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Geopolitická rivalita ve Střední Asii a moc Turkmenistánu jako slabého státu / Geopolitical Rivalry in Central Asia and Turkmenistan's power as a weak state

Welsink, Emma January 2019 (has links)
Thesis abstract: Geopolitical Rivalry in Central Asia and Turkmenistan's power as a weak state Charles University, Institute of International Studies, MAS programme 2019 Emma Welsink English Abstract Research on weak states and their position in the international system has been a widely discussed topic for decades, especially in relation to the Cold War bipolar system that revolved around Russia and the United States as great powers. Yet what is lacking is a contemporary analysis that concentrates on the current multipolar system in which the importance of economic alliances and power surpass military power, and how this affects weak states' foreign policy behavior and trade opportunities. This research therefore offers an empirical analysis on great power geopolitical competition between Russia and China over Turkmenistan's economic allegiance, specifically regarding its natural gas export, and seeks to explain how this geopolitical competition has affected Turkmenistan's foreign energy policy behavior as a weak state vis-á-vis these great powers. Additionally, this research seeks to examine how Turkmenistan has even instrumentalized this competition to further its national interest of energy export diversification. More specifically, this research shows that great power competition has played a...
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La gouvernance sans Etat : une étude de cas sur les territoires contrôlés par le front révolutionnaire uni en Sierra Leone / Governance without State : a case study on territories controlled by the Revolutionary United Front in Sierra Leone

Sesay, Mohamed Kanja 13 December 2013 (has links)
La guerre civile en Sierra Leone débute en 1991 et dure jusqu’en 2002.Encore aujourd’hui, les analystes sont assez partagés sur ses causes, notamment lesmotivations des rebelles du Front Révolutionnaire Uni (RUF), mouvement àl’origine des hostilités. De son entrée en Sierra Leone à nos jours, le RUF a étél’objet de plusieurs débats et critiques, tant sur son organisation que sur sesméthodes guerrières. En questionnant d’abord la capacité organisationnelle de cemouvement, la thèse a pour objet de contextualiser les arguments souvent associésavec des guerres civiles de ce type. Ils insistent sur l’absence de sens : ces conflitsillustreraient d’abord une situation de chaos total. Elles seraient aussi laconséquence de l’absence ou de la défaillance d’un État.Cette présente étude s’inscrit dans le prolongement des débats sur le RUF.Elle démontre que ce dernier n’était pas si désorganisé que ce que racontent lescommentateurs, avertis ou non. Cette opinion répandue résulte notamment d’unemédiatisation intense de son usage intensif de la violence extrême, très réellecependant. Le RUF n’était pas qu’un groupe de voleurs de diamants sanguinairesmais aussi une force assez structurée avec une logique hiérarchique claire, voireune idéologie. Grâce à ces facteurs, il a mis en place des structures lui permettantd’établir les relations de gouvernant à gouvernés avec les populations urbainessous son contrôle. Cette force rebelle a instauré un mode de gestion de lacollectivité. Cela a modifié la nature de ce groupe armé, devenu, dans les zonessous son contrôle, un « appareil administratif » civil, loin d’être toujoursperformant mais bien identifiable comme tel.En juxtaposant les interactions complexes d’une gouvernance quotidienne,la thèse met en lumière les méthodes de gouvernance du RUF et les aspects dits« normaux » de la vie dans ces villes en guerre. Elle analyse les variables de larelation entre les membres du mouvement rebelle occupant ces communes et lapopulation locale. Une fois une ville conquise, les rebelles sont obligés d’y fairequelque chose. Le RUF impose un « système administratif » instaurant un ordre devie en commun dans toute cette zone.L’étude analyse donc ces outils de la gouvernance civile, mobilisés entemps de guerre. Au cours de cet étude, plusieurs recherches de terrain en SierraLeone, ont été menées. Ces séjours sur place ont permis la réalisation de plusieursentretiens, individuels et collectifs. Ils soutiennent les idées générales exposéesdans cette thèse. / The war in Sierra Leone began in 1991 and ended in 2002. Analysts remaindivided on the question of its cause, particularly on the issue of the motivations ofthe rebel Revolutionary United Front (RUF), the armed group which started thehostilities. From its entry into Sierra Leone to date; the RUF has been the subjectof much debate and criticism, both on its organization and its methods of wagingwar. By asking questions relating to the organizational capacity of the RUF, thisstudy aims to contextualize the central arguments often associated with civil warsof the Sierra Leonean kind: they insist on the absence of meaning; these conflictsillustrate a situation of chaos and/or are devoid of political reflections. They arealso the consequence of the absence or failure of a State.This present study continues these discussions in relation to the RUF, bydemonstrating that this guerilla force was not as disorganized as often portrayed,despite increased media coverage on its use of violence. The RUF was not a groupof murderous diamond thieves but also quite structured with a clear hierarchicallogic or ideology. Through this internal organisation, it set up structures toestablish governor/governed relations with urban populations under its control.The rebel force thus established a system to manage these local communities. Suchconsiderations changed the nature of the armed group in the areas under itscontrol, where it established a civil "administrative unit", far from being efficientbut identifiable as such.By juxtaposing the complex interactions of daily governance, the thesishighlights the governance practices of the RUF and the aspects that characterise"normal" life in these « war torn » towns. It analyzes the variables of therelationship between members of the rebel movement occupying these towns andthe local population. Once a town is conquered, the rebels are forced to dosomething there, an "administrative system" establishing an order of coexistence inthe whole area is imposed.The study therefore analyzes the tools of civil governance, mobilized intime of war. During this study, several field research trips to Sierra Leone, wereconducted. These trips have allowed the realization of several interviews,individual and collective. They support the general ideas presented in this thesis.
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Régionalisme, régionalisation des conflits et construction de l'État : l'équation sécuritaire de la Corne de l’Afrique / Regionalism, regionalization of conflict and state-building : the security equation of the Horn of Africa

