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The requirement of notice of industrial action in South African labour law

Zondo, Raymond Mnyamezeli Mlungisi 30 November 2005 (has links)
This dissertation is a critical analysis of the provisions of sec 64(l)(b) and (c), 66(2)(b) and 77(l)(b) and (d) of the Labour Relations Act 66 of 1995 which prescribe notice of industrial action as a requirement of protected industrial action in South Africa. It traces the historical background of the requirement. It also addresses issues such as the purpose(s) of the notices, their scope of application, meaning, implications, who must give notice, to whom must notice be given, timing, computation, their duration, the consequences of failure to comply with them and various potential difficulties in the practical application of the notice requirement as well as the unintended consequences flowing from the provisions. Recommendations are made for the amendment of the Act in certain respects. The dissertation concludes that there is no justification for the inclusion in the Act of this requirement. The law is stated as at 30 September 2005. / Jurisprudence / LL.M.
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Le service minimum et les services essentiels : étude française confrontée au droit Québecois

Fontaine, Laurence Léa 29 November 2004 (has links) (PDF)
Il n'existe plus de grève dans les services publics sans que soit évoqué, voire réclamé ou exigé le service minimum. Le droit français n'offre qu'une législation très parcellaire et floue en la matière. Malgré de nombreuses propositions de loi, le législateur fait preuve d'inertie. Cette attitude s'explique notamment par la grande difficulté technique de la tâche imposant de concilier les deux principes de valeur constitutionnelle que sont le droit de grève et la continuité des services publics. Cette étude tend à mettre en exergue les interrogations relatives au service minimum et s'efforce de déceler la solution qui serait la mieux adaptée dans le système juridique français. Afin de donner plus de relief à la recherche, le choix a été fait de l'aborder en s'inspirant du droit étranger. Le modèle choisi est originaire du Canada, et plus exactement du Québec. Il bénéficie d'un recul d'une vingtaine d'années et offre de ce fait, une expérience riche d'enseignements. La création d'un service minimum applicable aux services publics exige une analyse tant de la notion que de sa mise en oeuvre. Concrètement, il s'agit d'identifier les fondements du service minimum, de délimiter son champ d'application mais aussi de le définir en termes qualitatif et quantitatif, d'envisager sa mise en oeuvre par la voie négociée avec des acteurs spécifiques et de présenter les moyens permettant d'assurer son effectivité.
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La durée des grèves, une histoire de cas : grèves des chauffeurs d'autobus à l'emploi de la C.T.C.U.Q.

Barry, Hélène 16 February 2024 (has links)
« Thèse présentée à l'École des gradués de l'Université Laval pour l'obtention du grade de maître ès relations industrielles » / « …cette recherche portera sur l'étude des facteurs qui peuvent influencer la durée d'une grève. Nous nous limiterons donc à l'étude des facteurs pouvant influencer la durée des grèves dans un secteur d'activités donné, soit le secteur public. A l'intérieur du secteur public, nous ne retiendrons qu'une seule entreprise de services publics en particulier, soit la Commission de transport de la Communauté urbaine de Québec. D'autre part, notre champ de recherche s'applique également aux salariés tel que définis par le Code du travail, qui sont employés directement par la Commission de transport. A l'intérieur de cette catégorie d'employés, nous porterons notre attention sur une seule unité d'accréditation, les chauffeurs d'autobus, lesquels sont représentés par le Syndicat des Employés du Transport public du Québec Métropolitain Inc., affilié à la C.S.N. Notre choix s'est arrêté sur les chauffeurs d'autobus pour la simple raison que parmi toutes les catégories de travailleurs à l'emploi de la C.T.C.U.Q. seuls les chauffeurs ont maintenu leur allégeance syndicale avec la C.S.N. et ce, depuis la négociation de leur première convention collective en 1971 jusqu'à nos jours. De cette façon, nous pouvons plus facilement suivre l'évolution des relations de travail et cerner les facteurs ayant pu influencer la durée des grèves au cours de leur histoire. Par ailleurs, il serait bon de préciser qu'il n'est pas dans notre intention de nous prononcer à savoir si une grève est longue ou courte, mais bien de découvrir les facteurs susceptibles d'influencer la durée de une ou de plusieurs grèves afin de tenter d'expliquer la durée des grèves des chauffeurs d'autobus à l'emploi de la C.T.C.U.Q. et ce, en analysant les quatre rondes de négociations entre la C.T.C.U.Q. et le syndicat de ses chauffeurs survenues entre 1971 et 1979. Comme il n'existe aucune théorie particulière traitant de la durée des grèves en soi et que nous croyons qu'elle dépend du pouvoir de négociation que détiennent les parties, notre approche consistera à expliquer à partir des théories du pouvoir de négociation, le phénomène de la durée des grèves. Ainsi, nous consacrerons un premier chapitre à la définition théorique des variables retenues ainsi qu'à la présentation des grèves à l'étude. Dans un deuxième chapitre, nous tenterons de vérifier dans quelle mesure les variables dites économiques ont pu jouer dans la détermination de la durée des grèves à l'étude. De la même façon, les troisième et quatrième chapitres porteront respectivement sur l'analyse des variables intrinsèques et extrinsèques de la durée des grèves. Pour conclure, nous exposerons un bref résumé de nos observations pour ensuite tenter, s'il y a lieu, d'expliquer le phénomène de la durée des grèves. »--Pages 4-5
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A comparative survey of the law relating to strikes in South Africa and the Netherlands

