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Cinq ans après : trajectoire de consommation et processus de changement dans un échantillon présentant une comorbidité psychiatrique

Acier, Didier January 2008 (has links)
Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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La violence chez les personnes ayant des troubles mentaux : éclaircir les liens entre les troubles mentaux graves, les troubles de personnalité et les abus de substances

Dellazizzo, Laura 08 1900 (has links)
No description available.
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Les raisons expliquant le recours aux services d'urgence par les grands utilisateurs souffrant de troubles mentaux courants ou de troubles liés aux substances psychoactives

Dion, Karine-Michele 12 1900 (has links)
OBJECTIF : Un fréquent recours aux services de l'urgence hospitalière (SU) pour des troubles mentaux (TM) est coûteux pour les finances publiques, il contribue à l'engorgement des urgences, et n’améliore pas toujours l’état de santé de l’usager de ces services. Ce mémoire porte sur les raisons évoquées pour le recours fréquent aux SU par les patients qualifiés de grands utilisateurs (≥3 visites/an) et ayant des TM courants (TMC) (par ex. troubles dépressifs, troubles anxieux, troubles de comportement), des troubles liés aux substances psychoactives (TLS) (par ex. intoxication, troubles induits par une substance, dépendance) ou des TMC-TLS concomitants. Leurs perspectives sont comparées et les aspects identifiés par les patients comme aidant à réduire leur recours aux SU sont examinés. MÉTHODOLOGIE : S’inscrivant dans un projet de recherche d’envergure financé par les Instituts de recherche en santé du Canada (IRSC), les données de 42 grands utilisateurs des SU avec TMC, TLS ou TMC-TLS concomitants ont été collectées, en 2021-2022, basées sur des entrevues semi-dirigées et un examen des dossiers médicaux des patients. Le recrutement des patients s’est effectué dans deux SU du Québec (Canada). Cette étude qualitative s’est fondée sur l’analyse de contenu. RÉSULTATS : Globalement, les principales raisons évoquées expliquant le grand recours aux SU étaient rattachées à des facteurs liés au système de santé mentale (par ex. l’adéquation, l’accessibilité et la continuité des soins), aux profils des patients (par ex. les problèmes biopsychosociaux urgents et récurrents, les systèmes de soutien et les capacités individuelles) et aux pratiques professionnelles des cliniciens (par ex. leur connaissance et leur aisance avec les TM, la qualité des échanges avec les patients et la collaboration entre les cliniciens). Des interactions complexes entre ces différents facteurs sont rapportées et celles-ci semblent entraver le processus de III rétablissement des patients et perpétuent des cycles menant à une fréquente utilisation des SU. Quelques différences significatives ont aussi émergé entre les trois groupes de patients. Les patients souffrant de TMC se sont distingués par d'importantes barrières d’accès aux soins ambulatoires et des besoins non satisfaits, alors que les patients souffrant de TLS se sont démarqués principalement par leur manque de confiance dans les services ambulatoires, ainsi qu’en eux-mêmes, tandis que ceux souffrant de TMC-TLS par des problèmes de coordination des soins. CONCLUSION : Les résultats mettent en relief la nécessité d’investir davantage dans le système de santé mentale du Québec afin d’améliorer l’accès aux services ambulatoires, la collaboration entre les prestataires de soins et la continuité de soins diversifiés auprès des patients après l’utilisation des SU, ainsi que plus de traitements intégrés pour les TM-TLS. Les pratiques en santé mentale, fondées sur les données probantes, ont besoin d’être encore plus consolidées dans les soins primaires et conformément au modèle de soins chroniques. Ce qui inclus de meilleurs outils de détection précoce des TM et TLS, des modèles de soins par étapes, ainsi que des formations orientées vers le patient, pour la gestion des symptômes. Les grands utilisateurs des SU bénéficieraient ainsi d’une surveillance accrue, de l’élargissement des plans individualisés de soins et des gestionnaires de cas, ainsi que des formations continues en santé mentale offertes aux cliniciens des soins primaires. / AIMS: High emergency department (ED) use for mental disorders is costly for public finances, contributes to ED overcrowding and does not always improve the health status of the ED user. This dissertation investigates the reasons given for the frequent use of ED by patients qualified as high users (≥3 visits/year) and having common mental disorders (CMD) (e.g., depressive disorders, anxiety disorders, behavioral disorders), substance-related disorders (SRD) (e.g., intoxication, substance-induced disorders, dependance) or co-occurring CMD-SRD. Their perspectives are compared, and aspects identified by patients as helpful to reduce their ED use are examined. METHODOLOGY: As part of a large research project funded by the Canadian Institutes of Health Research (CIHR), data from 42 high ED users with CMD, SRD or co-occurring CMD-SRD were collected, between 2021-2022, based on semi-structured interviews and examination of patients’ medical records. Patients were recruited from two large ED in Quebec (Canada). This qualitative study was based on content analysis. RESULTS: Overall, the main reasons reported for high ED use were linked to factors related to the mental healthcare system (e.g., adequacy, accessibility and continuity of care), patient profiles (e.g., urgent and recurrent biopsychosocial problems, support systems and individual disabilities) and clinicians’ professional practices (e.g., knowledge and comfort with mental disorders, quality of exchanges with patients and collaboration between clinicians). Complex interplay between these different factors is reported, hindering patient recovery process and perpetuating cycles leading to high ED use. Few notable differences also emerged between the three groups of patients. Patients with CMD were faced with important barriers to outpatient care and unmet needs, while patients with SRD mostly distinguished by their lower trust in outpatient services, as well as in their self-efficacy, and those V with MD-SRD struggled with care coordination issues. CONCLUSION: Findings highlight the need for greater investment in Quebec’s mental healthcare system to improve access to outpatient care, collaboration between care providers and continuity of diversified care after ED use, with more integrated MD-SRD treatment. Evidence-based mental health practices need to be further consolidated in primary care and according to the chronic care model. This includes better MD and SRD early detection, stepped-care model along with patient symptoms management training could help prevent ED use. High ED users would also benefit more extensive monitoring, the deployment of individual care plan and case management, as well as more continuous mental health training for primary care clinicians.
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Rôle de l’activation immune maternelle par le Streptocoque de groupe B dans la physiopathologie de l’autisme / Live group B Streptococcus-induced maternal immune activation: gender dichotomic chorioamnionitis and autistic-like traits in male offspring

Allard, Marie-Julie January 2015 (has links)
Résumé : Le streptocoque de groupe B (SGB) est une bactérie commensale présente dans le tractus génito-urinaire de 10 à 30 % des femmes enceintes en santé. Ce pathogène est responsable de chorioamnionite, associée aux naissances prématurées et aux dommages cérébraux du nouveau-né. Les infections durant la grossesse, la chorioamnionite et la prématurité sont associées au développement de troubles du spectre de l’autisme. Notre hypothèse est qu’une exposition subclinique au SGB induit une réponse inflammatoire maternofoetale, menant à des troubles neurodéveloppementaux et comportementaux de type autistique dans la progéniture. L’objectif principal est d’étudier, à l’aide d’un nouveau modèle animal (rat) préclinique, les impacts d’une exposition au SGB en période prénatale sur le développement cérébral de la progéniture. Les rates Lewis gestantes sont injectées au jour de gestation 19 avec une dose de SGB de sérotype Ia (108 UFC/100µl) ou de saline. La réponse inflammatoire placentaire est caractérisée par immunohistochimie. Des tests comportementaux sont effectués entre les jours postnataux 7 et 40 afin d’évaluer la communication, le comportement exploratoire, l’intégration sensorielle et les interactions sociales. Une chorioamnionite dichotomique selon le genre est observée dans les placentas exposés au SGB, via une infiltration de cellules polymorphonucléaires. Cette infiltration est significativement plus proéminente dans les placentas associés aux fœtus mâles que ceux des fœtus femelles. Les mâles exposés au SGB ont un amincissement de la substance blanche cérébrale adjacente aux ventricules latéraux élargis. La progéniture mâle exposée au SGB présente des anomalies comportementales associées aux traits cardinaux des troubles du spectre de l’autisme, soit des déficits au niveau de la communication, des interactions sociales, du traitement de l’information sensorielle ainsi qu’au niveau d’autres comorbidités classiques de l’autisme, comme l’hyperactivité. Ces données démontrent pour la première fois que l’activation immune maternelle induite par l’infection au SGB joue un rôle dans l’induction