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Petru Dumitriu – Le drame de l’écrivain entre deux mondes / Petru Dumitriu – The drama of the writer between two worlds

Preda Colegiu, Roxana Natalia 09 December 2015 (has links)
La présente thèse c’est l’histoire d’une vie, des sommets et des abîmes, de la lumière et des ténèbres, des sourires et des sanglots. Les deux moitiés complémentaires de la vie, une manière d’expression personnelle et unique, une force créatrice qui va au-delà des limites, le talent littéraire indiscutable, voilà quelques mots-clefs qui caractérisent bien notre auteur. La métamorphose imprévisible continuelle manifestée dans son œuvre et les secrets de son écriture, contestée et appréciée à la fois, ne sont que des pistes générales qu’on se propose de développer tout au long de cette recherche. Les nombreuses publications récentes montrent un grand intérêt qui existe pour un sujet encore actuel et inépuisé, pour une époque qui suscite une longue chaîne d’interrogations, qui ne cesse de surprendre. Un thème de discussion toujours effervescent et passionné, qui accueille de plus en plus de participants prêts à se délivrer des mystères d’une époque lourde et obscure. Pourquoi « Le drame de l’écrivain entre deux mondes » ? Un titre apparemment simple, pour un thème vraiment complexe. Probablement parce que Petru Dumitriu est un cas atypique ; en contraste avec ceux qui préfèrent vivre en silence leurs drames, préserver au maximum leur intimité, tout sceller pour toujours dans les profondeurs de leur âme, Petru Dumitriu choisit l’ouverture, la sincérité totale, le récit assumé d’une expérience qui émeut dès les premières phrases. / The current thesis is the story of a life, peaks and abysses, light and darkness, smiles and tears. The two complementary halves of life, a way of personal and unique expression, a creative force that goes beyond the limits, the indisputable literary talent, here are some keywords that perfectly characterize our author.The continual metamorphosis unpredictable manifested in his work and the secrets of his writing, both challenged and appreciated are only general tracks that we propose to develop throughout this research.The many recent publications show great interest that exists for a current and still unexhausted subject to a time that elicits a long string of questions, which continues to surprise. A topic of discussion still effervescent and passionate, which welcomes more and more participants willing to deliver mysteries of a heavy and dark time.Why "The drama of the writer between two worlds"? An apparently simple title for a truly complex issue. Probably because Petru Dumitriu is an atypical case; in contrast to those who prefer to live in silence their dramas, preserve their privacy at the maximum while sealed forever in the depths of their soul, Petru Dumitriu chooses aperture, total sincerity, the narrative assumed an experience that moves from the very first sentences.
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Le communisme, ou comment la production de la misère devient prolifération ontologique. Le devenir du travail dans les sociétés contemporaines

Bernier, Emilie January 2014 (has links)
La thèse interroge le sens du travail, des origines de son institution dans la pensée politique moderne aux plus récentes transformations qui marquent le passage aux économies post-fordistes. La principale caractéristique que présentent ces dernières tient à leur intégration, au sein de la sphère productive, de toutes les activités de nature informationnelle, communicationnelle et affective, qui, traditionnellement, lui étaient demeurées extérieure. Cette opération est analysée grâce aux concepts de travail immatériel et de production biopolitique développés par les penseurs associés au mouvement opéraïste. Afin de sonder les conséquences de cette fusion de la production matérielle, éthique et juridique, la thèse sollicite l’éclairage de l’analyse marxienne de la valeur, qu’elle fait ensuite résonner avec la pensée de la technique que propose Heidegger, dans l’optique d’un dépassement de la métaphysique moderne du sujet, où, selon un diagnostic commun aux auteurs, se situe l’origine d’un asservissement du tout de la vie à un régime de production dévastateur – le nihilisme, ou la ruine de toutes les valeurs. S’appuyant sur une lecture contemporaine de Spinoza, notamment par Negri, cette critique de la métaphysique se révèle le geste initiateur d’un procès constitutif proprement politique. Enracinant plutôt le fondement de l’activité dans une ontologie de la finitude essentielle élaborée à la faveur d’une phénoménologie de la praxis collective, la thèse parcourt le chemin qui mène de l’explicitation du sens du travail comme usure du monde dans son ensemble, à l’anamnèse d’un usage intégral de la puissance productive, qui permet, dans les conditions actuelles de la production biopolitique, de déployer une imagination constitutive pour laquelle la notion d’utilité, au sens métaphysique, fournit un principe d’évaluation. Il s’agit d’apprécier, parmi les dynamiques tendancielles inhérentes aux formes de vie et de subjectivité engendrées dans la mobilisation incessante et irréversible qui nous affecte, l’imminence d’une réalisation du communisme dans la transvaluation de l’industrie en désœuvrement.
