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De l'événement scientifique des "manipulations génétiques" au problème des OGM : une approche pragmatiste de la constitution de la dangerosité des OGM comme problème public au prisme de sa médiatisation télévisuelle (1953-2012) / From the scientific breaktrough of genetic manipulation to the GMOs Problem : a pragmatic approach of the constitution of GMOs as a public problem through television mediation (1953-2012)

Barry, Thierno Souaibou 16 October 2017 (has links)
Etudier la dynamique politique de la constitution du problème public des OGM au prisme de sa médiatisation télévisuelle, tel est l’objet de cette recherche. A rebours des théories sociologiques classiques des problèmes, dont le constructivisme est devenu l’indéniable référence, cette thèse aborde la question selon une approche pragmatiste. Elle montre que les problèmes se font moyennant des épreuves et des enquêtes qui font émerger des publics qui configurent le préjudice subi et rendent leur situation digne d’une préoccupation de l’Autorité politique. Considérer les problèmes comme une expérience, c’est référer leur origine à la survenue d’une nouveauté qui modifie le rapport au monde et exige une demande de sens. Tel que le montre cette thèse, la constitution du problème public des OGM est inséparable de la prise en compte de l’émergence spectaculaire dans les années 70 de ce que l’on considère comme l’un des plus grands événements scientifiques de l’histoire du monde, à savoir les manipulations génétiques. Le lien que tisse cette recherche entre événement et problème public est à la fois central et original pour comprendre comment au milieu des années 90, les OGM alimentaires sont, de manière assez singulière, constitués comme problème public par un ensemble d’acteurs sociaux parmi lesquels la télévision. Si les problèmes publics font émerger une arène sociale de dispute composée de multiples scènes publiques, la télévision fait partie de ces scènes qui accueillent et participent au procès de publicisation. En tant qu’opérateur de signification, le dispositif télévisuel joue un rôle fondamental dans l’individuation de l’événement scientifique et du problème public qu’il engendre. Par l’ensemble de ses opérations de médiation, ses cadrages et contre-cadrages, il participe avec les publics politiques et d’autres acteurs, à la problématisation et à la déproblématisation de la question. Cette dynamique collective est au cœur de l’hypothèse générale défendue par cette thèse, qui est que le problème représente un grand moment de transformation au cours duquel la société s’auto-réfléchit et s’auto-produit. / The aim of this research is to analyze the political dynamics of the formation of genetically modified organisms as a public problem through television mediation. In an effort to distance this work from classic sociological theory of public problems, best embodied by constructivism, this thesis follows a pragmatic approach. Such as theoretical standpoint enables us to demonstrate that problems are formed through processes of enquiry which lead to the formation of specific publics. These publics will reconfigure the perceived consequences of problems, and try to make a situation worthy of consideration by public authorities. To refer to problems as experiences is to consider their origin as an occurrence of novelty, which alters one’s relationship to the world, and establishes a demand for meaning. As it is shown in this work, the formation of GMOs as a public problem is inseparable from the awareness of the spectacular emergence of genetic manipulation in the 70’s, which can be considered as one of the major scientific events of the known world.The strong connection between events and public problems is both paramount and innovative, as it allows us to understand how in the mid 90’s GM food organisms are formed as public problems by a variety of social agents, among which the television. If public problems create an arena of dispute composed of many public scenes, the television acts as a public scene which harbors and engages in the publicization process. As a provider of problematization, it plays a key role in singling out the scientific event and the public problem it gives rise to, through framing, reframing, and various mediation operations which include political publics and agents. In this work, the collective dynamics at work are central to the hypothesis that a problem constitutes a key moment of transformation during which society engages in self-reflexive and self-productive processes.
