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Etude, analyse et réalisation d'un système de choix automatique de scènes dans le cadre d'une thérapie par mise en situation virtuelle pour la phobie sociale / Study, analysis and implementation of a system for automatic selection of scenes in the framework of a virtual reality therapy for social phobia

Moussaoui, Abdelhak 09 November 2010 (has links)
Ce travail de thèse s’inscrit dans le cadre de l’étude des réponses optiques des nanocristaux à base de semiconducteurs II-VI. Ici nous avons déterminé les propriétés optiques de ZnTe, ZnS et ‘ZnS : Mn’ nanostructurés par ellipsométrie spectroscopique (SE). Nous avons déterminé la fonction diélectrique et les transitions optiques des NC-ZnTe par SE dans la gamme spectrale 0.6 à 6.5 eV. L’influence de la taille des NC sur les propriétés optiques et en particulier sur les transitions optiques a été aussi montrée. Les réponses optiques ont été déterminées en utilisant deux modèles : le modèle des points critiques d’Adachi et la loi de dispersion de Tauc-Lorentz. Tout au long de ce travail, nous avons tenté de contribuer à la compréhension du processus d’absorption dans les NC semi-conducteurs avec une technique non destructive capable de rendre compte des phénomènes liés à la réduction de la taille. Malgré le caractère indirect de l’ellipsométrie nécessitant une bonne connaissance de l’échantillon, nous avons démontré qu’elle est capable de déterminer plusieurs propriétés des NC (indice de réfraction complexe, coefficient d’absorption, énergie de gap, signatures des transitions optiques, excès de NC, taille moyenne, épaisseurs des couches de silice) et même de tenir compte des défauts liés à l’implantation / In this work, we report on the study of the optical responses of nanocrystals semiconductor based II-VI. Here we have determined the optical properties of nanostructured ZnTe, ZnS and 'ZnS:Mn' by spectroscopic ellipsometry (SE). We have obtained the dielectric function and optical transitions of NC-ZnTe by spectroscopic ellipsometry in the spectral range 0.6 à 6.5 eV. The influence of the NC size on the optical properties and on the optical transitions was also shown. The optical responses were extracted using two models: the generalized critical points model of Adachi and the Tauc-Lorentz dispersion formula. Throughout this work we have tried to contribute to the understanding of absorption processes in semiconductor NC with a nondestructive technique by tacking into account the phenomena related to quantum confinement. Despite the indirect nature of ellipsometry requiring a good knowledge of the sample, we demonstrated that it is able to determine several properties of NC (complex refractive index, absorption coefficient, energy gap, optical transition energies, NC of excess, thick layers of silica) and even to take account into defects due to implantation
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Social cognition and anxiety following a first-episode of psychosis : markers of clinical remission in schizoprenia and the development of a manualized cognitive-behavioral group intervention for social anxiety

