• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 6
  • 3
  • 3
  • 1
  • 1
  • 1
  • Tagged with
  • 16
  • 9
  • 6
  • 6
  • 5
  • 4
  • 4
  • 4
  • 3
  • 3
  • 3
  • 3
  • 3
  • 3
  • 3
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
11

Závislost mimetické podobnosti myrmekomorfních pavouků na nechutnosti modelu

DOBROVODSKÝ, Juraj January 2017 (has links)
In this master thesis i was tested the effectiveness of the myrmecomorphy.The animals which ones were tested are Phrurolithus festivus the myrmecomorphic spider and the predator, great tit(Parus major). I want to know the adventages and disadventages of myrmecomorph mimicry compared whit other common invertebrates in natural habitat of great tits.
12

La morphogenèse du nid chez les fourmis: une étude expérimentale et théorique chez la fourmi Lasius niger. / Nest morphogenesis in ants: experimental and theoretical study in Lasius niger ant.

Toffin, Etienne C H 20 September 2010 (has links)
La construction du nid chez les fourmis génère des structures assumant de nombreuses fonctions, qui sont en grande partie dépendantes de l’architecture produite. L’omniprésence de ces fonctionnalités contraste avec la forte diversité intra et inter-spécifique de la morphologie du nid. Ce travail a pour objectifs de déterminer d’une part la morphogenèse du nid durant son excavation par les fourmis (Chapitre 3), et d’autre part de quantifier l’impact de la taille du groupe (Chapitre 3) et de la qualité de l’environnement (qualité du matériau, gravité; Chapitres 4 & 5) sur cette séquence. Pour répondre à ces questions, nous avons utilisé un dispositif de creusement en deux dimensions (2D) afin de suivre la dynamique d’excavation et l’évolution de la morphologie du nid au cours du temps. Nous avons tout d’abord mis en évidence (Chapitre 3) un changement brutal de la morphologie du nid au cours de sa croissance. Durant une première période d’excavation homogène, le nid est constitué d’une seule cavité de forme circulaire et au contour régulier. Par la suite, le pourtour de la cavité devient plus irrégulier, l’apparition de ‘‘bourgeons’’ lui donnant une apparence plus plissée. Enfin, la cavité centrale cesse de croître lorsque des ramifications se déploient depuis certains des ‘‘bourgeons’’. Nous avons qualifié de transitions morphologiques ces brusques changements de forme, dont la fréquence d’apparition augmente avec la taille de la population. Notre analyse et le recours à la simulation semblent indiquer que ce phénomène soit basé non pas sur un changement de comportement des ouvrières excavatrices mais sur la densité d’activité au front de creusement. Lorsque celle-ci est importante, des phénomènes d’encombrement se manifestent et le nid est excavé de manière homogène. À l’inverse, lorsque l’encombrement diminue les ouvrières peuvent focaliser leur travail et excavent des galeries. Un modèle analytique (Chapitre 6) a permis d’étudier les conditions d’apparition de cette transition morphologique. Nos autres résultats indiquent que le matériau de construction influence très fortement la morphogenèse du nid (Chapitre 4) : les nids excavés dans un milieu cohésif sont plus fréquemment ramifiés et la transition morphologique apparaît à des surfaces de nid plus petites que dans un milieu granulaire. Il semblerait qu’à nouveau, il n’y ait aucune variation comportementale impliquée, mais que l’environnement joue un rôle de ‘‘médiateur’’ des interactions entre les fourmis: le milieu change le temps d’extraction et donc la probabilité individuelle d’excavation, cette variation est exacerbée par les mécanismes d’amplification à l’œuvre, modifiant alors sensiblement la dynamique collective de creusement et la structure du nid. Enfin, une série d’expériences (Chapitre 5) nous a permis de déterminer l’influence de la gravité sur la morphogenèse. Il apparait que la gravité sert de gabarit à la construction, puisque les nids excavés dans un dispositif à l’orientation verticale sont tous dirigés vers le bas. Aussi, si le nid prend directement une forme de long puit vertical sans jamais présenter de chambre, le mécanisme de transition morphologique reste visible, sous forme de bifurcation des galeries à leur extrémités. Ce phénomène de tip-splitting semble aussi apparaître sous la contrainte de la densité d’ouvrières excavant au fond des galeries. Notre travail a donc mis en évidence un phénomène de transition morphologique capable de produire les modules de base de tout nid - chambres et galeries -, et qui semble découler non pas de modifications comportementales, mais de la seule interaction de l’amplification de l’activité et de l’encombrement au front d’excavation. Ce phénomène ubiquiste propose une explication à la grande variété de structures observées sur le terrain, en lien notamment avec la diversité et l’hétérogénéité des milieux, et la dynamique des colonies. Enfin, les similitudes de la transition morphologique avec les instabilités de croissance observées dans de nombreux systèmes biologiques et physico-chimique invitent à considérer ces derniers phénomènes à la lumière de nos résultats.
