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Les pourparlers de paix entre Rome et les Barbares le long du limes rhéno-danubien de 337 à 375 / Peace Negotiations between Rome and Barbarians along the Rhine and Danube

Mbadinga, William Charlis 04 September 2012 (has links)
Malgré le redressement accompli par les Tétrarques et Constantin, les relations avec les barbares restent un problème essentiel pour Rome. En témoignent les 25 séquences de pourparlers de paix engagés le long du limes rhéno-danubien entre la mort de Constantin (337) et celle de Valentinien (375). Après une typologie des circonstances dans lesquelles s’engagent ces pourparlers, la thèse analyse la façon concrète dont ils se déroulent. Ils s’organisent en deux étapes : premiers contacts par l’intermédiaire de délégués puis cérémonie de conclusion de la paix. Tout se passe en général dans le barbaricum, quand les barbares, impressionnés par l’adversaire, terrorisés par les ravages subis ou vaincus, envoient des délégués au camp romain pour solliciter la paix. Les sources les présentent en suppliants, mais loin de faire leur deditio, ils viennent discuter les clauses de la paix. Lors de la deuxième phase, chefs et guerriers doivent se livrer à une supplicatio, rappelant le rituel de deditio. Puis ils jurent de respecter la paix et fournissent des otages en garantie. En échange, Rome offre sa fides probablement par un traité (foedus), qui fait du chef barbare un « client », à qui est sans doute remis un document écrit. Deux fois la cérémonie dérape et se termine par le massacre des barbares. Plus rarement, les pourparlers se déroulent dans l’Empire, alors que les barbares y sont encore. Rome se contente alors d’obtenir leur départ (sans conclure semble-t-il de foedus), ou accepte leur deditio et renonce à les expulser. Enfin, quand Rome accepte de conclure la paix en terrain neutre en 369 et en 374, et de traiter le barbare en « ami », c’est le signe d’une détérioration du rapport de forces entre les deux parties, dont les effets se font sentir en 376 quand Valens doit accepter l’entrée des Wisigoths dans l’Empire. / Despite the recovery achieved by the Tetrachs and Constantine, relations with the barbarians remained an essential problem for Rome, as illustrated by the 25 sequences of peace talks within the Rheno-Danubian limes that happened between the death of Constantine (337) and Valentinian (375). After understanding the circumstances in which these negotiations were undertaken, the thesis analyzes in a concrete way the involvement of actors. These talks were held in two stages: the contacts with the envoys on the one hand; an ending ceremony on the other. In general, everything took place in barbaricum: impressed by the enemy, terrorized by the sustained ravages, or beaten, the barbarians sent their envoys to the Roman camp in order to solicit peace. The sources present the barbarians as supplicants, but far from doing their deditio, they came to discuss peace clauses. During the second phase, chiefs and warriors had to engage in a supplicatio, a procedure that reminds the deditio ritual. Then, they swore to respect peace clauses, supplying hostages as a guarantee. In exchange, Rome offered its fides likely in the form of a treaty (foedus) making barbarian chiefs "clients". A written document was probably given. It happened only twice in the given period that this ceremony ended with the massacre of the barbarians. Less often, the talks took place in the Roman Empire, while the barbarians were still present. In this case, Rome contented itself with getting their departure (apparently without concluding a foedus), or accepting their deditio and renouncing their expulsion. The sign of the deterioration of the balance of power between the two parties came finally in 369 and 374, when Rome accepted to conclude peace on a neutral ground, treating barbarians chiefs as « friends ». The effects of these peace talks were felt in 376, when Valens had to accept Wisigoths’s entry into the Roman Empire.