Le Gouriellec, Sonia 25 November 2013 (has links)
En dépit de sa complexité analytique, la situation sécuritaire de la Corne de l’Afrique peut être soumise aux outils de la Science politique afin de mieux comprendre les interactions entre les différents acteurs. Cette recherche s’efforce d’analyser les ressorts d’une équation sécuritaire qui peut paraître insoluble : le régionalisme est-il aujourd’hui un prérequis à l’émergence d’une paix régionale ? Pour répondre à cette question il est nécessaire de comprendre quels rôles jouent les processus sécuritaires régionaux (régionalisation et régionalisme) dans la construction des États de la Corne de l’Afrique. Cette étude s’efforce d’étudier les interactions entre le régionalisme, fondement de l’architecture de paix et de sécurité continentale, la régionalisation des conflits, qui semble à l’oeuvre dans cette région, et les processus de construction/formation de l’État. Les rapports entre les trois termes de l’équation dépendent du contexte et des interactions entre les différentes entités composant la région (États, acteurs non étatiques qui se dressent contre eux ou négocient avec eux et acteurs extérieurs). Deux types de dynamiques sont mises en évidence au terme de cette étude : l’une endogène, l’autre exogène. Dans la première, nous constatons que les conflits participent à la formation de l’État. Ils sont en grande partie des conflits internes et montrent qu’il existe une crise dans l’État. Ces États dominent le processus de régionalisme qui tente de réguler la conflictualité régionale avec un succès relatif puisque les organisations régionales cherchent à renforcer ou reconstruire l’État selon les critères idéalisés de l’État wébérien vu comme source d’instabilité. Le processus exogène se caractérise par le rôle des conflits régionaux dont l’existence sert de justificatif au développement et au renforcement du régionalisme, perçu comme la réponse la plus appropriée à ces problèmes de conflictualités. Cette conflictualité a pour source l’État car celui-ci est perçu comme faible. Le régionalisme permettrait de renforcer les États et diminuerait leurs velléités de faire la guerre. / In spite of its analytical complexity, the security context in the Horn of Africa may be submitted to the Political Science’ tools in order to better understand the complex interactions between the various actors. The present research thus seeks to analyze the mechanism underlying what appears as an unsolvable security problem: is regionalism a prerequisite for the emergence of a regional peace? In order to answer this question, it is necessary to understand the role of regional security processes (regionalization and regionalism) in the state formation and state building of the Horn of Africa’s states. This study endeavours to explore the interactions between regionalism, which are inherent in the creation of an African peace and security architecture, the regionalization of conflict, which seems at work in this area, and construction/formation state process. The relationship between the three terms of this equation depends on the context and interactions between the various entities that make up the region (states, non-state actors that stand against them or negotiate with the states and external actors). This study thus reveals two kinds of dynamics at play: an endogenous process and an exogenous one. In the first one conflicts are involved in the formation of the state and are largely internal conflicts. It demonstrates that there is a crisis in the state States dominate the regionalism process which tries to regulate regional conflit with relative success because regional organizations seek to strengthen or rebuild the state according to the idealized criteria of the Weberian State seen as a source of instability. The exogenous process is characterized by the role of regional conflicts whose very existence serves to justify the development and the strenghtening of regionalism thus perceived as the most appropriate answer to those security problems. States are the source of conflicts because they are perceived as weak. Regionalism would strengthen states and reduce the inclination of states to make war.
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Le traitement des questions de sécurité dans la région sahélo-saharienne : étude des approches malienne, nigérienne et burkinabè / The treatment of security issues in the Sahel region : a study of Mali, Niger and Burkina Faso approaches

Faivre, Pierre-Marie 19 February 2016 (has links)
La récurrence des crises politiques et sécuritaires dans la région sahélo-saharienne continue de mettre en lumière les multiples facteurs d'instabilité qui la touchent. Plaçant l'État au centre de notre réflexion, nous verrons que, si ces fragilités peuvent être le fruit de facteurs exogènes, elles constituent surtout le résultat de décisions endogènes. Partant de ce constat, cette étude analysera les politiques mises en place par les autorités du Burkina Faso, du Mali et du Niger, le cadre régional dans lequel elles s'inscrivent et les interdépendances qu'elles contractent. Face à la faiblesse de ces pays, la solution d'une approche régionale a été plébiscitée mais son efficacité se heurte à la défense des intérêts particuliers des États et de leurs gouvernants. / The repetition of political and security crisis in the Sahel region highlights the multiplicity of factors of instability. The State being at the center of our study, we will observe that, despite exogenous threats, its fragility is mostly the result of endogenous decisions. This said, our work will analyze policies implemented by the authorities of Burkina Faso, Mali and Niger, the regional frame in which they place themselves and the mutual dependence they contracted. To counter the weakness of these countries, the regional approach has benne praised. Its effectiveness must, however, face the defense of rulers' and States' particular interests.

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