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Désir et vulnérabilité. Études sur le problème politique de Hobbes et le façonnement social-historique de la subjectivité

Bissonnette, Jean François 08 November 2012 (has links)
Cette thèse vise à cerner les raisons historiques, intellectuelles et affectives de l’importance que reçoit le problème de la vulnérabilité individuelle dans la culture politique des sociétés modernes. Il s’agit de tenter de comprendre pourquoi et par le concours de quelles transformations normatives et structurelles nous en sommes venus, comme citoyens, à attendre de l’État qu’il nous protège des affres de l’existence. L’oeuvre philosophique de Thomas Hobbes, fondée sur une anthropologie individualiste où l’homme apparaît mû par deux affects, le désir et la crainte, nous paraît être la première formulation théorique de ce problème de la vulnérabilité, et à ce titre, nous posons qu’elle a été déterminante pour l’institutionnalisation d’une rationalité politique proprement moderne. De manière à saisir quelles ont pu être les conditions de possibilité de la philosophie de Hobbes, de même que son influence sur l’imaginaire politique occidental, il nous faut tenter de comprendre non seulement pourquoi l’affectivité humaine a pu se trouver ainsi posée comme enjeu du gouvernement, mais comment elle est aussi liée, de manière générale, au fonctionnement des institutions sociales, lequel est historiquement contingent. Il en va ainsi d’une interrogation, que nous poursuivrons dans un relevé des principaux concepts à l’aide desquels Sigmund Freud, Norbert Elias, Max Weber et Michel Foucault ont pensé les modalités du façonnement social et historique de la subjectivité, et par le biais de laquelle nous espérons expliquer pourquoi le « type d’homme » sur lequel s’appuie le régime libéral moderne implique le vécu d’une expérience affective marquée par un rapport tendu entre le désir et le sentiment de la vulnérabilité.
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Une reconstruction éliasienne de la théorie d'Alexander Wendt : pour une approche relationniste de la politique internationale

Lacassagne, Aurélie 09 January 2008 (has links) (PDF)
Cette thèse propose une démonstration critique de l'œuvre d'Alexander Wendt. On mettra en lumière la généalogie de sa pensée qui se retrouve en théorie sociale et en relations internationales. Ainsi, on peut dire que la théorie wendtienne, loin d'apporter une réponse au traditionnel débat agency-structure, met en réalité en évidence le problème fondamental posé par les termes mêmes de ce débat. La volonté affichée par Wendt de synthétiser les deux approches co-déterministes que sont le constructivisme et le réalisme critique, démontre notamment l'impasse théorique d'un tel mode de pensée. Une reformulation sémantique des termes du débat apparaît nécessaire d'où le développement de concepts tels que le processus, relations, habitus et configurations issus de la pensée éliasienne.<br /> Nous proposons également de faire une reconstruction de la théorie wendtienne qui se fonde en grande partie sur la sociologie relationniste ou sociologie des processus développée par Norbert Elias. Une approche relationniste permet de mettre l'emphase sur caractère processuel de toute réalité sociale. On évite ainsi les réifications si courantes dans la pensée sociale traditionnelle. Par ailleurs, afin de comprendre et d'expliquer la politique internationale, il faut travailler sur la longue durée, seule façon de voir l'évolution (souvent lente) des processus sociaux. Enfin, avec Elias, nous réintégrons une dimension psychologique à la compréhension de la politique internationale au travers du concept d'habitus qui se révèle à la fois social et psychique. Il y a donc une discussion sur le rôle des émotions, des affects et de leur autocontrôle dans le rapport à la violence sur la scène internationale. L'ultime objectif s'avère d'humaniser, de socialiser et d'historiciser les théories des relations internationales.