d’anomalies neurodéveloppementales récapitulant celles observées chez les patients autistes, incluant la dichotomie de genre et le phénotype neurocomportemental. Ces résultats fournissent de nouvelles évidences en faveur du rôle dans la physiopathologie de l’autisme d’un facteur environnemental commun, et modifiable, d’inflammation gestationnelle. / Abstract : Group B Streptococcus (GBS) is a commensal bacterium present in the vagina of 10 to 30% of healthy pregnant women. GBS is responsible for chorioamnionitis, which can cause preterm birth and cerebral injuries in the newborn most often in the absence of maternofetal pathogen translocation. Maternal infection, chorioamnionitis and preterm birth are associated to autism spectrum disorders (ASD) in the progeny. Our hypothesis is that GBS-induced gestational infection induces a maternofetal inflammatory response leading to neurodevelopmental impairments and ASD-like behaviour in the offspring. Our goal was to study, with a new preclinical animal model, the impacts of GBS-induced gestational inflammation on the neurodevelopmental features in the offspring. We characterized GBS-induced placental and neurobehavioural outcomes. Dams were exposed at gestational day 19 to live GBS or saline. The placental inflammatory response was studied by immunohistochemistry. Behavioural tests were performed between postnatal days 7 and 40 to assess communication, exploratory abilities, sensory integration and social interactions. GBS-exposed placentas displayed chorioamnionitis featured by infiltration of polymorphonuclear cells, which was significantly more prominent in males than in females. GBS-exposed males showed a reduced thickness of periventricular white matter. Male offspring exposed to GBS had early onset of cardinal ASD-like traits affecting social interaction, communication (ultrasonic vocalizations), treatment of sensory information (prepulse inhibition), preference toward mother cue (nest-seeking), and some other classic ASD comorbidities such as hyperactivity (open field). Overall, these data show for the first time that maternal immune activation due to live GBS plays a key role in the induction of neurodevelopmental abnormalities recapitulating those of human ASD, including gender dichotomy and neurobehavioural phenotype. These results provide new evidence in favor of the role of a common and modifiable infectious/inflammatory environmental factor in human ASD pathophysiology.
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Traitement implicite de la prosodie émotionnelle et linguistique dans la schizophrénie : lien avec la reconnaissance des affects, l'anhédonie et la désorganisation.

Roux, Paul 26 October 2009 (has links) (PDF)
Les patients schizophrènes présentent des déficits en reconnaissance des émotions vocales qui ont de graves conséquences sur leur fonctionnement social. Ces déficits ont été jusqu'à présent mis en évidence à l'aide de paradigmes explicites : la perception implicite de la prosodie émotionnelle reste à être explorée dans cette pathologie. Nous avons recruté 20 patients schizophrènes et 21 sujets contrôles appariés sur l'âge et le sexe. Nous avons d'abord démontré dans notre groupe de patients un déficit en reconnaissance explicite de prosodie émotionnelle. Nous avons ensuite utilisé un paradigme de Stroop émotionnel vocal (conflit entre l'émotion du sens du mot et de la voix avec lequel il est prononcé) permettant d'évaluer l'influence implicite de la prosodie émotionnelle sur le jugement émotionnel sémantique. Nous avons démontré un effet de Stroop émotionnel vocal plus important en taux d'erreur chez les patients que chez les témoins traduisant un déficit de résolution des conflits émotionnels vocaux. Chez les patients, l'effet de Stroop émotionnel vocal en temps de réaction est positivement corrélé à l'anhédonie sociale, validant ainsi l'hypothèse originale d'une hypersensibilité aux émotions vocales dans l'anhédonie schizophrénique. Nous avons également exploré le traitement implicite de la prosodie linguistique chez les mêmes participants. Nous avons démontré à l'aide d'une tâche psycholinguistique évaluant les stratégies de segmentation lexicale et prosodique que les patients schizophrènes étaient tout à fait capables de percevoir et d'utiliser les indices prosodiques contenus dans des frontières de groupe de mots pour segmenter le signal de parole. Nous concluons à une dissociation entre une reconnaissance explicite altérée et une perception implicite préservée de prosodie émotionnelle et linguistique dans la schizophrénie. Nos résultats réfutent l'explication entièrement sensorielle du trouble schizophrénique en reconnaissance des émotions vocales. Ils sont plutôt en faveur d'un déficit de l'étape cognitive de jugement émotionnel.