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Pragmatism and Christian Realism in the Political Thought of Reinhold Niebuhr : An Analysis and Evolution of American Liberalism / Pragmatisme et réalisme chrétien dans la pensée politique de Reinhold Niebuhr : une analyse et évolution du libéralisme américain

Doughty, James 08 December 2017 (has links)
Ce travail visera à analyser la pensée politique du théologien et politologue américain Reinhold Niebuhr (1892-1971), et plus particulièrement la façon dont le Pragmatisme a pu influencer son oeuvre. Critique à l’égard de l’idéalisme libéral de John Dewey (1859-1952), et plus spécifiquement à l’encontre de l’optimisme dont faisait preuve le pragmatisme politique vis-à-vis de la nature de l’homme, Niebuhr n’arriva pourtant pas à échapper à l’influence du pragmatisme, d’où le sujet de ce travail de recherche : les influences du Pragmatisme politique, celui de John Dewey plus particulièrement, sur l’oeuvre de Reinhold Niebuhr et sur son réalisme chrétien. Cette thèse rassemblera les grandes oeuvres des deux penseurs pour comparer la pensée politique de chacun. Selon Niebuhr, la pensée de Dewey n’était qu’une continuation de l’idéalisme des Lumières ; Dewey restait figé dans un optimisme injustifié à propos de la vision globalement bonne de la nature humaine. Néanmoins, malgré cette critique, Niebuhr fut influencé par ce dernier. L’objectif de cette thèse est de souligner ces influences sur le travail de Niebuhr afin de montrer que la pensée niebuhrienne est un prolongement de la pensée pragmatiste de Dewey, démontré par le Pragmatisme chrétien, et que Niebuhr fait partie du courant de pensée libérale malgré lui. Au mépris des différences fondamentales entre les deux hommes, nous allons donc tenter de démontrer que Niebuhr s’inscrit dans une tradition intellectuelle typiquement américaine, le Pragmatisme étant considéré comme le seul mouvement philosophique authentiquement américain, afin de parvenir à une plus grande connaissance de ces deux penseurs majeurs, mais, aussi, du paysage politique américain. / This work aims to analyze the political thought of the American theologian and political scientist Reinhold Niebuhr (1892-1971). More specifically, it will analyze the way in which Pragmatism was able to influence Niebuhr’s writings. Critical towards the liberal idealism of John Dewey (1859-1952), Niebuhr’s Christian realism was a counter against the optimism that political Pragmatism demonstrated in regards to the nature of man. Despite these criticisms, Niebuhr was unable to escape Pragmatism’s influence. This influence is the reason for this research: how political Pragmatism, specifically that of John Dewey was able to have an impact on Reinhold Niebuhr’s works and his Christian realism. This thesis will study the major works of these two thinkers in order to compare the political thought of each thinker. Younger than Dewey, Niebuhr had for a long time considered Dewey’s thought as nothing more than an idealized and outdated continuation of Enlightenment optimism which was incapable of accurately analyzing the contemporary world. Nevertheless, Niebuhr was influenced by Dewey. This thesis’s goal is to highlight the influences of Pragmatism in Niebuhr’s works in order to show that Niebuhrian thought is a continuation of Dewey’s pragmatic thought, specifically through the notions of Christian Pragmatism and therefore, fits within an overall framework of American Liberalism. In spite of the fundamental differences in thought, we are going to attempt to show that Niebuhr was a part of the typically American intellectual tradition, that is to say, Pragmatism; considered to be a uniquely American philosophical movement. It will be analyzed in order to achieve a greater understanding of these important thinkers, but also, of America’s political landscape.
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Tracer des reprises du Pragmatisme en architecture (1990-2010). Penser l'engagement des architectes avec le réel.

