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La laïcité dans les manuels scolaires grecs: quelles transformations depuis l'adhésion de l'État à la Communauté européenne (1981)?

Kalesi, Eleni 20 December 2018 (has links) (PDF)
(FR) Depuis l’établissement de l’État grec moderne au XIXe siècle, son système éducatif véhicule un discours scolaire imprégné de la religion orthodoxe. Participation au cours de religion, fêtes religieuses et prière matinale dans le milieu scolaire en sont quelques exemples significatifs. Mais, que s’est-il passé depuis que la Grèce a adhéré à la Communauté européenne en 1981 et qu’elle est désormais obligée de se conformer aux règles européennes en matière de liberté de religion ?Parvient-elle à répondre au défi de l’européanisation qui stipule la formation de citoyens européens à travers un discours laïcisé promouvant le respect du pluralisme et de l’altérité ?Cette thèse de doctorat traite de ce défi, dit laïcité, et des moyens que le système éducatif grec utilise pour intégrer le concept dans son discours scolaire. Elle se base sur les grandes composantes de la laïcité :a. les valeurs fondamentales de la liberté et de l’égalité indépendamment de la religion et/ou d’autres convictions personnelles, b. la raison dans le cadre d’un régime démocratique et c. la distinction et l’autonomie simultanée de l’État et des religions. Le but est, d’abord, d’analyser le contenu des manuels scolaires de religion, d’histoire et d’éducation civique de l’enseignement primaire et secondaire au cours des trente-sept dernières années et, ensuite, de constater les transformations éventuelles dans la façon dont la laïcité est présentée.L’analyse des données montre que le discours véhiculé ne présente ni une grande évolution ni un changement total par rapport à celui du début des années 1980. Les trois matières favorisent de manière sélective certaines des composantes de la laïcité, cependant leur caractère ethnoculturel et nationaliste reste fort présent. / (EN) Since the establishment of the modern Greek state in the XIXth century, its educational system conveys a school discourse imbued with the orthodox religion. Participation in religion classes, religious celebrations and morning prayer in school are some significant examples. But what happened when Greece joined the European Community in 1981 and is now obliged to comply with EU rules on freedom of religion? Does it manage to meet the challenge of Europeanization which stipulates the formation of European citizens through a secular discourse about respect for pluralism and otherness?The present doctoral dissertation deals with this challenge, known as laïcité, and the means that the Greek education system uses to integrate the concept into its school discourse. It is based on the major components of laïcité: a. the fundamental values of freedom and equality regardless of religion and/or other personal beliefs, b. the reason in a democratic regime and c. the simultaneous distinction and autonomy of state and religions. The first aim is to analyze the content of religious, history and civic education school textbooks of primary and secondary education during the last thirty-seven years and then, to observe the possible transformations in the way laïcité is presented.The data analysis shows that the conveyed discourse presents neither a great evolution nor a total change compared to that one of the early 1980s. The three courses selectively favor some of the components of laïcité, yet their ethnocultural and nationalist character remain shighly present. / Doctorat en Sciences psychologiques et de l'éducation / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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"Nova et Vetera" : o de cómo fue apropiada la filosofía neotomista en Colombia, 1868-1930 (catolicismo, educación y modernidad desde un país poscolonial latinoamericano)/“Nova et Vetera” : l'appropriation de la philosophie néothomiste en Colombie, 1868-1930 (catholicisme, éducation et modernité depuis un pays postcolonial latino-américain/"Nova et Vetera" : how the neo scholastic philosophy was appropriated in Colombia, 1868-1930 (catholicism, education and modernity from a postcolonial perspective)

Saldarriaga Vélez, Oscar 07 September 2005 (has links)