13

Etude expérimentale et comparative de la myrmécochorie : le cas des fourmis dispersatrices Lasius niger et Myrmica rubra / Experimental and comparative study of myrmecochory: the case of seed-disperser ants Lasius niger and Myrmica rubra

Servigne, Pablo 21 October 2008 (has links)
Ce travail porte sur la dispersion des graines par les fourmis et se divise en deux parties : l’une expérimentale (Chapitres 1, 2 & 3) et l’autre synthétique (Chapitres 4 & 5). L’approche expérimentale a consisté en une exploration en conditions de laboratoire des comportements des fourmis à deux étapes du processus de myrmécochorie: à la source de graines et dans le nid. Des graines des plantes myrmécochores Viola odorata et Chelidonium majus ont été présentées aux fourmis Lasius niger et Myrmica rubra. Chaque étape de la séquence myrmécochorique a généré une variabilité des comportements propre à chacun des quatre couples fourmis-graines. L’élaiosome n’attire pas les fourmis à distance. Les fourmis suivent toujours la même séquence de comportements : antennation, manipulation et prise des graines. Le nombre d’antennations et de manipulations avant la prise de graines peut être considéré comme un indicateur de l’« hésitation » des fourmis à prendre les graines. L’espèce à tendance carnivore Myrmica rubra a été plus rapide et efficace dans la prise de graines que l’espèce éleveuse de pucerons Lasius niger. Parallèlement, les fourmis ont moins antenné, moins manipulé et plus pris de graines de Chelidonium majus, ce qui montre un intérêt particulier pour cette espèce. Un jour après l’expérience, toutes les graines des deux espèces se trouvaient dans les déchets à l’extérieur du nid, avec au moins la moitié des élaiosomes consommés (Chapitre 1). Lors du passage des graines à l’intérieur du nid, les fourmis Myrmica rubra ont également montré une capacité à traiter les graines rapidement, en montrant une dynamique d’arrachage de l’élaiosome et de rejet des graines hors du nid plus rapide. Le taux d’arrachage de l’élaiosome a été influencé par l’espèce de graine, plus important pour les graines de Chelidonium majus. Nous avons montré qu’une proportion variable de graines rapportées au nid (moins de la moitié) étaient déposées directement au contact des larves, les autres étant traitées ailleurs par les ouvrières ou laissées temporairement à l’abandon dans le nid. Par ailleurs, les dynamiques de rejet des items hors du nid ont curieusement été peu influencées par l’espèce de graine. Pour une graine, le fait de ne plus avoir d’élaiosome diminue le nombre moyen d’ouvrières qui la contacte simultanément. Parallèlement, même si la réponse n’est pas de type « tout ou rien », l’absence d’élaiosome accroit aussi la probabilité qu’une graine a d’être rejetée. (Chapitre 2). Nous avons isolé expérimentalement le paramètre de dessiccation des graines afin mesurer son influence sur le taux de prises. La dessiccation progressive des graines réduit les taux de prises par les fourmis Myrmica rubra. La réhydratation des mêmes graines leur permet de retrouver une attractivité et donc une valeur fonctionnelle prolongée. Les graines de Viola odorata perdent presque toute attractivité après 4 jours de dessiccation et leur réhydratation ne rétabli que faiblement leur attractivité. A l’inverse, les graines de Chelidonium majus gardent un tiers de leur attractivité après un mois de dessiccation et leur réhydratation restaure presque entièrement leur attractivité (Chapitre 3). La synthèse bibliographique a permis de dresser un aperçu des principales caractéristiques des fourmis dispersatrices de graines myrmécochores. Certains traits « généralistes » rendent les rencontres entre fourmis et graines très probables : leur ubiquité et diversité taxonomique, leur régime alimentaire omnivore, et leur fourragement « diffus » et opportuniste. Les fourmis possèdent des traits qui les rendent uniques par rapport aux autres insectes : le fourragement au sol, la capacité à transporter de la nourriture, ainsi que la nidification. Certains traits des fourmis ont une influence considérable sur la dispersion des graines : leur taille, les préférences de régime alimentaire, la phénologie, la capacité d’apprentissage et la fréquence de déménagement des nids. Nous développons également l’hypothèse que la rapidité et l’efficacité du traitement des graines par les fourmis seraient une conséquence d’un comportement hygiénique des fourmis à tendance carnivore, habituées à gérer des proies périssables (Chapitre 4). Nous avons dressé pour la première fois une liste des espèces de plantes myrmécochores et potentiellement myrmécochores des régions d’Europe tempérée (260 spp.). Nous montrons que ces dernières sont majoritairement herbacées, et ont tendance à fleurir plus précocement que les autres espèces. La proportion de graines myrmécochores comprises entre 1 et 3 mm et entre 0,6 et 10 mg est plus importante que dans le reste de la flore (Chapitre 5). / This study concerns seed dispersal by ants and is divided in two parts: one experimental (chapters 1, 2 & 3), and one synthetic (chapters 4 & 5). Experimental work consisted in a series of laboratory