Lefebvre, Pauline 28 September 2016 (has links)
Cette thèse porte sur les récents succès du pragmatisme en architecture. Elle s’intéresse particulièrement aux moments où le terme ‘pragmatisme’ prend un sens philosophique, lorsqu’une alliance est établie avec le courant de pensée entamé par Peirce, James et Dewey à la fin du 19ème siècle. L’objectif est de considérer à nouveaux frais la manière dont le terme a été discuté quand le milieu (principalement nord-américain) de la théorie de l'architecture s’est mis à aspirer à « un nouveau pragmatisme architectural » dans les années 1990 et 2000. Certains architectes ont commencé à réclamer une refocalisation sur les aspects pratiques de l’architecture, face à une discipline qui était devenue très théorique, surtout du fait des récents succès de la théorie critique allemande et du structuralisme et poststructuralisme français. Ils se désintéressaient de ces influences théoriques difficiles et mettaient surtout en cause la forme discursive que l’architecture s’était mise à prendre. Ils défendaient un retour à la pratique, à son aspect expérimental, projectif. Ce mouvement a soulevé beaucoup d’objections de la part de penseurs qui craignaient que ce tournant pro-pratique, anti-théorique ou encore « post-critique » ne prive les architectes des garde-fous assurés par la distance critique et ne les mène tout droit dans les affres de l’instrumentalisme, de l’anti-intellectualisme, et surtout de la complicité avec le marché ou le pouvoir. Mes recherches explorent les rares occasions où une philosophie alternative – le Pragmatisme – a été introduite pour tempérer ce mouvement anti-théorie. Dans ce contexte, certains ont considéré le Pragmatisme comme une alternative américaine secourable pour succéder aux philosophies continentales. Malgré ces tentatives, le Pragmatisme est très rarement considéré comme une véritable alternative à la théorie critique, du point de vue de la posture politique qu’il engendrerait :ceux qui redoutent les conséquences de l’attitude désinvolte des post-critiques n’admettent pas que le Pragmatisme puisse offrir des formes différentes d’engagement politique et de responsabilités morales, qui soient plus ancrées dans la pratique, sans être pour autant moins exigeantes. La thèse s’empare de cet angle mort, de ce manque de confiance face aux promesses du Pragmatisme. Elle met en évidence les contributions qui ont choisi le Pragmatisme comme alternative à la critique ou du moins comme moyen de repenser les engagements des architectes à nouveaux frais, loin du réquisit de distanciation et d’autonomie imposé par la critique. La thèse prolonge encore cette exploration par un travail spéculatif, sous la forme de « et si ». Au travers d’une lecture approfondie des premiers pragmatistes, une série d’essais ponctuent la cartographie des récents succès du Pragmatisme en architecture, afin de penser – avec cette philosophie – l’engagement des architectes avec le réel. / Doctorat en Art de bâtir et urbanisme (Architecture) / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Autonomie et gouvernance : contribution à une anthropologie politique du signe / Autonomy and governance. A contribution to political anthropology of the sign.

Peyrolle, Jean-Claude 19 June 2014 (has links)
L’efficience organisationnelle résulte d’une myriade de microdécisions prises au plus près possible du lieu et du temps d’où émerge la perturbation contextuelle. Le Toyota Production System, au niveau du management, ou l’essor d’Apple Corporation, au niveau des outils pratiques de productivité individuelle, témoignent de cette évolution où la pensée n’est plus séparée de l’action. A preuve, les itinéraires des principaux acteurs de la révolution numérique : les fondateurs de Linux, de Yahoo!, de Wikipédia, d’Amazon.com, de Google ou de Facebook. Ils ne sont pas partis d’une théorie apprise sur les bancs d’une institution scolaire. Procédant par essais et par erreurs, ils n’ont jamais séparé la pensée de l’action. On retrouve ce pragmatisme vertueux en Bavière, Flandre, Ecosse, Euzkadi, Catalogne, Lombardie, Vénétie… Ces régions jouissent du même type d’autonomie – y compris et surtout au niveau culturel - que les Länders allemands ou les cantons helvétiques. La France jacobine a suivi la voie inverse : éradiquer les langues régionales et minoritaires c’est-à-dire les systèmes de signes demeurés au contact sensoriel des choses. Or aujourd’hui, la montée en puissance de la complexité, en saturant la puissance significative du concept, crée les conditions du retour du signe. A l’heure d’Internet, de la transition énergétique et de la nouvelle phase de la mondialisation qui obligent à penser global pour mieux agir local, le retour du signe est inévitable. Il devrait favoriser des modes de production autonome de sens autorisant les organisations et territoires à s’adapter aux mutations d’un contexte devenu imprévisible. / Organizational efficiency is the result of a myriad of micro decisions taken as close as possible from the place and time at which contextual interference emerges. The Toyota Production System, on the management level, and the boom of the Apple Corporation, on the level of the intuitive tools for personal productivity, demonstrate this evolution where thought and action are no more segregated. Proof is the path taken by the main actors of the digital revolution : the founders of Linux, Yahoo!, Wikipedia, Amazon.com, Google or Facebook. It did not begin from a classroom theory, but by a trial and error approach that never disconnected the mind from the act.This virtuous pragmatism is also found in Bavaria, Flanders, Scotland, Euskadi, Catalonia, Lombardy, Veneto ... Indeed, these regions have an autonomy - including and particularly at the cultural level - similar to that of the German Länder or the Swiss cantons. On the contrary, Jacobin France followed the opposite path: the eradication of regional and minority languages in which sensory contact with things remained in the sign systems.But today, the rise of complexity, even saturating the significant power of the concept itself, brings the conditions for the return of the sign.
