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Innovation technico-scientifique et rationalité instrumentale dans l'utopie et la dystopie technique moderneGuay, Philippe January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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Thermodynamique de la contre-utopie : éléments pour une lecture critique de l’économie des contre-utopies anglo-américaines, françaises, anglaises et japonaises au XXème siècle / Thermodynamics of counter-utopia : Elements for a critical reading of the economy of English-American, French, English and Japanese counter- utopias in the twentieth centuryPelissier, Pierre-Gilles 09 December 2011 (has links)
La contre-utopie est une branche de la science-fiction qui, à l’opposé de l’utopie, s’attache à décrire non plus des mondes idéaux mais des sociétés cauchemardesques. Bien qu’ancien, le genre ne prend réellement son essor qu’à la fin du XIXème et au XXème siècle et accompagne donc les développements de la société industrielle pour lui renvoyer l’image de ses défauts.Cette thèse se propose de lire certaines des images forgées par contre-utopies à partir d’un schème scientifique, celui de la thermodynamique, soit cette discipline qui, à partir de l’étude de l’économie des machines à vapeur, a servi de tremplin à la révolution industrielle au XIXème siècle. Parce qu’elle a pour but de tracer une physique de la valeur économique, le recours à la thermodynamique va nous servir à analyser l’économie des contre-utopies et à tracer par ce biais les contours d’une théorie critique des sociétés décrites.S’intéressant à la contre-utopie dans la perspective d’une critique du monde industriel, les œuvres retenues pour le corpus, tant cinématographiques que littéraires, sont avant tout issues d’Amérique du nord (États-Unis), d’Europe (France, Grande-Bretagne) et du Japon et produites au cours du XXème siècle, siècle où les effets de l’industrialisation des sociétés dévoilent leur caractère néfaste. En examinant avec de nombreux exemples à l’appui comment la contre-utopie procède à une transposition politique de principes physiques, cette thèse a pour objectif de mettre en évidence les leçons de philosophie morale et politique que l’on peut retirer du genre tout en envisageant sous un angle nouveau les rapports entre science et science-fiction. / Counter-utopia is a branch of science-fiction which, contrary to utopia, describes either ideal worlds but nightmarish societies. Although ancient, the genre really takes off at the end of the nineteenth and during the twentieth century, accompanying the developments of the industrial society to send it back the image of their main defects.This thesis suggests to read some of the images made by counter-utopias from a scientific scheme, that of the thermodynamics, a discipline which, from the study of the economy of steam engines, was one of the main springboard to the industrial revolution in the nineteenth century. Because it aims at drawing a physics of the economic value, the recourse to thermodynamics is going to serve us to analyze the economy of counter-utopias and to draw by this way the outlines of a critical theory of the described societies.Being interested in counter-utopia in the perspective of a criticism of the industrial world, the works held for the corpus, films and literature (novel and short stories), belong to works produced in North America (United-States), Europe (France, Great-Britain) and Japan during the twentieth century, a century in which the effects of the industrialization of societies show their fatal aspect. By examining with numerous examples how counter-utopia proceed to a political transposition of physical principles, this thesis has for objective to enlighten the lessons of moral and political philosophy given by the whole genre and to consider under a new angle the links between science and science fiction.
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Innovation technico-scientifique et rationalité instrumentale dans l'utopie et la dystopie technique moderneGuay, Philippe January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Utopie, Anarchismus und Science Fiction : Ursula K. Le Guins Werke von 1962 bis 2002 /Seyferth, Peter. January 2008 (has links)
Zugl.: München, Universiẗat, Diss., 2006 u.d.T.: Seyferth, Peter: Utopie in der Science Fiction von Ursula K. Le Guin.