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L'eau dans les politiques d'aménagement et dans la construction territoriale en Isräel (1880-2000) / The role of water in development policies and the territorial construction of Israel (1880-2000)

Benfredj, Daniel 21 June 2012 (has links)
Le sujet de l'eau et du territoire en Israël, est au coeur de la problématique actuelle de ce pays. Comment l'eau a-t-elle façonné les politiques d'aménagement du territoire en Israël ? Comment est-elle devenue un facteur décisif de développement et de paix régionale ? Sujet essentiel de la formation et de l'aménagement du territoire de ce pays, c'est l'eau qui sera le facteur de paix déterminant de toute la région. II m'a semblé intéressant de travailler cette question car elle rend compte de la situation actuelle de la ressource, c'est-à-dire d'une gestion de plus en plus intégrée et durable des eaux du Jourdain, avec ses implications multiples pour Israël et ses voisins. De plus, une analyse diachronique de la gestion de la ressource est en mesure de retracer l'évolution des politiques d'aménagement du territoire israélien A ce titre, l'étude de la vallée de Beth Shean et du cours du Harod, affluent de rive droite du Jourdain, offre un exemple de l'évolution de l'aménagement du territoire et de la maîtrise de l'eau. Il conviendra de s'interroger sur la validité" de cet exemple de gestion de la ressource et de se demander s'il a permis un développement harmonieux et durable de la région. Cet exemple a été très proche du modèle d'aménagement du territoire en Israël, et il a répondu à l'objectif de construction d'un Etat neuf et à une gestion intégrale de la ressource. Qu'advient-il de ce mode de gestion aujourd'hui ? Peut-il répondre aux besoins d'une population toujours plus nombreuse ? Ne faut-il pas envisager une gestion durable de la ressource afin de satisfaire les besoins de tous et de générer la paix et la liberté pour les peuples de la région ? / The issue about water and territory is the heart of the present problem in this country. How has water shaped the development policies in Israël? How has it become a decisive factor of regional development and peace? As the essential cause of territory and regional development in this country, water will be a determining peace factor in all the area. It seemed to me interesting to analyze this question as it explains the present resources situation, which means a more and more integrated and sustainable management of the Jordan water, with its numerous implications both for Israël and for its neighbors. Moreover, a diachronic analysis of the resource management is liable to relate the israelian territory political development evolution. On this account, the analysis of Beth Shean valley and of the Harod stream, an affluent of Jordan River right bank, gives an example of the territory development evolution and of water control. We should point out the question about the validity of the management of resource in this example and wonder whether it has allowed a harmonious and lasting development of the area. This example was very close to the model of national territory development in Israël and it corresponded fits the aim for the building of a new state and total resource management. What happens to this type of management today? Can it cope with the needs of an ever-growing population? Isn't necessary to envisage a sustainable management of the resources to meet with the needs of all and generate peace and freedom for the people in this area?
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« Les sages ialousies ». La diplomatie française en Italie à l’époque de Richelieu et Mazarin (1635-1659) / « Les sages ialousies ». The Italian Diplomacy of France in the time of Richelieu and Mazarin (1635-1659)

Blum, Anna 19 November 2010 (has links)
Cette thèse étudie les différents aspects de la diplomatie française en Italie, pendant la période française de la guerre de Trente ans, puis pendant la guerre franco-espagnole (1635-1659). Les gouvernements de Richelieu et de Mazarin accordent une grande attention aux événements et enjeux péninsulaires. L'Italie n’est pas alors vue comme un ensemble d’Etats disparates, mais comme le lieu d’une unique géopolitique coordonnée. La première partie de ce travail s’attache à suivre les vicissitudes militaires et politiques de la présence française en Italie. La guerre contre l’Espagne et la construction de nouvelles alliances diplomatiques représentent la préoccupation constante des agents français ; des crises italiennes viennent surajouter leurs propres logiques aux enjeux européens du conflit entre les deux Couronnes. La guerre civile piémontaise, la guerre de Castro, la révolte de Naples représentent des épisodes majeurs dans lesquels les Français interviennent, malgré les réticences des princes italiens. Dans une seconde partie, les pratiques de la négociation sont étudiées. Le rôle de l’écrit et de la langue diplomatique, les difficultés à faire transiter les objets matériels que sont les dépêches d’une cour à l’autre sont évoqués. Les réseaux de parenté et de clientèle dans lesquels se trouvent impliqués les diplomates apparaissent comme des clefs de lecture intéressantes pour décrire les carrières des individus négociateurs. Loin d’intéresser un tout petit cercle de personnes, la diplomatie implique des personnages divers mais nombreux au sein des cours italiennes et française : les informations transitent, de même que les pensions et autres gratifications. Enfin, les princes italiens et leurs maisons sont étudiés. Entre les promesses et les menaces formulées par les couronnes, leurs choix sont dictés par des facteurs complexes et variables. / This doctoral thesis studies France’s diplomacy in Italy between 1635 and 1659, that is, during the French period of the Thirty Years war and the Franco-Spanish war. The governments of Richelieu and Mazarin survey the peninsular events and ventures with great attention. Italy is not seen as an ensemble of separate states, but as a single geopolitical entity. The first part of this work follows the military and political vicissitudes of the French presence in Italy. The war against Spain and the shaping of new diplomatic alliances in Italy are the constant source of preoccupation for the French representatives in the peninsula. In this context, however, several Italian crises come to add their own logic to the endeavours of the two opposing Crowns. The civil war in Piedmont, the war of Castro and the revolt of Naples are major episodes in which the French interfere notwithstanding the reluctance of the Italian princes. In the second part, the general practices used in the negotiations of the time are considered. The status of written messages, the characteristics of the diplomatic language and the difficulties sending letters from one court to another are brought up. The family links and clientele relations in which the diplomats are engaged form an essential element to the understanding of the careers of the individual negotiators. Far from concerning only a small circle of persons, diplomacy involves a number of different types of personage in both the French and Italian courts: information flow must be guaranteed as well as the payment of pensions and other remunerations. Finally, the Italian princes and their Houses are also studied. Between the promises and threats by the Crowns, the princes’ choices are made in function of a complex and variable set of factors.