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Si c'est vrai, qu'est-ce que ça change ?William James :fabrique des savoirs, fabrique philosophique

Drumm, Thierry 05 September 2014 (has links)
La tentative menée ici consiste à s’adresser au travail de William James (1842-1910) afin d’y chercher des moyens pour répondre à un problème qui nous concerne intensément :celui du décret séparant la connaissance et le changement. James nous rend en effet sensibles à la manière dont les conceptions habituelles avaient constamment maintenu un point de vue qui interdisait en principe qu’une idée puisse faire une différence. Il nous permet également de sentir à quel point ces conceptions ne peuvent qu’être profondément désespérantes. Cinq moments vont se succéder. Dans un premier temps, il s’agira, avec James, de nous connecter à la situation déconnectée, de saisir cette situation dans les dispositifs mêmes qui y creusent un gouffre séparant « la pensée » d’une « réalité » qui lui semble étrangère. Cette « saisie » s’efforce de remédier à l’anesthésie face à des conceptions qui produisent le désespoir et l’indifférence (« Se connecter / Situer »). Dès lors qu’est, au moins partiellement, levée la sidération qu’entraînent les versions rationalistes des connaissances, il devient possible de ré-épaissir ce que James appelle les « trois départements » de l’intelligence, ces modes d’expériences qui nourrissent les pratiques concrètes de connaissance. Pour commencer, c’est « agir » qui n’apparaît plus comme une incongruité quand il est question de connaître. La quête de certitudes indifférentes n’est pas tenable :connaître requiert la culture d’une confiance active et collective capable de rendre vraies des idées non-garanties (« Faire confiance / Agir »). Ensuite, c’est à propos des sensations que l’on s’aperçoit combien rien ne justifie de les vider de toute activité et de toute capacité. Cinq contraintes jamesiennes (épaissir, particulariser, pluraliser, relativiser, machiner) sont convoquées pour explorer les possibilités ouvertes à cet égard par un empirisme radical (« Faire le plein / Sentir »). Mais, les sensations ne se distinguant des conceptions que d’un point de vue pratique, les premières ne retrouvent pas des couleurs sans que les secondes n’en fassent autant. Les conceptions sont libérées de l’obligation qui leur était faite de seulement « copier » une réalité supposément toute faite ;prises concrètement, elles apparaissent comme pouvant désigner ces opérations délicates qui permettent aux mondes de déplier de multiples versions. C’est toute une agitation que de concevoir (« Faire des histoires / Concevoir »). Ces opérations jamesiennes (« se connecter », « faire confiance », « faire le plein », « faire des histoires ») ne visent aucunement la révélation d’une « nature » qui définirait la « pensée », mais, au contraire, elles visent l’activation de possibilités inattendues d’inventer des connaissances significatives, particulières et intéressantes. Il apparaît que ces possibilités – c’est l’hypothèse de James – avaient été tout spécialement limitées par l’omission des expériences concrètes de relation. Cette omission s’était accompagnée de la constitution tout à fait effective d’une pensée « privée » (« privée » à plus d’un titre). Il s’agit alors de relayer encore cette autre opération jamesienne – qui irriguait toutes les autres mais qui exige pour finir une attention spécifique –, celle qui consiste à restaurer les expériences de relation et à intensifier l’importance des « marges » et des « radicelles » (« S’associer / Agirpâtir »). / Doctorat en Philosophie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Nietzsche et William James : réformer la philosophie / Nietzsche and William James : reforming philosophy

Karakas, Tahir 18 April 2012 (has links)
L'ambition de cette thèse est de faire dialoguer deux pensées philosophiques qui au premier abord semblent radicalement différentes : la première phase, essentiellement américaine, du mouvement pragmatiste, et d'autre part, un penseur atypique, qui présente la particularité de se détourner de la quasi-totalité de la tradition philosophique antérieure. Par leur inscription géographique, par leur manière de procéder, ces deux pensées semblent appartenir à des mondes radicalement disjoints.Que pourraient se dire nos deux philosophes-« psychologues », Nietzsche et William James au sujet de la philosophie elle-même ? Leurs paroles pourraient-elles se croiser quelque part dans un univers philosophique âgé de plus de deux millénaires ? Ces deux philosophes, l'un inventeur du terme du « bon européen » et l'autre, considéré comme le philosophe américain par excellence et en même temps le plus européen