experiments, in which ant behaviour was studied at two stages of the dispersal process: at the seed source and inside the nest. Seeds of the myrmecochorous plants Viola odorata and Chelidonium majus were presented to two ant species: Lasius niger and Myrmica rubra. Each stage of the myrmecochory sequence generated a variability of behaviours for each of the four ant-seed pairs. The elaiosomedo not attract seed at a distance. Ants followed always the same behavioural sequence: antennations, manipulations, and removal. The number of antennations and manipulations before removal can be considered as a measure of ants’ “hesitation” to remove seeds. The carnivorous species Myrmica rubra was faster and more efficient at taking seeds than the aphid-tending Lasius niger. At the same time, ants antennated and manipulated less Chelidonium majus seeds, which shows a particular interest for this seed species. One day after the experiment, all seeds of both species were located outside the nest in the refuse piles. At least half of their elaiosomes had been consumed (chapter 1). Inside the nest, Myrmica rubra also showed a great ability to treat seeds quickly, i.e. quicker dynamics of elaiosome removal and seed rejection outside the nest. Elaiosome removal rates were influenced by seed species (higher for Chelidonium majus). We showed that a variable proportion of seeds (less than half) was directly deposited in contact with larvae. The rest of the seeds were handled elsewhere by workers, or left temporarily unattended in the nest. Dynamics of seed rejection outside the nest were curiously little influenced by the seed species. For a seed, to loose the elaiosome decreased the number of workers manipulating it. At the same time, even if the rejection response is not automatic, the absence of elaiosome increases the probability for a seed to be rejected (Chapter 2). We isolated the desiccation parameter in order to measure its influence on seed removal rates. Progressive seed desiccation reduced Myrmica rubra removal rates. Rehydration of the same seeds restored their attractiveness, thereby prolonging their functional life. Viola odorata seeds lost almost all their attractiveness after 4 days of desiccation, and rehydration only restored a reduced part of their attractiveness. On the contrary, Chelidonium majus seeds kept one third of their attractiveness after one month of desiccation, and recovered almost all their attractiveness after rehydration (Chapter 3). The bibliographic review allowed us to compile an outline of the main features of seed-disperser ants. Some generalist features highly increase the probability that ants encounter seeds: their ubiquity and taxonomic diversity, omnivorous diet and their opportunistic “diffuse” foraging. Among insects, ants have unique traits that make them broad dispsersers: ground foraging, the ability to transport items, and nesting behaviour. Some other traits have a great influence on the seed dispersal system: the ant body size, their diet preferences, the phenology of the colony, the learning, and the frequence of nest relocation. We also develop the hypothesis according to which, handling efficiency of ants is a byproduct of hygienic behaviour of carnivorous oriented species, since they are used to manage perishable preys (Chapter 4). We compiled the first list of myrmecochorous and potentially myrmecochorous plants species of European temperate regions (260 spp.). We show that these plants are mainly herbaceous. They also tend to flower earlier than the whole flora. The proportions of myrmecochorous seeds having a size range between 1 and 3 mm, and a weight range between 0.6 and 10 mg are higher than in the rest of the flora (Chapter 5).
14

La morphogenèse du nid chez les fourmis: une étude expérimentale et théorique chez la fourmi Lasius niger / Nest morphogenesis in ants: experimental and theoretical study in Lasius niger ant.

Toffin, Etienne 20 September 2010 (has links)
La construction du nid chez les fourmis génère des structures assumant de nombreuses fonctions, qui sont en grande partie dépendantes de l’architecture produite. L’omniprésence de ces fonctionnalités contraste avec la forte diversité intra et inter-spécifique de la morphologie du nid.<p>Ce travail a pour objectifs de déterminer d’une part la morphogenèse du nid durant son excavation par les fourmis (Chapitre 3), et d’autre part de quantifier l’impact de la taille du groupe (Chapitre 3) et de la qualité de l’environnement (qualité du matériau, gravité; Chapitres 4 & 5) sur cette séquence. Pour répondre à ces questions, nous avons utilisé un dispositif de creusement en deux dimensions (2D) afin de suivre la dynamique d’excavation et l’évolution de la morphologie du nid au cours du temps.<p>Nous avons tout d’abord mis en évidence (Chapitre 3) un changement brutal de la morphologie du nid au cours de sa croissance. Durant une première période d’excavation homogène, le nid est constitué d’une seule cavité de forme circulaire et au contour régulier. Par la suite, le pourtour de la cavité devient plus irrégulier, l’apparition de ‘‘bourgeons’’ lui donnant une apparence plus plissée. Enfin, la cavité centrale cesse de croître lorsque des ramifications se déploient depuis certains des ‘‘bourgeons’’. Nous avons qualifié de transitions morphologiques ces brusques changements de forme, dont la fréquence d’apparition augmente avec la taille de la population.