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Translation strategies and their impact on different audiences: A case study of A.C. Jordan's translation of Ingqumbo Yeminyanya (Jordan 1940) as the wrath of the ancestors (Jordan 1980)

Nokele, Amanda 26 October 2006 (has links)
Student Number: 0111461R Master of Arts in Translation Faculty of Humanities / The Wrath of the Ancestors (Jordan, 1980) is a translation of a classic in Xhosa literature, Ingqumbo Yeminyanya written by the same author. The translation was written for the non-Xhosa speakers to make them aware and understand the culture of amaXhosa. This study then aims at analyzing how aspects of culture have been translated from the source text Ingqumbo Yeminyanya (1940) to the target text The Wrath of the Ancestors (1980). It also investigates the impact of Jordan’s approach on a wider audience. To accomplish this, a descriptive analysis of the strategies used by the translator is carried out. The responses of the selected audiences are also analysed. The analysis reveals that the translator used mainly foreignisation especially in the translation of fixed expressions and idioms, where he used cultural borrowing and calque as strategies. The conclusion drawn from this analysis is that in his attempt to draw his readers closer to the source text, the translator introduced a number of cultural bumps (Leppihalme, 1997), resulting in the target reader struggling to understand some of the cultural aspects in the novel.
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Terminology in the Translation of TwoTexts on Structural Engineering

Karlsson, Susanne January 2011 (has links)
This paper is about the handling of challenging terminology within the technical field of structural engineering. The translation of two texts on structural systems "Antiquated Structural Systems Series", published in STRUCTURE magazine, serves as the basis for this study. The analysis focuses on the search and textual strategies for a selection of difficult terms. The terms are divided into four groups: terms with no Swedish equivalent; terms with more than one Swedish equivalent; acronyms; and measurements. The analysis shows that the search strategies are the same, regardless of term type, and that they involve many steps, including looking for terms in dictionaries and term banks; comparing terms in encyclopedias and parallel texts; and confirming usage. The textual strategies that were helpful in the translation were procedures based on the theories of Vinay and Darbelnet (in Munday 2008) and Ingo (2007), such as literal translation, borrowing, calque, adaptation and addition. The result shows that the chosen textual strategy for each challenging term differed greatly and depended on, for example, context and translator preference.
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Analyse comparée des emprunts informatiques dans la langue arabe et française

Ourfahli, Joseph 05 November 2007 (has links) (PDF)
Parallèlement au développement accéléré des nouvelles technologies d'information et de communication, il est à remarquer que le VOCABULAIRE INFORMATIQUE évolue également et l'on remarque l'apparition de nouveaux vocables et concepts dans les différentes langues vivantes. Ces dernières prêtent, empruntent ou forment leurs nouveaux-nés linguistiques.<br />Pour être à la mode, les « consommateurs » de l'informatique, se voient, non sans vélocité, adopter et digérer ce renouveau conceptuel informatique. Les linguistes, quant à eux, se proposent de présenter ces nouveaux arrivants, d'en analyser les origines aussi bien linguistiques que conceptuelles, et d'en expliquer la formation et la logique derrière leur création dans le langage informatique du français et de l'arabe, les langues qui nous préoccupent ici. Pourquoi ces deux langues? Eh bien parce que toutes les deux langues « accueillent » des dizaines, voire des centaines, d'emprunts linguistiques à l'anglo-américain dans le domaine de l'informatique. Ceci est dû sans aucun doute à l'hégémonie technoscientifique et économique américaine.<br />De nos jours, on peut facilement observer le phénomène d'un « flot » ininterrompu d'éléments linguistiques relatant la révolution informatique et constituant dans leur ensemble une terminologie nouvellement née. Comme la technologie de l'informatique a pris naissance au sein des États-Unis, ce pays exporte un grand nombre de termes et d'expressions informatiques, nous pouvons signaler qu'une certaine terminologie anglo-américaine est arrivée à envahir plusieurs lexiques de langues étrangères. De ces langues « internationales », le français et l'arabe ne cessent d'affirmer que leur génie a pu traiter à fond l'envahissement, voire l'intégration, de ces termes étrangers.<br />L'objectif premier de cette recherche est d'essayer de débroussailler le pourquoi et le comment de l'intégration linguistique de cette terminologie, celle qui, à son tour, a posé une problématique non négligeable.<br />En second lieu, si l'on se met à l'observation de la « digestion » de ce renouveau terminologique par le français et l'arabe, on tombe sans doute sur le fait que ces deux langues montre clairement leur faculté d'emprunter et de traduire ces éléments nouveau-nés puisqu'elles renoncent à les utiliser tels quels, c'est-à-dire en anglo-américain.<br />En dernier lieu, nous essayons d'observer une méthodologie d'intégration de la terminologie informatique selon:<br />- une approche linguistique de la composition des néologismes à travers l'étude de cette intégration de l'anglo-américain au français;<br />- une pareille approche de l'accueil des emprunts, de leur traitement et de leur reproduction dans une autre langue.
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Préparation à l'analyse de données dans Virgo : aspects de techniques informatiques et de techniques d'analyse pour la recherche de coalescences de binaires

