• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 36
  • 4
  • 2
  • 2
  • 1
  • 1
  • 1
  • Tagged with
  • 53
  • 30
  • 29
  • 21
  • 9
  • 8
  • 8
  • 8
  • 8
  • 8
  • 8
  • 7
  • 7
  • 6
  • 6
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
11

Création d'un syndicat indépendant en Égypte : répertoires, intermédiations et processus de mobilisation

Lachapelle, Jean 02 1900 (has links) (PDF)
La loi égyptienne oblige les syndicats à adhérer à une centrale unique, la Confédération des syndicats égyptiens. Ce système d'unicité syndicale a historiquement joué un rôle important pour la perpétuation de l'autoritarisme égyptien. Récemment, il a été publiquement remis en cause avec la création d'un premier syndicat indépendant de la Confédération, le Syndicat indépendant des employés de l'impôt foncier. S'appuyant sur une douzaine d'entretiens réalisés en arabe ainsi que sur une revue exhaustive de la presse égyptienne, ce mémoire étudie les facteurs ayant permis l'émergence d'un syndicalisme indépendant dans le contexte autoritaire égyptien. Il explique, par le biais de la théorie des mouvements sociaux, comment les employés de l'impôt foncier sont parvenus à fonder un premier syndicat « libre » dans un contexte de fermeture quasi-totale des institutions. Le travail empirique de ce mémoire est présenté en deux parties. La première partie (chapitres IV et V) retrace les principaux évènements de la grève des employés de l'impôt foncier en 2007 et analyse les dynamiques propres à la constitution d'une organisation informelle en contexte autoritaire. Cette première partie souligne l'importance de la dimension identitaire de la mobilisation ainsi que le rôle des médias indépendants pour la mise en contact des militants. La deuxième partie du mémoire (Chapitre VI) se penche sur les tentatives d'institutionnalisation du syndicat et met en évidence le rôle des pressions internationales ainsi que l'existence de conflits au sein du régime pour la création du syndicat. Sur le plan théorique, ce mémoire propose une réflexion sur la valeur scientifique des explications en termes de « structures d'opportunités » pour l'étude de la mobilisation populaire. Nous sommes d'avis que les explications en terme de « structures », si elles sont très répandues dans le champ de l'étude des mouvements sociaux, n'en demeurent pas moins d'un potentiel explicatif limité. L'étude de cas présentée dans ce mémoire laisse en effet supposer que l'étude des mouvements sociaux gagnerait à s'appuyer davantage sur des analyses détaillées des mécanismes et des processus de la mobilisation que sur des explications structurelles. ______________________________________________________________________________
12

L'évolution du caractère autoritaire du régime russe postsoviétique : analyse critique des principales explications

Carpentier, Marie-Ève 04 1900 (has links) (PDF)
Ce mémoire cherche à atteindre une meilleure compréhension du tournant autoritaire du régime de la Russie postsoviétique (1991 à aujourd'hui) au moyen d'une lecture critique des principales explications développées suite au rejet du « paradigme de la transition » (transitologie) par les spécialistes de la Russie. Nous avons regroupé les explications principales - celles qui sont les plus présentes dans la littérature sur la Russie - selon trois grandes approches : culturelle, néo-institutionnaliste et marxiste (analyse de classe). Nous avons d'abord dégagé leurs principaux éléments pour ensuite les soumettre à une analyse critique selon leur cohérence interne et leur capacité à offrir une explication cohérente de l'évolution du régime en Russie qui tient compte des faits connus. Cette analyse critique a révélé le caractère fortement réducteur des deux premières approches. Ces approches - fort différentes l'une de l'autre - ont toutes les deux tendance à souligner un seul facteur explicatif en l'isolant du reste de la réalité sociale. Le résultat est une analyse très partielle, marquée souvent par un argumentaire circulaire et arbitraire ou encore un caractère réductionniste. Par contre, l'analyse de classe marxiste, et notamment son approche dialectique, permet de saisir le caractère complexe et contingent de la réalité politique. Son analyse intègre les éléments valables des autres approches, tout en évitant leurs écueils. ______________________________________________________________________________
13

L'économie participaliste : une économie capable d'actualiser les valeurs libertaires?