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Les empereurs et les cités de l’Afrique Proconsulaire, de la Numidie et des Maurétanies (Césarienne et Tingitane), de Trajan à la Tétrarchie / The Emperors and the Towns of roman Africa, Numidia and Mauretanies ( Caesarean and Tingitana), from Trajan to Tetrarchy

Obiang Nnang, Noël Christian-Bernard 27 September 2008 (has links)
Les empereurs romains ont toujours manifesté un intérêt particulier pour les provinces pouvant permettre la préservation de la Roman way of life. Pour ce qui est de l’Afrique romaine, les empereurs, pour y arriver, n’y ont promu, au départ, que les membres des grandes familles des cités d’Afrique, qui pouvaient servir de relais à l’administration romaine. Finalement, l’édit de Caracalla viendra harmoniser les statuts juridiques, en octroyant la civitas romana à tous les habitants libres de l’empire. Les inscriptions font état de beneficia per indulgentia imperatoris (directs), attestant la présence surplace d’empereurs dans les itinéraires, mais aussi ex auctoritate (indirects), par le biais de leurs représentants. Grâce à ces beneficia, les Africains romains pouvaient atteindre les hautes magistratures, et ainsi exprimer leur fides et leur obsequium. Mais la présence et l’action des empereurs ont souffert de contestations, tempérées par des colloquia, surtout en Numidie et dans les Maurétanies. / The Roman emperors always showed a particular interest for provinces which can allow the conservation of Roman way of life. As for Roman Africa, reports (connections) between the emperors promoted it, at first, only the members of the big families of the towns of Africa which had had a prestigious past, and which could serve relay to the Roman administration. Finally, the edict of Caracalla will come to harmonize the legal statuses (statutes), by granting the civitas romana to all the inhabitants free of the empire. The registrations (inscriptions) state beneficia per indulgentia imperatoris (expresses), giving evidence of their surplace presence in routes, but also ex auctoritate (indirect), by means of their representatives. Thanks to these beneficia, the Roman Africans could reach (affect) the high judiciaries, and so express their fides and their obsequium. But the presence and the action (share) of the emperors suffered from contestings, moderated by colloquia, especially in Numidie and in Maurétanies.
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La diplomatie traditionnelle des Atègè du Gabon / Traditional diplomacy Atègè of Gabon

Mouandjouri, Catherine 22 June 2015 (has links)
Mon étude porte sur la diplomatie en Afrique, elle vise notamment l'analyse du phénomène diplomatique dans les sociétés traditionnelles d’Afrique centrale. En partant de l’exemple des Atègè du Gabon, je m’intéresse aux mécanismes de prévention et de résolution des conflits dans l’Afrique précoloniale et de la transposition desdits mécanismes dans le contexte actuel. En effet, l’Afrique est perçue aujourd’hui comme un continent « non- diplomatique » c’est-à-dire comme le continent de la guerre et des conflits armés. J’aborde les rapports entre les sociétés traditionnelles d’Afrique, dans une perspective nouvelle, qui réfute l’idée répandue par des nombreux auteurs et observateurs selon laquelle les rapports entre ces sociétés ont toujours été conflictuels. L’idéologie de la violence en Afrique mérite d’être abordée et observée avec un regard éclairé. Pour reprendre une expression chère à Marc Augé, je dirai que la situation de conflits en Afrique contemporaine est un « non-lieu », dans le sens où les transformations excessives des conflits modernes ne sont ni l’apanage, ni le propre de l’Afrique ; elles appartiennent à la modernité. J’ajouterai au concept « non-lieu », celui de « politique » pour signifier le « non-lieu politique » car la transformation majeure de la politique africaine se dessine dans les années 1950, au lendemain de la seconde guerre mondiale. Après des siècles de domination coloniale, ce continent se caractérise par les États affaiblis héritiers de frontières coloniales artificielles et d’oppositions entre groupes linguistiques. L’Afrique est par conséquent dans un non-lieu politique ; l’africain n’a plus de lieu anthropologique politique, il vit l’organisation politique et sociale comme une donnée de l’extérieur qui s’est imposée à lui sans tenir compte des réalités. Le lieu offre à chacun un espace qu'il incorpore à son identité, dans lequel il peut rencontrer d'autres personnes avec qui il partage des références sociales. Cependant, l’africain oscille entre la vie politique traditionnelle autochtone et la vie politique occidentale qui lui est imposée et dont il ignore les mécanismes d’appropriation. L’intérêt de mon étude réside dans la contestation de la vision internationale des conflits dans laquelle les notions de paix et de stabilité territoriale en Afrique ont ignoré la dimension anthropologique locale dont l’importance est incontestable de nos jours. Dans un souci de lutte collective contre les conflits en Afrique, l’étude présente une piste d’analyse sur la recherche de la paix, en faisant intervenir l’importance de la culture et de la civilisation africaines comme moyens efficaces de stabilité politique dudit continent. / My