Buskulic, D. 17 March 2006 (has links) (PDF)
Le détecteur interférométrique d'ondes gravitationnelles Virgo est en phase de mise au point, il devrait atteindre une sensibilité lui permettant de prendre des données scientifiques dès la deuxième moitié de l'année 2006. La préparation à l'analyse de ces données est en cours et le mémoire traite de plusieurs aspects :<br />- Un environnement d'analyse, VEGA, a été mis au point. Il permet à un utilisateur physicien d'accéder et de gérer les données provenant de Virgo, de développer un code d'analyse spécifique, de disposer d'outils de traitement du signal et de manipuler et visualiser des données dépendantes du temps. L'ensemble est intégré et basé sur ROOT.<br />- Un ensemble de pages web a été développé permettant l'affichage de données de contrôle en quasi temps-réel. Il tire parti de VEGA pour la création des graphiques.<br />- Un algorithme de tessellation d'un espace de paramètres a été développé dans le cadre des recherches de signaux provenant de la coalescence de binaires d'objets compacts (étoiles à neutrons ou trous noirs). Ces recherches utilisent communément des méthodes d'extraction de signal par filtrage optimal qui rendent nécessaire l'utilisation d'un grand nombre de calques (formes d'onde théoriques) dans un espace de paramètres. La tessellation de cet espace détermine les calques qui seront utilisés. Le mémoire traite également des performances de l'algorithme observées lors de son utilisation dans la collaboration Virgo, ainsi que ses possibles extensions.
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Les expressions figées en français et en BCMS : traduction, comparaison / Idioms in French and in BCMS : translation, comparison

Ljepavic, Danijela 22 June 2015 (has links)
Cette thèse procède à une comparaison des expressions figées entre les langues BCMS (bosniaque/bosnien, croate, monténégrin, serbe) et le français en vue de la traduction. Dans la première partie, l'étude commence par la définition des expressions figées et des critères de figement. Après avoir fait le point sur la question des langues BCMS, on présente le corpus des expressions figées en BCMS et en français, avec leur répartition dans différents domaines culturels et la distinction de trois types d'expressions : calques, expressions transparentes, expressions opaques. La seconde partie est consacrée à l'analyse comparative des expressions figées en BCMS et en français. Elle commence par un parcours de leurs différentes origines, puis on examine les fondements culturels des expressions figées, en fonction de différents domaines fournisseurs. On développe ensuite une analyse linguistique comparée des expressions figées, en détaillant les noms composés et les différentes locutions (verbales, adjectivales etc.) et en intégrant la dimension rhétorique, notamment les métaphores. Pour finir, après une mise au point générale sur la traduction, on examine les problèmes d'interprétation et les différentes solutions de traduction des expressions figées dans les deux sens, entre français et BCMS. / This thesis makes a comparison between the idioms of the BCMS languages (Bosnian, Croatian, Montenegrin, Serbian) on the one side, and the French language on the other, in the domain of translation.In the first segment, the study begins with the definition of idioms and the criteria for fixation. After the explanation of differences among BCMS languages, we present the corpus of idioms in BCMS and in French, with their distribution within different cultural domains, while distinguishing among three types of idiomatic expressions: literal, transparent, and opaque.The second part is devoted to the comparative analysis of idioms in BCMS and French. It begins with a record of their different origins, after which we examine the cultural foundations of expressions, depending on different domains. We develop a comparative linguistic analysis of idioms, giving details on various compound names and phrases (verbal, adjectival, etc.), and integrating the rhetorical dimension, including metaphors. Finally, after an overall focus on translating, we examine issues found in interpretation and translation solutions for different idioms between French and BCMS.
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La notion de puissance : les équivalents latins du grec dynamis / The notion of potency (power, potentiality…) : the Latin equivalents of the Greek word dynamis

