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La chute des anges ; suivi de L'approche documentaire et la forme brèveMontpetit, Caroline January 2006 (has links) (PDF)
La première partie de ce mémoire de maîtrise est un recueil de onze nouvelles. Réunies sous le titre « La Chute des anges », chacune propose, à sa façon, une rencontre. Le lecteur, qui traversera un recueil en apparence hétéroclite, fera ainsi successivement connaissance d'un vieil homme, d'un Indien quechua révolté, d'une vieille dame blessée, d'une future mariée ou d'une épouse déçue, etc. Il y visitera du même souffle le Pérou, une île de l'Atlantique ou le casino d'une grande ville. Chaque personnage y fait aussi en quelque sorte l'apprentissage de ses limites, qui sont celles d'un être humain devant un autre être humain, avec ce que cela implique de mystère et d'interrogation. En ce sens, ce recueil sera peut-être le récit d'une impuissance. Mais il peut aussi, du même souffle, devenir un hommage à la vie, dans son imperfection, et à l'ingéniosité humaine. La deuxième partie du mémoire est pour sa part consacrée à une réflexion sur l'apport documentaire en fiction et sur la forme brève privilégiée par l'auteur. Dans un premier temps, on y explore les liens étroits qui ont uni le journalisme et la fiction au cours des derniers siècles. On y retrouve plus particulièrement la pensée de Tom Wolfe, l'un des défenseurs de ce qu'on a appelé dans les années 1960 le nouveau journalisme, qui prétendait inventer une forme de journalisme se rapprochant de la fiction. L'auteur démontrera aussi comment le journalisme a servi de point de départ à son travail. Dans un deuxième temps, la réflexion portera sur le choix du genre bref, de la nouvelle en particulier, pour dire le monde moderne. Modelée par l'urgence, par le symbole, par les ellipses, mais aussi porte ouverte sur le temps, la nouvelle sait dire la face angoissante d'un monde fragmenté, où l'auteur part parfois à la recherche de lui-même. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Formes brèves, Nouvelles, Journalisme, Réalisme.
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Transferts discursifs et intersubjectivité chez Blutch : une recherche esthétique et critique en bande dessinéePépin-Nadeau, Jonathan January 2009 (has links) (PDF)
Notre mémoire vise à étudier l'oeuvre du bédéiste français Blutch en ayant comme point d'appui les portées esthétiques et critiques des jeux interdiscursifs qui s'y manifestent. Ainsi, une réflexion originale sur les spécificités et les potentiels narratifs de la bande dessinée semble se déployer, chez Blutch, au sein d'un ensemble diversifié d'emprunts, de citations et de collages qui puisent dans la bande dessinée, mais aussi dans la littérature, le cinéma, la musique (le jazz, principalement), la danse, le théâtre et les arts visuels.
À travers Waldo 's Bar (1993), Sunnymoon tu es malade (1994) et Mitchum (1996-1999), nos objectifs d'études sont de repérer ce que le discours de la bande dessinée fait des autres discours pour ensuite analyser les problématiques d'auteurs que ces transferts alimentent. L'hypothèse, au coeur de notre mémoire, tend donc à faire de l'interdiscursivité, chez Blutch, le moteur des enjeux singuliers de son oeuvre comme, de manière secondaire, l'occasion d'une légitimation de son médium dans le champ culturel et artistique. Le repérage des divers transferts discursifs au sein des albums ciblés de l'auteur nous a permis, en ce sens, de mettre en lumière un questionnement polysémique, entre originalité et dérivation, autour des problématiques centrales suivantes: une recherche d'abstraction de l'action en bande dessinée, une représentation de l'opacité et du mystère de l'intersubjectivité comme des modalités, des jeux d'influences et des codes de la création. Présent partout mais visible nulle part, Blutch privilégie ultimement la création d'ambiances, le mystère de l'émotion et l'implication subjective sur l'intrigue et le réalisme caractéristique de la production classique en bande dessinée. Nos conclusions soutiennent par ailleurs que son approche transactionnelle et interdisciplinaire est un travail d'innovations qui exploite la perméabilité de son médium et met au jour le statut ambivalent d'auteur de bande dessinée dans la sphère institutionnelle mouvante de la légitimité culturelle et artistique. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Bande dessinée, Sémiotique de la bande dessinée, Interdiscursivité, Esthétique, Représentation du sujet.