Le sujet central de cette recherche est la manière dont le mouvement intellectuel et politique connu sous le nom de «restauration de la philosophie de saint Thomas d'Aquin» a influencé l'enseignement en Colombie, entre 1968 et 1930. La Colombie apparaît, avec le Canada, comme l'un des rares pays où les conditions politiques ont favorisé le développement de « l'expérience néothomiste » jusqu'à « ses dernières conséquences ». Son analyse revêt donc une portée qui dépasse les bornes d'une simple « étude de cas ». En effet, la Colombie fut presque le seul pays latino-américain où, à la fin du XIXe siècle, un parti conservateur catholique, par le biais d'une alliance avec une aile libérale modérée, mit sur pied une constitution qui, doublée d'un Concordat signé avec le Sainte Siège, déclara le catholicisme comme « la religion de la nation » et soumit le système d'instruction officiel au contrôle doctrinal de l'Église. À partir de cette donnée, la plupart des analystes colombiens et étrangers ont diagnostiqué comme l'une des causes du retard, voire l'échec, des projets de modernisation scientifique et politique du pays, l'hégémonie de la philosophie néoscolastique. Cette mouvance a été menée de manière conjointe par Mgr. Rafael María Carrasquilla (1857-1930) surnommé « le Mercier colombien », recteur à vie du Colegio Mayor de Nuestra Señora del Rosario depuis 1890, et par plusieurs communautés religieuses -les jésuites, les frères des écoles chrétiennes, les maristes, les religieuses de la Présentation, les sœurs béthlemites, et autres. Le néothomisme, on a dit, fut l'écueil qui empêcha l'entrée en Colombie de la philosophie kantienne et l'arrivée de sa culture à l'incontournable « âge de raison », jusqu'à 1930 quand le parti libéral reprit le pouvoir. Et encore plus tard, si l'on considére que les programmes officiels de philosophie utilisés au baccalauréat et dans les universités ont été surveillés par la hiérarchie ecclésiastique jusqu'aux anées soixante, et que les derniers manuels scolaires d'inspiration thomiste furent édités en 1975. je me suis intéressé à l'histoire du néothomisme à partir d'une métaphore : celle d'une machinerie dogmatique de négociation pour concilier les rapports Science/Foi. Elle m'a permis de développer l'hypothèse suivante: l'enjeu de la philosophie néothomiste était de fournir aux catholiques une «voie moyenne », un instrument de négociation intellectuelle et politique qui bénéficiait a la fois des prestiges de la Tradition et du dynamisme de la Nouveauté. Ce n'est pas par hasard que sa devise était Nova et Vetera, ou Vetera novis augere et perficere : «augmenter et perfectionner l'ancien avec le nouveau». Le défi était de comprendre les mécanismes par lesquels le néothomisme a construit sa légitimité et validité auprès des savoirs philosophiques et scientifiques : l'accord entre les vérités absolues du dogme religieux avec les vérités relatives de la science, et le triage entre "le vrai et le faux" dans la pensée moderne. C'est pourquoi j'ai choisi, au niveau théorique, d'analyser cette question à la lumière de deux concepts: d'un côté, celui de régimes de vérité ou de véracité -les systèmes que déterminent historiquement les rapports vrai/faux dans une société-, du sceau de Michel Foucault, et de l'autre, celui de régimes de croyance ou de crédibilité -les règles qu'ont régi les rapports croyable/non-croyable- proposé par Michel de Certeau. Et au niveau pratique, le système de enseignement secondaire s'avérait comme un lieu d'observation privilégié: le champ où la philosophie, la science et la pédagogie négociaient leur contentieux sur les rapports entre le sujet et la vérité au fil des affrontements entre « le pouvoir pastoral » et le « pouvoir politique » dans les sociétés occidentales et occidentalisées. Je me suis penché; d'abord, sur l'axe pédagogique, en parcourant l'histoire de l'éducation secondaire en Colombie le long du XIXe siècle, en repérant les évolutions du curriculum où l'on accordait des places et des fonctions à la philosophie : on a vu défiler les cours de logique, de psychologie, de métaphysique, de grammaire générale et raisonée et d'Idéologie, dans la foulée des luttes pour l'hégémonie sur les méthodes de connaissance et de conduite à utiliser dans la formation des nouvelles couches de lettrés. C'est ainsi que en Colombie, le rôle de la philosophie en tant que "couronnement" des études secondaires,ne s'est mise en place que très lentement. L'organisation d'un système officiel d'instruction "moderne" c-à-d, échelonné à trois niveaux (primaire; secondaire et universitaire) et axé sur ce rite de passage qui est le baccalauréat, a démarré à peine en 1892, de la main des communautés religieuses enseignantes apelées au pays par le régime politique de "la regeneracion", et en coïncidence avec la mouvance néothomiste globale. La thèse dévelopée par M. Foucault dans son livre Les mots et les choses m'a ouvert aux enjeux conceptuels d'un