Lebrun, Pascal 02 1900 (has links) (PDF)
L'économie participaliste, ou écopar, est un système économique proposé comme une alternative au capitalisme et au socialisme « réel ». La vie économique y est régie par des conseils de travailleurs et de travailleuses ainsi que des conseils de consommation autogérés et fédérés par l'entremise d'un processus de planification participative. Quelques propositions institutionnelles pour les fonctions non économiques de la société ont aussi été formulées pour complémenter le projet d'écopar, mais ces propositions sont au mieux encore incomplètes, quoiqu'il existe un squelette de plus en plus précis de système politique participaliste. Les formes de l'écopar, qui entendent actualiser les valeurs d'équité, d'autogestion, de solidarité et de diversité sans perte d'efficience économique, s'inspirent grandement de l'anarchisme social et du conseillisme. En analysant l'écopar sur la base de la pensée anarchiste, complémentée par le féminisme matérialiste, nous en arrivons à la conclusion qu'elle constitue une forme de socialisme collectiviste et libertaire apte à produire une société sans classes sociales et protégée contre la dérive autoritaire du socialisme « réel ». ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : écopar, économie participaliste, participalisme, Michael Albert, Robin Hahnel, anarchisme
14

Raison, émotion, institution

Récappé, Bénédicte Seiler, Daniel-Louis January 2008 (has links)
Thèse de doctorat : Science Politique : Bordeaux 4 : 2008. / Titre provenant de l'écran-titre.
15

Les médias, les élites et l’armée en Egypte du début des années 2000 à aujourd’hui : le rôle des chaînes satellitaires et d’internet, entre période révolutionnaire et mutation néo-autoritaire / The media, the elites and the army in Egypt from the early 2000s to today : the role of satellite channels and internet, between revolution and neo-authoritarianism

Haschke-Joseph, Paloma 29 June 2016 (has links)
L’évolution du secteur des médias en Égypte depuis les années 2000 a eu une influence déterminante sur le cap politique que prend le pays au lendemain du soulèvement populaire de 2011. Ce travail cherche à démontrer qu’en Égypte, l’intrication complexe d’intérêts entre les médias, le milieu des affaires et l’armée, a été un élément central au renouvellement des stratégies du régime militaire pour assurer sa propre survie, et que cette connivence a joué un rôle capital dans le succès de la mutation néoautoritaire du système politique égyptien. La collusion entre l’armée et le secteur privé de l’audiovisuel qui se développe au cours des années 2000, permet au régime d’encadrer le passage de l’Égypte à l’ère satellitaire, de superviser la relative libéralisation de la sphère publique qui en découle, et de coopter les discours dissidents modérés en leur offrant un accès nouveau aux médias de masse. L’arrivée d’internet en Égypte au cours de cette même période, favorise le développement d’une sphère publique parallèle qui se politise rapidement et engendre la constitution d’une opposition bien plus radicale que celle qui s’exprime à la télévision, et qui cherche à exploiter le potentiel mobilisateur des nouvelles technologies dans l’espoir de déclencher le changement politique. Mais malgré les bouleversements engendrés par la révolution dans le domaine de l’expression publique, l’industrie des médias ne parvient pas à s’émanciper des dynamiques autoritaires qui la structurent depuis des décennies, et tandis qu’ils semblaient porteurs de promesses démocratiques, les médias égyptiens sont rapidement relégués à leur fonction originelle de cerbères du régime. / The evolution of the media industry in Egypt since the early 2000s has had a critical impact on the political path taken by the country in the aftermath of the 2011 uprising. This research aims at demonstrating that in Egypt, the complex overlapping of political and economic interests between the media, the business elites and the army has been key to the regime’s ability to survive the revolution, and that such intricacy has played a crucial role in the successful mutation of the Egyptian political system towards neo-authoritarianism. The collusion between the army and the private broadcast sector that emerged in the early 2000s, has allowed the regime to regulate the country’s transition to satellite technologies, to control the liberalization of this new public sphere, and to tame the messages of moderate dissidents by giving them access to mass media. The arrival of internet in Egypt during that same decade has helped the rise of a parallel public sphere and its fast politicization, which led to the development of a more radical opposition eager to use new technologies as mobilization tools to trigger a regime change. Despite the undeniable impact of the 2011 revolution on freedom of expression in Egypt, the country’s media industry has appeared unable to emancipate itself from the authoritarian dynamics it has been submitted to for decades. And even though media seemed to be advocating for more democracy in the aftermath of the uprising, they quickly slipped back into their initial role of custodians of the regime’s survival.
16

