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La sécularisation de la répudiation : ou l'avènement de la rupture unilatérale et discrétionnaire en droit français

Koumdadji, Abla 13 December 2010 (has links) (PDF)
D'origine essentiellement religieuse, la répudiation est la rupture unilatérale et discrétionnaire du mariage décidée par l'époux. En droit musulman, elle permet au mari de mettre un terme à la relation maritale sans avoir à se justifier. En France, cette institution est critiquée et même rejetée tant elle paraît étrangère à la civilisation européenne. Pourtant, à y regarder de plus près, la rupture unilatérale et discrétionnaire du couple existe en droit français sous l'appellation de " divorce pour altération définitive du lien conjugal " pour le mariage, mais encore de "rupture unilatérale " s'agissant du pacte civil de solidarité et du concubinage. La différence tient au titulaire de l'exercice de ce droit, alors que la répudiation ne peut être mise en oeuvre que par l'homme, la rupture unilatérale et discrétionnaire du mariage, du PACS et du concubinage peut être décidée par l'homme ou la femme. Toutefois, fondamentalement, les effets sont les mêmes : l'un décide, l'autre subit. Que la rupture soit judiciaire ou non judiciaire, ce mode de dissolution laisse perplexe quant à l'attitude du juge et du législateur français face à la répudiation. Le premier refuse, depuis le 17 février 2004, de reconnaître des effets aux répudiations musulmanes en France sous couvert de la violation du principe d'égalité entre époux. Le second, cautionne la rupture unilatérale et discrétionnaire au sein du couple.
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Le mouvement laïque de langue française : laïcité et identité québécoise dans les années 1960

Tessier, Nicolas January 2008 (has links) (PDF)
Le Mouvement laïque de langue française (MLF), dont la période d'activité est de 1961 à 1969, est un groupe ayant fait la promotion de la laïcité au Québec durant la Révolution tranquille. Le MLF est issu de la confluence de mouvements dénonçant le cléricalisme sous le régime de Maurice Duplessis, d'une volonté de réformer le système d'éducation, ainsi que d'une prise de conscience du pluralisme croissant de la société québécoise. Concentrant ses activités principalement dans le domaine scolaire, le MLF a notamment fait la promotion à la commission Parent (instituée quelques semaines avant sa fondation) de l'urgence de réformer le système scolaire vers une éducation divisée selon la langue plutôt que selon la religion et vers un secteur neutre, respectueux des libertés de conscience des minorités. Cette entreprise s'est avérée une demi-victoire pour le MLF, qui a vu les minorités religieuses et non confessionnelles être intégrées à un réseau demeuré confessionnel, quoique plus ouvert et tolérant sur le plan religieux. Toutefois, l'évolution du MLF traduit la manière dont s'est laïcisé le Québec lors de la Révolution tranquille. Son arrivée sur la scène publique illustre une prise de conscience du pluralisme de la société, que les institutions publiques, en pleine réforme, doivent prendre en considération. Par la suite, il devient plus radical, adopte une conception plus sociale, plus identitaire de la laïcité, ce qui l'amène graduellement à subsumer son combat dans la question nationale du Québec. Somme toute, le MLF, qui s'identifie ouvertement à la culture francophone, témoigne d'une mutation de l'identité québécoise, qui se dissocie de ses références religieuses pour s'axer davantage sur une identité linguistique. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Histoire, Québec, Laïcité, Identité, Révolution tranquille, 1960-1969.
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L'actualisation du catholicisme québécois : la revue "Maintenant" (1962-1974)