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Approche temporelle de la mémoire de reconnaissance visuelle et atteinte au stade prodromal de la maladie d'Alzheimer

Besson, Gabriel 12 June 2013 (has links) (PDF)
La mémoire de reconnaissance visuelle (MRV) est atteinte précocement dans la maladie d'Alzheimer (MA). Or, elle reposerait sur deux processus: la familiarité (simple sentiment d'avoir déjà rencontré un item) et la recollection (récupération de détails associés à l'item lors de son encodage). Si la recollection est clairement atteinte au début de la MA, les résultats concernant la familiarité sont à ce jour contradictoires. Supposée plus rapide que la recollection, la familiarité devrait pouvoir être évaluée directement par une approche temporelle. Son atteinte dans la MA pourrait alors être mieux comprise. Pour tester ces hypthèses, la procédure comportementale SAB (Speed and Accuracy Boosting) a été créée. Permettant d'étudier les propriétés de la MRV (sa vitesse-limite, (Articles 1 et 2, ou sa nature "bottom-up", Article 3) ainsi que l'hypothèse que la familiarité serait plus rapide que la recollection, cette méthode s'est montrée évaluer majoritairement la familiarité (Article 1). Chez des patients à risque de MA, une dissociation inattendue au sein de la familiarité a alors pu être révélée, avec une atteinte des signaux tardifs de familiarité (utilisés lors d'un jugement classique), mais une préservation des premiers signaux (supportant la détection rapide évaluée en SAB) (Article 4). En outre, la segmentation manuelle d'images IRM du lobe temporal interne (premières régions cérébrales touchées dans la MA, et clés pour la MRV) a été appliquée à la problématique connexe de l'effet de l'âge au début de la MA (Article 5). Indépendamment, ces méthodes ont permis de mieux comprendre la MRV et son atteinte au début de la MA ; leur combinaison s'annonce très prometteuse.
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Le phénomène d’influence entre pairs : observation des interactions sociales à l’intérieur de groupes d’entraînement aux habiletés sociales impliquant des élèves ayant des troubles du comportement et des pairs aidants sans trouble du comportement

Dumoulin-Charette, Sandrine 09 1900 (has links)
Récemment, un nombre grandissant de jeunes ayant des troubles du comportement ont été intégrés dans les classes régulières. Afin de soutenir cette intégration, plusieurs programmes d’intervention ont émergé et été implantés dans les écoles québécoises. Parmi ces programmes, on retrouve le programme l’Allié, qui se distingue des autres, notamment, par l’utilisation de pairs aidants. Ce cadre d’intervention prometteur soulève cependant certains questionnements sur la possibilité d’influence négative entre les jeunes. L’objectif de l’étude est de décrire, dans une approche comportementale, le processus d'influence entre pairs. Une méthodologie d’observation systématique des interactions sociales est privilégiée. Les résultats indiquent qu’il n’y a pas eu d’influence négative dans les groupes l’Allié. Les comportements perturbateurs ont eu plus de chances de cesser lorsque les participants les ont ignorés, que lorsque les pairs ont réagi à ces comportements. L’ignorance intentionnelle d’un comportement semble donc constituer un processus d’influence important dans les groupes de jeunes. / In recent years, a growing number of students with behavioral disorders have been integrated into regular classrooms. Various intervention programs have emerged to support this integration, with many being implemented in Quebec’s schools. One of these programs, the Ally intervention program, distinguishes itself from others, notably, through its use of peer helpers. Though very promising, this intervention framework raises some questions about the possibility of negative influence among the children. The goal of this study is to describe, in a behavioral approach, the influence process in social interactions between peers. Systematic observation is the method selected to conduct this study. Results indicate that there was no negative influence in Ally groups. Furthermore, a disruptive behavior was more likely to stop when participants ignored it, than when peers responded to it. Selective ignoring of behavior thus seems to be an important influential process in groups made up of children.
