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L'hallucinatoire et la clinique de l'irreprésentable / The hallucinatory and the clinic of the unrepresentable

Quagelli, Luca 13 April 2018 (has links)
Depuis les origines de la psychanalyse, le problème de l’hallucinatoire est étroitement lié au problème du fonctionnement de l’inconscient. Dans la métapsychologie « première topique », le modèle de la réalisation hallucinatoire de désir explique autant le fonctionnement du nourrisson (hallucination primitive), que celui du rêve et de la névrose de transfert. Dans Construction dans l’analyse, Freud propose toutefois une hypothèse alternative : l’hallucinatoire peut véhiculer la re- présentation, dans la cure, de noyaux irreprésentables de vérité historique. En s’appuyant sur les réflexions de plusieurs auteurs post-freudiens (Winnicott, Green, Roussillon...), l’auteur développe l’héritage freudien en essayant de l’inscrire dans un modèle capable d’intégrer l’intrapsychique et l’intersubjectif. Il avance et discute l’hypothèse de l’existence d’un fond hallucinatoire du psychisme, régi par la compulsion de répétition, qui re-active les toutes premières expériences relationnelles du sujet. Lorsque la rencontre originaire avec l’objet échoue, les traces de ces situations traumatiques s’enkystent dans le psychisme et font retour, de manière hallucinatoire, dans le transfert, à la recherche d’un autre-semblable capable de leur donner une première forme affective. C’est uniquement grâce à un dur travail d’élaboration contre- transférentielle – illustré ici à travers plusieurs cas d’enfants et d’adolescents psychotiques – que l’analyste arrive parfois à accueillir et à transformer ce transfert du négatif, en accompagnant ainsi ses patients sur le chemin ardu qui mène à la symbolisation (primaire) et à la constitution d’une aire transitionnelle où le je(u) peut enfin advenir. / From the birth of psychoanalysis the conceptualization of the hallucinatory is intimately intertwined with that of the unconscious functioning. In the first topic, the model of the hallucinatory realization of desire explains the baby’s mental functioning, i.e., primal hallucination, the functioning of dreams and neurotic patients in the transference. However, Freud suggests an alternative conceptualization in Constructions in Analysis. Through the hallucinatory, unsymbolized nuclei of historical truth may be re-presented in the treatment. Drawing on Winnicott’s, Green's and Roussillon’s contributions, the Author develops the Freudian heritage and suggests a model in which the intrapsychic and intersubjective dimensions are integrated. The Author puts forward and discusses the existence of a hallucinatory background of the psychism, ruled by the repetition compulsion, that re-activates the psychic inscriptions of early relational experiences. When the primal encounter with the object has failed, traces of these traumatic experiences remain inscribed in the psychism and can be hallucinatory re- activated in the transference in the desperate attempt to find a first representation. Drawing on the case material of psychotic children and adolescents, the Author analyses the complex working through of the countertransference in order to contain this transference of the negative to accompany patients in their arduous way towards (primary) symbolization and the construction of a transitional space of playing.
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La agonía de la ética y la antropología. Notas a partir del pensamiento de Manuel Marzal

Mujica Bermúdez, Luis 25 September 2017 (has links)
El artículo consta de tres partes. En la primera parte considera las anotaciones de Manuel Marzal, antropólogo y profesor de Pontificia Universidad Católica del Perú, fallecido en el año 2005, sobre el tema de la ética como preocupación temática desde la antropología. En segundo lugar, se hace una revisión —a modo de balance bibliográfico— sobre el mismo tema contrastando las preocupaciones de Marzal con la producción de los últimos años, sobre todo en el área peruana, realizada por diversos antropólogos quienes han abordado de forma explícita o implícita el tema ético o moral. Finalmente, en un contexto de postviolencia política y del Informe Final de la Comisión de la Verdad y Reconciliación, se propone que para haceruna antropología de la ética en estos tiempos debe considerarse dos referencias metodológicas y cuatro dimensiones para explorar la conducta de las personas en relación con otras. Las referencias metodológicas requieren de una «densa descripción» de las moralidades para tratar de entender la simplicidad de las relaciones e investigar y reflexionar el tema en una perspectiva multidisciplinar. / This paper is divided into three different sections. The first sectionconsiders the annotations of Manuel Marzal, an anthropologist and professor at the Pontificia Universidad Católica del Perú who passed away in the year 2005, about ethics as a concern coming form an anthropological perspective. Secondly, the article presents a balance on the bibliography about this issue, contrasting Marzal’s preoccupations with the latest bibliography, mainly Peruvian, which deals with ethics and morals in an explicit or implicit sort of way. Finally, living in the post-political violence and Commission for Truth and Reconciliation Final Report period, in order to make an anthropology on ethics one has to consider two methodological references and four dimensions to explore the people’s behaviors in relationto others. The methodological references require a «dense description » on morality to try to understand the simplicity of the relations and investigate and reflect on a multidisciplinary perspective. The four dimensions in which to explore ethics are daily life, religiosity, economics and politics.
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De l'invention du mourant à la figure de l'agonie. Recherche sur l'ultime épiphanie de la personne incarnée / From the invention of the dying, to the figure of agony : research on the final epiphany of the incarnated person