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La question de l'Etat dans la sociologie historique de Norbert Elias: enjeux épistémologiques et politiques

Delmotte, Florence January 2006 (has links)
Doctorat en Sciences politiques et sociales / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Désir et vulnérabilité. Études sur le problème politique de Hobbes et le façonnement social-historique de la subjectivité

Bissonnette, Jean François January 2012 (has links)
Cette thèse vise à cerner les raisons historiques, intellectuelles et affectives de l’importance que reçoit le problème de la vulnérabilité individuelle dans la culture politique des sociétés modernes. Il s’agit de tenter de comprendre pourquoi et par le concours de quelles transformations normatives et structurelles nous en sommes venus, comme citoyens, à attendre de l’État qu’il nous protège des affres de l’existence. L’oeuvre philosophique de Thomas Hobbes, fondée sur une anthropologie individualiste où l’homme apparaît mû par deux affects, le désir et la crainte, nous paraît être la première formulation théorique de ce problème de la vulnérabilité, et à ce titre, nous posons qu’elle a été déterminante pour l’institutionnalisation d’une rationalité politique proprement moderne. De manière à saisir quelles ont pu être les conditions de possibilité de la philosophie de Hobbes, de même que son influence sur l’imaginaire politique occidental, il nous faut tenter de comprendre non seulement pourquoi l’affectivité humaine a pu se trouver ainsi posée comme enjeu du gouvernement, mais comment elle est aussi liée, de manière générale, au fonctionnement des institutions sociales, lequel est historiquement contingent. Il en va ainsi d’une interrogation, que nous poursuivrons dans un relevé des principaux concepts à l’aide desquels Sigmund Freud, Norbert Elias, Max Weber et Michel Foucault ont pensé les modalités du façonnement social et historique de la subjectivité, et par le biais de laquelle nous espérons expliquer pourquoi le « type d’homme » sur lequel s’appuie le régime libéral moderne implique le vécu d’une expérience affective marquée par un rapport tendu entre le désir et le sentiment de la vulnérabilité.
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Augustin-Norbert Morin (1803-1865)

Paradis, Jean-Marc 25 April 2018 (has links)
Augustin-Norbert Morin (1803-1865), avocat, homme politique et juge est né le 13 octobre 1803 à Saint-Michel de Bellechasse et est décédé le 27 juillet 1865 à Sainte-Adèle, Bas-Canada. Après avoir fait son cours classique au Petit Séminaire de Québec, il étudie le droit chez Denis-Benjamin Viger. Il fonde La Minerve en 1826 mais il doit vendre le journal à Ludger Duvernay, trois mois plus tard. Morin est élu député de son comté natal aux élections générales de 1830. Il se fait remarquer par son assiduité et son travail; il devient rapidement le leader parlementaire du parti patriote. Auteur des 92 Résolutions, il est chargé d'aller lui-même porter ces doléances à Londres où le gouvernement impérial ne donne pas suite aux revendications des députés. Il agit comme chef de la Rébellion à Québec mais il connaît à ce titre un échec retentissant, sans toutefois être déclaré coupable de rien. L'Union le ramène à la politique d'abord comme opposant au nouveau régime. Puis, adjoint de La Fontaine, Morin devient commissaire des Terres et il occupe finalement la présidence de la Chambre où il se fait remarquer par son sang-froid lors des émeutes de 1849 à Montréal. Premier ministre conjoint