des philosophes américains, ont-ils quelques mots à partager ? Que peut-il y avoir en commun chez ces deux philosophes, sauf à être considérés par Mussolini comme ses maîtres de philosophie à côté de Sorel ?Et enfin, dans quelle mesure peut-on parler d'un pragmatisme nietzschéen ? Ya-t-il des éléments dans la pensée de Nietzsche nous permettant de faire un rapprochement entre sa pensée et le pragmatisme jamesien ? Si la réponse à la question est positive, jusqu'où peuvent aller les similarités de leurs positions philosophiques ? C'est à ces questions que nous essayons de répondre dans cette étude. / The object of this thesis is to open a dialogue between two philosophical thoughts, which, at first glance, seem to be fundamentally different in many respects: on the one hand, the earlier period of pragmatist movement mainly represented by William James; and on the other,an atypical philosopher who has the distinction of turning away from all the previous philosophical tradition, Friedrich Nietzsche. The central questions of these two philosophers and their way of practicing philosophy represent two philosophical worlds radically different. However, several philosophers and authors have already drawn some interesting analogies between Nietzsche and James without debating the issue in depth. What could say our two “psychologists” philosophers, Nietzsche and James about philosophy itself? Their words might they intersect somewhere in a philosophical universe older than two millennia? These two philosophers, one the inventor of the term "good European" and the other, considered as the American philosopher par excellence and also the most European of American philosophers; do they have a few words to share? What can there be in common between these two philosophers, except to be considered by Mussolini as his philosophical masters alongside Sorel?And finally, to what extent one can speak of a Nietzscheanpragmatism? These are some of the questions that we address in this thesis in order to initiate the debate between Nietzsche and James.
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Tsiang Tingfu : une vie intellectuelle et politique (1895-1937)

Zhao, Fangwei 07 1900 (has links)
Dans l’histoire de la République de Chine, Tsiang Tingfu était un historien et un critique politique, en même temps, il était un politicien représentatif dans la grande vague des « experts en politique ». Ce mémoire se concentre sur sa pensée et ses expériences dans la première moitié de sa vie. Pendant cette période, Tsiang a présenté les caractères de la maturité et l’activité dans sa pensée. En particulier, dans les années de 1930, il a déjà préconisé la pensée la plus importante qui a provoqué un gros débat entre les intellectuels chinois. Au travers des expériences de Tsiang de suivre les études, on fait ressortir que la culture traditionnelle chinoise et la nouvelle éducation occidentale ont conjointement influencé sa pensée. Dans ce mémoire, on analyse ses opinions et ses pratiques en politique et trouve que les noyaux de sa pensée consistent au nationalisme et à son intention de la modernisation chinoise. Au fur et à mesure de l’aggravation de l’invasion japonaise en Chine, la sauvegarde de la nation a occupé la position centrale dans ses opinions, et sa pensée a été devenue conservatrice. En 1935, stimulé par son sens de responsabilité comme un intellectuel, Tsiang a participé au gouvernement nationaliste chinois et a servi ce régime jusqu’à sa retraite. / Tsiang Tingfu was a historian and political critic. In the history of the Republic of China, he was also a representative politician in the wave of "scholar-bureaucrat". This thesis focuses on his thoughts and his experiences in the first half of his life when Tsiang exhibited characteristics of maturity and activity in his thinking. In particular, in the 1930s, as one of the leaders of the public opinion in China, he had advocated most of his important thoughts which triggered a heated discussion among the Chinese intellectuals. Through investigating each step in his educational career, we come to the conclusion that both the Chinese traditional culture and the Western education had shaped his later political and social thinking. By examining his principle political thoughts and his social practices, it is also found that the core of his thoughts lies in the nationalism and his intention of Chinese modernization. As the Japanese invasion intensified in China, saving the nation became his superior value and his thought therefore turned to the conservative. In 1935, prompted by the sense of responsibility as an intellectual, Tsiang participated in the Nationalist government and had served it until his retirement.
