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La question identitaire dans l'art moderne québécois /

Vigneault, Louise, 1965- January 2000 (has links)
The following study traces modern Quebecois art from the beginning of the twentieth century with specific reference to the question of the redefinition of identity. The study mainly consists of an analysis of different strategies used by certain progressive artists like Paul-Emile Borduas, Francoise Sullivan and Jean-Paul Riopelle to impose a new reality which was simultaneously contemporary, rooted and distinct in the context of a Quebec that was emerging in modernization. By using popular or marginalized artistic forms and by seizing certain ancient models belonging to the distant past---in the non-western world or precolonial America---and by using different strategies of deconstruction and transgression of normative codes defined by the dominant ideology, these artists were able to avoid current hegemonic models in order to assert new spaces for expression and representation. Taking on modern Quebecois art from an approach belonging to diverse social sciences and humanities, this study aims to renew the analytical parameters of the traditional art history. The main challenge lies in zeroing in on the ways in which the development of modern identity (meaning the affirmation of the right to be different and to self-determination, and the development of subjectivism and expressivism) influenced avant-garde artistic productions, and which strategies artists used to replace the values imposed by traditional institutions and the dominant ideology, which in turn sparked a renewal of identity. Modern identity is based upon a principle that is modeled on two foundations: on the image that the subject will have of himself, and the impression that the Other (a bordering neighbour, cultural cousin, colonial authority or political oppressor) will have of him. In fact, this "stranger" will essentially assume the role of guaranteeing the recognition of the proposed identity. The phenomena of mythical constructions of symbolical imagination and of primitivism, in this study,
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La question identitaire dans l'art moderne québécois /

Vigneault, Louise, 1965- January 2000 (has links)
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L'idéal chrétien dans le discours de Saint-Vallier : Estat present de l'Eglise et de la colonie dans la Nouvelle France (1685-1686)

Trouboul, Julie 25 April 2018 (has links)
Mgr de Saint-Vallier, grand vicaire et futur évêque de Québec, aborde pour la première fois son futur diocèse en juillet 1685, il le parcourt pendant près 16 mois. Il publie le récit de sa visite pastorale en 1688, ce compte rendu a pour objectif premier de susciter des dons en faveur de la Nouvelle-France, cependant, l'analyse de son discours nous révèle bien davantage. Ce compte rendu illustre la perception du Nouveau Monde de Saint-Vallier. Il témoigne de la représentation qu'il se fait de son futur diocèse comme d'un lieu propice à l'établissement du Royaume divin, où la présence de Dieu est particulièrement prégnante. Les vertus des habitants de la colonie apparaissent, elles aussi, idéales ; leur attitude répond exactement à la norme promue par la Réforme catholique. Ainsi, cette présentation souligne la référence tridentine du prélat. Le récit de Saint-Vallier suggère, en outre, son ambition de parfaire et de généraliser ces dispositions vertueuses au moyen d'un encadrement étroit du fidèle au sein d'une Église canadienne établie, et ce, dans le dessein d'établir le règne de Dieu en Nouvelle-France. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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Art contemporain et documentation : la muséalisation d'un corpus de pièces éphémères de type performance / Contemporary art and documentation : the musealisation of performance works

Giguère, Amélie 24 May 2012 (has links)
Quarante années après la parution de l’article de Lucy R. Lippard et de John Chandler, la notion de « dématérialisation » apparait toujours dans les discours sur l’art contemporain. Elle désigne une tendance de la création qui dévalorise la matérialité de l’objet, ses qualités plastiques, de même que son caractère permanent. En outre, la dématérialisation de l’art peut être interprétée comme une critique du musée et les œuvres qui répondent à ses préceptes, comme des pièces qui « résistent » à la muséalisation. Qu’en est-il de la performance? Est-elle présente aujourd’hui dans les collections muséales? Et si oui, sous quelle forme? Comment les informations colligées, organisées et enregistrées autour de ses propositions assurent-elles une connaissance juste de celles-ci? En somme, par quelles stratégies, artistes ou professionnels, opèrent-ils la muséalisation de la performance? Le « document » s’impose comme notion clé pour éclairer la question de la muséalisation de cette pratique