Lecaudé, Peggy 11 December 2010 (has links)
Le mot dynamis est un terme fondamental dans la pensée grecque, non seulement en philosophie, où il prend une importance singulière à partir d’Aristote, mais aussi en médecine, en sciences de la nature ou en mathématiques. La présente étude s’attache à mettre en évidence les équivalents de traduction que lui ont assignés les traducteurs et les auteurs latins, à l’époque classique et en latin tardif ou médiéval, selon une double approche. En premier lieu, il s’agit, dans une perspective onomasiologique d’identifier les modes d’apparition de dynamis et des mots de sa famille dans un choix de textes latins, des comédies de Plaute jusqu’aux traductions boéciennes de l’Organon d’Aristote : l’emprunt de signifiant, le néologisme formel, la transposition ou, le cas le plus fréquent, la traduction proprement dite. Puis, dans une approche sémasiologique, il s’agit de mesurer l’impact de la traduction du grec sur un ensemble lexical latin constitué des noms employés le plus fréquemment pour traduire dynamis, à savoir potestas « possibilité, pouvoir », potentia « puissance », uis « force, violence » et uirtus « valeur, qualité, vertu ». Les emplois de ces mots sont étudiés dans un corpus constitué de textes littéraires et de textes spécialisés dans les domaines de la connaissance susdits, où l’on cherche à savoir s’ils ont fait l’objet d’un calque sémantique à partir du grec dynamis. L’étude a ainsi pour but de reconstruire un moment de l’histoire de la notion grecque, celui de sa « conversion » en latin, moment déterminant pour son expression dans les langues modernes par fr. puissance, potentialité, vertu, virtualité, angl. potency, potentiality, virtue, virtuality, etc. / Dynamis is a key word in the Greek thought, not only in philosophy, in which it has assumed a particular significance since Aristotle, but also in medicine, the natural sciences and mathematics. The present work aims to present the translation equivalents adopted by the Latin authors and translators in classical antiquity and in late or medieval Latin, according to a twofold approach. First, from an onomasiological perspective, we try to identify and analyse the different ways dynamis (as well as the words semantically connected to it) appears in a corpus of Latin texts, from Plautus’ comedies to Boethius’ translation of Aristotle’s Organon : as a loan word, a formal neologism, a transposition or, as in most cases, a translation. Second, from a semasiological perspective, we focus on the impact of the translation from Greek on a lexical group made of Latin words frequently used to translate dynamis, namely potestas (“possibility, power”), potentia (“potentiality, potency”), uis (“strength, violence”) and uirtus (“value, quality, virtue”). The uses of these words in a corpus of literary and scientific texts are examined, and the question is raised of how far they may be considered as semantic calques from the Greek term dynamis. The work thus aims to reconstruct a moment in the history of the Greek notion : that of its “conversion” into Latin, which was decisive for its expression in modern languages, in French as puissance, potentialité, vertu, virtualité, etc., in English as potency, potentiality, virtue, virtuality, etc.
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La contribution de la traduction à l'expansion lexicale du sesotho / The contribution of translation to the lexical expansion of Sesotho