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Rozbor tématického okruhu eutanázie v románu Uwe Timma Ikárie. Zrod rasové hygiény z ducha utopie / Addressing the complex issue of euthanasia in Uwe Timm's novel Ikarien. The birth of racial hygiene out of the spirit of utopian idealsBičík, Miroslav January 2021 (has links)
Presented Master's thesis deals with euthanasia in the novel "Ikarien" by German author Uwe Timm. The thesis highlights development of its main character Alfred Ploetz, an originator of so-called racial hygiene (German variation of eugenics). Ploetz supported the idea of performing euthanasia on severely disabled people. This was applied at massive scale in Nazi Germany from 1939 to 1945. One of the goals of this thesis is to analyze the connection between utopian notions about the creation of a new man, eugenics and euthanasia performed by Nazis, which is reflected in the life of Alfred Ploetz. Furthermore, the thesis aims to give analysis of literary means used for capturing subject matter and compare factual and fictional parts of this historical novel. KEYWORDS Uwe Timm, euthanasia, racial hygiene, eugenics, utopia, science, Alfred Ploetz
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Die letzte Frau auf Erden: Eine Utopie? : Eine literarische Analyse von Marlen Haushofers Die Wand / The Last Woman on Earth: A Utopia? : A Literary Analysis of Marlen Haushofer’s The WallWitt, Ylva January 2024 (has links)
In dieser Examensarbeit wird untersucht, ob Marlen Haushofers Die Wand (1963) als eine feministische Utopie interpretierbar ist. Mithilfe von Definitionen von Dystopie, Utopie und einer Definition von feministischer Utopie werden drei gegensätzliche Merkmalpaare (Hoffnung vs. Pessimismus, Natur vs. Technikwissenschaft und Freiheit vs. Unterdrückung) herausgelesen, die dann in der Analyse von Die Wand angewendet werden, um die Hypothese, dass Die Wand nicht dystopisch, sondern eine (feministische) Utopie ist, zu bestätigen. Am Schluss folgt eine kurze Zusammenfassung der Resultate. / This dissertation will investigate whether Marlen Haushofer's The Wall (1963) can be interpreted as a feminist utopia. With reference to definitions of dystopia, utopia and specifically also of a feminist utopia, three pairs of contradictory terms were selected, which in turn were applied to the analysis of The Wall in order to confirm the 'claim' that The Wall is in fact not dystopian but rather a (feminist) utopia.
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La science et l'espace public de la conception scientifique du monde au "Vivre ensemble" chez Otto NeurathMoysan-Lapointe, Héloïse January 2012 (has links)
Le mémoire vise à dégager le lien entre la connaissance scientifique et les interactions politiques décrit par Otto Neurath à travers son oeuvre. Pour ce faire, il est nécessaire de présenter l'empirisme logique de Neurath dans certaines de ses spécificités, puis d'évaluer comment cette approche épistémique est indissociable de questions politiques et sociales. Après avoir explorés [i.e. exploré] certaines caractéristiques du modèle épistémique formulé par Neurath, on s'intéressera plus spécifiquement à la question de l'unité de la science, à travers laquelle on peut saisir plusieurs des préoccupations fondamentales de Neurath comme l'articulation de la connaissance à l'action, les limites de la connaissance relatives aux limites du langage et les limites de la connaissance relatives aux limites pratiques de l'action. Dans un deuxième temps, on pourra comprendre comment cette conception de la science et de la connaissance est élaborée dans la perspective d'une utilisation démocratique de la connaissance. L'intérêt de Neurath est de considérer l'utilité de la science dans l'espace public non seulement quant à l'apport d'informations qu'elle permet, mais aussi des outils discursifs utiles à un processus décisionnel rationnel, démocratique et transparent. Il faudra cependant considérer les limites de tels outils en rappelant les questions relatives aux limites de la science, les liens entre ces limites, la forme de pluralisme politique impliquée, et le caractère lui-même politique de l'activité scientifique. On pourra finalement évaluer le potentiel politique du langage empirique proposé par Neurath comme part constituante de la délibération démocratique. Si le verdict est positif, on pourra alors admettre la valeur éthique de la normativité épistémique pragmatiste proposée par Neurath.
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Tussen hoop en distopie : 'n kritiek van die utopiese redeEngelbrecht, Schalk Willem Petrus 12 1900 (has links)
Thesis (PhD (Philosophy))--University of Stellenbosch, 2010. / AFRIKAANSE OPSOMMING: Utopie is dood. Daar is geen meer hoop dat die toekoms radikaal anders of moreel meerwaardig kan wees gemeet teen die hede nie. Om utopiese alternatiewe tot ons huidige samelewingsrangskikking te verbeel is onrealisties, en selfs gevaarlik. Daarom lewer die utopiese verbeelding vandag slegs distopieë – as ons vandag 'n andersoortige samelewing verbeel kan ons slegs dink dat dit 'n nagmerrie moet wees. Die resultaat is politieke apatie en 'n gewilligheid om onsself te versoen met die status quo.
As teenvoeter vir die bogenoemde politieke apatie vra ek in hierdie proefskrif of dit vandag nog moontlik is om utopies te dink. Om hierdie vraag te beantwoord ondersoek ek eers die sogenaamde "einde" of "dood" van utopie. Utopie is vandag dood omdat die metafisiese onderbou daaran verdag geraak het, en omdat 'n utopiese gees aktief onderdruk word via 'n verskeidenheid ideologiese strategieë.
