "the social machine which crushes l? individual by his" infernal power, experiencing a rapid expansion. At that time, it takes a unprecedented way. If earlier, suffering from? Man was linked to causes intérieures now in Guy de Maupassant and Fyodor Dostoevsky, it depends on external causes. The development of psychological? Individual d appears to be related? an irretrievable to the social environment. The appearances of sense of? anxiety and the difficulty? be considered are as dependent on social causes. In the novels, chosen for our corpus, The "social machine" s? Grants the right to transgress all laws, human laws and the same natural laws. Maupassant and Dostoevsky are many characters, more opportunities for the measure? developments their inexorable decline, l? heinous ravage their lives by society. Not wanting to restore? Person's full rights, society condemned to? isolation. In both authors, there is realism "Amazing" in the solitude of men loneliness that seems to be pushed its climax. Confrontation with social reality is created in? Soul the heroes, hitherto unsuspected feelings and those of? anguish, mixed with terror. The reality of the social causes fear preventing uncontrolled d hero? act negating their will. Maupassant and Dostoevsky, lifesaving, the suffering, the souls of their characters, minds which have experienced because of the social machine, "the torments of? hell and tribulations of purgatory. Both authors offer a possibility of leakage.
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De l'aide au lien : des enfants adultes nous parlent de leurs parents âgés

Van Pevenage, Isabelle 05 1900 (has links)
Cette thèse s’intéresse aux parents âgés et à l’implication de leurs enfants adultes lorsque le besoin d’aide se fait sentir. Plus précisément, il s’agit ici de comprendre la signification que les enfants adultes attribuent à ce qu’ils considèrent comme un besoin d’aide de la part de leur parent âgé. Elle s’inscrit à la croisée de trois champs sociologiques : le vieillissement, les relations et solidarités familiales, les aides aux personnes âgées dépendantes. La démarche a consisté, d’une part, à repérer dans le récit que nous livrent des enfants adultes à propos de leurs parents, les significations accordées de part et d’autre à ce qui peut apparaître, ou non, comme un besoin d’aide ; d’autre part, à approfondir la réflexion sur l’évolution complexe du lien entre les parents âgés et leurs enfants, dès lors que la frontière entre ce que l’on appelle « autonomie » et « dépendance » apparaît éminemment subjective. Trois questions spécifiques sont posées. Premièrement, comment les enfants conçoivent-ils l’autonomie de leur parent ? Comment parlent-ils de cette autonomie ? Deuxièmement, en quoi les types d’aide apportés aux parents considérés comme « autonomes » diffèrent-ils de ceux apportés aux parents considérés « en perte d’autonomie » ? Troisièmement, dans quelle mesure la proximité résidentielle entre les parents âgés et leurs enfants répond-elle à un type de besoin spécifique et/ou traduit-elle un type de lien particulier entre ceux-ci ? La méthodologie privilégiée est celle de l’analyse de discours. Les résultats mettent en évidence trois éléments. Premièrement, le caractère éminemment subjectif des notions d’aide et de besoin d’aide, lorsqu’ils s’inscrivent dans une relation parent âgé / enfant adulte, en particulier dès que ce parent âgé apparaît comme étant potentiellement en perte d’autonomie. Deuxièmement, la grande plasticité de cette notion d’autonomie que l’on invoque, ou non, lorsqu’il est question d’apporter de l’aide au parent âgé : on n’aide pas forcément moins un parent considéré comme autonome qu’un autre étiqueté comme étant en perte d’autonomie. Troisièmement, l’imbrication étroite des statuts de fils/filles d’une part, et d’aidant(e), d’autre part, faisant en sorte qu’il est difficile de démêler les différents ordres de motivation qui interviennent tant dans les discours que dans les pratiques d’adultes « aidant » leur parent âgé. / This thesis studies elderly parents and the involvement of their adult children whenever help is needed. More precisely, the goal has been to understand the signification attributed, by the adult children, to what they consider to be a need of their parents. The study stands at the crossroads of three sociological fields: aging, family relationship and family solidarity, and care provided to the dependent elderly. The process consisted in extracting from the children’s discourse, the diversity of significations attributed to the sense of need, on both parts. Also, the complex evolution of the bond between the elderly parents and their children will be questioned, for it is hard to clearly distinguish autonomy from dependence. Three specific questions will be asked. Firstly, how do children perceive the autonomy of their parents? How do they express their point of view? Secondly, to what extent is the care brought to «autonomous» parents differing from that brought to parents with «decreasing autonomy»? Lastly, in what measure does residential proximity play a role; does it respond to a specific need and/or does it demonstrate a specific type of relationship? The methodology employed in this study consisted in discourse analysis. The results shed light on three elements. Firstly, the eminently subjective understandings of the notion of help/need, when having to care about elderly parents, especially when they are losing autonomy. Secondly, the great plasticity of the notion of parental autonomy, spoken or not, in the case that care need be offered to one's parents: more care is not necessarily brought to more dependent parents. Thirdly, the major implications of the double status of child and carer make it complicated to bring out the numerous motivations that intervene when a child decides to help.
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La dissolution conjugale : un regard sur le partage des avoirs

Brodeur, Jade 12 1900 (has links)
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Femmes et itinérance : trajectoires biographiques et expériences de l'hébergement d'urgence