study focuses on diplomacy in Africa, it seeks in particular the analysis of the diplomatic phenomenon in traditional societies of Central Africa. Based on the example of Atègè group in Gabon, I am interested in the mechanisms of prevention and resolution of conflicts in pre-colonial Africa and transposition of the said mechanisms in the current context. Indeed, Africa is seen today as a "non-diplomatic" continent that is to say, as the continent of war and armed conflicts. I discuss a new perspective of relationship between traditional African societies, which disproves the notion spread by many authors and observers that the relationship between those societies have always been conflicting. The ideology of violence in Africa needs to be addressed and observed with a watchful eye. To borrow an expression dear to Marc Augé, I will say that the situation of conflict in contemporary Africa is a "no-place", in the sense that excessive transformations of modern conflicts are neither confined nor own by Africa; they belong to modernity. I would add to the concept of "no-place", that of "politics" to mean the "political no place" because the major transformation of African politics is emerging in the 1950s, after the Second World War. After centuries of colonial rule, the continent is characterized by weakened states heirs of artificial colonial borders and ethnic opposition. Africa is therefore in a political dismissal; African politics has no anthropological place, the political and social organization being imposed on him without even considering its realities. The anthropological place offers everyone a space that incorporates identity, where one can meet other people with whom they share social references. However, the African vacillates between the traditional Aboriginal politics and the Western political life that is imposed on him and of which he ignores the mechanism of appropriation. The significance of my study is to challenge the international vision of conflicts in which the notions of peace and stability in Africa have ignored local anthropological dimension whose importance is indisputable at the present time. In The sake of collective struggle against conflicts in Africa, the study provides an analysis Track on search of peace, involving the importance of culture and of African civilization as an effective means of political stability of the said continent.
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Les mécanismes de gestion des conflits dans l'espace aquitain au haut Moyen-Age (VIII-XIIe siècle) / The settlement of disputes in early medieval Aquitania (VIIIth-XIIth centuries)

Viaut, Laura 22 June 2018 (has links)
Le premier Moyen Âge a longtemps souffert d’une mauvaise réputation, celle d’être une période sombre et particulièrement violente. À l’appui de nouvelles grilles de lecture, la recherche a entrepris, au cours des dernières décennies, une réévaluation de sa justice. Mais ce champ d’études est encore lacunaire, et plus encore pour l’Aquitaine. La présente étude s’attache donc à reconstituer ses cadres institutionnels et sociétaux entre le début de la période carolingienne et la fin du XIIe siècle. Une étude d’anthropologie historique du droit permet, à partir de cas concrets, de démontrer les mécanismes par lesquels les conflits pouvaient être gérés, tout en dégageant les évolutions majeures qui s’observent dans les sources. Appréhender la justice altimédiévale passe par la reconstitution des structures, des procédures judiciaires et des stratégies sociales alors déployées pour trouver une solution aux différends. Il apparaît bien vite que les juges se sont appliqués à donner des réponses aux litiges en privilégiant les accords et la paix, plus que la coercition. Leur action se situe à la croisée du droit, du social et du religieux. Dans cette perspective, il est nécessaire de regarder le Moyen Âge, non pas du dehors avec des yeux modernes, mais du dedans pour comprendre les logiques qui en soutiennent toute la structure. Cette analyse donne l’occasion de mettre en lumière les manuscrits juridiques aquitains, dont une partie est encore inédite, pour reconsidérer l’efficacité de la justice altimédiévale. / The first Middle Ages have a bad reputation, because we think that the period is dark and particularly violent. A new scientific vision has emerged during the last few decades. We can now evaluate the exercise of justice. But this approach is incomplete, especially for Aquitaine. This thesis therefore aims to reconstitute its institutional and societal frameworks between the beginning of the Carolingian period and the end of the twelfth century. A study of historical anthropology of law allows, from concrete cases, to demonstrate the mechanisms by which conflicts could be managed, while highlighting the major evolutions that are observed in the sources. To understand altimedial justice, we must reconstruct structures, judicial procedures, social strategies. It is clear that judges have privileged agreements and peace. In this perspective, it is necessary to look at the Middle Ages, not from outside with modern eyes, but from within. This analysis provides an opportunity to highlight the legal manuscripts of Aquitaine, and to question the effectiveness of justice of the High Middle Ages.
