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Analyse sémantico-cognitive de prépositions en vue d'un traitement automatique / Semantico-cognitive analysis of prepositions for automatic processing

Rouabhi, Miloud 19 April 2019 (has links)
Cette étude vise à unifier dans une même approche les descriptions données par une sémantique cognitive et les représentations associées, et étudiées par une sémantique formelle. La sémantique cognitive a pour but d’associer des schèmes aux significations des unités analysées. La sémantique formelle consiste à étudier les modes de représentation de ces schèmes et les relations avec les observables. Notre étude s’appuie et s’insère dans le modèle général développé à l’université Paris-Sorbonne dans le groupe LaLIC (Langages, Logiques, Informatique et Cognition), il s’agit d’utiliser le modèle de la GAC (Grammaire Applicative et Cognitive) et de la GRACE (GRammaire Applicative Cognitive et Enonciative) ; ces deux modèles font appel d’une part à la topologie et d’autre part à la logique combinatoire en vue d’un traitement automatique de la signification. Nous avons choisi d’étudier le problème des prépositions et plus spécialement des trois prépositions : dans, sous et à du français et de leur équivalents en arabe ; cela nous à conduit à rechercher des invariants associés à ces trois prépositions ou relateurs, la préposition dans renvoie à l’intériorité d’un lieu, qu’il soit spatial, temporel, spatio-temporel, notionnel ou d’activité ; la préposition sous renvoie à un lieu déterminé ou engendré par un autre lieu dont on prend la fermeture ; quand à la préposition à renvoie à la fermeture d’un lieu. Le lieu est un lieu cognitif abstrait, suffisamment général qui, selon le contexte peut prendre des valeurs plus particulières. / This study aims to unify in a single approach the descriptions given by cognitive semantics and associated representations, studied by formal semantics. Cognitive semantics consists to associate the meanings of the analyzed with schemes. Formal semantics consists in studying the modes of representation of these schemes and the relations to the observables. Our study is based on the general model developed at the Paris-Sorbonne University in the LaLIC group, using the GAC model (Applicative and Cognitive Grammar) and GRACE (GRammar Applicative Cognitive and Enunciative), these two models use the one hand to the topology and on the other hand to the combinatory logic in order to an automatic processing of meanings. We have chosen to study the problem of the three prepositions: dans, sous and à of French and their equivalences in Arabic, this leads us to search for invariants associated with these three prepositions or relators, the preposition dans refers to the interiority of a place, be it spatial, temporal, spatial-temporal, notional or activity and the preposition sous refers to a specific place or generated by another place whose closing is taken. The preposition à refers to the closing of a place, here the place is cognitive or abstract place, sufficiently general that according to the context can take more particular values.
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Dificultades en el uso de las preposiciones en estudiantes francófonos de ELE

Nginios, Triantafilian 05 1900 (has links)
Ce projet de maîtrise se consacre à l’apprentissage des prépositions espagnoles chez les élèves francophones. L’identification et l’analyse des erreurs les plus fréquentes dans l’usage des prépositions par des francophones nous permettrons d’élaborer des exercices pratiques qui rendraient leur apprentissage moins difficile. Nous croyons que la difficulté dans l’utilisation des prépositions chez les étudiants réside en partie dans le fait de ne pas connaître leur emploi exact. Nous commencerons donc par présenter l’emploi des principales prépositions en espagnol à partir du Manual de la Nueva gramática de la lengua española et d’autres études. L’enseignement de la grammaire dans les cours d’espagnol comme langue étrangère (ELE) au Québec suit les règles établies par le Cadre européen commun et le Plan curricular de l’Institut Cervantès. Les étudiants développent leur compétence grammaticale de manière inductive; ils sont amenés à comprendre les règles par eux-mêmes et à créer leurs propres hypothèses qu’ils confirment ou réfutent après grâce à quelques explications formelles de l’enseignant et des exercices de pratique. Par contre, cette tendance à laisser l’apprentissage de la grammaire entre les mains des étudiants peut aussi amener à la fossilisation de leurs erreurs si les explications et la pratique ne sont pas suffisantes. Les erreurs sont perçues comme un point de départ pour comprendre où résident les difficultés des étudiants et permettent aux enseignants d’apporter les