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Le parler arabe de Salt, Jordanie: phonologie, morphologie et éléments de syntaxe / Arabic dalect of Salt, Jordan: phonology, morphology and elements of syntax.

Herin, Bruno 16 June 2010 (has links)
Etude descriptive du parler arabe de Salt en Jordanie. La description couvre des questions relatives à la phonologie, morphologie et à la syntaxe. Le parler de Salt est un parler de type sédentaire, du groupe levantin (sud), proche des dialectes du Horan. Il s'agit de la première description exhaustive d'une variété jordanienne.<p><p>Descriptive study of the arabic dialect of Salt in Jordan. The study covers issues in phonology, morphology and syntax. The dialect of Salt is a sedentary variety and belongs to the southern levantine group. This is the first comprehensive description of a Jordanian variety / Doctorat en Langues et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Weneya´a – "quien habla con los cerros”. Memoria, mántica y paisaje sagrado en la Sierra Norte de Oaxaca

Davila, Caroll isabelle 07 March 2019 (has links) (PDF)
Cette recherche a eu pour but de documenter et interpréter le patrimoine culturel saa (zapotèque) des Bene Ya’a/En’ne I’ya, les habitants zapotèques de la Sierra Norte de Oaxaca, à partir des symboles transmis par les savoirs des weneya’a, les personnes “qui parlent avec les montagnes” et qui sont chargées des activités rituelles de leurs communautés.Les weneya’a donnent une signification à leur patrimoine culturel, à leurs lieux sacrés, à leur temps liturgique, à la vie et à la mort. En ce sens ils sont indispensables pour la transmission des valeurs culturelles et identitaires fondamentales à leurs communautés. Leurs savoirs, ainsi que leur langue dilla ya’a/tíza i’ya sont vecteurs de symboles qui s’inscrivent au sein d’une continuité culturelle du peuple saa.Ces symboles ont été étudiés à partir de deux volets: le premier est centré sur les sessions mantiques réalisées par les weneya’a et les discours rituels qu’ils prononcent en ces occasions en dilla ya’a/tíza i’ya, le second concerne le paysage sacré et sa représentation au sein de la mémoire culturelle. Les deux volets de la recherche sont considérés à partir d’une perspective historique et se présentent, en parallèle, avec l’analyse de documents mantiques datant du XVIIème siècle ainsi qu’avec la prospection archéologique du paysage sacré. L’ensemble du travail, la documentation, tout comme l’interprétation, est le fruit d’une collaboration étroite avec les habitants des communautés où ont été effectuées les recherches.Les activités mantiques sont étudiées à partir d’entretiens et de sessions divinatoires avec les weneya’a provenant des régions Xhon (Cajonos) et Le’ya (Ixtlán). Les entretiens ont permis aux weneyaa de décrire et d’expliquer le sens qu’ils donnent à leurs activités ainsi qu’à l’environnement qui les entoure. Les sessions documentées ont été réalisées dans la communauté d’Exhu’ni (Abejones) et portent une attention particulière sur les symboles représentés lors des lectures ainsi que les prières prononcées durant les sessions en tíza Exhu’ni (zapotèque d’Abejones). Les documents mantiques datant du XVIIème siècle ont été analysés dans le cadre d’un séminaire organisé avec des enseignants de la région, pour qui le dilla ya’a/tíza i’ya est la langue maternelle.Il a été observé que les activités des weneya’a ne se limitent pas à l’activité mantique, mais concernent également les pratiques rituelles dans les lieux sacrés de la communauté. L’histoire de ces lieux a été interprétée de manière pluridisciplinaire, en créant un point de jonction entre les prospections archéologiques et les savoirs des habitants. Pour y parvenir, la signification de ces lieux dans la mémoire culturelle a été étudiée grâce aux explications des weneya’a, les