Sebotsa, Mosisili 22 November 2016 (has links)
Si la traduction est simplement définie comme un processus de communication bilingue dont le but général est de reproduire en langue cible un texte qui soit fonctionnellement équivalent au texte de départ (Reiss 2004 : 168-169), l’approche empruntée dans la présente thèse est celle d’une opération interculturelle et systématique qui vise à capturer le message issu d’une langue étrangère, à le décrypter en tenant en compte des nuances culturelles ou inhérentes à la discipline, et à le rendre le plus clairement possible en se servant d'éléments linguistiques et extralinguistiques compréhensibles dans la langue du locuteur cible. L'objectif est de déterminer la contribution de la traduction à l’expansion lexicale du sesotho, domaine qui demeure peu exploré par les spécialistes de cette langue. La problématique de ce travail repose sur la constatation que les néologismes en sesotho ne sont pas documentés de manière satisfaisante, si bien qu’il est difficile d'évaluer la contribution de la traduction à l’expansion lexicale. Les études antérieures sur la morphologie, la dérivation, la composition, l’emprunt et la dénomination s’appuient sur la mesure de la productivité, soulevant la question de savoir si la traduction en soi contribue à l’enrichissement terminologique du sesotho. Le point de départ de la thèse est l'hypothèse selon laquelle l’interaction avec le monde européen a nécessité de traduire de nombreux concepts qui n’existaient pas dans les systèmes traditionnels du Lesotho, ce qui a entraîné un nouveau dynamisme qui a permis de combler des lacunes terminologiques évidentes et de s’ouvrir et de s’adapter aux nouvelles réalités. Pour mettre cette hypothèse à l’épreuve et arriver à des conclusions éclairées et fiables, je cherche à répondre à trois questions : 1) Quelle est la structure des mots sesothos par rapport à celle de l’anglais en tant que langue source de traduction en sesotho, et du français en tant que langue de rédaction de la thèse ? 2) Etant donné que le sesotho est utilisé concomitamment avec l’anglais sans pour autant être la langue d'une culture inventrice en matière technologique, quel est le rôle que joue l’emprunt dans son expansion lexicale ? 3) D’un point de vue lexicologique, comment le sesotho répond-il aux besoins terminologiques dans les domaines de spécialité techno-scientifiques ? Pour y répondre, je m'appuie sur Doke (1954) et Matšela et al. (1981) pour situer le sesotho parmi les langues bantoues, préciser les fonctions du préfixe classificateur et établir la différence entre les composés sesothos d'une part et les composés anglais et français d'autre part. J’utilise ensuite la théorie avancée par Lederer (1990) pour démontrer l’influence syntaxique, sémantique et morphologique que l’anglais a sur le sesotho et pour présenter les différents procédés d’emprunt du sesotho. Diki-Kidiri (2008), Dispaldro et al. (2010) et Baboya (2008) démontrent la nécessité de faire appel aux informateurs-spécialistes pour confirmer l’hypothèse de départ. Les résultats obtenus mettent en évidence qu’en effet, la traduction a contribué à l’expansion du sesotho moderne, bien que cela n’ait pas été documenté, d’où la recommandation d'un travail collaboratif entre lexicologues au Lesotho, au Botswana, en Namibie et en Afrique du Sud, pour ouvrir de nouvelles perspectives d’études linguistiques sur le sesotho et pouvoir suivre et mesurer l’évolution de la langue. / Whilst translation is simply defined as a communication process whose main objective is to reproduce in the target language a text that is functionally equivalent to the source text (Reiss 2004: 168-169), the approach taken in this study views translation as an intercultural and systematic operation whose objective is to capture the message from the foreign language, to decrypt it taking into account cultural nuances or those inherent in the field at hand and to render it in the clearest possible manner using linguistic and extra linguistic elements which are comprehensible to the speaker of the target language. This study is aimed at determining the contribution of translation to the lexical expansion of Sesotho, an area which has been little explored by specialists of the language. The core issue is centred on the observation that Sesotho neologisms are not well documented, so that it is hard to measure the contribution of translation towards the lexical expansion of Sesotho. Analyses of morphology, derivation, compounding, borrowing and denomination are mainly focused on productivity in order to determine whether translation as a discipline contributes towards the creation of new words in the language.The study begins by positing the hypothesis that the interaction with the Western world necessitated the translation of numerous concepts which were absent from the then existing Sesotho systems. This process of interaction contributed a new dynamism that helped the language to bridge the terminological gap, to open up and adapt to new realities. In order to put this hypothesis to the test and arrive at well-researched and reliable conclusions, I attempt to probe three issues of concern: firstly, what is the structure of the Sesotho language compared to that of the English language as the source language of most translations into Sesotho and compared to that of the French language as the language in which this study is presented? Secondly, considering that Sesotho is used simultaneously with English even though it is not a techno-scientifically inventing language, what is the role played by the processes of borrowing in the lexical expansion of Sesotho? Thirdly, from the word-formation point of view, how does Sesotho respond to the terminological deficiencies in various fields of specialisation?To address these issues, Doke (1954) and Matšela et al. (1981) serve as references to situate Sesotho among the Bantu languages, to highlight the functions of the class prefix and to establish the difference between Sesotho and English and French compounding. Secondly, the theory advanced by Lederer (1990) serves as a springboard to analyse the syntactic, semantic and morphological influences that English has on Sesotho and to present the different borrowing processes. The third issue is addressed based on the theories presented by Diki-Kidiri (2008) while the theories proposed by Dispaldro et al. (2010) and Baboya (2008) led to the decision to call upon specialist informants to confirm the original hypothesis. The results obtained provide evidence that translation has, in fact, contributed to the lexical expansion of modern Sesotho, even though this has not been well documented. The study recommends collaborative work between Lesotho, Botswana, Namibian and South African linguists in order to open new avenues of linguistic studies on Sesotho with the aim to measure and monitor the evolution of the language.
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Codes linguistiques et alternance de codes chez les immigrants égyptiens en France / Language codes and code switching among the Egyptian immigrants in France