changements nécessaires à leurs méthodes d’enseignement. Notre révision de quelques investigations réalisées avec la méthode de l’analyse des erreurs, nous permet de cerner les raisons pour lesquelles les francophones commettent autant d’erreurs dans l’utilisation des prépositions espagnoles. Notre analyse de l’enseignement et de la pratique des prépositions dans trois manuels qui s’utilisent actuellement dans les cégeps et les universités du Québec nous permet de voir que les prépositions ne se pratiquent pas assez, surtout au niveau intermédiaire. Nous proposons donc des exercices pratiques qui permettront aux étudiants de pratiquer les prépositions de manière plus efficace. / This MA thesis is dedicated to the learning of the Spanish prepositions by French-speakers. We are interested in identifying and analyzing the most frequent errors in the use of the prepositions by French-speakers, which will bring us to create activities that will help them make fewer mistakes. We believe that the difficulty partly lies in the fact that students don’t know how to use them correctly. Therefore, we find it important to present the uses of the main prepositions in Spanish given by the Manual of Nueva gramática de la lengua española and other studies. The teaching of grammar in classes of Spanish as a foreign language (SFL) in Quebec follows the guidelines established by the Common European Framework and the Plan curricular of the Cervantes Institute. The students develop their grammatical competence in an inductive way; they try to understand the rules by themselves and create their own hypotheses which they will later confirm or refute thanks to some formal explanations from the teacher and practice. On the other hand, this tendency to leave the learning of the grammar mostly in the hands of the students can also bring about the fossilization of certain errors if there aren’t enough explanations or practice. The method of Error Analysis is the most effective to analyze the process of Spanish learning as a foreign language. The errors are a starting point to understand where the difficulties of the students lie and allow the teachers to bring the necessary changes in their teaching methods. Our revision of some investigations made with this method of analysis will allow us to better understand the causes of the most frequent errors French-Speakers make using Spanish prepositions. Our analysis of three textbooks used today in the classrooms of cégeps and universities of Quebec will prove that the prepositions are not practiced enough, especially in the intermediate level. We will consequently propose activities that will allow the students to practice the Spanish prepositions in a more effective way. / Este trabajo de Maestría se centra en el aprendizaje de las preposiciones españolas en alumnos francófonos. La identificación y el análisis de los errores más frecuentes nos llevarán a elaborar actividades que permitan un aprendizaje menos difícil de las preposiciones. Primero, creemos que la dificultad reside en parte en el hecho de no conocer los usos exactos de las preposiciones. Nos parece entonces importante empezar por la presentación de los usos de las principales preposiciones en español a partir del Manual de la Nueva gramática española y de otros estudios. La enseñanza de la gramática en clases de español como lengua extranjera (ELE) en Quebec sigue las mismas pautas establecidas por el Marco común europeo y el Plan curricular del Instituto Cervantes. Los estudiantes desarrollan su competencia gramatical de manera inductiva, creando hipótesis que luego confirman o refutan a partir de explicaciones formales del profesor y de práctica. Sin embargo, el hecho de dejar el aprendizaje de la gramática en las manos de los estudiantes puede causar una fosilización de los errores si no hay suficientes explicaciones y práctica. El método de análisis de los errores se reveló el más eficaz para analizar el proceso de aprendizaje de ELE. Los errores son un punto de partida para comprender dónde residen las dificultades de los estudiantes y permiten a los profesores aportar los cambios necesarios en sus métodos de enseñanza. Nuestro estudio de los errores preposicionales en la interlengua de los hablantes francófonos a partir de estudios realizados con el método de análisis de errores nos permitirá comprender mejor las causas de esos errores. Nuestro análisis de tres manuales que se utilizan actualmente en clases de ELE en los cégeps y universidades quebequenses nos permitirá ver que las preposiciones no se practican bastante en los manuales, sobre todo en el nivel intermedio, lo que podría explicar la fosilización de algunos errores. Propondremos entonces algunas actividades para que los estudiantes puedan practicar las preposiciones de una manera más eficaz.