Roy, Martin 08 1900 (has links) (PDF)
Le présent mémoire s'est fixé pour objectif d'approfondir les connaissances dont nous disposons déjà sur la revue catholique d'opinion Maintenant (1962 -1974). Il présente le double aspect d'une histoire de cette revue intellectuelle et d'une analyse de ses idées politiques et de celles portant sur l'inscription institutionnelle du christianisme. Aussi, certains aspects de sa pensée (morale sexuelle, ecclésiologie) ne sont pas abordés. En ce qui a trait à l'histoire de la revue, nous avons considéré entre autres les structures organisationnelles et le statut de Maintenant. Pour nous aider dans ce travail, nous avons mené une entrevue auprès d’Hélène Pelletier-Baillargeon qui a fait partie de l'équipe de la revue depuis ses débuts. Quant aux idées politico-institutionnelles de la publication, nous avons procédé à une analyse de contenu thématique qualitative. Notre travail a voulu par ailleurs vérifier si, dans l'interprétation qu'elle a donnée du christianisme sur le plan politique et au chapitre des relations entre l'Église catholique et la société, Maintenant a entrepris un travail d'actualisation de la tradition chrétienne québécoise, entre le repli passéiste et l'assimilation, dans un contexte, celui des années 1960 et 1970, où un processus de sécularisation et de modernisation transforme la société québécoise. Les résultats auxquels aboutit la recherche confirment cette hypothèse. L'analyse de la vie interne de la revue nous a permis d'établir que la revue a bénéficié d'une grande liberté qui lui a donné la possibilité d'être audacieuse sur le plan des idées. Au chapitre des rapports entre l'Église et la société, Maintenant a rejeté à la fois l'idée de chrétienté, empreinte de cléricalisme, et l'assimilation pure et simple du chrétien à la société séculière. Le chrétien s'y intègre, mais il doit pouvoir exprimer sa foi au sein d'institutions neutres (et non plus confessionnelles). Finalement, la revue a présenté des attitudes et des idées politiques qui, tout en innovant par rapport au passé catholique, ne répudient pas l’essence et la logique même de la tradition chrétienne. Ainsi, même si l'équipe de la revue se rallie à la gauche indépendantiste, bien des thèmes de la pensée sociale chrétienne colorent ses positions. Au total, donc, Maintenant a bel et bien entrepris d'actualiser la tradition catholique québécoise, renvoyant dos à dos le refus de l'adaptation et l'assimilation dissolvante. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Catholicisme, Maintenant, gauche chrétienne, sécularisation, Révolution tranquille.
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Le développement d'une pensée séculière par la diffusion de la religion : une sociologie des humanistes

Dion, Rosalie 11 1900 (has links)
Ancré dans une perspective historique, ce mémoire cherche à mettre en application une relecture de la théorie wébérienne de la « rationalisation éthique » comme facteur explicatif de la reconfiguration moderne du rapport entretenu entre les individus et la religion. Un retour sur les changements survenus dans la pensée religieuse de la Renaissance — pensée mise en contraste avec la situation religieuse des populations du Moyen-Âge — permet de mettre en évidence le passage d’une religion syncrétique, ritualiste et imprégnée de magie, à un christianisme épuré, intériorisé et rationnel. L’étude de la pensée religieuse de l’humaniste Érasme de Rotterdam, pris comme « figure historique » porteuse de cette transformation, pointe vers la diffusion à la Renaissance d’un christianisme compris comme système philosophique compréhensif dépouillé de son caractère mystique. Cette diffusion d’un « esprit » chrétien, et l’importance accordée à la mise en œuvre d’une conduite de vie méthodique spécifiquement orientée vers le salut, participe au premier chef d’un processus de « quotidianisation » du charisme religieux, prélude essentiel, dans une perspective wébérienne, à la « rationalisation éthique » et à l’autonomisation de la sphère religieuse dans la vie sociale. / By way of a historical perspective, this masters thesis aims to reconsider the weberian “ethical rationalization” theory as an explanatory factor for the modern transformation of the relationship between individuals and religion. Reviewing the changes in Renaissance religious thought—and contrasting it with the Medieval religious context—enables us to uncover a shift from a syncretic and ritualized religion that is filled with magical elements, towards an uncluttered, internalized and rational Christianity. The focus on Erasmus of Rotterdam’s religious humanist thought—considered here as a “historical figure” and carrier of these transformations—brings light on how Christianity was stripped of its mystical aspects and came to be understood as a comprehensive philosophical system. The dissemination of such a Christian “spirit”, as well as the importance granted to a methodical way of life specifically oriented towards salvation, play a key role in the appearance of a “quotidian ritualization” of religious charisma, which is in itself, according to Weber, an essential preliminary to an “ethical rationalization” and thus to the “autonomization” of the religious sphere in the social life.
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Dialectique et sécularisation chez Charles Taylor

