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Génération de polices d'imprimerie pour photocomposeuse digitale

Hourdequin, Marc 16 October 1978 (has links) (PDF)
Depuis quelques années, l' introduction de l' informatique dans l'imprimerie a renouvelé les techniques et les concepts de cette dernière. L'évolution s'est opérée suivant deux axes principaux : -développement de logiciels afin de faciliter la transmission, l'édition et l'archivage des textes destinés à être photocomposés. - développement de matériels pour améliorer les performances et les caractéristiques des machines de photocomposition. En ce qui concerne ce dernier axe, l 'amélioration des performances, en particulier la vitesse de composition, a été acquise au prix d'une diminution de la qualité typographique des caractères. Cette thèse propose une méthode permettant de remédier à cet inconvénient sans perdre sur les performances déjà obtenues. La difficulté du problème est liée aux paramètres suivants : - la finesse de définition d'un caractère dépend de la quantité d'information sur celui-ci. - la rapidité de composition dépend du nombre de données à traiter. De ce fait, elle varie en sens inverse de la finesse de définition. La solution adoptée est issue d'un compromis entre une compression d'informations (jeux de caractères digitaux pour la photocomposeuse) obtenue par des considérations linguistiques et numériques, et une rapidité de décodage obtenue par une architecture multiprocesseurs appropriée. Le problème est traité dans sa totalité, à savoir la définition des formes (encodage) et leur génération (décodage). Il en résulte de nombreuses applications intermédiaires ou dérivées : - création de jeux de caractères pour les photocomposeuses existantes. - création automatique de jeux de caractères dégradés pour l'impression des épreuves - stockage de courbes régulières sous forme condensée. -utilisation en dessin animé (coloriage par ordinateur de l'intérieur de contours complexes).
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L'oeuvre d'art à l'épreuve de sa reproduction imprimée

Bourget, Virginie Brogowski, Leszek. January 2008 (has links)
Thèse de doctorat : Arts. Pratiques et poétiques : Rennes 2 : 2007. / Version de diffusion sans illustrations. Bibliogr. f. 331-366. Index des noms propres. Annexes.
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Expériences de presse, Lyon 1870-1914 / Experiences of journalism, Lyon, 1870-1914

Jampy, Marc 11 April 2013 (has links)
Cette thèse est héritière de l’histoire de la presse qui s’est d’abord intéressée aux journaux puis aux journalistes. Cette étude, des journaux et en parallèle des journalistes, vise à combler un vide sur le journalisme de la presse périodique. Elle s’intéresse à la période 1870-1914, et analyse de façon critique ce qui est considéré comme l’âge d’or de la presse. Ce travail s’appuie sur des archives inédites, notamment les rapports de police qui ont été rédigés régulièrement sur les journaux et journalistes de Lyon à cette époque. En effet, si les contraintes politiques sur la presse diminuent, notamment avec la loi sur la liberté de la presse de 1881, la surveillance continue à Lyon. La liberté de la presse, avec les progrès techniques, l’alphabétisation, l’urbanisation, la publicité expliquent la hausse du nombre de journaux, de leur tirage et du nombre de personnes qui se rattachent à ces journaux. 1 725 titres parus durant cette période ainsi que 1130 individus ont été recensés. Ces journaux sont des plus divers par leur périodicité, leur tirage et leur sujet, des quotidiens, aux journaux militants, religieux, de loisirs, professionnels. Mais ils répondent tous à un nouveau besoin d’informer et d’être informé, de médiatisation. Ils ont aussi en commun d’être lancés par des jeunes hommes issus de la classe moyenne. Cette expérience permet à certains de devenir journalistes de quotidien et de connaître une ascension sociale à travers les duels, les décorations et l’appartenance à une association de journalistes. Pour la quasi-totalité d’entre eux cela reste cependant une expérience éphémère qui dure quelques semaines. / This doctoral thesis is in line with the history of the press which originally focused on newspapers and later on journalists. The research aims at filling a gap of information on the journalism of periodicals by studying newspapers and journalists simultaneously. It focuses on the years 1870-1914 and provides a critical analysis on the era which is often considered as the Golden Age of the press. The author’s work relies on archives that had not been exploited before, in particular on police reports dealing with journalists and newspapers, which were then made on a regular basis. Indeed, although political pressure on the press diminished after the 1881 freedom of the press act was passed, police surveillance remained active in Lyon. Freedom of the press, as well as technical progress, a higher literacy rate, urbanization and the rise of advertising account for an increase in the number of newspapers, their circulation and contributors. 1725 newspapers and 1130 journalists have been listed. Those newspapers varied in periodicity, circulation and topics, ranging from the daily to the activist, the religious or professional. However, they all fulfilled a new need to inform and be informed, of media coverage and they were all launched by young men from the middle class. The experience of journalism allowed some of those young men to become journalists in daily newspapers, to climb the social ladder by fighting duels, getting decorations or joining association of journalists. And yet, for most of them, journalism remained a short-lived adventure of a few weeks only.
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La dynastie Bonnart et les « bonnarts ». Étude d’une famille d’artistes et producteurs de « modes » / The Bonnart Dynasty and the « Bonnarts » : study of a Family of Artists and Fashion-Makers

