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Explaining social inequalities in mortality : evidence from the British Whitehall II and the French GAZEL studies

Stringhini, Silvia 17 June 2011 (has links) (PDF)
Les différences de morbidité et de mortalité entre les groupes socioéconomiques constituent un des résultatsle plus cohérent de la recherche épidémiologique. Cependant, les mécanismes qui sous-tendent cetteassociation demeurent encore mal compris. Les données de deux grandes cohortes européennes ont étéutilisées pour décrire l'ampleur des différences socioéconomiques de mortalité toutes causes et spécifique, etexaminer le rôle des comportements de santé et du soutien social dans ces inégalités. Les indicateurs de lasituation socioéconomique dans l'enfance se sont révélés liés à la mortalité à l'âge adulte, même si toutefoisles trois mesures examinées - position socioprofessionnelle du père, niveau d'études et taille - étaientdifféremment liées à la mortalité. Les indicateurs de la position socioéconomique à l'âge adulte, catégoriesocioprofessionnelle et revenu, étaient associés à la mortalité toutes causes et cardiovasculaire dans les deuxcohortes. Dans l'étude Whitehall II, les comportements de santé étaient socialement distribués etexpliquaient une grande partie des inégalités sociales de mortalité, en particulier lorsque les changementsdans ces comportements au cours du suivi étaient pris en compte. Les mêmes comportements expliquaienttrès peu les inégalités sociales de mortalité dans l'étude GAZEL, leur répartition sociale étant faible danscette cohorte. Parmi les mesures de soutien social considérées, le statut marital expliquait également unepartie du gradient socioéconomique de mortalité dans l'étude Whitehall II, mais pas dans GAZEL, tandis quele rôle de la participation sociale et du réseau social était négligeable dans les deux cohortes. Différentsmécanismes semblent jouer un rôle dans les inégalités sociales de santé dans ces deux pays européensvoisins. Cela implique que des recherches comparatives visant à comprendre les déterminants communs etspécifiques des différences sociales de santé sont nécessaires. D'autres recherches visant davantage lescauses fondamentales des inégalités sociales de santé sont également souhaitables.
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La collaboration des parents de minorités visibles avec les services de la protection de la jeunesse : le rôle du soutien informel parental et des compétences de l’intervenant

Couture, Dominique 08 1900 (has links)
No description available.
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Le développement socio-affectif de l'enfant d'âge pré-scolaire exposé à la violence conjugale : une approche eco-systémique / Socio-emotional development of the preschool child exposed to domestic violence : an ecosystemic perspective

Savard, Nathalie 14 March 2011 (has links)
L’objectif de cette recherche est d’étudier, dans une perspective écosystémique inspirée du modèle de Bronfenbrenner (1986), l’influence spécifique et combinée du contexte de violence conjugale et de stress maternel sur le développement socio-affectif du jeune enfant âgé de 5 à 6 ans. Ainsi, notre étude prend appui sur les questions suivantes : comment l’enfant d’âge préscolaire se développe sur le plan socio-affectif lorsqu’il grandit dans un contexte de violence conjugale ? Quels sont les facteurs environnementaux qui vont avoir des répercussions sur la relation mère-enfant ? Plus précisément, est-ce que le fait pour une mère d’avoir été victime de violence conjugale va engendrer chez elle plus de stress? L’attachement de la mère et le soutien social qu’elle perçoit vont-ils constituer des ressources qui vont venir atténuer le stress maternel et par voie de conséquences contribuer au bon développement de l’enfant ? Existe-t-il des différences entre les mères et les enfants qui ont quitté leur foyer comparativement à ceux qui vivent encore au domicile ? Enfin, quel est le rôle de la culture dans ces différents systèmes ? L’échantillon se compose de 38 enfants, 10 garçons et 28 filles, âgés de 5 à 6 ans et de leur mère, toutes originaires de pays d’Afrique. Parmi ces dyades mère-enfants, 19 ont été exposées à la violence conjugale et sont hébergées en CHRS, 19 sont toujours en situation de violence. Les mères ont renseigné une série de questionnaires évaluant leur attachement, le