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Idéologie et déconstruction de l'Etat : La Yougoslavie communiste : 1941-1991 / Ideology and State's breakdown : The Communist Yugoslavia : 1941-1991

Gatti, Luigi 01 December 2017 (has links)
La littérature scientifique associe communément l’idéologie à la construction d’un groupe, d’une société, d’un régime. Ici, il s’agit d’expliquer comment une idéologie, projetant de bâtir une Yougoslavie communiste et indépendante, cause la chute du régime et la dislocation de la fédération yougoslave. Un examen minutieux de la doctrine ainsi que de la pratique politique issues de l’idéologie yougoslaviste met en exergue les contradictions à l’origine de l’échec yougoslave. Reconsidérer l’autonomie des acteurs politiques et de leurs idées offre de rendre pleinement intelligible l’impasse du modèle yougoslave. / In the scientific literature, ideology is traditionally studied in relation to the structuration of a group, a society, or a regime. This thesis aims to explain how an ideology, here dedicated to the building of an independent communist Yugoslavia, was on the contrary responsible for the breakdown of the regime and for the dislocation of the Yugoslav federation. A detailed study of the doctrine and political practice derived from the Yugoslavist ideology highlights the contradictions that were to lead to the failure of the Yugoslav model. To reconsider the autonomy of the political actors and their ideas enables to make fully intelligible the stalemate of the yugoslav model.
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La lutte finale : l'URSS dans le débat politique et intellectuel en France de 1975 à 1991 / The final struggle : USSR in political and intellectual debate in France between 1975 and 1991

Chauvin, Hervé 05 October 2012 (has links)
Depuis son origine, l'Union soviétique n'a cessé d'être en France l'objet d'un vif débat politique et intellectuel, un lieu de transposition des affrontements idéologiques hexagonaux. Alors que deux images contradictoires de l'URSS se sont formées au XXe siècle – celle de l'incarnation du socialisme et celle d'une dictature repoussante – la décennie qui débute en 1975 voit le triomphe en France de l'image noire du régime soviétique, dont le bilan est jugé complètement négatif, malgré une courte période d'interrogations suscitée par les réformes gorbatchéviennes. Cette évolution est le résultat d'un intense affrontement politique et idéologique hexagonal autour de la « réalité » du socialisme soviétique au moment où l'Union de la gauche propose un projet socialiste pour la France : l'Union soviétique se retrouve alors étroitement imbriquée dans les débats politiques, syndicaux, intellectuels français, constituant alors la ligne de démarcation principale entre communistes et non-communistes. La réintroduction du concept de totalitarisme, l'identification à la lutte de la dissidence est-européenne et la dénonciation de l'impérialisme soviétique pendant la période de « guerre fraîche » constituent les différentes facettes de cette lutte dont le résultat est le développement d'un fort antisoviétisme en France, allant jusqu'à une certaine remise en cause des relations bilatérales. L'amalgame entretenu entre les deux socialismes – de l'Est et de l'Ouest – contribue à la fois à la marginalisation du Parti communiste français qui peine à redéfinir ses relations avec les partis frères, de l'affirmation du « socialisme aux couleurs de la France » au bilan « globalement positif » des pays de l'Est, mais affecte aussi de manière plus générale l'idée de socialisme en France. Après des années de sympathie pour le communisme, les intellectuels français basculent massivement dans un anticommunisme virulent: la substitution du binôme capitalisme/socialisme au profit du couple démocratie/totalitarisme se traduit par l'abandon des traditions révolutionnaires de la gauche française. La vision libérale de l'histoire triomphe alors, entraînant une condamnation totale et définitive du régime soviétique qui précède, de loin, sa fin en 1991. / From its beginning, the Soviet Union has always been the subject of a fierce political and intellectual debate in France, a place on which ideological French confrontations were transfered. During the 20th century, two conflicting images of USSR were created – the embodiment of socialism and of a repulsive dictature – but after 1975 the dark image of the soviet system prevails. Its assessment is judged as completely negative, despite Gorbachev's era of reforms. This change is the result of an intense political and ideological French