narrations, les rituels qui y sont effectués ainsi que les discours liturgiques qui les accompagnent.Les recherches qui y sont réalisées permettent de contextualiser historiquement les savoirs des weneya’a, les inscrivant dans une continuité culturelle avec les témoignages historiques et archéologiques des Bene Saa, le peuple zapotèque. De plus, elles présentent de manière manifeste leur rôle comme protecteurs de leur patrimoine. Les weneyaa portent et préservent en leur mémoire la signification des symboles de leur culture, de leur paysage sacré, de leur patrimoine matériel et immatériel. Ils sont donc indispensables pour la revitalisation culturelle et identitaire de leurs communautés. Enfin, la méthodologie appliquée pour ce travail présente une approche centrée sur les citoyens et axée sur leur engagement communautaire pour la reconstruction de leur histoire. / Doctorat en Histoire, histoire de l'art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Les minorités, l'espace et le droit : Indiens et Morisques dans la configuration territoriale de l'Empire Ibérique / Minorities, territories and law : Peruvian Indians and Moriscos in the territorial configuration of the Iberian Empire (16th century)

Ferri carreres, Natividad 30 November 2017 (has links)
Comment un monarque agit-il pour exercer son pouvoir sur deux territoires éloignés géographiquement, mais tous deux peuplés par des minorités juridiques ? Cette thèse a pour objectif de mener une étude comparative sur la manière dont la Monarchie Hispanique a exercé le contrôle politique, et notamment le contrôle de la mobilité spatiale, sur la minorité morisque du royaume de Valence et sur la minorité indienne péruvienne au cours du XVIe siècle.Notre recherche met l’accent sur l’importance du contrôle de la mobilité spatiale de ces minorités comme un moyen pour mettre en application des objectifs spécifiques au bon fonctionnement de la gouvernance de chaque territoire. De l’analyse de ces objectifs, réalisé en grande partie à partir de l’ordre juridique de l’époque, il découle que les Morisques et les Indiens ont été l’objet d’un traitement différencié, motivé par le contexte politique, social ou économique qui prévalait dans chaque espace géographique. Toutefois, notre travail met en évidence la volonté de déplacer ces minorités pour les éloigner des côtes ou les regrouper dans des villages séparés, afin de les confiner et de les isoler. Paradoxalement, nous avons également observé, à la suite de la mise en place d’un tel contrôle, l’apparition d’effets non prévus, tels que les fuites et d’autres formes de résistance. / How does a monarch exercise his power over two geographically distant territories, both populated by juridical minorities? This thesis intends to carry out a comparative study of the way in which the Hispanic Monarchy exercised political control, and in particular territorial mobility control, over the Morisco minority in the Kingdom of Valencia and the Peruvian Indian minority during the 16th century.This research will show the important role of controlling the territorial mobility of those minorities as the monarchical instrument for reaching its political, social and economic goals in each territory. The analysis of these objectives, based in large part on the legislative rulings of that era, infers that the Moriscos and the Peruvian Indians endured a differentiated control due to the political, social and economic context that prevailed in each of the territories they occupied. Nevertheless, this work reveals the will of the monarchical power in displacing and alienating these minorities from the coasts or grouping them in distant villages, in order to better confine and control them. Paradoxically, it is found that such control ends in creating “undesirable” effects, such as escapes and other forms of resistance.