Troskie, Herman R. W. 06 1900 (has links)
In the first section of the dissertation, strike law in the Netherlands is focused upon. The following issues are inter alia dealt with: the historical background of the strike phenomenon, the right to strike and restrictions on this right, the reluctance of the Dutch legislature to legislate in the field of industrial action, and the directly applicable provisions of the European Social Charter. The second section of the dissertation deals with South African strike law and also starts off with a discussion of the historical background thereof, whereafter the provisions of the 1995 Labour Relations Act are analysed and discussed. The third and last section highlights some of the major differences and points to some similarities between the two legal systems. It concludes that the detailed South African labour legislation does not provide more certainty than the Dutch judge-made law in respect of the law relating to strikes. / Law / LL.M.
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Le service minimum et les services essentiels : étude française confrontée au droit québécois

Fontaine, Laurence Léa 11 1900 (has links)
"Thèse présentée à la Faculté des études supérieures en vue de l'obtention du grade de Docteur en droit (L.L.D)" / II n'existe plus de grève dans les services publics sans que soit evoqué, voire réclamé ou exigé le service minimum. Le droit français n'offre qu'une législation très parcellaire et floue en la matière. Malgré de nombreuses propositions de loi, le législateur fait preuve d'inertie. Cette attitude s'explique notamment par la grande difficulté technique de la tâche imposant de concilier les deux principes de valeur constitutionnelle que sont le droit de grève et la continuité des services publics. Cette étude tend a mettre en exergue les interrogations relatives au service minimum et s'efforce de déceler la solution qui serait la mieux adaptée dans le système juridique français. Afin de donner plus de relief à la recherche, le choix a été fait de l'aborder en s'inspirant du droit étranger. Le modèle choisi est originaire du Canada, et plus exactement du Québec. II bénéficie d'un recul d'une vingtaine d'années et offre de ce fait, une expérience riche d'enseignements. La création d'un service minimum applicable aux services publics exige une analyse tant de la notion que de sa mise en ceuvre. Concrètement, iI s'agit d'identifier les fondements du service minimum, de délimiter son champ d'application mais aussi de le définir en termes qualitatif et quantitatif, d'envisager sa mise en ceuvre par la voie négociée avec des acteurs spécifiques et de présenter les moyens permettant d'assurer son effectivité. / Every public sector strike brings up the question of a need for a skeleton service. In this area French law is extremely fragmentary and vague. In spite of numerous attempts to introduce legislation no law has been voted. The main reason has been the considerable technical difficulty in reconciling the two basic constitutional principles ofthe right to strike and the continuity of public services. This study brings into focus the problems and questions arising from the idea of a skeleton service and attempts to identify the most practical solution in the context of French law. To give clearer defmition to the study, the Quebec legislation in this field was used as a model. It has been in force for twenty years and this offers many practical lessons. Setting up a skeleton service in the public sector has to be based on an accurate definition of the notion itself as well as its concrete application. Its underlying principles and field of application have to be defined. Qualitative and quantitative aspects, bargain procedures and partners, necessary resources, all have to be identified.
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Le service minimum et les services essentiels : étude française confrontée au droit québécois

