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La performance environnementale des entreprises et le risque de réputation : une approche axée sur le comportement

Chrétien, Samuel January 2016 (has links)
Un consensus peut être observé dans la littérature au sujet de l’augmentation du risque financier due à la mauvaise performance environnementale ainsi que la diminution du risque due à la bonne performance environnementale. Autant les chercheurs que les investisseurs s’entendent pour dire que la réputation de l’entreprise a un impact sur ses activités et sa performance. Les marchés financiers ajustent donc leur appréciation du risque des entreprises selon leur performance environnementale telle que mesurée par les cotes MSCI-KLD. Toutefois, est-ce que ces cotes sont véritablement liées au risque environnemental vécu par les entreprises? C’est la question de recherche abordée par ce mémoire. Plus spécifiquement, cette étude tente de déterminer si le niveau de performance environnementale d’une entreprise, telle que mesurée par la cote MSCI-KLD, a un impact sur sa probabilité d’expérimenter un événement environnemental, et donc sur sa réputation et son risque.
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De la responsabilité morale des investisseurs institutionnels : le cas du Régime de retraite de l'Université de Montréal

Bélanger, Philippe January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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Principaux obstacles à la décision d’investissement des firmes en Afrique

Youmbi, Michel Etienne 07 1900 (has links)
Quelles sont les contraintes auxquelles font face les firmes africaines ? Cette étude a pour but de cerner les principaux défis du climat des affaires africain en utilisant les données de la World Bank Enterprise Survey. Dans cette enquête, deux questions majeures ont été posées au gestionnaire de firmes : i) l’ampleur des contraintes énumérées pour leur activité et ii) la décision d’investissement durant l’année qui a précédé l’enquête. Nos résultats montrent que, pour les firmes de notre échantillon, la décision d’investissement est retardée par un ensemble d’obstacles parmi lesquelles : la corruption, l’accès difficile au marché financier, la concurrence déloyale du secteur informel et l’instabilité politique. Nous procédons ensuite à une analyse de sensibilité et de robustesse en intégrant parmi les variables de contrôle ; la taille des firmes, le secteur d’activité et leur localisation. Nos résultats montrent que les firmes de taille moyenne sont les plus vulnérables, elles sont différemment affectées selon qu’elles soient dans le secteur des manufactures ou celui des services et les compagnies situées en Afrique centrale sont très peu affectées par ces contraintes. / What are the constraints faced by firms in their decision making in Africa ? This study aims at understanding the main challenges of the climate for African affairs by using the World Bank Enterprise Survey database. In this survey, two important questions are asked to the firms' managers to highlight : i) the severity of the constraints and ii) the history of past investment decision. Our results show that firms' investment decision in the sample of African countries considered is impeded by severe obstacles among which corruption, tightness of financial market, unfair competition of the informal sector and the political instability. We perform robustness and sensitivity analysis by extending control variables to firm's size, sector and localization. Our results show that midsize firms are the most vulnerable, firms in the services and manufacturing sector are affected differently and companies in Central Africa are little affected by these constraints.
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Vertueux vs opportuniste, analyse de l'effet réputation sur la performance des entreprises américaines

Brochu, Maxime January 2017 (has links)
Les bénéfices que procurent une saine réputation sont multiples : avantage comparatif inimitable, certification de la qualité, productivité supérieure des employés, etc. À l’opposé, en plus de ne pas avoir accès à tous ces bénéfices, les entreprises ayant une réputation trop embryonnaire ou qualifiée de mauvaise sont souvent limitées dans leur potentiel de croissance par des contraintes législatives et sociales. S’appuyant sur ces observations, plusieurs chercheurs se sont intéressés à évaluer les impacts de la réputation sur la performance et sur le risque d’une entreprise. À ce titre, les résultats concernant la performance anormale divergent en fonction de la période analysée, la méthodologie et l’estimateur de la réputation employé (p. ex. Filbeck et al., 2013; Anginer et Statman, 2010). En revanche, plusieurs études constatent une relation significative entre la réputation et les deux types de risque d’une entreprise, soit le risque systématique et idiosyncratique (p. ex. Delgado-Garcia et al., 2013; Oikonomou et al., 2012). Dans le même ordre d’idées, ce mémoire vise à analyser l’effet réputation sur la performance des entreprises américaines. Pour ce faire, nous employons une approche inconditionnelle suivant la méthode de Fama et French (1993) et une approche conditionnelle suivant la méthode de Ferson et Schadt (1996) afin d’expliquer le rendement quotidien de cinq types de portefeuilles. La réputation est évaluée de manière fragmentée, soit par agrégat global, par aspect, par dimension et en combinaison complémentaire, à partir de la base de données MSCI-KLD. Nos résultats soutiennent la présence d’un effet de réputation pour le marché américain entre 2004 et 2014. Cela s’exprime par une performance supérieure des modèles d’évaluation d’actifs financiers intégrant des facteurs de risque relatifs à la réputation. Soulignons toutefois que l’ajout de variables instrumentales relatives à la réputation n’améliore pas de manière significative l’explication des modèles traditionnels.
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Analyse du capital social : expériences des personnes vivant avec le VIH

