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De la responsabilité morale des investisseurs institutionnels : le cas du Régime de retraite de l'Université de Montréal

Bélanger, Philippe January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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De la responsabilité morale des investisseurs institutionnels : le cas du Régime de retraite de l'Université de Montréal

Bélanger, Philippe January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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L'éthique de l'entreprise peut-elle constituer un objectif managérial pertinent ? La formalisation de l'éthique dans l'entreprise : la confusion du vrai et du bien

Kletz, Pierre 01 September 1997 (has links) (PDF)
Le management consiste en l'élaboration des méthodes et des moyens permettant aux organisations d'atteindre leurs buts. Parallèlement, l'éthique de l'entreprise semble constituer de plus en plus un objectif pour celle-ci. Ainsi apparaissent les deux défis majeurs que ce double constat sous-tend quant à la pertinence de considérer l'éthique comme un objectif managérial : il s'agit pour le management à la fois de trouver les moyens de faire progresser l'éthique des organisations et d'articuler cet objectif avec les objectifs plus généraux des entreprises notamment ceux liés à la nécessité de générer un profit. La triple synonymie de l'adjectif pertinent a guidé le processus de structuration de la recherche en trois niveaux d'analyse. En effet, pour démontrer qu'il est "pertinent", l'objectif que représente l'éthique de l'entreprise doit être : - approprié (constituer un objectif approprié aux conditions dans lesquelles se trouve l'entreprise), ce qui conduit à développer une réflexion à l'échelle de l'environnement; - judicieux (constituer un objectif judicieux, i.e. bien choisi quant à son contenu), ce qui conduit à développer une réflexion à l'échelle de l'entreprise; - influent (constituer un objectif influent, i.e. qui détermine, au moins en partie, les actions des salariés), ce qui conduit à développer une réflexion à l'échelle de l'acteur. Notre recherche tente de mettre en exergue l'importance de ce dernier niveau d'analyse tenant à la difficulté d'anticiper l'influence d'une éthique sur les acteurs, difficulté qui est généralement minorée. En revanche, elle conduit à soutenir que les oppositions explicites qui marquent les différentes approches théoriques de ce champ ne se traduisent pas par des démarches pratiques notablement différentes. Pour cela, la thèse, s'articule en deux parties. La première partie pose un cadre théorique. A cette fin, la revue de la littérature établit que l'éthique est avant tout assimilée à un objectif intermédiaire au service des objectifs économiques de la firme, ce qui confère une pertinence ; la démarche managériale visant à la faire progresser. Dans ces analyses, il apparaît que les arguments développés oscillent entre une approche dogmatique (il s'agit de se soumettre aux devoirs dictés par les grandes lois du monde moral qui, à l'exemple des lois de la physique, sont supposées s'appliquer en tous temps et en tous lieux) et une approche sophistique (dans laquelle les valeurs éthiques, loin de constituer des absolus, s'évaluent à leurs résultats concrets). En outre, l'éthique s'appréhende alors par la connaissance, elle devient un savoir contribuant à évaluer la façon dont les organisations fonctionnent et à orienter les comportements et les choix, ce qui peut l'assimiler à un instrument de gestion. Face à cette approche, un paradigme antagonique considère que si l'éthique de l'entreprise constitue un objectif il ne peut s'agir que d'un objectif final et que sa poursuite peut impliquer de restreindre l'éventail des actions admissibles. Ainsi si la réussite économique et la pureté éthique ne sont certes pas incompatibles, elles sont ici indépendantes. L'opposition entre ces deux logiques étant patente, l'hypothèse selon laquelle elles engendrent des politiques d'entreprise en faveur de l'éthique différentes constitue la base du travail de terrain qui a pour but de vérifier ou non si ces deux approches sont en vigueur. La seconde partie, empirique, est menée à partir de l'étude de deux cas. Le premier est celui d'une entreprise mettant en place un code d'éthique à la suite du rachat d'un concurrent. Trois séries d'entretiens recueillis par sténotypie ont été menées pour comprendre d'abord pourquoi ce code était bien un objectif managérial et ensuite comment il avait été reçu par le personnel. Les entretiens ont donné lieu à des analyses de concurrences pour extraire la logique de leur démarche éthique. Les résultats montrent que jamais l'éthique ne semble recherchée pour elle-même, ses effets supposés sur la réussite économique étant sans cesse explicites ou affleurant dans le discours. Contrastant avec ces effets supposés, les entretiens menés auprès des membres du personnel ont montré leur réserve, soit qu'ils ne considèrent pas la démarche comme relevant de l'éthique soit qu'ils considèrent que face à une question éthique seules leurs valeurs personnelles sont décisives. Le second cas a nécessité l'utilisation d'une méthodologie empruntée à certains travaux sociologiques (la " sociologie du présent ", théorisée par E. Morin) qui a permis l'étude d'une organisation à la période précise où un dilemme éthique étant posé. Il fait apparaître que la politique de celte entreprise en faveur de l'éthique est essentiellement conçue comme une recherche de compatibilité entre les actions des membres de l'entreprise. Aussi, peut-elle s'accommoder de l'adoption de valeurs exigeantes limitant l'éventail des pratiques admissibles du moment qu'elle contribue à assurer la cohésion entre ses membres. Mais si l'entreprise cherche à encourager les régularités grâce à l'éthique, l'effet de celle-ci reste problématique car elle conduit les acteurs à " inventer" des réponses en situation: la personne perçoit avant tout un impératif éthique comme un appel à la responsabilité et l'éthique peut au contraire diminuer le contrôle que les organisations exercent sur leurs membres
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Formalisation de l'éthique au sein des entreprises : étude du design des outils éthiques des firmes multinationales / Formalization of ethics within firms : study of the design of multinational corporations' ethical tools