en premier lieu avec Sir Francis Hincks (1851-1854), puis avec Sir Allan MacNab (1854-1855), il se retire de la politique pour accepter un poste de juge. En 1858, avec René-Edouard Caron et Charles Dewey Day, il forme un comité chargé de la rédaction du premier code civil du Bas-Canada, adopté peu avant sa mort en 1865. Morin a joué un rôle important dans la domestiquation des institutions venues de l'une ou l'autre des mères-patries. Il contribue de façon significative à l'implantation du gouvernement responsable et à rapprocher la justice des justiciables. Il réussit à abolir le régime seigneurial et les réserves du Clergé; il fait augmenter le nombre de députés et même si son projet initial a été modifié, il fait changer le mode de représentation du Conseil législatif. Intransigeant sur la légitimité du scrutin, la naissance du chemin de fer va lui donner l'occasion de montrer la ligne de conduite que doit suivre tout député en conflit d'intérêt. Enfin, son rôle de codificateur des lois va lui permettre de donner la pleine mesure de sa science juridique. Humaniste, Morin joue un rôle important dans le développement scolaire de l'époque et il contribue à fonder l'Université Laval en 1852. Membre d'une famille terrienne, il va acheter des terres dans le Nord de Montréal (Saint-Adèle, Val Morin, Morin Heights), où il tente de multiples expériences sur des cultures nouvelles comme la pomme de terre ou sur des théories comme l'ouverture des chemins d'hiver ou encore, l'orientation des bâtiments. Rien ne le laisse indifférent: c'est le type de "l'honnête homme". / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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Einheit ohne Gleichheit

Rösler, Katrin 18 August 2016 (has links) (PDF)
In der Studie wird der Prozess der prämonstratensischen Identitätsbildung im 12. und 13. Jahrhundert, mit Ausblick bis in das Spätmittelalter, analysiert. Diese Arbeit basiert auf der Grundannahme, dass die unter Leitung von Prémontré zügig entwickelte satzungsrechtliche Organisation der prämonstratensischen Gemeinschaft nicht zu einer einheitlichen religiösen Gemeinschaft geführt hat und im Gegenteil insbesondere die hier näher untersuchten sächsischen Stifte zunächst eher ausgrenzte denn einband. Erst der in der Mitte des 12. Jahrhunderts einsetzende Prozess der gemeinschaftlichen Selbstvergewisserung sowie die bewusst betriebene Erzeugung eines distinkten kollektiven Selbstbildes, somit also einer kollektiven Identität, in welchem sich auch und gerade die Angehörigen der sächsischen Stifte wiederfinden konnten, hat der prämonstratensischen Gemeinschaft ausreichend Stabilität verleihen können, so dass diese den weiterhin existierenden internen Spannungen auf observanzrechtlicher Ebene standhalten und als eine einzige religiöse Gemeinschaft bis in das Spätmittelalter hinein ohne Observanzbewegung überdauern konnte. Da eine Institution wie der mittelalterliche Prämonstratenserorden als „Ausdruck eines Kollektivbewußtseins“ verstanden werden kann, zeigt sich die Frage, ob und in welchem Grad die sächsischen Stifte im Hochmittelalter als der Institution Prämonstratenserorden zugehörig verstanden wurden und sich vor allem selbst als zugehörig verstanden haben, als unmittelbar verbunden mit der Frage nach der prämonstratensischen Identitätskonstruktion. Über die vornehmlich für den observanzrechtlichen Bereich relevante Bedeutung dieser Zugehörigkeit hinaus wird analysiert, welche basalen, Sinn und Identität stiftenden Geltungsbehauptungen dieser