<p>Notre analyse et le recours à la simulation semblent indiquer que ce phénomène soit basé non pas sur un changement de comportement des ouvrières excavatrices mais sur la densité d’activité au front de creusement. Lorsque celle-ci est importante, des phénomènes d’encombrement se manifestent et le nid est excavé de manière homogène. À l’inverse, lorsque l’encombrement diminue les ouvrières peuvent focaliser leur travail et excavent des galeries. Un modèle analytique (Chapitre 6) a permis d’étudier les conditions d’apparition de cette transition morphologique.<p>Nos autres résultats indiquent que le matériau de construction influence très fortement la morphogenèse du nid (Chapitre 4) :les nids excavés dans un milieu cohésif sont plus fréquemment ramifiés et la transition morphologique apparaît à des surfaces de nid plus petites que dans un milieu granulaire. Il semblerait qu’à nouveau, il n’y ait aucune variation comportementale impliquée, mais que l’environnement joue un rôle de ‘‘médiateur’’ des interactions entre les fourmis: le milieu change le temps d’extraction et donc la probabilité individuelle d’excavation, cette variation est exacerbée par les mécanismes d’amplification à l’œuvre, modifiant alors sensiblement la dynamique collective de creusement et la structure du nid.<p>Enfin, une série d’expériences (Chapitre 5) nous a permis de déterminer l’influence de la gravité sur la morphogenèse. Il apparait que la gravité sert de gabarit à la construction, puisque les nids excavés dans un dispositif à l’orientation verticale sont tous dirigés vers le bas. Aussi, si le nid prend directement une forme de long puit vertical sans jamais présenter de chambre, le mécanisme de transition morphologique reste visible, sous forme de bifurcation des galeries à leur extrémités. Ce phénomène de tip-splitting semble aussi apparaître sous la contrainte de la densité d’ouvrières excavant au fond des galeries.<p>Notre travail a donc mis en évidence un phénomène de transition morphologique capable de produire les modules de base de tout nid - chambres et galeries -, et qui semble découler non pas de modifications comportementales, mais de la seule interaction de l’amplification de l’activité et de l’encombrement au front d’excavation. Ce phénomène ubiquiste propose une explication à la grande variété de structures observées sur le terrain, en lien notamment avec la diversité et l’hétérogénéité des milieux, et la dynamique des colonies. Enfin, les similitudes de la transition morphologique avec les instabilités de croissance observées dans de nombreux systèmes biologiques et physico-chimique invitent à considérer ces derniers phénomènes à la lumière de nos résultats. / Doctorat en Sciences / info:eu-repo/semantics/nonPublished
15

Etude expérimentale et comparative de la myrmécochorie: le cas de la fourmis dispersatrices Lasius niger et Myrmica rubra / Experimental and comparative study of myrmecochory: the case of seed-disperser ants Lasius niger and Myrmica rubra

Servigne, Pablo 21 October 2008 (has links)
Ce travail porte sur la dispersion des graines par les fourmis et se divise en deux parties :l’une expérimentale (Chapitres 1, 2 & 3) et l’autre synthétique (Chapitres 4 & 5). L’approche expérimentale a consisté en une exploration en conditions de laboratoire des comportements des fourmis à deux étapes du processus de myrmécochorie: à la source de graines et dans le nid. Des graines des plantes myrmécochores Viola odorata et Chelidonium majus ont été présentées aux fourmis Lasius niger et Myrmica rubra. Chaque étape de la séquence myrmécochorique a généré une variabilité des comportements propre à chacun des quatre couples fourmis-graines. <p>L’élaiosome n’attire pas les fourmis à distance. Les fourmis suivent toujours la même séquence de comportements :antennation, manipulation et prise des graines. Le nombre d’antennations et de manipulations avant la prise de graines peut être considéré comme un indicateur de l’« hésitation » des fourmis à prendre les graines. L’espèce à tendance carnivore Myrmica rubra a été plus rapide et efficace dans la prise de graines que l’espèce éleveuse de pucerons Lasius niger. Parallèlement, les fourmis ont moins antenné, moins manipulé et plus pris de graines de Chelidonium majus, ce qui montre un intérêt particulier pour cette espèce. Un jour après l’expérience, toutes les graines des deux espèces se trouvaient dans les déchets à l’extérieur du nid, avec au moins la moitié des élaiosomes consommés (Chapitre 1).