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La médiation socionumérique du street artivisme en Egypte (2010-2013) et sa contribution à l’émergence d’un public politique : approche sémiotique d’une expérience esthétique révolutionnaire / The sociodigital mediation of street artivism in Egypt (2010-2013) and its contribution to the rise of a political public : semiotic approach of an aesthetic revolutionary experience

Abdel Hamid, Mohammad 26 January 2017 (has links)
La transgression discursive que constitue le street art peut s’exprimer dans divers espaces. Si les œuvres apparaissent tout d’abord dans la rue, leurs reprises sur les réseaux socionumériques leur octroient de nouvelles spatialité et temporalité ; elles sont alors non seulement inscrites dans la durée, mais également intégrées dans un nouvel « effet de sens ». Passant d’un mur urbain à un mur socionumérique, cet acte subversif engage à la constitution d’une communauté autour d’une thématique ou un centre d’intérêt plus ou moins politisé. L’Egypte voit le street art soudainement apparaître dans ses rues et se répandre comme une traînée de poudre sur les réseaux socionumériques dès le soulèvement insurrectionnel de janvier-février 2011. A partir de ce constat, il s’agit d’étudier la contribution de la médiation socionumérique du street art, prise en charge par des communautés activistes, à un agir des collectifs politiques. Ce travail de thèse a pour principal objectif de vérifier dans quelle mesure ces collectifs s’instituent en un public politique revendiquant la chute d’un régime ainsi que la mise en place d’un pouvoir civil et démocratique. Une approche pragmatiste, associant une « théorie de l’action » deweyienne à une sémiotique peircienne, est mise à l’œuvre afin d’observer les actions d’un public. Celles-ci sont suscitées par des dispositifs médiatiques, dont les auteurs insèrent dans leur discours des images street artivistes, générant des récits mythographiques victimaires et martyrologiques. / The discursive transgression of street art can be expressed in various spaces. In the street for a first appearance, but the coverings on the social networks give new spatiality and temporality to a work, they now inscribe it in duration as well as in a new "effect of meaning". Moving from an urban wall to a sociodigital wall, subversion commits to the constitution of a community around a thematic or a more or less politicized center of interest. Egypt in 2010 sees street art suddenly appearing in its streets and spreading like wildfire on the sociodigital networks from the insurrectional uprising of January-February 2011.From this observation, it will be necessary to study the contribution of the social media mediation of street art, taken over by activist communities, to incite political collectives to an action. This work of thesis will try to verify to what extent these collectives are instituted in a political public demanding the fall of a political regime as well as the establishment of a civil and democratic power. A pragmatist approach will combine a deweyian "theory of action" with a Peircian semiotics in order to observe the actions of a political public. These are aroused by media devices, which include street artivist images in their speeches, generating victimary and martyrological mythographic narratives.