Institution zugrunde gelegt worden sind. ‚Identität‘ wird in der Studie im kulturwissenschaftlichen Sinn verstanden als bewusst gewordene Zugehörigkeit zu einer Gemeinschaft. Sie ist ein Konstrukt und als das diskursiv vermittelte Bild, welches eine Gemeinschaft von sich selbst geschaffen hat, anzusehen. Dieses Bild basiert vornehmlich auf dem Geschichtsbewusstsein der Gemeinschaft. Die ‚Vergangenheit‘ wird dabei in legitimierender und in Orientierung bietender Weise für die Identitätsbildung herangezogen. Jan ASSMANN hat dies treffend mit dem Begriff der ‚normativen Vergangenheit‘ umschrieben. Vergangenheit indes kann verstanden werden als eine „soziale Konstruktion, deren Beschaffenheit sich aus den Sinnbedürfnissen und Bezugsrahmen der jeweiligen Gegenwarten her ergibt.“ Norbert von Xanten hatte zwei bedeutende Niederlassungen, eine im französischen Prémontré, die andere im sächsischen Magdeburg, gegründet, welche beide, so eine der wesentlichen Thesen der vorliegenden Arbeit, maßgeblich an der prämonstratensischen Identitätsbildung beteiligt waren. Die Analyse dieses Prozesses im Hinblick auf diese beiden Zentren erwies sich als besonders lohnenswert, da Norbert diesen abweichende Vorschriften gemacht hatte, diese jedoch alsbald eine gemeinsame Institutionalisierung durchliefen. Die schwere Krise seiner Anhängerschaft in Prémontré nach seinem Weggang nach Magdeburg bewirkte schließlich einen Institutionalisierungsschub. Es mangelte der prämonstratensischen Gemeinschaft zunächst jedoch, trotz der zügigen Institutionalisierung, an einer tragfähigen und distinkten kollektiven Identität, mit anderen Worten an einem ausgebildeten kollektiven Gedächtnis, das die Dauer der Gemeinschaft in ihrer Gesamtheit bezeugte, deren Eigenart herausstellte und darüber hinaus die postulierte Geltung der schriftlich niedergelegten Normen für alle prämonstratensischen Häuser überzeugend legitimieren konnte. Zwar wurde frühzeitig die Ordensorganisation vorangetrieben, die Frage jedoch, woher die Rechtsvorschriften und die Ordensstruktur ihre grundsätzlich universelle Geltung für alle, in Norberts Geist gegründeten Häuser erhalten sollten, blieb zunächst ungeklärt. Erst allmählich setzte der Prozess der Identitätsbildung ein, welcher die eigene Geschichte zur ‚normativen Vergangenheit‘ erhob und aus dieser heraus die Geltung der normativen und spirituellen Grundlagen des Ordens ableitete. Diese ‚legitimatorische Lücke‘ wurde in zweifacher Hinsicht besonders virulent, da die frühe, recht heterogene prämonstratensische Gemeinschaft zum einen zunächst nur ungenügend abgegrenzt erschien beispielsweise gegenüber den gleichzeitig sich ausbreitenden Zisterziensern, von denen sie wesentliche Teile der Ordensorganisation übernommen hatte, sowie auch den anderen Kanonikergemeinschaften gegenüber distinkte Unterscheidungsmerkmale herausstellen musste. Zum anderen, und das erschien als die größere Schwierigkeit, war die Gemeinschaft gezwungen, einen Weg zu finden, die zwei von Norbert gegründeten und sich beide zu Zentren des Gemeinschaftslebens entwickelnden Stifte Prémontré und Magdeburg gemeinsam in eine tragfähige Ordensstruktur einzufügen, welche geeignet erscheinen konnte, die internen zentrifugalen Kräfte erfolgreich zu binden. Damit der Prämonstratenserorden seine spezifische Eigenart darstellen konnte, war es unumgänglich, sein Wesen insbesondere in der Abgrenzung gegenüber anderen zeitgenössischen Gemeinschaften zu konkretisieren. Erst dieser abgrenzende Blick nach ‚außen‘, die narrative und auch symbolische