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Ecrivains chinois d'expression française: typologie d'un champ littéraire transculturel

Croiset, Sophie 29 May 2012 (has links)
Dans le courant du XXe siècle, la scène littéraire de langue française s’est enrichie d’auteurs venus de Chine. Passeurs de langues, de frontières et de cultures, ils érigent, par leurs productions, des ponts singuliers illustrant les défis de la mondialisation. Du roman à la poésie en passant par le théâtre, l’objectif de notre étude est d’avancer une typologie de ce champ littéraire émergent. Englobant les vingt-quatre auteurs qui composent ce dernier, parmi lesquels François Cheng, Gao Xingjian, Dai Sijie, ou encore Ying Chen, l’analyse se fonde sur un concept-référent :la transidentité des auteurs. Par ailleurs, afin de saisir au mieux la complexité et la diversité des productions, la transdisciplinarité des approches – sociologique, littéraire et linguistique – s’avère éclairante. Par le prisme de l’identité culturelle, l’étude interne des œuvres se divise en deux volets :les représentations interculturelles et la poétique transculturelle. Dans une optique de comparaison constante entre les œuvres de chaque auteur, puis entre les différents auteurs, nous rendons compte des caractéristiques récurrentes et opérons des classifications. Ceci permet d’interroger le statut du champ au sein des littératures dites « francophones » et de soulever la question de l’étiquette. Ainsi, par le truchement des auteurs chinois, c’est le statut identitaire et théorique de tout écrivain périphérique dans l’espace francophone que nous cherchons à éclairer.<p><p>/ In the 20th century, French literary scene has been enriched by authors coming from China. Crossing languages, borders and cultures, they erected, through their productions, singular bridges that illustrate the challenges of globalization. Focused on novels, poetry, passing by theater, the purpose of this research is to advance a typology of this emerging literary field. Encompassing the twenty-four authors composing it, including François Cheng, Gao Xingjian, Dai Sijie, or Ying Chen, the study is based on a referent-concept: the authors’ transidentity. For a better understanding of complexity and diversity of productions, transdisciplinarity – sociological, literary, and linguistic approaches – is instructive. By the prism of cultural identity, the internal study of works is divided into two components: intercultural representations and transcultural (of cross-cultural) poetic. With a constant comparison between works of each author, and between the authors, we figure out recurring characteristics and operate classifications. This allows to question the status of the field in the so-called "Francophone" literature and to raise the issue of the label. Thus through Chinese authors, it is any peripheral writer theoretical status in the francophone space that we are trying to explore and enlighten. / Doctorat en Langues et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Le rôle des désignants d'événements historico-médiatiques dans la construction de l'histoire immédiate: une analyse du discours de la pensée écrite

Calabrese, Laura 26 February 2010 (has links)
Ce travail est divisé en deux grandes parties. La première explore la notion d’événement dans une perspective multidisciplinaire, à partir de l’histoire, la sociologie, l’ethnologie, la philosophie, la communication et la linguistique. Le but de ce parcours notionnel est double :tout d’abord, illustrer comment les sciences humaines évoluent (depuis les années 1950) vers une approche langagière de l’événement, et en deuxième lieu, nous doter des outils conceptuels nécessaires pour montrer que l’événement médiatique est une construction sociale dans laquelle le langage joue un rôle central. Cette construction est régulée par des routines de rédaction journalistiques, des contraintes matérielles (i. e. l’espace disponible pour rédiger des titres), des représentations et des habitus de lecture. En amont de la nomination par le média, des protocoles sociaux implicites règlent ainsi la mise en mots de l’événement. Cela explique l’énorme consensus dans la nomination d’événements à l’intérieur d’un même espace historico-géographique. <p>La réflexion théorique sur l’événement a également permis d’observer le fonctionnement singulier du discours d’information, notamment en regard du discours historique, tout spécialement à partir de leur saisie particulière du temps, à savoir, les temps courts des médias et les temps long ou mi-longs de l’histoire. Cette forme d’appréhender le temps n’est pas sans conséquences sur les modes de nomination des médias, car ils ont besoin de nommer toute occurrence jugée événementielle, souvent sans le recul nécessaire pour les intégrer dans un récit global. La