stress maternel, les violences subies et le soutien social perçu. En ce qui concerne le développement socio-affectif du jeune enfant, trois dimensions ont été considérées : deux émanant de son propre point de vue ; la représentation de l’attachement, appréhendée à l’aide du protocole des « Histoires à compléter » (Bretherton & al., 1990) et la perception des sentiments et des comportements parentaux avec le test de dépistage de la violence parentale (Palacio-Quintin, 1999), ainsi que l’adaptation socio-affective, étudiée par l’intermédiaire du questionnaire « Profil Socio-Affectif » (Dumas & al., 1998) complété par l’animateur du centre de loisirs. Les principaux résultats indiquent que seulement 36,8% des enfants présentent une représentation d’attachement sécurisée. Les représentations d’attachement des enfants toujours en situation de violence apparaissent plus insécurisées que celles des enfants sortis de la violence. Nos résultats montrent que le contexte de violence conjugale affecte également l’adaptation socio-affective de l’enfant. D’autre part, 73,3% des mères de notre échantillon possèdent des représentations d’attachement de type évitant. Nous avons relevé, par ailleurs, que les représentations du soutien social et du soutien relatif aux enfants perçus par les mères quel que soit leur groupe d’appartenance sont relativement peu élevées. Enfin, les mères toujours en situation de violence conjugale sont moins stressées que les mères ayant quitté le domicile. / The objective of this research is to study, in an ecosystemic manner inspired by the Bronfenbrenner model (1986), the specific and combined influence of the context of marital violence and maternal stress on the socio-emotional development of the young child from 5 to 6 years of age. Thus, our study aims to answer the following questions: What about socio-emotional pre-school child development when the child grows up in a context of marital violence? Which environmental factors will affect the mother-child relationship? More precisely, will the fact of a mother having been a victim of marital violence generate more stress for her? Will mother-child attachment and perceived social support constitute resources which will reduce maternal stress and consequently contribute to the positive development of the child? Are there any differences when the mother and child have left their home compared to those who are still living home? Finally, what is the role of the culture in this different system? The sample is composed of 38 children, 10 boys and 28 girls, aged from 5 to 6 years and their mother, all originating from an African country. Among these mother-child dyads, 19 were exposed to marital violence and were living in CHRS, 19 remained in a situation of violence. The mothers filled out a series of questionnaires in order to evaluate their attachment, maternal stress, violence suffered and their perceived social support. Concerning the socio-emotional development of the young child, three indicators were considered: two emanating from the child’s point of view; attachment representation, by means of the protocol of “Stories to be supplemented” (Bretherton & Al, 1990), the perception of parental feelings and behaviors by means of tracking parental violence (Palacio-Quintin, 1999), and socio-emotional adaptation, studied via “Socio-Emotional Profile” (Dumas & Al, 1998) supplemented by an activity leader. Principal results indicate that only 36.8% of children of the sample present a manifestation of secure attachment. The manifestions of attachment of children still living in a situation of violence appear more insecure than those of the children who were removed from violence. Our results show that the context of marital violence also affects the socio-emotional adaptation of the child. In addition, 73.3% of mothers in our sample manifest attachment avoidance. We have raised the issue, elsewhere, that expressions of social support and support relating to children as perceived by mothers, whatever their situation are relatively low. Lastly, mothers remaining in a situation of marital violence are less stressed than mothers who have left home.
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L’exploration des liens entre le soutien social et la qualité de sommeil chez les consommateurs âgés de benzodiazépines

Proulx-Tremblay, Virginie 11 1900 (has links)
No description available.