Tranchant, Blandine 11 January 2017 (has links)
A l’heure où la prise en charge médicale s’avère de plus en plus nécessaire pour accompagner la fin de vie, il nous apparait que sa place est de plus en plus importante et de moins en moins questionnée. Or, réduire la fin de vie à la question du mourant et de sa prise en charge est pour le moins problématique. L’arrêt d’hydratation et d’alimentation, les différentes formes de sédation, l’euthanasie, le suicide assisté, les soins palliatifs résument-ils à eux seuls ce que l’on peut dire de la fin de vie ? Peut-elle se résumer uniquement à une question d’ordre médical ? N’est-elle pas avant tout une question d’ordre existentiel où, à l’heure de notre déclin, nous sommes confrontés à l’agonie ? Souffrance et finitude se trouvent au cœur de notre interrogation et nous poussent à nous confronter au pâtir de la vie, nous dévoilant ainsi comme être de chair. Grâce à la philosophie henryenne, l’agonie va peu à peu se dévoiler comme une occasion ultime de révélation de soi à soi en tant que soi. Face à l’aporie du mal qui frappe, nous découvrons les hommes capables toujours d’y faire face par un effort de repersonnalisation. C’est cet effort nécessaire qui va se dévoiler tant dans le champ métaphysique, que dans le champ éthique, et que dans le champ politique. C’est ce même effort qui amène l’homme à prendre ses responsabilités et à répondre aux questions existentielles. La subjectivité de chacun se doit alors de devenir le centre de l’institution soignante. L’agonie devient possibilité de repenser la place de la personne au sein du système hospitalier : place de la personne soignante, de la personne soignée, de ceux qui accompagnent, tout en développant une éthique de l’accompagnement qui doit ensuite se décliner dans une politique. Car si, métaphysiquement, vivre son agonie ne peut se justifier que par l’Amour, éthiquement, il nous faut construire une nouvelle poétique de l’action faisant place à la fraternité issue de la chair, à l’imagination de l’homme pour répondre à l’appel d’autrui et de la vie, et à la subsidiarité, afin que chacun soit respecté dans son agir et sa conscience. Politiquement, cela nous ouvre alors à un système hospitalier respectueux de chaque « Je Peux » qui se déploie en son sein. Le respect du consentement du patient reste ainsi la pierre angulaire du système hospitalier ; mais il ne peut se construire que dans une alliance avec les soignants. / In the context of today’s world, medical care is becoming increasingly necessary to assist patients at the end of life. It appears that this care is taking on more and more importance and is subject to fewer and fewer questions. is less and less questioned. However, confining the end of life to the state of dying and its medical support is problematic. Can the end of life be resumed as stopping hydration and artificial feeding, sedation in its different forms, euthanasia, assisted suicide, and palliative care? Can it be summed up as a simple medical question? Isn’t the end of life, first and foremost, linked to an existential question in which, at the time of our decline, we come face to face with agony? Finiteness and suffering are at the heart of our questioning as we confront life’s hardships, revealing the mystery of the flesh. With the help of Michel Henry’s philosophy, agony will gradually reveal itself as an ultimate opportunity for self-revelation. Faced with the paradox of evil, we find Man capable of coping with an effort of re-personification. This necessary effort will unfold in the metaphysical, ethical and political fields. This same effort allows Man to take responsibility for himself and to contemplate existential questions. The subjectivity of each person must become the center of the healthcare institution. Agony becomes the possibility to rethink the place of the individual person within the hospital system: the care giver, the care receiver and those supporting them, all while developing an ethical personal assistance which must then translated into policies. Because even if metaphysically, living out agony cannot be otherwise justified but by Love, ethically we must build a new way of operating. We must leave room for fraternity as a consequence of being of the flesh, to imagination in order to respond to our fellow man and our life’s calling, and to subsidiarity so that everyone is respected in his actions and consciousness. Politically, it opens up the possibility of a hospital system respectful of each "I Can" which is echoed within its walls. Respect for the patient's consent remains the cornerstone of the hospital system but can only be built with an alliance with caregivers.

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