Montreuil, Tina 03 1900 (has links) (PDF)
Évaluation des prédicteurs de la rémission en schizophrénie en lien avec le développement d'une intervention cognitivo-comportementale de groupe pour le traitement de l'anxiété sociale chez les personnes présentant un premier épisode psychotique. Depuis les dernières années, il existe un intérêt croissant pour la notion de comorbidité en psychiatrie. Malgré cette évolution dans la compréhension des problématiques psychiatriques, la relation entre l'anxiété et la schizophrénie demeure toutefois négligée. Cependant, la problématique de la schizophrénie et d'un trouble comorbide à l'axe I du DSM-IV demeure toujours peu explorée dans les écrits scientifiques disponibles. Parmi la recherche existante, portant plus particulièrement sur la comorbidité d'un trouble relié à l'anxiété chez les personnes qui sont atteints de schizophrénie, un très petit nombre d'études ont exploré les liens qui existent entre les symptômes de l'anxiété et la schizophrénie. Le champ des études portant sur la comorbidité chez les personnes présentant plus particulièrement un premier épisode psychotique, demeure davantage inexploré. L'anxiété sociale est le trouble le plus fréquemment diagnostiqué parmi les troubles qui se retrouvent sur le continuum de l'anxiété. Cette problématique représente aussi l'une des pathologies les plus répandues en ce qui a trait à la comorbidité en schizophrénie. Malgré un intérêt croissant pour l'application de la thérapie cognitivo-comportementale dans le traitement des symptômes reliés à la schizophrénie, très peu d'études ont à ce jour proposé une intervention d'approche cognitivo-comportementale pour l'anxiété sociale spécifiquement adaptée pour les personnes atteintes de schizophrénie. Sur cette base, la présente recherche porte sur une intervention de ce type avec cette population. Nous avons formulé l'hypothèse que les participants qui prendraient part à une thérapie de groupe d'approche cognitivo-comportementale pour l'anxiété sociale qui aurait été adaptée plus particulièrement pour les personnes atteintes de schizophrénie, manifesteraient une réduction significative des symptômes reliés à l'anxiété sociale ainsi que des symptômes psychotiques à la suite de l'intervention. Cette étude portant principalement sur l'efficacité d'un programme d'intervention pour le traitement de l'anxiété sociale en tant que comorbidité en premier épisode de psychose fut développée selon un devis non contrôlé. Dans le cadre de cette étude, 29 participants ont été recrutés et ont donné leur consentement à participer à l'étude. De ce nombre, 26 personnes ont complété avec succès le programme d'intervention. Les participants ont pris part à la thérapie de groupe d'approche cognitivo-comportementale qui s'est déroulée en 14 séances hebdomadaires de 90 minutes chacune. L'effet thérapeutique de l'intervention a été évalué à l'aide de tests « t » d'échantillons appariés (T1 pré-test - T2 post-test) pour toutes les mesures de résultats thérapeutiques qui comprennent l'anxiété sociale, les symptômes positifs et négatifs de la psychose et les symptômes de la psychopathologie générale (dépression, insight, stigma). Le chapitre I de la thèse consiste en une introduction générale qui présente une recension des écrits scientifiques, et plus précisément sur les marqueurs de la rémission clinique en schizophrénie et sur la nature des comorbidités, plus particulièrement l'anxiété sociale chez les personnes présentant un premier épisode psychotique. Les chapitres II et III présentent deux études empiriques indépendantes qui ont examiné l'impact de la cognition sociale pour l'une des études, et, pour l'autre étude, la fonction de la sévérité des symptômes reliés à l'anxiété sur la rémission clinique chez les personnes présentant un premier épisode psychotique. Les résultats de ces recherches ont révélé que les déficits au chapitre de la cognition sociale et la sévérité des symptômes reliés à l'anxiété sont des marqueurs importants de la rémission clinique chez les personnes présentant un premier épisode psychotique. Le chapitre IV comprend un troisième article empirique qui vise à évaluer l'efficacité d'une intervention de groupe d'approche cognitivo-comportementale manualisée pour le traitement des symptômes reliés à l'anxiété sociale chez les personnes présentant un premier épisode psychotique. Les résultats de cette étude révèlent que l'intervention semble contribuer à une réduction significative des symptômes d'anxiété sociale, des symptômes négatifs de la psychose, des symptômes dépressifs et du stigma. Finalement, le chapitre V présente une discussion générale des résultats de la thèse ainsi que des implications cliniques, des considérations méthodologiques et des pistes de recherche future. Les marqueurs de la rémission clinique chez les personnes présentant un premier épisode psychotique sont présentés. Un modèle de l'anxiété sociale en premier épisode psychotique, selon l'intervention de groupe d'approche TCC manualisée, est proposé. Dans l'ensemble, les résultats thérapeutiques de ce programme de recherche suggèrent que l'intervention de groupe d'approche cognitivo-comportementale manualisée doit être soumis à un essai contrôlé randomisé (ECR). ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Anxiété sociale, premier épisode psychotique, schizophrénie, thérapie cognitivo-comportementale, intervention psychologique, résultats thérapeutiques, rémission, fonctionnement social, stigma, insight
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Anxiété de vol et phobie de l'avion : validation de questionnaires d'auto-évaluation et étude des comportements des passagers / Flight anxiety and flight phobia : validation of self-report measures and study of passenger behavior