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Sources and Consequences of Burnout and the Moderating Role of Proactive and Reactive Coping Mechanisms : an Evidence from Academe / Sources et conséquences de l'épuisement professionnel et rôle modérateur des mécanismes d'adaptation proactifs et réactifs : le cas des enseignants-chercheurs universitaires

Abbas, Syed Gohar 20 January 2015 (has links)
Le but de cette étude empirique est d'étudier les relations entre les facteurs de stress, le coping (stratégies d’adaptation), le burnout, les maladies somatiques, la dépression, la performance, l'engagement organisationnel et l’intention de départ avec une référence particulière aux différents types d'universités dans différents segments démographiques au Pakistan. Dans cette étude, nous avons d'abord cherché à comprendre la relation entre quatre principaux facteurs de stress (la surcharge de travail, l’ambiguïté des rôles, le conflit de rôle et la conciliation travail-famille) qui conduisent au burnout (l'épuisement émotionnel et la dépersonnalisation). De plus, nous avons cherché à identifier la relation entre le burnout et ses conséquences (la somatisation, la dépression, la performance, l’engagement organisationnel et l’intention de départ). Au cœur de notre modèle se trouve l’effet modérateur des stratégies d'adaptation sur les relations étudiées. Ces mécanismes sont notamment la planification proactive, le soutien du supérieur, le soutien des collègues, le soutien social général, la réinterprétation positive, l'adaptation par évitement, le fait de s’adresser au Dieu et le changement d’idées.Nous avons utilisé un design de recherche quantitatif et transversal pour recueillir des données sur un échantillon de 450 membres du personnel académique dans les universités privées, publiques et semi-publiques de la province du KPK au Pakistan Le nombre total des questionnaires pris en compte pour l'analyse est de 274. L'analyse préliminaire des données, exploratoire puis confirmatoire a montré que nos données étaient quasi normales et que nos variables possédaient de bonnes propriétés psychométriques. Nous avons testé nos hypothèses de recherche au moyen de modèles de régression structurels en utilisant AMOS et de régressions hiérarchiques multiples en utilisant SPSS. Les résultats ont révélé que la conciliation travail-famille, l’ambiguïté des rôles et la surcharge de travail avaient un impact positif significatif sur le burnout. Les résultats ont également démontré que le burnout avait un impact positif significatif sur la somatisation, la dépression et l’intention de départ et un impact négatif significatif sur l'engagement organisationnel et la performance.La majorité des hypothèses relatives à l’effet modérateur du soutien social et des mécanismes d'adaptation n'a pas été confirmé par nos résultats. Contrairement à nos hypothèses, planification proactive, le soutien du supérieur, le soutien social général, et le changement d’idées se sont avérés être des stratégies d'adaptation non-efficaces. Malgré ses limites, cette thèse apporte d’importantes contributions académiques et méthodologiques ainsi que des implications managériales. Quelques suggestions pour des recherches futures ont également été faites à la fin. / The purpose of this quantitative study is to investigate the relationships between stressors, coping, burnout, somatic ill health, depression, performance, organizational commitment and turnover intentions with particular reference to different demographic segments in different types of universities of Pakistan. In this context firstly we aimed to understand the relationships between four main stressors (Work Overload, Role Ambiguity, Role Conflict and Work-life Imbalance) and Burnout (Emotional Exhaustion and Depersonalization). Moreover, we aimed to identify the relationship between burnout and its consequences i.e. Somatization, Depression, Performance, Organizational Commitment and Turnover Intentions. At the core of our model was the moderating impact of coping strategies on the relationships mentioned above. These coping mechanisms included Proactive Planning, Boss Support, Colleague Support, General Social Support, Turning To God, Positive Reinterpretation, Avoidance and Mind Deviation. The quantitative and cross sectional survey research design was used to collect data based on a sample of 450 academic staff in private, public and semi-government universities of the KPK province of Pakistan The total questionnaires considered for analysis were 274. The preliminary data analysis, EFAs and CFAs demonstrated that our data was quasi normal and our variables possessed good psychometric properties. We tested our research hypotheses through structured regression models in AMOS and multiple hierarchical regression using SPSS. The results revealed that Work-Life Imbalance, Role Ambiguity and Work Overload showed significant positive impact on burnout. Results also demonstrated that burnout had a significant positive impact on Somatization, Depression and Turnover Intentions and a significant negative impact on Organizational Commitment and Performance. The Majority of the hypotheses related to moderating impact of social support and coping mechanisms were not supported by our results. Contrary to our hypotheses, Proactive Planning, Boss Support, General Social Support and Mind Deviation proved to be non-effective coping strategies. Despite of its limitations, this thesis has made some important academic and methodological contributions along with managerial implications. Few suggestions for future research have been also made at the end.