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La déposition des chemins ; suivi de Promenades en territoires éparpillésDawson San Martin, Nicholas January 2009 (has links) (PDF)
Le volet création de ce mémoire comporte trois parties. Dans la première, le sujet affirme son exil en éparpillant ses origines, les saisons et les langues. À la fin de cette partie, le sujet se situe à la croisée des chemins, celui de la mémoire et celui de l'imaginaire. Dans la seconde partie, le sujet choisit de parcourir le chemin lui permettant de construire son propre territoire identitaire. Toute son attention est portée vers le paysage, si bien qu'il pourra déambuler librement au cours de la troisième partie. Il construit alors son identité à partir des signes recueillis à même le paysage montréalais pour que la fin de l'hiver coïncide avec la réconciliation, avec son exil. Les deux premières parties sont écrites en vers -la première étant exempte de ponctuation -, tandis que les poèmes de la troisième partie sont en prose. Cette exigence formelle illustre le parcours du sujet: le projet s'élabore d'abord autour de la rupture pour tendre vers une écriture plus fluide. Le dossier d'accompagnement comprend quatre promenades thématiques. Dans la première, l'exil est présenté comme un état: pour l'exilé, le fantasme du pays perdu est confronté à son appartenance à la terre d'accueil. Cette confrontation empêche l'exilé de s'enraciner dans un pays particulier. Le lieu d'habitation est plutôt un entre-deux qui induit un mouvement. Celui-ci est conceptualisé dans la seconde partie à l'aide de la théorie du sujet lyrique. Le je y est présenté comme une quatrième personne du singulier se projetant dans les autres auxquels il s'adresse, dans les objets qu'il convoque et dans les divers lieux qu'il arpente. La troisième partie se consacre à la déambulation qui est pour l'exilé la seule façon de s'inscrire dans le monde. La quatrième partie soulève la question de la langue: l'écrivain qui écrit en langue d'emprunt n'abandonne pas sa langue maternelle, mais lui donne une place privilégiée afin de rendre compte de l'expérience de l'exil. Ces quatre promenades visent à illustrer l'éparpillement des lieux, du temps et des idées que l'exil implique. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Exil, Entre-deux, Sujet lyrique, Déambulation, Lieu, Langue, Altérité, Frontières.
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Entre nous, l'instant ; suivi de L'errance féconde : expérimenter la brièvetéAllaire, Camille January 2007 (has links) (PDF)
Entre nous, l'instant rassemble vingt et une nouvelles brèves. Par cette multiplicité qui le caractérise, le recueil s'inscrit d'emblée sous le signe de la fragmentation. Son unité tient d'ailleurs à l'extrême hétérogénéité qui s'illustre à travers le paradigme de la rupture, et cela même si les nouvelles entretiennent des liens parfois étroits et peuvent s'appeler les unes les autres en regard d'une vision du monde ou d'un style. Plus ou moins poétiques, ou ancrées dans une réalité concrète, plus ou moins narratives ou énigmatiques, chaque nouvelle constitue une tentative, par la prose, de s'approcher au plus près du réel, de trouver une manière d'aborder l'articulation entre un événement et un personnage, l'influence du monde sur les êtres, en disant cet instant où une part du réel nous échappe. L'errance féconde: expérimenter la brièveté constitue une réflexion en sept chapitres sur l'être à la recherche de son propre lieu. Le lieu d'où il serait possible d'évoquer la part du réel qui est inaccessible, que certains nomment Poésie, Innommable ou Essentiel. L'appareil réflexif qui suit explore les passages entre les genres littéraires que sont la poésie et la prose, afin de comprendre ce qui tente de se dire au-delà des genres. Cette exploration s'articule autour du pari selon lequel les formes brèves sont particulièrement aptes à y parvenir, entre autres par la fragmentation et la discontinuité, qui sont des fondements de leur esthétique commune. L'errance féconde ... témoigne d'une démarche de légitimation du regard à travers l'expérience de l'écriture de Entre nous, l'instant. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Nouvelle, Brièveté, Hétérogénéité, Recueil, Regard, Errance.
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L'homme qui racontait des histoires ; suivi de, "Le bâton brisé"Boisvert, Julien-Pier 06 1900 (has links) (PDF)
L'homme qui racontait des histoires est une expérience littéraire sur le phénomène de la voix et sur l'impact de la matérialité du texte sur celle-ci. Trois voix différentes racontent des épisodes d'une même histoire. Pourtant, les trois voix proviennent de la même plume. C'est en jouant sur la relation entre les voix narratives et le langage qu'elles utilisent comme rapport au monde que se construit le roman. Chacune de ces voix porte en son sein une vision du langage qui l'anime, et cette vision langagière est intrinsèquement liée à une façon de voir le monde. Trois voix, trois postures langagières, trois perceptions du monde. Le bâton brisé témoigne de prises de position sur deux enjeux de l'écriture romanesque. Le premier : la fiction comme moteur de l'esprit du roman, ainsi que l'appelle Kundera, qui invoque l'ambiguïté et le questionnement comme raisons d'être principales de l'écriture romanesque. Le second enjeu : un engagement pour une stylistique personnelle par opposition à l'académisme, le style journaleux, comme l'appelle Céline, celui des prosateurs imperméables à l'émotivité du langage, dont les mots étouffent toute possibilité de ressentir; un engagement, donc, pour une langue vivante, libérée de ses mécanismes lourds, une langue qui se joue d'elle-même, qui s'amuse avec ses propres règles, une langue travaillée avec minutie afin qu'elle puisse résonner dans la tête du lecteur grâce à sa prosodie, à son rythme, à son écart par rapport à la langue normative, celle de tous les jours, celle qui ne saurait animer un roman, sauf à être sublimée par le style.