<p>Lors du passage des graines à l’intérieur du nid, les fourmis Myrmica rubra ont également montré une capacité à traiter les graines rapidement, en montrant une dynamique d’arrachage de l’élaiosome et de rejet des graines hors du nid plus rapide. Le taux d’arrachage de l’élaiosome a été influencé par l’espèce de graine, plus important pour les graines de Chelidonium majus. Nous avons montré qu’une proportion variable de graines rapportées au nid (moins de la moitié) étaient déposées directement au contact des larves, les autres étant traitées ailleurs par les ouvrières ou laissées temporairement à l’abandon dans le nid. Par ailleurs, les dynamiques de rejet des items hors du nid ont curieusement été peu influencées par l’espèce de graine. Pour une graine, le fait de ne plus avoir d’élaiosome diminue le nombre moyen d’ouvrières qui la contacte simultanément. Parallèlement, même si la réponse n’est pas de type « tout ou rien », l’absence d’élaiosome accroit aussi la probabilité qu’une graine a d’être rejetée. (Chapitre 2).<p>Nous avons isolé expérimentalement le paramètre de dessiccation des graines afin mesurer son influence sur le taux de prises. La dessiccation progressive des graines réduit les taux de prises par les fourmis Myrmica rubra. La réhydratation des mêmes graines leur permet de retrouver une attractivité et donc une valeur fonctionnelle prolongée. Les graines de Viola odorata perdent presque toute attractivité après 4 jours de dessiccation et leur réhydratation ne rétabli que faiblement leur attractivité. A l’inverse, les graines de Chelidonium majus gardent un tiers de leur attractivité après un mois de dessiccation et leur réhydratation restaure presque entièrement leur attractivité (Chapitre 3).<p>La synthèse bibliographique a permis de dresser un aperçu des principales caractéristiques des fourmis dispersatrices de graines myrmécochores. Certains traits « généralistes » rendent les rencontres entre fourmis et graines très probables :leur ubiquité et diversité taxonomique, leur régime alimentaire omnivore, et leur fourragement « diffus » et opportuniste. Les fourmis possèdent des traits qui les rendent uniques par rapport aux autres insectes :le fourragement au sol, la capacité à transporter de la nourriture, ainsi que la nidification. Certains traits des fourmis ont une influence considérable sur la dispersion des graines :leur taille, les préférences de régime alimentaire, la phénologie, la capacité d’apprentissage et la fréquence de déménagement des nids. Nous développons également l’hypothèse que la rapidité et l’efficacité du traitement des graines par les fourmis seraient une conséquence d’un comportement hygiénique des fourmis à tendance carnivore, habituées à gérer des proies périssables (Chapitre 4).<p>Nous avons dressé pour la première fois une liste des espèces de plantes myrmécochores et potentiellement myrmécochores des régions d’Europe tempérée (260 spp.). Nous montrons que ces dernières sont majoritairement herbacées, et ont tendance à fleurir plus précocement que les autres espèces. La proportion de graines myrmécochores comprises entre 1 et 3 mm et entre 0,6 et 10 mg est plus importante que dans le reste de la flore (Chapitre 5).<p>/<p>This study concerns seed dispersal by ants and is divided in two parts: one experimental (chapters 1, 2 & 3), and one synthetic (chapters 4 & 5). <p>Experimental work consisted in a series of laboratory experiments, in which ant behaviour was studied at two stages of the dispersal process: at the seed source and inside the nest. Seeds of the myrmecochorous plants Viola odorata and Chelidonium majus were presented to two ant species: Lasius niger and Myrmica rubra. Each stage of the myrmecochory sequence generated a variability of behaviours for each of the four ant-seed pairs.<p>The elaiosomedo not attract seed at a distance. Ants followed always the same behavioural sequence: antennations, manipulations, and removal. The number of antennations and manipulations before removal can be considered as a measure of ants’ “hesitation” to remove seeds. The carnivorous species Myrmica rubra was faster and more efficient at taking seeds than the aphid-tending Lasius niger. At the same time, ants antennated and manipulated less Chelidonium majus seeds, which shows a particular interest for this seed species. One day after the experiment, all seeds of both species were located outside the nest in the refuse piles. At least half of their elaiosomes had been consumed (chapter 1). <p>Inside the nest, Myrmica rubra also showed a great ability to treat seeds quickly, i.e. quicker dynamics of elaiosome removal and seed rejection outside the nest. Elaiosome removal rates were influenced by seed species (higher for Chelidonium majus). We showed that a variable proportion of seeds (less than half) was directly deposited in contact with larvae. The rest of the seeds were handled elsewhere by workers, or left temporarily unattended in the nest. Dynamics of seed rejection outside the nest were curiously little influenced by the seed species. For a seed, to loose the elaiosome decreased the number of workers manipulating it. At the same time, even if the rejection response is not automatic, the absence of elaiosome increases the probability for a seed to be rejected (Chapter 2).