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Le syndrome métabolique et ses associations avec les troubles de la mobilité : différence de genre dans l'étude internationale sur la mobilité des personnes âgées (IMIAS)

Toa, Lou Irié Clarisse 06 1900 (has links)
Introduction : Peu d’études internationales ont examiné les différences entre les hommes et les femmes dans la prévalence du syndrome métabolique (SM). Objectifs : Comparer les prévalences du syndrome métabolique chez les femmes et les hommes et évaluer le rôle du genre dans les associations entre le SM et les troubles de mobilité (TM). Méthodes : Nous avons utilisé les données repères de l’étude internationale sur la mobilité des personnes âgées de 65-74 ans (n=1995), des villes de Kingston (Ontario), Saint-Hyacinthe (Québec), Tirana (Albanie), Manizales (Colombie), et Natal (Brésil). Parmi les participants, 1728 ont donné un échantillon de sang pour des analyses. Les ratios de prévalence (RP) du SM et des TM ont été dérivés par la régression de Poisson. Résultats : Les prévalences du SM étaient significativement plus élevées chez les femmes dans les villes non canadiennes, cette différence entre sexes n’était pas significative dans les villes canadiennes. Relativement aux femmes de Kingston, les prévalences du SM étaient plus élevées chez les femmes de Tirana (RP= 2,66; 95 % IC = 1,98-3,58) et de Natal (RP= 2,21; 95 % IC = 1,52-3,22) et non significatives chez celles de Manizales et de Saint-Hyacinthe. Chez les hommes, peu de différences significatives étaient observées. Le SM n’était pas associé à la mobilité dans les villes non canadiennes. Conclusion : Nos résultats suggèrent que le genre est un facteur de risque pour le SM. Des recherches sur les relations entre le SM, la mobilité et le genre devraient être entreprises. Mots-clés : Syndrome métabolique, troubles de la mobilité, genre, santé internationale / Background: Few international studies have examined differences in metabolic syndrome (MetS) between men and women. Objectives: To compare the prevalence of MetS in women and men and to assess the role of gender in the association between MetS and mobility disability. Methods: We used baseline data from the International Mobility in Aging Study of community samples aged 65-74 years (n = 1995) of the cities of Kingston (Ontario), Saint- Hyacinthe (Quebec), Tirana (Albania), Manizales (Colombia), Natal (Brazil). Of these, 1,728 people donated a blood sample. Prevalence ratios of MetS and mobility disability were estimated by Poisson regression. Results: In non-Canadian cities the prevalence of MetS was significantly higher in women while in Canadian cities there was no significant sex difference. Among women, comparing with Kingston, MetS prevalence was significantly higher for women in Tirana (PR= 2.66; 95%CI = 1.98 to 3.58) and Natal (PR=2.21; 95%CI =1.52 - 3.22), but no significant differences were observed for women in Manizales and Saint-Hyacinthe. Among men, few significant differences were observed across cities. In non-Canadian sites, MetS was not associated with mobility disability. Conclusion Our results suggest that gender is a risk factor for MetS. Research on the relationship of MetS, mobility and gender need to be initiated. Keywords: Metabolic syndrome, mobility disability, gender, international health.
