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Le rôle des conseillers juridiques de George W. Bush dans l'utilisation de la torture comme outil antiterroriste

Bourbeau, Véronique January 2008 (has links) (PDF)
Dans l'après-11 septembre 2001, le gouvernement de George W. Bush est particulièrement préoccupé par la possibilité que de nouvelles attaques se reproduisent en territoire américain. Afin d'éviter cette éventualité, les décideurs de Washington déclarent la « guerre contre le terrorisme » qui se déroule, dans un premier temps, en Afghanistan contre le régime taliban puis, dans un second temps, en Irak contre celui de Saddam Hussein. Lors de ces interventions militaires, plusieurs combattants talibans ou membres présumés d'AI-Qaïda sont faits prisonniers, certains déportés aux centres de détention de la base navale de Guantanamo. Ces détenus représentent dès lors une source privilégiée d'informations pouvant contribuer au succès des services de renseignement américains. Constatant l'échec des interrogatoires menés auprès des détenus à Guantanamo, certains décideurs de l'administration Bush vont estimer que le recours à des techniques radicales d'interrogation est nécessaire et justifiable dans le cadre de la lutte contre le terrorisme. Ces méthodes associées à la torture étant toutefois proscrites par le droit fédéral américain et le droit international, l'élite décisionnelle fera appel aux conseillers juridiques de l'administration pour réinterpréter le droit et donner une nouvelle définition à la torture, plus pointue et ouvrant la porte à des actes auparavant interdits. Cette définition désormais légalisée, la nouvelle politique d'interrogation donnera libre cours aux militaires et aux agents de renseignement sur le terrain. L'objectif de notre mémoire sera d'expliquer comment et pourquoi les conseillers juridiques de l'administration Bush sont parvenus à convaincre le président américain du bien-fondé de la torture dans le cadre de la lutte contre le terrorisme. Pour ce faire, nous recourrons aux approches organisationnelle et perceptuelle. D'abord, nous verrons que ce groupe de conseillers a bénéficié d'un appareil bureaucratique soumis à l'influence des conseillers juridiques de l'Exécutif où se sont déroulées des luttes organisationnelles lors desquelles ils ont mis en oeuvre une stratégie de marginalisation des dissidents. Ensuite, nous montrerons que le style présidentiel de G. W. Bush a contribué à la montée en force des conseillers juridiques dans ce dossier. Enfin, nous démontrerons que l'élite-conseil a commis plusieurs erreurs perceptuelles qui seront à l'origine de la nouvelle définition de la torture. Dans un premier temps, nous présenterons les architectes de cette redéfinition de la torture: leur rôle, leur relation avec le président et leur personnalité, en ayant toujours en tête l'influence majeure de la dimension individuelle lors de la prise de décision. Nous exposerons de plus la réflexion juridique ayant mené à cette nouvelle définition. Dans un second temps, nous mettrons à contribution les facteurs bureaucratique et perceptuel qui expliqueront respectivement comment et pourquoi une décision aussi controversée a été adoptée par l'administration Bush. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : États-Unis, Torture, Politique étrangère américaine, George W. Bush, Richard Cheney, Guantanamo, Abou Ghraib, Afghanistan, Irak, Terrorisme, Processus décisionnel, AI-Qaïda, Conventions de Genève.
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Le discours de la guerre de George W. Bush depuis les attentats du 11 septembre 2001 : une symbiose entre «volonté divine» et «nécessités» du temps

Cassabois, Yohane January 2006 (has links) (PDF)
Le présent essai critique analyse le discours belliciste que le Président américain formule depuis les attentats du 11 septembre 2001. Suite à la gravité des attaques, George W. BUSH a mis en place un discours plus radical. Présentant la guerre contre le terrorisme comme une lutte historique entre le Bien et le Mal découlant de desseins providentiels, il glorifie la force et la cohésion nationale, tout en prônant une solidarité planétaire. Mêlant, dans ses interventions, le vocabulaire de la religion à celui de l'urgence face à un péril grandissant, il a construit un langage belliciste singulier. Et, parce que cette technique discursive s'articule autour de thèmes traditionnellement chers aux États-Unis, elle se dessine, du moins à l'échelon national, comme une stratégie quasiment inébranlable. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Discours, George W. BUSH, 11 Septembre 2001, États-Unis, Manichéisme, Dieu, Terrorisme, Guerre, Sécurité.
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La conversation républicaine, sine qua non de la démocratie américaine, première victime de la guerre au terrorisme