Cugy, Pascale 02 July 2013 (has links)
Malgré la célébrité de certaines de ses estampes, consacrées à la mode et qui ont donné naissance à un genre appelé « bonnart », la dynastie Bonnart demeure peu connue. Ce travail vise à reconstruire l’histoire de cette famille parisienne et de ses deux boutiques de L’Aigle et du Coq, implantées rue Saint-Jacques. À l’étude de ses quatre générations succède l’analyse de la production de ses différents membres, qui furent imprimeurs, graveurs et marchands, mais aussi peintres et dessinateurs. Les Bonnart participèrent à des commandes royales et à la célébration du règne de Louis XIV tout en s’intéressant aux nouvelles tendances de l’art de leur temps. Notre catalogue comprend plus de 2 000 estampes, peintures et dessins ; il dessine un fonds qui dépasse largement les gravures de mode, résultant à la fois d’une activité de création et d’édition, comparable en bien des points à ceux de grandes familles contemporaines comme les Mariette ou les Poilly. Une grande partie de notre travail est ensuite consacrée à l’image de mode de la dynastie Bonnart, qui développe avec succès une formule influencée par les œuvres des Lepautre et de Jean Dieu de Saint-Jean. Ses membres profitent d’un intérêt général envers la mode, dont témoignent les articles du Mercure galant, et sont à l’origine de plusieurs innovations, en particulier celle du « portrait en mode ». Notre dernière partie revient quant à elle sur la réception et la fortune des Bonnart, depuis le XVIIe siècle jusqu’à aujourd’hui. Leurs images ont en effet largement été exploitées par les arts décoratifs, avant d’être considérées comme des documents historiques qui renseigneraient de manière fiable sur les mœurs de l’Ancien Régime et l’histoire du vêtement. / In spite of the fame of some of its engravings consecrated to fashion, which have given rise to a style called « bonnart », the Bonnart dynastie remains little known. This work aims to reconstruct the story of this Parisian dynasty and of its two boutiques « L’Aigle » and « Le Coq » established Rue Saint-Jacques. To the story of its four generations succeeds the analysis of the production of its different members that were printers, engravers and merchants, but also painters and designers. The Bonnart participated to royal orders and to the celebration of the reign of Louis XIV while interesting to the new tendencies of the art of their time. Our catalogue includes more than 2000 engravings, paintings and drawings ; it draws funds that pass widely beyond the « modes », resulting at once from an activity of creation and from an activity of edition, comparable in many aspects with those of great contemporaneous families such as those of the Mariette or of the Poilly families. A big part of our work, after that, is consecrated to the image of « mode » of the Bonnart dynasty that develops with success a formula influenced by the works of the Lepautre and of Jean Dieu de Saint-Jean. Its members profit by a general interest for fashion, shown in the articles of the « Mercure galant » ; they are at the origin of several innovations, in particular that of the « portrait en mode ». Our last part, as for it, come back to the reception and fortune of the Bonnart, from the 17th century until now. Their images have been, effectively, widely exploited by the decoratives arts, before being regarded as historical documents that would give valuable information about the customs of the Old Regime and the story of the clothing.
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Étude sur l'évaluation de l'exposition professionnelle aux produits chimiques dans le secteur de l'imprimerie

