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El ethos común en Schopenhauer y las religionesMuñoz Molina, Héctor January 2015 (has links)
Tesis para optar al grado de Magíster en Filosofía / La presente investigación se fundamenta en el pensamiento del filósofo Arthur Schopenhauer. Existe una variedad de aspectos que de este se podrían destacar, sin embargo, ha parecido pertinente enfocarse en sus trabajos relacionados con la religión y sus implicancias éticas. Al respecto, como señala él mismo en el libro cuarto de su obra principal “El mundo como Voluntad y Representación”, se ha tratado de buscar lo más serio, pues cuando se trata del valor o la futilidad de una existencia, ya sea que se refiera a su salvación o a su condenación, no bastan sólo los conceptos filosóficos, sino una filosofía práctica sin prescribir nada en la reflexión. Schopenhauer recurrió en diversas ocasiones a conceptos de la teología cristiana y del Budismo, específicamente los que se refieren a la salvación, ya que esta era una de sus principales preocupaciones. La tarea de esta investigación, por lo tanto, será confrontar los paralelos existentes entre el pensamiento de Schopenhauer y las principales religiones del mundo, destacando sus tres elementos comunes; mística, ascetismo y compasión. El último tópico es posible observarlo, en las concepciones ateas y agnósticas, así como en las religiosas. A su vez, se considerará la conducta ética del individuo, intentando demostrar que existe una ética común para todos ellos.
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L'image des femmes dans la philosophie de SchopenhauerMailloux, Sabrina 07 November 2024 (has links)
L’Allemagne du début du 19ème siècle constitue une étape charnière de l’histoire du monde et de celle des femmes, où s’affrontent libéraux et conservateurs en quête de pouvoir. Représentatif de l’aile conservatrice de son époque, Arthur Schopenhauer propose deux images de la femme : la première, de tendance conservatrice, est présente dans son œuvre « Le monde comme volonté et comme représentation » et attribue un rôle secondaire à la femme. Le deuxième ouvrage intitulé « Essai sur les femmes » se caractérise par des attaques misogynes à l’endroit des femmes. L’analyse et la critique féministes des images schopenhaueriennes de la femme et du concept de nature suggèrent une interprétation nouvelle de la position de Schopenhauer à l’égard des femmes.
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La volonté chez Schopenhauer et NietzscheJomphe, Simon 23 April 2018 (has links)
Ce mémoire vise à comparer le concept schopenhauerien de « volonté de vivre » au concept nietzschéen de « volonté de puissance ». En les analysant sous différents angles, nous cherchons à montrer que le rapport entre les deux est complexe, qu’il change selon les perspectives et qu’il ne se résume pas à un problème particulier, notamment celui de la chose en soi. La volonté de vivre et la volonté de puissance, montrons-nous, se distinguent l’une de l’autre sous bien des aspects, mais elles ne conservent pas moins un visage extrêmement similaire sur plusieurs sujets et sont les interprétations d’une seule et même réalité, celle du corps comme passion et comme instinct. Il en ressortira que malgré toutes ses critiques et prises de distance, parfois très fortes, Nietzsche, sur le problème de la volonté, est toujours demeuré un hériter de Schopenhauer – un héritier, cependant, qui ne voulait pas l’être.
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Émile Zola et le pessimisme schopenhauerien : une philosophie de La joie de vivreRoldan, Sébastien January 2009 (has links) (PDF)
À sa publication, La Joie de vivre d'Émile Zola fut reçue comme un roman à thèse réfutant les théories d'Arthur Schopenhauer. C'était là l'intention avouée du romancier. Or, nombreux sont les critiques à avoir soulevé la dimension puissamment pessimiste de l'oeuvre, invoquant surtout le personnage fortement autobiographique de Lazare et une genèse textuelle problématique.