pratique conduit en effet le discours de l’information à produire une grande quantité de désignants qui pourront être mémorisés par les lecteurs sans pour autant produire de véritables connaissances. Malgré cette hypertrophie, l’événement médiatique constitue un repère collectif primordial pour organiser le vécu public. En ce sens, il est à distinguer du fait divers, qui n’organise pas le temps social mais produit, au contraire, des discours répétitifs, ancrés sur des archétypes et non sur l’actualité. Dans sa fonction cathartique, le fait divers présente une mise en récit du dysfonctionnement de la société et, dans sa répétitivité, n’a pas besoin d’être mémorisé par le discours social. Comme corollaire, il produit moins de dénominations et plus de séquences narrativisées. Ainsi, un fait divers peut accéder au statut d’événement en fonction de la place que le discours d’information −et la société− lui accorde, à la fois dans l’espace public et dans la matérialité du support écrit. <p>En tant que construction sociale, l’événement médiatique n’est pas un objet discret. Non seulement il n’est pas disponible tel quel avant l’acte de nomination, mais il n’est pas immédiatement disponible et perceptible. Comme d’autres réalités sociales ou institutionnelles, les événements ont une « ontologie subjective » mais sont perçus comme objectifs. Dans ce cadre, l’instance de médiatisation est fondamentale pour donner corps à l’événement et l’ériger en objet d’intérêt public. La question qui se pose est celle de la mise en forme de l’événement en consensus avec le corps social. Si nous considérons les événements comme des faits institutionnels, il devient évident que leur mode de donation est médiatisé par le biais d’une instance socialement légitimée à laquelle on accorde cette mission :les médias. Le mécanisme de médiation qui intervient ici est la déférence :nous déférons aux journalistes la tâche d’identifier, de décrire et de nommer les événements publics. <p>L’analyse des désignants d’événements dans une perspective linguistique (sémantique et syntaxique) s’avère ainsi fondamentale pour interroger les représentations mobilisées par le média. En effet, ces séquences linguistiques, largement partagées par le corps social, sont des prêts-à-dire capables de condenser une énorme quantité d’information sur l’événement, de ses données les plus objectives (où, quand, quoi) aux plus subjectives (images, représentations) mais partagées intersubjectivement. La deuxième partie de cette thèse aborde la description de ces séquences linguistiques, dans une démarche qui va de la sémantique lexicale à la sémantique discursive. Les désignants d’événements sont envisagés sous leur forme expansée, c’est-à-dire comme des expressions définies formées à partir d’un nom événementiel, nom qui dénote un événement en langue (attentat, catastrophe, crise, etc.). Cette base lexicale sert à catégoriser l’événement −en fonction de cadres cognitifs communs−, orientant le sens et affectant les représentations des lecteurs. <p>Parmi les différentes formes, nous distinguons des expressions définies complètes (la guerre en Irak, le massacre de la place Tiananmen, les attentats du 11 septembre, l’affaire du voile) et incomplètes (la crise, la canicule, le tsunami). Ces dernières se caractérisent par la présence d’un opérateur indexical qui fait référence au moment de l’énonciation et ont donc une capacité plus faible à stocker la mémoire de l’événement. Une fois le moment discursif passé, ces expressions ont tendance à être complétées par un complément (i. e. la canicule de 2003). Les expressions définies complètes présentent, elles, une tendance à la condensation. Elles produisent ainsi des mots-événements :des toponymes et des dates en fonction événementielle (que nous appelons héméronymes), ainsi que des désignants occasionnels (Tiananmen, le 11 septembre, le voile, respectivement). Malgré l’effacement du nom événementiel présent dans la dénomination originelle (massacre, attentat, affaire), celui-ci est pour ainsi dire enregistré par l’expression restante, et sert par là à orienter le sens de l’expression. La preuve qu’un sens notionnel a été enregistré par ces expressions est qu’elles peuvent être réutilisées dans des emplois métaphoriques, pour des événements de même nature (le 11 septembre de l’Europe, un Tiananmen à l’iranienne, tsunami financier). L’approche discursive permet également de distinguer des dénominations et des désignations, moins figées et à plus forte valeur axiologique, mais qui contribuent également à la construction de l’événement. Si Mai 68 peut être catégorisé comme une révolte, une révolution ou un mouvement par la presse et par les principaux acteurs sociaux, il peut également être qualifié de coup d’épée dans l’eau ou de rupture culturelle. Les premières constituent des