Ben Khaled, Wafa 22 November 2016 (has links)
Cette thèse analyse le processus de formalisation de l’éthique dans les entreprises. L’objectif est de comprendre comment les entreprises transposent et matérialisent par des outils un concept aussi intangible et mal défini que celui de l’éthique des affaires. Une collecte de données qualitatives variées (entretiens, observation, données secondaires, archives) au sein de cinq firmes multinationales françaises a été réalisée et a fait l’objet d’une analyse inductive (Strauss et Corbin, 1990). Ce travail révèle alors que l’absence de définition complète et tangible d’une éthique pour les entreprises est un problème aisément contourné par une volonté de conformité. En simplifiant alors le processus en y intégrant uniquement des aspects légaux, les entreprises créent des incohérences internes telles que l’isomorphisme des outils éthiques, des luttes idéologiques et identitaires entre les designers de l’éthique mais également une gestion de l’éthique qui s’apparente à de la gestion des risques et de l’incertitude. A travers l’éthique, il est possible d’entrevoir une orientation judiciaire et légale du management appelée judiciarisation Ainsi, en s’intéressant à la manière dont ils sont pensés et conçus, cette thèse s’inscrit dans la lignée des nombreux travaux sur les outils de régulation de l’éthique et leur efficacité. / This thesis analyzes the formalization process of ethics within firms. The goal is to understand how companies transpose and materialize by tools an intangible and unclear concept such as business ethics. A collection of varied qualitative data (interviews, observation, secondary data, archives) within five French multinational corporations was conducted. An inductive qualitative study (Strauss and Corbin 1990) uncovered several characteristics of the formalization process of ethics. This works reveals why the vague definition of business ethics is not an issue for companies. As they wish to comply, they simplify the process by mainly considering ethics under a legal aspect. Doing so, companies create internal inconsistencies such as isomorphism of ethical tools, ideological and identical struggles between designers of ethics and a tendency to manage ethics as they manage risk and uncertainty. Through ethics, it is possible to foresee a judicial and legal orientation of management called ‘judicialization’. By studying how ethical tools are conceived and designed, this argument is in line with numerous studies on their regulatory power and effectiveness.
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La corporate governance : droit du pouvoir économique : approche française. Perspectives malgaches / Corporate Governance : law of economic power : French approach. Malagasy prospects