Zola accordait une grande importance à la documentation qu'il préparait en vue de rédiger ses romans. Notre objectif premier est donc celui d'examiner la façon qu'a eu le romancier d'écrire la philosophie qu'il a lue. À cette fin, nous nous penchons sur le Dossier préparatoire de La Joie de vivre et y suivons les stades successifs du personnage schopenhauerien; nous étudions également la version publiée du roman, mais de façon ciblée: nous nous limitons aux thèmes -fort schopenhaueriens -de la douleur et du malheur. Nous constatons, à partir de l'analyse des personnages, qu'un système très proche des idées du philosophe structure l'oeuvre et hiérarchise les forces en présence. Au cours de la préparation et de la rédaction de l'oeuvre, les faits compilés se mêlent au hasard des données biographiques, idéologiques et littéraires qui viennent en former la matière narrative. Notre labeur de généticien aura été celui de démêler les diverses influences rencontrées et de les replacer en ordre chronologique. Certaines, comme celles de Guy de Maupassant ou de Paul Bourget n'avaient pas encore été attestées ou n'avaient pas fait l'objet d'études approfondies. II en résulte une vision plus complète de l'avant-texte. Nos résultats démontrent qu'Émile Zola s'est trouvé à fictionnaliser plutôt fidèlement, à plusieurs égards, une philosophie qu'il entendait au départ réfuter. Le sens philosophique de l'oeuvre demeure ambigu néanmoins, irréductible à une conclusion nette. Partant, nous nous interrogeons sur la portée philosophique d'un texte Iiltéraire aussi plurivoque qu'est La Joie de vivre. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Zola, La Joie de vivre, Schopenhauer, Philosophie, Génétique, Personnage.
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A dimensão dionísica do uno-primordial nos primeiros escritos de Nietzsche / Haroldo Osmar de Paula Júnior ; orientador, Antonio Edmilson PaschoalPaula Júnior, Haroldo Osmar de January 2006 (has links)
Dissertação (mestrado) - Pontifícia Universidade Católica do Paraná, Curitiba, 2006 / Inclui bibliografia / O presente trabalho é uma investigação sobre a dimensão dionisíaca na tragédia grega, encontrada na produção filosófica do jovem Nietzsche, no período entre 1870 e 1876. Tem como ponto de partida uma reflexão sobre a Teoria do Uno-primordial e sua naturez
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O Belo e o Bom em Schopenhauer / The Beautiful and the Good in SchopenhauerGermer, Guilherme Marconi, 1985- 09 August 2010 (has links)
Orientador: Luiz Roberto Monzan / Dissertação (mestrado) - Universidade Estadual de Campinas, Instituto de Filosofia e Ciências Humanas / Made available in DSpace on 2018-08-16T19:32:17Z (GMT). No. of bitstreams: 1
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Previous issue date: 2010 / Resumo: Nossa dissertação tem por objetivo analisar e interpretar o esclarecimento de Arthur Schopenhauer (1788-1860) dos conceitos do belo (schön) e do bom (gut) (moral, virtude). Segundo o filósofo, ambos não são verdadeiramente ensináveis, isto é, não se deve esperar que as estéticas desde Aristóteles tornem os seus pupilos artistas geniais, tampouco como se pode ansiar que os discursos morais tragam o caráter genuinamente ético. Pelo contrário, o pensador propõe à filosofia a tarefa puramente teórica e contemplativa, a saber, a de não prescrever regras ao espírito, mas descrever abstratamente o que de fato ocorre no belo e no bom, por meio de uma interpretação e explicitação cuja matéria e limite é "este mundo efetivo da cognoscibilidade, no qual estamos e que está em nós". Ambos os esclarecimentos são apresentados em seu essencial pelo filósofo, respectivamente, no Livro III e no Livro IV de Die Welt als Wille und Vorstellung (O Mundo como Vontade e como Representação) - ambos os quais compõem, portanto, a bibliografia básica de nossa investigação. Resumidamente, Schopenhauer defende que o belo consiste, pelo lado objetivo, nas Idéias eternas (ewigen Ideen) de Platão, os arquétipos dos fenômenos relativos e fugazes do princípio de razão suficiente e a "objetidade mais adequada possível da coisa em si" (die möglichst adäquate Objetität des... Dinges an sich), e pelo subjetivo, no puro sujeito do conhecimento destituído de Vontade (reines, willenloses Subjekt der Erkenntnis). Quanto ao bom, o filósofo identifica-o ao conceito da compaixão (Mitleid), cujo grau negativo é a justiça (Gerechtigkeit), no qual ela apenas obstrui a injustiça (Unrecht), e o positivo a caridade (Menschenliebe), no qual ela "não apenas me impede de causar dano a outrem, mas também me impele a ajudá-lo". Por fim, nós também comentamos os seguintes temas