séquences largement partagées dont le but est de catégoriser, mémoriser et retracer l’événement, tandis que les secondes expriment surtout le point de vue d’un énonciateur ou groupe, et ont par là un contenu axiologique plus évident. <p>Nous essayons de montrer que la description linguistique est une condition nécessaire pour décrire la capacité mémorielle de ces désignants, qui ont des degrés de stabilité et de figement différents. L’établissement des différentes catégories (expressions définies complètes et incomplètes, xénismes, mots-événements accidentels, toponymes événementiels et héméronymes) permet d’étudier leur capacité mémorielle en fonction de leur morphologie. En effet, moins le désignant a de contenu lexical, plus il a de facilité à circuler dans des contextes qui ne sont pas celui d’origine. Ainsi, les toponymes et les héméronymes ont une plus grande capacité d’évocation, en raison de leur proximité avec le nom propre. Dans le discours d’information, ils fonctionnent comme des outils cognitifs qui servent à mémoriser des événements, des images et des discours sur les événements.<p><p> / Doctorat en Langues et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Poème en prose et conte poétique dans La Jeune Belgique (1881-1897) et La Wallonie (1886-1892)

Fondacaro, Giuseppe 05 September 2018 (has links) (PDF)
L’objectif principal de cette thèse a été d’expliquer les raisons du succès du poème en prose dans les revues littéraires belges du dernier quart du XIXe siècle ;en particulier, nous nous sommes penchés sur les périodiques les plus prestigieux de la période :La Jeune Belgique (1881-1897) et La Wallonie (1886-1892).La première partie du travail a été consacrée aux difficultés relatives à la délimitation du corpus en question. Sous ce nom, les auteurs de l’époque ont fait paraitre des œuvres très dissemblables et la critique académique qui s’est penchée sur la question n’est jamais parvenue à fournir une définition cohérente du genre. Nous avons mis en évidence surtout comment il n’existe aucune solution de continuité entre le poème en prose et ce que Bertrand Vibert a appelé dans ses études « le conte poétique » symboliste.La deuxième partie de la recherche s’est alors portée sur la délimitation du corpus et sur la description des formes, des thèmes et des motifs les plus récurrents. Les principaux auteurs dont nous nous sommes occupés sont Hector Chainaye (1865-1913), Charles Delchevalerie (1872-1950), O. G. Destrée (1867-1919), Jules Destrée (1863-1936), Maurice des Ombiaux (1868-1943), Arnold Goffin (1863-1934), Charles Van Lerberghe (1861-1907) et Émile Verhaeren (1855-1916). Dans la partie finale, nous avons vu pour quelles raisons ce genre a été aussi souvent pratiqué par des écrivains fraichement entrés en littérature ;accepté tant par les Parnassiens qui occupaient à l’époque le pôle dominant du champ littéraire, tant par l’avant-garde symboliste, le poème en prose apparaissait comme le choix stratégiquement le plus sûr pour parvenir à la consécration. Nous verrons que ce genre ayant déjà « fait date », ce choix n’a pas été toujours payant. / Doctorat en Langues, lettres et traductologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Beatrijs' biecht: stilistisch en semiotisch onderzoek

Draux, Roland 20 March 2006 (has links)
L’objectif de la thèse est de rassembler des arguments permettant de déterminer si la seconde partie de la légende mariale moyen-néerlandaise Beatrijs (vv. 865-1038) est originale ou plutôt l’œuvre d’un continuateur. Dans la séquence narrative dont il est question, l’auteur développe le thème de la confession, préalable spirituel à la rémission des péchés.<p>En premier lieu, l’analyse stylistique objective (c.-à-d. basée sur des paramètres quantitatifs) de l’ensemble du corpus-texte nous a permis de ne déceler aucune différence notable entre les deux parties de la légende.<p>Ensuite, par l’étude de la structure diégétique, nous avons tenté d’expliquer le rôle du processus pénitentiel dans l’œuvre moyen-néerlandaise. Grâce aux principes d’analyse sémiotique de Propp, Greimas, Courtès et Dundes, nous avons pu remarquer que la légende présente une double articulation narrative reposant sur une double quête :le rejet du péché par le retour à l’espace hétérotopique initial (dans la première partie) et la quête de la pureté originale par la confession des péchés (dans la seconde partie). Cette dernière quête semble donc très logiquement faire partie intégrante de l’œuvre médiévale.<p><p><p>The aim of this thesis is to determine whether the second part of the Middle-Dutch legend Beatrijs (vv. 865-1038) is original. In the final sequences, the author highlights the role of confession in the absolution of sins.