El Shafey, Ezzat 21 June 2019 (has links)
Cette thèse étudie pour la première fois les pratiques langagières de la communauté grandissante des immigrés égyptiens en France. L’analyse morphosyntaxique a comme cadre la théorie insertionnelle Matrix Language Frame de Myers-Scotton (1993, 1997 et 2000). Nous constatons que les Égyptiens de la première génération recourent à l’alternance codique sans s’en rendre compte ou sans le reconnaître tandis que ceux de la deuxième génération sont conscients des caractéristiques linguistiques nées du contact des langues. De plus, la femme égyptienne, avec son rôle de maintien de l’arabe auprès de ses enfants, trouve sa féminité dans l’apprentissage du français et par conséquent elle joue un rôle important dans la pratique de l’alternance codique au sein de la famille. Les raisons de l’alternance codique chez les Égyptiens sont variées, par exemple : la citation ou le discours rapporté ; la désignation d’un interlocuteur en faisant intégrer à un groupe un interlocuteur tenu à l’écart ; l’humour qui caractérise notamment les Égyptiens de la première génération ; la spontanéité et la précision en optant directement pour le lexème le plus immédiatement disponible, même s’il est dans une langue différente par rapport au reste de la communication. Nos informateurs de la première génération ont recours aux procédés morphologiques pour simplifier l’usage des mots français ayant des sons qui n’existent pas en arabe égyptien ou ceux qui se composent de plus de trois syllabes. Nous exploitons les caractéristiques de ce contact des langues pour aider les élèves égyptiens nouvellement arrivés à réussir leur scolarité et s’intégrer dans la société française via la maîtrise du français. / This thesis analyses for the first time the language practices of the growing community of Egyptian immigrants in France. The morphosyntactical analysis is made in the framework of insertional theory Matrix Language Frame of Myers-Scotton (1993, 1997 and 2000). We find that the Egyptians of the first generation resort to code switching without realizing it or recognizing it while those of second generation are aware of the linguistic characteristics of the language contact. Furthermore, the Egyptian woman, with her role of maintaining Arabic with her children, finds her femininity in learning French and therefore she plays an important role in the practice of code switching within the family. The reasons of the code switching in the Egyptian community are varied, for example, the quotation or the reported speech ; the designation of an interlocutor by integrating into a group an interlocutor kept apart ; the humor that particularly characterizes the Egyptians of the first generation ; the spontaneity and the precision by opting directly for the most immediately available lexeme even if it is in a different language than the rest of the communication. Our informants of the first generation use morphological procedures to simplify the use of French words having sounds that don’t exist in Egyptian Arabic or those that consist of more than three syllables. We use the characteristics of this language contact to help Egyptian students newlly arrived to succeed in their schooling and integrate into the French society through the mastering of French language.
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Česká lexikografie 15.století / Czech Lexicography of the 15th Century

Voleková, Kateřina January 2014 (has links)
Mgr. Kateřina Voleková Česká lexikografie 15. století Czech Lexicography of the 15th Century Abstract The thesis deals with Czech medieval lexicography. Based on research into rich manuscript material totalling over 350 items, it describes the development of Czech lexicography from Czech glosses in foreign-language texts and first Latin-Czech glossaries to the flourishing Czech lexicography of the 15th century covering both Latin-Czech, Czech-Latin and multilingual lexicographical works and also infrequently attested Czech monolingual dictionaries. The high number of lexicographical works is divided according to formal and content criteria. With respect to form and macrostructure we discern Czech glosses in Latin and Latin-German glossaries, a bilingual glossaries with Czech as one of the languages, alphabetaries and nomenclators and glossaries lacking an ordering criterion. With respect to the content we distinguish large dictionaries covering as many lexical items as possible on one hand and short glossaries covering only a narrowly delimited part of vocabulary on the other hand. The lexicographical works are supplied with a short description which is in case of short and yet unedited works complemented by an edition using transcription. The thesis also contains description of selected phenomena of...
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L’arabe face à la modernité : la néologie dans la presse arabe du 19e siècle / Arabic in front of the modernity : the neology in the Arabic press of the 19th century