capitais do pensamento schopenhaueriano: o idealismo, a polêmica com Kant, o princípio de razão suficiente, a Vontade como coisa em si, senhora do intelecto, impulso cego e auto-discórdia, o pessimismo e a autonegação e afirmação da Vontade de viver / Abstract: Our work aims to analyze and interpret the clarification of Arthur Schopenhauer (1788-1860) of the concepts of the beautiful (schön) and the good (gut) (moral virtue). According to the philosopher, both are not really teachable, that is, one should not expect that Aristotle's aesthetics will make his pupils into brilliant artists, nor can one aspire that moral speeches have a genuinely ethical character. Rather, the thinker assigns to philosophy a purely theoretical and contemplative task, that is, not to prescribe rules to the spirit, but to abstractly describe what actually occurs in the beautiful and good, through an interpretation and explicitness the subject matter and limit of which is "this actual world of what is knowable, in which we are and which is in us." Both explanations are given in their essentials by the philosopher, respectively, in Book III and Book IV of Die Welt als Wille und Vorstellung (The World as Will and Representation) - both of which make up the basic bibliography of our research. In short, Schopenhauer argues that, on the objective side, beauty consists of Plato's eternal Ideas (Ideen ewigen), archetypes of the fleeting phenomena of the principle of sufficient reason and " the best possible objectity of the thing in itself" (die möglichst adequate Objetität des ... Ding an sich), and on the subjective side, the pure subject of knowledge without will (reines, willenloses Subjekt der Erkenntnis). As for the good, the philosopher identifies it with the concept of compassion (Mitleid), the negative side of which is justice (Gerechtigkeit), negative in that it only blocks injustice (Unrecht), with charity (Menschenliebe) being the positive side, in that it "not only prevents me from causing harm to others but also compels me to help them". Finally, we also comment on the following main themes of Schopenhauer's thought: idealism, the controversy with Kant, the principle of sufficient reason, the will as thing in itself and master of the intellect, blind impulse and self-discord, pessimism and selfnegation and affirmation of the will to live / Mestrado / Metafisica do Belo e dos Costumes / Mestre em Filosofia
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O conceito de grandeza negativa na filosofia moral de SchopenhauerBassoli, Selma Aparecida 12 December 2005 (has links)
Orientador: Oswaldo Giacoia Junior / Dissertação (mestrado) - Universidade Estadual de Campinas, Instituto de Filosofia e Ciencias Humanas / Made available in DSpace on 2018-08-06T01:23:16Z (GMT). No. of bitstreams: 1
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Previous issue date: 2005 / Resumo: Aplicamos o conceito matemático de grandeza negativa como um recurso que elucida aspectos da filosofia moral de Schopenhauer. Uma grandeza é negativa relativamente à outra, na medida em que só pode ser reunida a ela por oposição, quando uma suprime da outra o equivalente a si mesma. Utilizamos esse conceito para tratar da oposição entre as motivações, com o objetivo de evidenciar que um motivo leva à ação conforme suprime a influência, sobre o caráter, do motivo oposto. Também fizemos uso desse conceito para esclarecer a oposição entre a afirmação e a negação da vontade. Partindo da distinção entre nihil negativum e nihil privativum, adotada por Schopenhauer para tratar do nada que resulta da negação da vontade, mostramos que a vontade se nega à proporção que suprime o seu modo de afirmação anterior / Abstract: We apply the mathematic concept of negative magnitude as a resource that elucidates Schopenhauer¿s aspects of moral philosophy. A magnitude is negative related to another as long it can be joint to it in opposition, when one suppresses the equivalent of itself from the other. We use this concept to deal with the opposition between the motivations, in order to realize that a motive leads to the action as it suppresses the opposite motive influence, on the character. We made use of this concept to elucidate the opposition between the affirmation and denial of will as well. Starting from the distinction between nihil negativum and nihil privativum, adopted by Schopenhauer to deal with nil resulted from the denial of will, we demonstrate that will is denied as it suppresses its previous affirmation mode / Mestrado / Mestre em Filosofia