<p>We isolated the desiccation parameter in order to measure its influence on seed removal rates. Progressive seed desiccation reduced Myrmica rubra removal rates. Rehydration of the same seeds restored their attractiveness, thereby prolonging their functional life. Viola odorata seeds lost almost all their attractiveness after 4 days of desiccation, and rehydration only restored a reduced part of their attractiveness. On the contrary, Chelidonium majus seeds kept one third of their attractiveness after one month of desiccation, and recovered almost all their attractiveness after rehydration (Chapter 3). <p>The bibliographic review allowed us to compile an outline of the main features of seed-disperser ants. Some generalist features highly increase the probability that ants encounter seeds: their ubiquity and taxonomic diversity, omnivorous diet and their opportunistic “diffuse” foraging. Among insects, ants have unique traits that make them broad dispsersers: ground foraging, the ability to transport items, and nesting behaviour. Some other traits have a great influence on the seed dispersal system: the ant body size, their diet preferences, the phenology of the colony, the learning, and the frequence of nest relocation. We also develop the hypothesis according to which, handling efficiency of ants is a byproduct of hygienic behaviour of carnivorous oriented species, since they are used to manage perishable preys (Chapter 4). <p>We compiled the first list of myrmecochorous and potentially myrmecochorous plants species of European temperate regions (260 spp.). We show that these plants are mainly herbaceous. They also tend to flower earlier than the whole flora. The proportions of myrmecochorous seeds having a size range between 1 and 3 mm, and a weight range between 0.6 and 10 mg are higher than in the rest of the flora (Chapter 5). <p><p> / Doctorat en Sciences / info:eu-repo/semantics/nonPublished
16

El genoma de una ciudad: Valencia. (Bioarquitectura, orígenes hasta época foral)

MARTÍ MATIAS, MIQUEL RAMÓN 27 October 2014 (has links)
Hace 13.800 millones empezó el Universo teniendo como origen el Bing Bang. Todo tiene ahí su principio, el tiempo, el espacio y el material del que está todo formado también. Compartimos con las estrellas el material que forma nuestro cuerpo. Empezó con una Arquitectura inorgánica, que pasó a orgánica, en lo que hemos acuñado como “Arquitectura somática”, la que forma un cuerpo (por muy diminuto que sea).Pero el siguiente paso fue la “Arquitectura exosomática”, la que se realiza fuera del cuerpo. En este sentido, hubo una revolución arquitectónica y social hace 130 millones de años, la revolución realizada por los insectos sociales en el Cretácico. He aportado un aspecto hasta hoy no realizado, equivalencias culturales humano-insectos. El Paleolítico, de cazadores-recolectores humanos, equivale al género de hormigas Eciton que viven de una forma semejante. Pero he acuñado un nuevo término, el Paleolítico Superior Cerámico, ya que ha aparecido en China cerámica 8000 años antes que en Próximo Oriente (que tomamos como referente), ahí entraría la avispa alfarera que es cazadora pero fabrica su cerámica. Un Neolítico Precerámico A (8000- 7000) con los géneros de hormigas Lasius Feliginosus y Atta, con sus campos de “hongos”, su agricultura subterránea. Un Precerámico B (7000-6000) con la ganadería y sus establos de las hormigas del género Crematogaster pilosa y Acropyga maribensis. Puede aducirse que no hay edad de los metales, pero la araña puede realizar material más duro que el acero sin fusión. Seguidamente, la civilización egipcia y mesopotámica, tan recientes en el tiempo, las primeras muestras de avance social humano de grandes proporciones, quedan atrás en muchos aspectos comparados con el mundo de las abejas, avispas y termitas que abruman con su arquitectura, jerarquía y organización social, pero todo en armonía con su ecosistema, perdurabilidad durante millones de años, al contrario que la frágil sociedad humana. Estas últimas, por su lapso de tiempo existente como tales, su éxito de dispersión y sus características como sociedades son un rival, cuestionan nuestro liderazgo como especie. Las hormigas esclavistas del Amazonas del género Polyergus y las españolas de Sierra Nevada, del género Rossomyrmex minuchae, que ataca los nidos de Proformica longiseta, recuerdan a la sociedad esclavista que llega al siglo XVIII pero que tiene en las épocas de la Antigüedad sus más claros ejemplos. He añadido más términos arquitectónicos, Arquitectura “genética” y Arquitectura “cerebral”. Estas sociedades de insectos complejas, como la abeja melífera (Apis mellifera), no estudian arquitectura ni agricultura,etc, cosa que en los humanos “que pueden estudiar” absorve mucho tiempo vital. Estos insectos, tienen un corto tiempo de vida, y suplen eso, naciendo con lo más importante aprendido. Se sabe que el “cuerpo central” existente en la cabeza del insecto, es el “disco duro” de estos insectos, por lo que puedo decir que desde que nacen, lo hacen aprendidos, su arquitectura y sociedad, es genética. El cuerpo seta del insecto, corpora pedunculata en latín también en la cabeza, se centraría en el comportamiento y el aprendizaje, un equivalente de córtex en los humanos y otros vertebrados, algo secundario, pero que en nosotros es el cerebro, de este modo, nuestra arquitectura es “cerebral”, aprendida