Jhima, Kaled 19 June 2010 (has links)
Dans le cadre de ce travail, il est question d’analyser un corpus de néologisme épuisé dans plusieurs journaux de 19ème siècle. En effet, nous avons étudié des nouvelles formes néologiques, lexicales et syntaxiques, et les procédés de formation néologique que les journalistes avaient choisis pour faire face à la modernité que le monde arabe et du coup la langue arabe ont connue à cette époque, appelée l’époque de la renaissance où le lexique a connu un plein essor à l’aide de plusieurs procédés de formation néologique, tels l’emprunt, le changement sémantique et la création morphosyntaxique. Cet essor paraît en réalité comme le résultat nécessaire d’une alliance de deux facteurs: celui de la communauté linguistique, avec ses besoins de se renouveler sans cesse et le temps qui accentue cette nécessité; celle de créer des mots nouveaux pour répondre à ses besoins nouveaux. Nous avons traité ce sujet en trois parties : la première porte sur des problèmes théoriques de la néologie. Autrement dit, une réflexion théorique sur le phénomène même où nous avons ainsi soulevé quelques-unes des problématiques dérivant de l’analyse de la néologie, tels, l’histoire et la définition de la néologie et celle du néologisme auxquelles nous avons consacré le premier chapitre de la deuxième partie, la néologie et les approches linguistiques modernes que nous avons traitées dans le deuxième chapitre et le problème des typologies et de classifications abordé dans le troisième chapitre.La deuxième partie, quant à elle, nous l’avons consacrée à l’analyse des néologismes lexicaux de notre corpus en trois chapitres où nous avons traité dans chacun l’un des aspects de la néologie. Dans le premier, nous avons analysé les néologies de forme, d’après l’approche théorique d’A. Roman qui divise le système de l’arabe en deux sous-systèmes à savoir le système de nomination qui se préoccupe de la formation des unités lexicales simples et son jumeau le système de communication qui se charge de la formation des unités complexes. Le deuxième chapitre, nous l’avons réservé à l’analyse des autres néologismes crées par d’autres moyens du système de l’arabe. Il s’agit, dans ce cas, des néologismes sémantiques produits par des procédés sémantiques, en l’occurrence le processus tropologique, métaphore et métonymie, paratropologique, extension et resserrement de sens. Dan le troisième chapitre, nous avons étudié les néologismes venus d’autres systèmes linguistiques, en l’occurrence des termes que les journalistes ont empruntés à des langues étrangères.Dans la troisième partie, nous avons abordé le problème de néologie syntaxique en deux chapitres: dans le premier, nous avons traité les néologismes survenus dans le domaine verbal, notamment les nouvelles relations entre des modus verbaux et leurs expansions complétives. Quant au deuxième, nous y avons révélé et analysé certains changements concernant quelques fonctionnels, tels que, des coordonnants, des translatifs. / Within the framework of this work, it is question to analyze a corpus of neologism exhausted in several newspapers of 19th century this Indeed, we studied new neological, lexical and syntactical forms, and the processes of neological formation which the journalists had chosen to face the modernity which the Arabic world and the blow the Arabic language knew about this time period, called up the period of the revival where the lexicon knew a full development by means of several processes of neological formation, such the loan, the semantic change and the morphosyntactic creation. This development appears in reality as the necessary result of an alliance of two factors that of the speech community, with its needs being ceaselessly renewed and the time which stresses this necessity: that to create new words to answer These new needs. We treated this subject in three parts: The first one concerns theoretical problems of the neology.Such, the history and the definition of the neology and that of the neologism to whom we dedicated the first chapter of the second part the neology and the modern linguistic approaches which we treated in the second chapter and the problem of the typologies and the classifications approached on the third chapter.The second part, as for her, we dedicated her to the analysis of the lexical neologisms of our corpus in three chapters where we treated in each one of the aspects of the neology. In the first one, we analyzed the neologies of shape, according to the theoretical approach of A. Roman who divides the system of Arabic into two sub-systems namely the system of appointment which worries about the formation of the simple unités items and his twin the system of communication which takes care of the formation of the complex units. The second chapter, we reserved him(it) for the analysis of the other neologisms create by the other means of the system of Arabic. It is, in that case, about semantic neologisms produced by semantic processes, in this particular case the process tropologique, metaphor and metonymy, paratropologique, extension and contraction of sense. In the third chapter, we studied the neologisms come from the other linguistic systems, in this particular case the terms which the journalists borrowed from foreign languages.In the third part we approached the problem of syntactic neology in two chapters: in the first one, we treated the neologisms arisen in the verbal domain, in particular the new relations between verbal modus and their substantival expansions. As for the second, we revealed there and analyzed certain changes concerning some functional, such as, co-ordinating conjunctions, translative.

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