contemporaine. Une hypothèse de travail est formulée : les performances ne se présentent pas sous la forme d’un objet déterminé, mais plutôt sous la forme d’un ensemble de documents. Cet ensemble constitue ce que nous appelons la « face documentaire » de la proposition. En transposant la notion de paratexte de Gérard Genette aux objets de cette analyse, il est dit que la « face documentaire » a pour fonction principale de présenter ou de rendre présentes ces propositions, de réconcilier leurs différents modes d’existence et d’assurer leur muséalisation. C’est à la lumière des sciences de l’information et de la communication qu’est définie la notion de « document », opératoire dans le concept de « face documentaire ». Une étude de cas est menée. Le corpus est composé de sept pièces éphémères de type performance et de leurs objets associés qui appartiennent à musées et des FRAC, en France ou au Canada. L’entretien auprès des professionnels des musées, des artistes et de leurs représentants, de même que la consultation et l’analyse de sources, comme les fiches descriptives, les dossiers d’œuvres et les revues spécialisées et les catalogues, constituent les principales méthodes d’enquête. L’analyse procède par l’identification et la mise en évidence, par le récit, des différents destinateurs, formes, fonctions et statuts des documents qui composent la « face documentaire » des pièces choisies. Sont ainsi interrogées, pour chacune des pièces, la création ou la sélection de documents et leur entrée dans une collection muséale. Sont ensuite questionnées la documentation muséale de ces pièces et enfin, leur présentation publique. L’étude des cas permet de dégager deux stratégies principales de muséalisation : la muséalisation articulée autour d’un prolongement matériel qui tend à faire œuvre et la muséalisation articulée autour d’un projet de réitération. L’étude de cas permet en outre de mettre en évidence trois stratégies de présentation publique des « performances muséalisées », soit l’exposition d’un objet en situation de rencontre, l’exposition documentaire et enfin, la réitération de la performance. Enfin, la recherche montre que la muséalisation de la performance redéfinit les activités muséales de la sélection, de la documentation et de la présentation. Elle interroge l’objet de musée comme élément pivot de ces activités. Elle montre aussi qu’une attention plus grande est portée aux productions paratextuelles de ces travaux artistiques » / Is performance art present in museum collections? If so, how is it documented, preserved and presented/exhibited? How do museum professionals and artists accomplish documenting and archiving performance art? The notion of “document” has emerged as a key concept for understanding the issues surrounding contemporary practices of performance art. A hypothesis is proposed: the performance is not to be considered as an “object,” but rather as a series of “documents.” Transposing the concept of paratext (Genette) to this analysis, I argue that these sets of documents function to present or to “make present” performances and to enable their musealisation. Case studies involving seven performance pieces and their associated documents (objects, accessories, archives, etc.) in collections in museums and Fonds régionaux d’art contemporain (FRAC) in France and Canada were selected for study. Interviews with museum professionals, artists and their collaborators, as well as the analysis of documentary sources such as database catalogs, artists’ dossiers and journals, constituted the primary research materials. The case studies revealed two main strategies of musealisation: 1) musealisation articulated/occurring around a material extension which tends to become a work of art and 2) musealisation articulated around a reenactment project. The case studies also demonstrate three types of presentation: 1) the exhibition, 2) the documentary exhibition, and 3) the live presentation or reenactment. Finally, the research indicates that the musealisation of performance art redefines the traditional museum activities of selection, documentation and presentation by questioning the status of the museum object as a central element of these activities
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Art contemporain et documentation : la muséalisation d'un corpus de pièces éphémères de type performance

Giguère, Amélie 05 1900 (has links) (PDF)