André, Marie-Kettlie 03 1900 (has links) (PDF)
Se présentant comme une démocratie modèle fondée sur un contrat sans cesse renégocié au travers de la conversation républicaine, les États-Unis se sont dotés d'un système politique respectueux des droits de la personne et garant des libertés civiles dans tous les secteurs d'expression sociale. Ce régime, imparfait à sa naissance, a progressé de façon lente, mais constante. Même à la fin du XXe siècle, il n'avait pas encore atteint son plein épanouissement. La démocratie américaine reste perfectible! Bien sûr, des forces restreignent la réalisation du projet initial. Même si, dès 1789, elle a permis d'élaborer la Constitution et, plus tard, ses principaux amendements, la conversation républicaine, SINE QUA NON de la démocratie, n'a jamais pu fonctionner pleinement. L'exclusion d'importantes parties de la population (infortunés, minorités ethniques, femmes) donne une idée des lacunes qu'elle a plus ou moins comblées avec le temps. Déjà limitée en temps de paix, durant les conflits, la conversation républicaine est confrontée à des « mesures de guerre » porteuses de censure et d'autres procédures transformant la communication en propagande et l'information en désinformation. Propagande et désinformation promeuvent alors les intérêts des élites politiques et économiques. La guerre ralentit donc considérablement la mise en pratique des idéaux et elle entraîne même la régression de ce régime. Ces constats de ralentissement, d'arrêts ou de reculs nous interpellent sur la place de la pratique démocratique aux États-Unis. Nous nous sommes demandée si ce pays, très souvent en guerre, s'est effectivement doté d'une démocratie dont le fonctionnement et la progression normale auraient été malencontreusement stoppés par de nombreux épisodes guerriers ou si, au contraire, le recours récurrent aux mesures de guerre porteuses d'entraves au bon fonctionnement de la conversation républicaine n'est pas, finalement, le scénario rêvé par l'Establishment pour faciliter et rendre incontestable, la gestion efficace du système économique et financier dont cette puissance mondiale est devenue le champion? Pour répondre à cette question, nous avons suivi une approche chronologique qui nous permet de procéder à une analyse des faits et des idéologies qui ont légitimé les guerres. Nous avons étudié les épisodes guerriers qu'ont connus les États-Unis, de la Révolution de 1776 aux conflits locaux qui ont failli « faire éclater » la « guerre froide ». Évidemment, nous avons particulièrement insisté sur la « guerre au terrorisme » menée par Georges W. Bush, au lendemain des attentats du 11 septembre 2001. Nous en arrivons à croire qu'en lançant cette Guerre, le Président des États-Unis, conseillé par les Néoconservateurs, a contraint les Américains à abandonner leur idéal de « conversation républicaine ». L'examen précis du contexte de la guerre au terrorisme étaye notre hypothèse. Il souligne le caractère instrumental de cette guerre, et rend compte ainsi de l'impraticabilité de « la conversation républicaine ». Pour garantir la pratique efficace du capitalisme sauvage, l'idéal de « conversation républicaine » a été transformé en un simple outil de propagande, un symbole publicitaire, un thème central de campagne de relations publiques! Nous concluons en soulignant que la guerre au terrorisme dans laquelle Bush a précipité les États-Unis a un impact considérable sur la façon d'interpréter l'histoire de cette grande puissance. Loin d'être « une grande démocratie » temporairement malmenée par quelques conflits, depuis la guerre au terrorisme, nous percevons l'histoire de ce pays comme celle d'une oligarchie qui ne peut fonctionner efficacement que dans un état de guerre permanente où l'idéal démocratique de « conversation républicaine » est remplacé par celui de l'American way of life, sorte de culte de la consommation propice à l'enrichissement des managers et des financiers américains. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Communication, États-Unis, espace public, guerre, guerre au terrorisme, démocratie, conversation républicaine, censure, désinformation, répression, sceau de secret, secret d'État, propagande, sécurité nationale, intérêts public et national, Destinée Manifeste, pragmatisme managérial de Thayer-Ravault, instrumentalisme de Habermas.
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Masculinités, féminités et histoires de guerre : genre, "races" et guerre en Irak dans le cinéma américain