<p>In the first part of our work, we carried out a stylistic analysis of the whole legend that rested on quantifiable parameters. As no significant differences could be observed between the two parts, the stylistic homogeneity seemed obvious.<p>In the second part of our research, the emphasis was laid on the narrative structural approach. On the basis of the theories of semioticians (Propp, Greimas, Courtès and Dundes), we could analyse the legend as a bimotifemic « complex tale » in which the success of the first quest in the first part (return to the heterotopic point of departure) must be considered the first stage in the expiation. The second quest in the second part (return to the original purity) can only be achieved through confession. This physical and spiritual movement ensures absolution and salvation :for that reason we can assert that the confession process is an integral part of the medieval legend as a whole. / Doctorat en philosophie et lettres, Orientation langue et littérature / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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La périphrase verbale "venir de + infinitif" et ses équivalents dans quelques langues, particulièrement l'espagnol et le latin: étude syntaxique et sémantique

Dominicy, Marc 15 December 1975 (has links)
Ce travail se situe dans le cadre de la Théorie Standard Étendue, à laquelle certaines modifications sont apportées, notamment quant à l’association d’une règle sémantique aux opérations transformationnelles. Il est montré que ce type d’approche permet d’assigner à chaque phrase une description sémantique (une forme logique) apte à représenter un phénomène crucial comme la présupposition (sémantique). L’étude empirique porte sur la périphrase verbale « venir de + infinitif » et ses équivalents dans plusieurs langues qui recourent soit à une autre périphrase (par exemple, l’espagnol « acabar de + infinitif »), soit à l’emploi d’un adverbe (latin « modo », anglais « just », etc.) accompagnant une forme de parfait ou de prétérit. On soutient qu’à ces expressions de surface très diverses correspond une forme logique sous-jacente combinant un opérateur d’accompli à un opérateur de restriction portant sur un adverbe de temps (« maintenant » / « alors », etc.). De nombreux phénomènes, tant synchroniques que diachroniques, trouvent leur explication dans un tel cadre, en particulier la concurrence entre « venir de + infinitif » et « ne faire que (de) + infinitif » dans l’histoire du français.<p><p>This research work has been carried out in the framework of a modified version of Extended Standard Theory where semantic rules are associated to transformations. It is shown that this approach allows assigning to each sentence a semantic description (i.e. a logical form) able to represent such a crucial phenomenon as (semantic) presupposition. The empirical study bears on the French verbal periphrasis « venir de + infinitive » and its equivalents in several languages where we find either another periphrasis (like, for instance, Spanish « acabar de + infinitive ») or an adverb (Latin « modo », English « just », etc.) modifying a perfect or preterite form. It is argued that such highly diverse surface forms should receive an underlying logical form that combines an « accomplished/completed » operator to a restriction operator taking a time adverb (« now » / « then », etc.) under its scope. Numerous synchronic or diachronic data can be accounted for in such a framework, in particular the competition between « venir de + infinitive » and « ne faire que (de) + infinitive » in the history of French.<p> / Doctorat en philosophie et lettres, Orientation langue et littérature / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Contributions à la reconstitution, à l'édition et à l'étude des archives papyrologiques dites d'Hèrôninos

Vanthieghem, Naim 09 March 2015 (has links)
L’objectif principal de ma thèse était de réaliser l’édition de papyrus issus des archives dites d’Hèrôninos. Ce personnage était intendant d’une unité de production agricole rattachée au village de Théadelphie, dans le Fayoum, au IIIe s. de notre ère. Il travaillait pour le compte d’un aristocrate alexandrin du nom d’Appianos, qui possédait diverses terres un peu partout en Égypte. Hèrôninos devait régulièrement informer son patron de la gestion de son unité et tenir à jour ses comptes avec minutie. Le hasard a voulu que l’on retrouve sa correspondance et son importante comptabilité ;les différentes pièces des archives ont été réparties entre plusieurs collections dans le monde.