Niama, Ange 15 February 2013 (has links)
L‟analyse des expériences vécues par les personnes vivant le VIH offre une meilleure compréhension de la manière de vivre de celles-ci et du poids de la maladie qui touche simultanément les dimensions physiques, affectives, sociales et économiques des personnes directement ou indirectement concernées.La perte d‟utilité sociale à cause des stigmates, des exclusions et de la souffrance dus aux effets des traitements ou de la maladie constitue un coût dont les effets sur les trajectoires de maladie se traduisent par une régression de la qualité de vie des personnes séropositives. Le VIH, marqueur de la vulnérabilité du capital santé, du capital économique et du capital social, implique des efforts de gestion par les personnes atteintes, des contraintes de ressources pour faire face aux difficultés liées à la maladie. Dans cette situation, le capital social s‟impose comme alternative d‟investissement pour améliorer la qualité de vie avec le VIH.L‟objectif de ce travail est donc d‟étudier à travers l‟analyse des cas des personnes séropositives au VIH, leur investissement dans le capital social pour répondre aux exigences imposées par une vie avec une maladie chronique, stigmatisante, précarisante et transmissible.La méthodologie utilisée est une série de deux enquêtes (d‟un an d‟intervalle entre juin 2010 et décembre 2011) par entretiens approfondis auprès de trente personnes séropositives, habitant la ville de Marseille et ayant volontairement accepté de participer à l‟étude.La définition du capital social adoptée est celle de la théorie de l‟économie générale des pratiques de Pierre Bourdieu qui explique les actions et les intérêts des individus. Tout ceci, sans exclure la portée analytique de ce concept en santé publique sous ses trois formes à savoir le bonding, le bridging et le linking respectivement pour le soutien social, l‟appui ou la participation communautaire et l‟intervention institutionnelle. Le cadre conceptuel retenu, est le plus à même d‟être en cohérence avec la définition choisie. C'est-à-dire la théorie des functionnings et capabilities d'Amartya SEN qui montre les conditions d'analyse et d'optimalisation du bien-être général à partir de l'autonomie fonctionnelle du malade et la liberté de ce dernier de choisir ses modes de vie pour le gain de son utilité sociale.Les résultats de cette recherche montrent les traits originaux de l‟expérience individuelle avec le VIH. Ils vérifient l‟hypothèse selon laquelle le choc de l‟annonce de la séropositivité a été vécu comme la mort en sursis avec remise en cause toute idée de construire un projet d‟avenir pour les personnes infectées avant les années 1996 à cause de l‟absence des thérapies efficaces. En outre, ce travail soutient que les inégalités sociales et les difficultés vécues par les personnes séropositives sont en partie dues à la reproduction des facteurs de précarisation issus de leur milieu de vie dans l‟enfance. Ensuite, l‟investissement dans le capital social comme stratégie mise en oeuvre pour vivre normalement avec le VIH, bien que variant selon les ressources de chacun, constitue une option efficace d‟accès aux soins, à l‟information et à la prévention, tout en contribuant à l‟amélioration de la qualité de vie des personnes infectées. / The analysis of the experiences of people living HIV provides a better understanding of the way of living of the weight of the disease affecting at the same time the dimensions physical, emotional, social and economic of the persons directly or indirectly concerned.The loss of social utility because of the stigma, the exclusions and suffering due to the effects of the treatments or disease is a cost which the effects on the trajectories of disease result in a regression of the quality of life of people living with HIV. HIV, marker of the vulnerability of the capital health, social capital and economic capital, involves management efforts by individuals, constraints of resources to deal with the difficulties associated with the disease. In this situation, social capital is required as an alternative investment to improve the quality of life with HIV.The objective of this work is therefore to study through the analysis of the cases of HIV-positive people to HIV, their investment in the share capital to meet the requirements imposed by a life with a chronic illness, stigma, precarisante and communicable.The methodology used is a series of two surveys (one year interval between June 2010 and December 2011) by extensive interviews with thirty HIV-positive people, who live in the city of Marseille and who voluntarily agreed to participate in the study.The definition of social capital is that of the theory of Pierre Bourdieu practices general economy that explains the actions and interests of individuals. All this, without excluding the analytical scope of this concept in public health in its three forms namely the bonding, the bridging and linking respectively for social support, support or community participation and institutional intervention. The conceptual framework chosen, is the most likely to be in line with the chosen definition. That is the theory of functionnings and capabilities of Amartya SEN that shows conditions analysis and optimization of well-being from the functional autonomy of the patient and the freedom of the latter to choose its modes of life to gain its social usefulness.The results of this research show the original features of the individual experience with HIV. They verify the hypothesis that the shock of the announcement of seropositivity was experienced as death in conditional release in question any idea to build a project for the future for those infected before the 1996 because of the lack of effective therapies.In addition, this work supports social inequalities and the difficulties experienced by the HIV-positive are partly due to the reproduction of from insecure factors of the living environment in childhood. Second, investment in social capital as strategy implementation to live normally with HIV, although depending on the resources, is an effective option of access to care, education and prevention, while contributing to the improvement of the quality of life of infected people.
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Les stratégies des entreprises chinoises en Afrique : quels objectifs, quelle coopération ? / Strategies of Chinese firms in Africa : what targets, which cooperation?