Fontaine, Laurence Léa 11 1900 (has links)
II n'existe plus de grève dans les services publics sans que soit evoqué, voire réclamé ou exigé le service minimum. Le droit français n'offre qu'une législation très parcellaire et floue en la matière. Malgré de nombreuses propositions de loi, le législateur fait preuve d'inertie. Cette attitude s'explique notamment par la grande difficulté technique de la tâche imposant de concilier les deux principes de valeur constitutionnelle que sont le droit de grève et la continuité des services publics. Cette étude tend a mettre en exergue les interrogations relatives au service minimum et s'efforce de déceler la solution qui serait la mieux adaptée dans le système juridique français. Afin de donner plus de relief à la recherche, le choix a été fait de l'aborder en s'inspirant du droit étranger. Le modèle choisi est originaire du Canada, et plus exactement du Québec. II bénéficie d'un recul d'une vingtaine d'années et offre de ce fait, une expérience riche d'enseignements. La création d'un service minimum applicable aux services publics exige une analyse tant de la notion que de sa mise en ceuvre. Concrètement, iI s'agit d'identifier les fondements du service minimum, de délimiter son champ d'application mais aussi de le définir en termes qualitatif et quantitatif, d'envisager sa mise en ceuvre par la voie négociée avec des acteurs spécifiques et de présenter les moyens permettant d'assurer son effectivité. / Every public sector strike brings up the question of a need for a skeleton service. In this area French law is extremely fragmentary and vague. In spite of numerous attempts to introduce legislation no law has been voted. The main reason has been the considerable technical difficulty in reconciling the two basic constitutional principles ofthe right to strike and the continuity of public services. This study brings into focus the problems and questions arising from the idea of a skeleton service and attempts to identify the most practical solution in the context of French law. To give clearer defmition to the study, the Quebec legislation in this field was used as a model. It has been in force for twenty years and this offers many practical lessons. Setting up a skeleton service in the public sector has to be based on an accurate definition of the notion itself as well as its concrete application. Its underlying principles and field of application have to be defined. Qualitative and quantitative aspects, bargain procedures and partners, necessary resources, all have to be identified. / "Thèse présentée à la Faculté des études supérieures en vue de l'obtention du grade de Docteur en droit (L.L.D)"
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A comparative survey of the law relating to strikes in South Africa and the Netherlands

Troskie, Herman R. W. 06 1900 (has links)
In the first section of the dissertation, strike law in the Netherlands is focused upon. The following issues are inter alia dealt with: the historical background of the strike phenomenon, the right to strike and restrictions on this right, the reluctance of the Dutch legislature to legislate in the field of industrial action, and the directly applicable provisions of the European Social Charter. The second section of the dissertation deals with South African strike law and also starts off with a discussion of the historical background thereof, whereafter the provisions of the 1995 Labour Relations Act are analysed and discussed. The third and last section highlights some of the major differences and points to some similarities between the two legal systems. It concludes that the detailed South African labour legislation does not provide more certainty than the Dutch judge-made law in respect of the law relating to strikes. / Law / LL.M.
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L'encadrement juridique du droit de grève : étude comparée Benin - France / The legal framework for the right to strike : comparative study Benin-France