confrontation about what soviet socialism really is at the time when the Union of the Left is putting forward a socialist project for France : thus, the Soviet Union becomes closely interlocked in any debate in French political parties, unions and intellectual circles, acting as a dividing line between communists and others. The reintroduction of the concept of totalitarianism, the identification to the fight of Eastern Europe dissidents and the highlighting of soviet military imperialism during the second cold war are the different parts of this fight which results in the growth of a strong anti-sovietism in France and in a kind of adjournment of bilateral relations with the USSR. The amalgam between western and eastern socialism leads to the marginalization of the French Communist Party, which is not able to redefine its relations with the eastern sister parties, from the French way to socialism (“socialisme aux couleurs de la France”) to the globally positive assessment of Eastern socialist countries. It also affects the general idea and contents of socialism in France. After years of sympathy for communism, French intellectuals massively swing to an acerbic anticommunism: the opposition between capitalism and socialism is replaced by the one between democracy and totalitarianism, and, because of that, French Left revolutionary traditions are abandoned. At that point, the liberal vision of history prevails, and leads to the total and definitive condemnation of the soviet regime, preceding by far its end in 1991.
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Le marxisme et la critique de la religion

Legault, Henri 05 March 2019 (has links)
Montréal Trigonix inc. 2018
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L'histoire dans les écrits polémiques des premiers théoriciens du communisme français (1830-1848)

Beaudoin, Pierre 25 April 2018 (has links)
Cette étude essaie de dégager la nature et la fonction de l'histoire, telle qu'elle se présente dans le discours idéologique des premiers théoriciens du communisme français (1830- 1848). Après avoir fait ressortir le caractère essentiellement conflictuel des idéologies politiques du XIXe siècle, ce mémoire tente de démontrer la nécessité qu'ont les théoriciens du communisme de se référer à l'histoire afin de fonder leur projet unitaire: la Communauté. Nous verrons que l'histoire, intégrant le passé, le présent et le futur, se présentera comme une totalité harmonieuse, —opposé e à une réalité conflictuelle— fournissant une image rassurante qui pourra justifier la prétention totalitaire du communisme. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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National-populisme en Roumanie. Tradition et renouveau post-communiste

Adam, Robert 18 February 2016 (has links)
Le thème que nous nous proposons d’aborder dans la présente thèse est celui du populisme comme idéologie avec ses manifestations dans le monde, en Europe et surtout en Roumanie, où ses amples développements ont été à notre avis insuffisamment explorés jusqu’ici. L’hypothèse que nous avançons et que nous essaierons de valider par notre étude est celle que le populisme roumain n’est pas récent ou de fraiche importation, mais qu’il est solidement enraciné dans l’histoire et que ses évolutions ont un intérêt académique certain. L’interrogation méthodique, approfondie de la bibliographie spécialisée nous a révélé l’existence d’un intérêt minimum pour les variantes roumaines du populisme. La bibliographie internationale sur le populisme roumain est restreinte (Ghiţă Ionescu, Aurel Braun, Vladimir Tismăneanu, tous d’origine roumaine, sont actuellement les références citables). En Roumanie, quelques recherches isolées, surtout des dix dernières années, ont abordé des aspects ponctuels.Notre démarche tient sur trois piliers. Un premier chapitre théorique vise à interroger et clarifier la notion de populisme. Nous sommes partis à la recherche du populisme en utilisant la méthodologie de Margaret Canovan et Guy Hermet. Nous avons donc entrepris de refaire l’histoire du concept (narodniki russes, populistes américains, agrariens est-européens de l’entre-deux guerres, populismes latino-américains et d’Europe occidentale d’après guerre. L’étude taxonomique s’est accompagnée d’un passage en revue des conditions locales ayant généré les avatars du populisme sur quatre continents. Nous avons par la suite procédé à un état de la recherche sur la notion de populisme pour aboutir à une définition propre qui intègre des éléments dus à Jaguaribe, Hermet, Albertazzi et Mc Donnel, Laclau.Forts de