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Contexte théorique et pratique de l'inventaire microtoponymique en linguistique

Thériault, Marie January 2007 (has links)
Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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Le matériel prépositionnel, préverbal et préfixal en latin littéraire et non littéraire : étude de la documentation autographe / Prepositional, preverbal and prefixal material in non literary latin : a study of autographical documents

Redoutey-Grosjean, Nicolas 16 March 2019 (has links)
La présente thèse a pour sujet la question du système des prépositions en latin vulgaire, ainsi que des morphèmes liés à ces dernières dans les langues indo-européennes (préverbes et préfixes). Notre objectif a été d’évaluer quelles ont pu être les spécificités relatives à l’emploi des prépositions (et des morphèmes connexes) dans la langue ordinaire, sur le plan sémasiologique comme onomasiologique. Est bâti pour ce faire le corpus le plus large possible de documents « autographes », c’est-à-dire de pièces portant une inscription directement réalisée par un latinophone (graffites, ostraca, tablettes de cire, defixiones, papyri documentaires), rédigés entre 1 et 395 p.C. La construction même de ce corpus et l’établissement d’une référenciation stable ont constitué un objectif secondaire de ce travail. La première partie établit les outils terminologiques nécessaires. Sont donc passées en revue toutes les théories relatives aux prépositions et à leur sémantisme depuis l’Antiquité, dans le but de souligner les manques et les imprécisions de la tradition terminologique. L’attention est ensuite portée sur le problème récurrent du « latin vulgaire », appellation nécessairement tolérée, même si elle demeure insatisfaisante et embarrassante. La question est spécifiquement posée au regard de la particularité du corpus, sur le plan matériel comme théorique. La notion « d’autographie » est en effet très floue, du fait de l’immixtion d’intermédiaires humains (comme les scribes, professionnels ou non), de la question de la « formularité » et des text types, et des problèmes complexes liés aux différentes formes de littératies à travers les provinces romaines. Cette partie se clôt sur les choix terminologiques et méthodologiques opérés, relativement au processus sous-jacent de collecte des données. La seconde partie présente les données. Celles-ci sont d’abord traitées sous l’angle quantitatif, avec prudence ; il s’agit d’abord d’établir quels sont les morphèmes encore en usage, quels sont ceux qui déclinent et quels sont ceux qui ont déjà disparu. Il s’agit également de comprendre quels écarts peuvent se manifester entre les données et nos attentes. On souligne ce faisant les différents processus de développement, en synchronie ou en diachronie, de certains morphèmes ou usages ; la notion de « préfixation pré-nominale », jusqu’ici peu envisagée dans les études latines, et ainsi étudiée. Le second chapitre de cette partie étudie ce matériel, sur un plan phonétique, morphosyntaxique et lexical. Il s’agit alors non seulement de découvrir les signes d’un possible renouvellement dans certaines zones de la langue (il est fait ici usage du concept de sermo castrensis, mais aussi de celui – encore peu envisagé – de sermo mercatorius) ; il s’agit en outre de comprendre pourquoi ce corpus manifeste une véritable résistance à l’égard des vulgarismes, et pourquoi l’on ne constate aucun véritable fossé entre la langue normée et celle du corpus.Le dernier chapitre se concentre sur le problème déjà ancien, mais complexe, de la chute des <-m> (et accessoirement, des <-s>) en latin vulgaire, et sur la conséquence de celle-ci au sein des groupes prépositionnels. Ce problème a une histoire (depuis Diehl), qui est rappelée afin d’expliquer comment se mélangent ici les niveaux graphiques, phonologiques et grammaticaux. Il s’agit de comprendre dans quels cas la disparition de <-m> peut être attribuée à une pure convention graphique, dans quels cas elle est relative à l’analphabétisme ou à la faible littératie des scripteurs, et dans quels cas elle constitue effectivement le premier signe (mesuré) d’un effondrement des systèmes flexionnels, dans une perspective romane. Ce chapitre s’interroge ine fine sur la capacité des locuteurs semi-lettrés, à un moment de la diachronie, à faire usage d’un « système polymorphique » (Banniard), et à choisir ainsi, bien qu’ils fussent relativement conscients des règles morphologiques, de marquer ou non le cas accusatif. / In this thesis, we deal with the question of prepositional systems in Vulgar Latin, and the linguistic material wih which it is usually associated, in indo-european languages, i.e. preverbs and prefixes. Our work aims to evaluate