Diaby, Fodé Siré 24 June 2014 (has links)
Au cours de ces trois dernières décennies l’économie chinoise a multiplié son PIB par 15. Pour soutenir une forte croissance interne et assurer ses approvisionnements en matière première et énergétique, la Chine s’est tournée vers l’Afrique en y augmentant rapidement et fortement ses investissements directs étrangers lors des dix dernières années. Deuxième partenaire commercial africain, investisseur stratégique, allié au développement et pourvoyeur financier, ce pays bouleverse les rapports de force qui s’étaient instaurés depuis les indépendances sur le continent. L’objet de ce travail est d’évaluer l’impact des IDE chinois sur le taux de croissance de 38 pays africains partenaire de la Chine entre 2003 et 2011. Nous avons articulé notre réflexion sur la question suivante : la coopération sino-africaine permet-elle aux pays africains de lutter contre la pauvreté, le chômage dans leur pays et surtout d’entamer un véritable processus de développement économique ? Pour répondre, nous avons analysé le mode de croissance chinois, les fondements de la politique africaine de la Chine, les raisons qui poussent les entreprises chinoises à aller investir en Afrique, les impacts politiques et économiques de la Chine en Afrique et enfin nous avons réalisé une étude empirique mesurant les effets des IDE chinois en Afrique. Nos résultats économétriques montrent que les IDE chinois n’ont pas d’effet significatif sur le PIB par tête de ces 38 pays africains, notamment à cause de la politique des entreprises chinoises en Afrique qui encourage les investissements dans les secteurs qui créent moins d’emploi local et qui ne permettent pas de vrai transfert de technologie. / For the last three decades, the Chinese economy has multiplied it GDP by 15. In order to maintain a strong home economical growth and insure a constant supply of raw material and energy, China turned towards the African continent by quickly and firmly multiplying its foreign direct investments during the last ten years. By becoming the second largest business partner of Africa, as well as a strategic investor, a financial supplier and associated for the development; China has now overturned the balance of powers which had been established since the decolonization of Africa. The purpose of this study is to estimate the impact of the Chinese FDI on the growth rate of 38 African countries between 2003 and 2011. We have centred our reflection on the following questions: What are the impacts of the economical cooperation between China and African countries on poverty, unemployment and; does this cooperation encourage the possibility to start a real process of economic development in Africa? In order to come to a conclusion on this matter, we have analyzed the way through which China achieves economical growth, the foundations of China’s African Policy, as well as the reasons for Chinese companies to invest in Africa and the political and economical impacts of China’s Policy in Africa. Finally, we led an empirical study measuring the effects of the Chinese FDI in Africa. Thanks to our econometric study, we came to the conclusion that the Chinese FDI has no significant effect on the GDP per capita of these 38 African countries. Because they are invested in sectors which end up creating less local employments and which, eventually do not allow a real transfer of technologies …
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Les choix stratégiques des firmes multinationales et la relation entre les exportations et les IDE : application d’un modèle Probit bi-varié, et d’un modèle de gravité dynamique aux pays Méditerranéens / The strategic choice of the multinational firms and the relationship between exports and FDI : application of bivariate probit model, and dynamic gravity model in the Mediterranean area