Behaja, Jerry Tohaina 12 July 2016 (has links)
Avec les scandales financiers à répétition (Maxwell, Polly Peck, Enron…) qui se sont succédé dans le milieu des sociétés cotées notamment au Royaume-Uni et aux États-Unis depuis les années 1980, le droit des sociétés n'a eu de cesse de vouloir contenir et endiguer ces dérives de l'usage d'un pouvoir bien particulier : celui des dirigeants sociaux des grandes entreprises cotées. Mais le constat est amer pour le droit des sociétés : sa faiblesse voire sa relative impuissance face à ce pouvoir que nous qualifions d' « économique », ont entraîné l'émergence d'un droit nouveau : la corporate governance. Mais ce droit qui ne rentre pas dans les catégories du droit connues, ne procède pas d'un ordre de contrainte : il relève d'un ordre juridique négocié. Nous aurons à démontrer en quoi cette corporate governance est aujourd'hui devenu un véritable système juridique, pour l'heure sui generis. En tant que système juridique, la corporate governance ne doit plus être vue comme un « infra-droit » ou seulement un droit souple, mais comme un véritable droit tout simplement : celui du pouvoir économique. / With repeating financial scandals (Maxwell, Polly Peck, Enron…) that have occurred and followed one another in the environment of listed companies in particular in the United Kingdom and in the United States since the 1980s, corporate law has never stopped wanting to contain and to curb these drifts and excesses of the use of a very particular power: that of executives and managers of large listed companies. But the report is bitter for corporate law: its weakness even its relative powerlessness facing this power that we describe and consider to be « economic », have led to the emergence of a new law: corporate governance. But this law which does not fit into the known categories of law, does not proceed of an order of constraint: it is a matter of a negotiated legal order. We shall have to demonstrate in what this corporate governance has become a real legal system today, for the moment sui generis. As a legal system, corporate governance should no longer be seen as a « sub-law » or only a soft law, but as a real and genuine law simply: that of the economic power.
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Entre insouciance et souci de l'autre - L'éthique du care dans l'enseignement en gestion

André, Kévin 05 September 2013 (has links) (PDF)
La présente thèse envisage la contribution de l'éthique du care à l'enseignement en gestion, notamment dans le contexte des grandes écoles françaises. Notre étude porte sur le programme d'égalité des chances " Pourquoi pas moi ? " (PQPM), mis en place depuis dix ans par l'ESSEC et fondé sur l'institutionnalisation de l'engagement bénévole des étudiants en tant que tuteurs auprès de lycéens issus de milieu modeste. Ce type de programme est analysé comme une occasion de créer des relations de care avec les tutorés et comme une stratégie pédagogique pertinente pour développer l'éthique du care des tuteurs. Les résultats mettent en évidence que les relations tissées entre les tuteurs et les tutorés ont les caractéristiques d'une relation de care. Cette expérience a un impact sur la capabilité des étudiants à créer d'autres relations de care. On observe notamment un impact sur l'engagement ultérieur des anciens tuteurs dans des actions solidaires. Ces résultats suggèrent également que le tutorat est une modalité particulièrement pertinente pour développer l'empathie cognitive, considérée comme la capacité à se mettre à la place d'autrui. Cette recherche a selon nous des implications pratiques non seulement pour les établissements d'enseignement supérieur mais également, de manière plus générale, pour les systèmes éducatifs, les systèmes de soin et les organisations de quelque nature qu'elles soient. Ces travaux invitent à considérer l'éthique du care comme un cadre théorique particulièrement pertinent pour dépasser l'opposition entre l'économique et le social, entre l'intérêt personnel et l'intérêt général, entre les affaires et l'éthique des affaires.
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Rivalité et marchés : une éthique adversative pour les agents économiques