how specific usages of prepositions (and related material) in colloquial speech may have been, in both semasiological and onomasiological ways. For this purpose, we draw on the largest corpus of « Autographical » documents, i.e. directly inscribed artifacts, such as graffiti, ostraca, wax tablets, defixiones, documentary papyri, etc., from 1 to 395 a.D. Moreover, as a second objective ot the dissertation, we set up a fully-ordered and well-referenced corpus of our archaeological material.The first part of the thesis tries to lay the methodological tools of such the said design. Theories of prepositions and prepositional meanings from Antiquity to present reviewed are reviewed, in order to understand the lack and fuziness of inherited terminological displays. We then consider the customary problem of utilising and defining the terme « Vulgar latin » (which we tolerate, as embarrassing and unsatisfying as it is) and most specifically the peculiarity of our corpus, in a theorical and practical ways : « autography » is indeed a messy concept, due to the involvement of human go-betweens (like professional or casual scribes), the question of formularity and « text types », and the complex pattern of literacy, throughout the Roman provinces. This chapter ends with terminological and methodological choices, referring to the undergoing process of the data report.In second part of the thesis we lay out the data itself. We first deal with this data quantitativly by cautiously using statistical approaches, we try to establish which morphemes were still in use, recessing, or had already disappeared. Furthermore, we examine what kind of discrepancies could arrise between our expectation and the data. We stress, by doing so, the synchonical and diachronical expansions of certain morphemes or usages, and more specifically the question of « Pre-nominal prefixation », on which little has yet been written in classical tradition. The second part of this chapter studies the dynamics of our material phonetically, morphosyntaxically and lexically. Not only do we try to catch sight of linguistic renewals in some areas of language (dealing with the concept of sermo castrensis, or the yet unexplored sermo mercatorius), but also the evidence of a structural dragging into vulgarisms and linguistical changes in our corpus, questioning the lack of an expected « gap » between litterary standards and the language that our documents are using.The third part of our thesis deals with the very well known but very intricate problem of falling /-m/ (and, casually, falling /-s/) in Vulgar Latin, and their consequences in the prepositionnal phrases. The problem’s history (from Diehl’s work) shows up, explaining the entanglement of graphical, phonological and grammatical levels in such an inquiry. We then try to establish which part of the disappearing <-m>, in prepositional phrases, could be assigned to graphical convention, which part goes to real illiteracy (or « low-level literacy ») and which part shows the evidence for a real (but limited) starting point toward a future collapse of nominal flection, from a romance perspective. We conclude this chapter by questioning the ability of semi-literate latin-speakers, at some point of the diachronic evolution of latin language, to deal with « polymorphic » systems (as proposed by Banniard), who ware quite aware of morphological rules but choosing to mark or not mark or to omit the accusative case.
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Structures et référence

Merle, Jean-Marie 22 November 2006 (has links) (PDF)
Synthèse des travaux de recherche effectués, sur will + BV, sur le conditionnel français, son invariant sémantique et sa traduction en anglais, sur les repères hypothétiques, l'opposition entre irréel et potentiel, le conditionnel journalistique et le discours indirect libre ; sur certaines constructions verbales (want, will) ; sur le sujet, la prédication, les constructions participiales, la qualification ; sur la focalisation (just ; l'exception) ; sur les prépositions ; sur les mots en wh. Présentation d'une réflexion actuelle qui porte entre autres sur la qualification, les structures résultatives, l'apposition, la coprédication, les nexus, les paradigmatiques, les structures de focalisation. L'auteur en est arrivé à essayer de rendre compte systématiquement dans ses travaux, entre autres, en relation avec la spécificité des phénomènes étudiés, de trois séries d'observables linguistiques dont les propriétés sont loin d'être entièrement explorées : trois modes de repérage - structurel, sémantico-référentiel, énonciatif ; trois incidences fondamentales - prédicative, co-prédicative, interne au syntagme ; trois types de constituants de base - syntagmes, nexus, propositions.