Bourgoin, Émilie 07 September 2015 (has links)
La peur de l’avion peut être source de grande souffrance chez les passagers anxieux qui représentent 10 à 40% de la population. Dans certains cas, elle peut aboutir au développement d’une phobie de l’avion. Peu d’études ont permis de développer des outils de mesure évaluant l’anxiété liée au vol en avion; et encore moins, ont cherché à mettre en évidence les comportements anxieux lors de vol en avion. L’objectif de ce travail était de valider des outils d’évaluation de l’anxiété de vol en français, et d’améliorer la compréhension de la dimension comportementale de ce trouble. Cinq études ont été menées. La première propose la traduction et la validation de deux questionnaires évaluant l’anxiété de vol : le Flight Anxiety Situation questionnaire (FAS) et le Flight Anxiety Modality questionnaire (FAM). Les résultats démontrent de bonnes qualités psychométriques des deux questionnaires dans leur version française. Les quatre autres études visaient à construire un questionnaire d’évaluation des comportements anxieux autour du vol en avion et à mettre en évidence les comportements chez des patients phobiques de l’avion. Les résultats indiquaient une validité partiellement satisfaisante ; des comportements d’hyper-vigilance, d’anticipation, de consommation de substance, de recherche de soutien social, de recherche d’information et de contrôle, et des comportements de gestion pro-active centrée sur soi ont été mis en évidence. Parmi les individus phobiques de l’avion, les individus présentant un trouble agoraphobique ou un trouble d’anxiété généralisé adoptaient des comportements spécifiques. De futures études sont proposées pour poursuivre sa validation. / The literature suggests that fear of flying affects 10-40% of the population and can represent a significant source of anxiety for airline passengers. In some cases flying phobia can develop. Few studies have developed measures that adequately assess anxiety linked to flying; moreover, to our knowledge there is very little research on the behavioral manifestations linked to fear of flying. The research carried out for this thesis seeks to validate French translations of existing flying anxiety measures as well as develop tools for evaluating behavioral manifestations linked to fear of flying. Five studies has been conduct. The main objective of the first study was to translate and validate two existing flying anxiety scales: the Flight Anxiety Situation questionnaire (FAS) and the Flight Anxiety Modality questionnaire (FAM) created by Van Gerwen et al. (1999). The results demonstrated good psychometric validity for the French versions of these two questionnaires. The four other studies were orientated at the creation of a scale (Questionnaire des Comportements anxieux autour du Vol Aérien; QCVA) measuring behaviors associated with anxiety and flying and to evaluate the validity of such a measure. The results demonstrated partial validity; behaviors were clearly delineated into categories of hypervigilance, anticipation, substance consumption, social support seeking, information seeking/situational control, and proactive behaviors centered on the individual. Within the phobic group, those who also suffered from agoraphobia or generalized anxiety disorder furthermore adopted specific behavior. Additional studies are suggested to further explore the revealed factors.
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Une histoire japonaise de la névrose. La phobie interpersonnelle (taijinkyōfu) 1930-1970. Émergence, développement et circulation d’un diagnostic psychiatrique / A Japanese History of neurosis. Interpersonal phobia (taijinkyōfu) 1930-1970. Emergence, development and circulation of a psychiatric diagnosis