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A caracterização niilista da filosofia de Schopenhauer a partir da critica de Nietzsche / The nihilistic caracterization of Schopenhauer's philosophy by the Nietzsche's criticRodrigues, Eli Vagner Francisco 12 August 2018 (has links)
Orientador: Oswaldo Giacoia Junior / Tese (doutorado) - Universidade Estadual de Campinas, Instituto de Filosofia e Ciencias Humanas / Made available in DSpace on 2018-08-12T03:52:39Z (GMT). No. of bitstreams: 1
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Previous issue date: 2008 / Resumo: O tema desse trabalho baseia-se na hipótese de que a filosofia de Schopenhauer pode ser caracterizada como um pensamento niilista. Procura-se explicitar como a crítica de Nietzsche à moral da compaixão de Schopenhauer encontra sua inserção e ganha densidade teórica no contexto de suas análises do niilismo da fraqueza, traço destacado por Nietzsche como característica da decadência cultural européia. Examina-se também o problema do nada na filosofia de Schopenhauer, com o propósito de situá-lo em relação à temática do niilismo, bem como para tentar evidenciar o sentido em que a ética do filósofo de Frankfurt configura uma soteriologia. As bases para tal interpretação repousam nas seguintes características dessa filosofia: o apontamento de uma ausência de finalidade (negação do finalismo, "ateleologia") para a vontade e, conseqüentemente, a ausência de um telos inteligível para o mundo, a postura pessimista baseada na metafísica da vontade, e na soteriologia defendida pelo filósofo na sua doutrina da negação da vontade, que aponta para o estatuto do nada, alvo da vontade na ética da compaixão. Essa caracterização, a nosso ver, está relacionada com a recepção, interpretação e crítica nietzscheana da filosofia de Schopenhauer, sobretudo na caracterização que Nietzsche faz do niilismo da fraqueza. / Abstract: The theme of this work is based upon the hypothesis that the Schopenhauer's philosophy could be characterized as a nihilist thought. We try to explain away how the criticisms made by Nietzsche to the morals of compassion of Schopenhauer finds place, and obtain some theoretical density, in the context of his analysis of the nihilism of weakness, which Nietzsche points as the main characteristic of the European cultural decadency. The problem of the nothingness is as well under examination, with the purpose of put it in relation to the broad thematic of nihilism, and to show the sense in which the ethics of the philosopher from Frankfurt frames a soteriology. The basis for this interpretation lay on the following characteristics: to point out to an absence of finality (a finalism negation, a-teleology) to the will and, consequently, to the absence of an intelligible telos to the world, the pessimist attitude based on the metaphysic of the will, and on the soteriology, defended by the philosopher himself in his doctrine of a negation of the will, which, by its turn, points out to the nothingness status, the will's target in the morals of compassion. This characterization, as we see it, is related to the reception, to the interpretation and to the nietzschean criticism of Schopenhauer's philosophy, chiefly on the characterization that Nietzsche made of the nihilism of the weakness. / Doutorado / Filosofia / Doutor em Filosofia
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Metafísica del amor sexual [Metaphysik der Geschlechtsliebe]. De la verdad de Schopenhauer y la mentira del amor platónicoFernández Iglesias, Mario 13 February 2013 (has links)
La presente Tesis Doctoral se realiza en base a tres MOTIVACIONES. Una motivación personal, gestada en una curiosidad y/o asombro infantil que se perpetúa en la adultez a modo de cuestionamiento filosófico; una motivación por el estudio de la genial obra del filósofo Arthur Schopenhauer, quien a mi entender, es uno de los filósofos más honestos con la verdad y con la propia naturaleza; y una motivación por el tema de AMOR, tema que enraíza directamente con la esencia del ser humano, y que sin embargo, ha sido obviado por la mayoría de los filósofos.
La investigación tiene por OBJETIVO por una parte, un estudio historiográfico del Capítulo 44 de los complementos a la obra primaria “El mundo como voluntad y representación” que porta por título “La Metafísica del amor sexual”; y por otra, un estudio filosófico en cuanto que trata de dar respuesta a una pregunta o hipótesis planteada: ¿Es cierto que el amor platónico es una mentira y que el amor propuesto por Schopenhauer es verdad? y, ¿De qué verdad y/o mentira estamos hablando? Ambos objetivos, el estudio historiográfico y el filosófico, se entrelazan entre sí dando lugar a una respuesta unitaria que se soporta en la genial filosofía de Arthur Schopenhauer.