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Contexte théorique et pratique de l'inventaire microtoponymique en linguistique

Thériault, Marie January 2007 (has links)
Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Les rapports entre le temps et l'espace dans les théories linguistiques / The Relation between Time and Space in Linguistic Theory

Chalozin-Dovrat, Lin 08 January 2015 (has links)
Depuis plusieurs décennies, un nombre important de travaux en linguistique et sciences cognitives avancent une thèse selon laquelle l’expression du temps dans la langue dépend de la cognition de l’espace. Cette étude cherche à établir que le discours scientifique sur les rapports temps–espace dans la langue et la cognition est un objet épistémologique qui a sa propre histoire et ses propres motivations disciplinaires. Ainsi, le programme de recherche généralement admis est le produit d’une trame complexe d’intérêts qui ne favorisent pas nécessairement la recherche de l’objet scientifique. Dans une première partie, nous confirmons que les rapports linguistiques entre temps et espace constituent un objet historique et variable, tant dans la langue que dans la pensée sur la langue. Dans une deuxième partie, nous explorons la tendance à la spatialisation du temps dans les écrits des philosophes et grammairiens des Lumières et dans le travail de Gustave Guillaume (1883–1960). Dans une troisième partie, nous examinons le paradigme de la priorité spatiale dans la linguistique cognitive à partir des années 1970 jusqu’à nos jours. Les résultats de cette étude nous amènent à proposer des lignes directrices pour la recherche future des manifestations linguistiques des rapports temps–espace. / Over the past few decades, a considerable number of studies in linguistics and the cognitive sciences have put forward the claim that the expression of time in language relies on the cognition of space. This study aims to show that the scientific discourse on time–space relations in language and cognition is an epistemological object, shaped by its history and disciplinary motivations. Thus, the predominant research framework of time–space relations is the product of an intricate network of interests which do not necessarily facilitate the research of the scientific object. In the first part of the study we show that relations between time and space changed through the history of both language and the theory of language. In the second part, we explore the theoretical trend of the spatialization of time in the writings of key philosophers and grammarians of the Enlightenment, and in the oeuvre of the French linguist Gustave Guillaume (1883-1960). In the third part we examine the paradigm of spatial priority in cognitive linguistics from the 1970s until today. The conclusions of the study lead us to put forth some proposals for the future research of time, space and the time–space interface in language.
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Análisis del español de los estudiantes francófonos de ELE : el caso del sistema preposicional

Maloof Avendaño, César Enrique 12 1900 (has links)
Cette recherche s’inscrit dans le domaine de la linguistique appliquée à l'apprentissage des langues et se concentre sur l'usage des prépositions par des apprenants francophones de l’espagnol comme langue étrangère (ELE). Plus précisément, le travail visait à caractériser l'utilisation du système prépositionnel à différentes étapes de l'apprentissage et à s'enquérir des processus sous-jacents aux usages de prépositions documentés. La matière première pour mener à bien cette recherche est composée d'un corpus de productions écrites rédigées par des participants ayant une compétence communicative correspondant au niveau A1, A2, B1 ou B2, selon l'échelle proposée par le Cadre européen commun de référence pour les langues. Tous les participants avaient le français comme langue maternelle ou langue dominante. Les données obtenues à travers le corpus ont été abordées à partir de la perspective du paradigme connu sous le nom d'analyse de la performance. Ce travail décrit à la fois les utilisations normatives et non normatives des prépositions de contenu lexical (spatial, temporel ou notionnel) et celles qui ont une valeur principalement grammaticale. Les résultats obtenus suggèrent que ce dernier type de prépositions pose un plus grand défi pour les apprenants, un effet qui tend à persister même à des niveaux plus avancés. En ce qui concerne les processus sous-jacents aux usages des prépositions, il a été observé comment le transfert de la L1 facilite l'utilisation normative de certaines prépositions lorsqu’il y a convergence entre les marques et notions prépositionnelles exprimées en français et