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An?lise da influ?ncia da criatividade e da paix?o empreendedora sobre a inten??o empreendedora de estudantes universit?rios

Bignetti, Bernardo 19 March 2018 (has links)
Submitted by PPG Administra??o e Neg?cios (ppgad@pucrs.br) on 2018-04-17T22:34:13Z No. of bitstreams: 1 BERNARDO_BIGNETTI_DIS.pdf: 2422202 bytes, checksum: 7ff2ea2047312383a1581709cc3eaa34 (MD5) / Approved for entry into archive by Caroline Xavier (caroline.xavier@pucrs.br) on 2018-05-04T18:23:48Z (GMT) No. of bitstreams: 1 BERNARDO_BIGNETTI_DIS.pdf: 2422202 bytes, checksum: 7ff2ea2047312383a1581709cc3eaa34 (MD5) / Made available in DSpace on 2018-05-04T18:24:14Z (GMT). No. of bitstreams: 1 BERNARDO_BIGNETTI_DIS.pdf: 2422202 bytes, checksum: 7ff2ea2047312383a1581709cc3eaa34 (MD5) Previous issue date: 2018-03-19 / Entrepreneurship has a great impact on society, creating jobs and fostering regional economic development. In the social and cognitive psychology literature, intentions have been known as a good predictor to a planned behavior, such as the intention to become an entrepreneur. Thus, the Social Cognitive Theory, by Bandura (1986), has been used to expand the understanding on human actions and/ or intentions to act which are influenced by the interaction between cognitive and personal factors and environmental circumstances. Due to the complexity inherent to the study of entrepreneurship and entrepreneurial intentions, other factors and different contexts affecting the antecedents of entrepreneurial intentions are needed to be examined. As such, the impact of entrepreneurial passion and creativity on entrepreneurial intention, in a developing South American country, like Brazil, could be explored. Hence, this work has aimed to analyze the relationship between creativity and entrepreneurial passion on entrepreneurial intention, using the framework of the Social Cognitive Theory. A quantative research method was adopted, conducted through a survey of university students at PUCRS, from two different graduation courses and approaches: i) business management (managerial approach) and ii) computer science (technical approach). In all, 338 valid responses were obtained, which were analyzed through structural equation modeling technique, enabling the validation of the theoretical model proposed and the test of five hypothesis. The results showed both a direct and indirect positive relationship between entrepreneurial passion on entrepreneurial intention. Regarding the creativity factor, results indicated only an indirect effect of creativity on entrepreneurial intention, being this relationship mediated through selfefficacy. In addition, results indicated no significant differences when examined in relation to age, gender, type of course, entrepreneurial family background, role models, risk propensity and family income. However, in relation to the course progress, a possible difference in the relation between creativity and self-efficacy was observed in the model examined. This work contributes, from a practitioner point of view, in underlining the university?s role, through courses and workshops, in increasing the self-efficacy among graduates students, as well as stimulating the individual passion to become an entrepreneur, in order to expand entrepreneurial intention. From a theoretical point of view, this work supports existing literature on the positive impact that creativity and entrepreneurial passion have on entrepreneurial intentions, especially considering the mediator role of self-efficacy. Also, it validates a theoretical model based on the Social Cognitive Theory in a developing South American background, Brazil. / O empreendedorismo possui grande impacto para a sociedade, criando empregos e propiciando o desenvolvimento econ?mico regional. Anterior ao ato de empreender, existe a inten??o de empreender, sendo reconhecida como um relevante propulsor do comportamento empreendedor e muito investigada a partir da perspectiva da psicologia social e cognitiva. Por contemplar as rela??es entre o comportamento individual, o meio externo e os fatores cognitivos e pessoais, a Teoria Social Cognitiva tem sido usada para ampliar a compreens?o da a??o humana e/ou da inten??o de agir, sendo, por esse motivo, utilizada na investiga??o da inten??o