por unos pocos durante mucho tiempo, algo que supone realmente una desventaja. En los alrededores de Valencia, los primeros restos de “Arquitectura exosomática” serían los nidos que tuvieron los hadrosaurios de Tous, hace 70 millones de años. Para los humanos, debemos esperar a un humanoide, el homo erectus, cuyos restos aparecen a 25 km al sur de Valencia, en Sueca, en la parte del lago de l'Albufera, que empleó cuevas y que pudo realizar estructuras perecederas vegetales, hace más de medio millón de años. Hubo gente de la edad del bronce en Valencia y en el siglo VII-VI a.C, recibieron contactos comerciales por parte de griegos y fenicios, como prueban las cerámicas importadas, tanto de territorio griego como fenicio. El fragmento cerámico del pintor de Aqueloos,encontrado en l'Almoina (centro de Valencia) que se encuentra entre los más destacados del “Grupo de Leagros”, el último y más destacado grupo de pintores de grandes vasos de figuras negras entre el 520 y el 500 a.C o la máscara fenicia de la orilla norte del río, son prueba de ello. Estas importaciones hablan de dos santuarios en Valencia, uno en la orilla sur y otro en la norte, donde indígenas y foráneos intercambian productos y ideas. Edeta, centro político y económico más cercano a Valencia, utiliza Valencia como su puerto. El solar de Valencia sería aprovechado como campos de silos de grano, como sucede en toda la costa catalana y del sur de Francia, alrededor de la órbita de Ibiza, portaviones económico del control fenicio-púnico que hace girar como satélites las poblaciones ibéricas del litoral. En Valencia, alrededor de la mitad del siglo III a.C, se construye el templo-santuario ibérico. Este templo domina el entramado portuario y ideológico. La empalizada de la calle cisneros, también debemos relacionarla con este siglo, pero en época alrededior de la Guerra Púnica . Arse-Saguntum, lleva la delantera comercial y acuña moneda, teniendo incluso armadores que comercian con los griegos ampuritanos. Edeta se siente amenazada en sus intereses y choca en el siglo IV a.C, como demuestra el Tos Pelat fortaleza arrasada en este momento, en el que Arse- Sagunt se fortifica. Este malestar llegará al siglo III a.C, en el que he aportado un elemento clave, el que Edeta fue la ciudad que Anibal ayudó (y no una ciudad lejana ciudad indígena andaluza), para que con sus agravios manipulados, poder destruir Arse-Sagunt. En el 205 a.C (cosa hasta ahora nunca dicha tampoco), es destruida Edeta como venganza. Los edetanos ibéricos son obligados a bajar a Valencia, de ahi su nombre de Valencia de los edetanos. Algo destacable también son las tres necropolis ibéricas de Valencia, junto con sus ustrina para quemar los huesos. También he reconstruido el ritual, la evolución y las creencias funerarias ibéricas desde la prehistoria gracias a la iconografía y los restos materiales, que también aparecen en Valencia ciudad. La guerra en Italia contra Aníbal termina y vienen a nuestro territorio gente de allí, de dos ciudades, Valentia y Turia, que darán nombre a nuestra ciudad y río, así como la iconografía de las monedas republicanas de Valencia. Esta iconografía se relaciona además con Quintus Máximus Fabius Cunctator, que expulsó a Anibal de Italia, defendió a Arse-Sagunt ante el senado cartaginés antes de su destrucción, y después recibió a la embajada saguntina que agradeció la destrucción de su enemiga, Edeta. Los que ayudaron a Aníbal en Italia fueron traidores, y sus cadáveres aparecen echados como perros en la necrópolis de Valencia, y los gratos a Roma los encontramos en hipogeos ricos en ofrendas. De este modo, las cerámicas, tesoros de monedas ibéricas en la ciudad que muestran temor, y los hechos históricos muestran que los itálicos que se establecieron en Valencia, lo hicieron en la década del 180 a.C, no en el 138 a.C que tan dañino ha sido para la historia de Valencia por su errónea interpretación. Sin olvidar el paralelo como asentamiento que es Ca l'Arnau en Cataluña, que ofrece unas termas gemelas de Valencia de la primera mitad del siglo II a.C y un urbanismo equivalente al nuestro, asentamiento que no prosperaría. En el 146 a.C con la destrucción de Cartago, coincide con la destrucción del templo ibérico cuyas piedra serán reaprovechadas para convertirlo en lo que hoy se considera granero (horreum). También se aportan los datos de la verdadera localización del muelle romano imperial de Valencia , de su puente, y del cardo (o eje principal que recorría la ciudad de Norte a sur hasta hoy también equivocado). Destaca también la reconstrucción y rectificación de los recorridos de los acueductos romanos de Valencia y Saguntum, aportándose pruebas hasta hoy olvidadas, algunas de ellas monumentales, como la del nacimiento del acueducto sur de Sagunt que empezaba en el río Túria, concretamente en Vilamarxant (Valencia) y que es el precedente de la Acequia Real de Moncada. Es decir, los romanos, crearon el sistema hidráulico valenciano, que los musulmanes adaptaron a sus propias necesidades, seguidos por los cristianos. Relacionado con esto, la destrucción de estos acueductos, vitales para la vida de las ciudades