Ten spyte van hierdie probleme is 'n andersoortige en postmetafisiese utopisme wel vandag moontlik, en die kontoere van hierdie nuwe utopiese rasionaliteit word nagespoor in die werk van eietydse filosowe soos Richard Rorty, Gianni Vattimo, Fredric Jameson, Slavoj Žižek en Jacques Derrida. In hulle werk herleef 'n utopiese gees wat nie meer gebonde is aan ons metafisiese filosofiese erfenis nie. Hierdie gees manifesteer ook nie (slegs) in die vorm van sketse van ideale samelewings nie, maar eerder as hermeneutiese praktyke wat die koms van sosiale alteriteit fasiliteer. Hierdie utopiese gees, in voeling met 'n postmetafisiese intellektuele klimaat, bied ek aan as 'n noodsaaklike voorwaarde vir sosiale hoop. / ENGLISH ABSTRACT: Utopia is dead. There is no hope today that the future will be radically different from, or ethically superior to the present. To dream up utopian alternatives to our society is unrealistic, even dangerous. It is no surprise, then, that the existing utopian imagination produces only dystopias – if we think at all of a radically different society, we can only imagine something nightmarish. The result: a political apathy and a willingness to reconcile ourselves with the status quo.
To counter the abovementioned political apathy, I ask in this dissertation if it is still possible to think in a utopian fashion. In order to answer this question I start off by examining the so-called "end" or "death" of utopia. Utopia is dead today because of its questionable metaphysical foundations, and because of an active ideological repression of any utopian impulse.
In spite of these problems a new and postmetaphysical utopianism is possible. The contours of this new utopianism can be extrapolated from the work of contemporary philosophers like Richard Rorty, Gianni Vattimo, Fredric Jameson, Slavoj Žižek and Jacques Derrida. In their work a utopian spirit is revived – a spirit no longer constrained by our metaphysical philosophical heritage. This spirit is manifested, not (only) in sketches of ideal societies, but rather in hermeneutic practices that facilitate the arrival of social alterity. I present this utopian spirit, in touch with a postmetaphysical intellectual climate, as a necessary condition for social hope.
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René Char : éthique et Utopie / René Char : ethics and UtopiaMorin, Eugénie 25 June 2010 (has links)
Par sa vision tragique du monde, René Char semble, à première vue, bien éloigné des penseurs utopistes, moins intéressé par les lendemains qui chantent que par les dangers imminents qui guettent l’humanité. Dans un grand nombre de ses poèmes, il s'attaque aux naïfs qui se persuadent que c'est le bien qui adviendra, valorise les pessimistes dans la mesure où « ils voient de leur vivant l'objet de leur appréhension se réaliser ». Son œuvre semble parfois rejoindre les actes d'accusation faisant de l'utopie l'antichambre du goulag et des camps, la rendant responsable de la dégénérescence des états dits socialistes en systèmes totalitaires. À plusieurs reprises, Char indique qu’entre l’ethos (qui recommande d’arrimer la poésie et la pensée au réel) et l’utopos (qui s’élabore à l’écart de la réalité du monde) il ne peut surgir qu’une incompatibilité essentielle. Mais s'en tenir là serait ignorer que tout une part de sa poésie demeure également marquée par le « principe espérance ». Si ses recueils du début des années 1930 sont traversés par le désir d’un « monde en tout renouvelé de l’attractif », certains de ses écrits plus tardifs sont également ponctués d’« images-souhaits » de la conscience désirante, d’évocations de lieux rêvés : « ville imperforée » ou « pays d’à côté », « citadelle idéale » ou « perfection à la fois territoriale et inspirée du bien commun ». Bien que Char se soit de nombreuses fois attaqué aux utopies du futur, il convient de se demander si on ne peut trouver à l'intérieur même de sa critique une invitation à penser l'utopie autrement. / By virtue of his tragic vision of the world, René Char initially appears to be far from a utopian. He is less interested in “enchanting dawns” than in the imminent dangers that await humanity. In many poems he attacks the naïve who believe that good will triumph, and values instead the pessimists “who see in their very lifetime the realization of what they most feared.” For this reason, Char has been placed alongside those who view utopia as the foyer of gulags and concentration camps, and hold utopianism responsible for the degeneration of so-called “socialist” states into totalitarian ones. Char suggests several times that between ethos (which encourages the adherence of poetry and thought to reality) and utopos (which distances us from the reality of the world) only an essential incompatibility can arise. To leave the question of utopia at this, however, is to ignore how a whole dimension of Char’s poetry is equally inspired by the “principle of hope.” His poetry from the early 1930s flows from a desire for “a world in every respect renewed by the attractive.” His later works are equally filled with “wish-images” of desiring consciousness, evocations of dreamed places – be it an “imperforate city,” a “country at the margins,” an “ideal citadel” or, indeed, “perfection, both earthly and inspired by the common good.” While Char has on several occasions taken it upon himself to attack future-oriented utopias, it is necessary to ask whether, from within this very criticism, we may find instead an invitation to think utopia otherwise
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Développement local et démocratie en marche : analyse d'un projet d'équité sociale en IndonésieRobertson, Mélanie January 2008 (has links)
Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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