St-Laurent, Guillaume 08 1900 (has links)
L’objectif central du présent mémoire consiste à interroger les implications générales de l’interprétation taylorienne de la sécularisation, telle que déployée dans ‘A Secular Age’ (2007), pour la philosophie de la religion. Nous soutenons que l’approche herméneutique de notre auteur, reposant sur son anthropologie philosophique, a pour effet d’arrimer de façon indissociable et originale le problème de la sécularisation avec le questionnement philosophique sur la religion. À cet effet, nous présentons la critique du naturalisme déployée par Taylor ainsi que les grandes lignes de sa ‘dialectique’ afin de clarifier l’orientation générale de sa démarche. Nous passons ensuite à une analyse de son interprétation de la sécularisation ainsi que des implications de cette dernière pour les questions constitutives de la philosophie de la religion, touchant notamment la nature de la religion, le statut épistémologique des croyances religieuses, les rapports entre foi et raison ainsi que la relation entre la religion et la science moderne. Nous terminons sur un ton plus critique en interrogeant le ‘réalisme métaéthique’ de notre auteur et en soutenant que sa position pourrait constituer la base d’un ‘récit soustractif’ plus robuste et pénétrant. / The central aim of this work is to assess the most general implications of the interpretation of secularization by Charles Taylor, as it is deployed in ‘A Secular Age’ (2007), for the domain of philosophy of religion. We argue that the hermeneutical approach of Taylor, resting on his philosophical anthropology, binds together in an original and indivisible fashion the problem of secularization and the philosophical reflection on religion. To this effect, I describe his critique of naturalism and the broad lines of his ‘dialectic’ in order to clarify the general orientation of his work. I then move to an analysis of his interpretation of secularization and its implications for the constitutive questions in philosophy of religion, notably regarding the nature of religion, the epistemological status of religious beliefs, the relations between faith and reason as well as between religion and modern science. I conclude on a more critical note with an examination of the ‘metaethical realism’ of our author and by showing that his position might best be understood as the basis for a deepened and reinforced ‘subtraction story’.
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Aux sources de la tradition judéo-chrétienne : l'Etat-Nation, la synagogue et les églises chrétiennes en France de Napoléon à Vichy, 1806-1940 / The Origins of the Judeo-Christian Tradition : the Nation State, the Synagogue and Christian Churches, from the Napoleonic Era to the Vichy Regime, 1806-1940

Sebban, Joël 24 February 2017 (has links)
Comment la catégorie «judéo-chrétienne», née dans l'exégèse allemande du début du XIXe siècle, a pu progressivement définir une morale, une tradition et même une «civilisation» dite «occidentale» dans l'entre-deux-guerres en Europe et aux États-Unis ? Nous tâchons de montrer que ces différentes notions sont issues d'un processus complexe de redéfinition des religions juive et chrétienne par l'État-nation, tout particulièrement au sein des nations française et américaine qui ont séparé les Églises de l'État et émancipé, pour la première fois, les juifs sur leurs continents respectifs. La morale ou la tradition judéo-chrétiennes ne sont pas forgées en réaction à un antisémitisme nazi qui nie la judéité de Jésus ou à un communisme soviétique qui se veut athée. Elles ne sont pas non plus le seul témoignage d'une réévaluation des sources juives du christianisme confinée au champ de la critique biblique. La catégorie « judéo-chrétien » signifie davantage que le terme d'«hébraïsme» ou que l'idée d'une tradition «juive et chrétienne». Le trait d'union renvoie, en France, à la construction d'une égalité institutionnelle entre le culte juif et les cultes chrétiens au regard de l'État et aux processus intellectuels et socioculturels qui l'accompagnent : la filiation entre judaïsme et christianisme antiques est redécouverte sous un prisme particulier qui vient rattacher les communautés religieuses aux valeurs de la France républicaine. L'histoire de la tradition judéo-chrétienne ouvre alors une perspective nouvelle sur la construction de la laïcité française et le processus de sécularisation sur les deux rives de l'Atlantique. / How has the category “Judeo-Christian”, born in the Protestant exegesis in 19th century Germany, been able to gradually define a tradition, and even a civilization called "western" during the interwar period in Europe and the United States? We try to show that these different notions are derived from a complex process of a redefinition of the Jewish and Christian religions by the Nation-State, particularly the French and American nations which have separated Church and State and emancipated Jews on both continents for the first time. The Judeo-Christian tradition has neither been forged out of a reaction to Nazi anti-Semitism which denies Jesus' Jewishness nor soviet atheistic communism. They are neither the only result of a re-evaluation of the Jewish sources of Christianity limited to the field of biblical criticism. "Judeo-Christian" means much more than the term “Hebraic” or the idea of a “Jewish and Christian tradition”. In France, this hyphenation refers to the construction of an institutional equality between the Synagogue and Christian churches and to intellectual and sociocultural processes that accompany them: the connection between antique Judaism and Christianity is rediscovered under a particular prism that reattaches both religious communities to the republican values of the French state. The history of the Judeo-Christian tradition therefore opens a new perspective on the construction of French secularism and the secularization process on both sides of the Atlantic.
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Saint Paul sur le chemin de Nietzsche