Quarante années après la parution de l'article de Lucy R. Lippard et de John Chandler, publié dans Art International, la notion de « dématérialisation » apparaît toujours dans les discours sur l'art contemporain. Elle désigne une tendance à l'œuvre dans la création artistique qui dévalorise la matérialité de l'objet, ses qualités plastiques associées à un savoir-faire technique, de même que son caractère unique et permanent. En outre, la dématérialisation de l'art peut être interprétée comme une critique de l'institution muséale et, les propositions artistiques qui répondent à ses préceptes, comme des pièces qui « résistent » à la muséalisation. Affirmant que la muséalisation est l'ensemble des activités de sélection, de documentation et de présentation publique qui octroient, à une proposition artistique, un statut muséal ou qui transforment cette proposition en un objet qui témoigne d'une réalité donnée, comment dès lors des propositions qui n'ont pas de matérialité persistante intègrent-elles les collections muséales? Comment les informations colligées, organisées et enregistrées autour de ces pièces assurent-elles une connaissance juste de celles-ci? En somme, par quelles stratégies, artistes ou professionnels, opèrent-ils la muséalisation de ces pièces contemporaines et, en particulier, des pièces éphémères de type performance? En interrogeant d'un côté la production d'un art contemporain qui remet en question l'objet traditionnel comme finalité du projet artistique et, en questionnant de l'autre les activités muséales traditionnelles et contemporaines, le « document » s'impose comme notion clé pour éclairer la question de la muséalisation de cet art contemporain. Une hypothèse de travail est formulée : certaines propositions contemporaines ne se présentent pas sous la forme d'un objet déterminé qui en constitue le terme, mais plutôt sous la forme d'un ensemble de documents. Cet ensemble de documents constitue ce que nous appelons la « face documentaire » de la proposition artistique. En transposant la notion de paratexte de Gérard Genette aux objets de cette analyse, il est dit que la « face documentaire » a pour fonction principale de présenter, ou de rendre présentes, les propositions artistiques, de réconcilier leurs différents modes d'existence et d'assurer leur muséalisation le plus conformément possible aux intentions des créateurs. C'est à la lumière des sciences de l'information et de la communication, en particulier des travaux de Jean Meyriat et de ceux des chercheurs réunis sous le pseudonyme Roger T. Pédauque, qu'est définie la notion de « document », opératoire dans le concept de « face documentaire ». Une étude de cas est menée. Le corpus est composé de sept pièces éphémères de type performance et de leurs objets associés qui appartiennent à des collections muséales ou à des Fonds régionaux d'art contemporain, en France ou au Canada. L'entretien auprès des professionnels des musées, des artistes et de leurs représentants, de même que la consultation et l'analyse de sources primaires et secondaires, comme les fiches descriptives, les dossiers d'œuvres et les revues spécialisées et les catalogues, constituent les principales méthodes d'enquête. L'analyse procède par l'identification et la mise en évidence, par le récit, des différents destinateurs, formes, fonctions et statuts des documents qui composent la « face documentaire » des propositions choisies. Sont ainsi interrogées, pour chacune des pièces, la création ou la sélection de documents et leur entrée dans une collection muséale. Sont ensuite questionnées la documentation muséale de ces pièces et enfin, leur présentation publique. L'étude des cas permet de dégager deux stratégies principales de muséalisation : la muséalisation articulée autour d'un prolongement matériel qui tend à faire œuvre et la muséalisation articulée autour d'un projet de réitération. Dans les premiers cas, la muséalisation s'accomplit par la sélection et la désignation d'une pièce ou d'un ensemble de pièces et de documents de différents statuts, prédéterminés et identifiés ou non par l'artiste comme celui ou ceux qui tient ou tiennent lieu de la performance. Dans les seconds cas, la muséalisation s'opère par l'obtention d'un droit de réitération, par la sélection et la désignation d'un ensemble de pièces ou de documents de différents statuts, ainsi que par la production ou la reconnaissance d'un « script » de la performance qui vise essentiellement à guider la reprise correcte de la proposition éphémère. L'étude de cas permet en outre de mettre en évidence trois stratégies de présentation publique des « performances muséalisées », soit l'exposition d'un objet ou de plusieurs objets en situation de rencontre, l'exposition documentaire et enfin, la réitération de la performance. Enfin, la recherche montre que la muséalisation de pièces éphémères de type performance redéfinit les activités muséales de la sélection, de la documentation et de la présentation. Elle interroge l'objet de musée comme élément pivot de ces activités. Elle montre aussi qu'une attention plus grande est portée aux productions paratextuelles de ces travaux artistiques, c'est-à-dire à la « face documentaire » de ces derniers ou à la documentation comprise dans une acception élargie. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : art contemporain, document, documentation, exposition, muséalisation, performance, réitération, Guy de Cointet, Esther Ferrer, Claudie Gagnon, Yves Klein, Gina Pane, Tino Sehgal, Françoise Sullivan.