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Ethique et vie scolaire : pragmatisme du censeur de vie scolaire chargé de la discipline / Ethics and school life : pragmatism of of deputy headmaster in charge of school life and discipline

Cissé Mpemba, Liz Odette 10 December 2015 (has links)
Au Gabon, le Censeur de vie scolaire (CVS) est nommé en Conseil de Ministres. C’est une fonction qui suscite un certain nombre de préoccupations au regard de l’environnement entropique dans lequel elle s’exerce, de sa méconnaissance et incompréhension par les différents acteurs et surtout à cause de l’inexistence d’un cadre institutionnel et fonctionnel clairement défini. L’environnement entropique pose la question des valeurs dont l’élève est imprégné et celle du pragmatisme éthique du CVS, vu qu’il a la responsabilité de donner aux élèves la capacité de « s’élever » eux-mêmes sur les plans physique, intellectuel, moral, mental et pourquoi pas spirituel. Par une approche de l’étendue du mouvement profond de l’éthique, de la responsabilité vocationnel, par des valeurs caractéristiques, il a été possible de comprendre, à travers l’analyse du contenu des entretiens avec les sujets, l’éthique des sujets. C’est une éthique aux variations et vibrations fréquentielles faibles, propres à chaque sujet. Elle présente aussi des convergences vers une transversalité à tous les sujets. A cette éthique, nous proposons une amélioration de l’environnement de travail des sujets tout comme une croissance et un dépli de leur ipséité professionnelle. Nous entrevoyons de mettre l’instabilité et la faiblesse des interactions des sujets au profit d’un mouvement réenchanteur de leur réalité, par l’action non intentionnelle. Les sujets pourraient se défaire du moi observateur pour accepter l’instabilité qu’occasionne le changement constant de ce moi. / In Gabon, the deputy Head master in charge of life and discipline reaches that function after a nomination decided in a council of ministers. This function raises some concern related to the entropic environment in which the activity is practiced.The entropic setting with reference to the learner raises the question of the values the latter is marked with. As for the function of deputy headmaster in charge of school life and discipline, the concern is that of his/her ethical pragmatism, given that he/she has the duty to conduct the training of the pupils while giving them the opportunity to “arise” physically, intellectually, morally and if possible, spiritually. As for the approaches in this dissertation, we dealt with the complexity of the deep movement of ethics, the responsibility at vocational and meta-levels and that of specific and contextual values that have been identified through the analysis of the interviews the pupils have been submitted to and which are recorded as ethics of the target audience. It is an ethics whose variations and weak frequencial variations are specific to each person.At the individual level, every deputy headmaster in charge of school life and discipline should reach a growth and a depli of his/her professional ipseity. Beyond the individual ethics, our aim in proposing an improvement of the working environment is to use the instability and the weakness of the subjects’ interactions as unintentionally favoring elements of their reality. The subjects can therefore get rid of the consciousness of their observing ego, to adopt the instability caused by a constant change of standpoint.
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Éducation, Science et Société dans la dernière philosophie de John Dewey (1929-1939) : de la continuité de l'enquête à l'inquiétude des frontières / Education, Science and Society in John's Dewey's later thought : between continuity of inquiet and inquietudetowards frontiers

Renier, Samuel 10 December 2014 (has links)
Le 26 février 1929, le philosophe américain John Dewey prononce une conférence devant un public d’étudiants et d’enseignants dans lequel il se prononce nettement en faveur de la mise en place d’une science de l’éducation, dont il développe les principales caractéristiques. La décennie qui suit va alors s’avérer d’une grande richesse intellectuelle et voir Dewey travailler ardemment à l’approfondissement et à l’élargissement de sa réflexion philosophique en direction de nouveaux champs et de nouvelles problématiques. Paradoxalement, cette période est également celle où son œuvre éducative semble la moins bien connue, en comparaison de ses premiers travaux sur le sujet, qui contribuèrent à sa renommée précoce sur le plan international. L’ambition du présent travail est donc d’étudier la réflexion éducative qu’il mène dans cette période, à la lumière du renouveau qu’elle apporte dans la compréhension globale de son œuvre. A travers la science de l’éducation, l’enjeu est alors d’observer en quoi la réflexion éducative de Dewey est susceptible de rejoindre ses théories du social et de la connaissance afin de proposer un schème d’analyse cohérent, à même de nous aider à faire face à l’inquiétude d’un monde en perpétuelle évolution. / On November 26th 1929, American philosopher John Dewey gave an address to an audience comprising students and teachers, in which occasion he advocated for the development of a Science of education and described its main features. The following decade is then one of a great intellectual wealth and sees Dewey working hard to broaden and deepen the range of his philosophical thought towards new fields and new problems to deal with. Surprisingly enough, this period also seems to be one concerning which his contribution to education appears to be of less importance, when compared to his first achievements in the field which brought him an early and international fame. The scope of our paper is accordingly to study the educational thinking entertained by Dewey at that time, at the dawn of the renewed light it sheds over the comprehensive significance of his work. Through a Science of education, our aim is then to analyze how Dewey’s educational thinking may connect to his theories of science and society in order to provide a consistent scheme of analysis, which may reveal itself helpful in facing the inquietude of a world in constant evolution.

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