Sabra, Mahmoud 07 July 2011 (has links)
Dans cette thèse, nous discutons la relation entre les exportations et l’IDE, et tentons de trouver une relation de long terme entre ces variables. Dans cette analyse, nous étudierons tout d’abord de manière empirique les déterminants des exportations et des l’IDE, à la fois au niveau micro et macro. Ceci nous permettra par la suite de détecter plus précisément la relation entre ces deux variables. Plus précisément, cette thèse comporte les points suivant : Au niveau micro (niveau de la firme), les multinationales sont susceptibles de mettre en œuvre les deux activités (exportations et IDE) pour servir les marchés étrangers, mais les choix stratégiques des multinationales permettent aussi de choisir entre exportations et IDE. Sur ce point, la productivité des entreprises multinationales ainsi que leurs autres caractéristiques ont un rôle crucial pour éclairer le mécanisme de choix entre les stratégies et la relation entre exportations et investissements. Ceci fera l’objet de la première partie qui proposera une application au cas français. Dans cette partie, nous distinguerons également les décisions stratégiques en fonction de la taille de l’entreprise (très grandes ou grandes entreprises françaises). Au niveau macro, nous chercherons à identifier les déterminants simultanés des exportations et des IDE. Pour se faire, un système gravitaire dynamique bivarié sera estimé afin d’éclairer le rôle de ces déterminants et la relation entre exportations et IDE. Ceci fera l’objet de la seconde partie, qui sera appliquée aux échanges entre la France et dix partenaires euro-méditerranéens. Le choix de ces pays s’appuie sur l’importance qu’ils revêtent dans les échanges français. Par ailleurs, l’absence de littérature appliquée à ces pays dans ce domaine constitue une motivation supplémentaire. / In this thesis, we discuss the relationship between exports and FDI, and we aim to find a long-term relationship between these variables. In the course of the thesis analysis, we study empirically the exports and FDI determinants, at macro and micro analysis. This allows us to detect precisely the relationship between the both variables. In other words, this thesis carry out the following points: at micro level (company level), the multinationals are likely to implement the two activities (exports and FDI) to serve the foreign market, but the multinationals strategic choice can also choose between exports and FDI. On this point, the productivity of the multinational corporations and their other characteristics have a crucial role to clarify the mechanism of the choice between strategies and the relationship between exports and FDI. In fact, this is the first empirical part, which is the first similar application on the French companies. In the part, we also distinguish between strategic decisions based on company on the company size (large, very large and both groups of French enterprises).At the macro level, we will seek to identify the simultaneous determinants of exports and FDI. To do so, a gravity system is estimated bivariate dynamic equations to illuminate the role of these determinants and the relationship between exports and FDI. This is the second empirical part, which is applied on the capital and goods exchange between France and ten Mediterranean partners. The choice of these countries based on their importance in French trade. Moreover, the lack of the literature applied to these countries in this area is extra motivation.
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Stratégies de localisation et organisation des firmes multinationales en Europe / Essays on the location strategies of multinational firms in Europe