<p>Dans ma dissertation doctorale, j'ai proposé l’édition, la traduction et le commentaire de 97 textes, lettres et comptes inédits qui proviennent des collections de Prague, de Londres et de Florence. Ces documents confirment bien souvent ce que l’on savait de l’organisation du domaine géré par Hèrôninos ;ils apportent néanmoins de nombreuses informations sur la topographie et la toponymie du domaine ainsi que sur la prosopographie des ouvriers. Je ne me suis cependant pas limité à l’édition d’inédits :j’ai en effet entrepris, chaque fois que j'ai pu avoir accès au matériel, une révision systématique des documents déjà publiés. Au total, les révisions de textes publiés par les chercheurs qui m’ont précédé ont abouti à des résultats parfois surprenants et spectaculaires :dans certains cas, il a fallu revoir complètement l’interprétation des documents.<p>À côté du travail éditorial à proprement parler, j’ai réalisé un travail « d’archéologie muséale », c’est-à-dire que j’ai tenté de retracer l’histoire de la dispersion des pièces des archives à travers le monde et essayé de comprendre par quels canaux les documents sont arrivés en Europe, en Amérique ou dans des collections égyptiennes. Cette question restait encore largement inexplorée. Je pense avoir fait avancer notre connaissance en la matière. J’ai montré que la majorité des achats ont été réalisés au tout début du XXe siècle auprès de deux marchands d’antiquités égyptiens :ʿAlī al-ʿArabī et Faraǧ ʿAlī. J’ai en outre consacré une large partie de ma thèse à des questions de diplomatique, aspect largement négligé jusqu'à présent. On ne peut plus, comme on l’a trop souvent fait dans le passé, éditer un document sans étudier ses aspects matériels. Les papyrus des archives d’Hèrôninos n’échappent pas à ce constat :ils présentent une mise en page particulière et sont rédigés selon des codes bien précis qu’il convenait de mettre en évidence. <p>\ / Doctorat en Langues et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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The spatial expressions containing French 'travers' and Italian 'traverso': a functional semantic description from diachronic perspective / Expressions spatiales contenant le mot français 'travers' et le mot italien 'traverso': une description fonctionnelle sémantique d'un point de vue diachronique.

Hoelbeek, Thomas 28 April 2014 (has links)
This thesis belongs to the research tradition of Romance historical semantics, and combines diachronic methods with cognitive hypotheses. Analysing complex adpositions in French and Italian, its originality resides in the fact that, both for literal and metaphorical uses, it applies a functional approach to a diachronic problematic, carrying out a corpus analysis.<p>The period covered consists of four hundred years (from the 16th until the end of the 19th Century). The constructions under analysis conform to the pattern [PREP1 (+ article) + travers(o) (+ PREP2)], viz. the French expressions 'à travers (de)', 'au travers (de)', 'en travers (de)', 'de travers' and their Italian formal equivalents 'a traverso/at(t)raverso (a, di, per)', 'al traverso (di)', 'in traverso (di)' and 'di traverso (a)' ('traverso (a)', without PREP1, is included too). These expressions, and especially their prepositional uses, are assumed to be intrinsically dynamic. However, they are no pure prepositions, in that all of them can be used in at least two different syntactic roles. More specifically, some are principally found as a preposition, and secondarily as an adverb; others behave mostly as an adverb, but also as an adjective; finally, certain expressions exhibit all three types of uses.<p>The results can be structured around four axes. Firstly, a complete diachronic-semantic description of all uses is given of this set of hardly explored expressions, in order to contribute to a better comprehension of their semantic structure. The study bears on morphological, syntactic, but most of all semantic aspects of the evolutions observed. Secondly, functional concepts such as Guidance, proposed in synchronic research (in particular by Stosic (2002b; 2007; 2009)), and notions we elaborate on the basis of research on Modern French (cf. Somers 1988; and Plungian 2002), in particular Contrast and Deviation, are put to the test. By adopting a diachronic perspective, we assess to what extent these notions are able to describe the semantics conveyed in the past by the expressions under study. Thirdly, this thesis determines in what measure the expressions analysed were subjected to a grammaticalisation process, and why some of them (in particular 'à travers', and, to a lesser extent, 'a traverso/at(t)raverso (a, di, per)') became significantly more frequent from the 18th Century onwards. We provide elements that point to a more advanced grammaticalisation for certain expressions. Moreover, we determine to what extent the evolutionary trends observed corroborate or, on the contrary, disconfirm various mechanisms considered to be part of the process of grammaticalisation. Finally, a comparison between the evolutions in the two languages under study helps to distinguish between more general and language-specific mechanisms of semantic and grammatical evolution, given that every natural language has a specific way of organising its own modelling of space.