Le bon parti : soutenir le régime autoritaire : le cas du Congrès populaire général au Yémen (2008-2011) / A real catch ? : backing the authoritarian regime : the case of General people’s congress supporters in Yemen (2008-2011)

Poirier, Marine 06 December 2016 (has links)
La démarche générale de cette thèse est d’aller étudier le politique ailleurs que dans les oppositions, en explorant les ressorts de l’engagement et les logiques d’action au sein d’un parti hégémonique au pouvoir. A partir d’une enquête de terrain menée au Yémen entre 2008 et 2011 dans différentes sections locales du Congrès populaire général (CPG – al-mu’tamar al-sha‘bî al-‘âmm), j’interroge les pratiques militantes ordinaires et les investissements dont le parti fait l’objet. Le CPG constitue un observatoire privilégié pour interroger l’exercice de la domination – ses modes d’imposition et de contournement – dans un contexte où le régime autoritaire se trouve contesté. Au pouvoir depuis sa création en 1982 et fondé sur l’accommodation historique d’acteurs politiques divers, le parti forme un cadre dans lequel opèrent et se déploient les réseaux de patronage du président Ali Abdallah Saleh (1978-2012). La structure de l’échange politique qui en résulte favorise le développement de dépendances matérielles qui n’excluent pas, si ce n’est entretiennent, des formes multiples d’attachement affectif et idéologique au parti au pouvoir. Je souligne dans cette thèse les ambivalences du soutien au régime autoritaire, l’évolution du régime d’obligations et de contraintes qui en découle, ainsi que l’ambivalence et la réversibilité de l’obéissance et du consentement. Ce travail invite ainsi à interroger les ressorts du fonctionnement et de la résilience d’un régime autoritaire et à dépasser les lectures fonctionnalistes réduisant le parti hégémonique soit à un instrument de reproduction du régime autoritaire, soit à celui de son irrésistible réforme / Contrary to political scientists’ tendency to focus on opposition actors and politics of contention in the Arab world, I study “the political” elsewhere. Built on extensive fieldwork carried out in Yemen from 2008 to 2011, my dissertation explores the motives of commitment, logics of action and everyday forms of activism in a hegemonic ruling party, the General people’s congress (GPC – al-mu’tamar al-sha‘bî al-‘âmm) and in a context where the regime’s authority is contested. The GPC is a great observatory to interrogate the exercise of domination. Founded in 1982, the party has operated as a key apparatus of Ali Abdallah Salih’s authoritarian regime (1978-2012) and a relay for its patronage networks. Far from constituting a homogenous amalgam of president supporters within which discipline is obvious, deep divisions and contradictory logics of action strain the GPC. If its loose structure, the extreme heterogeneity of its members and the elasticity of its political line require the imposition of schemes of domination, they favour in return the expression of indiscipline. In this regard, I study diffuse modes of domination as well as ways to bypass, or even exploit, them. By exploring the dynamics of clientelist politics and politicisation promoted by the party, my dissertation underlines the ambivalences of “participation” and sheds light on the blurry frontier between compliance and resistance, consent and dissent
17

La stabilité du régime Moubarak à l'épreuve d'une "situation de succession prolongée" : les limites de la consolidation autoritaire : un état des lieux politique de la période 2002-2010 / The Stability of the Mubarak Regime, Put to the Test of a Prolonged “Succession Phase” : the Limits of “Authoritarian Consolidation” : a Political Inventory of the 2002–2010 Period