Karazivan, Paul-André 05 1900 (has links)
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Attention an-archaïque : la tâche de traduire à l’ère séculière

Reinhardt, Marc-Alexandre 10 1900 (has links)
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Empire et sécularisme : les théologies politiques de l'orientalisme : des Lumières à Marx / Empire and secularism : political theologies and orientalism : from the Enlightenment to Marx

Amer-Meziane, Mohamed Aït 19 May 2017 (has links)
L'Occident se serait sécularisé lorsque l'islam aurait échoué : cette frontière organise les discours de l'Occident séculier. L'islam y apparaît sous la figure d'une impossible sécularisation, comme un processus dont l'échec historique enfanterait une Loi religieuse. Faire l'histoire de cette frontière est l'objet de cette enquête. Le tracé de cette frontière a permis à la sécularisation de s'énoncer comme un mot d'ordre bien avant que ce mot ne désigne le processus d'émergence des sociétés modernes. Le concept de sécularisation est saisi comme l'effet d'une géographie des religions mondiales qui les compare et les hiérarchise. L'histoire de cette frontière commence avec l'Expédition d’Égypte et se formalise à Berlin, au croisement de l'hégélianisme et de l'orientalisme savant. Elle se déploie ensuite à travers le républicanisme français et structure son rapport à l'Afrique en même temps qu'elle infiltre les réformes culturelles qui mèneront à l'Empire allemand. A travers l'histoire de cette frontière et de ses déplacements, c'est un processus d'enchevêtrement permanent des modèles dits de « sécularisation » et de «laïcité» qui apparaît. Sécularisme est le nom de cet enchevêtrement qui semble être indissociable des circulations impériales qui s'effectuent au XIXe siècle. / How did the boundary between a secular West and a theocratic Islam emerge? When did Islam appear as an impossible secularization, as a religious Law supposed to stem from its historical failures? This work is a history of this boundary of secular reason. It shows how the very concept of secularization emerged from a religious geography through a study of Nineteenth Century French and German Imperial Thought. It begins with the Enlightenment and the French Expedition in Egypt and studies Hegelianism as an early form of Secularism. It studies the mutations of this boundary through French Republicanism in its relation to Africa and through the German Imperial tradition in its relation to the Ottoman Empire.
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Islam et société : questions contemporaines et enjeux européens / Islam and Society : contemporary Issues and European concerns