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Usage de médicaments à visée psychotrope en population générale : caractéristiques et adéquation avec le(s) diagnostic(s) psychiatrique(s) / Use of psychotropic drug in the general population : associated characteristics and congruence with psychiatric diagnosis

Grolleau, Adeline 02 December 2010 (has links)
Les objectifs de ce travail étaient d’évaluer la prévalence vie entière des traitements à visée psychotrope et les caractéristiques associées à cet usage dont l’adéquation avec l’existence de troubles psychiatriques. Les travaux ont été réalisés à partir des données issues de l’enquête Santé Mentale en Population Générale sur un échantillon de 36 785 adultes représentatifs de la population générale française. Un tiers des sujets a rapporté avoir fait usage d’au moins un traitement psychotrope au cours de la vie. L’inadéquation diagnostic-traitement est retrouvée dans le sens « usage en l’absence de trouble psychiatrique » aussi bien que dans le sens « absence d’usage en présence de trouble identifié ». Ainsi, seul un tiers des sujets avec un diagnostic de trouble dépressif récurrent a fait usage d’un traitement antidépresseur ou thymorégulateur. Concernant l’utilisation de traitements alternatifs, seuls 1,3 % des personnes rapportent un usage de traitement homéopathique à visée psychotrope. Ces traitements sont principalement utilisés par des personnes présentant un trouble anxieux en association avec un traitement psychotrope conventionnel. Des études ultérieures documentant l’ensemble des traitements à visée psychotrope utilisé dans le traitement des symptômes psychiques permettraient d’affiner les résultats sur l’adéquation diagnostic-traitement et d’estimer le nombre de sujets évitant le recours aux traitements conventionnels par l’utilisation d’alternatives thérapeutiques. / The aims of this work were to assess the lifetime prevalence of psychotropic drug use and the characteristics associated with use, particularly the congruence with psychiatric diagnoses. The studies were performed using the database from the survey Mental Health in the General Population including 36 785 persons representative of the French general population. One out of three subjects reported a lifetime use of psychotropic treatment. The non-congruence between diagnosis and psychotropic drug was observed in the pattern “use without psychiatric disorders” as well as in the pattern “no use with psychiatric disorders”. So, only one out of three persons with recurrent major depressive disorder reported having used an antidepressant or a mood stabilizer. Regarding complementary and alternative medicine use, only 1,3% of persons reported use of homeopathic treatment for psychiatric symptoms. These treatments were mainly used by persons with anxiety symptoms in association with conventional psychotropic drugs. Further studies assessing the all the treatments used for psychiatric symptoms would allow to refine the results on the congruence between diagnosis and psychotropic drug and to estimate the number of persons avoiding use of conventional psychotropic drugs by using complementary and alternative medicine.
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Le rôle du sentiment d’efficacité personnelle, de l’insatisfaction corporelle et de l’alexithymie dans l’étiologie et le maintien des troubles des conduites alimentaires

Couture, Stéphanie 01 1900 (has links)
La forte prévalence des troubles des conduites alimentaires (TCA) chez les jeunes femmes et les faibles taux de rémission suite à un traitement ont encouragé les chercheurs à mieux comprendre les facteurs impliqués dans ce trouble mental. L’un des premiers modèles à mettre l’emphase sur des traits de personnalité associés au développement d’un TCA a été proposé par Hilde Bruch (1962, 1973, 1978) et a toujours une grande influence dans la recherche actuelle. Le modèle de Bruch inclue trois facteurs, soit l’insatisfaction corporelle, l’inefficacité et la conscience intéroceptive. Le but de cette thèse est d’apporter un support empirique au modèle de Bruch. En se basant sur une revue extensive des écrits scientifiques, cette thèse vise aussi à déterminer si deux facteurs reliés, soit l’alexithymie et le sentiment d’efficacité personnelle face à l’adoption de conduites alimentaires saines, améliorent la précision du modèle dans la prédiction de symptômes de TCA. Pour répondre empiriquement à cette question, il était d’abord nécessaire de disposer d’un questionnaire évaluant le sentiment d’efficacité