Martin, Dominic Carl 01 1900 (has links)
Thèse réalisée en cotutelle avec l'Institut supérieur de philosophie, Université catholique de Louvain. / L’argument de cette thèse est le suivant : dans la rivalité, un agent peut tenter de satisfaire ses préférences aux dépens de celles des autres si cela permet de produire des bénéfices sociaux impossibles à produire autrement (et si ces comportements ne causent pas des torts trop grands). Développer cet argument équivaut à développer une éthique adversative, c’est-à-dire une formulation de la moralité dans des contextes comme une compétition sportive ou un procès. Cette éthique sera développée et appliquée aux comportements des agents économiques dans les marchés économiques. On répondra à deux questions. La première question porte sur le design de nos institutions sociales. On peut façonner une institution en ayant recours à un schème adversatif, c’est-à-dire un pattern d’interactions sociales remplissant sa fonction par une dynamique de rivalité. Quand est-il désirable d’avoir recours à ce type de schème? Il est désirable si le rapport entre sa fonctionnalité et ses torts est 1) acceptable et 2) comparativement préférable aux autres schèmes. Ces deux conditions forment un test (développé dans le premier chapitre). Le marché réussit ce test (deuxième chapitre). Dans un schème adversatif, on doit avoir la permission de se comporter de manière adversative. Mais cette permission ne s’applique pas à l’extérieur du schème ou à l’intérieur de schèmes non adversatifs incorporés (comme une entreprise dans un marché ou une équipe dans une compétition sportive). Superposées l’une à l’autre, ces deux limites créent une division tripartite ou une tripartition de la moralité applicable à un agent économique. Cette tripartition permet d’éviter certains problèmes du modèle de la primauté des actionnaires et de la théorie des parties prenantes (troisième chapitre). La deuxième question porte sur la moralité à l’échelle individuelle. Comment doit-on se comporter dans un schème adversatif? Il faut incarner l’idéal de la rivalité bénéfique, ce qui implique 1) de contenir ses comportements adversatifs à l’intérieur du schème, 2) d’en respecter les règles et 3) d’adopter des comportements permettant au schème de réussir le test (quatrième chapitre). Cet idéal évite certains problèmes avec l’idéal de la saine concurrence de Joseph Heath et l’idéal de la concurrence positive de Lynn Sharp Paine (cinquième chapitre). / The argument of my thesis can be summarised as follows: in the context of rivalry, an agent may attempt to satisfy his or her preferences at the expense of other agents’ preferences if this generates social benefits that could not be generated otherwise (without producing too much harm). This argument leads to an adversarial ethics, that is, a description of our moral obligations in contexts like a sport competition or a trial. This ethics will be developed and applied to the behavior of economic agents in the market. I will address two main questions. The first question focuses on the design of our social institutions. An adversarial scheme is a pattern of social interactions that fulfills its function through a dynamic of rivalry. Parts of our institutions can be modeled as adversarial schemes. When is it desirable to use these schemes? It is desirable if the balance between the scheme’s functionality and harms is 1) acceptable and 2) preferable by comparison with other schemes. These two conditions yield a test. The test is developed in the first chapter. The second chapter argues that the market passes this test. An agent must be allowed to adopt adversarial behaviors in an adversarial scheme. But this permission does not apply to his or her behavior outside the scheme or inside non-adversarial incorporated schemes (like a firm in the market or a team in sport competitions). These two criteria, once combined, yield a threefold distinction or a tripartition of the moral obligation of economic agents, which solves some of the problems with the shareholder primacy view and the stakeholder theory. The tripartition and its implications are presented in the third chapter. The second question focuses on our moral obligations at the personal level. How ought we to behave in an adversarial scheme? In the fourth chapter, I argue that we ought to adopt the ideal of beneficial rivalry, which implies that we ought to: 1) contain our adversarial behaviors inside the scheme, 2) respect the scheme’s rules and 3) adopt a behavior that will allow the scheme to pass the desirability test (developed in the first chapter). The fifth chapter argues that this ideal avoids some of the problems with Joseph Heath’s ideal of healthy competition and Lynn Sharp Paine’s ideal of positive competition.
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Rivalité et marchés : une éthique adversative pour les agents économiques