Kenntlichmachung von Differenzen und Grenzlinien brachte das kollektive Selbstbild hervor, formierte das ‚Innen‘ und machte es sichtbar. Der Umgang mit dem Erbe und Andenken Norberts ist als ein zentraler Aspekt der Identitätsstiftung anzusehen und wurde daher eingehend beleuchtet. Norbert ist in der Mitte des 12. Jahrhunderts in zwei beinahe identischen Viten zur ‚Integrationsfigur‘ stilisiert worden. Diese Texte sind als Höhepunkt des Prozesses der prämonstratensischen Identitätsbildung anzusehen. Die aus dem 13. Jahrhundert stammenden, in der Studie teilweise erstmalig untersuchten Quellen können als Belege für die im Verlauf des 12. Jahrhunderts erfolgreich ‚konstruierte‘ prämonstratensische Identität gelten und sind als solche teils neu interpretiert worden. Durch die nähere Analyse des Bildes, das die Angehörigen des Ordens von sich und ihrer Gemeinschaft aufbauten und kommunizierten, haben sich aufschlussreiche Befunde zu ihrer kollektiven, ‚prämonstratensischen‘ Identität aufzeigen lassen. Diese ermöglichten es, dem bisherigen Bild der Forschung, das sich bezüglich der sächsischen Stifte im Wesentlichen auf die Beschreibung der Divergenz und der Renitenz gegen die Zentralisierungsbemühungen der Ordensleitung gründet, entscheidende Impulse zu weiteren Untersuchungen sowie neue Erkenntnisse hinzuzufügen. Anhand der Betrachtung und teilweise Neubewertung der Quellen konnte gezeigt werden, dass die sächsischen Nachfolger Norberts sich, entgegen der gängigen Forschungsmeinung, im gesamten Untersuchungszeitraum überwiegend als Mitglieder des Prämonstratenserordens ansahen, ihre Identität demnach als ‚prämonstratensisch‘ verstanden. Die hinsichtlich ihrer obödienzrechtlichen Verpflichtungen gegenüber der Ordensleitung existierenden Schwierigkeiten verhinderten nicht die gelungene Konstruktion und Kommunikation einer kollektiven Identität, welche sich in erheblichem Maß legitimierend auf Prémontré als erster Gründung Norberts sowie auf dessen Anweisungen zum religiösen Lebensvollzug bezog. Im Gegenteil hatten Norberts sächsische Nachfolger entscheidenden Anteil an der Ausprägung der prämonstratensischen Identität, indem sie der anfänglich stark asketisch-eremitisch geprägten Lebensweise in Prémontré die sich ebenso auf Norbert gründende, deutliche reformkanonikale Ausrichtung entgegensetzten. Die Frage, weshalb der Prämonstratenserorden bis zum Spätmittelalter keine Observanzbewegung hervorgebracht hat und nicht in zwei unabhängige Gemeinschaften zerfallen ist, beantwortet sich durch die erfolgreiche Ausbildung einer tragfähigen kollektiven Identität, welche in entscheidendem Maß auf Norbert als gemeinsamer Gründerfigur sowie auf dem deutlich artikulierten Bekenntnis zur reformkanonikalen Lebensweise basierte, welche in Details interessanterweise deutlich verschieden ausgeprägt sein konnte, ohne dass dies zum endgültigen Zerbrechen der Ordensgemeinschaft geführt hätte.
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Areale der Tat

Geisler, Oliver 10 December 2012 (has links) (PDF)
Ausgehend von dem vielfach formulierten Befund, dass körperliche Gewalt ein dem Erzählen widerständiges Ereignis ist, untersucht die Arbeit Romane, in denen mittels erzählter Räume dem Ereignis der Gewalt dennoch eine literarische Mitteilung abgerungen wird. Romane von Jospeh Conrad, Edlef Köppen, Imre Kertész und Norbert Gstrein werden dahingehend befragt, wie "Areale der Tat" erzählt werden und wie dadurch - gerade in seiner Entzogenheit und Unzugänglichkeit - ein Ereignis der Gewalt lesbar wird.