empreendedora. Observa-se, no entanto, que devido ? complexidade inerente ao estudo do empreendedorismo e da inten??o de empreender, outros fatores e contextos antecedentes ? inten??o empreendedora s?o demandados. Como exemplo, cabe destacar os poss?veis efeitos da paix?o empreendedora e da criatividade na inten??o empreendedora, no contexto de um pa?s sul-americano em desenvolvimento, o Brasil. Deste modo, o presente trabalho teve como objetivo analisar a rela??o existente entre a criatividade e a paix?o empreendedora sobre a inten??o de empreender, usando a perspectiva da Teoria Social Cognitiva. Para tanto, foi realizado uma pesquisa quantitativa, com coleta de dados a partir de uma survey aplicada para estudantes universit?rios da PUCRS, provenientes de duas gradua??es de enfoques distintos, uma gerencial (Administra??o) e outra t?cnica (Inform?tica). Foram obtidas 338 respostas v?lidas, as quais foram analisadas por meio da t?cnica de modelagem de equa??es estruturais, sendo validado o modelo de mensura??o proposto e efetuado o teste de cinco hip?teses. Os resultados apontaram para uma rela??o direta e indireta da paix?o empreendedora na inten??o empreendedora dos estudantes. No tocante ? criatividade, os resultados indicaram uma rela??o indireta, via autoefic?cia, com a inten??o empreendedora. Cabe destacar, igualmente, que as rela??es propostas no modelo n?o demonstraram diferen?as significativas entre a idade, o g?nero, o curso, a presen?a de pais empreendedores, o referencial profissional, a propens?o ao risco e a renda. Por outro lado, no quesito associado ao andamento do curso foi observado uma poss?vel diferen?a na rela??o da criatividade com a da autoefic?cia. Esse trabalho contribui, do ponto de vista pr?tico, por destacar a import?ncia da universidade, por meio de cursos e especializa??es, em aumentar a autoefic?cia nos estudantes universit?rios, al?m de despertar e estimular a paix?o por empreender, de modo a encorajar a inten??o empreendedora estudantil. Do ponto de vista te?rico, o presente trabalho forneceu suporte ao impacto da criatividade e da paix?o empreendedora na inten??o de empreender, em especial considerando a media??o da autoefic?cia, validando um modelo com base na Teoria Social Cognitiva na conjuntura brasileira.
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Rave-o-lution et appareillages de sécurité en Occident : Résonances 24 heures

Castagner, Marc-Olivier 08 April 2019 (has links)
Cette thèse propose de s’intéresser aux tensions entre la société occidentale contemporaine et le phénomène social, musical et dansant qu’est le rave. Plus spécifiquement, elle s’intéresse aux acteurs, enjeux et dynamiques de ce qui sera appelé le « conflit rave-o-lutionnaire ». Pour mener à bien cette exploration - qui, par défaut, devient une intervention vers sa pacification -, elle part d’une simple mais riche réflexion menée récemment par le théoricien des peace studies Wolfgang Dietrich : un conflit – ses acteurs, enjeux, dynamiques – ne se comprend qu’en comparant les « images » de la paix qui y flottent. Si l’image moderne et l’image morale, offertes en ouverture, sont les plus connues, permettant au lecteur de se faire une idée de l’histoire du conflit et de sa trame dramatique, leur position polémique, pour qui tient à l’apaisement, ne peuvent être suffisantes. Le « conflit » ne peut être seulement qu’une opposition, au nom de la « sécurité », entre l’hégémonie néo-libérale et ses « résistants », ni être une lutte, au nom de la « justice », entre les tenants de l’individualisme et les tenants de la communauté. Ce n’est que dans l’image post-moderne, développée avec les outils post-structuralistes, que la thèse s’accélère, brouille les pôles et offre, en termes musicaux, un « breakthrough ». Le « conflit » y apparaît être une infinité de polémiques spatialisées, incluant les ravers eux-mêmes, quant à la « vérité sur l’harmonie ». Le dernier mouvement termine l’exploration avec une réconciliation. Par l’image trans-rationnelle, élaborée par Dietrich et adaptée avec la sphérologie de Peter Sloterdijk, la thèse révèle l’ambition, des deux côtés, de supporter la si fragile et si atmosphérique expérience de l’harmonie. Le « conflit » se présente, à son fondement, comme une affaire de gestion climatique qui, nécessairement, sera localisée et ponctuelle.