Bégin, Denis 12 1900 (has links)
Institut de recherche Robert-Sauvé en santé et en sécurité du travail
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Le bien public (1909-1978) : un journal, une maison d'édition, une imprimerie la réussite d'une entreprise mauricienne à travers ses réseaux

Roux-Pratte, Maude January 2008 (has links) (PDF)
Cette étude historique est consacrée au Bien public de Trois-Rivières. Fondé en 1909 par l'évêque de Trois-Rivières, Mgr F. X. Cloutier, Le Bien public est d'abord un hebdomadaire catholique, puis également une imprimerie. Lorsque la crise des années 1930 amplifie des difficultés financières déjà importantes, le journal trifluvien est menacé de faillite. L'abbé Albert Tessier, l'un des collaborateurs-vedettes, propose de léguer Le Bien public à Clément Marchand, poète de la relève qui écrit déjà dans le journal, et à Raymond Douville, ancien secrétaire de l'éditeur Albert Lévesque. Avec l'aide de Tessier, ils arrivent à garder en vie l'hebdo, mais aussi à développer le secteur éditorial et une imprimerie commerciale. Jusqu'en 1978, les Éditions du Bien public publient au moins 250 titres et l'Imprimerie du Bien public obtient des contrats d'impression importants du gouvernement du Québec et de nombreux éditeurs québécois, dont Fides, Fernand Pilon, le Boréal express et les Écrits des Forges. Quelques revues sortent également des presses du Bien public, notamment Horizons, Marie et les Cahiers des Dix. Plusieurs facteurs expliquent la longévité exceptionnelle du Bien public et son rayonnement à l'échelle de la province. Grâce à une diversité de sources, notamment la riche correspondance des trois dirigeants, j'ai voulu montrer le rôle clé des réseaux dans cette longue aventure. En effet, les contacts de Marchand, Douville et Tessier dans le milieu littéraire, au sein du gouvernement et dans le monde clérical, contribuent de façon significative à la réussite de l'entreprise régionale. Nous verrons que les réseaux des dirigeants se transforment au fil des ans. Pour mettre en évidence ces changements, la thèse suivra une progression chronologique. Plusieurs outils et stratégies d'analyse sont inspirés de la sociologie et des études littéraires. Dans le chapitre II, j'aborderai la première vie de l'entreprise, alors que celle-ci appartient à l'évêché de Trois-Rivières. Entre 1909 et 1933, Mgr F. X. Cloutier et la Corporation épiscopale vont tout tenter pour rentabiliser l'hebdomadaire catholique Le Bien public, que ce soit en achetant une imprimerie ou en créant une compagnie formée de clercs et de notables. C'est par dépit que le journal est finalement cédé à de jeunes laïcs, en septembre 1933. Ce chapitre présente également les personnages principaux de cette thèse, soulignant le bagage d'expériences et le capital social dont disposent Marchand, Douville et Tessier avant de revitaliser l'hebdo et de développer la maison d'édition associée. Le chapitre III se consacre au journal Le Bien public et au mensuel Le Mauricien/Horizons (1937-1939). Les nouveaux propriétaires, Marchand et Douville, utilisent leurs amitiés dans le monde des lettres pour revitaliser ces publications. Cette période est fort intéressante pour comprendre la vie d'un réseau fait de journalistes, de directeurs de revues, de poètes et d'éditeurs québécois qui s'écrivent, se réunissent régulièrement et s'échangent des services, jusqu'à ce que des conflits éclatent et dissipent finalement ce groupe d'individus, dans la seconde partie de la décennie. Le chapitre IV aborde les débuts des Éditions du Bien public, qui lancent en 1932 une série de 32 fascicules, les « Pages trifluviennes », sous la direction de l'abbé Albert Tessier. Il existe des liens étroits entre cette collection et le journal Le Bien public, qui lui fournit la moitié des auteurs et travaille à promouvoir l'histoire régionale à la veille des fêtes du tricentenaire de Trois-Rivières (1934). À cette époque, les Éditions du Bien public sont d'abord l'affaire de Tessier. C'est grâce à ses contacts qu'il peut enrichir rapidement son catalogue, publiciser sa collection dans plusieurs périodiques, financer et vendre les brochures. Le chapitre V, qui porte sur les années 1938 à 1959, présente l'Imprimerie du Bien public comme un tremplin pour l'entreprise. Dans la décennie 1940, Marchand et Douville, en plus de leur journal, s'occupent des nouvelles presses et apprennent le métier d'éditeur. L'abbé Tessier, devenu entre temps inspecteur des Écoles ménagères, cède sa place à ses protégés à la tête de la maison d'édition. Il demeure par contre l'un des principaux clients de l'imprimerie à titre d'éditeur délégué pour Fides. Dans les années 1950, l'imprimerie demeure fort occupée. Le gouvernement de Duplessis accorde un appui appréciable à l'entreprise. Les presses trifluviennes héritent aussi de la revue Marie et d'autres publications périodiques. Toujours dans l'après-guerre, Tessier dirige la collection « L'histoire régionale », avant de se retirer progressivement du milieu de l'édition. Le chapitre VI traite des deux dernières décennies de l'entreprise. En 1959, Marchand se retrouve seul aux commandes, même si ses anciens associés demeurent des acteurs importants de son réseau. À l'aube des années 1960, l'expertise de Marchand dans les domaines de l'imprimerie et de l'édition est bien connue. Il peut donc compter sur des poètes de la relève, en plus de conserver sa clientèle traditionnelle: les historiens amateurs et les clercs. Même si les Éditions du Bien public s'enrichissent de nombreux titres durant le règne solitaire de Marchand, l'entreprise vit davantage de ses presses que de l'édition et le journal connaît ses dernières heures. Cette thèse sur le Bien public se veut une contribution à l'histoire de la Mauricie et à l'étude des réseaux. Elle permet également d'enrichir l'histoire de la presse et de l'édition au Québec. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Histoire, XXe, Bien public, Édition, Imprimerie, Presse, Mauricie, Québec, Albert Tessier, Clément Marchand, Raymond Douville, Réseaux.
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La création artistique : le timbre-poste français gravé en taille-douce de 1928 à nos jours / Artistic creation : the French postage stamp engraved in intaglio from 1928 to the present day