romanas, como razón de gran peso, provocaron la huida de la población saguntina en el siglo V d.C hacia un nuevo lugar, Almenara, donde hay agua fresca, creando el Punt del cid, la nueva Sagunt, donde se acuña moneda con el nombre de Saguntum y se levantan murallas con restos de la desaparecida Saguntum romana , ahora Murus veteris o muros antiguos. Al mismo tiempo se levanta un lugar religiosos en los Estanys d'Almenara. Valencia, con la llegada bizantina, se recupera en el siglo VI momentáneamente, saliendo un tiempo de una crisis brutal que se observa en la arqueología de la ciudad. Ese siglo ofrece la creación de edificios religiosos monumentales, abase del saqueo d ellos mejores bloques de edificios romanos abandonados y también vemos la presencia del rey visigodo Leovigildo , en el 583 d.C, que arrebata Valencia a los bizantinos y hace matar a su hijo, autoproclamado rey católico, Hermenegildo, en Cullera (Valencia) donde se ha refugiado con su mujer e hijo pequeño, confundiéndose esto con el mito de San Vicente Martir, cuyo cadáver se dice apareció también en Cullera. De todo esto se ofrece la reconstrucción de los hechos. También de esta cronología de la segunda mitad del siglo VI d.C, vemos la aparición de una nueva ciudad amurallada, Valencia la vella, en Ribarroja del Túria, 24 km al este de Valencia cauce arriba del río. La antigua Valencia no tiene murallas en esta época, la gente vive entre escombros romanos y hacinados en la única muralla existente, el circo romano abandonado. Se decide desplazarse cerca de donde nacen los acueductos, hay defensa, comida y vías naturales ganaderas. El abandono de Valencia ciudad, coincide con el abandono bizantino de la Península (620). En la segunda mitad del siglo VII d.C, Valencia es un cadáver solo acompañado de un puñado de familias marginales, y así, en este siglo vemos aparecer la sustituta de la Valencia religiosa, el Plà de Nadal, un edificio que aglutina la mayor colección d piezas de época visigoda valenciana y de carácter religioso, también en Riba-rroja. La presencia musulmana evita las nuevas ciudades de desplazados del Punt del Cid y Valencia la Vella. Abd-al-Rahman al-Balansí (el valenciano), con la construcción de una Ruzafa en el casco abandonado de Valencia a finales del siglo VIII, ofrece los primeros síntomas de recuperación del casco urbano. El siglo IX es el momento cuando se construye un nueva acequia de agua (primero desde la caída de la ciudad, la acequia de Rovella), un molino (el más antiguo musulmán hasta ahora catalogado en España, una noria, empezando así a recuperarse el sistema hidráulico . En el 929-920, el punt del Cid y Valencia la Vella, son destruidos por Abd-al-Rahman III, obligando a esa población cristiana (o conversa ya), a desplazarse a los nuevos centros islámicos, esto es, a la nueva ciudad de Almenara, y a la antigua ciudad de Valencia, viéndose ya la recuperación de Valencia (la del llano) como ya se observa en elementos de lujo como el capitel de marmol valenciano encontrado en el Palacio Real de Valencia. De época cristiana, un adn perfecto para poder reconstruir ese período a nivel constructivo lo tenemos el Archivo de la ciudad de Valencia, que puede competir con los mejores del mundo en el tema de la construcción medieval, gracias al detallismo con que se encuentran escritos todos los materiales y personas. Las canteras de diferentes tipos de piedra con sus importantes particularidades también quedan señaladas, así como las procedencias de otros materiales como la cal, esparto (para capazos y cuerdas), etc, y los nombres de miles de personas, su sexo, religión y procedencia, así como los días de trabajo, descubriéndose que la mayoría de la gente que trabajaba en una obra, especialmente los obreros sin otra preparación, solo estaban un dia o pocos más . Se puede reconstruir la población masculina de las morerías de muchos pueblos valencianos, o de canteros de piedra de diferentes lugares de la Península incluso extranjeros. Aportándose además, como en el año 1380, las trabajadoras en la obra como obreras cobraron lo mismo que los hombres, algo que cuestiona la imagen de discriminación de la mujer que teníamos y que muestra signos de mayor modernidad en ese aspecto. Acaba la tesis con las esférulas, concreciones minerales que he hallado en el río Palancia de hace 250 millones de años, del triásico inferior y que tienen sus paralelos más cercanos en Utah (EEUU) y el planeta Marte. Estas aparecen también como piedra de construcción en construcciones romanas y medievales al norte de Valencia, especialmente alrededor de Sagunt, y es el material más antiguo en nuestro territorio, ofreciendo relaciones paralelas geológcas con otros lugares del planeta y situándose, por ahora, como las esférulas más antiguas del planeta Tierra, emparentadas en muchos aspectos con las encontradas en el planeta Marte. Así, empieza la tesis en el espacio infinito y acaba en él. / Martí Matias, MR. (2014). El genoma de una ciudad: Valencia. (Bioarquitectura, orígenes hasta época foral) [Tesis doctoral]. Universitat Politècnica de València. https://doi.org/10.4995/Thesis/10251/43591

Page generated in 0.0512 seconds