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Einheit ohne Gleichheit: Aspekte der Konstruktion prämonstratensischer Identität im 12. und 13. Jahrhundert

Rösler, Katrin 13 November 2013 (has links)
In der Studie wird der Prozess der prämonstratensischen Identitätsbildung im 12. und 13. Jahrhundert, mit Ausblick bis in das Spätmittelalter, analysiert. Diese Arbeit basiert auf der Grundannahme, dass die unter Leitung von Prémontré zügig entwickelte satzungsrechtliche Organisation der prämonstratensischen Gemeinschaft nicht zu einer einheitlichen religiösen Gemeinschaft geführt hat und im Gegenteil insbesondere die hier näher untersuchten sächsischen Stifte zunächst eher ausgrenzte denn einband. Erst der in der Mitte des 12. Jahrhunderts einsetzende Prozess der gemeinschaftlichen Selbstvergewisserung sowie die bewusst betriebene Erzeugung eines distinkten kollektiven Selbstbildes, somit also einer kollektiven Identität, in welchem sich auch und gerade die Angehörigen der sächsischen Stifte wiederfinden konnten, hat der prämonstratensischen Gemeinschaft ausreichend Stabilität verleihen können, so dass diese den weiterhin existierenden internen Spannungen auf observanzrechtlicher Ebene standhalten und als eine einzige religiöse Gemeinschaft bis in das Spätmittelalter hinein ohne Observanzbewegung überdauern konnte. Da eine Institution wie der mittelalterliche Prämonstratenserorden als „Ausdruck eines Kollektivbewußtseins“ verstanden werden kann, zeigt sich die Frage, ob und in welchem Grad die sächsischen Stifte im Hochmittelalter als der Institution Prämonstratenserorden zugehörig verstanden wurden und sich vor allem selbst als zugehörig verstanden haben, als unmittelbar verbunden mit der Frage nach der prämonstratensischen Identitätskonstruktion. Über die vornehmlich für den observanzrechtlichen Bereich relevante Bedeutung dieser Zugehörigkeit hinaus wird analysiert, welche basalen, Sinn und Identität stiftenden Geltungsbehauptungen dieser Institution zugrunde gelegt worden sind. ‚Identität‘ wird in der Studie im kulturwissenschaftlichen Sinn verstanden als bewusst gewordene Zugehörigkeit zu einer Gemeinschaft. Sie ist ein Konstrukt und als das diskursiv vermittelte Bild, welches eine Gemeinschaft von sich selbst geschaffen hat, anzusehen. Dieses Bild basiert vornehmlich auf dem Geschichtsbewusstsein der Gemeinschaft. Die ‚Vergangenheit‘ wird dabei in legitimierender und in Orientierung bietender Weise für die Identitätsbildung herangezogen. Jan ASSMANN hat dies treffend mit dem Begriff der ‚normativen Vergangenheit‘ umschrieben. Vergangenheit indes kann verstanden werden als eine „soziale Konstruktion, deren Beschaffenheit sich aus den Sinnbedürfnissen und Bezugsrahmen der jeweiligen Gegenwarten her ergibt.“ Norbert von Xanten hatte zwei bedeutende Niederlassungen, eine im französischen Prémontré, die andere im sächsischen Magdeburg, gegründet, welche beide, so eine der wesentlichen Thesen der vorliegenden Arbeit, maßgeblich an der prämonstratensischen Identitätsbildung beteiligt waren. Die Analyse dieses Prozesses im Hinblick auf diese beiden Zentren erwies sich als besonders lohnenswert, da Norbert diesen abweichende Vorschriften gemacht hatte, diese jedoch alsbald eine gemeinsame Institutionalisierung durchliefen. Die schwere Krise seiner Anhängerschaft in Prémontré nach seinem Weggang nach Magdeburg bewirkte schließlich einen Institutionalisierungsschub. Es mangelte der prämonstratensischen Gemeinschaft zunächst jedoch, trotz der zügigen Institutionalisierung, an einer tragfähigen und distinkten kollektiven Identität, mit anderen Worten an einem ausgebildeten kollektiven Gedächtnis, das die Dauer der Gemeinschaft in ihrer Gesamtheit bezeugte, deren Eigenart herausstellte und darüber hinaus die postulierte Geltung der schriftlich