Nowacka, Monika 12 January 2017 (has links)
Nombreux sont les artistes plus ou moins reconnus qui travaillent pour le compte de l’administration postale depuis 1928, année d'émission du premier timbre-poste français gravé en taille-douce. Cette technique, devenue le procédé par excellence de création des timbres-poste en France, se développa et connut des temps forts avec les années 1930 et jusque dans les années 1970. Tous les timbres-poste, à quelques rares exceptions, sont alors gravés par des artistes. Peu à peu, l’apparition de nouveaux procédés de fabrication, tels que l’héliogravure, l’offset et la gravure assistée par ordinateur, s’impose à la taille-douce traditionnelle. Aussi, le poinçon, plaque en acier qui sert de support au graveur, est progressivement remplacé par des procédés électromécaniques et photochimiques permettant d’obtenir des délais d’exécution et des coûts de fabrication bien moindres et sans doute mieux adaptés à des productions industrielles. Cette étude présente une analyse de l’évolution de l’art de la gravure, de sa place et de son rôle dans le domaine de la philatélie durant une période précise, de 1928 à nos jours. Le statut de l’artiste graveur et sa reconnaissance artistique évoluent au même titre que changent le statut de l’administration postale, sa politique et ses besoins liés aux exigences économiques du marché. L’examen approfondi des créations philatéliques, commandes régies par un cahier des charges strict ainsi que des conditions de travail et de l’investissement des graveurs de timbres face à leur métier, a permis de présenter les particularités esthétiques et plastiques de leurs travaux et de leur attribuer une place dans le domaine de l’art. / Many artists, some more famous than others, have worked for the postal administration since 1928, the year of the first issue of an engraved French postage stamp . This technique, which became the most important method of creating postage stamps in France, developed and reached a peak in the 1930s and continued until the 1970s. During this time all postage stamps, with few exceptions, were engraved by artists. Gradually, however, the emergence of new manufacturing processes, such as heliogravure, offset printing and computer-aided engraving, replaced traditional engraving. Also, the stamping device, a steel plate that served as a support for the engraver, was gradually replaced by electromechanical and photochemical processes making it possible to obtain much lower turnaround times and manufacturing costs and was probably better suited to industrial production. This study presents an analysis of the development of the art of engraving, its place and its role in Philately during a specific period, from 1928 to the present day. The status of the engraver and his artistic recognition changed along with the status of the postal administration, its policy and its needs in response to the economic demands of the market. The in-depth review of philatelic creations, orders governed by strict specifications, working conditions and the investment of stamp engravers in their craft, has made it possible to show the aesthetic and plastic features of their work and secure them a place in the art world.
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Les effets de trois variables typographiques sur le jugement de préférence d'étudiants adultes relativement à huit mises en pages