Mondou-Labbé, Laurence 06 1900 (has links)
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La dynamique de la déviance : comparaison entre les trajectoires de vie de délinquants et de joueurs excessifs

Ouellet, Frédéric 09 1900 (has links)
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Toujours mieux à deux? : reconstruction identitaire lors de la retraite chez les femmes sans conjoint

Bogdanova, Eleonora 10 1900 (has links)
La retraite est souvent pensée à deux, et l’absence d’un conjoint comme support est souvent rapportée dans la littérature existante comme une entrave à l’adaptation positive à la transition à la retraite. Ce mémoire s’intéresse au vécu de la transition à la retraite des femmes sans conjoint, alors que la réalité de celles-ci n’est pas explorée, à notre connaissance, dans le contexte québécois actuel. Il a trois objectifs : décrire comment celles-ci vivent les impacts du départ à la retraite, identifier les facteurs qui jouent un rôle dans le vécu de cette transition, et enfin comprendre comment se réalisent leurs (re)constructions identitaires à l’arrivée de la retraite, sachant que l’identité se reconstruit tout au long du parcours de vie. C’est par le biais du récit de vie que nous cernons ces changements, mis en lumière par les trajectoires professionnelles et amoureuses de dix femmes retraitées rencontrées dans le cadre de cette étude. Malgré l’importance accordée dans la littérature au support du partenaire lors du départ à la retraite, nos résultats soulignent que ne pas être en couple n’est pas, pour la majorité, une source de difficulté lors de cette transition. À l’inverse, plusieurs femmes se considèrent heureuses lors de leur transition et dans leur quotidien en l’absence d’un conjoint. Nous constatons également un sentiment de fierté chez les participantes, sous-tendu par le fait que celles-ci se considèrent comme des femmes autonomes, capables de subvenir à leurs besoins par elles-mêmes. Il ressort finalement qu’au-delà de ce sentiment d’accomplissement, et bien que le désir de la présence d’un conjoint éventuel ne soit pas complètement écarté, ces femmes perçoivent de manière très positive cette transition sans le soutien d’un partenaire. Elles soulèvent que l’organisation de leur quotidien peut alors s’effectuer sans devoir négocier, faire des compromis ou des sacrifices, leur retraite et leur bien-être n’appartenant qu’à elles-mêmes. / Retirement is often thought of in terms of couplehood, and the absence of a spouse as a source of support is often described in the existing literature as an obstacle to a positive adjustment to the transition to retirement. This dissertation examines the experience of the transition to retirement of women without a partner, as their reality is not explored, to our knowledge, in the current Quebec context. It has three objectives: to describe how they experience the impacts of retirement, to identify the factors that play a role in the experience of this transition, and finally it aims to understand how the (re)construction of their identities is realized during their transition to retirement, knowing that our identity reconstructs throughout the life course. It is through life stories that we were able to identify these changes, more specifically through the professional and romantic trajectories of ten retired women we interviewed in this study. Despite the importance highlighted in literature that partners are an important source of support during the transition to retirement, our results emphasize that not having a partner is not, for the majority, a source of difficulty during this transition or on a daily basis. On the contrary, many women consider themselves happy with their transitions and in their daily lives in the absence of a spouse. We also note a feeling of pride amongst the participants, enabled by the fact that they consider themselves as independent, and capable of supporting themselves. Beyond this feeling of accomplishment, and despite the wish of some to engage in a potential future relationship, these women perceive very positively their transition to retirement. In the absence of a spouse, the organization of their daily lives can then be carried out without having to negotiate, make compromises or sacrifices, their plans for retirement and their well-being belonging only to themselves.
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Les solidarités familiales à l’épreuve de la migration : enquête auprès de couples de Marocains à Montréal

Dupuis, Jacinthe 05 1900 (has links)
Dans le cadre de ce mémoire, nous nous sommes penchée sur la situation des familles immigrantes originaires du Maroc. En mobilisant les notions de solidarités familiales (Pitrou, 1978; Dandurand et Ouellette, 1992), de transnationalisme (Glick Schiller et al., 1992 et 1995) ainsi que les travaux sur les liens entre réseaux sociaux et modifications des rôles conjugaux, nous avons examiné l’impact de la migration sur l’organisation du foyer selon trois aspects : (1) la dynamique interne de la famille, (2) la redéfinition des rôles conjugaux et (3) le maintien des liens familiaux malgré la distance géographique. En nous appuyant sur six entretiens semi-directifs avec des couples marocains arrivés au Québec depuis au moins deux ans, nous avons pu constater la manière dont les liens familiaux et les solidarités sont réagencés pour pallier la distance et comment les liens amicaux accèdent à un nouveau statut et prennent une nouvelle fonction dans cette recomposition. / In what follows, we take a look at the situation of immigrant families’ native from Morocco. By mobilizing notions such as ‘family solidarities’ (Pitrou, 1978; Dandurand and Ouellette, 1992), transnationalism (Glick Schiller and al., 1992 and 1995) as well as the work on existing links between social networks and conjugal roles modifications, we examine the impact of migration on three aspects: (1) the family dynamics, (2) the conjugal role redefinition and (3) the preservation of family relations in spite of the geographical distance. On the basis of 6 semi-directed interviews with Moroccan couples established in Quebec for at least two years, we noticed how the family relations and solidarities are remodelled to mitigate the distance and how friendships take a whole new function.

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