Sami Chehata Ayad, Mina 03 November 2016 (has links)
La littérature sur les investissements directs étrangers a considérablement progressé au cours des deux dernières décennies (Antràs & Yeaple, 2013). Le rapport de la CNUCED sur les investissements de 1998 indique que les firmes multinationales suivent une grande variété de stratégies d’internationalisation. Plusieurs études théoriques ont étudié ces nouvelles stratégies (ex. : colocalisation des activités, agglomération géographique des projets d’une firme, et les stratégies complexes). Néanmoins, les travaux empiriques existants ne traitent pas la séquence d’implantation des multinationales comme un phénomène dynamique dans l’espace et le temps. Notre étude suppose que la localisation des firmes multinationales n’est pas un processus statique. Quand le niveau de la production augmente, l'entreprise prendra de nouvelles décisions organisationnelles afin de maintenir son niveau de productivité et de garantir l'efficacité de son processus de production. / The literature of foreign direct investment has been characterized by a significant progress in the last two decades. According to the World investment report (UNCTAD, 1998), different strategies are set by multinational firms in their internationalization process. Some theoretical studies highlighted the relevance of these new strategies (e.g. co-location of activities, geographic agglomeration within firm boundaries and complex strategies). However, most of the empirical works study the location of the multinationals as if they were to be undertaken once and overlook the dynamic extension of the firms over location and time. Our study assumes that the location decision is not a static process, but when the level of the production increases, the firm will take some new organizational decisions in order to maintain its productivity level and guarantee the efficiency of its production process.
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L'interventionnisme fiscal : impôt et investissement direct étranger dans les pays en développement : Le cas de l'Egypte / Fiscal policy intervention : tax and foreign direct investment in developing countries : the cas of Egypt

Mohamed Taha, Inas 20 December 2012 (has links)
La présente recherche porte sur l'étude de l'aménagement de la fiscalité égyptienne en faveur de l'investissement direct étranger et l'adaptation du régime fiscal au contexte de compétitivité mondiale. La compétitivité, notion d'origine privée, semble aujourd'hui être l'objectif à court terme permettant à l'État d'atteindre le degré de croissance économique nécessaire afin de réaliser son objectif à long terme de développement. L'État doit être en mesure d'orienter le capital privé vers les domaines stratégiques dans le cadre d'un plan de développement, notamment dans les pays en développement. En effet, en raison de la faiblesse de l'épargne nationale dans les PED, le capital étranger, notamment celui dirigé vers des projets d'investissement direct, représente un intérêt fondamental. En Egypte, depuis 1952 et jusqu'à 1970, la politique économique nassérienne avait une tendance socialiste et la fiscalité ne constituait pas un outil important d'interventionnisme étatique. En 1971, l'Égypte adopte une idéologie économique libérale et rend ainsi au capital privé étranger et à l'outil fiscal leur importance au sein de la politique économique égyptienne. En effet, l'adhésion de l'Égypte à l'économie de marché, et à un nombre important d'accords internationaux et régionaux, limite le nombre d'outils d'intervention étatique auquel l'État peut avoir recours sans constituer un obstacle à la libre circulation des capitaux, des marchandises et des services. L'idéologie libérale permet à l'interventionnisme fiscal d'avoir un statut important au sein des outils d'interventionnisme étatique. L'orientation de l'IDE vers les domaines stratégiques dépend de la manifestation de la souveraineté fiscale de l'État à travers les législations fiscales. Cette recherche retrace le développement de la fiscalité égyptienne et de la politique d'incitation fiscale des IDE, tout en expliquant l'intérêt et les limites du recours à l'instrument fiscal. La décision d'implantation d'investisseur étranger dans un pays d'accueil ne dépend pas uniquement de l'élément fiscal mais surtout du contexte économique favorable dans ce pays. Ce contexte est influencé par le régime fiscal dans son ensemble mais aussi par le climat social et politique. La politique fiscale égyptienne doit établir un équilibre entre l'objectif de profit du capital privé et l'objectif de développement de l'Égypte. Pour les pays en développement, en plus de l'apport financier, l'IDE trouve son importance dans le transfert de technologie et la création d'emplois, qui permettent d'améliorer le contexte économique et d'attirer davantage l'IDE. Un PED doit planifier sa politique envers les IDE en fixant les objectifs stratégiques qui correspondent aux facteurs d'amélioration du contexte économique. Cette amélioration crée un cercle vertueux en augmentant l'attractivité du pays envers l'IDE. Pour conforter ce raisonnement, le FMI a récemment effectué un revirement idéologique en émettant une réserve au sujet de sa règle fondamentale de la libre circulation des capitaux. Il a déclaré qu'un contrôle des flux de capitaux est nécessaire et que la liberté non conditionnée des flux de capitaux peut présenter des risques notamment pour les pays dont le contexte économique est déjà en difficulté. / This research focuses on the elaboration of Egyptian fiscal policy in favor of Foreign Direct Investment and adaptation of the tax system with global competitiveness. As a notion of private origin, competitiveness seems to be the short-term goal for the country to achieve the level of economic growth needed to achieve its long-term development. A country should be able to direct private capital to strategic sectors under a development plan, especially in developing countries. Due to weaknesses of the domestic resources in developing countries, foreign capital, especially that directed towards direct investment projects, is fundamental. Since 1952 and until 1970, economic policy in Egypt had a socialist Nasserite bias and taxation was not considered as an important tool for state intervention. In 1971, Egypt adopted a liberal economic ideology, thus recognizing the significance of foreign private capital and taxes in the Egyptian economic policy. Egypt hence followed the market economy, and joined a large number of international and regional agreements, which have limited the tools of state intervention without being obstacle to the free movement of capital, goods and services. Such liberal ideology allows the fiscal tools to have an important status in the state's intervention. The orientation of FDI to strategic sectors depends on the fiscal sovereignty of the state through tax laws. This research traces the development of Egyptian taxation and tax incentive policy of FDI, while explaining the benefits and limitations of using fiscal instruments. The decision to relocate foreign investors in a hosting country depends not only on the tax component but also the favorable economic environment in the country. This context is influenced by the tax system as a whole but also the social and political climate. Egyptian tax policy must strike a balance between rendering profit of private capital and the development plans. For developing countries, in addition to financial support, FDI is important in transferring technology and creating employment, which can improve the economic environment and attract more FDI. A developing country should plan its policy towards FDI by establishing strategic objectives that correspond with improving its economic environment. This is an improvement in increasing the country's attractiveness to FDI. Aforementioned position is also illustrated in IMF recent decision to alter its ideology regarding its fundamental rule of free migration of capital. Stating that control of capital flows is necessary and that unconditioned freedom of capital flows may present a risk especially for countries whose economies are already in trouble.
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Institution et investissement : impact de l’environnement institutionnel sur l’entrée d’IDE au Cambodge / Institution and investment : impact of the institutional environment on FDI inflow in Cambodia