Terrail Lormel, Sarah 15 December 2018 (has links)
La « phobie interpersonnelle » (taijinkyōfu ou taijin kyōfushō) est définie par la psychiatrie japonaise comme une angoisse qui se manifeste en présence d’autres personnes et peut prendre des formes variées telles que la conviction de rougir excessivement, d’avoir un regard anormal, un aspect physique inesthétique, d’émettre une odeur nauséabonde, etc. ; elle provoque une inquiétude quant au fait de susciter le mépris, le rejet ou d’être source de désagrément, et conduit à l’évitement des relations interpersonnelles. Cette entité nosographique, formulée au Japon dans les années 1930, y a depuis lors fait l’objet d’une riche pratique clinique et d’abondantes recherches. L’idée que cette pathologie mentale y serait particulièrement fréquente et reflèterait des caractères spécifiques de la société et de la culture japonaises a longtemps été entretenue par les psychiatres japonais, et c’est ce motif qui a attiré l'attention des psychiatres, mais également des anthropologues étrangers sur ce concept. Dans les années 1990, la phobie interpersonnelle apparaît comme un «syndrome lié à la culture» dans les taxinomies psychiatriques internationales, en même temps que l’idée de la spécificité culturelle du taijinkyōfu s’affaiblit progressivement au Japon. C’est l’histoire particulière de ce concept que ce travail vise à retracer. Au croisement de l’histoire de la psychiatrie et de l’histoire des idées, nous cherchons à comprendre les facteurs théoriques, cliniques et idéologiques qui ont contribué à l’émergence et à la prospérité du concept de phobie interpersonnelle dans la psychiatrie japonaise. En repartant des origines euro-américaines au XIXe siècle du concept d’éreuthophobie, archétype de ce qui deviendra la phobie interpersonnelle, nous décrivons l’émergence du concept de taijinkyōfu, formulé par le psychiatre Morita Shōma (ou Masatake) dans les années 1930, puis analysons ses développements théoriques dans les années 1960-1970. / “Interpersonal phobia” (taijinkyōfu ou taijin kyōfushō) is defined in Japanese psychiatry as a form of anxiety that manifests itself in the presence of other people and can take various forms, such as the belief that one blushes excessively, or has an abnormal gaze, or an unsightly physical appearance, or that one's body produces a foul odor, etc.; it causes concern about being contempted, rejected or being an annoyance to others, and leads to avoidance of interpersonal relationships. This nosological entity, formulated in Japan in the 1930s, has since been the subject of a rich clinical practice and abundant research. The idea that this mental condition is particularly frequent and reflects specific characteristics of Japanese society and culture has long been maintained by Japanese psychiatrists, and this very reason has attracted the attention of foreign psychiatrists and anthropologists on this concept. In the 1990s, interpersonal phobia emerged as a “culture-bound syndrome” in international psychiatric nosologies, and at the same time the idea of taijinkyōfu's cultural specificity was gradually weakening in Japan. This work aims to trace out the particular history of this concept. At the intersection of the history of psychiatry and the history of ideas, we seek to understand the theoretical, clinical and ideological factors that have contributed to the emergence and prosperity of the concept of interpersonal phobia in Japanese psychiatry. Starting from the nineteenth-century Euro-American origins of the concept of ereuthophobia, the archetype of what will become interpersonal phobia, we describe the emergence of the concept of taijinkyōfu, formulated by the psychiatrist Morita Shōma (or Masatake) in the 1930s, and then analyze its theoretical developments in the 1960s and 1970s.
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Une comparaison de l'anxiété et de la préparation à l'action en tant qu'explication de la phobie sociale

Roy, Caroline January 2005 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Is there a link between social phobia and sexual problems? : a comparison between social phobic, sexually dysfunctional and normal individuals

Munoz, Valentina January 2006 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Untersuchung der genetischen Komponente Spezifischer Phobien am Beispiel der Spinnen- und Zahnbehandlungsphobie / Analysis of the genetic component of specific phobia using the example of spider and dental phobia