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Les études stratégiques en France sous la Ve république : la structuration d'un champ disciplinaire au service d'une politique / Strategic studies in France During the 5th Republic : the Structuration of a Disciplinary Field in the Service of a Policy

Chillaud, Matthieu 15 June 2018 (has links)
Il y a une dynamique des contraires dans la politique de l’État, en France, pour promouvoir les études stratégiques : d’une part, il semble régulièrement soucieux de les développer ; de l’autre, tout aussi invariablement, il parait tâtonner pour y parvenir, voire parfois leur refuser la liberté nécessaire. Caractérisées tant par la pratique inconstante des instituts de recherche et des organismes gouvernementaux que par une insertion problématique au sein de l’Université, les études stratégiques sont à l’interface de l’étude des guerres, de la paix et des conflits, et s’incarnent de manière hautement fragmentée dans une kyrielle de disciplines plus ou moins connexes. Cet éclectisme explique pour partie les difficultés rencontrées, parmi d’autres raisons comme l’omniprésence de l’État, la puissance des réseaux, ou l’héritage du contexte de l’après-Guerre d’Algérie après que le général de Gaulle a imposé une orthodoxie doctrinale. En combinant profondeur de champ historique et analyse politique, cette thèse, historiographique et cartographique, se propose de passer en revue les nombreux organismes, instituts et périodiques qui travaillent et publient, de près ou de loin, dans le domaine des études stratégiques, ainsi que d’expliquer les raisons pour lesquelles, malgré un passé brillant, ces dernières peinent à trouver leurs marques. Les travaux des centres de type think tank, structures dont la création, de surcroît, est récente dans le paysage stratégique français, ont, pendant longtemps, et même dans une certaine mesure encore maintenant, souffert d’une certaine déconsidération des pouvoirs publics en matière de réflexion et d’expertise sur les questions militaro-stratégiques en dépit d’un discours de l’État laissant croire l’inverse. Cette problématique, conjuguée , d’une part, à une difficulté de dialogue entre les universitaires et les militaires, et, d’autre part, à la particularité de l’objet de recherche des études stratégiques qu’est celle de la guerre qui commande une approche multidisciplinaire alors même que notre système universitaire est caractérisé par des exigences mono disciplinaires, expliquent les obstacles pour que les études stratégiques se développent dans l’alma mater. / There has been a dynamic of contraries in the French State’s policies when it comes to promoting strategic studies : while its officials often seem willing to see it flourish, they no less often give the impression that they are unsure of how to achieve that end – or worse, reluctant at times to grant them free rein. Characterized by the practice of research institutes or government organizations, as well as by an insecure footing in academia, strategic studies is at the interface of a myriad related and overlapping disciplines and remains highly fragmented. Such eclecticism partly explains the problems encountered – among other factors, the ubiquity of the State, the power of networks, or the legacy of the post-Algerian War period when General de Gaulle imposed doctrinal orthodoxy. By combining a long-term historical perspective and political analysis, this doctoral dissertation aims to review the numerous organizations, research institutes and journals involved, however indirectly, in the field of strategic studies, as well as to explain why, despite a glorious past, it still has to find its bearings. Think tanks – very recent structures within the French strategic landscape – were, and to a certain extent are still nowadays, discredited by public authorities in terms of reflection and expertise on strategic issues in spite of a discourse of the French State which could make believe the opposite. This issue, combined, on the one hand, with the lack of dialogue between academics and militaries and, on the other hand, with the peculiarity of the object of research of strategic studies, a disciplinary field which demands a multidisciplinary approach whereas the main feature of French academia is to be monodisciplinary, explains the impediments of the development of strategic studies within the alma mater.