la définition, nous avons passé en revue les rapports entre populisme et les diverses variantes du nationalisme, en insistant sur le national-populisme théorisé en première par Gino Germani, fort présent en Europe centrale et orientale et sans doute en Roumanie. Nous avons insisté sur les spécificités et les variables (temps, existence d’un leader charismatique) du populisme dans cette région, en retraçant, à la manière de Hermet, l’histoire politique de ces pays (Bulgarie, Hongrie, Pologne, République Tchèque, Roumanie, Slovaquie) avec un accent sur les mouvements considérés (à raison ou à tort) comme populistes.Le premier chapitre constitue la trame de fond du second, qui fait un panorama des avatars du populisme roumain des origines et jusqu’au début de la seconde guerre mondiale. Nous y avons surtout utilisé des sources roumaines (monographies de courants idéologiques, biographies, études et synthèses historiques, collections de revues et journaux, documents d’archives). En Roumanie, le populisme s’est manifesté depuis les débuts de la modernité politique, au XIXe. Le problème paysan a représenté la matrice du populisme roumain et l’examen des solutions pour y répondre constitue le fil conducteur de ce chapitre. Nous en avons dressé l’inventaire :populisme d’État modernisateur à la Peron (prince Cuza), socialisme de Gherea avec la paysannerie en arrière-garde du prolétariat, radicalisme bourgeois de gauche (le poporanism de Stere), populisme romantique et passéiste (le semeurisme de Iorga), boulangisme tardif (général Averescu), paysannisme avec sa doctrine coopératiste (PNP de Maniu et Mihalache), mais aussi le fascisme déviant de la Garde de Fer, qui a ciblé elle aussi les campagnes. Tous ces projets politiques ont illustré l’échec du populisme face aux problèmes de la société roumaine en voie de modernisation.Le troisième chapitre est consacré à la récrudescence populiste après la longue parenthèse communiste. Une analyse du national-communisme de Ceauşescu nous permet d’identifier bien des facteurs ayant façonné la société roumaine de 1989. Le national-populisme a connu un important essor en Roumanie post-communiste. Nous avons mis à profit des recherches internationales (De Waele, Tismăneanu), mais aussi locales comme des discours, articles de presse, sondages, archives électroniques. Nous avons accordé une attention particulière au Parti de la Grande Roumanie de Corneliu Vadim Tudor, le cas typique auquel nous avons consacré une étude. D’autres formations (PUNR, PNG de George Becali, Parti du Peuple – Dan Diaconescu, les anémiques héritiers du Mouvement Légionnaire) ont été passées en revue, pour constater leur inconsistance doctrinaire et leur faible impact électoral. De même, nous avons conclu que le national-populisme roumain post-communiste s’inscrit dans la continuité du national-communisme et très marginalement dans celle de ‘entre-deux-guerres. S’adressant aux perdants de la transition, ces partis ont failli à laisser leur marque. Deux leaders ayant fini en prison, un autre mort, la voie populiste semble momentanément fermée, bien qu’elle ait réussi une percée récente dans le discours des partis mainstream. Notre thèse retient une fin qui saurait aussi bien s’avérer un nouveau commencement. / The theme we intend to investigate in this dissertation is populism as an ideology with its embodiments throughout the world, in Europe and most of all in Romania, where its vast developments have been in our view insufficiently explored until now. The hypothesis we submit and which we shall try to validate by our research is that Romanian populism is not recent or freshly imported, but it is deeply rooted in history and its evolutions are of undoubted academic interest. The deep, thorough examination of specialized bibliography revealed us a limited interest for the Romanian variants of populism. The international bibliography on Romanian populism is far from extensive (Ghiţă Ionescu, Aurel Braun, Vladimir Tismăneanu, all of Romanian origin, are now the quotable references). In Romania, the research is not abundant either, but over the ten last years some individual aspects of the topic have been investigated. Our approach is threefold. A first theoretical chapter aims to questioning and clarifying the notion of populism itself. We set off in search of populism making use of Margaret Canovan and Guy Hermet’s methodology. We have thus ventured to trace back the concept’s history (Russian narodniki, American populists, East-European agrarianisms in-between the world wars, Latin-American and Western European populisms after WWII. The taxonomic