en espagnol. En revanche, lorsque les marques prépositionnelles dans les deux langues coïncident, mais pas les valeurs qu'elles expriment, une augmentation des utilisations inappropriées des prépositions a été identifiée en raison, en partie, d'un processus de transfert négatif ou d'interférence de la L1. Comme nous le verrons au cours de ce travail, ce processus d'interférence ou de transfert négatif de la L1 interagit souvent avec les interférences d'une autre L2 (anglais) et avec des processus intralinguistiques, tels que la surgénéralisation des règles de la langue cible (espagnol). Pour finir, cette thèse souligne que les processus linguistiques mentionnés ci-dessus se voient renforcés par un processus pédagogique, autrement dit, par la manière dont le matériel didactique utilisé par les participants approche l’enseignement du système prépositionnel de l’espagnol. Mots-clés : Espagnol langue étrangère (ELE), Linguistique appliquée, Interlangue, Analyse de l’interlangue, Analyse d’erreurs, prépositions, apprenants francophones. / This thesis, within the field of applied linguistics, focuses on the usage of prepositions by French-speaking learners of Spanish as a foreign language (ELE). Particularly, this study aims to characterize the use of the Spanish prepositional system throughout different stages of learning and to shed light on the processes that underlie the observed phenomena. The source material for this research came from a corpus composed of texts written by four groups of participants of levels A1 trough B2, as proposed by the Common European Framework of Reference for Languages scale. All participants’ native or dominant language was French. The data obtained through the corpus were approached from the perspective of the L2 language research paradigm known as performance analysis. This study describes both normative and non-normative uses of prepositions of lexical content (spatial, temporal or notional), as well as those that carry primarily grammatical value. The results obtained suggest that the latter type of prepositions posed a greater challenge for the learners, which proved to be an area of difficulty that tended to persist, even at more advanced levels. With regard to the processes underlying the usage of prepositions, our findings support the idea that language transfer from the participants’ L1 facilitated the appropriate use of certain prepositions in those cases in which the prepositional marks and notions expressed by these in French and in Spanish converged. In contrast, an increase in inappropriate uses of the prepositions was identified when the prepositional marks in both languages coincided, but not the values they expressed. In part, this was due to a process of negative transfer from the students’ L1. It also became apparent that this process of interference from the L1 often interacted with interference from another L2 (English) and with intralinguistic processes, such as the overgeneralization of rules appertaining the target language (Spanish). Last but not least, this research also found evidence that the aforementioned linguistic mechanisms were reinforced by instruction, that is to say, the way in which the textbook used by the students approached the teaching of the Spanish prepositional system. Keywords: Spanish as a Foreign Language (ELE), Applied linguistics, Interlanguage, Interlanguage Analysis, Performance Analysis, Error Analysis, Prepositions, French-speaking learners. / La presente investigación, enmarcada en la lingüística aplicada al aprendizaje de lenguas, se centra en el uso de las preposiciones por parte de un grupo de estudiantes francófonos de español como lengua extranjera (ELE). En concreto, el trabajo se trazó como objetivo caracterizar el uso del sistema preposicional en diferentes etapas del aprendizaje e indagar acerca de los procesos que subyacen a los usos preposicionales documentados. La materia prima para llevar a cabo esta investigación está compuesta de un corpus de producciones escritas redactadas por participantes con niveles de competencia comunicativa A1, A2, B1 y B2, según la escala propuesta por el Marco común europeo de referencia para las lenguas. La totalidad de participantes tenía el francés como lengua materna o dominante. Los datos obtenidos a través del corpus se abordaron desde la perspectiva del paradigma conocido como análisis de la actuación. Este trabajo describe los usos tanto normativos como no normativos de las preposiciones de contenido léxico (espaciales, temporales o nocionales) y las que comportan un valor primordialmente gramatical. Los resultados obtenidos sugieren que este último tipo de preposiciones supone un mayor desafío para los aprendientes y muestran una