El DESARROLLO TEÓRICO de la investigación se realiza mediante una cuidada metodología cimentada en cuatro puntos primordiales: a) Estructura, b) Literatura secundaria, c) Investigaciones Empíricas, d) Osadía creativa.
a) Se dota de una estructura explícita a un texto (Cap. 44 de los Complementos “Metafísica del Amor Sexual”) que parece no poseer, a priori, ningún orden prestablecido. Gracias a esta compartimentación en los diferentes temas se hace más preciso el estudio de cada una de las partes.
b) Se utiliza el conjunto de la obra fundamental de Arthur Schopenhauer para matizar y ampliar lo expuesto por su capítulo, y se realiza un trabajo de consulta y utilización de literatura secundaria respecto al tema tratado.
c) Se dota de mayor rigor científico al capítulo tratado incluyendo las últimas investigaciones científicas que corroboran mayoritariamente las afirmaciones y/o intuiciones del filósofo alemán.
d) El conjunto de la tesis doctoral está impregnado de un ímpetu creativo del autor, tratando de dar una particular respuesta en base a todo lo incorporado en el transcurso de la investigación. Este punto se podrá intuir con mayor evidencia en los dos últimos capítulos antes de las conclusiones: Schopenhauer en el Banquete y El amor como solución (provisional) a la existencia subjetiva.
La CONCLUSIÓN final y general es que se encuentran evidencias de que el amor platónico es simplemente una mentira, o alegoría, si se quiere, para no mostrar la verdadera naturaleza del amor. El amor, por muchos tintes etéreos del que se quiera revestir, no deja de ser un instinto natural especializado y dirigido a la reproducción. La reproducción no es únicamente el resultado del instinto sino que, en su vertiente metafísica, es la perpetuación (en las nuevas generaciones) de una pulsión ciega y constante que el filósofo alemán conceptualiza como Voluntad. / This Doctoral Thesis is performed on three motivations. Personal motivation, gestated in a curious and / or perpetuating childlike wonder in adulthood as a philosophical inquiry, a motivation for the study of the great works of the philosopher Arthur Schopenhauer, who in my opinion, is one of the greatest philosophers honest with the truth and with the nature, and motivated by the love theme, rooted issue directly with the essence of the human being, and yet it has been ignored by most philosophers.
The research aims on the one hand, a historiographic study of Chapter 44 of the additions to the primary work "The World as Will and Representation" which carries the title "The Metaphysics of Sexual Love" and, secondly, a philosophical study As for trying to answer a question or hypothesis: Is it true that platonic love is a lie and that proposed by Schopenhauer love you? and what truth and / or lie we talking about? Both objectives, historiographical and philosophical study, intertwine with each other resulting in a united response that supports the philosophy of Arthur Schopenhauer great.
The theoretical development of the research is done through a careful methodology founded on four key points: a) structure, b) secondary literature, c) empirical research, d) Daring creative.
a) gives an explicit structure to a text (Cap. 44 of Supplements "Metaphysics of Sexual Love") that seems to have, a priori, any preset order. With this partitioning in different subjects is more precise study of each of the parties.
b) Use the set of the seminal work of Arthur Schopenhauer to refine and expand the above for their chapter, and they do a consultation and use of secondary literature on the subject.
c) It gives greater scientific rigor Chapter treaty including the latest scientific research largely corroborating statements and / or intuitions of the German philosopher.
d) The entire thesis is impregnated with a creative impetus of the author, trying to give a particular response based on all built in the course of the investigation. This section may intuit more evident in the last two chapters before conclusions: Schopenhauer in the Symposium and Love as solution (provisional) to the subjective existence.
The final conclusion is generally found evidence that Platonic love is just a lie, or allegory, if you will, to not show the true nature of love. Love, for many of ethereal dyes you want coated, no longer a natural instinct to run specialized and playback. Playback is not only the result of instinct but in its metaphysical aspect, is the perpetuation (new generations) of a blind instinct and constant German philosopher conceptualized as Will.