study was accompanied by a review of local contexts having generated the avatars of populism on four continents. We have subsequently drawn a state-of-play of the research on populism as a concept in order to come up with our own definition which integrates elements owed to Jaguaribe, Hermet, Albertazzi & Mc Donnel, Laclau.On the solid ground of the definition, we have reviewed the relationships between populism and the diverse variants of nationalism, focusing on the national-populism first theorized by Gino Germani. National-populism is to be widely encountered in Central and Eastern Europe and undoubtedly in Romania. We have insisted on the specificities and variables (time, existence of a charismatic leader) of populism in this region, by recounting in the manner of Hermet the political history of these countries (Bulgaria, Czech Republic, Hungary, Poland, Romania, Slovakia) with special regard to movements rightly or wrongly considered as populist. The first chapter sets the framework of the second one, which brings about a panorama of the Romanian populist avatars from its origins to the start of WWIII. We have mostly made use of Romanian sources (monographs of ideological trends, biographies, historical studies, collections of magazines and newspapers, documents from the archives).Populism has been a constant presence in Romania, since the beginnings of the country’s political modernity in the 19th century. The peasant problem represents the matrix of Romanian populism and the review of the foreseen solutions to solve it represents the unifying thread of this chapter. We have proceeded to an inventory :modernizing state populism à la Peron (prince Cuza), Gherea’s socialism with the peasantry seen as the rearguard of the proletariat, left bourgeois radicalism (Stere and his poporanism), Romanticist & revivalist populism (Iorga and his sămănătorism), late boulangisme (General Averescu), agrarianism with the underlying cooperatist doctrine (National Peasant Party of Maniu and Mihalache), but also the Iron Guard’s deviant fascism, which targeted rural areas as well. All these political projects illustrated the failure of populism to address the problems of Romanian society on its way to modernity. The third chapter deals with the populist revival in Romania after the fall of communism in 1989. An analysis of Nicolae Ceauşescu’s national-communism enables us to identify many factors having shaped the Romanian society of 1989. National-populism enjoyed massive success in post-communist Romania. We took advantage of international (De Waele, Tismăneanu), but also local research and explored speeches, press items, polls, electronic archives.Particular attention was paid to Corneliu Vadim Tudor’s Greater Romania, the typical case which we studied. Other parties (PNUR, George Becali’s NGP, Dan Diaconescu’s People’s Party, the feeble heirs to the Legionary Movement) were reviewed, only to conclude to their doctrinal shallowness and weak electoral impact. We have come to the conclusion that Romania’s post-communist national-populism is based on the legacy of national-communism and only marginally on the heritage of Romania’s interwar populisms. Targeting the losers of transition, these parties failed to achieve major success. Two of their leaders ended up in prison, a third one is dead, so the populist path seems momentarily shut, though it has managed a recent breakthrough into the discourse of mainstream parties. Our dissertation closes on an end note which may well prove a new beginning. / Doctorat en Sciences politiques et sociales / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Un intellectuel communiste illégitime : Roger Garaudy / An illegitimate communist intellectual : Roger Garaudy

Gauvin, Didier 05 April 2018 (has links)
Après avoir atteint l'excellence en tant qu'intellectuel de parti stalinien pendant la Guerre froide, Roger Garaudy s'est construit comme intellectuel "véritable" contre la doxa du PCF qu'il était pourtant chargé d'incarner, à la faveur de son autonomisation suite au choc du XX° Congrès du PCUS périmant sa foi en Staline. C'est ainsi que la résurgence progressive de son habitus théologico-philosophique a fait de lui l'homme du dialogue par excellence adapté à la démarginalisation du PCF dans le champ intellectuel des années 1960. Mais si son engagement sur la tagente hérétique a fait de lui l'un des intellectuels communistes poussant le plus loin le projet de rénovation du PC en offrant une véritable stratégie alternative à celle du Parti après 1968, l'exclusion qui s'en est suivie s'est traduite par un retour du refoulé