Chan, Narith 17 May 2011 (has links)
Dans le cadre de la Nouvelle Economie Institutionnelle, Douglass C. North a développé une nouvelle approche théorique des institutions pour donner une nouvelle explication au développement économique. L’une des explications est celle du déterminant institutionnel des IDE. En prenant le Cambodge comme champ d’étude, cette thèse a pour objectif de participer à la vérification empirique de la relation entre institution et IDE, en montrant que l’environnement institutionnel relativement peu solide du Cambodge décourage les investisseurs. Actuellement, le Cambodge demeure une option pour les entreprises qui cherchent une localisation pour s’implanter, mais les risques associés à ces investissements liés à son encadrement légal et règlementaire perçus par les firmes étrangères restent parmi les inquiétudes. Les réformes institutionnelles n’ont alors pas seulement pour buts de rendre à la société un ordre public juste et des services publics appropriés et efficace, mais aussi de favoriser les investissements directs étrangers dont le rôle dans le développement est déjà confirmé. / As part of the New Institutional Economics, Douglass C. North, has developed a theory of institutions as a new approach to the economic development study in which institutions play a key role. According to this theory, the presence of a strong institutional environment accelerates the development process; among the explanation, the determinant role of the institutional environment for FDI. Taking Cambodia as field of study, this dissertation tends to provide more evidence of this institution-FDI relation by showing that the relatively weak institutional environment in Cambodia discourage foreign investors. With its advantages, the kingdom is perceived by foreign firms as an attractive option for investment, but the investment risks resulting from the country’s legal and regulatory framework perceived by foreign firms, are among the concerns. Thus, the institutional reforms are not only used to give to society the public order, the adequate and effective public services with rule of law but also to promote foreign direct investments whose role in development has already confirmed.

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