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Notes et propositions sur le verset françaisPiché, Alexandre 02 1900 (has links) (PDF)
Ce mémoire étudie les rapports, généralement ignorés par la théorie des genres littéraires, entre verset biblique et verset moderne. Il est constitué d'un texte de création et d'un essai qui affirment tous deux la nécessité de penser le poème en versets à la lumière du texte biblique. Les trente poèmes de la suite Demeure ajourée, qui précèdent les considérations théoriques, constituent un lieu d'expérimentation où a pu s'élaborer, se consolider, se modifier la conception du poème en versets mise de l'avant par l'ensemble de la présente démarche. Ces textes sont en partie des palimpsestes de récits bibliques issus du Pentateuque. On y retrouve des mythes génésiaques, des bribes de lois, des généalogies ainsi qu'un calendrier de fêtes. La lecture de la Bible dans plusieurs traductions françaises est une expérience qui sous-tend ici la pratique d'écriture. Les poèmes de ce projet cherchent pourtant à effectuer un déplacement par rapport au texte biblique, déplacement qui se traduit par l'impossibilité de la relation à Dieu. Alors que la Bible construit une énonciation entièrement soutenue par Dieu et transcendée par lui, la parole contenue dans les poèmes découvre plutôt qu'elle n'est autorisée par rien et qu'elle n'est aucunement fondée en autorité. C'est à partir d'une attitude problématique à l'égard de la prière que prend forme ce recul devant l'adhésion, attitude qui se distancie du pouvoir d'évocation (d'invocation) du langage et qui motive un travail de dépouillement des ressources rhétoriques de la phrase. Les Notes et propositions théoriques, pour leur part, s'ouvrent sur un inventaire des définitions du verset poétique disponibles. Cet examen est l'occasion de dresser un bilan des critères définitoires généralement admis et de cerner avec précision l'origine du verset biblique lui-même. Vient ensuite l'élaboration de critères inédits, suscités par la prise en compte du texte biblique : d'une part, une relation au sublime caractérisée par des facteurs stylistiques et syntaxiques, d'autre part une parenté énonciative irréductible entre verset poétique et verset biblique qui implique, dans le cadre de toute pratique d'écriture, une approche du rapport à la transcendance. Au-delà des solutions proposées pour enrichir le discours sur les genres littéraires, cet essai veille à faire de la pratique singulière de chaque auteur l'un des pivots de la recherche théorique. C'est d'ailleurs dans le contexte de cette réflexion ayant pour objet les problèmes de définition du verset que sont soulevées notamment les difficultés des œuvres contemporaines à renouveler cette forme poétique moderne.
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MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Verset, Bible, Dieu, Énonciation, Modernité, Poésie, Théorie des genres, Palimpseste.
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Dans la lueur des lucioles ; suivi de, Pneuma : témoigner pour résisterThisdale, Isabelle 12 1900 (has links) (PDF)
Ce mémoire est composé de deux parties. D'abord, un recueil de poésie qui a comme point de départ la tentative de suicide de ma sœur cadette et son aveu, prend la forme d'un témoignage littéraire. Cette expérience, ainsi que la réflexion sur la mort, le deuil et le manque qui en a découlé, sont mis en scène dans les poèmes et font l'objet d'une réflexion qui traverse le recueil. Les poèmes sont traversés par un souffle dont le rythme évolue au fil du recueil. Ce souffle représente les variations que subit la parole, rendant tangible la particularité du témoignage. Le rythme est également porté par le visage de la sœur, qui revient à plusieurs reprises sous diverses formes et assure la liaison entre les différentes sections. Le dossier d'accompagnement développe une réflexion sur le témoignage dans un contexte de création littéraire. Il interroge la position de témoin du témoin et tente de mettre en lumière le rôle d'accompagnement de celui qui voit un proche échapper à la mort. Cela implique que le témoin affirme sa responsabilité envers celui qu'il accompagne. Ce dernier entre dans un lieu où se réactualise sa présence antérieure aux événements traumatiques. L'espace aménagé par le témoignage est un lieu de convergence des temps. C'est là que sont convoqués les visages des absents et les figures du deuil qui appartiennent au passé du drame, et que le témoin se doit de rencontrer pour accomplir le don de sa parole. Le témoignage permet alors la restitution d'une image manquante, que la part de fiction du témoignage littéraire contribue à rétablir. Une parenté entre le matériau plastique et le matériau langagier est ensuite établie afin de démontrer que l'écrivain, comme le peintre, possède le pouvoir de pétrir le langage. Le don que constitue le témoignage est une prise en charge de la douleur. La violence faite au langage par l'écriture permet un transfert du corps au corpus, et rend possible un apaisement du corps meurtri. Dans le cas du témoignage de la perte, l'abandon, de même que le don accompli par le témoignage, permet de reconnaître le véritable objet du deuil, plaçant ainsi l'absence non plus sous le signe d'un drame mais sous le signe d'un manque fondamental que la poésie peut combler.