Hassabo, Chaymaa 10 May 2012 (has links)
Cette thèse porte sur les dernières années du pouvoir de Moubarak, et tente de se situer en dehors des théorisations politiques dominantes qui ont eu trop souvent tendance à qualifier le régime égyptien comme étant stable. La période sélectionnée (2002 – 2010) est pertinente afin de réinterroger cette stabilité puisque cette « séquence » de l'évolution du régime de Hosni Moubarak permet de mettre l'accent sur les différentes mutations et interactions qui se produisent au sein du système politique, et qui remettent en question l'idée de stabilité, ou encore celle de la « consolidation autoritaire » (Camau, 2005). La problématique centrale de cette thèse cherche à montrer à travers une observation des dynamiques créées, par l'entrée en politique de Gamal Moubarak, en d'autres termes l'irruption d'une « situation de succession » prolongée, comment se recompose la scène oppositionnelle, comment se redéfinissent les « libéralisations » ou encore, comment se mettent en œuvre les protestations. Ainsi, cette thèse vise à mettre en évidence les facteurs dérangeant la stabilité du régime de Moubarak, en d'autres termes, à tester les limites de la « consolidation autoritaire » lorsque celle-ci concorde avec une « situation de succession ». Ce travail de recherche a été alimenté par une réflexion autour de certaines contradictions entre les observations empiriques (l'enquête de terrain) et les cadres théoriques dominants de la recherche politologique sur l'Égypte qui, grosso modo, reflétaient une stabilité du régime Moubarak. Il se situe en dehors de ces approches dans la mesure où la construction de mon objet d'étude s'est déroulée au-delà des axes sur-étudiés, et autour d'axes sous-étudiés. En d'autres termes, ce travail place le curseur loin d'une focalisation sur le régime et ses stratégies, sur la dichotomisation de la scène politique entre le Parti national démocrate (le parti dirigeant depuis la fin des années 1970) et les Frères musulmans, et s'éloigne d'une trame qui considère ces derniers comme étant les seuls acteurs politiques qui comptent. En effet, cette recherche a voulu mettre en évidence le rôle des acteurs de la politique contestataire, leur impact sur la transformation du régime, mais aussi la capacité des mouvements contestataires de produire des « générations politiques » de jeunes militants qui se positionnent en dehors du spectre de la « stabilité ». Autrement dit, en portant l'attention sur des terrains négligés, comme ceux de la protestation, ainsi que les acteurs qui y ont recours, cette thèse cherche à mettre en évidence les facteurs de déstabilisation, aussi limités soient-ils, qui sont apparus dans la gestion par le régime politique de certaines situations ou lors de certains événements durant la période étudiée ; facteurs de déstabilisation gênants pour la stabilité du régime, et observables autour de terrains électoraux, mais surtout protestataires. / This thesis deals with Mubarak's last years in power, using an approach that is distinct from mainstream political theories that have too frequently qualified the Egyptian regime as stable. The selected period (2002-2010) is particularly relevant for reconsidering the regime's stability. This phase in the evolution of the Mubarak regime was one of multiple transformations and interactions which occurred within the political system, questioning the idea of stability or of “authoritarian consolidation”(Camau, 2005). Through observation of the dynamics initiated by Gamal Mubarak's entry onto the political scene – i.e. the emergence of a prolonged “succession phase” – the main focus of this thesis is to demonstrate how the oppositional scene has evolved, how “liberalisation” has been redefined, and how protests have been carried out. Thus, this thesis aims to highlight the factors that disturbed the stability of the Mubarak regime, and thereby, to test the limits of “authoritarian consolidation” when it is coupled with a succession phase. This research has been fuelled by reflection about certain contradictions between empirical observations made through fieldwork, and the mainstream theories of political science research on Egypt, which have stressed the stability of the Mubarak regime. My approach is differentiated from these theories, as it is based on under-used research orientations, not dominant, frequently-used ones. Thus, the focus of this thesis is not on the regime and its strategies, or the bipolarization of the political arena, between the ruling National Democratic Party and the Muslim Brotherhood, and it does not rely on a framework in which these two political protagonists are treated as the only ones that matter. Instead, emphasis is given to analysis of the role of actors of protest politics, their impact on the transformation of the regime, as well as protest movements' ability to produce “political generations” of young activists positioned outside the spectrum of “stability.” By focusing attention on neglected arenas, such as that of protest, and their protagonists, this thesis highlights the destabilizing factors – as limited as they may be – which appeared during particular events or in the context of regime management of certain situations, between 2002 and 2010. These destabilizing factors, which proved to be a hindrance to the maintenance of regime stability, were observed in connection with the electoral field, but also specifically in the protest field.
18

Les mobilisations sociales en Egypte entre revendications économiques et opposition au régime (2005-2009) : étude de cas de deux mouvements sociaux : le mouvement des ouvriers de la Compagnie de Méhalla (2006-2008) et celui des fonctionnaires de l'impôt foncier (2007-2009) / Social mobilization in Egypt between economic demands and opposition to the regime (2005-2009) : a case study of two social movements : The Mahalla company for spinning and weaving labor movement (2006-2008) and the real estate tax collectors movement