niedergelegten Normen für alle prämonstratensischen Häuser überzeugend legitimieren konnte. Zwar wurde frühzeitig die Ordensorganisation vorangetrieben, die Frage jedoch, woher die Rechtsvorschriften und die Ordensstruktur ihre grundsätzlich universelle Geltung für alle, in Norberts Geist gegründeten Häuser erhalten sollten, blieb zunächst ungeklärt. Erst allmählich setzte der Prozess der Identitätsbildung ein, welcher die eigene Geschichte zur ‚normativen Vergangenheit‘ erhob und aus dieser heraus die Geltung der normativen und spirituellen Grundlagen des Ordens ableitete. Diese ‚legitimatorische Lücke‘ wurde in zweifacher Hinsicht besonders virulent, da die frühe, recht heterogene prämonstratensische Gemeinschaft zum einen zunächst nur ungenügend abgegrenzt erschien beispielsweise gegenüber den gleichzeitig sich ausbreitenden Zisterziensern, von denen sie wesentliche Teile der Ordensorganisation übernommen hatte, sowie auch den anderen Kanonikergemeinschaften gegenüber distinkte Unterscheidungsmerkmale herausstellen musste. Zum anderen, und das erschien als die größere Schwierigkeit, war die Gemeinschaft gezwungen, einen Weg zu finden, die zwei von Norbert gegründeten und sich beide zu Zentren des Gemeinschaftslebens entwickelnden Stifte Prémontré und Magdeburg gemeinsam in eine tragfähige Ordensstruktur einzufügen, welche geeignet erscheinen konnte, die internen zentrifugalen Kräfte erfolgreich zu binden. Damit der Prämonstratenserorden seine spezifische Eigenart darstellen konnte, war es unumgänglich, sein Wesen insbesondere in der Abgrenzung gegenüber anderen zeitgenössischen Gemeinschaften zu konkretisieren. Erst dieser abgrenzende Blick nach ‚außen‘, die narrative und auch symbolische Kenntlichmachung von Differenzen und Grenzlinien brachte das kollektive Selbstbild hervor, formierte das ‚Innen‘ und machte es sichtbar. Der Umgang mit dem Erbe und Andenken Norberts ist als ein zentraler Aspekt der Identitätsstiftung anzusehen und wurde daher eingehend beleuchtet. Norbert ist in der Mitte des 12. Jahrhunderts in zwei beinahe identischen Viten zur ‚Integrationsfigur‘ stilisiert worden. Diese Texte sind als Höhepunkt des Prozesses der prämonstratensischen Identitätsbildung anzusehen. Die aus dem 13. Jahrhundert stammenden, in der Studie teilweise erstmalig untersuchten Quellen können als Belege für die im Verlauf des 12. Jahrhunderts erfolgreich ‚konstruierte‘ prämonstratensische Identität gelten und sind als solche teils neu interpretiert worden. Durch die nähere Analyse des Bildes, das die Angehörigen des Ordens von sich und ihrer Gemeinschaft aufbauten und kommunizierten, haben sich aufschlussreiche Befunde zu ihrer kollektiven, ‚prämonstratensischen‘ Identität aufzeigen lassen. Diese ermöglichten es, dem bisherigen Bild der Forschung, das sich bezüglich der sächsischen Stifte im Wesentlichen auf die Beschreibung der Divergenz und der Renitenz gegen die Zentralisierungsbemühungen der Ordensleitung gründet, entscheidende Impulse zu weiteren Untersuchungen sowie neue Erkenntnisse hinzuzufügen. Anhand der Betrachtung und teilweise Neubewertung der Quellen konnte gezeigt werden, dass die sächsischen Nachfolger Norberts sich, entgegen der gängigen Forschungsmeinung, im gesamten Untersuchungszeitraum überwiegend als Mitglieder des Prämonstratenserordens ansahen, ihre Identität demnach als ‚prämonstratensisch‘ verstanden. Die hinsichtlich ihrer obödienzrechtlichen Verpflichtungen gegenüber der Ordensleitung existierenden Schwierigkeiten verhinderten nicht die gelungene Konstruktion und Kommunikation einer kollektiven Identität, welche sich in erheblichem Maß legitimierend auf Prémontré als erster Gründung Norberts sowie auf dessen Anweisungen zum religiösen Lebensvollzug bezog. Im Gegenteil hatten Norberts sächsische Nachfolger entscheidenden