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De l'école du milieu : transcendance, langage et raison dans la pensée de Wittgenstein, Tsongkhapa et SchopenhauerCossette-Trudel, Alexis 04 1900 (has links) (PDF)
L'objectif de ce travail consiste à identifier les apories inhérentes à ce que d'aucuns appellent la postmodernité. L'impasse actuelle résulte, selon nous, d'une fracture du logos dont le corollaire est la montée des monismes dans la pensée occidentale. Cette fracture pose d'énormes problèmes sociaux, éthiques et sotériologiques. Une solution à l'impasse passe par un retour aux sources de la pensée occidentale. Un retour au logos ne peut cependant advenir qu'à travers une philosophie qui, contrairement à certains monismes, ne serait basée ni sur l'objet ni sur le sujet. Il s'agit dans le cadre de ce travail de faire émerger cette « philosophie du milieu », de définir quels sont ses modes d'applications et quels sont ses concepts opératoires, comme le synéchisme. Il appert que, dans ce que Jean-François Lyotard appelle « les sociétés industrielles avancées », deux visions de l'homme s'affrontent, réduisant toutes deux l'expérience de la réalité à un unique élément, qu'il soit corps ou langage. Il résulte de cette dichotomie soit une dévalorisation de la subjectivité soit un scepticisme antirationaliste. Ces monismes tirent une bonne part de leurs fondements théoriques de la pensée de Ludwig Wittgenstein. Or Wittgenstein n'est ni entièrement positiviste ni entièrement relativiste, comme ses successeurs l'ont interprété; sa pensée n'est fondée ni sur l'objet, comme celle des matérialistes, ni sur le sujet, comme celle des relativistes. Sa conception « transcendantale » de l'éthique, concomitante de sa définition de la limite du langage, fait plutôt de ce penseur un dualiste. Malgré son dualisme, de par son association à la pensée d'Arthur Schopenhauer, Wittgenstein participe de plein doit à cette philosophie « du milieu » que nous tentons de définir. Ayant été confronté, essentiellement, aux mêmes apories et aux mêmes impasses sociales quelque cinq siècles avant l'Occident, la société tibétaine sut trouver, au 15e siècle, un juste milieu entre des conceptions monistes réductrices grâce à la philosophie de Tsongkhapa. Dans le cadre d'une réforme tant éthique que philosophique, ce dernier a habilement marié la réflexion sur la nature ultime des phénomènes à des principes de raison et d'empirisme. Son approche, identique à celle préconisée par Platon deux mille ans plus tôt, s'est réclamée du juste milieu entre l'ultime et le conventionnel. En outre, elle offre à terme une sortie de l'impasse engendrée par le matérialisme et le relativisme en formulant une conception unifiée, disons synéchiste, de la réalité. Philosophe très influent il y a un siècle, mais aujourd'hui presque oublié, Arthur Schopenhauer est au cœur de la pensée postmoderne. Ayant exercé une influence déterminante sur Nietzsche, Freud et Wittgenstein, Schopenhauer a introduit dans la pensée occidentale la notion de maya, ou d'illusion du réel, reléguant au second plan le cogito cartésien. Contrairement à ce l'on croit au sujet de sa philosophie de la Volonté, Schopenhauer assigne à la raison un rôle sotériologique essentiel. Sa philosophie, inspirée de celle de Platon et de Kant, se situe « au milieu » entre le sujet et l'objet. Elle maintient que tout dépassement de l'illusion du réel passe par l'attitude éthique qui aspire à mettre un terme à la soif d'existence. Les parallèles avérés entre sa philosophie et le bouddhisme sont d'ailleurs à même de démontrer que l'approche préconisée par Schopenhauer et fondée sur le synéchisme entre le sujet et l'objet est rigoureusement superposable à celle appliquée au Tibet par Tsongkhapa quatre siècles plus tôt. Enfin, afin d'obvier aux apories soulevées par les monismes et les dualismes, le « synéchisme » est proposé comme concept opératoire permettant de sortir de l'impasse postmoderne. Ce concept initialement développé par C. S. Pierce se révèle approprié autant comme méthodologie que comme conception du langage en donnant un sens précis à l'approche du « milieu » fondée sur l'absence d'en-soi des phénomènes subjectifs et objectifs.
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