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Art contemporain et documentation : la muséalisation d'un corpus de pièces éphémères de type performance

Giguère, Amélie 24 May 2012 (has links) (PDF)
Quarante années après la parution de l'article de Lucy R. Lippard et de John Chandler, la notion de " dématérialisation " apparait toujours dans les discours sur l'art contemporain. Elle désigne une tendance de la création qui dévalorise la matérialité de l'objet, ses qualités plastiques, de même que son caractère permanent. En outre, la dématérialisation de l'art peut être interprétée comme une critique du musée et les œuvres qui répondent à ses préceptes, comme des pièces qui " résistent " à la muséalisation. Qu'en est-il de la performance? Est-elle présente aujourd'hui dans les collections muséales? Et si oui, sous quelle forme? Comment les informations colligées, organisées et enregistrées autour de ses propositions assurent-elles une connaissance juste de celles-ci? En somme, par quelles stratégies, artistes ou professionnels, opèrent-ils la muséalisation de la performance? Le " document " s'impose comme notion clé pour éclairer la question de la muséalisation de cette pratique contemporaine. Une hypothèse de travail est formulée : les performances ne se présentent pas sous la forme d'un objet déterminé, mais plutôt sous la forme d'un ensemble de documents. Cet ensemble constitue ce que nous appelons la " face documentaire " de la proposition. En transposant la notion de paratexte de Gérard Genette aux objets de cette analyse, il est dit que la " face documentaire " a pour fonction principale de présenter ou de rendre présentes ces propositions, de réconcilier leurs différents modes d'existence et d'assurer leur muséalisation. C'est à la lumière des sciences de l'information et de la communication qu'est définie la notion de " document ", opératoire dans le concept de " face documentaire ". Une étude de cas est menée. Le corpus est composé de sept pièces éphémères de type performance et de leurs objets associés qui appartiennent à musées et des FRAC, en France ou au Canada. L'entretien auprès des professionnels des musées, des artistes et de leurs représentants, de même que la consultation et l'analyse de sources, comme les fiches descriptives, les dossiers d'œuvres et les revues spécialisées et les catalogues, constituent les principales méthodes d'enquête. L'analyse procède par l'identification et la mise en évidence, par le récit, des différents destinateurs, formes, fonctions et statuts des documents qui composent la " face documentaire " des pièces choisies. Sont ainsi interrogées, pour chacune des pièces, la création ou la sélection de documents et leur entrée dans une collection muséale. Sont ensuite questionnées la documentation muséale de ces pièces et enfin, leur présentation publique. L'étude des cas permet de dégager deux stratégies principales de muséalisation : la muséalisation articulée autour d'un prolongement matériel qui tend à faire œuvre et la muséalisation articulée autour d'un projet de réitération. L'étude de cas permet en outre de mettre en évidence trois stratégies de présentation publique des " performances muséalisées ", soit l'exposition d'un objet en situation de rencontre, l'exposition documentaire et enfin, la réitération de la performance. Enfin, la recherche montre que la muséalisation de la performance redéfinit les activités muséales de la sélection, de la documentation et de la présentation. Elle interroge l'objet de musée comme élément pivot de ces activités. Elle montre aussi qu'une attention plus grande est portée aux productions paratextuelles de ces travaux artistiques "
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A subjetivação da criança escolar : um estudo sobre o tempo de latência

Drügg, Angela Maria Schneider January 2007 (has links)
A presente pesquisa consiste num estudo sobre o processo de constituição psíquica da criança em idade escolar a partir do conceito tempo de latência, buscando articulá-lo ao processo de escolarização da infância. Situa o conceito no conjunto da obra freudiana desde seus primeiros trabalhos sobre as neuroses e a sexualidade infantil, passa pelo período de formulação da teoria das pulsões, localiza-o no contexto da teoria estrutural e, igualmente, nas reflexões de Freud acerca das relações entre natureza e cultura. Em sucessão, verifica os desdobramentos que o conceito tem na obra de reconhecidos psicanalistas que se dedicaram à análise de crianças, como Melanie Klein, Anna Freud, Donald Winnicott, Charles Sarnoff e Françoise Dolto, culminando com uma leitura do tempo de latência como um tempo lógico a partir do enfoque lacaniano. Enquanto tempo lógico infere que a latência não decorre de um processo natural, desencadeado pelo organismo, e sim pela demanda do Outro. Nesse sentido procura vinculá-lo às transformações culturais da modernidade, entre estas o processo de escolarização da infância. Sustenta que a escolarização favorece a constituição do tempo de latência, na medida em a escola se organiza como o espaço social destinado à criança, distanciando-a do ambiente familiar sem, no entanto, incluí-la no mundo adulto, ao mesmo tempo em que possibilita formas de sublimação. Entendendo o tempo de latência como uma produção do laço social, cogita que novas transformações na cultura podem extingui-lo enquanto tempo constitutivo. Aponta que fraturas na sustentação do trabalho psíquico deste tempo constitutivo aparecem em algumas formações clínicas, como a