religieux qui, couplé à la posture prophétique d'un intellectuel désormais excentré dans le champ intellectuel français, a largement contribué à la délégitimation de l'ancien philosophe du PC avant même sa radicalisation ultime qui a achevé de le disqualifier suite à sa condamnation pour négationnisme. / After he reached excellence as a stalinist party intellectual during the Cold War, Roger Garaudy built himself as a real intellectual against the doxa that he was yet supposed to embody, following his emporwement after the shock of the 20th Congress of the CPSU which made his faith in Stalin obsolete. That is how the progressive resurgence of his theologico-philosophical habitus allowed him to become by excellence the "man of dialogue" within the French Communist Party, the most adjusted intellectual to the demarginalization of the FCP in the french intellectual field of the 1960s. But if his undertaking to the heretic tangent made him the communist theoretician who went the furthest on the way towards destalinization by offering a real alternative strategy to the Party's after 1968, his ensuing exclusion manifested thereafter as a backlash of the religiously repressed which, together with the prophetic posture of an intellectual henceforth unwarranted in the french intellectual field, largely explains the delegitimation of the former leading communist philosopher, even before his ultimate radicalization which completed his disqualification after he was condemned by french justice for negationism.
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Politiques et pratiques alimentaires pendant la dernière décennie communiste de Roumanie / Food policies and practices during the Romanian last communist decade

Perianu, Maria-Catrina 18 December 2009 (has links)
Cette thèse se propose d’examiner l’hiatus « à la roumaine » entre les contraintes normatives exercées par la politique d’Etat et les pratiques quotidiennes des habitants dans les années 1980 en Roumanie. L’hypothèse principale de la recherche est fondée sur les pratiques alimentaires des acteurs qui s’apparentent à une véritable culture de résistance face aux politiques nutritionnelles menées pendant la dernière décennie communiste roumaine. A partir de l’approche théorique de l’espace politique de la santé (en l’occurrence, de l’alimentation) proposée par Didier Fassin, cette étude se construira selon trois axes qui constituent l’espace mentionné ci-dessus : le gouvernement des corps par la nourriture (« Gouverner et nourrir »), le pouvoir médical et sa limitation devant l’instance de l’Etat communiste (« Médicalisation de la nourriture »), et les disparités sociales face à l’alimentation (« Stratégies de ravitaillement et pratiques alimentaires »). Cette recherche sera conduite à partir d’une démarche associant l’analyse macroanthropologique (décorticage des actes législatifs, des traités médicaux de l’époque concernant la nutrition, des textes des articles de presse des quotidiens ou des périodiques, officiels ou de spécialité.) et l’analyse micro- anthropologique (observation des pratiques quotidiennes des habitants, entretiens, recueil des témoignages accrédités du point de vue scientifique). / This thesis intends to analyse the peculiar hiatus between the Estate normative constraints exerted on and the everyday practices of the Romania’s inhabitants during the eighties. With this aim in view, we have formulated the principal hypothesis of this research, as follows: the food practices of the actors resemble a genuine resistance culture facing the nutritional policies of the Romanian last communist decade. Based on the theoretical approach of the political space of health (in this case, of food), proposed by Didier Fassin, this study will be built upon three axis, which form the abovementioned space: the bodies’ government by food (“Gouverner et nourrir”, “Rule and feed”), the medical power and its limitation confronted with the communist Estate’s authority ( “Médicalisation de la nourriture”, “Physicians and food” ), the social disparities toward the food (“ Stratégies de ravitaillement et pratiques alimentaires “, “ Supplies strategies and food practices”) respectively. This research has been conducted on the basis of an approach that brings together the macro-anthropologist analysis (dissection of legislative acts, of medical treaties of that period, concerning the nutrition, of official daily, periodical or specialty papers), and the microanthropologist analysis ( observation of everyday food practices, interviews, scientifically accredited collection of people stories) as well.