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Effets de la discrimination et du risque de discrimination perçus au travail par les homosexuels sur la recherche de soutien et le bien-être psychologique au travail : le rôle des stratégies de présentation de soi / Effects of perceived workplace discrimination and its risk on social support seeking and psychological well-being at work : the role of identity management strategies

Thuillier, Julien 29 September 2015 (has links)
Cette thèse se propose d'apporter une contribution aux débats relatifs aux effets de la discrimination et du risque de discrimination perçus au travail par les personnes homosexuelles sur deux dimensions-clés de leur socialisation au travail : la recherche de soutien social et le bien-être psychologique au travail. A partir des travaux récents conduits en psychologie, nous posons l'hypothèse que les effets de la discrimination et du risque de discrimination perçus au travail sur ces dimensions, sont médiatisés par les stratégies de présentation de soi utilisées par les homosexuels au travail : la feinte, l'évitement et le dévoilement (Woods, 1993). Toutefois, l'examen des travaux empiriques fait état de résultats contradictoires concernant les relations : entre la discrimination – et le risque de discrimination – perçus d'une part, et les stratégies de présentation de soi au travail d'autre part ; les stratégies de présentation de soi utilisées au travail d'une part, et la construction des relations interpersonnelles et le bien-être psychologique au travail d'autre part. Ces résultats contradictoires nous amènent, en référence au modèle d'une socialisation plurielle et active (Malrieu, 1979), à formuler l'hypothèse que ces relations sont modulées par le jeu de variables liées à d'autres temps et lieux de socialisation. Une enquête, conduite par un questionnaire en ligne auprès de 234 sujets homosexuels en activité professionnelle, nous a permis de valider nos hypothèses. Ces résultats nous conduisent à discuter les pratiques actuelles de gestion de la diversité dans les organisations, ainsi que les pratiques cliniques proposées aux homosexuels. / This work aims to analyze the effects of perceived discrimination and discrimination risk on two key-dimensions of work socialization among gay and lesbian individuals : social support seeking and psychological well-being at work. Drawing from recent LGBT vocational literature, we assume that the relationships between discrimination (and discrimination risk) and these variables are mediated by identity management strategies (Woods, 1993) used by lesbian women and gay men (e.g., counterfeiting, avoiding and integrating). However, empirical evidence showed mixed findings regarding the relationships between: perceived discrimination (and discrimination risk) and identity management strategies; identity management strategies and interpersonal relationships building; identity management strategies and psychological well-being. With reference to Malrieu’s theory (1979) of a plural and active socialization, we attempt to overcome these mixed findings and posit that the relationships mentioned above are modulated by variables referring to the diversity of times and backgrounds in which individuals live. Data were collected using an online survey, which has been completed by 234 participants currently employed, and who identified themselves as lesbian or gay. Most of our hypothesis are validated and permit us to discuss both clinical practices targeted to sexual minority individuals and diversity management practices targeted to organizations.
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Approche écosystémique de l'expérience paternelle et du soutien social lors d'une naissance prématurée : analyse du stress paternel, des stratégies de coping et de la relation avec le nouveau-né auprès de 48 pères / Ecosystemic approach of the paternal life experience and social support following a premature birth : an analysis of the paternal stress, coping strategies and relationship with the infant in 48 fathers

Koliouli, Flora 22 September 2015 (has links)
L’objectif de cette étude est d’appréhender le vécu psychoaffectif des pères de bébés prématurés (Lindberg & al., 2008), leurs relations avec le bébé (Morisod-Harari & al., 2013 ; Ibanez & al., 2006), leur conjointe (Frascarolo, 2001) et les professionnels (Tombeur & al., 2007; Fegran & Helseth, 2009) selon l’approche écosystémique (Bronfenbrenner, 2005). Plus spécifiquement, le modèle opérationnel Processus-Personne-Contexte-Temps (Bronfenbrenner, 1996) sur lequel nous prenons appui, a permis, de manière originale, de procéder à l’analyse de la contribution de facteurs d’ordre individuel, familial et contextuel au vécu psychoaffectif de ces pères. Au plan méthodologique, 48 pères ont participé à notre étude au moyen d’un