Geisler, Agnes January 2011 (has links) (PDF)
Unsere Bemühungen die Natur individueller Unterschiede der Emotionsregulation zu verstehen, involviert das Verständnis der Gene. In dieser Arbeit werden Gene (Kandidatengene), die für Proteine als Rezeptoren, Transporter oder Enzyme im Neurotransmitterstoffwechsel Serotonin und Dopamin kodieren, untersucht. Serotonin und Dopamin sind mit Angststörungen in verschiedener Weise assoziiert. Sie sind wichtige Neurotransmitter in Teilen des Gehirns, die mit Angstkonditionierung im Zusammenhang stehen. Polymorphismen in diesen Genen verändern die Struktur und Funktion der Genprodukte und nehmen damit Einfluss auf die Funktion von Hirnstrukturen und -systemen. Phobien sind äußerst intensive und persistente Furchtreaktionen, welche durch spezifische Situationen oder Objekte ausgelöst werden und von dem zwingenden Wunsch begleitet sind, diese Situationen oder Objekte zu vermeiden. Die Intensität der Furchtreaktion erscheint einem Außenstehenden, entsprechend der realen Gefahr dieser Situation, unangemessen und eigentümlich. Zumeist hat der Phobiker selbst auch Einsicht in diese Irrationalität seiner Furchtreaktion, vermag sie aber nicht willentlich unter Kontrolle zu halten. In dieser Arbeit wurden als Beispiel einer assoziierten Angst die Zahnbehandlungsphobie und als Beispiel einer nicht-assoziierten Angst die Spinnenphobie untersucht. Es wurden 53 Zahnbehandlungsängstliche, 52 Spinnenphobiker und 37 Kontrollpersonen mittels Fragebogen (SPF,FAS,STAI trait, DCQ, DFS, ASI, PANAS, R-IDCI) getestet. Die Probanden wurden durch PCR-Analyse von Mundschleimhautabstriche je einem Polymorphismus der untersuchten Kandidatengene zugeordnet. Es handelte sich dabei um die Gene für den Serotonintransporter 5HTT, den Serotoninrezepor 5HT1A, den Dopaminrezeptor DRD4, den Dopamintransporter DAT, BDNF und das in den Katecholaminabbau involvierte COMT-Enzym. Die untersuchten Polymorphismen weisen in der Literatur einen Einfluss auf die Angstausprägungen auf. In der statistischen Auswertung wurde auf signifikante Zusammenhänge zwischen einem Polymorphismus und der Ausprägung einer Phobie geachtet. Desweiteren wurden die verschiedenen Polymorphismen mit den Ergebnissen der Fragebogentests in Zusammenschau gebracht. Ein direkter Einfluss eines der untersuchten Gene auf die Ausprägung einer Phobie konnte nicht nachgewiesen werden. In der Gruppe der Dentalphobiker zeigten sich Hinweise auf einen Einfluss des BDNF G-Allels und des COMT G-Allels auf erhöhte Ängstlichkeit. / Understanding of individual differences in emotions is related to the understanding of genes. This paper analyses genes (candidate genes) that code for proteins as receptors, transporters or enzymes in the metabolism of neurotransmitter serotonin and dopamine. Serotonin and dopamine are in different ways associated with anxiety disorders. They are important neurotransmitter in parts of the brain that are associated with anxiety conditioning. Polymorphisms in these genes change the structure and function of gene products and have effect on the function of brain structures. In literature the analysed polymorphisms show influence on characteristics of anxiety. Phobias are very intense and persistent fearreactions, which are triggered by specific situations or objects. They are accompanied by the desire to avoid these specific objects/situations. The intensity of this fearreactions seems inadequate according to real danger. The phobic person himself realises the irrationality of the reaction, but cannot control it. In this paper dental phobia, as an example for associated anxiety, and spider phobia, as an example for non-associated anxiety, are analysed. 53 dentalphobic, 52 spiderphobic and 37 control persons are tested by questionnaires (SPF,FAS,STAI trait, DCQ, DFS, ASI, PANAS, R-IDCI). The test persons were related to each one polymorphism of a candidate gene by PCR-analysing of mouth mucosa samples. Analysed candidate genes are serotonin-transporter 5HTT, serotonin-receptor 5HT1A, COMT, dopamine-receptor DRD4, dopamine-transporter and neutrophin BDNF. The relationship between a polymorphism and the characteristics of a phobia was examined statistically. Further the questionnaire results and polymorphisms were analysed for relations. No direct influence could be shown for candidate genes on phobia characteristics. In the group of dental phobia, hints for influence of the BFNF G-allele and COMT G-allele on anxiety could be made.
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Epidemiologie der Sozialen Phobie