Martin, Dominic Carl 01 1900 (has links)
L’argument de cette thèse est le suivant : dans la rivalité, un agent peut tenter de satisfaire ses préférences aux dépens de celles des autres si cela permet de produire des bénéfices sociaux impossibles à produire autrement (et si ces comportements ne causent pas des torts trop grands). Développer cet argument équivaut à développer une éthique adversative, c’est-à-dire une formulation de la moralité dans des contextes comme une compétition sportive ou un procès. Cette éthique sera développée et appliquée aux comportements des agents économiques dans les marchés économiques. On répondra à deux questions. La première question porte sur le design de nos institutions sociales. On peut façonner une institution en ayant recours à un schème adversatif, c’est-à-dire un pattern d’interactions sociales remplissant sa fonction par une dynamique de rivalité. Quand est-il désirable d’avoir recours à ce type de schème? Il est désirable si le rapport entre sa fonctionnalité et ses torts est 1) acceptable et 2) comparativement préférable aux autres schèmes. Ces deux conditions forment un test (développé dans le premier chapitre). Le marché réussit ce test (deuxième chapitre). Dans un schème adversatif, on doit avoir la permission de se comporter de manière adversative. Mais cette permission ne s’applique pas à l’extérieur du schème ou à l’intérieur de schèmes non adversatifs incorporés (comme une entreprise dans un marché ou une équipe dans une compétition sportive). Superposées l’une à l’autre, ces deux limites créent une division tripartite ou une tripartition de la moralité applicable à un agent économique. Cette tripartition permet d’éviter certains problèmes du modèle de la primauté des actionnaires et de la théorie des parties prenantes (troisième chapitre). La deuxième question porte sur la moralité à l’échelle individuelle. Comment doit-on se comporter dans un schème adversatif? Il faut incarner l’idéal de la rivalité bénéfique, ce qui implique 1) de contenir ses comportements adversatifs à l’intérieur du schème, 2) d’en respecter les règles et 3) d’adopter des comportements permettant au schème de réussir le test (quatrième chapitre). Cet idéal évite certains problèmes avec l’idéal de la saine concurrence de Joseph Heath et l’idéal de la concurrence positive de Lynn Sharp Paine (cinquième chapitre). / The argument of my thesis can be summarised as follows: in the context of rivalry, an agent may attempt to satisfy his or her preferences at the expense of other agents’ preferences if this generates social benefits that could not be generated otherwise (without producing too much harm). This argument leads to an adversarial ethics, that is, a description of our moral obligations in contexts like a sport competition or a trial. This ethics will be developed and applied to the behavior of economic agents in the market. I will address two main questions. The first question focuses on the design of our social institutions. An adversarial scheme is a pattern of social interactions that fulfills its function through a dynamic of rivalry. Parts of our institutions can be modeled as adversarial schemes. When is it desirable to use these schemes? It is desirable if the balance between the scheme’s functionality and harms is 1) acceptable and 2) preferable by comparison with other schemes. These two conditions yield a test. The test is developed in the first chapter. The second chapter argues that the market passes this test. An agent must be allowed to adopt adversarial behaviors in an adversarial scheme. But this permission does not apply to his or her behavior outside the scheme or inside non-adversarial incorporated schemes (like a firm in the market or a team in sport competitions). These two criteria, once combined, yield a threefold distinction or a tripartition of the moral obligation of economic agents, which solves some of the problems with the shareholder primacy view and the stakeholder theory. The tripartition and its implications are presented in the third chapter. The second question focuses on our moral obligations at the personal level. How ought we to behave in an adversarial scheme? In the fourth chapter, I argue that we ought to adopt the ideal of beneficial rivalry, which implies that we ought to: 1) contain our adversarial behaviors inside the scheme, 2) respect the scheme’s rules and 3) adopt a behavior that will allow the scheme to pass the desirability test (developed in the first chapter). The fifth chapter argues that this ideal avoids some of the problems with Joseph Heath’s ideal of healthy competition and Lynn Sharp Paine’s ideal of positive competition. / Thèse réalisée en cotutelle avec l'Institut supérieur de philosophie, Université catholique de Louvain.
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Le concept de finalité pour éclairer le travail du manager : une lecture philosophique à partir du cas de la Française des Jeux / The concept of purpose to enlighten the manager’s work : a philosophical interpretation based on the Française des Jeux case

Guéry, Bernard 23 November 2015 (has links)
Ce travail a pour but de montrer quelles logiques de la finalité sont en jeu dans le travail du manager. Nous avons distingué deux façons d’aborder la finalité. La première, proche des notions d’objectif, d’intérêt, d’utilité, constitue le soubassement des façons d’aborder classiquement le travail du manager. Nous avons fait émerger, en nous appuyant sur la pensée d’Aristote, Thomas d’Aquin, et Spaemann, une conception alternative de la finalité, qui diffère de l’objectif et de l’intérêt en ce qu’elle n’est pas construite. Ce concept de finalité permet de voir autrement trois dimensions essentielles du travail du manager : le management par objectif, le faisceau d’exigences contradictoires dont le manager est le point focal, et le dilemme qui se pose à lui entre éthique et efficacité. Enfin, une enquête de terrain permet de montrer que cette logique alternative de la finalité, rattachée à l’éthique des vertus, trouve une certaine place dans le discours des managers de la FDJ, aux côtés du conséquentialisme, qui consacre l’acception utilitaire de la finalité, et du déontologisme qui évacue le recours à la finalité. / This thesis aim is to show which notion of purpose is at stake in the manager’s work. It differentiates two ways to address the concept of purpose. The first one, close to the notions of objective, interest, utility, forms the foundations of a classical vision of the manager’s work. However, a second one, based on Aristotle, Thomas Aquinas and Spaemann’s philosophies, arose. This alternative conception differs from objective and interest as it is not elaborated by the subject. It allows a different view on three essential dimensions of the manager’s work: the management by objectives, the body of contradictory requirements that built up on the manager and the dilemma between ethics and efficiency. Finally, a field survey showed that this alternative conception of purpose, linked to virtue-based ethics, has a certain place in the FDJ’s managers’ message, together with consequentialism, which expresses the utilitarian conception of purpose, and deontological ethics, which evacuates any purpose.
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Éthique des affaires et conformité : de la gestion des risques à une culture d’entreprise

Alvarado Granados, Keren Dayana 05 1900 (has links)
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