entretien semi-directif basé sur l’Entretien Clinique pour les parents à risque (CLIP) (Meyer, Zeanah, Boukydis & Lester, 1993) et d’une série de questionnaires. Nous avons utilisé des tests standardisés et des questionnaires adaptés à notre problématique : l’Inventaire de l’Alliance Parentale (Abidin & Brunner, 1995), le Parent Medical Interview Satisfaction Scale (P-MISS) (Lewis, Scott, Pantell & Wolf, 1986), le Parenting Sense of Competence Scale (PSOC), (Johnston & Mash, 1989), l’Echelle de Stress Parental : Unité de Néonatologie (Miles, Funk & Carlson, 1993), le Questionnaire Périnatal du Stress Post-traumatique (Quinnell & Hynan, 1999), le Coping Health Inventory for Parents, CHIP (McCubbin, McCubbin, Patterson, Cauble, Wilson & Warwick, 1983) et l’échelle du soutien familial et social, FSS (Dunst, Jenkins & Trivette, 1984). Nos principaux résultats indiquent que les pères construisent un premier lien avec leur bébé mais témoignent également d’un vécu traumatique lié à la prématurité. Les pères présentent une alliance coparentale coopérative et une satisfaction élevée vis-à-vis du personnel soignant. Par ailleurs, les résultats révèlent que le sentiment de compétence paternelle est moins élevé chez les pères de notre échantillon comparé à celui de la population générale. Ils mettent aussi en évidence que le stress paternel est élevé et qu’il va induire un état de stress post-traumatique dès leur séjour dans le service. Pour autant, la majorité des pères adopte des stratégies de coping, telles que le maintien de la cohésion familiale et la communication avec le personnel soignant et les autres parents dans le service. Enfin, nous avons mis en évidence l’influence des caractéristiques du contexte, à savoir le soutien familial et le soutien extrafamilial fourni par l’équipe soignante et les autres parents dans le service, sur l’ensemble de nos variables. L’ensemble des résultats obtenus permet de proposer des perspectives de recherche et des pistes d’intervention auprès des pères de bébés prématurés au sein des services concernés. / The aim of this study is to analyse the life experiences of fathers of prematurely-born infants (Lindberg & al., 2008), their relationship with the baby (Morisod-Harari & al., 2013; Ibanez & al., 2006), their partner (Frascarolo, 2001) and the medical staff (Tombeur & al., 2007; Fegran & Helseth, 2009) based on the theoretical eco-systemic approach (Bronfenbrenner, 2005). Specifically the operational model « Process-Person-Context-Time » (Bronfenbrenner, 1996), on which we are building, in an original manner, to analyse the contribution of personal, contextual and family-related factors on the fathers’ life experiences. As per our methodology, 48 fathers of prematurely-born infants participated in our study through a semi-structured interview, based on the Clinical Interview for parents of high risk infants (Meyer, Zeanah, Boukydis & Lester, 1993), as well as a series of questionnaires. We used standardised tests as well as questionnaires adapted to our study purposes: the Parenting Alliance Inventory (PAI)(Abidin & Brunner, 1995) and the Parent Medical Interview Satisfaction Scale (P-MISS) (Lewis, Scott, Pantell & Wolf, 1986) in order to analyze the proximal processes. Fathers were asked to evaluate their life experiences by completing the Parenting Sense of Competence Scale (PSOC), (Johnston & Mash, 1989), the Parent Stressor Scale: Neonatal Intensive Care Unit (PSS: NICU) (Miles & Davis, 1993), the Perinatal Post-traumatic Questionnaire (PPQ) (Quinnell & Hynan, 1999) and the Coping Health Inventory for Parents (CHIP) (McCubbin, McCubbin, Patterson, Cauble, Wilson & Warwick, 1983). The family and extra family support were measured by the Family Support Scale (FSS) (Dunst, Jenkins & Trivette, 1984). Our principal results indicate that fathers construct an early bond with the infant but also admit to being traumatised by the premature birth. The fathers also exhibit a cooperative parenting alliance with and a high level of satisfaction towards the medical staff. However, the results reveal an inferior sense of paternal competence by the fathers within our sample compared to the general population. The results also show that paternal stress is high and will induce post-traumatic stress symptoms during the hospitalisation of the infant. Though, most fathers adopt a coping strategy, such as maintaining family cohesion and communication with the medical staff and other fathers in the unit. Finally, the impact of the context’s characteristics on all our variables is highlighted, namely family support and extra-family support provided by the medical staff and other parents in the neonatal unit. The results obtained allow us to suggest research themes as well as intervention schemes within the relevant services, towards the fathers of prematurely-born infants.