Wittchen, Hans-Ulrich 01 February 2013 (has links) (PDF)
Aus der Einleitung: "In den vergangenen 15 Jahren sind in verschiedenen Ländern der Welt größere epidemiologische Studien zur Häufigkeit psychischer Störungen in der Allgemeinbevölkerung durchgeführt worden, die auch eine grobe Abschätzung der Häufigkeit Sozialer Phobien erlauben. Ein Überblick über diese Studien ergibt allerdings auf den ersten Blick ein recht verwirrendes Bild, da die Prävalenzabschätzungen der verschiedenen Studien eine scheinbar widersprüchliche Befundlage erkennen lassen. Ältere - vor Einführung expliziter diagnostischer Kriterien für Soziale Phobi durchgeführte Studien aus den 60er und frühen 70er Jahren - schätzten die Prävalenz dieses Krankheitsbildes auf lediglich 1% (1). [...]"
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Apports de la réalité virtuelle à la prise en charge de troubles cognitifs et comportementaux

Klinger, Evelyne 07 February 2006 (has links) (PDF)
Les technologies de la réalité virtuelle permettent à un utilisateur d'interagir en temps réel, au moyen de diverses interfaces, avec un monde tridimensionnel engendré par l'ordinateur. Les thérapeutes se sont saisis des possibilités de ce nouveau mode d'interaction, et ont contribué au développement d'environnements virtuels ciblant le diagnostic, la thérapie, la réhabilitation, et l'évaluation. Nous avons choisi de nous concentrer sur la prise en charge de troubles cognitifs et comportementaux rencontrés dans les domaines de la psychiatrie et de la neuropsychologie.<br /> Les technologies de la réalité virtuelle offrent de nouveaux moyens d'évaluer et de réhabiliter les fonctions cognitives. Elles permettent de surmonter certaines difficultés inhérentes aux méthodes traditionnelles et proposent des solutions plus adaptées. Typiquement, les tâches « papier-crayon » sont remplacées par des mises en situation proches des activités de la vie quotidienne. La contribution de cette recherche concerne ainsi l'adéquation de l'approche réalité virtuelle au diagnostic et à la thérapie, et les apports conséquents.<br />Deux thèmes, encore peu investigués, ont retenu notre attention : le traitement de la phobie sociale en psychiatrie, et l'évaluation de la planification de l'action en neuropsychologie. La recherche que nous avons menée a ainsi visé deux objectifs. Le premier a été de concevoir deux applications fondées sur la réalité virtuelle concernant ces deux thèmes et d'en évaluer la faisabilité. Le second a été de dégager les apports de la réalité virtuelle à la prise en charge de dysfonctionnements de l'individu.<br />La création et la mise en place d'une thérapie de la phobie sociale fondée sur la réalité virtuelle a soulevé différents enjeux : créer des situations d'interaction sociale suscitant des réactions émotionnelles chez des patients phobiques sociaux ; investiguer les différentes facettes de la phobie sociale. Les résultats de l'étude clinique menée auprès de patients phobiques sociaux ont conclu à l'efficacité de la thérapie par réalité virtuelle. <br /> La conception d'un système virtuel dédié à la prise en charge de dysfonctionnements cognitifs de l'individu nous a conduits à aborder l'évaluation de la planification de l'action. Elle est fondée sur la création d'une tâche de planification et d'un environnement virtuel dits écologiques. L'application s'est déroulée dans le contexte du vieillissement et de la maladie de Parkinson. L'étude menée auprès de patients parkinsoniens laisse entrevoir la pertinence et les potentialités de l'utilisation de la réalité virtuelle.<br /> Les expérimentations menées nous permettent ainsi de dégager les apports de la réalité virtuelle dans la prise en charge de troubles cognitifs et comportementaux. Les apports tels que le contrôle des stimuli, la flexibilité, etc. ouvrent la voie à de nouveaux thèmes de réflexion concernant la place de la réalité virtuelle dans le processus clinique.
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L'anxiété de l'enfant et de l'adolescent en odontologie

Richard Leborgne, Hélène Dajean-Trutaud, Sylvie. Roy, Elisabeth January 2007 (has links)
Thèse d'exercice : Chirurgie dentaire : Nantes : 2007. / Bibliogr.

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