Ait M'Barek, Abbes 16 October 2015 (has links)
La laïcité est, en principe, intrinsèquement liée d’une part, à la sécularisation des esprits et des attitudes, des institutions et des gouvernements, des lois et du droit, et d’autre part, au pluralisme démocratique et à un Etat garant des libertés et des droits de l’Homme. Quelle attitude l’islam contemporain a-t-il face à la séparation du religieux et du politique ? Nous nous proposons à travers cette recherche de nous situer un peu plus en amont de la pensée islamique savante et des doctrines fondamentalistes, en relation avec l’esprit critique et les enjeux de la modernité, de la laïcité et de la sécularisation. Bien au-delà de la pensée réformiste contemporaine, qui s’emploie à une relecture des Textes Fondateurs visant à remodeler la jurisprudence de manière à jeter la passerelle entre Tradition et société moderne, bien au-delà des émergences de laïcité de la pensée soufie plus orientée vers la liberté intérieure, la fraternité, l’accueil de la différence et l’amour, bien au-delà aussi de l’exégèse des sources scripturaires de l’orthodoxie musulmane, nous jugeons nécessaire de remonter le temps de l’Islam de manière à voir comment est interrogé l’héritage arabo-musulman afin d’en dégager l’authenticité, ou du moins « l’historiographiquement correct » dans l’ensemble des stéréotypes, des caricatures et des déformations séculaires : soit en nous plaçant sans complexe entre « l’écriture et l’histoire » comme Alfred Louis de Prémare, de manière à en mesurer les écarts, les interstices où naissent les distorsions vu que la modernité, c’est à dire l’innovation, le changement cumulatif et auto-généré, est déterminée par l’initiative historique ; soit en revoyant la position de certains penseurs musulmans contemporains face à la question des fondements de l’Islam ou du fait coranique, comme Arkoun, Jabri, Ramadan dont le travail varie, selon qu’il se donne comme objectif de déconstruire la croyance religieuse, position la plus radicale, ou de s’intéresser aux catégories utilisées par l’exégèse coranique dont « al-nāsiḫ » et « al-mansūḫ », ou enfin de procéder à une réélaboration du fiqh. La déconstruction sera donc antérieure, externe et totale ou bien interne et partielle selon que l’on procède à un travail de ruine ou à une simple analyse. L’exigence d’historicité et de rationalité est telle que quelque « significatif que soit l’échantillon des interprétations anciennes ou modernes, des textes coraniques de référence sur les questions importantes qui travaillent les sociétés actuelles, pour extrêmement répétitives d’un auteur à l’autre à travers les siècles, que soit la Tradition théologico-juridique dominante, dont on a tiré les commentaires du Coran », elle requiert un effort constant « devant la redoutable responsabilité qui oblige à penser tout autrement la vie et à prendre des décisions dans l’épreuve de l’indécidable en inventant de nouvelles lumières dans des conditions politiques et techniques entièrement renouvelées », pour reprendre Marc Goldschmit dans sa définition de la déconstruction. / Secularism should, intrinsically, be linked on one hand, to the Secularization of minds and attitudes, institutions and Governments, laws and law, and on the other hand, democratic pluralism and a State guarantee of freedoms and human rights. How does contemporary Islam face the separation of religion and politics? I set out through this research to put myself a little bit upstream of scholarly Islamic thought and fundamentalist doctrines, in relation with critical thinking and the stakes of modernity, secularism and secularization. Well beyond the contemporary reformist thinking, which apply to a rereading of Islam’s founding texts to reshape the jurisprudence in order to create a link between tradition and modern society, well beyond the emergence of the Sufi thought secularity, more oriented towards interior freedom, fraternity, accepting difference and love, also beyond the exegesis of the scriptural sources of Muslim orthodoxy, it’s necessary to go back in Islamic time in order to see how the Arab-Muslim heritage is examined to identify the authenticity or at least “the historiographically correct” in all stereotypes, caricatures and secular distortion : either by analyzing how some historians have interfered, without any inhibitions, in “writing and history” like Alfred-Louis de Prémare, so as to measure the gaps where you can find distortions because modernity, which means innovation or cumulative change self-generated, is determined by the historical initiative. Or by reviewing the position of some contemporary Muslim thinkers faced with the question about the foundations of Islam or the Quranic exegesis “al-nāsiḫ” and “al mansūḫ”, or finally by reelaborating the fiqh. Deconstruction will be previous, complete and external, or internal and partial, depending on whether one ruins or performs a simple analysis. The requirement of historicity and rationality is such as "however significant the sample of interpretations ancient or modern is, reference Koranic texts about the important issues found in today’s society, extremely repetitive from one author to another through the centuries, whether it be the dominant theological-legal Tradition, from which we extract the Koran comments", it requires a constant effort "in front of a formidable responsibility that requires thinking about life differently and make decisions despite of the undecidable by inventing new lights in political and technical conditions fully renewed ", to quote Marc Goldschmit in his definition of deconstruction.

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