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Déterminants et effets des trajectoires de stress prénatal sur les issues de la grossesse et la dépression postpartum / Determinants and effects of changes in prenatal stress on obstetric complications in childbirth and postpartum depression

Douteaud, Stéphanie 16 December 2014 (has links)
Introduction : En France, comme ailleurs, la prévalence de la dépression post-partum (DPP) (environ 10% des femmes) n'est pas plus importante que celle d'autres formes de dépression mais elle pose un important problème de dépistage car, les femmes consultent moins rendant difficile sa prévention. Les recherches visant à améliorer la prévention de la DPP s'appuient sur deux modèles principaux, le modèle de la vulnérabilité au stress et le modèle bio-psycho-social. L'un comme l'autre décrivent le stress psychologique prénatal comme étant un important déterminant de la DPP. Néanmoins, si le stress est fréquemment évalué, il n'est mesuré en général qu'une fois et tardivement dans la grossesse. Il n'est donc actuellement pas possible de connaître ni son évolution ni l'effet de cette évolution sur la DPP. En conséquence, un premier objectif de ce travail doctoral est d'identifier et de caractériser des trajectoires de stress afin d'évaluer leurs effets sur la DPP. Par ailleurs, certaines recherches montrent que les complications obstétricales lors de l'accouchement ont un effet délétère sur la santé psychologique des femmes en postpartum et d'autres que le stress prénatal augmente le risque de complications obstétricales. Nous faisons donc l'hypothèse qu'une élévation du stress associée à des complications obstétricales à l'accouchement augmente considérablement le risque de DPP, mais que cela diffère d'une femme à l'autre en fonction du niveau des déterminants du stress.Méthode : La santé des mères, leur trait d'anxiété et des variables socio-économiques ont été relevées chez 164 femmes avant la fin des deux premiers mois de la grossesse. Le stress perçu, l'état d'anxiété, le soutien social et les stratégies de coping ont été évalués à 2, 6 et 9 mois de grossesse pour 163 femmes puis à 1 et 6 mois postpartum pour 91 d'entre elles. Par ailleurs, les résultats du dépistage prénatal des pathologies fœtales, le terme de la grossesse, le poids de naissance du bébé, ses résultats à l'Apgar et le type d'accouchement (dystocique versus eutocique) ont également été relevés. Enfin, la mesure de la DPP a été effectuée 6 mois après l'accouchement. Nous avons calculé des trajectoires individuelles de stress et mesuré l'effet de ces trajectoires sur les variables liées à l'accouchement pour 163 femmes puis sur la DPP pour 91 d'entre elles.Résultats : Trois trajectoires ont été identifiées en prépartum comme en postpartum. Une première où le stress est faible en début de grossesse, augmente jusqu'en début de post-partum et diminue légèrement en fin de période postnatale. Une seconde où le stress est modéré en début de grossesse, diminue jusqu'au milieu de la grossesse, augmente en fin de grossesse et se stabilise en période postnatale. Une dernière où le stress est élevé en début de grossesse, puis diminue jusqu'en fin de grossesse et continue de diminuer en période postnatale. Lorsque le stress suit les trajectoires 2 et 3, la durée de gestation est plus courte, F(2,138) = 3,45, p < 0,05, η2 = 0,048, l'usage de la césarienne est plus fréquent, OR = 2,62,p < 0,05, IC95% = [1,01 – 6,75] ainsi que l'accouchement dystocique, OR = 3,54, p < 0,005, IC95% = [1,18 – 10,52]. En revanche, les trajectoires de stress n'ont pas d'effet sur la DPP.Discussion : Nos résultats sont encourageants et permettent de montrer que l'évolution de la perception du stress pendant la grossesse a un effet sur la durée de gestation, les complications obstétricales et l'usage de la césarienne. En revanche, elle n'en a pas sur la DPP. Cependant nos résultats suggèrent que le stress pourrait avoir un effet uniquement chez les femmes vulnérables et que la DPP s'insèrerait dans un continuum dépressif, alors contigu à la vulnérabilité au stress. Les recherches ultérieures devraient donc évaluer le lien entre des trajectoires individuelles de dépression et de stress du début de la grossesse en fin de postpartum afin de tester cette hypothèse. / Introduction : In France, as well as in other countries, the prevalence of postpartum depression (PPD) (about 10% of women) is not more important than other forms of depression, but it is a major problem of screening, because women less consult, making prevention difficult. Researches to improve the prevention of DPP are essentially based on two models, the stress-vulnerability model and the bio-psycho-social model. The both models describe the prenatal psychological stress as an important determinant of the PPD. However, if stress is frequently assessed, it is usually measured only once and late in pregnancy. So, by now, it is not possible to know its evolution or to know its effects on PPD. Accordingly, a primary objective of this doctoral work is to identify and characterize trajectories of stress to assess their effects on the DPP. Moreover, some researches showed that obstetric