autre manuel qui obséda les lettrés colombiens le long du XIXe siècle, les Éléments d'Idéologie du comte Destutt de Tracy. En même temps, il mets en lumière une espèce de mouvement tectonique sous-jacent aux querelles entre anciens et modernes au XIXe siècle: l'enjeu était de se frayer un passage entre deux modes incompatibles d'envisager la science: les méthodes déductives de la science rationnelle -mathématique- et les méthodes inductives de la science expérimentale. Ce faisant, la frontière accordée jusqu'alors entre le domaine de «l'objectivité » ,et celui de «la subjectivité» a été bouleversée à cause de cette tension que Foucault a appelé empirico-trascendentale. Voici donc, la clé qui explique l'ambiguïté épistémologique dans laquelle se sont constitués lesdites sciences de l'homme, et qui a marqué toutes les «systèmes de pensée » nés tout au long de ce siècle, y compris la néoscolastique. la comparaison nous a delivré la grille d'appropriation de la néoscolastique, c-à-d, le reseau de questions théoriques et pratiques à laquelle le néothomisme a du donner réponse autant de façon globale que locale. Cette grille peut être décrite comme suit: Le concordisme épistémologique entre les vérités absolues du dogme avec les vérités relatives de la science est rendu possible grâce à la formulation suivante: "Il faut reconnaître deux types de vérités, d'après sa source: primo, des vérités qui procédent de l'expérience, et cause de quoi elles sont relatives et muables, ce son les appelées objectives. Sécond, des vérités qui sont produites par le sujet lui-même hors de toute expérience, tels les vérités mathématiques. Elles sont immuables et absolues, et on les appele subjectives". Or, il se fait que la distinction subjectif/objectif avait été thematisée de façon critique par Kant dès la fin du XVIII siècle, mais elle fut vulgarisée au XIXe siècle, dans la version tronquée -positiviste- que je viens de reférer, par Auguste Comte, et surtout, par Claude Bernard, dont l'Introduction à la médecine expérimentale, publiée en 1865, commença à être lue en Colombie depuis 1867. Cet enoncé; que j'appele "la charnière bernardienne" et qui a connu plusieures versions seculièeres ou religieuses -c'est ma thèse la plus forte-, a fourni un dispositif de négotiation, de "conciliation illusoire d'incompatibles" dont le néothomisme a profité pour faire passer l'idée de Dieu du côté des idéés subjectives. Et cet enoncé a été, d'après cette recherche, l'option stratégique que l'intelligentzia colombienne a appropriée pour la modernisation du pays; d'abord dans sa version séculaire et après dans la version catholique ou néoscolastique. Or, une telle notion de vérité était vouée à l'échec du point de vue scientifique, comme l'a montré l'histoire des "systèmes de métaphysique scientifique" tels que le positivisme; l'évolutionisme, et d'autres, dans lesquels je propose d'inclure le néothomisme. Mais cet échec epistémologique s'est vu doubler d'un succès pédagogique qui, à mon avis, explique finalement la survie de toutes ces "philosophies" dans la plupart des systèmes educatifs du XXe siècle, : il s'est fait, que la "charnière bernardienne" a pu être traduite, aussi à plusieurs versions; dans une pyramide qui échelonne les modes de la connaissance humaine à trois étages: à la base, le sens commun (ou ensemble de vérités universels qui devraient être partagées pour tout être humain en tant que rationnel); au deuxième lieu, les vérités scientifiques (qui sont considérées en tant que donées objectifs apportés par les sciences positives), et le tout couronné par la philosophie, celle qui ramène toute connaissance, commune et scientifique, à l'unité, au vrai, au beau, et au bon. Une fois que le sujet -le jeune homme- a été soumis à ce parcours; la société et lui-même, peuvent être rassurés, parce il a appris la discipline de la verité, peu importe le contenu que cette philosophie scolaire ait prise. Voilà pourquoi, s'il fallait que j'exprime mes résultats dans une seule phrase, -un peu trop publicitaire, hélas- je pourrais dire que le néothomisme a été une version du positivisme, ou la version catholique du positivisme, ou peut être, l'une des versions catholiques du positivisme, qui a eu son succés grâce à la pédagogie et non plus à l'épistémologie. Mais alors, on se demande de plein droit, à quoi reconnait-on le positivisme? J'ai suggeré ici quelques pistes; mais elles constituent le matériau d'une recherche que j'entame à peine dans la compagnie d'une équipe de collègues et d'éleves, une recherche aussi engagée que celle-ci, du point de vue de nos pays postcoloniaux latinoaméricains.