inibição intelectual e a fobia escolar. / The research consists of a study on the process of psychic constitution of the child in school age from the concept of latency time, searching the education process of infancy. It points out the concept in the set of the Freudian workmanship since the first works on the neuroses and the infantile sexuality, passes for the period of formularization of the drive theory, still locates it in the context of the structural theory and in the reflections of Freud about the relations between nature and culture. To leave of this, it verifies the unfoldings that the concept has in the workmanship of recognized psychoanalysts who had dedicated themselves to analyze of children as Melanie Klein, Anna Freud, Donald Winnicott, Charles Sarnoff and Françoise Dolto, culminating with a reading of the latency time as a logical time from the lacanian approach. While logical time understands that the latency does not elapse of a natural process, unchained for the organism, and yes for the demand of the Other. In this direction it searches to tie it to the cultural transformations of modernity, between these the education process of infancy. It supports that the education favors the constitution of the latency time, in the measure where the school is organized as the social space destined to the child, distancing itself of the familiar environment without, in meanwhile include them in the adult world, at the same time where it makes possible subliming forms. Understanding the latency time as a production of the social bow, it cogitates that new transformations in the culture can extinguish it while constituent time. It points that breakings in the sustentation of the psychic work of the latency appear in some clinical formations as the intellectual inhibition and the pertaining to school phobia.
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A subjetivação da criança escolar : um estudo sobre o tempo de latência

Drügg, Angela Maria Schneider January 2007 (has links)
A presente pesquisa consiste num estudo sobre o processo de constituição psíquica da criança em idade escolar a partir do conceito tempo de latência, buscando articulá-lo ao processo de escolarização da infância. Situa o conceito no conjunto da obra freudiana desde seus primeiros trabalhos sobre as neuroses e a sexualidade infantil, passa pelo período de formulação da teoria das pulsões, localiza-o no contexto da teoria estrutural e, igualmente, nas reflexões de Freud acerca das relações entre natureza e cultura. Em sucessão, verifica os desdobramentos que o conceito tem na obra de reconhecidos psicanalistas que se dedicaram à análise de crianças, como Melanie Klein, Anna Freud, Donald Winnicott, Charles Sarnoff e Françoise Dolto, culminando com uma leitura do tempo de latência como um tempo lógico a partir do enfoque lacaniano. Enquanto tempo lógico infere que a latência não decorre de um processo natural, desencadeado pelo organismo, e sim pela demanda do Outro. Nesse sentido procura vinculá-lo às transformações culturais da modernidade, entre estas o processo de escolarização da infância. Sustenta que a escolarização favorece a constituição do tempo de latência, na medida em a escola se organiza como o espaço social destinado à criança, distanciando-a do ambiente familiar sem, no entanto, incluí-la no mundo adulto, ao mesmo tempo em que possibilita formas de sublimação. Entendendo o tempo de latência como uma produção do laço social, cogita que novas transformações na cultura podem extingui-lo enquanto tempo constitutivo. Aponta que fraturas na sustentação do trabalho psíquico deste tempo constitutivo aparecem em algumas formações clínicas, como a inibição intelectual e a fobia escolar. / The research consists of a study on the process of psychic constitution of the child in school age from the concept of latency time, searching the education process of infancy. It points out the concept in the set of the Freudian workmanship since the first works on the neuroses and the infantile sexuality, passes for the period of formularization of the drive theory, still locates it in the context of the structural theory and in the reflections of Freud about the relations between nature and culture. To leave of this, it verifies the unfoldings that the concept has in the workmanship of recognized psychoanalysts who had dedicated themselves to analyze of children as Melanie Klein, Anna Freud, Donald Winnicott, Charles Sarnoff and Françoise Dolto, culminating with a reading of the latency time as a logical time from the lacanian approach. While logical time understands that the latency does not elapse of a natural process, unchained for the organism, and yes for the demand of the Other. In this direction it searches to tie it to the cultural transformations of modernity, between these the education process of infancy. It supports that the education favors the constitution of the latency time, in the measure where the school is organized as the social space destined to the child, distancing itself of the familiar environment without, in meanwhile include them in the adult world, at the same time where it makes possible subliming forms. Understanding the latency time as a production of the social bow, it cogitates that new transformations in the culture can extinguish it while constituent time. It points that breakings in the sustentation of the psychic work of the latency appear in some clinical formations as the intellectual inhibition and the pertaining to school phobia.