complications during childbirth have a deleterious effect on the psychological health of postpartum women. Others proved that prenatal stress increases the risk of obstetric complications. So we assume that an elevated stress associated with obstetric complications in childbirth significantly increases the risk of PPD. Neverthless it differs from one woman to another depending on the level of stress determinants.Method: The health of mothers, their anxiety-trait level and socio-economic variables were recorded among 164 women before the end of two months of pregnancy (T0). Perceived stress, state anxiety, social support and coping strategies were evaluated at 2, 6 and 9 months of pregnancy for 163 women and at 1 and 6 months postpartum for 91 of them. Moreover, the results of prenatal screening for fetal pathologies, the term of pregnancy, baby's birth weight, results of Apgar and type of delivery (dystocic versus eutocic) were recorded. Finally, the measurement of the PPD was performed 6 months after delivery. We calculated trajectories of stress and we measured the effect of these trajectories on the variables related to childbirth for 163 women and on DPP for 91 of them.Results: Three trajectories were identified in prepartum and postpartum. A first trajectory where the stress is low in early pregnancy, increases until early postpartum and decreased slightly at the end of the postnatal period. A second where the stress is moderate in early pregnancy decreases until the middle of pregnancy, increases in late pregnancy and postpartum. A final trajectory where stress is high in early pregnancy and then decreases until the end of pregnancy and continues to decrease in postpartum. When the stress follows the paths 2 and 3, the gestation period is shorter, F(2,138) = 3.45, p <0.05, η2 = 0.048, the use of cesarean section is more common, OR = 2.62, p < 0.05, CI 95% = [1.01- 6.75] as well as dystocic labor, OR = 3.54, p <0.005, CI 95% = [1.18-10.52]. In contrast, the trajectories of stress does not have an effect on the PPD.Discussion: Our results are encouraging and show that the perception of stress during pregnancy has an effect on the duration of pregnancy, obstetric complications and the use of cesarean section. However it has no effect on the DPP, but our results suggest that stress may have an effect only among vulnerable women and that the DPP would fit into a depressive continuum, while adjacent to the vulnerability to stress. In conclusion, future researches should assess the link between trajectories of stress and depression from early pregnancy to late postpartum to test this hypothesis.
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Soutien social et réseau personnel au cœur de l’expérience du cancer / Social support and personal network of cancer patients

Defossez, Adrien 09 December 2014 (has links)
Cette thèse s’inscrit dans la continuité des travaux sociologiques de réseaux sociaux qui s’intéressent au concept de soutien social. Le travail de recherche porte sur les ressources insérées dans le réseau de relations des patients atteints de cancer ainsi que sur la configuration de ces réseaux personnels. Pour ce faire, la thèse se focalise sur le soutien informationnel qui constitue un des grands types de soutien que l’on rencontre dans la littérature sociologique. Les informations de santé accessibles à travers l’entourage relationnel sont considérées comme des ressources qui permettent aux malades de répondre aux difficultés qu’ils rencontrent dans le cadre de la pathologie cancéreuse. L’analyse est basée sur des entretiens réalisés auprès de patients pris en charge dans des services d’oncologie. Cette thèse se donne deux objectifs : le premier est de rendre compte du soutien social dans le cadre d’une pathologie chronique telle que le cancer. De ce point de vue-là, la thèse montre les difficultés que les malades rencontrent pour obtenir les ressources recherchées. Le second objectif est de contribuer à la réflexion théorique sur la mobilisation des liens sociaux. La recherche décrit les contraintes et opportunités du réseau des malades notamment à travers l’analyse des modes de régulations des relations personnelles. / The thesis we sustain is rooted in the social network analysis interested in the concept of social support. This study deals with the resources embedded in the social network of cancer patients and on the structure of these personal networks. The thesis focuses on informational support that is one of the main kinds of support we can find in the sociological literature. Health information patients access through their social ties are social resources upon which they may draw when facing difficulties. Based on semi-structured interviews with cancer patients, this study pursues two aims: the first one is to describe social support in the case of chronic diseases such as cancer. From this perspective, the thesis shows the patient difficulties to obtain appropriate resources. The second aim is to contribute to the theoretical thought on social ties’ mobilization. This research describes the constraints and opportunities of patients’ network through an analysis of the social ties rules.