Abdalla Iskandar, Nadine 25 February 2014 (has links)
Cette thèse a pour objectif d'analyser l'émergence, la réussite et l'opposition au régime de deux mouvements sociaux égyptiens durant la période (2006-2009). Ces derniers sont le mouvement ouvrier de la Compagnie de Méhalla et celui des fonctionnaires de l'impôt foncier. On mettra en évidence deux questions, d'une part, les enjeux concernant les dynamiques internes propres au mouvement et d'autre part, ceux de son conflit avec le régime et le défi qu'il (le mouvement) représente pour lui (le régime). Notre argumentation se basera essentiellement sur l'importance des choix des leaders, leurs positions et les stratégies, puisqu'on les considère comme une variable explicative particulièrement importante pour la compréhension des dynamiques interactionnelles et oppositionnelles du mouvement. Nous espérons ainsi contribuer à la littérature portant sur les mouvements sociaux en proposant une analyse qui jettera la lumière sur l'influence qu'exercent les actions des leaders sur les dynamiques qu'engendre le mouvement, un fait qui a été d'ailleurs sous-étudié par cette littérature. En outre, notre recherche, on le pense, peut intéresser également les spécialistes des régimes autoritaires puisqu'on traitera aussi le processus selon lequel les leaders d'un mouvement peuvent exploiter au maximum les « opportunités » politiques qu'offre un régime semi-autoritaire et induire un changement des rapports qui le liaient auparavant à ce régime, ainsi que les limites d'un tel processus. / This thesis aims to emphasize the emergence, success and opposition to the regime of two Egyptian social movements during the period (2005-2009). These are the Mahalla Company for Spinning and Weaving labor movement and the Real Estate Tax collectors movement. In this research, we will shed the light on the internal dynamic taking place within the movement as well as its contentious interaction with the regime contenders. Our arguments will be based primarily on the role, choices and strategies of leaders as we consider them as an important explanatory variable for understanding the movement's interactional and oppositional dynamics. Hence, we hope to contribute to the literature on social movements by offering an analysis that will shed light on the influence leaders' actions on the movement's dynamics, a fact that is under-studied. Furthermore, our research, we believe, may also be of interest to specialists' of authoritarian regimes as we will describe the process by which the movements' leaders can capitalize on the “opportunities” offered by a semi- authoritarian regime to produce an historical rupture with the relationship that tied it to the later as well as our assessment of such a process' limitations.
19

Le monarchisme carliste dans la Roumanie des années 1930 : autoritarisme, nationalisme et modernisation / Monarhismul carlist în România anilor 1930 : autoritarism, naționalism și modernizare / The Carolist Monarchism in 1930s Romania : authoritarianism, nationalism and modernisation

Lixandru, Doru Adrian 09 January 2018 (has links)
Les chercheurs en sciences sociales qui ont étudié la Roumanie de l’entre-deux-guerres ont rarement exploré les relations entre monarchisme, nationalisme et modernisation, surtout en ce qui concerne le règne du roi Carol II (1930-1940). Cette recherche explique les limites théoriques des ouvrages sur l’autoritarisme monarchiste, montrant le fait que ce phénomène doit être envisagé non pas comme étant simplement un résultat de la volonté du roi, mais dans un contexte historique et idéologique beaucoup plus large. Nous avons essayé d’enrichir le débat sur une série d’idées fondamentales sur le gouvernement et sur la modernisation dans la Roumanie de cette époque par une analyse de l’idéologie et de la carrière politique du monarque et de ses partisans. Selon l’hypothèse centrale de notre étude, le carlisme roumain devrait être compris comme un mouvement politique qui défend un projet politique moderne destiné à être accompli à travers des réformes nationalistes dirigées par une monarchie autoritaire. Les plus importants chapitres de la thèse portent ainsi sur la façon dont l’idéologie carliste et la pratique politique carliste développées dans les années 1920 et 1930 ont été centrées sur l’idée d’un leader destiné à faciliter la mise en place d’un programme de régénération nationale. La propagande officielle et les partisans du roi ont toujours présenté les initiatives politiques, culturelles ou sociales de celui-ci comme étant orienté précisément vers cet objectif. Afin d’explorer la manière de laquelle la montée de l’autoritarisme monarchique est légitimée par une série d’idées et de pratiques modernisatrices, cette recherche utilise un cadre conceptuel et analytique lié à l’étude de l’histoire des idées politiques pour essayer de comprendre la nature de la symbiose entre monarchisme et projets de renaissance nationale dans la Roumanie des années 1930. / The scholarship on interwar Romania has rarely explored the relationship between monarchism, nationalism and modernisation, especially under King Carol II (1930-1940). This research reveals the limits of the main strands of work on monarchical authoritarianism by showing that this phenomenon should be understood not only as the result of the kingʼs will, but in a more wider historical and ideological context. We tried to make a contribution to the debate over some fundamental ideas about government and modernisation in interwar Romania by examining both the ideology and the political career of the king and of his supporters. Therefore, the central argument of our study is that the Romanian carolism should be understood as a political movement which advocates a modern political project meant to be accomplished through nationalist reforms led by an authoritarian monarchy.The main chapters of our thesis focus on how the carolist ideology and the carolist political practice developed in the 1920ʼs and 1930ʼs have been grounded on the idea of a ruler destined to lead an endeavour of national regeneration. The official propaganda and the Kingʼs supporters have always presented the monarch’s political, cultural or social initiatives as being oriented towards achieving this goal. In order to explore the way in which the rise of monarchical authoritarianism is legitimized by modernist ideas and practices, this research applies a conceptual framework related with the study of the history of political ideas in an attempt to understand the nature of the symbiosis between monarchism and projects of national renewal in 1930ʼs Romania.
20