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Epistémologie et didactique de la gestion : Le cas du concept de décision / Epistemology and didactics of management : the case of the concept of decision

Keradec, Hervé 19 September 2012 (has links)
Deux questions sont à l’origine de cette recherche: 1) Quelles transformations affectent un savoir de gestion lorsqu’il sort du champ théorique pour devenir objet d’enseignement ? 2) Comment conserver, aux concepts enseignés en gestion, leur force initiale lorsqu’ils sont apparus dans le champ scientifique ? La problématique générale de l’articulation de l’épistémologie et de la didactique en gestion conduit à mettre en œuvre une méthodologie originale d’analyse d’un concept de gestion en cinq étapes : analyse du sens commun et des représentations du concept, étude du sens scientifique dans les traités et les œuvres de grands auteurs, repérage de la place du concept dans les programmes officiels, examen des manuels scolaires, identification des obstacles épistémologiques qui entravent la construction du concept par l’élève. Cette méthodologie est appliquée ici au concept de décision, concept nodal des sciences de gestion, qui est ici analysé en détail, et à sa didactisation dans la voie technologique tertiaire supérieure française. L’examen des programmes officiels et des manuels scolaires a montré que le savoir didactisé de la décision est une construction spécifique des auteurs de manuels, à mi chemin entre le sens commun et les sens scientifiques. Il est aussi apparu que la connaissance épistémologique des concepts en gestion ne suffit pas à en conserver la force initiale, mais que la culture épistémologique est nécessaire à la problématisation des concepts de gestion et à la didactique de leur conceptualisation. / This research stems from two questions: 1) What is the impact on scientific knowledge in management when it leaves the theoretical field of study to become an object of teaching? 2) Regarding the concepts taught in management how is it possible to preserve the initial strength they had when they were first introduced in the scientific field? The general issue of the articulation between epistemology and didactics in management leads to implement an original methodology for analysing a management concept in five steps: analyse the concept through a common sense approach and representations, study its scientific meaning from the treatises and works of great authors, identify the treatment of the concept in the national curriculum, study school textbooks, investigate the epistemological obstacles which hinder pupils from constructing the concept. This methodology applies here to the concept of decision, a central concept in management, which is precisely analysed in this research, and to the way it is apprehended didactically with a view to teaching students attending technological courses. Exploring the national curriculum and school textbooks has shown that the concept of decision adapted for teaching purposes is a specific construct which was created by textbook writers, half way between common sense and scientific sense. It has been made clear that the epistemological knowledge of management concepts is not enough to preserve their original strength. However the problematization of management concepts and the didactic study of their conceptualization require an epistemological culture.
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Entre démocratisation et tradition : la modernisation de l'enseignement en français à l'école bilingue franco-ontarienne (1927-1960)

Chaplain-Corriveau, Simon-Pierre January 2015 (has links)
Cette étude fait l’examen historique du processus de structuration pédagogique opéré par les membres du milieu associatif franco-ontarien se chargeant des écoles bilingues entre 1927 et 1960. En se fiant aux actions menées et aux discours formulés par deux des principales tribunes éducatives de l’Ontario français, l’Association canadienne-française d’Éducation d’Ontario (ACFEO) et l’Association d’enseignement français en Ontario (AEFO), elle vise à tâter la nature du projet scolaire que ces associations négocièrent auprès des autorités scolaires ontariennes. Elle analyse les repères thématiques de l’enseignement du français et de l’histoire à partir de la sphère discursive au sein de laquelle ils furent discutés. En suivant cette grille méthodologique, l’étude fait ressortir le procédé de modernisation de la pédagogie franco-ontarienne par la fondation d’un lieu professionnel où elle serait comprise par ses responsables comme la recherche d’un équilibre amalgamant idéaux nouveaux et héritage culturel. Cette thèse met en images la formulation historique d’un équilibre particulier alliant aux impératifs démocratiques le legs d’une tradition.

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