Châteauvert-Gagnon, Béatrice 07 1900 (has links) (PDF)
Les histoires de guerre occupent une place prédominante dans l'imaginaire collectif et servent souvent à légitimer l'emploi de la force ou le maintien du statu quo au niveau de la sécurité internationale. Ces histoires sont véhiculées à travers diverses sources dans la société, dont la culture populaire, et en particulier le cinéma, qui constituent donc des terrains particulièrement fertiles pour en comprendre les tenants et aboutissants. Car ces histoires reposent sur des structures narratives bien précises qui sont bâties sur des inégalités de genre et de « races », entre autres rapports de pouvoir. Or, qu'en est-il des histoires « antiguerre » ou visant à dénoncer un ou plusieurs aspects de la guerre en général ou d'une guerre en particulier? Ces histoires reposent-elles sur les mêmes structures inégalitaires? La guerre en Irak présente un cas d'étude particulièrement intéressant pour répondre à cette question vue son impopularité auprès de la population américaine, reflétée au sein des productions cinématographiques. Ainsi, trois films américains de fiction portant sur la guerre en Irak et critiquant un ou plusieurs aspects de celle-ci seront analysés : In the Valley of Elah (2007), Green Zone (2010) et Home of the Brave (2006). Plus précisément, en utilisant un cadre théorique issu des études féministes poststructuralistes de la sécurité internationale, les masculinités et féminités mises en scène dans ces narrations seront analysées dans le but d'en déceler les composantes genrées et racisées ainsi que leurs effets sur la charge critique du film. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : sécurité internationale, genre, « races », histoires de guerre, guerre en Irak
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Les coopérations internationales de la France dans la lutte contre le terrorisme (fin XIXe siècle – 1989) / France’s international cooperation against terrorism from the end of the 19th century to the end of the 1980s

Bausardo, Thomas 10 December 2015 (has links)
À la fin du XIXe siècle, à la faveur du développement en Europe des premières formes contemporaines d’un terrorisme internationalisé, la France participe à la naissance d’une première grammaire de la coopération internationale contre le terrorisme, qui se décline en une coopération politique multilatérale, une coopération policière secrète et une coopération de nature judiciaire ayant pour fondement l’extradition. Il s’agit dès lors d’écrire l’histoire des coopérations internationales de la France contre le terrorisme depuis cette période jusqu’à la fin des années 1980, dans ses versants tant politiques que policiers et judiciaires, en analysant les appréhensions, adaptations et spécialisations des différents organes de l’État, en fonction non seulement de l’évolution du terrorisme lui-même mais aussi des relations internationales dont elles constituent un élément à part entière. À l’ère du terrorisme anarchiste à la fin du XIXe siècle succède un entre-deux-guerres durant lequel la France fait l’expérience du terrorisme balkanique et où pour la première fois une organisation internationale, la SDN, se saisit du terrorisme. À l’issue de la Seconde Guerre mondiale, la France fait de nouveau l’expérience de la coopération durant la guerre d’Algérie, et à partir de la fin des années 60 participe à un mouvement d’européanisation de ses enjeux et de ses pratiques tant au niveau bilatéral que multilatéral. L’Europe géographique autant qu’institutionnelle devient l’espace de référence de la coopération antiterroriste, du fait de la persistance du phénomène tant d’origine domestique qu’international et de sa transformation en enjeu majeur pour la société internationale. / At the end of the nineteenth century, in response to the rise of a modern internationalized terrorism, European states, and chiefly among them France, draft a first grammar of international cooperation against terrorism, a multilateral political cooperation, a secret police cooperation and a judicial cooperation of which extradition is the cornerstone. The history of France’s international cooperation against terrorism from this point on to the end of the 1980s shall thusly be written with regards to its political, policing, intelligence and judicial implications and take into account not only the evolving nature of the understanding of the phenomenon by and within the state, but the evolution of terrorism itself and that of international relations, of which international cooperation against terrorism is an integral part. Following the era of anarchist terrorism, during the interwar years, the rise of nationalist terrorism in the Balkans provide France with a new outlook and the phenomenon becomes, for the first time, an issue on the agenda of an international organization, the League of Nations. After WWII, France faces anew the challenges of international cooperation during the Algerian War, and, from the end of the 1960s on, takes part in a differential process of Europeanization of international cooperation against terrorism. In its geographical and institutional incarnations, and due to the persistence of both domestic and international terrorism, Europe thus becomes the core of France’s international efforts against terrorism.
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La sécurisation de la menace terroriste aux États-Unis, depuis G. W. Bush jusqu'à la fin du premier mandat de Barack Obama