Anteil an der Ausprägung der prämonstratensischen Identität, indem sie der anfänglich stark asketisch-eremitisch geprägten Lebensweise in Prémontré die sich ebenso auf Norbert gründende, deutliche reformkanonikale Ausrichtung entgegensetzten. Die Frage, weshalb der Prämonstratenserorden bis zum Spätmittelalter keine Observanzbewegung hervorgebracht hat und nicht in zwei unabhängige Gemeinschaften zerfallen ist, beantwortet sich durch die erfolgreiche Ausbildung einer tragfähigen kollektiven Identität, welche in entscheidendem Maß auf Norbert als gemeinsamer Gründerfigur sowie auf dem deutlich artikulierten Bekenntnis zur reformkanonikalen Lebensweise basierte, welche in Details interessanterweise deutlich verschieden ausgeprägt sein konnte, ohne dass dies zum endgültigen Zerbrechen der Ordensgemeinschaft geführt hätte.
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Areale der Tat: Das Ereignis der Gewalt und seine Erzählbarkeit

Geisler, Oliver 22 October 2010 (has links)
Ausgehend von dem vielfach formulierten Befund, dass körperliche Gewalt ein dem Erzählen widerständiges Ereignis ist, untersucht die Arbeit Romane, in denen mittels erzählter Räume dem Ereignis der Gewalt dennoch eine literarische Mitteilung abgerungen wird. Romane von Jospeh Conrad, Edlef Köppen, Imre Kertész und Norbert Gstrein werden dahingehend befragt, wie "Areale der Tat" erzählt werden und wie dadurch - gerade in seiner Entzogenheit und Unzugänglichkeit - ein Ereignis der Gewalt lesbar wird.
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An orgasm and an atom : performing passion and freedom in Margaret Sweatman's <i>When Alice Lay Down With Peter</i>

Kunz, Brenda Mary 12 December 2006
Margaret Sweatmans novel, <i>When Alice Lay Down With Peter</i>, plays with the British Empires adventure story and its creation of manhood. Mimicking this creative process in the Canadian Northwest, Sweatman conceives and births a womans previously erased passion back into the adventure story in a playful, erotic, and politically-charged presentation of the performing female body. Although appreciating the magic realism element to the novel (157), Nicole Markotic suggests that Sweatmans characters, like the readers, become History Tourists and are mere backdrop for the last century or so of Current Events that take precedence over their stories (156). The McCormack women, Markotic argues, have few stories other than going to war, having one momentous sex scene, giving birth (156). Indeed, Sweatmans whirlwind tour through 109 years of well-documented, and already too many times rehashed, rebellions, labour strikes, and world wars, seems to reflect this sentiment, but to limit Sweatman and her characters to only the Empires gender performative is to miss the female body performing as its own Big Bang.<p>Since a womans contingency and agency within the Empires gender performative has been vigorously debated by post modern and cultural theorists, Sweatman chooses to birth her characters into a world of/as performance. Richard Schechner, a pioneer in the field of performance theory, argues in his earlier work, Essays on Performance Theory (1977), that performance is a very inclusive notion of action, in which the performance workshop and the performance strategy of play are much more important than previously imagined (1,61). Sweatman draws on this discovery in order to free her characters to explore passion beyond Imperial and textual constraints. Four generations of McCormack women mimic, mock, and sidewind their way into, around, and beyond the Empires warring narrative and its heterosexual imperative. They are savvy, sexy, and provocative, playing simultaneously as shameless voyeurs, plagiarists, and war artists.

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