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Le conflit somalien et les Nations Unies / The Somali conflict and the United Nations

Frumence Pascal, Mouna 15 October 2018 (has links)
Le conflit somalien est probablement le seul conflit d’ordre interne qui a mis à rude épreuve le système de sécurité collective de la Charte des Nations Unies. Celui-ci éclate en 1991 à un moment clé de l’histoire politique des relations internationales. C’est la fin de la Guerre froide et pour l’Organisation universelle de l’ONU, longtemps paralysée par les vetos de deux Grands, c’est l’avènement d’une nouvelle ère pour la mise en oeuvre des principes énoncés dans la Charte des Nations Unies. Occupant le long de la façade maritime de la Corne d’Afrique, la Somalie de Siad Barré alignée sur l’idéologie soviétique ne survit pas à l’émiettement de ce bloc. S’ensuit un conflit civil, sanglant et fratricide presqu’à huit clos. Confrontée à la complexité du conflit somalien et à l’échec des premières tentatives de règlement pacifique, l’Organisation mondiale dégaine sa doctrine de maintien de la paix. Ainsi en l’espace de trois ans (1992-1995), le Conseil de sécurité autorise le déploiement de trois missions de l’ONU en Somalie : une opération classique de maintien de la paix (ONUSOM), une opération de maintien de la paix robuste (UNITAF) et une opération d’imposition de la paix (ONUSOM II). Toutes se soldent par un échec sans appel, obligeant les Casques bleus de l’ONU à opérer un repli sous protection armée alors que le conflit n’a toujours pas trouvé une quelconque issue. L’intérêt de cette étude est de mettre en lumière le paradigme de l’intervention des Nations Unies. Comment un simple conflit interétatique a-t-il pu mettre en échec les principes du droit international de la Charte des Nations Unies ? D’autant plus que les solutions proposées ont fait l’objet d’un traitement consensuel de la part de tous les membres du Conseil de sécurité qui ont entériné à l’unanimité les résolutions adoptées ? Il convient également de mettre l’accent sur l’engagement en dents de scie de l’Organisation des Nations Unies à compter de 1995. Un désengagement qui laisse le champ libre aux organismes régionaux de l’UA et de l’IGAD d’entreprendre des nouvelles tentatives de réconciliation nationale. L’explosion des actes de piraterie le long des côtes somaliennes donne l’occasion à l’ONU d’opérer un retour sur ce conflit aux relents lointains. Mais il s’agit d’un retour mesuré qui exclut derechef l’emploi de la coercition militaire. S’engageant désormais dans diverses activités de consolidation de la paix, l’ONU abandonne le terrain dangereux du maintien de la paix malgré le fait que le conflit somalien constitue toujours une menace pour la paix et la sécurité internationales. En vertu du principe de subsidiarité, l’AMISOM, l’opération de maintien de la paix de l’UA en Somalie présente depuis 2007 est la seule force habilitée à recourir à la force armée. Entre espoir et désillusions, la force de paix africaine, bien que sous-dimensionnée doit accomplir des missions de plus en plus élargies pour restaurer la paix et la sécurité dans le pays. / The Somali conflict is probably the only internal conflict that has subjected to a tremendous ordeal the collective security system of the United Nations Charter. It breaks out in 1991 at a key moment in the history of the international relations policy. However with the end of the Cold War, it is the beginning of a new era for the UN Universal Organization, long paralyzed by the vetoes of two Great for the effective purpose of the principles set out in the Charter of the United Nations. Occupying along the coastline of the Horn of Africa, Siad Barre's Somalia aligned with Soviet ideology does not survive the dissolution of this block. The result is the beginning of a civil, bloody and fratricidal conflict almost without any outside interference. Facing the complexity of Somalia conflict and the failure of the first attempts at a peaceful resolution, the World Organization engages its peacekeeping doctrine. Thus in the space of three years (1992-1995), the Security Council authorizes the deployment of three UN missions in Somalia: a classic peacekeeping operation (UNOSOM), a sturdy peacekeeping operation (UNITAF) and a peace enforcement operation (UNOSOM II). All of them result in an ineffective failure, forcing the UN peacekeepers to fall back under armed protection while the conflict has still not found a way out. The interest of this study is to highlight the paradigm of the intervention of the United Nations. How could a simple interstate conflict defeat the principles of international law of the United Nations Charter? Especially since the proposed solutions were the subject of consensual treatment by all the members of the Security Council who unanimously approved the resolutions adopted. There is also a need to focus on the United Nations' jagged commitment from 1995 onwards. A disengagement that give a free rein to the AU and IGAD regional organization to undertake new attempts at national reconciliation. The sudden increase of piracy along the Somali coast provides an opportunity for the United Nations to return to this distant conflict. But this is a measured return that once again excludes the use of military coercion. Now engaging in various peace building activities, the United Nations is abandoning the dangerous environment of peacekeeping despite the fact that the Somali conflict continues to pose a threat to international peace and security. In virtue of the principle of subsidiarity, AMISOM, the AU peacekeeping operation in Somalia since 2007 is the only force authorized to use armed force. Between hope and disillusionment, the African peacekeeping force, though undersized, must carry out more and more missions to restore peace and security in the country.

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