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Soutenir ses collègues : Oui, mais comment ? Exploration du soutien positif et négatif offert par les collègues aux travailleurs en protection de la jeunesse exposés à un événement traumatique au travail

Lebrun, Gabrielle 09 1900 (has links)
Les travailleurs qui œuvrent en protection de la jeunesse sont régulièrement exposés à des événements traumatiques (ÉT) au travail. De ces événements découlent de nombreuses conséquences individuelles (hypervigilance, dépression, trouble de stress post-traumatique, etc.) et organisationnelles (absentéisme, arrêts de travail, démissions, etc.), celles-ci pouvant perdurer dans le temps, voire s’amplifier, sans intervention adéquate. Les meilleures pratiques à favoriser dans la phase aiguë (0-30 jours) suivant un ÉT demeurent nébuleuses et ne nous permettent actuellement pas d’offrir un soutien optimal aux travailleurs qui expérimentent des réactions post-traumatiques plus ou moins sévères dans les jours/semaines suivant l’ÉT. Or, le soutien social est reconnu pour être un facteur déterminant dans le rétablissement des individus exposés à un ÉT, le soutien des collègues étant particulièrement important en contexte de travail. Toutefois, nous ignorons comment le soutien des collègues se manifeste après un ÉT et comment celui-ci est perçu par les travailleurs victimes. Objectif. Explorer les différentes actions de soutien posées par les collègues en protection de la jeunesse et les distinguer selon qu’elles étaient perçues comme du soutien positif ou négatif par les travailleurs victimes d’ÉT. Méthode. Une méthode qualitative de type exploratoire a permis de procéder à une analyse thématique (inter-cas) et à des études de cas typiques (intra-cas). Des entrevues semi-structurées de 30 travailleurs victimes d’ÉT au cours des 30 derniers jours ont été analysées. Résultats. Les actions de soutien rapportées par les participants pouvaient être assimilées aux catégories de House (1981) - soutien émotionnel, instrumental, informationnel et d’évaluation. Le type de soutien le plus fréquemment rapporté était le soutien émotionnel et la majorité des participants ont rapporté avoir reçu du soutien positif de la part de leurs collègues. Les différentes actions positives et négatives sont détaillées. Conclusion. Le soutien positif concorde avec les principes essentiels d’intervention post-traumatique tandis que le soutien négatif renvoie principalement à un manque de ressources organisationnelles et à une culture de normalisation de la violence. / Child protection workers are regularly exposed to traumatic events at work. From these events arise numerous individual consequences (hypervigilance, depression, post-traumatic stress disorder, etc.) and organizational consequences (absenteeism, sick leave, turnover, etc.), which can last over time or even amplify without adequate intervention. The best practices to promote in the acute phase (0-30 days) following a traumatic event remain unclear and do not currently allow us to offer optimal support to workers who experience more or less severe post-traumatic reactions in the days/weeks following a trauma. Social support is recognized to be a determining factor in the recovery of individuals exposed to traumatic events, support from colleagues being particularly important for events occurring in the workplace. However, we do not know how the support of colleagues manifests itself after a traumatic event neither how it is perceived by exposed employees. Objective. Explore the support offered by colleagues after trauma and distinguish support actions according to whether they were perceived as positive or negative by employees. Method. An exploratory qualitative method was used to conduct a thematic analysis (inter-case) and typical case studies (intra-case). Semi-structured interviews of 30 employees exposed to a traumatic event in the past 0-30 days were analyzed. Results. Support actions reported by participants could fit the typology of House (1981), namely emotional, instrumental, informational and evaluation support. The most frequently reported type of support was emotional support, and the majority of participants reported receiving positive support from colleagues. Positive and negative actions are detailed. Conclusion. Positive support offered by colleagues is consistent with the essential principles of early post-traumatic intervention, while negative support refers mainly to a lack of organizational resources and a culture where violence is trivialized. The study suggests that organizations should invest in an approach based on emotional support rather than trivialization.

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