Laliberté-Seyer, Arlow 09 1900 (has links) (PDF)
Notre recherche a comme sujet la lutte contre le terrorisme aux États-Unis depuis le 11 septembre 2001. Notre problématique aborde les changements et les continuités dans la lutte contre le terrorisme menée par les États-Unis durant le premier mandat du président Barack Obama par rapport à son prédécesseur, au niveau des discours et des pratiques. Pour cette recherche, nous employons la théorie de la sécurisation développée par l'École de Copenhague. D'après celle-ci, énoncer un enjeu comme un « problème de sécurité » permet d'obtenir des pouvoirs spéciaux pour s'en occuper, d'une manière déterminée de la part de l'auteur de la démarche sécuritaire (Waever 1995, p.54). À l'aide de ce cadre d'analyse, nous analysons les discours formulés par des acteurs clés (George W. Bush, Dick Cheney, Barack Obama, John O. Brennan) et les politiques qui ont suivies. Notre recherche nous conduit à croire que malgré certains changements et reformulations, il y a une continuité générale de la sécurisation de la menace terroriste sous Obama. Après que les tours jumelles du World Trade Center ont été percutées par deux avions de ligne le 11 septembre 2001, la politique américaine a connu d'importants changements. L'administration du président G. W. Bush a entrepris une lutte contre le terrorisme qui était sans précédent. Selon la théorie de la sécurisation de l'École de Copenhague, c'était un cas de sécurisation à grande échelle. En effet, le gouvernement américain a annoncé une menace urgente mettant en péril l'existence de nombreux objets référents (la souveraineté des États-Unis et de leurs alliés, la sécurité des Américains et du reste du monde...) et a demandé certains droits spéciaux pour s'en occuper. L'administration Bush a pris par la suite plusieurs moyens extraordinaires afin de prévenir et combattre la menace terroriste : interventions militaires en Afghanistan et en Iraq, adoption du Patriot Act, ouverture de la prison de Guantanamo Bay et de centres de détention secret par la CIA, etc. L'élection présidentielle de Barack Obama en 2009 annonçait de nombreux changements dans la politique américaine, notamment au niveau de la lutte contre le terrorisme et la sécurité nationale. Les discours du nouveau président et de John O. Brennan (le conseiller principal pour la lutte antiterroriste entre 2009 et 2012) laissaient croire qu'il en serait ainsi : les troupes américaines seraient retirées d'Iraq, la prison de Guantanamo Bay serait fermée et le gouvernement américain n'emploierait plus la torture. La lutte contre le terrorisme durant le premier mandat du président Obama a toutefois été marquée par davantage de continuités que de changements en comparaison à l'administration précédente. La menace terroriste a continué d'être l'objet d'une sécurisation à travers laquelle le gouvernement a poursuivi des politiques extraordinaires au nom de la lutte contre le terrorisme. Bref, la sécurisation de la menace terroriste s'est poursuivie malgré certaines reformulations et de nouvelles politiques... ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : École de Copenhague, sécurisation, lutte contre le terrorisme, Barack Obama, George W. Bush

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