tendencia hacia la persistencia en niveles más avanzados. En lo que concierne a los procesos que subyacen a los usos preposicionales, se observó cómo la transferencia a partir de la L1 facilitó la utilización de ciertas preposiciones en conformidad con la norma en determinados casos en los cuales las marcas preposicionales y nociones expresadas por estas convergen en francés y en español. En contraste, cuando coinciden las marcas preposicionales en ambos idiomas, mas no los valores que expresan, se identificó un incremento de usos inadecuados de las preposiciones debido, en parte, a un proceso de transferencia negativa o interferencia de la L1. Como veremos en el transcurso del trabajo, este proceso de interferencia o transferencia negativa de la L1 interactúa, a menudo, con la interferencia proveniente de otra L2 (inglés) y con procesos intralingüísticos, tales como la sobregeneralización de reglas de la lengua meta (español). Por último, la tesis pone de relieve que los procesos lingüísticos antes mencionados vienen a ser reforzados a través de un proceso de instrucción, dicho de otra forma, la manera como se aborda la enseñanza del sistema preposicional del español en el material didáctico empleado por los participantes. Palabras clave: Español lengua extranjera (ELE), Lingüística aplicada, Interlengua, Análisis de la interlengua, análisis de la actuación, análisis de errores, preposiciones, aprendices francófonos.
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La concession en russe moderne / Concession in modern russian

Lyakhova Moulin, Mariya 06 April 2011 (has links)
Dans cette thèse sur la concession en russe moderne, nous avons cerné cette notion en élaborant un schéma prototypique servant à classer différents types de constructions concessives et à intégrer le maximum de structures marquées comme concessives. Ainsi le schéma proposé (p, Cq), basé sur la notion de contraste entre les implications des contenus de p et q, les évaluations de ces contenus ou les actes illocutoires p et q, prend pour principal repère C, conjonction ou préposition concessive. Nous avons étudié la relation concessive dans des constructions bi-Propositives et des propositions simples. Cet ensemble est classé en fonction du statut épistémique de q, puis subdivisé en non-Conditionnel, conditionnel ou contrefactuel. Le deuxième critère de classement est le statut unique ou multiple de q. Dans le premier cas nous avons des constructions non-Généralisantes, dans le second la construction appartient au type généralisant. Nous nous sommes démarquée des recherches traditionnelles en prenant en compte la concession illocutoire : xotja sert à remettre en cause l’énoncé précédent pour une auto-Correction du locuteur qui annonce ainsi le changement du cours de sa pensée. Notre travail nous amène à la conclusion que la concession est un phénomène protéiforme non réductible à une notion de causalité inversée. L’élargissement du champ d’étude permet de jeter un pont entre la notion linguistique et la notion rhétorique de la concession et de donner un tableau plus complet des différentes formes de relation concessive en russe moderne. / In this thesis dedicated to concession in modern Russian we specified the concept by means of a prototypical schema which we applied to classify different types of concessive constructions. This schema aims at embracing the majority of sentences marked as concessive. The main mark of the proposed schema (p, C q), based on the idea of contrast between the implications of p and q contents, assessments of these contents or p and q speech acts, is the connective C, a concessive conjunction or preposition. We studied concessive relations in both complex sentences and simple sentences. They are classified according to the epistemic status of q and subdivided into non-Conditional, conditional and counterfactual. The second criterion of classification is the single or multiple status of q. According to it we have, on the one hand, non-Generalized concessive constructions and, on the other, generalized concessive constructions. Outstepping the traditional research, we made a point of studying illocutionary concession as part of the whole. Indeed, xotja in discourse is used by the speaker as a self-Correction technique in order to reject the previous utterance pointing thus the deviation of their thought. As a result of our research we come to the conclusion that concession has multiple forms and cannot be reduced to inoperant causality. Due to a wider research scope we managed to bridge the linguistic and rhetoric concessions and to give a broader view of different forms of concessive relations in modern Russian.

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