personnelle en lien avec les conduites alimentaires qui peut être utilisé dans tout le spectre de présentation des TCA. Ainsi, le Eating Disorder Self-Efficacy Questionnaire (EDRSQ) a été adapté en français et ses propriétés psychométriques ont été évaluées. Une analyse factorielle confirmatoire a révélé une structure bi-factorielle, soit le sentiment d’efficacité personnelle en lien avec l’insatisfaction corporelle et avec l’adoption d’une alimentation normative. Chaque échelle a démontré une bonne fiabilité ainsi qu’une validité de construit cohérente avec la théorie. Par la suite, la capacité des facteurs proposés par Bruch à prédire les symptômes de TCA a été évaluée et comparée à des adaptations du modèle découlant des écrits. Au total, 203 étudiantes de premier cycle universitaire ont complété les versions validées en français du Eating Disorder Inventory 2, du Eating Attitudes Test, et du Toronto Alexithymia Scale en plus du EDRSQ. Les résultats montrent que le modèle de Bruch explique 46% de la variance des symptômes de TCA. Alors que l’insatisfaction corporelle et la conscience intéroceptive démontrent chacun une contribution importante dans la prédiction des symptômes de TCA, il a été démontré que l’inefficacité présente seulement une contribution spécifique négligeable. Le modèle de Bruch est amélioré par la substitution de l’inefficacité par le sentiment d’efficacité personnelle tel que mesuré par le EDRSQ; le modèle explique alors 64% de la variance des symptômes de TCA. Finalement, cette étude démontre que l’alexithymie n’a pas de contribution spécifique dans la prédiction des symptômes de TCA. Ainsi, la combinaison d’une faible conscience intéroceptive, de l’insatisfaction corporelle et d’un faible sentiment d’efficacité personnelle en lien avec les conduites alimentaires est fortement associée aux symptômes de TCA dans un échantillon non-clinique de jeunes femmes. Finalement, les implications conceptuelles et cliniques de ces résultats sont discutées. / High prevalence of Eating Disorders (EDs) amongst young women and poor treatment outcome rates have urged researchers to better understand premorbid factors involved in the pathology. One of the first models to emphasize premorbid personality factors in order to explain eating disorders was proposed by Hilde Bruch (1962, 1973, 1978) and is still very influential in today’s literature. Bruch’s model included three factors, namely body dissatisfaction, ineffectiveness and interoceptive awareness. The purpose of this thesis was to provide an empirical validation of Bruch’s theoretical model. Based on the literature, this thesis also aimed to determine if two related concepts, namely alexithymia and eating self-efficacy, improved the accuracy of the model in predicting ED symptoms. To empirically answer this question, it was first deemed necessary to have an eating self-efficacy questionnaire that could be used within all the spectrum of ED pathology. Therefore, the Eating Disorder Self-Efficacy Questionnaire (EDRSQ) was adapted to French and its’ psychometric properties were assessed. A confirmatory factor analysis revealed a bi-factorial structure, which were Body Image Self-Efficacy and Normative Eating Self-Efficacy. Both scales demonstrated evidence of reliability and theoretically consistent evidence of construct validity. Afterwards, Bruch’s factors ability to predict ED symptoms was assessed and then compared to empirically driven adaptations of the model. A total of 203 undergraduate females completed the Eating Disorder Inventory 2, Eating Attitudes Test, and Toronto Alexithymia Scale, as well as the EDRSQ. The results indicated that Bruch’s model accounted for 46% of the variance in eating symptomatology. While body dissatisfaction and interoceptive awareness both demonstrated an important contribution in predicting ED symptomatology, ineffectiveness was found to have a negligible specific contribution. Bruch’s model was improved by substituting ineffectiveness with eating self-efficacy as measured by the EDRSQ; it then accounted for 64% of the variance in eating disorder symptoms. Finally, this study demonstrated that alexithymia was not a specific predictor of eating disorder symptoms. Thus, a combination of lack of interoceptive awareness, body dissatisfaction and low eating self-efficacy is strongly associated with symptoms of eating disorders in a non-clinical sample of women. Finally, the conceptual and clinical implications of these findings were discussed.

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