Quenum, Cossi 21 July 2017 (has links)
Délit pénal puis faute contractuelle, la grève est devenue un droit constitutionnel en France et au Bénin. Le législateur français a assorti l’exercice du droit de grève de garanties en optant pour le principe de la suspension du contrat de travail du salarié faisant grève, le maintien de l’emploi dès lors que la grève se déroule dans certaines conditions. Seule la faute lourde imputable au salarié rend possible la rupture du contrat de travail. Le législateur béninois n’a pas édicté expressément les mêmes règles laissant à la jurisprudence le soin de protéger et garantir l’exercice de ce droit constitutionnel. Pour exercer valablement le droit de grève, les grévistes doivent informer préalablement de l’employeur de leur revendication afin qu’il puisse y répondre et éviter si possible le déclenchement de la grève. Le droit de grève doit s’exercer dans la quête permanente d’une compatibilité avec d’autres libertés constitutionnelles (droit de propriété, liberté d’entreprendre, liberté du travail,…). Il existe dans les deux pays des procédures facultatives de prévention et de résolution de conflit. L’exercice du droit de grève s’incline devant l’invocation d’un intérêt supérieur tel que l’intérêt général ; ceci conduit à la prévision d’un service minimum, parfois à un ordre de réquisition. Par ailleurs, l’obligation d’observer un préavis tout comme la multiplication de recours préalable peut participer, singulièrement au Bénin, de stratégies visant à différer ou à rendre difficile l’entrée en grève. Enfin, de façon variable en droits béninois et français, sont interdits certains motifs ou certaines modalités de grève. Dans les deux pays, en cas d’exercice anormal du droit de grève, le gréviste peut voir mis en jeu sa responsabilité tant au plan civil que pénal. Respecter le droit de grève tout en limitant les débordements les plus nuisibles liés parfois à son exercice, conduit à voir affirmer une véritable démocratie sociale, adjuvant nécessaire de la démocratie politique. / Penal offense and then contractual fault, the strike became a constitutional right in France and Benin. This consecration comes in paragraph 7 of the Preamble of the French Constitution: "the right to strike is exercised within the framework of the laws that regulate it". Article 31 of the Beninese Constitution of 11 December 1990 states: "The State recognizes and guarantees the right to strike. Any worker may defend his interests, either individually or collectively or through trade union action, as provided by law. The right to strike shall be exercised in accordance with the conditions laid down by law ". As the formulas adopted by the French and Beninese constituents were almost similar, it was the legislator who had the task of clarifying the scope of beneficiaries. In common, apart from some variable legal limitations, the right to strike is found both in the public sector and in the private sector. The Beninese and French legislators have specified the conditions under which the right to strike can be exercised and the formalities or procedures to be respected before the strike begins. The French legislature imposed guarantees on the exercise of the right to strike by opting for the principle of the suspension of the employment contract of the striking employee and the maintenance of employment if the strike takes place under certain conditions. Only the gross negligence attributable to the employee makes it possible to terminate the employment contract. The Beninese legislature has not expressly enacted the same rules, leaving the case law to protect and guarantee the exercise of this constitutional right. The powers traditionally recognized by the employer are subject to scrutiny when disciplinary proceedings are instituted against strikers or in the event of a pay deduction for strike action. Protection is only in favor of a strike based on professional demands. In order to properly exercise the right to strike, strikers must inform the employer in advance of their claim so that they can respond to it and avoid the strike if possible. The right to strike must be exercised in the permanent search for compatibility with other constitutional freedoms (property rights, freedom of enterprise, freedom of labor, etc.). There are voluntary conflict prevention and resolution procedures in both countries. The exercise of the right to strike is subject to the invocation of a superior interest such as the general interest, but also sometimes to the obligation imposed on employees to observe a minimum service or even to respond to a requisition order. The system of requisitioning strikers differs in its implementation in Benin and French law. On the other hand, the obligation to observe a long notice as well as the multiplication of preliminary remedies is part of strategies to delay or make difficult the strike. In Beninese law, as in French law, certain grounds or methods of strike are prohibited. By way of indication, the requirement to call a strike by a representative trade union in the public sector constitutes a point of divergence between Beninese and French rights. On the other hand, in both countries, the "statute" of an employee's striker does not preclude the possibility that, in the event of an abnormal exercise of the right to strike, civil or criminal liability may be exercised.

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