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Jean-François Revel et la démocratie / Jean-François Revel and Democracy

Boulanger, Philippe 15 November 2012 (has links)
Essayiste mondialement connu, éditorialiste dans de grands hebdomadaires français, agrégé de philosophie, Jean-François Revel a accompagné la vie intellectuelle française et internationale de la seconde moitié du XXe siècle. Né le 19 janvier 1924 à Marseille, décédé le 30 avril 2006, il se caractérise par un itinéraire intellectuel qui s’ancre profondément dans son temps. Il l’est comme tous les penseurs de son siècle, certes, mais sans doute encore davantage, car il est un penseur peu théoricien, avant tout soucieux des faits. Il compose son argumentaire libéral et l’emploie dans la grande presse et dans ses essais à grand succès, au service de la défense d’une démocratie qu’il juge menacée de l’intérieur et de l’extérieur.Libéral impénitent, Revel prend résolument la défense de la démocratie libérale contre le totalitarisme communiste et le socialisme marxiste. Polémiste, il critique durement la Constitution de la Ve République, le « grand dessein » du général de Gaulle, l’Union de la gauche entre socialistes et communistes et l’antiaméricanisme des Français. Sceptique popperien, il tente de dégager les ressorts intellectuels de ce qu’il appelle la « tentation totalitaire » et de la paralysie des démocraties occidentales confrontées aux ambitions géostratégiques de l’URSS.Publiciste à la manière des écrivains du XIXe siècle, témoin des grands défis politiques, économiques, sociaux et idéologiques du XXe siècle, sentinelle isolée du libéralisme au temps du marxisme triomphant, ardent défenseur de la démocratie libérale si combattue et malmenée par les fascismes et les totalitarismes nazi et communiste, Revel aura donc occupé une place à la fois centrale et marginale dans l’histoire des idées en France.En outre, Revel est resté, en vérité, et malgré une ferme empreinte anglo-saxonne, un libéral démocrate français, certain de son ancrage à gauche en dépit des controverses le visant, affronté à une gauche française profondément marxisée et une droite gaulliste et post-gaulliste très nettement hostile au libéralisme. Pour lui, l’adhésion au libéralisme intégral n’est pas une question de dogme, mais d’expérience : le libéralisme politique assure la paix civile, l’équilibre des pouvoirs et la participation des citoyens à la vie politique ; le libéralisme économique garantit mieux que l’interventionnisme étatique l’efficacité et la justice sociale.Penseur mineur par rapport à Aron ou Hayek, essayiste et polémiste, Revel a, depuis son décès, été plongé dans un relatif confinement. Son rôle de diffuseur des idées libérales dans la grande presse – plutôt que dans les cercles universitaires – n’est que rarement souligné dans les travaux sur le libéralisme au XXe siècle. L’objet de ce travail est de tenter de remédier modestement à ce confinement. / Writer all over the world, columnist in top French weeklies, graduated in philosophy, Jean-François Revel went through the international and French intellectual life from the end of the war on. Born on July 19, 1924, Marseilles, passed away on April 30, 2006, his intellectual profile was deeply rooted in his time. So were his intellectual contempories in this century, but undoudtedly still more, because his thought was little theoritical, based on facts before all. His liberal reasoning was used in the largest press and in his best-selling books at the service of democracy, that he sees as threatened internally and externally.Publicist in the way of the 19th century-writers, watchman of prominent political, economic, social and ideological challenges in the last century, isolated sentinel of liberalism in the period of triumphant Marxism, fierce champion of liberal democracy that was fought by fascisms and Nazi and Communist totalitarianisms, Revel played a role both central and marginal in the history of ideas in France.Moreover, Revel remained, and in spite of a real Anglo-Saxon stance, a French liberal democrat, convinced of being left-winger even though he was the target of controversies, faced with both a deeply Marxised French Left and a clearly antiliberal Gaullist and post-Gaullist Right. Giving his support to integral liberalism was not a question of dogma but of experience. Political liberalism ensures civil peace, check and balance, the participation of citizens to political life, and economic liberalism is better than state interventionism to create social justice and to guarantee efficiency.Philosopher of minor interest if compared with Aron or Hayek, political writer and polemist, Revel has, since he died, been relatively confined. His role of vulgarizator of liberal ideas in the largest press – rather than in the academic inner circles – has rarely been underlined in the studies dealing with 20th century-liberalism. The topic of this thesis is to try to modestly make Revel’s work better known.

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