Chouinard, Michel 25 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2016
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Julien Macho et sa contribution à la vie culturelle de Lyon

Laneville, Charles 08 1900 (has links)
No description available.
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L’imaginaire de la typographie : objets et pratiques d’un appareil d’incarnation / The typography’s environment : objects and practices of an embodiment system

Vignon, Virginie 26 March 2014 (has links)
Objet de la vie quotidienne, la typographie est un produit socioculturel et un outil de délégation que l’homme place entre lui et le monde. Comment organise-t-il cette médiation ? Tel est l’enjeu principal de notre sujet.Située à la croisée de son faire et de son agir, elle est le résultat d’un processus cognitif dont les modalités de production et de circulation se fondent sur un principe de mise en relation communicationnelle d’ordre anthropogénique. En examinant l’étude de sa matérialité technique au regard de sa réalité culturelle, la typographie est autant envisagée comme un « appareil d’incarnation » – on parle de corps aussi bien pour la lettre que pour un texte – que comme creuset d’une pratique. À la fois instrument de perception et moyen d’action, elle permet, à l’échelle du caractère, l’invention typographique tout en donnant lieu à un double régime d’interprétations d’ordre technique et sémiotique. Si le parcours se déploie au cœur des pratiques de métiers liées à la conception de caractères et s’intéresse aux différents contextes d’énonciation typographique, il débouche sur une réflexion en réception, à propos des usages de la typographie, en tant que manipulation culturelle ouverte à tout un chacun, pour une ressaisie du monde. / As a daily life object, typography is a sociocultural product and transfer tool that people put between them and the world. How do they organize this mediation ? That is the main issue of our subject.At the crossroads of the doing and acting concepts, typography is the result of a cognitive process, which production and circulation’s methods are based on communication’s principles from the Henri Van Lier’s Anthropogeny. Studying its technical materiality according to its cultural reality, typography is considered as an “embodiment system” – in French, we call “body” the typeface as well as the text – and also as the crucible of this practice. As a sensitive agent and practical method, typography makes typeface invention possible while creating a double regime of interpretations based on its technology and semiotics. Whereas our words are related to trade practices which are then connected to type face design and various contexts of typographical enunciation resulting in a thought about reception. The fact is that uses linked to typography exist as cultural experiments accessible to all who desire it to challenge the world.

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