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A subjetivação da criança escolar : um estudo sobre o tempo de latência

Drügg, Angela Maria Schneider January 2007 (has links)
A presente pesquisa consiste num estudo sobre o processo de constituição psíquica da criança em idade escolar a partir do conceito tempo de latência, buscando articulá-lo ao processo de escolarização da infância. Situa o conceito no conjunto da obra freudiana desde seus primeiros trabalhos sobre as neuroses e a sexualidade infantil, passa pelo período de formulação da teoria das pulsões, localiza-o no contexto da teoria estrutural e, igualmente, nas reflexões de Freud acerca das relações entre natureza e cultura. Em sucessão, verifica os desdobramentos que o conceito tem na obra de reconhecidos psicanalistas que se dedicaram à análise de crianças, como Melanie Klein, Anna Freud, Donald Winnicott, Charles Sarnoff e Françoise Dolto, culminando com uma leitura do tempo de latência como um tempo lógico a partir do enfoque lacaniano. Enquanto tempo lógico infere que a latência não decorre de um processo natural, desencadeado pelo organismo, e sim pela demanda do Outro. Nesse sentido procura vinculá-lo às transformações culturais da modernidade, entre estas o processo de escolarização da infância. Sustenta que a escolarização favorece a constituição do tempo de latência, na medida em a escola se organiza como o espaço social destinado à criança, distanciando-a do ambiente familiar sem, no entanto, incluí-la no mundo adulto, ao mesmo tempo em que possibilita formas de sublimação. Entendendo o tempo de latência como uma produção do laço social, cogita que novas transformações na cultura podem extingui-lo enquanto tempo constitutivo. Aponta que fraturas na sustentação do trabalho psíquico deste tempo constitutivo aparecem em algumas formações clínicas, como a inibição intelectual e a fobia escolar. / The research consists of a study on the process of psychic constitution of the child in school age from the concept of latency time, searching the education process of infancy. It points out the concept in the set of the Freudian workmanship since the first works on the neuroses and the infantile sexuality, passes for the period of formularization of the drive theory, still locates it in the context of the structural theory and in the reflections of Freud about the relations between nature and culture. To leave of this, it verifies the unfoldings that the concept has in the workmanship of recognized psychoanalysts who had dedicated themselves to analyze of children as Melanie Klein, Anna Freud, Donald Winnicott, Charles Sarnoff and Françoise Dolto, culminating with a reading of the latency time as a logical time from the lacanian approach. While logical time understands that the latency does not elapse of a natural process, unchained for the organism, and yes for the demand of the Other. In this direction it searches to tie it to the cultural transformations of modernity, between these the education process of infancy. It supports that the education favors the constitution of the latency time, in the measure where the school is organized as the social space destined to the child, distancing itself of the familiar environment without, in meanwhile include them in the adult world, at the same time where it makes possible subliming forms. Understanding the latency time as a production of the social bow, it cogitates that new transformations in the culture can extinguish it while constituent time. It points that breakings in the sustentation of the psychic work of the latency appear in some clinical formations as the intellectual inhibition and the pertaining to school phobia.

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