<p>The results of this study enrich our knowledge of the phrases studied and their functioning in the past, but also in present-day French and Italian, providing diachronic observations regarding the functional notions put to the test. Further, it contributes to a better understanding of the grammaticalisation mechanisms of complex constructions. Finally, it shows that typologically related languages may evolve differently in their ways of representing space, and in particular in their semantic distribution of various functional concepts within a group of close constructions./Cette thèse s’inscrit dans le domaine de la sémantique historique romane, et combine des méthodes diachroniques avec des hypothèses cognitives. En analysant des adpositions complexes en français et en italien, son originalité réside dans le fait que, à la fois pour des usages littéraux et métaphoriques, elle applique une approche fonctionnelle à une problématique diachronique, en réalisant une analyse de corpus.<p>La période traitée est constituée de quatre cents ans (à partir du XVIe jusqu’à la fin du XIXe siècle). Les constructions analysées sont conformes au modèle [PREP1 (+ article) + travers(o) (+ PREP2)], à savoir les expressions françaises 'à travers (de)', 'au travers (de)', 'en travers (de)', 'de travers' et leurs équivalentes formelles italiennes 'a traverso/at(t)raverso (a, di, per)', 'al traverso (di)', 'in traverso (di)' et 'di traverso (a)' ('traverso (a)', sans PREP1, est aussi incluse). Ces expressions, et surtout leurs usages prépositionnels, sont supposées être intrinsèquement dynamiques. Cependant, elles ne sont pas de pures prépositions, en ce que chacune d’elles peut être utilisée dans au moins deux rôles syntaxiques différentes. Plus précisément, certaines se rencontrent principalement comme préposition, et accessoirement comme adverbe ;d’autres se comportent la plupart du temps comme adverbe, mais aussi comme adjectif ;enfin, certaines expressions présentent les trois types d’usages.<p>Les résultats s’articulent autour de quatre axes. Tout d’abord, une description diachronique et sémantique complète est donnée de tous les usages de l’ensemble de ces expressions qui sont à peine explorées, afin de contribuer à une meilleure compréhension de leur structure sémantique. L’étude porte sur des aspects morphologiques, syntaxiques, mais surtout sémantiques des évolutions observées. Deuxièmement, des concepts fonctionnels tels que celui de Guidage, proposé dans des travaux en synchronie (en particulier par Stosic (2002b; 2007; 2009)), et des notions que nous élaborons sur la base d’analyses du français moderne (cf. Somers 1988; et Plungian 2002), en particulier celles de Contraste et Déviation, sont mises à l’épreuve. En adoptant une perspective diachronique, nous évaluons dans quelle mesure ces notions sont en mesure de décrire la sémantique véhiculée dans le passé par les expressions étudiées. Troisièmement, cette thèse détermine dans quelle mesure les expressions analysées ont été soumises à un processus de grammaticalisation, et pourquoi certaines d’entre elles (en particulier 'à travers' et, dans une moindre mesure, 'a traverso/at(t)raverso (a, di, per)') sont devenues beaucoup plus fréquentes à partir du XVIIIe siècle. Nous fournissons des éléments qui indiquent une grammaticalisation plus avancée de certaines expressions. De plus, nous déterminons dans quelle mesure les tendances évolutives observées corroborent ou, au contraire, infirment différents mécanismes considérés comme faisant partie du processus de grammaticalisation. Enfin, une comparaison entre les évolutions dans les deux langues étudiées permet de distinguer des tendances sémantiques et grammaticales plus générales de ceux qui sont plus spécifiques à une langue, étant donné que chaque langue naturelle a une façon spécifique d’organiser sa représentation de l’espace.<p>En fournissant des observations diachroniques sur les notions fonctionnelles mises à l’épreuve, cette thèse enrichit notre connaissance des constructions étudiées et leur fonctionnement dans le passé, ce qui aide aussi à mieux comprendre leur usage contemporain. De plus, elle contribue à une meilleure compréhension des mécanismes de grammaticalisation des constructions complexes. Enfin, elle montre que des langues typologiquement proches peuvent évoluer différemment dans leurs modes de représentation de l’espace, et en particulier dans la distribution sémantique de différents concepts fonctionnels dans un groupe de constructions proches.<p><p> / Doctorat en Langues et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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