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MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Témoignage littéraire, Deuil, Corps, Violence, Poésie, Écriture matérielle, Arts visuels
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L'écologie de la chronique, incluant le recueil « Immédiates »Ranger, Christian 06 June 2012 (has links)
La chronique médiatique contemporaine est indissociable de son contexte de production. Un cadre strictement générique ne suffit donc pas à rendre compte de la forme que revêtent aujourd'hui les chroniques. En étudiant l’écologie de production du genre, caractérisée en aval par le pacte conclu entre le chroniqueur et son éditeur et en amont par un narrataire qu’éclaire le courrier du lecteur, nous proposons ici une explication de certains traits caractéristiques du genre – comme la brièveté du texte, l’aspect fragmentaire du propos et le ton de la conversation privilégié par le chroniqueur. Notre étude de quatre recueils de chroniques explore la relation intime mais conflictuelle qu’entretient la chronique avec le temps. François Mauriac, Bernard-Henri Lévy, Gil Courtemanche et Jacques Brault déploient des stratégies variées pour s’acquitter de leur tâche d’écriture périodique, ainsi qu’afin de concilier deux horizons de lecture, dont l’un est immédiat et l’autre dans la durée. Enfin, nos propres chroniques - les Immédiates -, explorent trois thèmes : l’âge adulte, la ville et l’américanité.
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L'écologie de la chronique, incluant le recueil « Immédiates »Ranger, Christian January 2012 (has links)
La chronique médiatique contemporaine est indissociable de son contexte de production. Un cadre strictement générique ne suffit donc pas à rendre compte de la forme que revêtent aujourd'hui les chroniques. En étudiant l’écologie de production du genre, caractérisée en aval par le pacte conclu entre le chroniqueur et son éditeur et en amont par un narrataire qu’éclaire le courrier du lecteur, nous proposons ici une explication de certains traits caractéristiques du genre – comme la brièveté du texte, l’aspect fragmentaire du propos et le ton de la conversation privilégié par le chroniqueur. Notre étude de quatre recueils de chroniques explore la relation intime mais conflictuelle qu’entretient la chronique avec le temps. François Mauriac, Bernard-Henri Lévy, Gil Courtemanche et Jacques Brault déploient des stratégies variées pour s’acquitter de leur tâche d’écriture périodique, ainsi qu’afin de concilier deux horizons de lecture, dont l’un est immédiat et l’autre dans la durée. Enfin, nos propres chroniques - les Immédiates -, explorent trois thèmes : l’âge adulte, la ville et l’américanité.
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Dans le vide suivi de Étude de l'évocation dans le recueil de nouvelles Qui a tué Magellan? de Mélanie VinceletteHandfield, Camelia January 2012 (has links)
Le premier volet du mémoire présente Dans le vide , un recueil de huit brèves nouvelles impressionnistes qui mettent en scènes des situations ou des personnages étonnants et privilégient une narration sur le mode implicite. Suit le volet théorique, une étude ayant comme point de départ le silence et les non-dits. En se basant sur les théories de la nouvelle récente qui souligne le caractère elliptique du genre, l'analyse du recueil Qui a tué Magellan ? et autres nouvelles de Mélanie Vincelette dégage des constructions narratives fréquentes dans une esthétique de l'évocation. On remarque un resserrement de la narration autour d'éléments du récit sur lesquels le narrateur insiste par le biais d'énumérations de détails ou de répétitions. On note que l'écriture concentre les fonctions de narration, de description et d'expression dans les mêmes phrases, les mêmes mots ou les mêmes détails. Dans le recueil de Vincelette, ce choix esthétique pourrait refléter l'incommunicabilité. À quoi bon s'exprimer explicitement quand la communication est vouée à l'échec et les gens à la solitude? Un retour sur Dans le vide clôt le mémoire en retraçant l'origine des nouvelles et l'intention derrière chacune de celles-ci. Une mise en parallèle entre l'écriture de l'auteure et celle de Vincelette évalue l'efficacité du travail de création.
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