Les talk-shows en Egypte. D’un dispositif de modernisation de l’autoritarisme à des arènes de parole dissidente. Mise en perspective d’une situation révolutionnaire (25 janvier - 11 février 2011) / The talk shows in Egypt. From a device of modernizing authoritarianism to an arena of dissident speech. A revolutionary situation (25 January – 11 February 2011) in perspective

Adib Doss, Maria 05 November 2018 (has links)
Cette thèse étudie les talk-shows, ces émissions sociopolitiques « dialogiques » qui ont marqué la scène médiatique et politique durant les dernières années du règne de Moubarak, jusqu’à la nouvelle donne politique post-juillet 2013. La question principale qui a guidé cette recherche était : dans quelle mesure les talk-shows ont-ils constitué une arène de parole dissidente ? La thèse démontre, à travers l’étude du processus qui a permis l’émergence de ces émissions, de leurs acteurs et de leurs modalités de fonctionnement, que ce dispositif s’est inscrit dans un espace public dessiné par des dynamiques particulières et caractérisé par un autoritarisme adaptif et libéralisé. Ce dispositif a également permis la manifestation de processus sociaux, notamment des mouvements d’opposition, en leur permettant de s’exprimer et de gagner en visibilité. Les talk-shows ont fait partie de différentes dynamiques politiques et les ont alimentées, défiant ainsi le pouvoir politique. Ils ont gagné des rôles et un espace de parole que le pays n’avait pas connu depuis 1952, dépassant leur fonction première qui était conçue par le pouvoir. Ce processus a pu avoir lieu malgré les outils de contrôle que le pouvoir a conservés pour garantir un minimum de mainmise sur les médias, élargissant ainsi les domaines de luttes et les espaces de contentieux. La thèse observe ensuite les dynamiques des révoltes de janvier 2011. Partant d’une approche interactionniste, d’un travail issu d’une enquête de terrain de plusieurs années, menée aussi bien auprès de professionnels de la télévision que d’invités de ces émissions et d’une analyse d’un corpus d’émissions, nous démontrons que le rôle des talk-shows fut incontournable dans le conflit médiatique doublant celui sur le terrain. / The subject of this thesis is the talk-shows, those socio-political tv shows that marked the media and political scene during the last years of Mubarak’s regime till the new political era post-July 2013. The main question that guided this research was: to what extent have the talk shows been an arena of dissident speech? The thesis demonstrates that this mechanism was a part of a public space designed by specific dynamics and branded by a liberalized and adaptive authoritarianism. It allowed the manifestation of social practices including counter movements endorsing them to express themselves and to gain visibility.Thus, through the study of the process that allowed the appearance of such shows, its actors and its operating methods, we observe how these broadcasts were a part of different political dynamics and served challenging the political power. They acquired roles and a freedom of expression that the country hadn’t experienced since 1952, exceeding their initial function as designed by the regime despite the means of control that the latter kept in order to maintain a minimum control on media and hence widening the fields of struggles and spaces of contentious. Then, the thesis studies the dynamics of January 2011 uprisings. Based on an interactionist approach and a work of several years field study of both television professionals and guests of these shows and an analysis of a record of broadcasts. We demonstrate that the talk-shows role was fundamental in the media conflict which doubled the conflict in the field.

Page generated in 0.072 seconds